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ro'hes Leur art Si la tradition lur laquelle il ètoit lunde ,
u’ .dloii pas plus loin que la levure de l’écriture. X- iy^.^.
Ce t art établi k'iou eux par une conftmition de j'io i le , tu_r
1.1 montagne de Sinai. La véritable manière do lire la lo i , 6i_la
véritable explication, contenues, lelon les doileiirs Jud»,
da^^ la mafore’ix dans la cabale. Excès ridiade auquel ceux
qui ont compofé la lualbre, ont porté leur amour pour les
minuties. UiJ. h. , . , ^ , i
Maforethis. Article Air ces doreurs. T. <j6. a. On les regarde
comme inventeurs dos accens & de la ponéluation, dans la
langue hébraïque. I. 6^. Z--VIII. 78. U. .
M.\SQUE.A- thca:n,{Hip. du thé.it. des .;mr.) Defcnpnon
de ces nuAiucs. Ce ne hit d’abord c|u’en ie barbouillant le
vil'age, que les premiers aftciirs fe déguii'erent. X. 172. i>. Ils
s’avd'erent dans la Alite de fe faire des efpeces de mafque avec
des feuilles d’arôion. Enfin la néceffité où fe trouvèrent les
aéleurs de repréfemer divers pertonnages, leur fit inventer
les mafques dont nous parlons. Recherches lur celui <[ui en fut
l'inventeur, Noms de ceux qui mirent les premiers au théâtre
quelque cfpecc de mafque paniculicre. D e la matière dont
ces mafques ctoiem faits. Trois fortes de mafques diflingués
par Pollux , les comiques, les tragiques, & les fatyriques ,
auxquels on peut ajouter ceux des daiifeurs. Ibul.^ 75. u. Trois
autres genres de mafques , favoir ceux qui reprcfeutoient les
perfonnes au naturel, ceux qui repréfentoient les ombres,
Sl ceux qui fervolcnt à Lnfpirer la terreur. Obfcryations fur
les termes par lefquels on exprimoit ces trois differens maf-
qiies dans la langue grecque. Dans la lu itc , tous les genres
furent confondus. Les anciens penfoient que chaque per-
fonnage devoir avoir une phyfiononiie abfoliunenc efiemielle
à fon caraélere. Ibid. b. Ces malques couvroient toute la tête
de l'aéle-ur. Avantage de ces mafques fi exaélemcnt adaptes au
carafterc des differens perfonnages. Utilité des mafques a deux
vuages. Vrailéniblance que les mafques mettoient dans ces
piecc-s oii le noeud liait de l'erreur, qui fait prendre un per-
fonn :ge pour un autre. Ibid. 174. .t- Commodité que don-
noient les nuifqucs de pouvoir faire jouer à des hommes des
rôles de feinmcs. Aventure arriv'éc à un comédien nommé
Polus , jouant le perfonnage dEleélre. A l’aide des mafques
nn iniroduifit toutes fortes de nations étrangères fur le tliéntre.
Comment ces mafques donnolcni heu aux amans de faire des
galanteries à leurs maiireifcs. Dans l'ancienne comédie grecque
qui fe donnoit la liberté de jouer les citoyens vivans , les
afteiirs portoient un mafque qui relTeinbloit à la pertonne
qu’ils repréfentoient. Ibid. b. Ineonvéniens attachés à Itilage
des mafques. Les cométlieiis ne pouvoient pas rendre lenfifcles
fur leur vifage les figues des pallions. Obftacle que _1 ulàgc du
rouge mec aujourd'hui à rexprelfion de certaines afteélions de
l’aine. Les ineonvéniens du mafc[iie rendus moins fcnfibles à
caufe de la v.iAe étendue du théâtre des anciens. La concavité
des mnfcpies fcrvolt à augmenter le fon de la voix ; Tou-
verture de la bouche étoit excclAve : avantage qu’ils en reti-
roienc. Ibid. 17^. u. Les afleurs des anciens jouoient à la clarté
du jour. Conféqucnce que l'auteur en tire en faveur de 1 ufage
du mafque. Les mafques répondoient au reAe de riiabillemuu
des aéleurs , qu'il fal'oit faire paroitre plus grands & plus gros
que ne le font lei hiunmes ordinaires. L ufage des mafques
a fubfifié long-tems fur nos théâtres, & Aibfific encore au
théâtre de la comédie Italienne. Auteurs modernes qui ont
travaillé à éclaircir cette partie de la littérature qui regarde les
mafques de théâtre de Tamiquité. Ibid. b. Livres perdus de
quelques écrivains de l’antiquité qui avoient écrit fur ics
théâtres 8c furies repréfemations. Etyni. du mot mafque. Ibid.
Mafques. De leur ufage fur les théâtres des anciens. IV.
680. b. Pourquoi cet ufage fut établi. V IL 651. b. Suppl. IV.
2^1. b. Trois fortes de mafques qui éroient admis fur le théâtre
des Grecs. VII. 744. .-r. Mafque des pantomines chez les
Romains. XI. 828. a. Pourquoi le mafqiiC Ait appellé perfona.
XII. 431. a. Les miifques devroieiic être bannis de nos danfes
de théâtre. V IL 632. a. Mafque fymboliquc. X V . 729. b.
Masque de f e r , homme au, {Hiß. mod.) V l i l . 224. a.
Masque , (C/fir. ) bandage qui fert principalement pour
les brûlures du vifage. Sa defeription. X. 176. a.
Masque , ( Jrchii. ) tète fculptce 8c placée à la clé d’imc
arcade, lléfle.xions contre cette forte d’ornement dont Tulage
offenfe le bon goût. X. 176. a.
Masque, (fArquebuf.) poinçon ou cifeîet gravé en ci'cux,
8c qui reprefenre diverfes têtes d'hommes ou d’animaux. X.
176. a. Defeription do ces cifelets. Comment on répare le
mafque lorfqu’il eA frappé. Ibid. b.
Masques, {Peinture') faces humaines dont les peintres
8c fculptetirs ornent leurs ouvrages. X. 176. b.
M A S SAD A , ( Géogr. fie r .) fortereiïe de la PaleAine. Cette
place fortifiée par Hérodc-le-grand. Coups de défefpoir d’Elcu-
zar , & des Aens qui défendoiem MaAada après la dernière
guerre des Juifs contre les Romains. X. 176. b.
M A S SAG E TE S , le s, {Géogr. anc.) Ces peuples placés
diverfcinent par les anciens hiAoriens. X. 177. a. Poyei^
Saces.
M AS5A L 1EN , {Tnèoîo".) nom d’anciens fcciaircs qui
croyoient qu’il fallait touiours être en prière. Deux fortes
de MaAiiliens , felon S. Epiphaiie , les anciens 8c Ics^ noti-
vcatix i les premiers ètoient païens , les féconds chrétiens.
Erreurs pernicieufes que c eu x -c i ajouioient à une oifiveté
condamnable. X. 177. a. Loix faites cmitr’eux. Ibid. h. Voye^
Enthousiastes.
MASbANKRACMES , {H Iß. mod.) premier ordre du
clergé de Camboya. Quels lont les trois ordres de pvenes
reconnus chez ce peuple. X. 177. b.
M A S SE , {Phy jiq.) DiA'ércnce entre la mafic 8c le v o lume.
On juge de la malTe par le poids ; expérience dé Newton
fur laquelle cette propofuion cA fondée. DiA'érence entre
la malle 8c la denfité. Il s’en faut beaucoup que la mafié ou
la quantité de matière des corps n'occupe tout ie volume de
ces memes corps. X. 178.
Alaffe. Sa mefure. X. 409. a. Rapport des mafles de deux
corps. IV . 8t3. b. Force d’inertie proportionnelle à la miiire
des corps. X. 833. b.
M.iß'es dont les anciens fe fervolcnt dans leurs exercices.
V I I L ’32. a. l’article ARMURIER, vc!. 1. des planch.
8c Fourbisseur , vol. IV. planch. I. Sc l’article Massue,.
Maf'e , ferment .i. X V . 91. a.
Maffe , terme d’hydraulique , de pharmacie , de marine
& de commerce. X. 178. a.
Masse , ou Chaife , ( Monnoy. ) Monnoie d’or. Pourquoi
elle fut appellee mäße, chaife, 8c loyal dur. Valeur de cetie
nionnoicfous Philippe-le-Bel, 8c fous les (ucceAcurs. X. 178. /’.
Maffe, terme d'architeflurc, de bourrelier, de charpentier,
de charron, de graveur en pierres fin es , 8c du jeu de billard.
X. 178. b.
Maffe de lumière , en peinture. X. 179. a.
Masse de plumes, {Plumaff.) X. 1 7 9 . ‘t-
MassE, {Sculpt.) X. 179. a.
Masse de ir,vne , { Ai.irch. de fo ie ) X. 179. n.
Masse, {Tailland.) X. 179. a.
M A S SE L , terre boLure de , { Hiß. nat. ) CnraélerOS de cette
terre. Lieu où elle fe trouve. Incertitude Air l’origine du plomb
natif de MalTel. X. 179. a.
M A SSETER, {Anatom.) imifcle de la mâchoire. Sa def-
criptiön 8c fon ufage. X. 179. b. V o y ez Suppl. III. 862. a.
M A S S IA , {Hiß. mod.) petits oratoires chez les Japon-
nois. Quels font les hommes qui les deiTervent. X. 179. b.
M A S S ICO T , ( Chym. & Peint. ) chaux de plomb dont
les anciens le fervent pour peindre en jaune. Comment on
forme le mafiâcoc. Quelques autres diAinguent trois efpeces
de maAîcot, le blanc , le jaune , 8c le doré. Maffieot, com-
pofuion qui fert de bafe à la couverte ou aux vernis dont
on couvre la fayence. Compofition Si ufage de ce mélange.
X. 179. b.
MASSILIENS , ( Hiß. eccl. ) voyc^; Semi-pelagiens. X IV .
943. b.
' MASSILLON , ( lean-Baptiße) célcbre prédicateur. VÎII.
zo^. a. Figure hardie qu’il employa dans fon fernion An le
petit nombre des élus. V . ^30. b.
M A S S IN , {H iß . mod. Jurifpr.) nom donné dans l’ifle de
Madagafcar aux loix du pays. Détails lur les trois fortes de
loix obfervces dans cette ifie , nommées maffin-ddi, maßin-
poch , 8c maffin-tane. X. 1 80. a.
MAS S IN G ER , {Philippe) poète Anglois. X IV . 371. b.
M.ASSINISSA, {Hiß.anc.) tils de G e la , roi des Malïy-
liens. Tableau de fon regne. Suppl. III. 859. b.
Al.tjßr.iß'a , roi des MaTylliens. XL 283. b. Scs guerres avec
Syphax. Suppl. IV. 838. a.
MASSIQUE , ( Géogr. anc. ) Monr-Maiïique dans la C.tm-
panie. Vin Maifique ; éloge qu’en font Horace 8c Martial.
Noms modernes de ceitc montagne Si de ce vin. X. 180. a.
Maßiqiic , vin de. X V I I . 299. a.
MÀSSCELICIENS, voyc^ Massyuens.
M A S SOLA C , ( Geogr. ) un des anciens palais des rois de
France. X. 180. a. Evenemens arrives dans ce palais. Lieu
où il étoit bâti. Son nom eA reAé à deux villages contigus.
Ibid. b.
M A S SO N , {Antoine) graveur. V IL 868. b.
Masson, {Innocent le ) pere général de 1 ordre des chartreux.
XI. 274. a. Obfervations fur les annales qu’il a écrite»
de fon ordre. Suppl. II. 371. b.
M ASSORE THE S, voyer Masore & Masorethes.
MASSOURE , {Geogr.) petite ville d’Egypte près de
Damiette. Sanglant combat qui s’y livra en 12 4 9 , entre
Tarmée de S. Louis 8i celle des Sarrafins. Le roi y fut fait
prifonnier , Si Damicce enlevée, Suppl. III. 860. a.
MASSUE , ( Lin. ) fymbole ordinaire d’Hercule. Maffuc
de Thcfée appellee épidauricnne. X. 180. b. ■
Maffues des anciens. XVII . 783. a. Celles de Roland &
d’Olivier. V I. 239. b. Voye:^ Masses.
MASSYLIENS , {Géogr.) divifion des Numides en deux
nations • les Mal^liens Si les MaAoeliciens. Contrées qu’elles
occupolent. MamnilTa réunit toute laNumidie fous fa dominiulo
»
MAS M A 193
n-iilon. ap«s qnc Sypl.a>t, roi <l=s Mrfarlicions, eut h i
dénoodlé de fon royaume. Suppl. iiL 060. b.
'm a s t i c , ( Hiß. des drogues ) lentilquos de difiérentes
contrées d’où découle cette réfmc. Lieux d’où i'on tire le
nnliic qu'on débite aujourd’hui. Pourquoi les leinifques de
îotules pays ne produifeiupas du mafiie. Précautions à prendre
pour en avoir beaucoup. X. 180. b. Soin qu’exige l’entretien
de ces arbres, Du rems 8c do la maiilei e de lecueillir le
rir.Aic. Les arbres qui fourniffent la réfine de maAic dans
les iAes de l’Archipel, ne peuvent appartenir qu’au grand-
A:i'’ neur- Peine infiigée à un habitant furpris portant du maAic
dcUi récolte dans quelque village. Prérogative accordée aux
I.abirans des lieux où 011 le recueille. Les lentifques fembleiit
faits pour la gloire du grand-felgneur , qui jouit des pays où
ces arbres donnent le maAic fans culture. La récolte entière
C'A dcAinée pour la capitale de Tempire , 8c par conféquent
la plus grande partie pour le ferrail. Ib’.d. 181. tf. Uiage cju en
font les iemmes du fultan. Officier auquel chaque village doit
livrer ibn coniinocnt de maAic. Vexations de ccr officier.
Droits qu’il retire , lui Si fes commis. Ce que font les luibi-
tans qui n’ont pas affbz recueilli pour payer leur contingent,
& ceux qui ont recueilli au-delà de ce qu’ils doivent. D ’où
nous vient le peu de maAic de Scio que nous avons en Europe.
.Sa qualité. Quantité de celui du levant qui nous vient par
la voie de Maifeille. CuifTcs de maAic que l’on peut acheter
ù Sinyrne. Choix du meilleur. Ibid. b. Faux maAics que
vendent les droguiAes 8c qu’emploient les ouvriers. MaAic
noir d’Egypte. Principes dont le maAic cA compofé. Ufage
qu’en faifoient les anciens médecins. Propriétés que lui attri-
]>uem les modernes. Scs différens ufages à l’intérieur 6c à
Textéiieur. Son utilité dans les arts. Ibid. 182. a.
Al.ißic. Arbres du Bréfil d’o ù . l’on tire les maAics. VIII,
537. b. MaAic pour la mofaïque. X. 747. a. Sorte de maAic
appellé riimi par quelques anciens. X IV . 434. b. MaAic pour
le verre qu'on veut travailler au tour. X V II . 99. b.
Alaßic. Préparation d’ un maAic pour du verre caAé. Suppl.
111. 860. b.
M..XSTIC , terre, {H iß . n<it.) X. 182. b.
Mastic , ( ALiçon.) Différentes poudres qui, mêlées avec
la chau.x , joignent fi fortement les pierres enfemble, qu’il
eA impoAlblc de les dcfiinir. IX. 823. a , b. f'oye;;_ Ciment.
Ma s t ic , { Hydrauliq.) X. 182. a.
M A S T IC A T IO N , {Phyfiolog.) afllon par laquelle on
mâche. Principal objet de cette opération. Explication détaillée
de tout le méchanifme de la maAication. X. 180. b.
Mastication, {A n a t.) Du mouvement des mâchoires
que cette aélion exige dans les différens animaux. Articulation
fur laquelle la mâchoire inférieure exécute fes mouve-
anens. Suppl. III. S60. b. Ligamens qui afftirent 8c qui bornent
cette articulation. Mucoficé qui en diminue le frottement.
Defeription de la mâchoire inférieure. Ibid. 861. a. Scs moti-
vemens droits 8c latéraux. Mtifcles relevcurs , abaiffeurs 8c
rot.'iteurs qui en font les iiiArumens. Leur defeription 8c leurs
fonâiions. Ibid. h.
ALißication. Comment elle fc fait dans les oifeatix qui
vivent de graine, II. 690. b. 8c dans les animaux qui ruminent.
X IV . 433. a , b.
M ASTIC .ÀTO IRE , ( Therapeutiq. & Pharm. ) remcrle
propre à exciter une évacuation par les excrétoires de la
bouche. Moyens fort Amples de faire couler abondamment
la falive. En quoi confiAent les vrais inaAlcaioires. MaAica-
toire fimple ou compofé. Maladies dans Iciqticlles ces rcmedes
ibnt très-utiles. X. 183. a.
Mafiicatoire. La térébcntltine de Perfe employée par les
femmes du pays en qualité de maAicatoire. X V I . 147. b.
148. a. Rcmedes mafiicatoircs. Suppl. 1. 484. b.
MA ST IG O PH OR E , ou Porte - verge , {Litt, prccq.) efpcce
d'hnifiier des Hellanodices, prépofès aux jeux publics de la
Grèce. Ces officiers frappoient de v ciges ceux qui trdu-
hlüicnt la police des jeux publics. X. 183. a. Divers genres
de taures qui attiroient ce châtiment. La lévérité des agono-
thetes extrêmement redoutée de ceux qui fe domioient en
fpcilacle. Comment Néron tâcha de gagner leurs bonnes
graces, 8c de cortompre fes juges. Réfiexions de l'auteur.
Ibid. b.
M A S TO 'iD E , {Auat.) X. 183. i.
MASTO ÏD IEN , ( Anat. ) Trou maAoïdien , mufcles maf-
toidiens. X. 183. />.
Al.fioïdien poAérieur , X V . 479. b. Aerno - maAoïdien ,
314. é. trou Aylo-inaAoïdicn , 3 37-é. maAoïdicn-latcral. UI.
76t. b.
M A S TO U , {Pèche) Defeription de cette machine ainfi
iioinmcc dans l’amiiauté de Bretagne. Ufage qu'en font les
jiedicurs. X. 183. b. foye^ vol. V l i l . des planches, Pêche ,
planche i6.
M A S T R ICH T , ou Maeßricht, Géogr. ) ville des Pay.s-Bas.
Sa pofitiom Obfervations fur le nom de cette ville. HiAoire
8c révolutions de MaAridit. Son gouvernement. Importance
de cette place. Sa population. Sa lituation. X. 184. a.
l'orne II.
Maßricht. Ancien nom de cette ville. XVI. 324. b. Doferip-
tlon d’une carrière defon voifuiage. 11. 7S6. a. .Siege de Maf-
triclit en 1673. XVI. 343. a.
M A STU PR AT IO N , voye^ Manstupration.
M A SU L IPA T AN , {Ge'ogr.) ville de la côte de Coro-
m.andd. Son commerce. Chaleur du climat. Caufe du bon
marclié des denrées de cette ville. X. 184. .1.
M A T , Sc M.its, {M.irinc) Mâts des grands valffeaux Leurs
noms. Détails fur leur conAriuAlon 8c leur pofition. X. 184, b.
Picgles qu’on fuit pour les proportions des mâts. D e leur
épaifieur. Comment on mate un vaiA'eau, Comment on change
de place les mâts déjà arbores. Lieux d’où viennent les plus
beaux mâts. Détail particulier de la pofition des mâts 8c de
leurs proportions, tiré de l’archireélure navale. Exemple pour
un vaiffeau de 74 canons. Ibid. 183.12. Méthodes pour trouver
les diamètres moyens entre le plus giand diametre 8c le
plus petit. Ibid. b. Suite des dinienfions des mâts pour im
vaiffeau de 74 canons. Ibid. 186. a, Mât d’un brin. Mât forcé.
Mâtjemellé, reclanpc, renforcé. Ibid. b.
AUt. Principes à obferver dans Tart de mater les vaiffeaux;
X. 209. a , b. Lieux d’où l'on tire les fapins pour les mâts.
X IV . 636. b. Carlingue de pié de mâr. II. 686. Clmu-
quet du mât. III. 378. a. Clamp de mât. 303. b. Etambayes
des différens mâts. VI. 13, é. Efpece de plate-forme ronde
pofée autour de chaque mât. VIII. 233. b. Paitie du mât
appellé ton. XVI. 403. a. Mature clnnoife. 806. a. Veiilcr
les mats Sc non le côté. 873. a. Couper un mât dans une
tempête. IV . 331. <î. Manoeuvres à faire quand un vaiffg.au
a perdu fes mâts. 806. b. Vous trouverez le» nom', des cüA'é-
rens mâts 8c leurs dépendances, vol. VU . des pl. Marine,
pl. 22 , 6c vous pourrez enluite confulter leurs articles particuliers.
Boye^ aulu Mature.
Ma t , {BLifon) Mât de navire. Mât défarmé. Signification
de cette figure iymbolique. Suppl. III. 863. a.
A îa t, matte, adj. Rendre mat, parlant des métaux, voyc-^
A matir.
M A T A D O R S , {H iß . mod.) compagnie de brigands que
levèrent les habitans de Barcelone en 1714. X. 186. b.
Matado rs, {J eu ) an jeu de quadrille. X. 186. b.
M A T A G A R A , {Géogr.) montagne d’Afrique. Obferra-
tions fur les Beréberes habitans de cette montagne. Autre
montagne de ce nom dans le royaume de Tremecen. X .
1S6.Z-.
M A T AM B A , (Gcùgr.) pays d'A frique : inArument de
pereuffion en ufage dans ce pays. Suppl. IIT. 830. b.
M A T AM O R S , ( Hiß. mod. Econom. ) efpece de puits ou
de cavernes qui fervent de greniers aux habitans de plufieurs
contrées d’Afrique. Leur defeription. Comment les grains
s’y conferwenr. X. 187. a.
M A T A P A N , ca p , {G é o g r .) autrefois Téiiare. X V I :
127. a , b.
M A T A R A M , {Géogr.) empire fimé dans l’iAe de Java;
Provinces de cet empire. Vice-rois qui les gouvernent. Concubines
de l’empereur. Tournois qui fe pratiquent devant
fes palais. Attention que tout le monde a de fe couvrir la tête '
à la maniéré de l’empereur. X. 187. a. Obfervations fur la
ville de Mataram. Ibid. b.
MATASSINS , danfe des. IV. Ö27. 2:.
M A T A T Ü U , ( Terme de relation) meuble des Caraïbes ,
efpece de corbeille. Defeription Sc ufage. Comment leurs
rejias font fervis. X. 187. b.
M A T E LO T , vaiffeau matelot, vaiffeau fécond , ( M.irlnc)
deux forces de vaiffeaux à qui on donne ce nom, X. 188. a.
Matelot. Ordonnance qui traite des fondions, engagemens,
&c. des matelots. Devoir de chaque matelot , de liiive fenti-
nclle à fon tour fur la hune pendant le jour. Matelots gardiens.
X. 188. U.
Alatilor. Du moyen d’avoir des matelots. X . r 24. a. Portion
journalière de vivres pour un matelot. X I ll. 776. b. Des maladies
des matelots. X. 122. b. 123. a. Suppl. I. 233. b. Par qui
font fervis les matelots malades. VII. Matelots gardiens;
313. a. Matelots que le turc leve lorfque les efclaves lui manquent.
Suppl. I. 6. a.
MATÉRIALISME. Philofophes & doffeurs anciens Si modernes
qui font tombés dans le matcrialilme. I. 331. a , b.
332. a. Réflexions fur cette efpece d’erreur, IX. 627. rt. Sa
réfutation. I. 333. 1 » b. — 338. a. Lûyef auffi l’article M A TIERE.
Deux efpeces de matérialifmes défignées par les noms
d'hylopathianifme, V I I I .390. a ,h .S c d’hylozoïfme. 391 .d , b.
Foyer SPIRITUALITÉ.
MATÉRIALISTE S , ( Théolog. ) ceux que l’ancienne églife
appclloit de cenom. Traité deTemiUicncontreHermogene,
qui étoit de ce nombre. Doctrine des matériaüAes modernes.
'm a t é r ie l l e , caufe , II. 788, b.
M A T E R N E L , {Jurifpr.) propre maternel. XIII. 489. b,
Succeffion maternelle. X V . 399. b.
M A T E U R , maître, ( Marine) IX. 906. a.
M A TH ÉM A T IQ U E ou Mathématiques. Etym. de ca
C c c