t^l î-
LAß L A C
L
A
1 1
noms de cettolettre. Origine du caractère
niajuleule L. L’articulation rcprc-
i'entée par / eil i’Ugiiale. Pourquoi on
Uli donne aulfi Io nom de liquide. 01)rerv;uioii de Püne iur trois nianie-
res delà prononcer. D e f moiiill-'c:
dilî'éreiucs manières de reprélemer
cette articulation. iX . 141. u, Obler-
vations de l’auteur fur les /mouillées.
i l ! r i\v les nropoiees pour eorriger l'inexaélitude de notre
orthograplie fur les / mouillées. 7/-/./, 14=- Anciennement
lo r fq ù ele pronom indérinie« le plaçoit apres le verbe, on
inféroit entre deux la lettre / avec une apoilvoplie. Dans le
partage des mots d’une langue ou d’une dialcile à une aiurc ,
ou dans les formations des dérivés ou des compolés, les
le ttres / , r , h , font comniuablcs emr'elles.//'/c/. 142. u.
L, ilert parlé de cette articulation. iX . $^7. a. De fon
eflet pour l’harmonie & la douceur du llyle. StippL III. 305. b.
L confidércc comme lettre numérale. Monnoie de t rance
marquée d’une L. Explication des lettres L L S qui fe trouvent
fouvent dans les auteurs avec iiue e.xpreflion miméri-
qnc. IX. 142. h.
L, ahbvéviations auxquelles cette lettre fert dans le commerce.
IX. 142. b. . , , ,.,r.
L, ( formation de cette lettre dans les dittercnccs
écritures. IX. 143. a. L A
L A , {Gr.2rr.r1;.) divers iifages de ce mot, félon lefquels
il ell ou prénom, I. 726. <r. ou adverbe, ou nom , ou particule
expléiive. Ibid. b. XII. 102. i l, b.
L A A R , {Pierre de) peintre. V . 324. .2.
LA B A D lb T E S , ( r/tcü/eg.) hérétiques, difciples de Jean
Labadie , fanatique fameux du dlx-feptieme fiecle , é-r. Principales
erreurs que foutenoient les Labadirtes. IX. 143. n.
On allure qu’il y a encore des Labadirtes dans le pays de
Cleves. Ibid. b.
LAB.'VN, blanc, {Hiß. facr.) fils de Bathuel, frere de
Rebecca, pere de Rachel ék de Lia. Son carartere. Service
de Jacob chez Laban. Fuite de Jacob, Sa réconciliation avec
Laban fon beau-pere. Suppl. III. 692. a.
L a b a n , ( / f/yf ß c r .) théraphim de Laban.X V I. 265.(2,/’.
LAB A R UM , {L itt.) éicndart qu’on portolt à la guerre
devant les empereurs romains. Origine de cet étendart. Comment
Conrtancin le réforma. Prodiges qu’on lui attrlbuoit.
IX. 143. b.
Labarum , voye z fur ce mot. V . 709. h. 710. a.
L A B D A C ISM E , Gramm. ) mot grec qui fignllie un efpece
de grarteyeinent dans la prononciation. Ce défaut accompagné
de grâces dans la bouche d’A lcibiade, de Démoftlie-
nes, & dans celle tles dames romaines. IX. 144. a.
LA B E L LUM ,{L a ng . latin.) lignification de ce mot. X V .
^ \ a BER IU S , {Hecimus) poète mimographe. X. 520. L
X l l l . 586. (2.
L A B E U R , ( Gramm. ) ce mot commence à vieillir , cependant
on l’emploie encore quelquefois avec énergie. Gaulés
de l’apauvrilTcment de la langue; la dèlicatelTe despuriftes,
Pexn^eration, le libertinage, l'art de donner des dénominations
honnêtes à des choies honteufes. IX. 144. a.
LABI.^LE , {Gramm.) trois clartés d'articulations ; les
labiales, les linguales & les gutturales. Confonnes labiales.
Maniéré de les prononcer. L'affinité de ces lettres fait que
dans la comporttion Sc d:uis la dérivation des mots, elles
fe prennent les unes pour les autres. Importance de cette
obfervation. Fréquence de cet ufage dans le partage d'une
langue à une autre. IX. 144. b.
Labiales, lettres. IV. 53. b. V oy elles labiales. X V II .
479. a.
L a b ia le artère. {A na t.) Suppl. II. 245. L 246. a.
L A B IC UM , (Géogr.) ou Lavicum , ancienne ville du
Latium, aujourd'hui la coloria , félon Holrtenius. Defci iption
de la voie Lavicaiie. IX. 14 5 -u.
LA BIENU S, {T itus) fon amour pour fa patrie. XII,
279. b.
Labienus, poète fatytique, fes ouvrages condamnés au feu
par les Romains. IX. 602. a
L A B IT T E , {Jacques) fon ouvrage fur le digefte. IV.
997. h.
L.ABLAB , ( Botan. ) voye^ A b l a b .
L A BO R A R E , dolerc, {Synon. latins. ) X V . 758. *2.
L A BO R A TO IR E , ( C'Aym/r) defeription d’un laboratoire
L A
de Chyinie. Il doit erre v arte , bien éclairé, pourvu d’une
grande cheminée, IX. i.;5. a. furmonté d'im grenier, ik
établi fur une cave. Détails fur chacune de ces qualités ellcn-
tiellcs à un laboratoire. Sur les avantages qu’un chymifte
poiirroit croiiver à établir (on laboratoire entre un fourneau
de verrerie & une glacière, l’article Fr o id . Utilité
d’un niirteau dans le voHinage. Il c(l nécertaire aiirtî d’avoir
joignant le laboratoire un lieu découvert, tel qu'une cour
ou un jaidiii- IX. 145. b.
Labor.noire docimartique. V . 984? b. Laboratoire du chy-
inille. Fourneaux qui lui (ont ertentlels. VII. 248. i. a. Comment
il doit être placé. 310. a.
L A B O R IÆ , {Gèogr.) ancienne contrée d’Italie; voies
confulaires qui bornent le canton de Labories. IX. 145. b.
— lA y q L a b o u r . {Tare de)
LA.BORIEUX, ( Gramrn.) moyen de faire aimer le travail
aux hommes. Caufes qui entretiennent la parefie dans certaines
nations. IX, 146. a.
LA BO U R , ( Èconotn. rujiiq. ) utilité des inrti'umens inventés
pour le labour. Pour que le labour remplirte fon objet,
la terre ne doit être ni trop feche ni trop humide. D e la profondeur
qifil faut donner au labour pour les terres dertinées
à produire le blé. IX. 146. a. Terres qu'il Euit fe garder de
piquer trop avant. C e qu’on entend par deiloiidcr une terre.
Opération que fe permettent les fermiers fripons qu’on force
à quitter leur ferme. Il faut que le labour foit proportionné
aux befoins de la graine qu’on veut femer. Il doit être proportionné
aux clrconrtances dans lefquelles il fe fait. Diflé-
rens af'peéls qu’oll'rent les campagnes dans les differens p ays,
par les variétés introduites dans la maniéré de mener les
labours. Ibid. b.
Labour , milité & effet des labours. Suppl. II. 30. b. Suppl.
III. 29. b. La fréquence des labours falutaire aux terres. I.
188. a. Divers préceptes fur le labour. Ibid, a, b , &c.
Labours à donner aux terres à bled, 1S5. b. V IL 335. a.
336. a. Obfervations contre le labour fuperficiel des terres
à bled. Suppl. I. 920. a , b. Labours après avoir brûlé les terres.
Suppl. IL 73. b. Préceptes concernant le labour des tcrre.s à
menus grains. 1. 185. b. Regies à Cuivre pour tirer du labour
le meilleur avantage. 186. a. Syftêine de M. Tu ll fur le labour
des terres, 187. h. 188. <2, b. Second labour des terres à
grains nommé binage. II. 25-. a. Labourer les terres par
foies & faifons. IV. 894. b. Du labour des terres enjachere.
VIII. 429. a. Terres labourées en planches : labourées en
billons. Suppl. II. 778. b. Maniéré de labourer particulière
aux Lithuaniens. IX. 592. a. Regies lur la maniéré de labourer
les dift'érentes fortes de terres. X V . 196. a , b. Comment
on doit labourer celles fous lel’queUes il y a des couches de
tuf. X V I. 73". b. Maniéré de labourer, qu’on appelle travailler
à l'uni. XV'Il. 380. /».Animaux dont on fe l'ert pour le
labourage. I. 186. a. VI. 529. a ,b ,& c . Ufage de la lierfe
fur une terre labourée. V IIL 185. b. 186. a. Petit labour de
jardin. II. 206. a. Labours des terres dont on veut faire des
forêts. 199. <2, b. Suppl. IV . 772. b. Labour de la vigne. IL
706. b. P'oyei les planches d’agriculture. V o l I. des planches.
Labour, ( ) felon quelques coutumes, le feigneur
peut reprendre les héritages dont le propriétaire paffe trois
ans fans labourer. IV. 882, a.
L a b o u r , {Terre de) province d’Italie au royaume de
Naples. Ses bornes & fon étendue. IX. 146. b. Ses rivières
éc fes montagnes. Deux fameufes grottes qu’on y voit. Pourquoi
cette province eft nommée la campagne heureiife. Sa
beauté doit avoir été incomparable dans les fiecles paffés.
Auteurs anciens qui en ont parlé. Ibid. 147. a.
L a b o u r , ( Terre de ) droit des habitans de ce pays, appelle
loi de S. Benoit. IX. 670. a.
L .A BO üR AG E , ou Agriculture, { HiJI.anc.) obfervationy
qui montrent combien l’agriculture étoic en honneur chez les
Romains. IX. 147. a.
L a b o u r a g e , {Econ. rufîiq. Agric.) les labours conrtdé-
rés comme la principale caufe de la fertilité des terres. Ils
foumirtein aux racines la facilité de s’étendre & de fe multiplier.
Suppl. III. 692. a. Ils débarrartent la terre des mau-
vaifes herbes & des racines gourniantles qui répiiil'em au
préjudice des grains. Les labours d’automne & d’hiver font
les plus profitables. Ibid. b. Cependant les terres fortes Sc
compares qui confervent trop long-tems l’Iumiidité, peuvent
être labourées en été. Au lieu que les terres légères & fablon-
neufes doivent l’être après la pluie, pendant les brouillards,
ou lorfque le tems ert couvert. II faut éviter de faire les
labours d’hiver avant la faifon des pluies, dans les terrciijs
trop en pente, 8c dans les climats où les pluies font fréquentes
6c abondantes en certaines faifons. Ibid. 693. a. Le labour
' d’hiver
rthiver doit être profond , pour que l’eau des pluies puiffe
pénétrer ia terre. Répoiife à l’objeélion contre le labour d’hiv
e r , tirée du prétendu befoin de lairter le chaume (iir la terre
le plus long-tems qu’on peu t, pour fervir de pâture aux
troupc.iux. il ert de la plus grande importance de donner le
premier avant ou pendant l’h iver, ou immédiatement après,
fi les circonrtances ne permettent pas de le faire plutôt.
Conrtdératlons fur le (ècond labour , appelle binage , 8c fur
le tems où il convient de le dojiner. Ibid. b. Du troifieme
labour que nous appelions rebiner. Inconvéniens qui rcftil-
lent du tems où on le fait, lorfque le premier a été fait trop
tard. Son importance lorfqu’on le donne dans le rems convenable.
D u quatrième appelle labour à demeure. Il ii’y a que
ceux qui ont donné le premier avant l’hiver, qui puirt’cjic eu
faire profiter leurs terres. D e la préparation des terres pour
les carèmages ou grains de mars. Le labour avant l’iiiver ,
indifpenfable pour dilpofer la terre à recevoir la femcnce
en février ou en mars. Ibid. 694. .2. Les gucrets qu’on dil-
pofe à emblaver doivent être retournés 8c labourés dans toutes
les fartons, parce que rien ne contribue davantage à la
fertilité de la ter re , que de lui faire éprouver les viciflitu-
des du froid & du chaud, de la fécherelfe 8c de l’humidité.
Comment la frèquen.e des labours fertilife les terres. Utilité
des labotirs profonds. Iis doivent être donnés dans tous les
fen,s. Comment Furius Crerinus fe juftifia de l’accufadoii de
fortilege que lui intentèrent fes voilins, jaloux de laprofpé-
rité de fes terres. Ibid. b.
L A B O U R D , /« ( Gèogr. ) contrée de France dans ia Gaf-
cogne. Ses bornes. Origine de Ion nom PrtJicipaux lieux
de ce pays. Signification du mot Laboiird. IX, 147. />. — Hoye^
Laburdum.
LA BO U R E U R , {Econom. rufîiq.) La Culture d.s terres
eft une e-nrrepriie qui exige beaucoup d'avances. Ce n’ert
point au travail des hommes Jiiéme qu’on doit les grandes
récoltes. Il faut que le laboureur foit propriétaire d’ui; fonds
coiifidérable. De toutes les clalfes de richertes , il n’y a que
les dons de la terre qui fe reprocluifcnt conllamnient, parce
que les premiers befoins font lotijours les mêmes. C ’ert la
terre (eiile qui donne ia vraie richerte. Or ces dons font toujours
proportionnés aux avances du laboureur. Com b i.n il
iinpoite que les yeux du gouvernement foieiit toujours
ouverts fur cette clarté d'hommes imcrelfms. Moyens à employer
pour favorifer ragriculture, Néccrtité d’établir la
liberté d’exportation. IX. 148. a. Liberté dans la culture,
condition nécertaire à fa profpérité. Combien l’inipofitlon arbitraire
nuit à ragriculture. Il faud.o't qu’aucun impôt ne portât
immédiatement fur le iabotiicitr, Ibid. b.
L.iboureur, attention que quelques empereurs Rojnains &
les rois de France ont portée litr les laboureurs. I. 184. b.
185. a. Travaux du labouieur pour chaque mois de l’année.
186. b. 187. a. Eloge de la dafle des labourems. VI, 328. b.
Réllcxions fur les privileges accordés aux laboureurs clans les
enrôlemens de milice. IX, 441. i . Inrtrumens du laboureur.
X l .y iS .é . XV II .3 2 4 .â . — Hoye[\is planches d’agriculture.
L a b OUREU.RS, d/fU des {Myth. ) II. 329. b.
Laboureur, {Jean /r) fa vie & fes ouvrages. X. 689. a.
L A B R A D O R , Ejîotilande, {Gèogr.) pays de l’Amérique
fcptemrionale. Son étendue 8c fa forme. Sa qualité. Ses habitans.
IX. 148. é.
Labrador. Defeription des fauvages du nord de la terre de
Labrador. VIII. 347. a.
Labrador, Merde (G c ,g r .) IX. ,4 8 .1 .
LABURNUM , ( exot.) efpece de cytife. Defeription
de cet arbre. IX. 149. a.
L A B YR IN TH E , {Anatom.) fécondé cavité de l'oreille
interne. Cette cavité divifée en trois parties; le v cihbule,
les canaux dcmi-clrculaircs, 8c le limaçon. Obfervation fur la
qualité de l’os dans lequel fe trouve le labyrinthe. IX. 149. a.
Labyrinthe, defeription de cette partie de l’oreille. XI.
613. a. 617. b. 703. a. 8c des canaux circulaires qu’elle renferme.
II. 584. a. Parties latérales fupérieures de l ’os ethmoïde.
Suppl. IV. l o i . a. Ufage du labyrinthe, i io .b . Foye^ VESTIBULE,
Lim a ç o n , C a n a l .
Labyrinthe, {Arckii. Anùq.) les anciens font mention
deciuatre fameux labyrinthes. 1°. Le Ubyrinthe d ’Egypte. Lieu
où il étoit bâti. Sa defeription. Comment il ert décrit par Corneille.
Rapport des obfervations faites par Paul L u cas ,av e c
ia defeription qu'en a donnée Hérodote. IX. 149. a. Comment
il a été détruit. Railon de la diverfité des relations que
les anciens on ont faites. Ce labyrinthe doit être courtdéré
comme un temple immenfe, dans lequel fe trouvoiem des
chapelles à l'honneur de toutes les divinités de l’E g yp te ,
m.-iis plus particuliérement dédié au folcll. Recherches fur
le prindpe qui l’avoit fait bâtir. 2°. Le labyrinthe de i ’ijî: de
l-rete. P;,r qui q conftruit. Lieu où il fut bâti. C e laby-
r,.n!ie décrit par Ovide 8c par Virgile. Labyrinthe de Crete
ocLrit par M. de Tournefort. Ibid. b. — Il en eft parlé dans les
articles Caverne &. Gnosse. 3°. Le labyrinthe de l ’i(le de
Tome II.
Lemnos. Ce qu’il avo;t de remarquable. Arcliitefles qui 1 avojent bâti. 4^. Le labyrinthe d’h.die. O ù & par qui il Au
bati. Delciijîtioii qu’en donne Varron. Ibid. 150. a.
L A C . ( Htjl. nat. ) Lacs de plufietirs efpeces : les uns reçoivent
de.s rivieres & ont un écoulement fenfible : d'autres
reçoivent des riviere,s & n'ont point d'écouleniont fen-
fible : d’autres ont des écoulemens fenrtbles fans qu'on s’ap-
perçoive d'où l’eau peut leur venir : enfin il y a des lacs
qui ne reçoivent point de riviere 8c qui n’ont point d’écon-
Icmcnt, Ceux-ci ont ou irerpétiiellement de l'eau , ou n'cii
ont qu’en de certains tems. IX. 150. a. Les l.ms varient
pour la qualité des eaux qu’ils contiennent. Dlfi'érentes caufes
qui peuvent concourir à ia formation des lacs, Los inondations
,. les tremblemens de terre 8c les eml rafemcns fou-
terreins. Phénomènes dignes de l’attention des phyfieicns
que préléiuent les hcs. Lac de Neff en Ecorte qui ne gele
jamais. Aimes lacs du même pays qui oft’rcnt la même rtn-
giilanic. Propriétés finguiieres du fameux lac de Circknitz
dans la Carniole. Ibid. b. E.xpiication qu’on en peut donner,
l'iienomenes remarqu.ibles de quelques lacs de Sibérie qui '
fe trouvent entre les rivieres d’irtiscli & de JatL Ibid. l e i \
Lac. Formation des lacs ; quatre fortes de lacs dirtiiv’ uèes;
contrées les plus abondances en lacs fur les montac^nes^ VII
621. b. Lit d’un lac. X V . 934. b. Etïets de la putréArtlon
des eaux fcnfibles fur quelques lacs. XIII. 5S8. b De la
Wure dc5 l;,cs. VII. l . XIV. 5S4. 4. L k fais da la
MeJie-Aiiopatie. X V . 442. a. Lacs d'Ecorte. IX. 637. a.
L.ac d Ecorte qui ne gele jamais. XI. 105. b. L ies r*mar-
quables en Irlande. IX. 699. u. Lac de Geneve , vove?
Leman. '
L a c f.ilè. {Hijî.nac.) Ces lacs commun,? en Ruffie. Singularités
que préfententrun de ceux de RigiÔi celui d’Indevi
Sü/yj/. III, 695. U.
L a c . {Hijl. anc.) Le refpe-rt pour les l es f.ifoic partie
de la ivLgon desaiiuons Gaulois, Relation de quelques-unes
de leurs pratiques à l’égard du lac de Touloufe , & d’un
autre du Gevaudan. Lac des deux corbeaii.x dans les Gaules auprès
duquel on déddoit les différends par le moyen des cor*
be.mx. IX. i5 i .é .
Lac des Loquois , { Gèogr. ) IX. 15 1 .7.
L a c Majeur, {Gèogr.) (a defeription. Etats auxquels il ap-
pament. Riviercsqu’il reçoit. IX. 151./’.
Lac-iMaler, en Suède. IX. 151./».
^ L.ic-Superieur dans l’Ain ‘rique feptentrion.ile. Pourquoi il a
ete nommé lupcricur. Cert le plus grand que l’on connoiffe au
monde.Soiietenduo.lX. 15 1 .7 .
L a c ou Z./a, {Marcch.) IX .i5 2 .tf.
Lac. {Soierie ) parue du métier d’étoffe de foie. Defeription
du Lic ordinaire 8c du lac à l’angloife. IX. 132. a. Foyer
la 65'^ pl, de Soierie. ^ ^
L a c s , f i l de, ( M.mufi. en foie ) VI. 790. 7.
La c s , {Rubanier) ficelles attachées aux marches. Précaution
qu’il y auroir à prendre à l'ég.ard des lacs dans les
ouvrages extiêmemenc lourds. IX. le i .a . Foyer planches
du rubanier. x r
L a c coulant, {Cluifiè) IX. 132. tf.
_ La c , {Pèche) piege qu’on tend aux qifeaiix de mer. Ma*
mere dont fe fut la pèche des oifeaux marins par les pêcheurs
du bourg de l'Egu'illon, dans le reffort de l'amirauté de Poitou
ou des (abk's d'Olonne. IX. 132. a.
Lac d’amour, ( ordre du ) 5tf/9>/. I. 443. 7.
LACÉD ÉMON E. ( Gèogr. ) Eloge de fa valeur & de fon
counge. IX. 132. -, On la nomma d’abord Sp.ine 8c enfuite
Lacedemone. Ibid. b. Foyc^ SPARTE. Sur l’état préfenr de cette
ville. /AyrçMlSISTRA.
L.icèdèmone. Defeription des aqueducs de cette ville. XII.
286._ b. Etuves inventées à Lacédémone. IX. 167. a. Prifon
publique, XII, 303. a. Quartier de cette ville appeilé/»/htf«?,
661. 7. Statues du rire dans toutes les falles des Spartiates.
X IV . 3 00. a. Clnue d’onépartie du mont Taygete fur Lacédémone.
X V . 949. 7.
L acédémone , république de. {Hifi. de Grece) Il femblc
que la nature n’ait jamais produit des hommes qu’à Lacédémone.
On vciioit au monde avec un caraélere de philofophe
8c de citoyen. Un feiil Lycurgue opéra ces merveilles. Il
étoit de la race des Héraclides. Tems auquel il vivoir. Hif-
toiro de ce léglrtateur. Comment il exécuta le projet qu’il
avoir formé de changer le gouvernement de fa patrie. IX.
132. 7. Etabliifement d’un fénat. Comment Lycurgue pourvut
à la maniéré de remplir les places du fénat qui de-
Tiendroient vacantes. Cérémonies qui fe pratiquoient à l’égard
du nouveau fénarcur. Affemblées générales du peuple.
Objets qu’on y traitoir. Divllion du peuple par tribus. Des
rois de Lacédénione. Leur pouvoir. Loi qui leur étoit impo-
fée. Ibid. 133. a. Effets de cette loi par laquelle, brifint
tous les liens de la parenté, Lycurgue déclara tous les citoyens
enfans nés de l’état. Noiive'Ue divifion des terres
Réunion des perfonnes des deux fexes dans les folemnircs
relig’eufes. Soins que donna Lycurgue aux funérailles & au
Y