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î68 MU S à être fciiAble. 130. n. Caiife qui les endurcit dans le foetus.
Suppl. IH. 73. ê. Des muicles & de leurs luouvemens.
V llI . î62. ‘i. Membrane propre des mufcles, X. 325. u.
Suppl. 11. 612. />. Tendons qui font la tête & la queue du
imtfde. X VI. 128. j . Mucles antagoniftes , I'L iIch is -
SI.UR & Extenseur. Mufcles convergens. IV. 163. a , h.
Mufcles appelles courts, longs , voye^ ces derniers mots.
Defeription des mufcles. Vol. 1. des planch. Anatomie. La
contracHoii d f l'état naturel de tous les mufcles. 111. 594.
L\ La c.-uife de cette coiitradion d l encore inconnue. Suppl.
IV . 320. a. Ouvrage de J.icqucs Muller fur la concraftion
du imifclc. 349. “ ■ Les niut'cles ordinaires n’ont d’autre
niouvemcin de reflitiition que celui qu’ils reçoivent de leurs
ant.igoiiiflcs, par lefquels ils font balancés. ilL 393. a. Irri-
tabd'iic des mufcles. Ir r ita b il ité . Leur aftion tonique.
X VI. 407. b. IV. 655. b. J'oyc^ M uscu la ir e .
M u sc l e s , jeux de Li nature fur les {Aîyolog.') Des iniif-
cles de la tcie. De ceux de l’épine. X. 888. </. D e ceux
de la refpiration. De ceux de l’avain-bras, de la paume de
la main & des doigts. Des mufcles de la ciiilîe , de la
jambe & du pie. Ibid. b. Des mufcles de la bouche, de la
langue , ôc de l’os liyoïde. Des mufcles du bas-ventre.
D e ceux de l’oreille. Des mufcles funiuméraires. Ibid.
880.M
u s c l e , {Pcimurc) ètiule des mufcles à laquelle un
éleve en peinture doit s’appliquer. VI. 777. b.
M uscles du cmval, (Maneg.) Suppl, i l l . 383. b.
MU bC IPU L A, {P o t.) cette plante s’appelle apocin, ou
flttrappe-mcuche. bes car.aéteies. X. 889. b.
ML'.SCULAIRE, ( ) du mouvement volontaire
& involontaire des mufcles. Fibres mufculaires. X. 889. .1.
Hypothefes inventées pour c-\pliquer la contraftion des
mufcles & les mouveniens niufcidaires. Ibid. 890. a , b.
Quelqu'ingénieui'es qu’elles foicin , elles ne peuvent cependant
fuisfaire à totts les phénomettes. Tout ce qu’il y a
de bien certain , c'ell : 1 “. Que les mufcles ont une force
de comraélion naiureile. Expériences qui le démontrent.
2'\ Que le mouvement imilcukiire vient des nerfs. 3°. Il
eR encore en quellion fi les arteres concourent au mouvement
miifciilaire. îbid. 891. b. La façon dont les nerfs mettent
les mufcles en mouvement cil fi obl'cuic, qu’il n’y
a prefqiie pas lieu d’efpércr de la jamais découvrir. Effet
du mouvement mufculaire. Force immenfe de cette aélion,
& fon eft'et cependant très-peu conftdérablc. Ibid. 892. a.
Pourquoi les fibres imifcnlaires perdent dans l'ailion une
très-grande partie de leur cff'et. Avantages par lefquels ces
pertes font compenfées. Anragonifmc par lequel chaque
mut’d e eff continuellement balancé. Divers mo_yens qui
rendent le niouvcmcm nuifculaire jiille, sûr & facile. Ibid,
b. La force d’un mulcle ell déterminée par la fociété on
l’oppofition des autres, Divers ulàges des mufcles. Ibid,
S93. a.
M u s c u l a ir e , mouvemetu {yinat. Phyjîol.) Phénomènes
du mouvement des mul'cles. Suppl. IIÏ. 978./’. D e leur con-
iraâicn. S'il elt vrai que le miifcie pàlifTe en agi.Caïu. Ibid.
979. a. Gonflement qu’il éprouve en le contraRant. Du relâchement
des nnifeies. Dans les mufcles involontaires , le
reUchement alterne ordinairement avec la contraélion. Vi-
telTe avec laquelle cette contraftion fe fait. Force procligieufe
de la contraéüon mufculaire. Exemples qu’en ont donnés
quelques hommes. Ibid. b. Force des mufcles des inleéles.
Calcul qu'a fait Borelli des forces employées par les iniif«
des. Méchanifme de leur suouvemenc. Comment leur ffruc-
ture le fnvorife. Ibid. 980. a. Ulages des mufcles antago-
niftes daijs la machine animale. Ibid. b. Mouvemens produits
par le moyen des mufcles coinpolés & des mufcles
coopér.iteurs. Artifice par lequel la nature produit certains
mouvemens , pour l’exécution defqucls il ne patoit pas
pofflblc de placer des mufcles. Comment des mufcles an-
tagoniffes agiffent en même tems & s’aident imuucHcmenr.
D e la caule qui produit clans le mufcle cette force étonnante
qu’on lui voit exercer. Ibid. 981. a. Voye:^ IRRITABILITÉ.
Réflexions fur la caiife phyfiqne de la force ner-
vciife. Examen des hvpotliefes par Icfqiieiles on a cherché
à l’expliquer. Ibid. b. Hypothefe de l’auteur. Le fluide nerveux
pouffé avec plus d’abondance dans le mufcle par I’cfiet
d e là volonté, l’irritera, excitera fes élcmens à fc rapproch
e r, & leur communiquera cette même vivacité de con-
tradion qui eff naturelle aux mufcles vitaux. Enfiiite le
relâchement furvienclra lorfque l’irritation aura beaucoup
perdu de fa fo r c e , & fera l’effet de l’élafficiié naturelle
du mufcle. Ce que devient l ’efprit animal qui a irrité la
fibre , après que le mouvement a ceffé. Ibid. 982. a.
Mufculaires fibres. VI, 66^. a , b. Suppl. 111, 34, b , &c.
Leur mouvement. Ibid. Leur irritabilité , voye^ ce mot.
Alufculaire, mouvement, fon principe dans le cerveau. 5/cp/’/.
IL 141. a. Comment le fluide nerveux concourt à ce mouvement.
Suppl. 111. 38. a. Expérience qui montre l’influence
«les nerfs fur le mouvement mufculaire. Suppl. IV . 42. a.
MU S Fondion des nerfs dans ce mouvement. 29. b. 30. a l h.
L'excès dans le mouvement mufculaire dlfpofe le fang à la
putréfadion. 723. a. Ce mouvement confidéré comme caufe
fecondaire de celui du fang. 729. a.
M U SCU L ITE S , {Hifi. nat.) Vol. VI. des planch. C o quilles
foflilcs, pl. I.
M U S CU LO C U T AN É , {Jnatom.) l’mi des nerfs brachiaux,
Defeription de ce nerf. X. 893. a.
MUSCULUS , {Hiji. anc.) Machine dont les anciens fe
fervoiem dans l’attaque des places. X . 893. Sa defeription.
Ibid. b.
M U SE AU , (Zoo/og.) Forme du mtifeau des animaux
qui vivent de racines & d’écorce d’arbres. IV. 838. b.
MUSÉE, lieu de la ville d’Alexandrie en E g yp te , où l’on
emretenoLt , aux dépens du public , un certain nombre
de gens de lettres. Defeription de cet édifice. Particularités
fiU" ce lieu Ôc fur ceux qui l’habitoient. Le miifcc fiibfif-
toit du teins de Strabon qui a pris foin de le décrire. Nouveau
miifée que l’empereur (')aude fonda dans Alexaucirie.
Le mufée détruit fous l'empue d'Aurélien ; 5c le temple'
de Sérapis 5c fon mufee, démolis fous Théodore. C e qu’on
entend aujourd’hui par mufée. Mufée d’Oxford , appelle
mufée ajhnolcen : curiofités dont il eff enrichi. X, 894. a.
Musée , ( Géogr. anc. ) colline de l’Atclquc dans la ville
d’Atlicnes. Origine de fon nom. Riviere qui paffe au pied
de la colline. X. 894. a.
Mufée, difciple d'Orphée. VII. 907. h. Il rcfufa d’entrer
dans la lice pour le prix de la poéfie. VIII. 397. a. Lieu
de fa fépiilturc. XII. 484. b.
M usées, { . 4ni. grecij.) fête en l’honneur des niui'es,
qu’on célébroic dans plufieurs lieux de la Grèce. X. 894. a.
MUSES , {Myc/iol.) Etym, du nom de ces déeffes. Anecdote
qui explique pourquoi l’on a fixé à ncufle nombre des
imilès. Origine des neufnuifes felon Diodore. Semiment de
M. le Clerc fur cette origine. Honneurs rendus .2 ces di- •
vinités. X. 894. b. Les imil'cs 5c les graces n’avoient d’ordinaire
qu’un même temple. Perfonne ne les a tant honorées
que les poeres. X. 845. a.
Mtifcs. Elles ont été furnommées aonides. I. 320. a , b.
Illffiades. VIII. 333. a. Piérides. X il. 373. 374. Et Pimpléides.
628. b. Obl'ervation fur le pays dans lequel les poètes
ont fixé le féjour des mufes. Ibid. Les imifcs fonvent aflo-
ciées avec les graces. X V I . 72. b. XVII . 797. b. Fêtes en
leur honneur. X. 894. a. XVI. 273. b. Les mufes fêtées dans
les repas. X V II . 797. b.
M U S E T T E , {Maréch.) Voye^ MUSARAIGNE.
M usette , {Mufiq.) Defeription de cet inffiumcnt. X.
893. a. Détails fur Ion ufage 5c l'ur la maniéré d’en jouer.
X.896. a.,h.
Alufetre , appellee fourdeline. X V . 413. b.
M use t te , {Mufiq.) Sorte d’airs convenables à l’iiiffrU'
ment de ce nom. Caraflere de ces airs. X. 897. b.
MÜ SGRAV E , ( Guillaume. ) Phyfiologiffe. Suppl. IV.
333. a.
M U S IC A L , accent mufical. Suppl. I. 107. b. 109. b. Com-
pofiiion muficale. III. 771. b. Déclamation imiffcale, voyci^
Récitatif. Exécution muficale , voye^ ce mot. Expreffîon muficale.
VI. 313. 4 , b. Proportion muficale. XIII. 467. è.
Imitation muficale. X L 374. h. Phrafe muficale.'X II. 329. b.
MUSICIEN , ( Beaux-arts. ) Q ui étoient ceu.x que les anciens
qualifioient de muficiens. Aujourd’hui en Italie le mot
mufico eff une efpece d’injure. Les nnificiens ordinaires y
font appelles vïnuofi. X. 898. a.
Muficiens appelles thymelici par les anciens romains, X V I .
310. a. Muficiens célébrés qui ont perfeélionné la théorie
du drame en nuifique, X. 768. a. De renihoufiafme du imi-
ficien. V . 721. b. Avantage de lu langue du imificien fur
celle du poète. XII. 824. a. Du génie du muficien. Suppl.
III. 204. a. Muficiens appelles croques-note. Suppl. II. 636.
b. Muficiens de la chambre Si de la chapelle du roi. 111. 143.
b. Muficiens de chapelle. Suppl.W. 324. b. Voye^ Mufiqiie.
M U S IQ U E , étym. du mot. Origine de la nuifique félon
Kircher 5c Diodore. Divifion de la imifique en fpcculaiive
Si pratique. Divifion de la fpéciilativc en harmonique 5c
rythmique ;X . 898, a. & de la imifique pratique en deux
parties qui répondent aux deux précédentes. Autre divifion
de ect a r t , félon Porphyre. La mullque le diffribue aujour-
d’Iun plus fmipieinent en mélodie 5c en harmonie. Les anciens
donnoienc «à ce mot un fens beaucoup plus étendu
que les modernes. 11 ell très-vraifcmblable que la mufique
ocaie a été trouvée avant rinffruniemale. Origine des inf-
trumens à v en t, de ceux à cordc, 5c de ceux qu’on bat
pour en tirer du fon. Ibid. /-.■ Incertitudes fur celui par qui
la mufique fut réduire en art. Enumération des plus cédebres
muficiens de l’antiquité. Inftrumens de mufique connus des
anciens. Ibid. 899. u. La mufique étoit dans la plus grande
effime chez divers peuples de l’antiquité , 5c principalement
chez les Grecs , 5c cette effime étoit proportionnée à la
puilfance 6c aux efforts fiirprenans qu’ils lui attribuoieni. Le s '
' Pythagoriciens
Pythagoriciens s’en fervoieut pour exciter l'crpri: à des actions
louables, & pour s’enflammer de l’amour de la vertu.
Exemples des effets fiirprenans de la mufique, tirés de l’Iiif-
toire moderne. Autres exemples qui montrent quelle peui
agir phyfiquement fur le corps. Ibid. b. Les fons agiffent
même fur les corps inanimés. Explications que quelques auteurs
ont cherchées des effets merveitieux 5c jirelque divins
que les anciens attrioueiu à la mullque, Conliclérations
fur la nature de la mufique des Grecs. X. 900. a. Combien
les inffrumens des anciens ctoieiu loin de la perfection
des nôtres. Il paroit démontré qu’ils ne connoiff’oicnt
point la mufique à plufieurs parties. Avantage que l’harmonie
donne à notre mufique fur celle des andem. Comment
nous nbufons de cet avtuitage. Ibid. b. Nous l’emportons
encore fur les anciens par l’étendue géiKralo de notre
fyffêmc. Cependant leur mufique favoit mieux attendrir le
coeur en flattant les oreilles. Diverfité des genres que nous
poffédoiis : cette diverllté n’eff point une richell’e réelle. Com-
parnifon des modes de notre mufique à ceux de la mulique
grecque, 5c de noire mcliire au rythme ancien. Ib id .tp i. .1.
Morceau de chant dans la m-rfure fefqiiialtcre. Le grand
vice de noire m e fu r e ,c ff de n’avoir pas allez de rapport
aux paroles. Avantage de la mufique anciennefur la nôtre,
en ce que toujours artacliée à la poefie , elle la fiiivoit
pas-à-pas, Sc ne s’appliquoit qu’à lui donner plus d’éclat 5c
de majeffé. Ibid. b. Comparaifon de notre chant ou mélodie
, a la mélopée des Grecs. Quelle eff notre maniéré de
traiter le tendre , le gracieux , le g.ù, rimpéiueux , le <^ra-
v c , le modère. Conclufioii tirée de toutes le.s obfervations
faites ci-delîus, Notre mufique eff plus favniite & plus agréable,
celle des grecs étoit plus exprclfive 5c plus énergique. Mor-
nuifique grecque. Autres morceaux de mufique
chinoife , perlaiine , américaine. Ibid. 902. D e la manière
dont les anciens notoient leur mufique. Divers chan-
geniens qui ont été faits ati.x figues de la nuifique. Auteurs
tant anciens que modernes, qui ont écrit fur cet art. Ibid. b.
Mufique. Divifion de cet art en mufique naturelle Sc imitative.
Examen de la queffion , fi pour produire le plus
grand effet poffible , la réunion de la mufique imitative 5c
de l’harmonique ou naturelle, eff néceffaire. On peut ob-
ferver par les airs de daiife, que chaque nation a unemii-
fiquc qui lui eff particulière. Si l’on [»oiivoit retrouver la
mufique primitive de chaque nation , on troiiveroit peut-
être autant de fyffêmes diff'ércns que de peuples. Suppl. 111
982. b. Obfervations fur la mufique françoife , fes défauts,'
& les moyens de les corriger. Ibid. 9^^ a.
Mufique. D e la mufique confidérée comme un art d’imitation.
1. xij. Difc. prciim. De l'imitation en mufique. Suppl.
III. 368. 4 , b. Examen de la queffion , fi la mufique n’a
d antre but que d’im iter la nature, Suppl. I. 386. a. Ses
beautés font de création 5c non d’imitation. Suppl. HI. ^iô.
h. 317. a. Obfervation fur la mufique ancienne 5c moderne,
i. xxij. Mufique des grecs : réflexions fur la mufique des
anciens. Suppl. I. 418. 4 , b. Jeux 8c combats de mufique
qui le ceiebroient à Sparte 8c à Athènes. Suppl. II. 244.
b. Leur fyffême compofé de quatre tétracordes. III. 871. b.
Comment il s’eff étendu & perfeélionné. X V . 779. b.— y%i.
a. Mufique métrique 5c mufique rhythmique des anciens!
Suppl. UI. 917. b. Diagramme général du fyffèmc de mufique
des Grecs pour le genre diatonique. Vol. VII des
3>lanch« , imifique pl. 3. Du genre , dans la mufique
des anciens. V i l . 393. b. D e leurs principes d’harmonie. VIII.
50. b. H.armonie noble que Simonide donna à 1a mufique
mais qui ne fe foutint pas. 138. a , b. Mufique de Pytha!
gore. X IV . 601. a. Celle d’Ariffoxene , voyer l’article de
ce philofophe. Sur la feéte des Pythagoriciens 5c celle des
Arirtoxénieus, Suppl. I. 3 58 .‘é. Suopl. IV . 336. a
Services qu’EpIgomis rendit à la mufique. Suppl.\\.%zQ. a. Du
nombre des fons pratiqués dans la mufique des anciens. X V . 347- Du rhyhme , X IV . 267. a. C e qu’ils entendoient
par melopée. X. 322. b. Leur mufique n’étoit qu’un véritable
rédtatif. Supqd. IV . 138. b. La nuifique fut portée
V. Grecs à un haut point de perfeélion. I. 249. a. Sur
I niffoire de leur mufique, voye^ Système , T empérament.
Les Etrufqiies iiurodiiifirent la mufique dans le culte des
dieux. Suppl. II. 899. b. Leur goût pour cet art. 900. b.
inique tombée dnns la barbarie après La la deftruélion de
I empire romain. X. 410. b. D e la nuifique françoife &
Italienne : comparaifon de run eSc de l'autre. V. 333. a. La
mufique italienne ne doit pas être accompagnée comme la
tançoile. I. 77. a. Les Italiens paroiffent penfer que la mu-
y ^ plus noble 5c
aurSr^K nature. IL 43. b. La mufique françoife
plus befoin d’une mefure bien marquée
que 1 Italienne : v. ..
133- ‘2- Différence .
111. 401. b. Caraéleres
par rapport à l’afferviffemciit à la mefure.
3 - , , L n .. i ......mufique italienne. Suppl. IL
aueffi'ui Vi ]•. ^ / " “ ^ “ * ,f ‘'ançoife. 321. b. Examen de la
^ Tome I I ' ‘talienne cft préférable à la mufique
MUS 269
françoife : comment on doit procéder duiis cet examen. IV.
1076. b. Réponfe à une objection fur la difficulté de former
une bonne mufique h-auçoife. Suppl. III. 823. a. Quel
a été |e plus illuffre muficien d’Itaiie. V, 333. b. Les François
n’ont eu que deux écoles de* mufique , celle de Lulli 5c celle de Rameau. Ibid. Etat de la mufique fous le nre-
micr : progrès quelle fit enfiiite. J. 234. b. 233. a. Qfaf-
ta-.les que 1 opéra françois a apportés aux progi èi, de la mu-
fiqiie en France. XII. 829. b. Du fyffême de Rameau. V IL
464. b.^ 463. a. Obfervation d'Addiffon fur la mufique fran’
çoile 5c la mufique .angloife. XI, 494. .1, De U théorie de
larî. Ni les calculs gêoxiiétriques, ni les explications Sc les
r.iifonncmens pliyfiqiies ne (bnc iitile.s a cette théorie. V i f.
^ génie de la nuifique demande peut-être plus de
ciehcaieffe 5c d’élévation que les autres arts. X. 768. b. La
mufique eff la langue du femimem 5c des paffions. XU. 824.
b. La mufique devroit faire panic de l’éducaiion des co lleges.
III. 637. a. Jtiffe idée de la mufique moderne, Suppl. 1- 823. .1. Elémens dont la imifique off compofée. Suppl. III.
516. b. Divilioii de la mufique vocale en mufique fans fyni-
phome 5c avec fymphonie. XV. 740. b. Des fous par rap-
j)Ort a la mufique. 343. 4 , b. Echelles daiu b mufique. V.
230. 4 , b. Intervalles. V iU . 838. 4 , b. Mefure X 410
b. Mouvement. 841. b. Style en mufiriue. X V . 336. a.
Toms. XVI, I I I . 4 , b. Comment h mufique doit obfer-
ver l’accent oratoire Sc l’accent profodique. Suppl. II. 322.
4. Effet du caraéfere d’une langue fur la mufique. 321. b ._
322. 4. D y la mufique théâtrale. Ibid. b. D e l’exurefTion
qualité cffemielle à la mufique. VI. 313. 4 , b. 5cc. Suppl.
II. 922. 4 , Z>. — 928. 4, Expreffîon pathétique. Suppl. IV ,
236. b Genre de mufique propre à exprimer la douleur,
lü . 387. b. Du gout en mufique. Suppl. ll( . 247. b. De la
beauté dans la compofition 8c rexécuiion. Suppl. I. 839 b
La beauté proprentent dite de la mufique attribuée au rhyth!
im Suppl. IV. 643. 4. Du commencement d’ une piece de
mufique. II, ^26. b. Des contrafles d.ms les pieces,
370. a. Qiialité.s dans une piece de mufique qui rend l'en-
femble plus facile à faifir. 807. b. Du mouvement dans une
pièce de mufique. Suppl. IH. 970. 4. D e ce qui eff dur en
mufique. Suppl. 11. 743. h. - 746. b. De l’exécution mu-
iicale. 910. 4. ~ 9 1 1. b. 912. 4. Abréviations en nuifique.
Suppl. 1. 43. b. Des caraaeres employé, durs cet art, Suppl.
n . 233. 4, b. De l'art de copier les pieces. 389. a b
Papier réglé pour la mufique. Suppl. IV. 233. b. luconvé-
niens attachés à notre maniéré de tracer la mufique. V IL
464. 4. Syffcmcsinvemés pour y remédier. X I .230*4, h .—
231. 4 , f». Mullque inffnimentale , Instru.mens 6l Lvs-
TRUMENTAt.. iVIufiquc facréc, voyr^C'HANT 5c Pl a iN-Ch aNT.
Mufique militaire : celle des Allemands regardée comme la
meilleure. VI. 401. b. Mufique des orientaux ; leur fvffeme
V o l. V IL des planch. Mufique, page 3. Mufique des verres.
XVII . 136. 4, b. Voyei l’ariicle Mtfieal Sc. les plandies
de mufique fur la fin du volume VII.
M usique des Hébreux, {Critiq. facréc. ) Divers exemples
qm montrent que les anciens Hébreux aimoient la mufique
, 6c qu ils faifoient nfage de divers inffrumens. Quels
etoienc ces inffrumens. X. 903. a. InffrumeiK qu’ils appcl-
loiCiu n.iblnm. XI. 3. 4. a t r
M u s iq u e , prixùe .{Antiq. grecq.) Prix de mufique qu’on
doniioit dans Athènes pendant les bacchanales. Loix particulières
des jeux où l’on dlfputoit ces prix. Crainte qu’affec-
toit Néron de violer ces loix. X. 903. a.
M:fique,prix de, chez les Grecs. XIII. 392. b. Jeux Si.
combats de mufique qui fe célébroient à Sparte Si à Athènes.
Suppl. II. 244. b.
M us ique , efet de U , ( Médcc. Dicte, Gymnafi. Thérap. )
Effet de la mufique fur un homme doué d’une dofe ordinaire
de fenfibiiite. X, 903. a. Il y a lieu de prél’uiner que
tous les prodiges qui font r.aeontés des enchaniemeiis 5c des
vers clans la gucrifon des malades, doivent être rapportés
à la inufique. Cet art employé amrefois par Efcul.ape. Le
pouvoir de la mufique fur les corps les plus infcnfibles, dépeint
dans l’hiffoire d'Orphée. Ibid. b. Ouvrages à conful-
ter fur les effets de la mufique. 1°. Effets de la mufique
fiir les corps bruts. Rapidité avec laquelle le fon parcourt
l’air. Aurre effet du l'on fur l'air, celui de le raréfier. Of-
cillations produites dans l’air Si fur différens fluides , par
le fon des inftrumens. Ibid. 904. a. Effets du fon fur des
corps folides. 2". Effets de la mufique fur les animaux. Ibid. b.
3“. Sur les hommes. La mulique des ancien? plus fimple ,
plus imitative , étoit auffi plus pathétique 8c plus efficace
que la nôtre. Mode phrygien propre à exciter la fureur. Mode
dorique par lequel on excitoit les paffions oppofées. Divers
exemples de ces effets fiirprenans Ibid. 903. a. Mufique militaire
des anciens. Impreffioii qu’elle faifoit fur le coeur des
foldats. La mufique propre à prévenir ou diminuer la fatigue
, fait dans les marches militaires, foit à la danfe. Pourquoi
l’on chante ’ordinairement fur la fin du repas. Différence
entre les carafteres nationaux, attribuée par les anciens
Y y y