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& rentre annaelle. Durée des révolutions aitmielles de chaque
planete , felon Kepler. X IV . 237. b.
Revolutions des planctes. Sappl. IV . 400. b. Révolution
■ anonialiflique. Suppl. I. 447. a. Voyei PLANETE.
R évo lu tio n s de U terre, i^Phyftq. 6" Mhiér.ilo^.') événe-
nens naturels p.ir Icfquels la face de notre ^lobe cA coii-
Tinuellcment altérée. X IV . 237. b.
Révolutions de Ls terre. X V I . 163. b. 165. a. 1 7 1 . a , h.
Phénoincnes qui tendent à changer la face du globe. VIT.
623. b. 624. rf , b. X V I . 383. J , b. Révolutions caufées
par les eaux. II. 786. a , b. Eboulemens ou afiailTeinens de
montagnes. Ibid. Révolutions caufées par les pluies, IV .
420. b. par les tremblemens de terre & les inondations. 78. b.
'Boulcverfemcns qui doivent néceffairement avoir altéré la
figure de la terre. VI. 759. 4. Il y a lieu de croire que la
Terre que nous habitons a autrefois fervi de lit à la mer.
V II . 210. é. lAes nouvelles, formées par les eaux & les feux
•fouterreins. VMI. 919. b. &c. Les mines de fel qu’on voit
en Pologne, regardées comme une preuve des grandes révolutions
qu'a fouffertes notre globe. X IV . 917. a. Voyei à l’article
FossiLLE'des preuves des révolutions arrivées aucien-
ïiement .à la terre.
Révolution , (Belles-Lettres^Poéf.) définition.Différentes
«fpcces de révoliuious dans le poëme épique & dramatique.
Suppl. IV . <!40. ,2. Q u e la révolution déclfive foit heureiilc
ou malhcureulé, elle ne doit jamais être prevue par le per-
fonnage intereffé. Des cas oii elle doit être inattendue, 8i de
ceux où elle ne doit pas l’être : réponfe à la diAieuhé tirée
de ce que le dénouement d’une piece connue eA déjà prévu.
PJaifir donc l'e privent, à la repréfentation d'une piece de
théawe, les vains raifonneurs & les froids critiques. Moyens
d’intéreffcr le fpeéhteur au dénouement, malgré la connoif-
fance qu'il en a. Ibid. b. Différons moyens employés pour
produire la révolution. Ibid. 641. j . Des cas où l’événement
doit être nccelTaire, & de ceux où U ne doit être que vrai-
■ femblable. R.iiron qui permet de prolonger un dénouement
fuiicAe , & qui oblige à prelîcr un dénouement heureux.
Ibid. b. Voyei CATASTROPHE , DÉNOUEMENT , INTRIGUE ,
Reconnoissance.
Révolution : (^Horlog.') ufages des engrenages. Quejlion.
La premiere roue étant donnée , quelle que foit la force
qui la meu t , trouver la derniere roue qui faffe tel nombre
de révolutions qü’on voudra , pour une de la premiere. Un
des grands objets de cette queAion, cA de trouver le nombre
des roues intermédiaires , dont les differens rapports multipliés
les uns par les autres, donneront le rapport demandé.
Le plus petit nombre de roues qui pourra fatisfaire à la quef-
lion , eA celui qu’il faudra employer. Méthode de raiireur
pour trouver ce nombre. Avantages de cette méthode. X IV .
238. a. Exemple apporté en preuve. Exemple par lequel
l’auteur multiplie les roues &. les révolutions intermédiaires,
fans augmenter celles du dernier mobile. QjieJUon. Le nombre
de révolutions de la derniere roue étant donné , trouver
une roue intermédiaire qui faffe un nombre fixe de révolutions
pour une de la premiere. Maniéré de réfoiulre cette
queAion. Ibid. h. Quejlion. Trouver une roue qui fnife une
telle partie de révolutions qu’on voudra pour une de la
premiere. Solution. Ibid. 239. a. Quejlion. Le plan des révolutions
d’une roue ét.mt donné , trouver telle incünaifon
qu’on voudra relativement à lajiremiere roue. Ibid. b.
R E U S , (ia /ig. lut.) fignincation de ce mot. X V I I .
412. b.
RÉU SSITE , Succès: (Synon.) différence dans l’ufage de
ces mots. X IV . 239. b.
R E V U E , ( milit.) revues des troupes par le général
d’armée , X IV . 239. b. par le colonel, par les infpcéteiirs
de cavalerie & d’infanterie , par les commiffaircs des guerres.
Extraits que ces commiffuires doivent faire de chaque revue.
Ibid. 240. a.
Revue, MONTRE. X , 690. b. Revue générale des
troupes chez les Romains. I. 696. b. Conimiffaire général
des revues. III. 710. b.
R É V U L SIO N , ( Médec. Chir. ) moyen employé pour eau-
fer une revulfton , lorfque le lang le perd abondamment
dans une blelTure dangereule. Révulfions d’immcurs , caufes
de maladies fubites. XIV. 240. a.
Révulfion. L ’eppofé de la révulfion eA la dérivation ; ces
termes font employés pour exprimer les effets de la faignée.
IV . 868. b. Révulüon du fang dans la faignée. XIV. 307. a.
Révulfions obtenues par l’applicaiion des véficatoires , voyer
cet article. La révulfion eft une des caufes du développement
des parties de l’embryon. I. 333. a. Suppl. IIL
73. b.
R E X , princeps : ( Littérat. ) chez les Latins, les termes
fle principatus & regnum , font ordinairement oppofés. C e pendant
ils fe confondent auffi trés-fouvent. Les chefs des
Lacédémoniens , fous la dépendance des éphores, étoient
appelles rois. Chez d’anciens petiples il y avoir des rois qui
c e gouvernoient que par ia deference qu’oD avoir pour
R H E
leurs confeils. X IV . 240. a. Certains magiArats dans quelques
républiques étoient appellés rois. Et les empereurs romains
furent appellés du fimple nom de princes. Ibid. b.
R E Y , ( Géogr. ) ville de Perfe. Sa longitude & fa latitude,
Obfervations hiAoriques fur cette ville , aujourd’hui ruinée.
X IV . 240. b.
RE YN E AU , (Charles-René') Son ouvrage fur l’analyfe 1
401. U. IV . 387. U. ‘
REYNESIUS, Sa patrie, fes ouvrages. V IL 748, é;
R H
R H A BD OM AN T IE , vojrç Rabdomantie.
RHACH ITIS , ( Chir. ^ caufes de cette maladie , qui attaque
les os des enfans. Ses fymptomes. Son traitement A
cet a r tic le , tiré de Chambers, raurcur a joint les additions
fuivantes. XIV. 241. Symptômes du rachitis. SyAème de
GlilToii fur cette maladie. SyAème de M a g ow , adopté par
M. Petit. Caufe de la courbure & de la mulleffc des os
félon ce dernier. Ibid. 242. j . Caufes primitives qui paroif-
fent pouvoir agir fur les enfans en altérant leurs humeurs.
Des moyens de prévenir le r h a c h i t i s . b. Foyer Rachitis. ’
RH A D AM A N TH E , (Aiy ikol.) un des trois juges des
enfers. Son équité Si fou amour pour la jufiiee lui valurent
cet honneur. Scs fondions décrites par Virgile. XIV. 242. h.
Rhadiimantc, légiflateur des Crétois , V IL 909. a. juge des
enfers. iX . 7. a.
RHADA.MISTE , (Ehfl. anc.) fils de Pharafmane, rot
d’Ibérie. HiAoire de ce prince. Suppl. IV. 641, b.
RHADES, (Joachim-Jacques) phyfiologille.i'aroÉlV. 362.<r.
RH.^DI-BELLAT , calife arabe. Suppl. I. 1 3. b. Suppl. II.
13 I. m
RHÆ A S , ( A/e’.f^c.) confomption de la caroncule lacrymale
, fiuîée dans le grand angle de l’oeil. Caufes de cette
maladie. Remedes. X IV . 242. b. Foye^ R h y a s .
RH AG AD ES , ( Chir. ) Amtes , crevaffes ou gerçures qui
furvicnnent aux levres , aux mains, à l’anus & ailleurs.
Caufes des gerçures des lèvres. Comment on les guérit.
Rhagacies du fondement, leurs caufes Si leurs remedes. XIV.
243. a.
RhaGades, herbes aux. (Botan.) VII I. 147. i.
R H AM N O ID E , (Botan. Jardin.) noms de cette planfè
en différentes langues, fon caraélere générique. î9cfcription
& culture de deux de fes cfpeces. Lieux où elles croiffent.
Ulages qu’on en peut tirer. Suppl. IV . 642. rf.
RH AM N U S , ( Géogr. anc. ) bourg de l’Attique. X IV . 243.
a. Temple de Néméfis au-deffus de ce bourg. Obfervations
fur Amiplion , orateur athénien , né à Rhamnus. Ibid, b,
Foye^ T auro-C-astro , nom inoclerne de ce lieu.
R H A P O N T IC , (Bot. exot.) dcfcripiion de cette racine.
Celle de la plante. X IV . 245. b. Lieux où elle croit. Ses
propriétés. Ibid. 244. <2.
Rh.ipontic, en quoi cette racine différé de la rhubarbe.
X IV . 262. 22.
RHAP SOD ES, (Bclles-lctt.) ceux dont l'occiipaiion étoit
de chanter ou réciter des morceaux des poèmes d'Homere.
Origine du nom rhapfodes qu’on leur a donné. Autres rhap-
focles plus anciens. Pourquoi les rapfodes fe bornèrent depuis
Homere à ne chanter que fes vers. X IV . 244. a.
RH A P SO D IE , (Bellcs-lctt. ) ancienne fignification de ce
mot. Sens odieux qu’on lui donne aujourd'hui. Bévue où
M. Perrault cA tombé fur Rome, en prenant dans le fens
moderne le nom de rLipfoJie, donné aux ouvrages de ce
poète. Obfervations de M. Defpréaux fur cotte erreur de
M. Perrault. X IV . 244, b.
RH A P SO D OM A N T fE , (D iv in .) forte de divination.
Comment elle fe faifoit. X IV . 244, b. Foye^ Sorts d'Homere,
Sorts de Virgile.
RH A S È S , I uédecin, Foye^ R asés.
RHÊA , ( Mythol. ) femme Sc foeur de Saturne. On croit
que Rhea étoit dans fon principe la reine d’Egypte I fis , qu’on
a revêtue dans la fuite de plufieurs noms , & transformée
en autant de divinités. Cette déefîe étoit honorée en Plirygic.
Son tranfiJbrtdePeffinunteàRome. X lV . 245.22. Tvyc-^Ops.
RHEBAS , (Geogr. anc.) riviere de Bithynie. XIV. 243.
a. Son nom moderne cA Riva. Defeription qu’en a donnée
M. de Tournefort. Ibid. b.
R H E D U A I , ( Antiq. ) voiture romaine. Suppl. II. 1 16. n-
R H E G IU M , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie chez les Bru-
tiens. Révolutions Si différens noms de cette ville. S. Paul
y aborda l'an 61. Obfervations fur quelques hommes célèbres
nés à Rhegium , favoir Agatliociès, tyran de Sicile,
XIV. 243. b. le poète Ibiciis , Hippias 8c Lycus , tous deux
liiAoriens. Le nom moderne de Rhegium eA Reggio en Calabre.
Ibid. 246. a.
RHEIMS , ( Géogr. ) ville de France. Origine de fon non3.
Elle s’appelloit Duroncoun en langue gautoife. Obfervations
fur l’auciciine Rheims. HiAoire de cette ville. XIV. 246. a.
Origine du privilege donné à l’archevêque de Rheims de fij'
M
R HE
crer les rois de France. Son égiife métropolitaine. Abbaye de
S. Remi. Sieges établis dans cette ville. Obfervations Air les
favansqui font nés à Rheims. François Lange. Pierre Lale-
ment. Nicolas Bergier. Coquillart. Dom 5imon. Mopinot.
Ibid. b. Henri de Monamheuil. Pierre Reffant. Dom Tiuerry
Ruinart. Ibid. 247. a.
Rheims, prefqiie toute cette ville bâtie de pierre de craie.
IV. 427. b. Infcription que le P. le Franc fit graver au
frontifpice du portail des cordeliers de Rheims. XII. 637.
b. Sainte ampoule de l’églife de Rheims. I. 380, a. Qualification
de premier pair de France que fe donnoit l’archevè-
que de cette ville. XI. 759. a. Sa prétemion fur la charge
de chancelier de France. III. 88. a. Foye[ Reims.
Rheims , concile de /’.m 1148 , tenu à, ( Hiß. eecl. ) D étails
& obfervations fur ce concile , tirés de l’abrégé chronologique
de l’hiAoire de France. X IV . 247. a.
RHEIN , ! e , ( Géogr. ) grand Aeuve d'Europe. Voye^ Rhin.
Ses foiirces. Autres fleuves qui tirent leurs f'ources prés de
celles du Rhin. Defeription de fon cours. Paillettes d’or qu’il
roule dans fon fable. Cercles de l'empire auxquels il donne
fon nom. Obfervations d’Horace fur la maiivaife peinture
que le poète Furius avoir donnée des fources du Rhin, XIV.
247. b. Origine du nom de ce fleuve. Sa figure fe trouve
fouvent fur les médailles, Ibid. 248. a,
Rhein, du cours de ce fleuve. Suppl. TV. 79. b. Sa cata-
raéle au-deffous de Schaffoulc. IX. 314. a. Suppl. T>'. 733 a.
Obfervations fur le vin du Rhein. X V II . 291. a ,b . Bras
du Rhein appelle Vahal. XVII , 383. b. Enueprife que les
Efpagnols avoient faite de détourner le cours de ce fleuve.
X V ll. 16. U. Ponts militaires jettes fur le Rhein. Suppl. II.
842. b.
Rhein, différens lieux de la Sulffe ou de l’Allcaingne qui
tirent leur nom du voifinagc où ils font de ce fleuve.
Rheinaw, petite ville de Sulffe dans le Turgaw. Rheinberg,
ville d’Allemagne. Rheinegg, deux villes de ce nom , l’une
en Siiiffe, l’autre en Allemagne. Rhcinjalden, ville de Souabe.
Rhcinfels, château d’Allemagne. X IV . 248. a. Rheinland, pays
de la fud-Hollande. Le , vallée de la Sxù^i. Ibid. b.
RHEIN W A L D , ( Geogr. ) grande vallée au pays des Gri-
fons. Obfervations fur les montagnes qui 1 environnent.
Moeurs Si genre de vie des bergers qui les habitent. XIV.
248. b.
R H E M I , (Géogr. a/zc. ) peuples de la Gaule Belgique.
Quelles -étoient leurs villes principales. X IV . 248. b. Foyei^
R£MI.
RH EM O BO TH E S , (Hiß. eccl.) faux religieux qui parurent
au quatrième fiecle. X IV . 249. a.
RH E N A N ü S , (Bc.itus) théologien. X IV . 761. a.
RH EN É , (Géogr. anc.) ifle de la mer Ég .ie, nu voifi-
nage de celle de Délos. Elle fcrvolt de cimetiere aux habitans
de cette derniere. Plutarque parle de ta Rlieué dans la vie
de Nicias, lorfqu’il raconte coimnent ce capitaine athénien
établit l’ordre parmi les nuificiens que les v'illes grecques
envoyoient à Délos pour chanter des hymnes 8c des can-
tiqiies à Apollon. X IV . 249. a.
RH É TEU R , (Belles-leitr.) énumération des plus célébrés
rhéteurs, tant des grecs que des latins, Si des peres de l’é-
gÜfe, X IV . 249. b.
Rbéiettrs d’Aihenes. Comment ils contribuèrent à la chute
de l’éloquence. XI. 364. a , b. 365. a. 939. a. Ouvrages des
rhéteurs modernes. "V. 326. b.
R H É T IA , ( Géogr. ) bornes de ce pays , Suppl. IV . 642.
a. qui répond en grande partie à celui de-, grifons. Les Rhe-
tes fournis aux Romains par Dru fu s, & fon freie Tibere.
Vin rhetique dans le territoire de Vérone. Ibid. b.
R H É T IE , (Géogr. anc.) contrée d’Europe d.uis les Alpes.
Origine de fes peuples, Si du nom qu’ils donnoient au pays.
Divifion de cette province. Ses bornes 8c fon étendue. A lpes
Rhetiennes. XIV. 249. b.
Rliétie. Obfervations fur les peuples de ce pays Si fur leur
origine. XIII. 813. b. X V I I . 306. b. Vin de Rhètie. 290. b.
RHÉTORIENS , ( Hiß. eccl. ) hérétiques qui s’élevèrent
en Egypte dans le quatrième fiecle. Leur duftrine lUonPhi-
laAre. XIV. 230. a.
r h é t o r i q u e , (Bellcs-lctt.) art de parler avec éloquence
8c avec force. Origine du mot Rhétorique. Selon le 1. Lami, la rhétorique renferme tout ce qu’on appelle en
françois belles-lettres, Sc en grec philologie. Utilité de la rhétorique
par rapport à la philofophie, à à toutes les feien-
ces X IV . 230. a. Définition de cet art par le chancelier
Bacon. Cclies d’ArlAote 8c de Voffius. Divifion générale de
la rhétorique. La rhccoriquc cA à l’éloquence, ce que la
théorie eA à la pratique. Sans le fecours de la nature, fes
préceptes ne font d'aucun u fage, mais ils aident la nature 8c
la fortifient, en lui fervant de guides. Ibid. b.
Rhétorique, réflexion fur cct'art. I. x. dife. prèlim. RJié-
torique d’AriAotc. I. 633. b. V. 329. b.
Rhétorique, claffe où l’on eufeigne aux jeunes gens les
préceptes de l’arc oratoire. XJY. 230. b.
R H O 595 Rhétorique eiifcignée d.ins les colleges. III. 633. a. 637.
a. Quels doivent cire les exercices de rhétorique pour les
jeunes gens. VI. 92. b. Déclamations de rliétoriquc. Suppl,
H. 686. a , b.
R H E T R A , (Géogr.) ancienne ville d’Allemagne dans la
Meckicmboui^. Pieces d’antiquité trouvées dans le lieu oii elle
étoit fiiiiée. Ouvrages à coufulcer fur ce fnjec. RhadegaA
premier dieu de Rhctra. Comment on le repréfentoit. SuppL
IV. 642, b.
RHEXIS ou Rhegrna, (Chirurg.)ccW crcvc Ou rompu. La
chirurgie , dans un cas fi triAe , ne peut que remédier aux
défordres qui accompagnent ou qui fuivent ectre bleffurc.
Remedes qu’elle emploie pour ccc effet. X IV . 231. a.
Rhexis, différence entre cette maladie de l’oe i l, Si cella
qu’on appelle fynchife. X V . 746. b.
R H IN , (Mytholo^r.) Les anciens Gaulob honomient co
fleuve comme une divinité. Epreuve qu’ils faifoiciu fur fes-
eaux pour s’afiurer de la fidélité de leurs femmes. X IV .
23 r. U. — L’article de ce fleuve fc trouve au mot ./2/iri/z.
Rhin, ( Géogr. ) cercle clcéioraldu bas-Rhin : cercle électoral
du haut-Rhin. IV . 70. b. Suppl. I. 311. b. Cotntes palatins
du Rhin. 309. b.
RH IN O C ÉR O S , (Ornithol.) oifeau dos Indes. Deferip-
ti;>n de fon bec , qui cA la feule partie qu’on en connoiffe.
X IV . 251. b.
Rhinocéros, (Zoolog.) Defeription de l’animal de ce
nom. Lieux qu’il habite. XIV. 231. b .~ C o t animal repré-
feiué , vol. VI. des pl. Rjgne animal, pl. i.
Rhinoceros. Ce t animal appellé abada dans queloucs oavs
d’Afie. Suppl. \. 6. b. 'i 't t' J
Rhinocéros, (InfcRol.) infeAe. XIV.2 32. a.
RH IN O C ü LU R A , (Geogr. anc.) ville d’Egypte ou de
Palcftine , dont le nom fign.fie les narines coupées, parce que
fes anciens habitans furent ainfi mutilés. XIV. 23a. a.
RHINTO NIQ UE S , fables du poète Rhinton. Autre piece
de ce poète. VIII. 208. a.
RHÎPHÉES, les monts ( Géogr. anc. ) montagnes de la
Sarmatie. Ces montagnes diflinguées par Virgile, des monts
hypcrborccns. Les anciens n’ont jamais connu les monts Ri-
phées, dont ils parloicnc tant. Divers fentimens fur le lien
Si U fituation de ces montagnes. XIV. 232. a , b.
R H O D A , (Geogr. anc.) ville dc l’Efpague larragonoife.
aujourd’hui la ville de Rofes. Infcription trouvée dans ce
lieu. Autre ville du même nom dans la Gaule narbonnoife,
X IV . 233. a.
R/ioda , ville de la Gaule. Suppl. IV . 9. b.
R H O D E , ( Géogr. anc. ) fleuve de la Sarmatie européenne^
X IV . 233.
RH O D E S , bois de. (Botan.) Defeription de ce bois. Erreurs
où l’on eA tombé fur le lieu de fon origine. Nous recevons
d’Amérique deux bois différens, fous la même dénomination
de bois de Rhodes; l’un nous vient de la Jamaïque,
Si 1 autre des Antilles. Defeription de ces deux fortes \
ae plantes. Uf.;ge de celui des Antilles. Huile qu’on en tire,
appellee huile de Rhodes X IV . 233. é.
Rhod.s, bois de Rhodes. II. 308. a. Raclue de Rhodes.
X l: i. 747. <7.
Rhodes, marbre de (Litholog.) X IV . 234. a.
K eiodes, ( Géogr. anc. & mod. ) ifle de l’ATie dans la me»
Méditerranée. Différens noms qu’elle a eus. Quelles étoient
fes principales villes. HiAoire de l'iAe de Rhodes. Célébrité
dont elle a joui par les beaux arts qui y ont fleuri, par fa
niirine, par fon commerce, par l’équité d e fe s lo ix , 8c par
fa piiiffancc. La gloire de cette ifle exaltée par le poète Pin-
dare. XIV. 234. a. Obfervations fur les hommes célébrés
qu’elle a produits , 8c furies ouvrages de ceux qui d’emr’cux
lé font difliiigués dans les feitrcs. T imocréon, poète dc l’ancienne
comédie. Panættus, ph'flofophe Aoïcien. CaAor le
rliodicn , célébré chronologue. Il fait mention dans fes écrits
d’un changement bien fingulicr, qui fut obfervé fous le
regiie d’O g y g è s , dans la couleur, dans la groffeur, dans U
figure , Si dans le cours de la planete venus. Ibid. b. DiÔé-
rcntcs conjeAures propofées par Hevelius, Si par M. Ferr
e t , pour expliquer ce phénomène. Suite des liommcs il-
lüAres de Rhodes. Andronicus, philofophe péripaiéticien.
Diagoras, le plus fameux athlete du monde. Ibid. 233. a.
Meninon , général d’armée de Darius, dernier roi de Perfe.
Ibid. b. Obfervations fur Barfene, femme de Meinnon. T i -
moAhene le rhodien. Clitophon,géographe. Diognetc. Hippar-
que »mathématicien. Aniagoras, poète. Soficratc. Ibid. 236. a,
Rhodes , ancienne ville de cette ifle , nommée Lindes.
I X . 3 3 4 . r t , i . Les Rhodiens fous la proteAion de Minerve.
X. 343. a. X V I . 76, a. Fête qu'ils célébroient en l’honneur
du foleil. VII I. 28. b. Siege de Rhodes par Dcinéirius Po-
liorceies. Suppl. IV. 238. a. Les Rhodiens s'appuient de
l'alliance des Romains, contre les Carthaginois. 111. 691.
R h o d e s, colojfe de. (A r t flaïua'ire anc.) Cet article eA
rempli par la defeription de Pline, 8c le commentaire qu’erj
a donné M. le comte de Caylus. X IY . 256. a. Pourquoi
. 1f l
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