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4 9 8 P O R
ûir le tro u e, & par iKpielle il ne fit que les avilir. XIH.
156. M.iliiié les valk-s états que pollétlc le gvaml-feigneur,
il n’ciure prclqiie pour rien il.ms le lyllème politique de
rpurope. Moyen [).ir lequel il ponrioit parvenir à y avoir
quek|iio iiiliuence. Barrière (pii arrête les ])rogrès des Turcs
en Europe. Poinapioi la Porte eoiil'ervera l'empire qii'elic a
acquis d.ms cette partie du monde, lùi./. 137. .1.
J\>r/c, i.i : folbleffe de la puilTanee ottomane. XIU. 3-57.
n. foy c i T u r q u ie & T urcs. D'oii vient Tufage d’expri-
■ mot f'on: la cour du grand-leigneur. X V .
73a. Z>.
Porte,
torn. ) Delcriptioii de ce vaid'eau. Pour-
quoi les anciens lui 01
t donné le nom de poria. X l l l . 137.
J. V'eritabie ulagc do .‘cte e
veine l'eloii M. Keil. IhiJ. b. Voy\\
V eine.
Porte , m.ilad'us de U veine, ( j\/Jdeein. ) 1 '. Le gontle-
ment de ce vailleau par la flagnation du lang : d’oii rélulce
le premier principe de mélancolie. X l i l . 137. />. Remedes.
2°. Obllmdions d.ins cette partie , d’où réùilte un défaut de
bile. Remedes. 3''. VailTcaux par lesquels le l'ang s’ouvre
quelquefois en ce cas un diemin pour rétrograder opérer
une crife. /bid. 138. j .
Por/e, en terme d'épiiiglier, en terme de jeu de paume.
XIU. 138. .U
Porte, (C/iû.) Porte-aiguille. XIII. 138. a. Porte-bou-
fie . Porte-pierre infernale. I)cicription & ulages de ces in-
llnimens. Jbid. b.
Porte-MpuHe , terme d’aiguillier , de gaînicr , Sc de piqueur
eu tabatière. XIII. 13S. b.
Porte-C hapeau , {Bot. Jard.) noms de cette plante en
difTérentes langues. .Son caraélere générique. Dclcription de
la feule cfpece connue fous le nom de paliure. Lieux oii il
croît naturellement. On alTure que la couronne d’épines de
Jefus-Cliriil ctoit faite avec cet arbrilîeau. Suppl. IV . 313.
a. Maniéré de le cultiver. Ses ufages. Ibid. b.
Porte-Coffre, {Ch,inceH. de l'rjnc e) Fondions de l'officier
deligné par ce nom. XIII. 139. a.
Porte-Crayo .n , ( Peinture') (lelcription de cet infiniment.
Porte-crayons qu’on renferme dans des étuis ou cylindres
de cuivre. Dlvifion marquée fur les porte-crayons. X lll-
Pone-cr,iyo/i brifé, ( Gr.jv. en taille douce') Defcriptlon de -
cet 'mftrumcru. Son iifage. X lll. 139. b.
Porte-Cr o ix , anc.) religieux de fainte croix. In*
fiimtion de cet ordre. Premier monaficre chef de l'ordre.
Hifioiie de ces religieux. Leur habillement. Lieu de la ré-
fidence du général. Divers endroits où cet ordre efi répandu.
XIII. 139.
Porte-Dragon ,(MiUc. anc. ) Piufieurs nations portoient
des dragons fur leurs étendards, qui par cette raifon furent
appeUés de ce nom. Dragons romains. Ceu x des Perfans
ék, des Partîtes. Noms que les Grecs & les Romains don-
noietit au foldat qui portoic le dragon. XIII. 139. b.
Porte -enjeigne , ( Milice de franc. ) il s’appelle aujourd’hui
finiplement r/j/éigtte. a UI. 139. b Bas-ofïiciers appelles porte-
enjèignes dans les régimens fuifi'es. Porte-drapeaux dans le
régiment des gardes françoiles./éti. 140. a.
P ort, étoiles S’ perroquets , ( Hijl. mod. ) nom de deux fa-
élions qui fe formèrent à Bâle vers l’an 1230. XIII. 140. a,
PoKT£-FAix. (C'awm.) Poids confidérables que portent les
porte-faix de Turquie. VU. 121. i. D'où dépend cette force
fingulicre. 122. a. Force étonnante des porte-faix de Mar-
fe ii le & d e Londres. i . Porte-faix appelles fi égatairesau
Baftion-de-France. 293. a. Voye^ Gagne Denier.
Porte ,faujfe- ( Liner. ) FauÛ'e-porte des maifons desGrec*
Sc des Romains. Signification des mots poßicum, pojViculun
&. pfeudothyrum. XIII. 140. a.
Porte-feuille y (Zfi/aV. ) Porte-feuilles à ferrure. Quatre
charges de maîtres de porte-feuilles dans la maifon d’Au-
gufie. XIII. 140. a.
Porte-feuille, {Relieur) XIII. 140. b.
Porte-foret , (Àj/t)«t. ) Defcriptlon de cet outil. XIII.
140. b.
Porte-foret ,{O r fev .) Defcriptlon Sc ufage de cette efpece
de tenaille à boucle. XIII. 140. b.
Porte-Glaive , ( Hiß. mod. ) Ordre de chevaliers en Pologne.
Origine du nom qu’ils ont pris. Hilloire de cet ordre.
x i i i . 140. b.
PO R T -G R E V E , {Hiß. mod.) C ’étoic le principal magif-
trat d’un port de mer ou d’une ville maritime. E tym. du mot.
Le premier magiftrat de Londres s’appelloit autrefois port-
greve. Comment s’exprime la charte de Guillaume le conquérant
adrelTée à la v ille de Londres. XIII. 141. a.
Porte-Haubans ou écotards, {Marine) Defcriptlon de
ces pièces de bois dans la conftruélion du vailleau. Leurs di-
menhons. X III. 1 4 1 . />.
Porte-Lanterne, (///y?, nat. ) infeéle d’Amérique d’une
conformation très-finguUere. D ’où lui vient le nom de porte-
lanterne. Sa defcriptlon. XIU. 141. b.
P O R
Po r te -Lauriers , fête ( .4n;iq. g’x e j.) Fête qu’on célé-
bvoit en Béoiie à riionneiir d'Ai'oHon llménicn. X l l l . 1.41. b.
Origine de ectie fête. En qut)i elle coiilifioit. Ibid. 142. a.
Po r te - M an tea u , ( Hiil. moJ. ) oihcler d e là mailon du
roi de France. Nombre K. fonélions de ces ofi'idcrs. Autres
dignités (jui ont leur porte inaïueaux. XHI. 142. a.
Porte-Manteaux, { Menuija.) X lll. 142. b.
Po r t e -Mir ü ik , ( Hijf. n.ii. ) ]).ipi]lon de Surinam. Def-
cription de ce papillon & de lii chenille. X lll. 142. a.
Porte , ( M.in/tf ) Pono-plein. Porte-à-toute. Porte tant
de long , tant de gros. X lll. 142. b.
PoRTE-ViRciUES , (V/.;o/;r) pieces de cliarpeiiterie dans
la confiruétion du vaifieau. Leur delcripiioii, leurs diiuenfioiis
& ufages. X lll. 143. a.
Porte-Vent , ( Luth. ) Porte-vent de bois : maniéré de
la faire. Porte-vent de plomb ; Ion ufage. X lll. 143. a.
Po r t e -V J S , { Hnjueb. ) piece du fufd. Suypl. III,
160. a.
POKTE-voix , (/V;y/?i/. ) Ccmmc'u le fou efi augmenté
par cene macidne. Le fon qui part du ])oric-Vüix n’efi [las
il dillinct, que li l’on j)arloit lan.s l'aide de cct infirument.
Porte-vüi.x qu’avuit Alexandre le grand. Deferijuion de
cette machine perfeélionnée par le chevalier Moriaud. X l f l .
143. b.
PO R T E E , {A rn ll.) angle de la pins grande portée. Portées
intermédiaires. Ligne que décrit le boulet en fortant
du canon. Portée du but-cn-blanc de la pièce. On ne peut
pointer le canon vers un objet déterminé , que cet objet ne
folt dans rétcmlne de la portée de buc-en-blanc. Cette portée
efi de troi.s cens toiles. Portées de difFérctites pieces
tirées .à toute volée. X lll.1 4 4 . j . A l'égard d e là portée du
fillll , vojt;; Feu militaire.
Portée, celle du canon. III. 464. a. C e qn’on entend par
la portée d’une piece , ou le but-cn-blanc. Suppl. U. 204.
a. Intliicnce que la longueur de l'amc d’une piece peut
avoir fur la portée. Ibid, a , b. 207. Ejjrcuvcs faites fur
la portée de quelques pieces de canons. Suppl. I, 613. b.
616. a , b. Portée du canon de buc-en-blanc & à toute volée
; portée des carabines & du fufil: angle fous lequel un
fufil doit être tiré pour endommager l’ennemi à la difiance
de trois cens loil'es. VI. 630. a. De la portée du fufil. VU .
393. i . Portée de but-en-blaiic du canon de fnfil de munition.
Suppl. IL 209. b. Suppl. III. 138. b. Fufil il'portée
de but-cn-blanc. VU . 396. j , b. D e fa portée polTible. Ibid.
b. 397. a, b. D ’oii dépend la longue portée des carabines.
396. b.
Po r te s ( ) La portée de la mufique efi compol'ée
de cinq ligues, mais celle du piain-cbant n’tii a que quatre.
Lignes accidcmelles qu’on ajoute à ces lignes fixes. XIU.
144. b.
Portée. III. 3ifi. b. Moyen d’élever ou d'abaifi'cr la portée
par le chaiigement de la clé. 317. a.
Portée , ( Comm. de mer. ) ou pacotille 6c ordinaire. Portée ,
capacité d'un vailTeau. XIII. 144. />.
Portée. ( Econom. rujliq.) Portée des animaux. XIII. 144.
b. Voyei Gestation.
PORTEE, {A r ch it.) différentes fienificatlons de ce mot.
XIII. 144, b.
Portée, terme d’arpenteur, d’épinglisr , d'horlogerie. XIU.
144. b.
Po r té e , ( Mc:t. en aiuv. ) place où doit être logée la pierre
que l’on veut fertir. Détails fur l’ajufiage de la portée. XIII.
144. b.
Portée. Portées d’un moule en ternie de plombier. Portée
en terme de maniifaflure de laine & de mamifiiélure de
foie. Portée dans l’arrondiiTage du ruban. Portée , terme de
clialfe , terme de fauconnerie. XIII. 143. a.
P O R T E R , Apporter. Tranfporter, Emporter. ( Synon. ) D ifférences
dans la fignification 6c l’ufage de ces mots. XIII.
143. b.
Por ter , {Critiej. f ie r .) XIII. 143. b.
porter. Significations de ce mot employé dans differens
arts. XIU. 143, h.
Porter, ( A k/ieg.) Différens ufages de ce mot. XIII.
146. a.
PORTERFIE LD , ( Guillaume ) anatomifie, Suppl. I. 409«
a. 8c phyfiologifie. Suppl. IV. 338. b.
P O R T e U R , {Comm.) Devoirs impofés p.ir les ordonnances
aux porteurs de l'el, aux jurés-porteurs de grains Sc
farine, Sc aux jurés - porteurs de charbon. XIII. 146. b.
Po rteurs d'argent, {Comm.) Leurs fonélions. Précautions
que doivent prendre ceux qui les emploient. XIII. 146. b.
Porteur {Jurïfpr.) Billet au porteur. Porteur d’ordre.
Porteur de pieces. XIU. 146. b.
Po rteur , ( Maréch. ) Cheval porteur, dans un équipage.
XIII. 146.
P O R T IC l , ( Géogr. ) Château que le roi Don Charles
a fait élever dans ce village. Cabinet de Portici. Académie
créée pour s’occuper de l’explicanon des monuraens antiques
P O R
qu’on y a ralfcmblés. lûmes qui contii.nncnt le travail
ac.idémiciciis, Suppl. iV . 313, b.
Poinci, nuiia-umdu toi de Naples .à Portici. Siwpl. III
. , r 2 .a ,b .U c . ■
l'O R T lF ll , ( Thcohg. ) Il r
aient tompté cette fundion pat..................... u,meu.>, ma,s
d an s le g ld e la lm e c lle y a é té comptée. X lll. 147.,,. Fondions
des poruers loi-f(|ue les diréticiis v iv o ic u au milieu des
mfitlelcs. Füiiüions qui leur font marquées dans le ponri-
tical lomam. Paroles que leur adicfie l’évèque en leur 11,i-
fant toucher k s clefs de l’églifc. Du nombre des poniers
dans une egbfe. Gens à qui cct ordre fe donnoit. Ibtd b
Po rt ier ,/« f ie r .) Les Lévites eu faiioicne
les (oiKhoiis. Cette charge étoieiu de confiance. Fonc-
lions qu’ils cxci^oient. XIU. 147. b.
P ü R n i '.R E , ( l'diér. ) Les Rom.iins mettoient des pieces
d’eiofies magnifiques tievant les portes de leurs galeries ou
tIc leurs pin-riques. Quatre cfpeces de voiles ap];cllés pro-
p)'Ua. X l l l . 147. b. Voiles dont on fc lérvoit dans l'incé-
rieur des mailbns. Ibid, le ß .a .
Portieres, ( Amll. ) XIU. 148.
PORTILUE, {Sdlier-Cnn,JfJ)X[\\. 148. a.
tinciemieté de i’ufage des ponlcrcs.
P O R T IO N , P a r t, P.irtie , {Synon.) XII. 84.
Po rt ion, dure & molle, {A n a i.) XIU. 148. a.
Portion de couronne , {Hydiaul.) X\{\. 148. a.
Po rtion, {Jnrifpr.) Portion perloiir.ellc. Portion canoniale.
XIII. 1 49.
J'oriion avantageufe. I. 223. u.
Portion canonique ou congrue, penfion duc au curé ou à
fon vicaire , par ceux qui pcia,oivcnt les grolfcs dimes.
Otigmc des portions congrues. X l l l . 14 8 . Celle des prieurés-
cures des chanoines réguliers de l’ordre de S. Auguluii. Indigence
des vicaires perpétuels, des religieux de l ’ordre de
S. Beno it, qui a donné lieu à une inimité do demandes
de leur part, j)our avoir la portion congrue. Fixations de
cette poiiion. Difpolitions des loix de France fur ce fujet.
Ibid. b. Ouvrages à confulter. Ibid. 149. b.
Portion vhule , ( Jurifpr. ) Celle qu’un héritier a dans
la luccelfion. Pourquoi elle efi appellee vitile. Autres fortes
de isomoiLs viriles. XIU. 140. b.
P Ü R n O N C U L E , {Nom de lieu, &■ Hiß. eccl.) premiere
mailon fondée par S. François d’AffUe. Elle devint
la pepimere de toute la numbreulé race des frères mineurs
X l l l . ! 30. a.
PÜR r iQ U E , ( Archit. ) Quels font les plus célébrés portiques
de l anti([uité. Portique circulaire. Portique rhodien.
XIII. 130. a.
Portique le plus confidérable de ceux d’Aiiienes. XII.
b t n a , b. Portique dorique & ionique. Suppl. I. 532. b.
Portique, {Aiuiq. rom.) magiuficeuce des portiques
paimi les Romains. Portiques couverts ék liécouveris Portique
de Pompée. X ii i. 130. a. Celui d’Augufie. Celui de
Néron. Nombreux portiques publics. Portiques de princes.
Deii.x portiques qui portoient le nom d’Agrlppa. L/ieu de
délafiemenc pratiqué vers le coté du nord de chaciue maifon.
Promenoirs couverts qu’on voyoit à Rome, ou la propreté
djfpiitoit avec la magnificence. Galeries q u i, à caufe
de leur longueur, fuient appellees Celles que Pline
avoit dans la maifon de campagne. Ibid. b. Agrémens des
portiques foit publics, foit parneuliers. Ibid. 131. a.
Portique des Perfans, ( Archit. giecq. ) ancien moiuimctit
de Lacédémone, dont on voit des vefilges. Premier ufaoe
des colonnes caryatides dans I.1 confiruâion de cet cdirie^c.
Ces_ colonnes, au rapport de V itru v e , reprefentoieni des
Perfes captifs. A quelle occafion ce portique fut élevé. XIU
131. .1.
'l’oiK'Iicyv'S. d’arbres, {Jardin.) Portique de treillage. XIII
13 t. .Z
Portique d’appui, {A r ch it.) XIU. 1 3 1. b.
PÜRT IU S , niéclecin : fon ouvrage fur la fai^’ nee. X IV 504. U.
P O R T L A N D , ( Gtbgr. ) canton maritime delà province
de Dorlet en Angleterre. Sa forme de prefqu'ifle. Pierres
qu on en tire. Duc de Portland. Suppl. IV . 314, a.
P O R T O , {Géogr.) ville de Portugal. Sa population &
ion commerce. Sa fmiation. Elle efi la patrie d’Uriel
Acofia & de Vafquez Lobeira : ouvrage de ce dernier XIII
131. b.
Porto , autres villes de ce nom , l’une dans l’état de V e nue
, l’autre dans l’état de l’Eglife. XIII. 131. h. Voye^
PÜ R T O -B E LO , {Géogr. ) ville ik port de l’Amérique.
Foncation de cette ville. Qualité du climat. Obfervations
‘le Porto-Belo. XIU. l e i . b.
-O R T O -C A G L IE {Géogr.) port de la Morée. Son
ancien nom. Origine de celui qu’il a aujourd’hui. &c. XIII.
P O R 4 9 9
PORTO - I)H.-PRIN CIPl:, f ville ,1,- l'« • (cpremilonalv. S i (ltua,i„„. T c m Luinlnaifc- é Z ' ,
li'/ .D 'K ? ‘I“ !•' 'nor- XIII. / ! Ï . lO R IO - UONI',, ( G J a g r . ) nom mocicrni du Pyréc. Uv cnpn,,,, do cc poit. .XIU, , ç i , t. ’
l O R rO - KKIO (Gréfi.) l'nnu des Iflcs Antlllci. Sa
ddmptiorl. Oii|;mc ,1c Olifcrvatloiis fur le port
P O R T O -S A N T O i„ c d'Afrlcptc. P , , , , , ;
a ete decouverte. S.i delcnptiuii 6v X l l l \<i
p o im j S E G U I» , ( k , r o
nendmnale fur la cote orientale du Urél.l. Commerce
f , d ï ‘'l' I» ville capitale.
PO R P SM O U TH . (G fo jr .) ville de la GramJc-Rretagnc ,
P O B T X i ’r ’ r «l’a 'lg lv e r re . XIII. l.
en entrre? ^c es mot‘s, ’ YXIuIIf. ’ 133. b. J "CVS
PORTUAJT. {U n tr . H ijl.) Portraits de cire qui fe faio.
ent cliea Ic^s Romams; plus ils dtaloicnt de tcK portraits
dans leurs veftibules, plus ils étoient nobles. 111. 472 e
IJron <1 images citer, les nobles Romaiits. XL ,68 u Oui
ctoicnt ceux mn pmivoicni lailfer Icuu pottraits à lents en-
tans. 16; Ptetnier fculpicur qui 11, des poritalts en ap-
pbqumn le pbUte (u, le v.fage de ceux don, il vonlui, avoir
la refilmbiaiice. XIV, 822. a.
r o r „a iis ,„ cire, pcrfeflion il laquelle cet art a été porté
de nos jours : ouvrages de Saint Benoit en ce eenre III
472. a. b ■ ■
Po r t r a it {Peinture) Le principal mérite de ce eenre
c pcmtuie eit Icxaéte relTembiaiice, qui con/ifie principalement
a e.x-pnmer le caraélcro ik l’air de pbyfiouomic d .s
pcrionnes qnon repréfunc. XIII. 133. b. L’air , le colons
les ajultemens, rattliude , font des ebofes effe,nielles à la
jrerfeebon d un portrait. Obfervations paniciilieres fur l'art
de prefenier des attitudes convenables ; fur le lourire dans
un portrait, fur les ornemens & les attributs. Ibid 134 a
Elpece de deguilenicns clioifis quelquefois par les perfonnes
qui le font peindre, üblervations fur les portraits des peintres
anglois. Ibid. b. ^
Portrait. Ceux qui fe font peindre devroient toujours eboi-
lii- un vetement convenable à leur état. V . 107 b Art de
flatter fans nuire à la reffemblance. VI. 844. a. Portraits en
regard. X l i l . 912. a.
I {Peinture.) Il étoit réfervé à la folie
de rseron de fc faire peindre en pié fur une toile de cent
cinquante pieds de haut. Réflexions de M. de Caylus fur
ce fait finguber & unique dans l’iiilloire. Q uel a été le fort
de cet ouvrage. XIII. 134. b.
P o r t r a i t , ( P,ofc & Poéfie) L ’art de bien peindre les
qualités particulières de l’cfprit & du coeur d’une perfonne
ne fl pas une choie facile. 11 faut auffi caraaérifer l’air ciui
orme la reifcmblance. Portrait de mademoifeife de Ch.itii-
lon. Celui de Cromwel par M. de Volt,ire. PonraR de fiction
noblement é c r it , celui d’Arténice par la Bruyere, XIU
135. u. lortrait d’une reine d’Egypte par l’abbé Tcrralfun.
. \ T morceau au portrait qu'a fait Boifuet
de Maric-Thercfe, on fera furprisdo voir combien le grand
maure de 1 eloquence efi au-deffous de l'abbé TerraiTon dans
Ion eloge. Ibid. b. Des portraits en vers. Portrait de madame
de Rochefort p.ii M. le duc de Nivernois. Celui d’une
autre dame par M. de Voltaire. Celui de l’empereur Titus
par Aulone. Vers de Defpreaux pour être mis au bas du
portrait de Racine. Ibid. 13Ö. b.
Portraits v o ye z ÉTHOPEE & Hypotypose : portraits
dans 1 epopee. Suppl. K. 829. a. Examen de la queftion fi
Ion doit clans l’hifioire faire des portraits. VIII 223. a.
P CW T -R O Y A L , {H iß . mod.) Origine du monafiere de
Port-Koyal près de Clievreufe au couchant de Paris. Hif-
toire des religieufes qui habitèrent cette abbaye. Ce mo-
nallere détruit en 1709. Ecclcfiafiiques qui fc retirèrent à 1 ort-Royal où on leur donna des appartemens, & où ils
compoferent divers ouvrages. X lll. 137. a.
Po r t -R o y a l , ( Géogr. ) fondation de cette abbaye de
bernardines. Morceau d’un difeours de M. Rigoley de Juvigny
dans lequel il a peint les iliufires favans de Port-Royal!
Réflexions fur la deftNiétion de ce lieu , qui avoit fervi de
retraite au mérite & à la vertu. Ouvrages à confulter fur
l’hifioire de Port-Royal. Suppl. IV. 314. .z. L ’article Port-
Koyal q^ui précédé celui-ci regardé comme fautif ék inexaél.
Port-Royal, fentiment de MM. de Port-Royal fur l’é-!
goifme. V . 431. a. Eloge de leur ouvrage imiiulé lA n de
penjer. IX. 638. h. Ces auteurs cités dans piufieurs articles
de grammaire.
P O R T U G A L , {Géogr.) royaume le plus occidental de 1 Europe. Ses bornes Sc fon étendue. Ses produélions. XIII
137. u. Ses principales rivieres. Religion du pays. Provinces