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526 P R O
milieu n e lu l réfifte pas. XIII. 4 1 7 - 3- corps pefant,
Ictté obliquemem dans 1111 .nillcn Ians rdiftance , décrira en-
core ime par.nbole. 4- Un p ro jcü ik , eti teins cg.nix, deem
des portions dc parabole, qin répondent u des e lp c c s horizontaux
égaux. 15. La quantité on laniplitiide A l i de la
courbe, (planch, méchan. tig. 4 7 ») au paramètre du
diainetre A S , comme le fimis de l’angle d’élévation R A B
c(l à la Iccante du même angle. Ibia. 438. a. 6. La vitelTc
du projeéhle demeurant la même, l’amplitude A B ell la
plus grande qu’il cil polTible , lorfquc l’angle d’élévation eli
de quarante-cinq degrés, & les amplitudes répondantes aux
angles d’élévation, également dillans de quarance-cimi degrés
, font égales. 7. Maniéré de déterminer, la pins grande
amplitude étant donnée, l'amplitude pour iin autre angle
d'élévation , en fnppoiaiu la vitelTc toujours la même. 8.
La vitclfe du projcélile étant donnée, maniéré de trouver
la plus grande amplitude. 9. La plus grande amplitude étant
donnée, maniéré de trouver l'dpace que le projcétilc parcourt
en une fécondé de tems dans le lens horizontal. Jb:d.
h. 10. Maniéré de trouver la pins grande hauteur , à laquelle
le corps jette obliquement s’élèvera. 11 . L’amplitude A B ,
&. l’angle d’élévation étant donnés , méthode pour détermin
e r , par le calcul, la plus grande hauteur à laquelle le pro-
jeéVde s’élèvera. 12. La hauteur de l’amplitude cm ,e ll à la
huitième partie du paramétré , comme le lînus verlo du
double dc l’angle d’élévation eft au finus total. Corollaires.
13. La diftancc horizontale d'un objet, ik fa hauteur, étant
données , de même que la vitelfe du projcéUle , méthode
pour trouver l’angle d’élévation qu’il faut donner au pro-
jc élilc, ])oiir qu’il aille frapper l’objet, /éù/. 439,./, 14, Les
rems des projetions qui répondent aux difîérens angles d’élévation,
font cnir’eux comme les finus de ces angles. 15.
La vitelTe du p ro je tile , & l’angle d'élévation étant donnés,
méthode pout trouver ramplitude A B , la liameur ;//i, ik
pour décrire la courbeA/nB. 16. La hauteur cm , ou l’am-
plitude A B , étant données avec l’angle d'élévation , moyen
de trouver la vitelTc de projeftion , c’eft-à-dire, la hauteur
d’où le p ro jetile devroit tomber pour avoir cette vîtclTe.
Ouvrages à confulcer. Ces règles fur le mouvement des
p ro jc t ile s , font fort altérées par la rcfiAance de Tair. Ibid,
b. P'oyei B.alistique.
P R O JE C T IO N , {Mécli.crt.) a t io n d’imprimer du mouvement
à un pro jetiie. X l l l . 440. a.
Projection. {^Pafpeüiv.) XIIT. 440. a.
ProjeSlion, loix de la projetion des figures planes dans la
perfpefUve. XII. 434. b. Efpccc de projetion d’une image
connue fous le nom d'anamoiphofe. I. 404. a , b.
P7-o/e^?iü«, celle de la fpliere fur un plan : fou ufage. Proje
t io n s les plus ordinaires des mappemondes. La projetion
de la fjdicre le divilé en orthographique , St liéréograpliique.
Loix dc la projeélion ortiiographique. XIII. 440. a. Pio-
priétes de la progreHion ftcrcographiquc. Ibid. b.
ProjeBion. Plan dc jjrojetion de la fpherc. I. 779. XIT.
^ 9 v meilleure nianiere de concevoir la
projetion d’un cercle fur un plan pour les cartes géographiques.
1 1 . 707. .1. DilTércntesprojetions pour ces cartes,
706. b. &.C. P rojetion ortiiographique dc la fpherc. IX. 670.
è. Projetion polaire. XII. 900. b. Projetion lléréographique.
X V . 501. /). &.C.— Foyei Planisphere.
Projection , {Chym. 6- Alchym.) cfpece d’opération
chymiqiie. Maniéré de Texécuter. Ses ufages. XIII. 441. a.
Projection , ( Geogr. ) courbure des méridiens , felon
laquelle ils fe rapprochent run dc l’autre, à meline qu'ils
s’écartent de l’équateur. Détails fur ce fiijct. X l l l . 441. a.
PROJET. (^Morale') X l l l . 441. b.
Projet, Dcjfein. (^Synonym.') Différences dans la fignifi-
cation 6c l’ufage dc ces mots. XIII. 441. b.
Projet, ( Cùmm.) Caufes ordinaires qui font échouer les
projets. HI. 740. a , b. Obfervations hilloriques fur ce fu-
jet. Ibid. b.
Projet. (Archie.) XIII. 441- b.
Projet. (Pèche de corail) X l l l . 442. a.
PR O LA TIO R E R U M , (Droic Romain) fufpenfion des
affaires. 1 1 y en avoit d ’ordinaires & d’extraordinaires. XIII.
442. a.
P R ü L A T IO N , (Ancienn, Mujïq.) manière de déterminer
la valeur des notes fémi-breves fur celle de la breve ,
ou la valeur des minimes fur celle de la fémi-breve. On
divifoit la prolation en parfaite & imparfaite. Signes quimar-
qiioient l’une ik l'autre. XIII. 442. a.
PROLEPSE, (Rhetor.) figure dc rhétorique. Son ufage.
Exemples. X lll. 442. b.
P R O L IX IT É , (Belles-lect.) auteurs à qui on a reproché
CO vice dc flyle. La prolixité doit être fur-toiit bannie de la
poéfie. X l l l . 442. b.
PROLOCU T EU R delà convocation, (Jurifpr. Angloife)
orateur de cette alTcmblée. Scs fontions. X l l l . 443. a.
P RO LO G U E , ( BclUs-leti. ) étym. du,mot. Objet du prologue
chez les anciens. Prologues des pieces angloifcs. Les
PRO
François ont prefque entièrement banni le prologue de leurs
pieces de théâtre , à l'exception de l'opéra. Sujet du prologue
des opéras. Dans l'ancien théâtre ,011 appelloic prolo-
guc l’aéleur qui récitoii le prologue. X lll. 443. a. Difléren-
tes forte.» de prologues que diffinguoienc les anciens. Ibid. b.
Prologue, expolicion du poeme tlramatique des anciens.
C e ([u'oii entend aujourd'hui p.ir ce mot. Prologues des
myller.-s dans nos .anciens fpeélacles. Suppl. IV . 535. o.
Prologues des moralités, des fotties ik des farces. P.iroles
d’un prologue dc Brulcambille. Efpccc de prologue dans le
poeme didaéfiquc ik dans le poeme en récit. Le poème épique
férieux n'admet guère un pareil ornement. Du prologue
eu forme de drame. L'opéra traiiçois s'en cft tau comme
un vellibiile éclatant ; 6c Quimuilt dans cette partie, ell
im modèle inimitable. Ilud. é. Obligé de louer Louis X I V ,
il a ennobli l'adulation par la maniéré grande tk magniliqne
dont li l'a flatte. Tantôt dans ces prologues, la louange eft
tlireéle, tantôt elle eli allégorique. Exemples tirés des prologues
de Cadmu s , d’A lcclte , tbid. 336. a. de Tiiélee ,
d’A ty s , d'iiis, de Froferpine, ibid. b. dc Perfée, ib.d. 537.
a. de Ph. eion , d’Armide ik d’Amadis. Ibid. b. Du prologue
des opéra-ballets, Début du prologue du ballet des élé-
mens. Ibid. 538. a.
Prologue lies anciens, voyc^ Exposition. Prologue de
l'opéra. Suppl. 1. 135. b.
Prologue, (M ufuj.) forte de petit opéra, qui précédé
le gr.ind , raniionce, & lui l'en d’mcroduélion. Caraélcrc de
la imili(|ue de ces prologues. Regie que le compofiteur
doit y obl'crver. R.iifon qui devroit engager à les liipprimer.
Suppl. IV. 338. a.
PROM ENAD E , Pro/He/mir. (Lang, franc.) Obfcrv.ations
fur ces deux mots. X lll. 444- a,
Promena.Ie, promenoirs à Rome. Goôt des Romains pour
la promenade. XUi. 130, a, b. XV II . 233. b.
Promenade .î pû. (Médecin.) Ses utilités. Elle cil fur-
tout mile aux enf ns iü aux vieillards. Ses bons effets iorf-
qu'on boit des eaux minérales. Précautions à prendre pour
rendre la promenade lalutaire. X l l l . 444. a.
PROM ENOIRS, à Tabri dc la pluie dans certaines villes.'
Suppl, n i . 783. a,
PROMESSE. (Morale) Nous nous rendons odieux en
manquant à nos promeffes. Exemple. Toute promeffe quand
elle cil férieufe, attire un devoir d’équité. Comment Demetrius
PoUorcetes fe délivra d’im engagement téméraire qu’il
avoit pris envers les Athéniens. Circonfpeélion avant que
de donner fa parole. La préfomption cil le plus Ibuvent le
principe des promeffes vaines ou fiuffes. Circonllanccs que
le moralille doit ob ferv er, pour ne pas pouffer l’obligation
de tenir fa promeffe au-delà de certaines bornes. X l l l . 444.
h. Deux inconvéniens ou defauts à éviter fur le fujet des
promeffes , trop de liberté à les e xige r , trop dc facilité à les
faire. Ibid. 443. a.
Promeffe, devoir de tenir fa promeffe. V . 676. a , b. Equivoques
condamnées lorlqu’onles emploie en promettant quelque
cliofe ; les vices d’un liomme envers lequel en s'eA engagé
, ne font pas une raifon dc manquer à fa promeffe. V I .
686. a. Artifice employé par un foldat romain pour cliider
raccompliffcmcnt de fa promefle ; cet artifice condamné par
Cicéron. X. 337. a. Exaélinide de Lyfis dc Tarente à tenir
fu promeffe. X'V. 930. a. — Engagement , Fidélité.
Promesse , ( Jurifpr. ) force des engagemens pris par des
promeffes verbales, X l l l . 443. a. & par des promeffes écrites.
La promeffe de donner ou d’inllituer, faite par contrat
de mariage , ne peut être éludée. La promeffe de faire quelque
chofe fe réfoiit en dommages ik intérêts , lorfquc celui
qui Ta faite ne veut pas la tenir. Connoiffanccs qui doivent
concourir pour que la promeffe dc vendre vaille une vente.
Promeffes caufées pour valeur en argent. Promeffe de paffer
contrat de conilinition , & de payer l’imérèc du principal.
Auteurs qui ont traité de l’effet de diverfes fortes de promeffes.
Sur les promeffes de mariage, voye z Empêchement,
M.iriage, Official, Paroles de préfent. Sur les promeffes de
paffer une lettre de change, de faire ratifier quelqu’un, de
fournir bc faire v alo ir, vo ye z Lettre de Change, Ratification,
fournir & Faire valoir. Billet, Contrat, Engagement, Obligation.
Ibid. b.
Promeffe. Dcs promcffes dc mariage. V I . 660. a , b. X .
107. a , b. Promclfe fiitc en- prifon. IV. 429. a.
Promesse, ( Critij. facr.) Acceptions & ufages dc ce mot
dans les auteurs facrés. XIII. 445. b.
Promeffe faite à la piété. X ll. 601. b.
PROMÉTHÉE , (M ythol.) fils de Japet & dc Climene,
on dc Thémife. Explication de la fable dc la foiinatioii dc
l’homme par Prométhée, &. du fupplicc auquel Jupitet- le
condamna fur le Caucafe. Honneurs que lui rendirent les
Athéniens. Efchyle avoit coiii|ml'é trois tragédies fur Pro-
methée. Expofition de la fihlc dc celle dc ces pieces qui
nous relie, dont le fujet c/l le fupplice de Prométhée. X llL
446. a.
PRO
promcthic, ufage pratiqué par les habitans du Caucafe en
conféqiience dc Ihiltoire de Pro.néthéc parmi eux. II. 783.
a. ILfloire fabuleulé de ce fils de Japet; VII. 903. b. Pro-
inéchée établit la coutume de ne brûler qu’une partie des
vktimes. VH l. 246. b. Il ouvre la fatale boite de Pandoie.
VI. 813. a. Explications différentes de la fable de Proiiié-
îl,ée. HL 422, a. V I. 337. a. 647. a. VH. 903. h.
Prométhée, ( Botan. ) plante fibuleufc. Expoiltion de
ce que les ,incien.s nous racontent de fes vertus, de l'on lieu
natal, de la fEur, & de là racine. X lll. 446. b.
PROMIbSlON , ( Critij. j.ici. Thcolog. ) H n’y eut que
,To(ue éc Caleb qui entrèrent dans, la terre de promilTion.
Do.trine atfrcule de ceux qui ont ofé énablir la meme proportion
entre les élus 6c ceux qui fe perdent, qu’d y eut
entre ceux qui partiront pour la terre proimfe 6c ceux qui
y entrèrent. X lll. 446. b.
Pr o m o n t o i r e , ( Glogr. ) montagne accompagnée
d'une pointe dc terre qui avance dans la mer. XIH. 44O. b.
Table des principaux caps ou promontoires. Le piomoiuoire
d’Atlas étoit autrefois le terme de la navigation de ceux
qui côroyoicnt les côtes d’Afrique. Noms latins de quelques
promontoires. Ibid. 447. a.
P R OM O T EU R , (Jurifpr.) Les archidiacres étoient autrefois
comme les promoteurs de toutes les égliies. X lll.
447. -2. Les proniotems des tribunaux ecdéhalliqucs ont été
établis à l’initar des procureurs d’ollice des trK unaux fécu-
liers. Ancienneté de l’établilTcmenc de ces offici-is. Autre
lone d’office qu’on joignit à eux fous le nom dc piocuieur
du roi en cour d'èglije. béances que ces deux fortes d’orfi-
ciers avoient, Toit aux audiences des ofHciaÜtés , Ibit à celles
des b.iilliages & fuges prélidiaux. Revendication que fait le
promoteur des caul'es ciimindlcs conccrn..nt les eccléfuiüi-
que-s. Ertcc de cette revendicaiion. X l i l . 447. b. D_feiii'e
faite aux promoteurs de prendre la qualité d ; procur.ur, lif-
Caiix. Nomination des promoteurs. Ditl'érentes )Lirilciictions
ccclefialtiqiies qui ont leurs promoteurs. On a queh|ucfbis
mis en doute li un laïque peut être promoteur. Ibia. 448.
a. Le promoteur ne peut cire grand |;éuitencier. Foiuftioiis
du promoteur. Ses privileges. Ouvr. ges à cohl'iilrer. Ibni.b.
P R OM P 1 IT U D t . , Fivacitc, (Synon. ) XV 1 1 . 368.
P R O N A T EU R , ( Anatom. ) delcr.ptlon de deux nuiicles
du radius appelles le prün..teur quairé OC le rotai piom.teur.
X lll. 449. a.
P ivO N A H O N , ) deux fortes de mouvemens
du radius fur le cumins , Tuii que Ton nomme de prona-
lion , l'autre de fupination. A l i i . 449. a. Mulcles proiuneUis,
& mufcles fupinaiüurs. Mémoire a coniuUcr. Ibia. b.
Pronation. CommQiM s’opèrent les mouvemens de prôna
tion Oc de fupination de la main. XIV. 379. a.
PRO N IQ U E , nombre, f Anihtn. ) XI. 204. b.
PRONOiVi, ( Giamrn. ) depuis le tems qu'on parle du
pronom , on u é ll point parvenu a le biC-n coniioitre, üit le
1 ’ . Huffier. Mauvaiie definition qu'en donne Voiliiis. SauC-
tius prétend que le pronom n'elt pas une p.iitie d'oiailon
diiiérente du nom. kauons f'pecieules par ulqiidles le P.
Puffier défend ce l'yfieme. X lll. 449. f. JTilfcrence entre les
noms Oc les pronoms. Examen d un l ailbimemcnt de M.
l'ré ro n , par lequel il prétend prouver que c_s pronomb
perlunnels, ;e , me, m oi, nous , lu , le , tui , vous , loin les
noms de la premiere Oc de l.i fécondé perlonne , tant au
pluriel qu'au fingulier, 0». ne lont point des pronoms./éné.
430. a. On ne doit reconnoitre des pionums que ceux que
l'on iiommc conin.iuiénieiii peijo/inels.
1. Notre langue qui n'adm..c point une difiiiiélion de cas
dans les noms, Tadniet dans Ls pionoms. Ib.a. 431..;. Explication
de ces cas. Ibid. b. Üblervanons liir une difh ibuuon
que quelques grammairiens font dc ces pionoms en deux
ciaffes , nommant les uns perlbniKis , Oé les autres con-
jonébfs. IbuL 432. a. M. ReiLiui ajoute aux pronom > qu’il appelle
perlbnnols, le mot on ; Oé à ceux qiTil nomme ton-
jüiiéliTs, les mots en 6c y. Cette maniéré i.e confidéier ces
trois mots , rcjctté'c par Tameur qui moiine ici que >tn d l
tin nom , Oc que en Oc y font adverbes. Ibid. b.
H. Différence entre le fr.inçois Oc le latin fur le nombre
des proi.onis. Cette différence contille en ce qu’en latin , il n’y
a point de pronom dircéf pour la troificinc perlonne , il n’y a
que le réfléchi ,/«i ,fib i, je.
111. Übicrvaiion fur les mots qui ont filt jufqu'icl tant de
cl.iües dc prctcntlus pronoms. Un peut k s réduire à trois
d p ec es , lavoir clés noms , des acljedifs Oc des adverbes.
I. Noms réjjutés premoms. Autrui. Ibid. 433. a. Ce. Ceci,
cela. Perlonne. Quicom[uc. (^uoi. Rien. Ibid. b. 2. Atl.ec-
tifs réputés pronoms. Aucun. Autre. Ce , cette , ces. C c iiii,
c e lle, ceu x , celles. Celui-d , celui-là. Certain , certaine.
Chacun , chacune. Chaque. Même. Nul , nulle. Phifieurs.
Quel » quelle. Ibnl. b. Quelconque. Quelque. Quelqu’un ,
qiidqn une , quelques-uns, quelques-unes. T e l , telle. 5. Aci-
verhes réputés pronoms. Dont. Ibid. 433. a. Où. Réflexions
par lelqiieües Tauteux jullifie les détails minutieux
PRO 527
en apparence dans lefqucls il vient d’entrer, m j. b.
P'or.om. Rapports & diifércnces entre le nom fk le pronom.
X. 734. b. Vériiahle noiion des noms ik des pronoms.
7 S5 - b. Des peifoiines d.ms les jjronoms & les verbes.
Ibtd. a , b II n y a de véritables pronoms que les pronoms
perfonnek XII. 432. b. Des genres des pro.mms,
V U. 393. U. Differentes fortes de pronoms francois. Suppl.
lU. 1 23. b. Des pronoms q le M. Reliant appclk impropres
ou mdebms. M H . 631. a. Des adjedifs app.-llés par la plupart
des graimnainens, pronoms po.feffir'-.. X .I I 163. b. Pronom
réciproque ou réfléchi. 831. a , b. Du prétendu pronom
relatif. X IV . 33. b, 6éc. Pronoms employés en fa n -
Ç'Jis comme expletif,. VI. 306. b. Pronoms qui ne peuvent
avoir de vocatif. XVH. 410. a. Pourquoi nous diibiis en
latin nobilcumoc non cum n o b is.\ l. to y .b.
PRONO.MLNAUX, (Gramm.) adje-difs pronominaux. I.
137- b. Comment les verbes pronominaux forment leurs uré-
terits. Xi 1 . c,8. .2, é. ^
PRON ON CER , explication de ce mot employé dans la
peinture. XIII. 432. rf
PR O .yO 'ICi A T IO N , (Lite. ) Démoflhcne reg.ardoit l’ac-
iion de l oraceu: comme fi un joriame, qu'il l’appdioit la premiere
, h fécondé, i>Ua trodicme partie de l’éloquence. Une
prononciation animée pallie 6é fauve les imperfedions d’une
piece fb'ible. X lll. 436.
PaONüNClATlO.v, (Belles-lettres) de la voix dans
1 orateur. Elle doit être correClc , claire , o rnée, égale 8c
v aric e, X lll. 436. b. ik enfin proportionnée aux lujets que
1 on traite. Ibid. 437. a.
P'Vîwnci.uion , DÉCLA.MATION , RÉCITATION
\ o i x , T on.
Prononciation des langue.^, ( Gr.vnm.) d’oii vient la
dilficulte qu’on éprouvé à (.nlir les inflexions de la voix propre
aux iaiigties de chaque naiion. Ibid. 437, a. Obterva-
lions fur la prononciuion des différentes langues a-dnellc-
ment iiluees en Emope; de la langue angloilc, Ibid. b. de
1 it.diemie, de Tel'pagnole, dc l.t portugaifé , de ralkmande.
Ibi.l. 438. a. Prononciation de la l.ingue flamande <5u hol-
lundoiie , des langues fiiédoife & danolfe , de la langue
ruffe, ék des différente., autres langues des peuples du nord. Ibid. b.
Prononciation des Lingues. Diverfes prononci.itlons de chaque
p.iys felon h combinaifon particul.ere dc l’organe de
la parole. 1 . 762. b. De la différence c|ui lé trou-C'c entre
notre prono.ici,ition ék notre orthogr..phe. I. 296. a. IV.
962. .2, V, 183. b. 639. J. XI. 94. Les lettres inutiles
dan» l’ü' ihogr plie françoife ne changent pas la nnuire du
loi) Imiple. V. 183. b. D e l'accent dans la prononciat.on,
vu)'i’^ A c c en t . Accens nécelTaiies pour ind.qu.r la bonne
proiionci,Ition. 1 . 64. a. Délicatefle des Romains fur la prononciation
de leur.» aélciir». 1 . 63. a. H. 414. .j. Celle de
notre parterre. 1 . 65. a. De la prononci.ition moderne du
grec ix du latin. 66. a , b. Pourquoi les écrits des anciens
orateurs ik poète» que non» prononçons mal, ne laiffent
pas de nous plaire. V. 639. b. c. Cominciu il ell prouvé '
que les Aiigluis prononcent mal le grec. llid. c. L’effort
que nous tiiifons pour prononcer un mot d’une langue étrangère
, nous écarte fouvent de la vraie prononciation. I.
702. b. Impolîibiliié de fai.e connoitre par écrit la prononciation
e x k le d’une langue. IX. 406. a. Regies de la prononciation
fr.mçoile. Suppl. 1 1 1 . 131. a , b. Moyen d’enfei-
giicr aux étrangers la prononciation de notre langue. IV. 963.
b. Moyen de faire ]>afler à la poflerité notre prononciation. V .
639. J , é. Puyrr A ccident.
P R O N O ST IC du cems, ( Métèorolog.) XVI. ii8 . b.
P R O N O S T IQ U E R , (L u t.) loi des Romains qui défen-
doitdepionolfiquer des malheurs. XL 284. b.
P R O P A G A N D E , (U ijl. cccl.) fociccé établie en Angleterre
pour la pr-.)|)agaiion de la religion chrciioniie. InfU-
tinion de cette lociéié. Traits hilloriques qui la concernent.
Ses officiers & fes aflemblées. X l l i . 439. a. Obfervations
fur les étaliiifl'emens de cette nature fk fur ies miffion-
naires en titre qu’il ya clans le royaume dv France, hnd.b.
P R O P A G A T IO N , ( Met.iphvj. (y Phyfij. ) trois maniérés
dont une qualité fe propage. IV. 990. b. Toute qn.ilité qui
fe propage en rond , aug.ncnte ou diminue d’imeiifité en
railbn doublée des diflances ihi centre de fi radiation : cette
propofujon n’a lien que pour les qualités qui fc propagent par
émifliüii de particules, & non par preflion dans un fluide. X III.
6 3 1. <2, é.
Propagation de la lumière. (AJlron.) Du tems que la
lum.ere du fbleil met à venir julqn’.à nous. Découvertes auxquelles
ie» fatv.li.tc» de jiipitcr ont donné lieu relativement à
la propagation de ia lumière. Suppl. IV. 338. é.
PHOl’ER C E , ( i'r.v/Ki ..4(2'f/n2r ) (joete : lieu de fa naif-
fance & de fa fcpuUure. X V . 449. b. XVII . 378. b. Eloge
dc fe» élégies. V. 483. a , b. 486. a , b. 488. b. 489. a , b.
PR O PH E T E , (Gramm.) étymologie de ce mot. XIII-
439. b. Diftérentes fignificaûons que Técriture-fainte &. les