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î02 L A V „oîiics ri-mliers <lc la congrégatioi. dc S. Smveur-de-Latr.in.
Audens dcrcs que les papes étaMireiu à S. Jean-dc-Latran.
En quel tems les chanoines régiilin's commenccreru à vivre
en commun. Combien de cems iis polTederem cette eglile. 1a .
^ lî.'r .m , églife de S. Jean de. X IV. 350. l . . . .
L A T R IE , ( Théolo-y.) Différence entre le culte de lame
&; celui de ditlie. (iette diflindion reconnue dans le quatrième
ficelé , de l'aveu de M. Daillé. IX. 305. b.
L it.k - , aille s/.-. IV . 331- J. La didindion du culte de latnc
& de diiiie e.xprimèe par S. Angullin. V. 163. b. 166. a.
L A T R IN E , ( L'm. ) lieu public chez les Romains. Etym.
de ce mot. Plaute fe fert du mot Idiriiuz pour défigner le badin.
Les Romains n’.avoieiit point de foiTés à privés. Les latrines
étoient en grand nombre à Rome. Comment elles étoient couvertes
& garnies. Moyens qu’avoient tes Romains pour netto
ye r d’ordures les maifons & la ville. IX. 306. u.
L.urinc , maladie qui attaque ceux qui vuidcnc les folles
des latrines. XII. 7S5. e. ^
L.-i TRC7N C U L I , ( Lht. ) efpece de [eu des fokiats. On ne
doit pas le confondre avec le jeu des échecs. IX. 306. a.
L .A T T E , ( Art. mcck. ) Latte appellee vAica Latte jointive.
Contrelatte. Latte de fente, de Iciagc. Lattes des moulins a
vent. IX. 306. iï.
L.vTrES , ( Mnine) Lattes de caillebotis. IX. 306. n. Lattes
de gabarit. Lattes de g dere. IbiJ.b.
L-itts à ardoife. Contrelatte à ardoife. IX. 306. h.
Lattes, ( Couvr.) Latte quarrée. Contrelatte. iX. 306. b.
L.ifies pour la couverture eu lave. Suppl. III. 712. b.
LATT.'-:,;u/?/c<r fo u s , {Junfpr.) IX. 95- b.
L A TU S ; {^Géom. ) L.ÜUS rebltim ,voyci PARAMETRE. L.ttus
tr.infverfum , voyr^ A X E . L.itus primariurn. IX. 306. b.
L A V â D ERÔ S , terres qui contiennent de for. X L 522. a.
L A V A G E des mines, (Miner. & Mét.ill.) opération par
laquelle on le propofe de dégager, à l’aide de l’eau , les parties
ceneiifes , pierreufes & fablonncufes, qui loin jointes aux
mines, afin de féparer les parties métalliques de celles qui
ne le font point. Pr.ncipe fur lequel cette opération eA fondée.
Opération qm doit la précéder. IX. 306. b. Il y 3 pluiieurs
maniérés de laver les mutes. Defeription de celle qu'on appelle
l.iv.ige i IjfibdU. Ouvriers qui pratiquent ce lavage. Dclcnp-
tion de quelques autres manières de lavage liir lavoirs garnis,
fur ceux qui ne le loni pas, tbid. 307- *'■ ^ moyen du
tamis. Ibid. b.
L.a v a g e , {Chyrnie) par décantation, IV . 661. i. par edul-
cor.ition. \ . 403. a.
La v a g e , {Boyaudler) Defeription Je cette opération. IX.
307. b.
Liv-ice des dr.jps , voyei LaiNE, {Msniifiblure a i) .
L avage des chifons i^Pupeter. ) Delcription de ce lavage.
IX. 307. h. ' ■ ^ .
L A V A G N A , {H ijl.n.it.) efpece d’ardoife. Divers ufages
auxquels on l’emploie. Lieu d’où onia tire. IX. 308. a.
L A V A L , {Géogr.) L a va l-Guyon, ville du .M.nnc. Gens-
de-letrre.s nés dansAeite ville ; B igo t, ( GuilLtume ). Anecdote
fur ce favant. David Rlvanlt. Daniel Tniivry. Anroine Paré.
Obfcrvations fur ces Immmes-de-lettres. IX. 308. a.
L aval , ( Géogr. ) Obiérvations hlAoriques fur ce lien.
Sa halle. Commerce de fes toiles. Origine de leur manufaaiire.
Grands chemins conftrults dans le comté de Laval. Hommes
illuflres nés dans cette ville. Suppl. III. 7 1 1 . a.
L A V A N C H E S , ou Avabnehes , {N if . nat.) malles de
nei^e qui roulent du haut des montagnes. Combien elles font
à re^douter. Danger de traverfer certaines gorges de montagnes
en tems de dégel. IX. 308. .t. Silence que les gardes exigent
des voyageurs. Deux fortes de lavanches. Détails hiAonques
fur une avalanche qui en 173^ enfévelit pluiieurs maifons à
Bergemoletto, village du Piémont. Lavanches de terre. O uvrage
à confuher. Jbid. b.
L A V A N D E , {B o t.) CaraÛeres de ce genre de plante.
Defeription de la lavande mâle. IX. 308. b. P'oye^ auAl AsPiC.
Defeription de la lavande femelle. Lieux où ces deux efpeces
croifT^nt naturellement. Lavande appellee ftoecitas. Ibid. 309.
a, Ibye^ ce mot.
Lavand e , {Bot. Jardin.) noms de cette plante en différentes
langues. Son caraélere générique. Enumération de
quatre efpeces. Lieux où elles croiffenr. Leur defeription, culture
, qualités & ufages. 5 u/5_d/. in . 71T. b.
Lavande , ( Chym. Phann. Mat. médic.) Ce font les épis
des fleurs de la lavande femelle , qui font le fiijet de cet
article. Huile effentielle tirée par diAillation. Précaution à
prendre dans la récolte de ces fleurs. Comment on les fcchc
pour les garder. Efprit de lavande. Ean-de-vic de lavande.
Eait de lavande ; fon ufage. IX. 309. a. Maniéré de faire de
la bonne eau de lavande de Trcinel. Eau diflillée de lavande,
quls’eflélevée av e c l’huilc dans la diAillation. Ufage extérieur
de i’eau , ou de i’eaii-de-vie de lavande. Ufage de l’eau de
lavande dans les évanouiffemens. Emploi de lavande dans
pluiieurs préparaùons olRcinalcs. Ibid, b.
L A V LAU U
LA V A N D IE R E , ( Omhh. ) Defeription de cet oifeau.
Pourquoi on lui a donné le nom de motacilU. Lieux où il le
plaît. Son aliment. IX. 309. b.
L.'W A RD IN , {Géogr. ) bourg & châte.au, avec un ancien
titre de marqutfat, dans le Maine, übfcxvations fur la maifon
de Bcaumanoir qui pofféda cerie léigneurie. Suppl. III. 7 12. a.
L A V A R E T , ( Ickthyolog. ) efpece de faiimon ou de truite
de quelques lacs de Savoie. Sa defeription. Qualité de fa
choir. IX. 310. ,1.
L A V A T IO N , {Lit:. ) en quoi confiAûit cette fête en
l'honneur de la mere des dieux. Son inAltiuion- IX. 310. a.
L A V A TR E , { Louis) coniroveifiAe proteAam. IX. \ -iy.a.
L A U D , {Guillaume) archevêque de Cantorbéry. XIIL
837. a , b.
L A U D A N U M , ( P/(,;/v/z. ) en quoi conAAe la purification
du fuc d’opiiim , par laquelle on fait le laudanum. IX, 310. b.
L.nubmim, on lui donne réplthcte d’opiaium. XI. 503. a.
L.iudantim liquide de Sydenham. Maniéré de le préparer.
Ses vertus. IX. 310. b.
LAUDES , ( Liihurg. ) terme de bréviaire. IX. 310. b.
L A U D lCÆ N I , ( Lut. ) gens gagés pour applaudir aux
pieces de théâtre, ou aux harangues publiques. Regies qu'ils
dévoient obferver en applaiidilfant. C'omment on les plaçoit
fur le théâtre. Moment auquel iis applaudilToient. Ofiros de
fervices cui'ils faifülent au.x orateurs, aux aâeiirs 6c aux
poètes. IX. 310. b.
L A V E , {H ijl.n a t.) maticre liquide que les volcans v o -
miflent. IX. 310. b. Ravages que ces matières caulent. Ces
matières fondues font très-long-tems à fc refroidir. Exemple
tiré de réruption du V e fu v e , arrivée en 1737. Longueur &
largeur du torrent principal de lave qui fortit dans cette
éruption. Maffe piodigieufc de lave qui fortit de l’Etna en
1669. Somme totale de la matière fondue qui fc répandit en
1737. übfcrvations fur la nature de la lave. Efpece de lave
qu’on trouve dans le Pérou. Ibid. 31 1. a. Autre efpece de
lave , décrite par M. de la Condnmine. Ufage qu’on en fait
à Naples. Lave dont la ville de Naples eA pavée. Lave plus
grolficre que les précédentes. Les fondemens de pluiieurs
maifons à'Hercubnum , bâtis avec de la lave. Différentes
couches de lave très-épaifTes qui fe trouvent fous terre dans
le royaume de Naples. L’Italie prefque emiere renferme de
la lave dans fon fein. Differentes pierres d’Italie qui femblent
n’ètfe qu’une véritable lave. VaAes embràfeinens auxquels
il paroît que ce pays a été fujet. Ibid. b. Pierres de divers
autres endroits qui ne font en eft'et que de la vraie lave.
Pierres de cette efpece en Auvergne. Ibid. 312. j .
L ave , ( Minéral.) carrières de lave. Provinces de France
où l’on en trouve. Suppl. III. 712 . j . Manière de travailler
cette pierre au fortir de la carrière , lorfqu’on veut s’en fervir
pour couvrir les maifons. Détail des opérations comcernani
la couverture en lave. Ibid. b.
Lave, pierre de lave appellee piperno. XII. 648. a. Lave
qu’on a vu couler de l’Éthna. Suppl. II. 887. a. Celle qui
couvrit Sc dévaAa Herculaniun. Suppl. III. 350. b. Celle
qui a fervi à bâtir Pompeii. Suppl. IV. 302. b.
LA V E G E , ou Lavezzi , ( Hifl. nat. ) pierre du genre des
pierres ollaires. Trois carrières qn’on en connoît en SullTe.
ufage de cette pierre. Difficulté de la tirer du fein de la
terre. L ’on tourne au tour les maffes de lavege qui ont été
tirées de la terre , Sc formées en cylindre. IX. 311./».
LA V E L IN E , ( Géogr.) v illage, chef-lieu d'un ban du duché
de Lorraine dans la V c f g c , diocefc de Toul , bailliage
de Bruyeres. Des privilege's qui furent accordés autrefois
aux habiians de ce lieti. Suppl. 111. 713. a.
L A V EM E N T , ( Théolog.) lavement des piés. Coutume
établie chez les Orientaux de laver les pics des voyageurs.
Exemples tirés de l’Ecriture. Cérémonie que pratiqua )efus-
ChriA après fa derniere Ccnc. Effets fpirituels qui ont été
attribués au lavement des piés. Sentiment de S. Ambroife
fur ce fujet. D e l'ufage de laver les piés aux nouveaux bapti-
fcs. Comment il a été infenlîblemcnt aboli. Obfcrvation fur
le nom de facrement donné à cette cérémonie. Fête du lavement
des piés , cérémonie de laver les piés pratiquée en
différentes églifes. Lavement des autels. IX. 3 12. b.
Lavement des piés , {H if .) les Romains avoient coutume
de laver les piés de leurs convives. IV . 168. b. D e l’ufag«
établi chez les peuples du nord de fc laver la tête , les piés &
les mains avec de l’eau froide. IX. 693. b.
Lavement des piés, {Médec. ) voye^ Bain de piés.
Lavement , ( Médeci^ ce mot a été mis au rang des mots
deshonnetes. Comment les Chinois appellent les iavemens.
III. 533. b. Situations qu’on doit tenir pour les garder & pour
les rendre. 647. h. Ch yle que fourniffent les Iavemens nour-
riffans. IV . 1001. b. Ufage des Iavemens après l’effet d’tme
médecine. XIII. 379- “ • Lavemens âcres & irritans. X V IL
199. a.
L avemens pour les chevaux, ( Maréch. ) Suppl. 111. 393. L
L A V E R , terme deboyaurier, d’épingUcr; de manufacture
en laine. IX. 313. a.
Laver les formes , ( hnprhn.) IX. 3 13.
Laver au p b t , {Monnoie. ) IX. 313. a.
I.AVER, {P e int.) Comment l'e forment les lumières en
lavant fur du papier blanc , 6c en lavant fur du papier coloré.
DireAion fur la m.miere de laver un plan à pluiieurs couleurs.
IX. 3 13. a.
L A V E R N E , ( Myihol. <5* Litt. ) déefle des voleurs & des
fourbes. Culte qu'on lui rendoit à Rome. Autel qu’elle avoit
proche d’une des portos de la ville. Bois qu’elle avoit dans la
voie Salarionnc. Dans quel but les voleurs s'y raircinbloient.
Moiuimenr public érigé à Laverne, proche du temple de la
Terre, infeription qui nous donne connoilî-uicc de ce monument.
Lien confaci é à Laverne , dont parle Cicéron , écrivant
à Atticuj. Pourquoi on lui rendoit un culte. Diifertacion
fur cette dédfe. Etymologie du wxoïbverna. IX. 313. b.
Laverne , ( Je.m. ) Suppl. 1. 362. b.
L A V IN IE , ( Myth. ) fille de Latimis, roi du Latium. Hif-
toire de la vie de cette priiiccfle. Suppl. III. 713. b.
L A V IS , {Fortifie. ) couleurs dont on fe fort pour laver
un plan. Ufages qu’on en fait dans le lavis. IX. 314. a. Maniéré
de détremper l’encre de la C h in e , le carmin , l’imligo , la
go.mine gmtc, le verd de v c lfie , 6c le biAre. Maniéré d’affoi-
blir ta couleur d’eau ou de lui donner de la force. Ibid. b.
L.iv is, comment on adoucit les deffins lavés. I. 143. a.
Maniéré de procéder pour toutes les couleurs en la v is , afin
qu’elles ne falfent point corps fur le papier. II. 226. b. Maniéré
de faire des couleurs pour le lavis de toutes les fleurs
qui ont un grand é c la t , 6c de les rendre portatives. 284. b.
Vous trouverez aux articles de cliaqiie couleur, celles qui
font propres au lavis.
LAU.MELLINE, ( Géogr. ) pays très-fertile du Milaiiez.
Origine de fon nom. Ses villes principales font Mortare 6c
Valence. Suppl. 111. 713. b.
LAUN -MAUN , efpece de plante. Suppl. I. 728. h.
L A U N O I , {Jean de) düéicur en iliéologic. X V I. 824. b.
823. .1.
L A V O IR , {Alincralûg.) en efpagnol lavandero, lieu où
l’on tire de l’or des terres par le lavage. IX. 314. b. Maniéré
de former l’excavation dans ces terres 6c d’en tirer de l’or.
Obfervations fur l’or trouvé dans les lavoirs d’Andecoll , à
dix lieues de Coquimbo. Exagérations de M. Frezier. Ibid.
3 1 5 . i.
Lavoir pour nettoyer les mines. V IL 142. b. IV . vol. des
p'.anch. Article forges, pl. 6. VI. Vol. des planch. Article
mei.iliurgie.
L.ivoir, ufages de ce mot en hydraulique 6c en arcliiteAure.
IX. 315. .J.
Lavoir, outil d’arquebuficr. IX. 315. a.
LAURE , {B ifi. eccl.) réfidcnce de.s anciens moines. Etymologie
du mot. D e la différence entre les laut es 6c les mo-
naAeres. Les différens quartiers d'A lexandrie furent d’abord
appelles bures. Ce terme réfervé enfuite aux couvens
d’Egypte 8c d'O rient. IX. 313. i.
L A U R E A T , poète couronné. XII. 844. 8cc.
L A U R E N T , (M . ) ingénieur, Suppl. IV. 366. a , b.
L aurent , Saint-, ( Géogr. ) Cafende du fleuve S. Laurent.
X IV . 7 2 3 . ..
Laurent , Saint, { Jurlfp. ) grands jours de s. Laurent.
XII. 47. <1. Parlement de S. Laurent. 63. a.
LAUR ENTUM , ( Géogr. anc. ) ville du Latium. Sa fitim-
tion. Cette ville éioit peu de chofe du tems de Trajan. IX.
313. b. Foret de Laurente. Origine du nom de cette ville 6c
de cette forêt. Maifon de campagne que Pline avoit dans ce
canton. Ibid. 31 3. i.
L A U R EO L E , {Bot. ) petit arbriffeau toujours verd qui
fe trouve dans les bois de la partie feptentrionale de l'Europe.
Sa defeription. Lieux où il fe plaît. Manières de
multiplier cet arbrifl'eau. Parti qu'on en peut tirer pour l’agrément.
Acrctc 6c vertu purgative de cette plante. Ufage qu’en
font les teinturiers. Variété de cet arbriffeau. IX, 3 i6 .u .—V o y .
G arou 6c Daphné.
L aureole, ( Mat. Médic.) la mâle Sc la femelle. IX.
316. a. Elles doivent être regardées comme un poifon. Grains
de cnlde tionc parle Hippocrate. Ibid. b.
LA U R IE R , ( Bot. ) caraAeres de ce genre de plante. Difte-
rens genres de lauriers qui fe divifent en plufieurs efpeces
ou variétés. Quelle eA celle qu’on entt-nd ordinairement par
le mot laurier. !X. 316. b.
L.iurier franc. Lieux où il cA commun. Sa defeription.
IX. 316. h. Terreins qui lui conviennent. Maniérés de le
multiplier. Diverfes obfervations fur fa culture. Ufa«e de
cette plante. Scs variétés. Ibid. 317. b. °
Laurier , ( Bot. ) noms de cette plante en différentes lan-
fyxe-i. Suppl. III. 713 . b. Son caraélere générique. Enumération
de huit efpeces. Ibid. 714. a. Lieux où elles croiffent.
Leur defeription 8c culture. Leurs qualités 8c ufages. Ibid. b.
Laurier d’Amérique, dit achoiirou. I. 97. b.
Laurier aromatique. II. 308. b. Laurier dt
Suppl. 11. 315. 4l , i.
1 0 3
• de.S. Antoine.
• Lauricr-cerifc. Licu d’où il eA originaire. On ne le connoît
que fous l.a forme d’un arbriffeau ,' dans la parue feptentrionale
de la France, Sa defeription. IX. 317, a. Terreins où il
fe plait. Manière de lé multiplier. De là greffe fur le cerificr.
Soin avec lequel on doit le prélerver du froid. Ufage qu’On
en peut tirer pour l'agrément. Scs autres ufages. Variétés de
cet arbre. Laurier-cerfie Je b Louijbne, ou burier-amatule.
L.mrtcr-cerife de Portugal. Obfervations fur fa ciiliurc Sc fur
la manière de le multiplier. Ibid. b.
Laurier-cerise, ( i^unt/n ) caraAere générique de cette
plante. Voye^ iù^DUS. Dcf'cription 6c culture de trois efpeces
qui appartiennent à ce genre. Suppl. 111. j i 6. a.
Laitner-ccrife , gomme qu’on en tire. VIL 736. a. Obfcr-
vacions fur cet arbre. Suppl. H. 293. a. Laurier-cerife dit
Japon. X V . 902. a.
L.iurier-ccrtfc. CaraAcres de ce genre de plante. IX. 3 19. b.
Laurier, efpece do laurier, a|ï})cllé na ou nagi. XI, 2. b.
L.iurier-roje. Sa defeription. Attentions de culture. Efpeces
de ce genre divilées en deux daffes. Premiere clafl'e. Launet^
rofe ordinaire à fleurs rouges , cchn à fleurs blanches , ÔC celui
donc les fleurs font utelees de louge & de blanc. DireAions fur la
manière de les entretenir. Seconde clafl'e ; Laurier tofe à
fleurs rougeâtres , fimples & odorantes , le même à fleurs doubles
, celui a fleurs doubles, mêlées de rouge de blanc, 8c un
sxnre A glandes fleurs rouges. Lieux d’oii ils font originaires.
Eloge des ])!us belles clpeces. IX. 318. a. Précautions pour
les taire lleiuir, Lieux où ils croiffent dans leur ijavs naturel.
Ib li.h . ■
Laurïer-rofe, efpece de ce genre , nommée bduua-arcli.
Suppl. I. 866. b.
Laurier-rofe. Ses caraAercs. IX. 319. b.
Laurier-fauvage. Suppl. II. 437. b. Excroiffance qui fe forme
fur ccite plante. II. 189. a.
Laurier du Japon , nommé Jfto. X V . 483. h.
Laurier-tin. Defeription de cet arbriffeau. Lieux oii il vient
naturellement. Tcireins qu’il préféré. Maniérés de le multiplier
6c de le cultiver. IX. 318. «r, Différentes efpeces de ce
genre. Le laurier o’-dinaUe. Le laurier-tin ordinaire à feuilles
panachées de blanc. Le lanrier-tin ordinaire feuilles d'un verd-
b-un tres-luifant. Le Inurler-tin à feuilles rudes & à fleurs purpurines.
Le laurier-tin à petites feuilles. Le laurier-tin ri feuilles
panachées de jaune & à fleurs purpurines. Ibid. 319. b.
Laurier-tin. Article fur cette efpece. X V I , 355. <2, b.
Laurier-tin. Ses caraAercs. IX. 319. b.
Laurier royal ou des Indes. Sa defeription. Maniéré de le
traiter. Lieux où on le cultive beaucoup. Comment on le
multiplie. IX. 319. a.
Laurier tulipier , ( Botan. ) nom de cette plante en
différentes langues. Son caraAere numérique. Enumération
de quatre efpeces. Suppl. III. 716. <2. Lieux où elles croiffent.
Leur defeription , culture , qualités ÔC ufages. Ibid. 7 17 . a.
Laurier alexandrin. Sa defeription. En quoi coifflfte le mérite
de cette plante. Maniéré de la multiplier Sc de la traiter.
Elle n’a aucun rapport avec les autres genres de lauriers. Scs
efpeces. IX. 319. a. Fragon, houx, frelon, 6cc. Laurier
alexandrin A larges feuilles , A feuilles étroites , A feuilles étroites
qui porte fon fruit à l'extrémité Je fes branches , A larges
feuilles dont les fruits viennent aux aijfcllcs des feuilles, à larges
feuilles dont le fruit vient fur le bord de b feuille. Ibid. b.
Laurier, ( Chym. Phann. Mat. médic. Dicte) on fe fert
indifféremment du laurier-franc 6c du laurier royal. Ufaçe
qu’en faifoient tes anciens médecins. Ufage de fes feiiillès.
Propriétés de les baies. Cas dans Icfqucls ou les preferit. IX.
319. a. Leurs vertus démontrées par leur analyfe chyuiiqiie.
Trois différentes huiles qu’on en peut tirer. Huiles de ces
baies employées contre la galle. EleAiiaire dans lequel entrent
les baies de laurier. Quatrième huile tirée par infufion 6c
décoAion des baies dans de l’huile d’olive. Emploi confuléra-
!)lc des feuilles de laurier dans les cuifincs de Paris. Leur
effet dans i’cAcmac. Ihid. 320. b.
Laurier-rose , ( Médec. ) Gnlien le regarde comme un
poifon. IX. 320. a. DiffinAlon établie fur ce lujet par d’autres
naturaliAes. Remedes contre ce poifon. Ufage extérieur do
fes feuilles. Ibid. b.
Laurier , ( Lite. Myth. ) de tous les arbres, le plus honoré
parmi les anciens. Diverfes pratiques 8c opinions uiperAiiieu-
fes fur cette plante. Ufage que les laboureurs faifoient de fes
feuilles. Vertus qu’on lui aiiribuoit. Pourquoi cet arbre fat
confacré à Apollon. Couronnes de laurier. Lauriers que l’on
prétend être nés fur la coupole du tombeau de V irgile , près
de Pouzzoles. Faifeeaux de quelques premiers niagiffrats,
entourés de lauriers. Ufage du laurier dans les triomphes.
IX. 320. b. Ceux qui recevoieni une réponfe favorable
d’Apollon fc coiironnoient de lauriers. Le laurier, figne de
bonne nouvelle chez les Romains , de paix 6c d'amitié. Vaif-
feattx ornés de lauriers. Ufage de planter des branches de
laurier aux portes des empereurs. Differtation à confuher fur
ce fujet. Eloge qu'Ovide a fait du laurier. Ibid. 321. a.
Laurier, de la couronne de laurier. IV . 394. a , b. VIII.