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Orruvr yrarogMiviim, fnfiVagc de h premiere tribu ou ceniurie
dans les comices. Quelle étoic la tribu, curie, ou centurie
fju’on appelloit prérogathe. Ibid. b.
ÜM I-NTUM, {Anatoin. ) ou epiphon. Situation, ü ru au re ,
in fertion, & tilTu de cette partie. Ses nerfs 8c les vaifïeaux.
XI. 46^. b. Ufages de l’omcntum. Ibid. 468. Exemple d un
épiploon d'une grofTeiir inonftrueufe. Opération chirurgicale
lorlque dans les'plaies du bas-ventre , l’épiploon fort avec 1 m-
tellin, conjointement ou féparément. Ibid. b.
O.MENTUiM, (y4 /hzf.) diverfes confidérations fur la texture,
la ftniclure ÖC la fituation de cette partie du corps humain.
SiwOpml. erIMVm. .147. b. Sa defcrlptioii. VIII. 272. a. Rapport entre 1 o-
nicntum& le foie. VIT. 33. b. Parties qui apparuennent a
roinentuin , v o ^ E p ip lOïQüe.
O.MENTUM, maladies de 1’ {Médec.) defcrlption de ces
maladies. XI. 468. b. _ - . , Omeniim. Hernie de cette partie. VII I. 176. <r.De la reduction
dans les plaies de l’abdomen. XII. 684. b. C e qu on doit
faire lorfquc cette partie ellbleflee. 685. a.
OM E R , Saint- (Ge'o^r.) ville de France. Sa fituation, fon
commencement. Obfervaiions fur Sugcr,abbé de faim Denis,
& fur Cl.iude Daufqueius,chanoine d eTourna y , 1’un Sc l’autre
nés à S. Orner. XI. 469. a.
Omer^ Saint- obfervations fur les fourcesqui fe trouvent
près de cette ville. VU . 94. a. Ouvrage intitulé, la vérité
de nfifioire de l’églife de Saint-Omer.lV. 1024. b. Echevinage
de Saint-Onicr. V . 2^7. a, b.
OM ISSION , (Afii/j/s) péché d’omilfion. XII. 226.0.
OmilTions réputées fautes. VI. 438. b. On n’impute à per-
fonneromilTion d’une chofe ordonnée, fi l’occafion a manqué.
VIII. 638. a.
O.vnssiON, (Rhétor.') voye:^ Pa r a lip se .
O -M I -T O , \ niß- mod.) divinité vénérée des chinois idolâtres.
Origine de ce dieu. XI. 469. a.
.OM M E LAN D E S , les {Géogr.) le plat pays qui eft aux
environs dcGroningue. En quoi confiée la province de Gro-
ningue. Divifion de l’ommclanden en trois quartiers. Population
de ce pays. XI. 469. b.
O.MMIADES, {H iß. des Arabes) voye^ C a l iFES.
OM O PH A G IE S , lûtes célébrées dans les
ifles de Chio Sc de Tenedos en l’honneur de Bacchus. XI.
469. b.
OM O PH O R IÜM , ornement particulier aux évêques. VIII.
\6.b.
OM O P LA T E , ( Aneit. ) é tymologie de ce mot. Defcrlption
des os ainfi nommés. X I. 469. b. Leur firinfture, leur connexion
a v e c les parties voifines. Ibid. 470. a. Leurs ufages. Ibid. b.
OOTo/’/iZfe, defcrlption de cet os. VIII. 270. é. C ’eft de l’omoplate
principalement que dépendent les différences attitudes
de l’épaule. V . 7^6. a. Apophyfe acromion de l’omoplate.
I. 1 1 4. <i, Apophyfe coracoïde. IV. 194. <7. Releveur
de l’omoplate. X IV .6 ^.<r. T rapeze deromophate. X V I . ^65. é.
OM P AN O R A T E S , ( Hiß. mod. ) prêtres de fille de Mada-
gafear. Leur divifion en différentes claffes. Comment ils abu-
fent de la crédulité & de l’ignorance des peuples. XI. 470. b.
OM PH AL E, (A/yr/z.) reine de Lydie. Amours d’Hercule
& d’Oinpliale. XI. 470. b.
OM PH ALO D E S , ( Bot. ) voyei^ Herbes a u x n o .m b r u s .
Caraéteres de ce genre de plante. X I. 471. a.
OM PH ALOM AN T IE ,( Divinat.) divination parlemoyen
du cordon ombilical. Etymologie du mot. En quoi conllltoit
cet art. Réflexions fur le defir de connoitrefavenir.XI. 471.0.
OMPHALOMESENTERIQUES , vaiffeaux {A natom .)
defcrlption de ces vaiffeaux. XI. 471. zz.
OMP12ES, {H iß.nat. ) hommesfauvagesdefille de Madagafear.
Obfervations par rapport à eux. XI. 471. b.
OM R AH S , {Hiß. OTOi^. ) feigneurs de la cour du grand
Mogol qui rempliflentles premieres places de l’état. Tableau
des troupes du grand Mogol. XI. 47t. b. Appointemens des
omrahs. Souvent ils fe rendent formidables à leur fouverain.
Omrahs les plus diftingués de fempire. Ibid. 472. a.
O M U L I , ( Hiß. nat. ) efpece de poiffon de Ruffie & de
Sibérie. Sa defeription. Lieux où il fe trouve. XI. 472. a.
O N
ON,(Z<mg./rzz/2cApourquoi nous difons quelquefois/’ozz
pour on. II. 17. b. Obfervations fur ce mot qu’on regarde
comme figne d’imperfonnalité dans les verbes. VIII. 396. b.
D e fa prononciation. XI. i. b. Ce mot n’eft point un pronom
mais un nom. XIII. 43 a. b. MM. Régnier & Refiaut l’ont
regardé comme un pronom déclinable. 831. b.
O ïl PiH, douleur, {H iß.facr.) fils de/uda, & petit-fils de
Jacob. Crime dont il fe rendit coupable, & dont le feigneur
le punit par la mort. Suppl. IV . 148. b.
O NANISME, {Médec.) voyer Man s t u p r a t iON,
O N A T A S , fculpteur ancien. X IV , 823.0,
O N E O N C A S , ( Zoolog. ) efpcce de finge de fifie de Borneo.'
Bclbartl que fon tire de les intefiins. XI. 472. b.
O N C E , {H iß. nat.) tigre d’Amérique, & tigre noIr.Par*
fies de cet animal dont on fc fert. XI. 472. b.
Once, il paroit qu’on peut mettre dans la claffe des onceS
le jaguara, animal du Bréfil. VIII. 433. b.
O n c e , {Comm.) petit poids. Signification du mot latin
uncia. Divifion de fonce de Paris, de celle des monnoyeurs
& orfèvres, de celle qui fait partie de la livre de douze
onces; perles à fo n c e ; cotons d’once. XI. 472. b.
O nce , ( Monn. ) monnoie de compte en Sicile. X L 472. b.
O nce de terre, {H iß. d'Angle:.) XI. 472. b.
ONCHISMUS ,(Gi’0^r. anc.) le port de ce nom étoit en Epire
entre Panorme &Ca ffiop e,& lèvent onchefmite on ancliefmite,
étoit le vent propre à paffer de ce port en Italie. XI. 473. a.
O N C IA L , {Antiq. ) épithète que les antiquaires donnent
a certaines lettres d’une figure forrlarge. Etymologie du mot.
Mamiferit en lettres onciales , dont le prince de Valachie fit
préfent à M. fabbé Sevin en 1729. XL 473. a.
Oncial, lettres onciales. X V II . 379. «z.Üfureonciale. X V IL
O N C L E , vo yq fon relatif Neveu. Oncle à lu manière de
Bretagne. IV . 403. b. Maniéré de connoitre le degré de
parenté entre fo n d e & le neveu. 766. a.
O N C T IO N , {Théolog.) caraiRerepar lequel certaines per-
fonnes font confacrées, foit par rapport au fa c ré , foit par
rapport au profane. i°.Par rapport au facré. XL 473. a. O nftion
employée pour la confccration des autels. Signification & but
de fonétion adminiflrée à certaines perfonnes. Confécrafion
de la famille d’Aaron. Deux maniérés de confacrer, q ui, felon
les rabbins, furent en ufage chez les Juifs. D e fonffion des
prophètes. Onéllon adminiflrée dans féglife romaine à ceux
qui font promus à la prétrife. Trois facremens où l’onélioii a
lieu, félon les catholiques. 2®. Par rapport au profane. L ’on-
éfion employée chez les anciens juifs à l’égard des rois. Origine
de l’omflion des rois parmi les chrétiens. Ibid. b. En quel
fens les miniflrcs des autels Si les princes font appelles les
oints du Seigneur. Fréoiient ufage des onéHous chez les
Orientaux 8c chez les Grecs modernes. Ibid. 474. a.
O/iHion , v o ye z H uile. VIII. 339. a , b. Sc oindre. X L
433. a. Onftlon du faim chrême dans la confirmation. III. 378.
b. ÔnfUonsque l’évêque feul adroit de faire.379. a. Extréme-
onélion. VI.3 38 . b. Onéiion avec fhuile de la lampe. 339.«2.
O ND E, {Phyfiq. ) explication de la maniéré dont fe forment
lesendes. Lo ixd e c e mouvement déterminées par Newton.
XI. 474. a. Détermination de la vîteffe des onàç%.lbid. 473. a.
O ndes. ( Conchyl. ) XI. 473. b.
O ndes. {M .m ufan.) XI. 473. L
O nde. {Boutonn.) XI. 473. b.
O nde, {terme de calandre) XI. 473. b.
O nde ou calotte d'une cloche. ( Tom/für) XI. 473. b.
O ndes. ( Hautdijf. ) X L 476. «i.
O N D U L A T IO N , { Phyfq. ) caiife des ondulations circulaires
fur un liquide uni & en repos. XI. 476. a.
Ondulation, mouvement ondulatoire de l’air, par lequel le
fonfe propage. XL 476.0. M.HuyghensImagine que la lumière
fe propage auffi par des efpeces d’ondulations. Ibid. h.
O n d u l a t io n , (C/izr.) mouvement d’un fluide épanché dans
une cavité. Différence entre f ondulation 8c la fluôuation. X L
476. b.
O N EG a , {Géogr.) defcripfions du lac , de la riviere &
du pays de ce nom dans fempire rnflien. XL 476. b,
O N È G O U A S , {H iß. mod.) titre qu’on donne à la couf
du roi de Benin en Afrique, aux trois perfonnes les plus
diflinguées,qui font toujours auprès du monarque. Pouvoir
que ces feigneurs exercent. Antres feigneurs d’un ordre inférieur.
XI. 476. b.
O NEIDE , tribu {Antiq. d'Athene s ) partie de'cette tribu
appellee lyrmida. X V I . 786. b.
O N E IL LE , (Gc'egr.) ville appartenante au roi de Sardaigne
, enclavée dans l’état de Genes, 8fc. Précis de la vie d’An^
dré Doria, natif d’OneilIe. XI. 477. a.
O N EIR O CR IT IE , {Théol. payen.) art d’interpréter les
fonges. Etymologie du mot. Traité d’Artemidore fur les fon-
ges. Etymologie du mot. Il d ivife les fonges en fpéculatifs &
en allégoriques. L ’ancienne oneirocritie confifloît dans des
interprétations recherchées & myflérieiifes. Cette forte d’analogie
qu’on a prétendu trouver entre le fonge & la chofe
qu’il fignifioit, n’a pu être fondée que fur la fcience hiéroglyphique.
XI. 477. a. Enfuite chaquefiecle introduifit de nouvelles
fuperflitions qui changèrent entièrement fart oneiro-
critique. Les hiéroglyphes étoient déjà devenus facrés du
tems de Jofeph, comme on le voit par fes interprétations des
fonges. Ibid. b. Foye^^ plus bas O n ir o cr it iq u e .
O n e ir o c r it ie , voyei So n ge . Origine de fart de les interr
prêter. IV . 1072. b.
O N EREUX , (/zzAz/^r.) titre onéreux.XVI. 360. b. Tutele
onéreiife. 764. b.
ONES1 C R IT E , philofophe cynique. IV. $98.^.
O N G O N G LE , {Botan.) XL 477. b.
O n g le , ( Anatom. ) formation des ongles, ftlon Malpighi
Boerhaave, Heifler, Scphtfieurs autres. XI. 477. b. Doélnn^
de M. W in flow fu r la formation & la Ariu^ure des ongles.
Trois parties dans l’ong le, la racine, le corps Sc fextrémiié.
Pourquoi fongle eflfenfibleà la racine. Pourquoi les ongle'
font plus épais & plus durs à l’extrémité. Caufe de leur adhé
rencc a la peau de deffons. Comment on explique la nourriture
& faccroiffemenr des ongles. Ibid. 478. a. Pourquoi
fo n s’eft imaginé que les ongles continuent de croître après
la mort. Mouvement des taches qu’on apperçoit quelquefois
fur ies ongles. Comment fe forme un nouvel ongle après la
chute de celui qui a précédé. Caufe de la douleur qu’on ref-
fent à fextraélion d’un «ngle, ou lorfqu’un corps étranger fe
trouve «ntre fongle 5 c la peau. Ufages des ongles. Ouvrages
à conl’ulter. Ibid. b. Il arrive quelquefois que fongle du gros
orteil croît dans la chair par fa partie latérale, ce qui caufe
de grandes douleurs. Opération qu’exige cet accident. Moyen
de prévenir la récidive. Exemples de quelques jeux de la
nature fur les ongles. Des ongles des bêtes. Leurs différentes
formes. Stnufture & méchanifme des ongles de quelques
animaux qu’ils cachent Scfont forth à leur volonté. Ibid. 479, a.
O ngle , ( Anat. ) corps tranfparenc qui fe trouve à l’extrémité
des doig'.s.SuppLlM. M S .LO r ig in e , nature&fubflance
des ongles. Trois parties qu’on y diflingue ; la racine, le corps
6c 1 extrémité. Pourquoi les ongles font très-fenfibles à la
racine, & infenfibles à leur extrémité. Caufes de l’épaiffiffe-
ment & de la dureté qu’ils acquièrent en s’avançant vers l’extrémité.
Ibid. 149, a. Leur forte adhérence au doigt. Comment
011 peut les féparer dans les cadavres. Nourriture & accroif-
fement des oi^ies. C ’efl une erreur d’imaginer qu’ils croiffent
après la mort. Taches des ongles qui s'avancent infenfibiemem
de la racine vers l’extrémité. Formation d’un nouvel ongle
pour remplacer celui que quelque accident afaic tomber. Caufe
de la douleur que fait éprouver un corps folide fixé entre
1 ongle Sc la peau, 8c i extraftion de fongle même. Ufages des
ongles. Ibid. h. Opération à faire lorfque l’ongle du g ro f orteil
croze dans la chair par fa partie latérale. Moyen de prévenir
la récidive. Jeux de la nature par rapport aux ongles. Des
ongles des bêtes. Struélure & méchanifme remarquable de
« u x des lions, des ours, des tigres 8c des chats. Ibid. 1 30. a.
Obfervations fur la formation & la ftmélure des ongles de
l ’iiomme. Ibid. b. °
Ongle. Subftance des ongles. VIII. 263. b. Srruélure pani-
euhere de fongle des cbats 8c des tigres. III. 233. b. XL 479.
a , b. Echymofe formé fous l’ongle. V. 267. b.
^ ite aux mots onyxSc hypopyon.Dei'cûpûon de la première.
Trois efpeces d’ongles , 1 e membraneux , l’adipeux S c ie variqueux.
Do la cure de cette maladie. Collyres à employer.
OPapnélrcamtieonnt àq upir adtoiqitu feuri avprerè. s l’inutilité des collyres. XI. 47g. b. 7 ézi/. 480. *z. ^
Ongle. Di. trois efpeces d'ongles, le plus fâcheux efl celui
quoi! appelle drapeau. V . 107. a.
Ongle entré dans la chair. Moyen de prévenir le mal dans
fon commenceiiienu Traitement de cette maladie lorfqu’elle
a fait des progrès. XI. 480. a. Violens accidens qui ont été
quelquefois les fymptômes de ce mal. Panfement qui doit
fuivre l'opération. Ibid. h. Giyfç Pt é r y g iON.
O n g le , ( Lut. ) les Romains avoient grand foin de leurs
ongles. PalTage d’Horace fur ce fujet. XL 480. b.
O ngle du pié de cheval, {Maréchal.) corne du p'ié. Ongles
dupoing de la bride, dans le cavalier. Différentes pofltions des
ong le s , pour donner divers mouvemens à la bride. XI. 380. b.
O N G LÉ E , {Maréch.) peau membraneufe qui fe forme au
petit coin de foeil. Maniéré de la couper lorfqu'elle efl devenue
incommode. XL 480. b. Voyc^Suppl.WI. 784. a,
O N G LE T , ( Gèi>m.)_fe£iion de cylindre. Maniéré de trouver
la furface 8c la folidité de fonglet. Ouvrage à confiil-
ter. XI. 481. a.
Onglet, terme dé charpentier, de fleurifle, de graveur,
d imprimeur, de memiifier, d’orfevre 8c de relieur. XI.481.zz! Or^lei dans la taille des arbres. X V . 836. b.
O N G U E N T , {Pharmac.) obfervations générales fur la
maniéré de former un onguent, fur ceux qu’on appelle offî-
cmaux 8c fur les magiftraux. Divers ufages des onguens
dans les maladies. Maniérés de les appliquer. L’ufaee de
le hotter le corps avec des baumes 8c des huiles, fi pra-
Vjl“® ƒ les anciens , é to it, félon la théorie régnante, inu-
oc inême dangereux. Cependant les Iflandois 8c les
roenl^idois le pratiquent encore fans inconvénient. XI.
4 ^ . Vertus particulières de divers onguens. Ibid 482 a
y m f n s , dont la d re fait la bafe. II. 833. zz. Onguens
IX l^s onguens. Sa°r;ofefo“ ^
O N T 331
Onguent cpifpajliquc. Deux onguens de ce nom ; leur préparation.
XL 482. a.
Onguent gris. XI. 482. a.
Onguentdela //zerf , fa préparation. Son ufage. XL 482. a.
Onguent de la Comtefj'e. Maniéré de le compofer. Obfer-
vntions fur cette compofition. Son ufage pour remédier au
relâchement du vagin , après les accouchemens laborieux.
Mangonium virgmitatis, exécuté au moyen de ce remede.
XI. 482. b.
Onguent hemorroid.il. Defeription & ufage de cet onguent
dans les paroxyfmes d’iiéniorrhoidc. X L 482. b.
Onguens froids , les quatre, {Pharmac.) XI. 482. b.
Onguent fympaihique. XI. 482. a.
O NIAS , force de Dieu , {Hifl.facr. ) Il efl parlé dans cec
article de trois fouver.-iins pontifes de ce nom. 1°. Onias
premier, fils de Jaddiis. Il eut deux fils , Simon le jufle 8e
Eleazar. a«. Onias I I , fils de Simon. Suppl. IV. 131. a.
Ÿ - Onias I I I , fils de Simon 8c petit-fils d’Onias II. Ils
gouvernèrent la république des Hébreux du tems des Pto-
lomées 8c des Séleuddes. Principaux événemens de leur
pontificat. Ibid. b.
Onias , fouverain facrificntcur juif. IX. 788. a.
O N IR O C R IT IQ U E , {Théolog.païenne) Foye^ O nÉICRO-
Critie . Quand cet art ne fut plus entre les mains des prêt
e s , on ne craignit plus de s’en moquer ouvertement.
Traduiflionde quelques vers d’Ennius fur ce fujet. XL 483. a.
O ALI/M , ( Géogr. facr.) temple qu’Oiiias IV fit bâtir en
Egypte fur le modèle de celui de Jérufalcni. Hifloire de
ce temple. Auteurs à confulter. XI. 483. a.
ONKELOSjparaphrafe d’Onkelos. X I. 920. b. 92 1..Z .XV;
912. a.
O N O C R O T A L E , voye^ Pélic an .
O N OM AN C IE , ( D ivin.) divination par les noms.Etymologie
du mot. L’onomancie étoit fort en ufiige chez les
anciens. Citation de quelques paffages des anciens fur ce
fujet. Obfervations fur les noms de Meroé, d’Hippolyte , ds
Priam, d'Ag.zme/nnon. Préfage tiré par l’onomancie , de la
vufloire qu’Augufle remporta à la bataille d’Aélium. Les
grands empires ont été détruits fous des princes qui por-
toieni le même nom que ceux qui les avoient fondés. Certains
noms conftamment malheureux pour les princes. Regies
d’onomande felon les Pythagoriciens. XI. 483. b. Les leu-
nes Romains buvoient n la famé de leurs maitreffes autant
d^,.coiips qu’il y avoit de lettres dans le nom de ces belles.'
Préfages tirés des noms décompofés Sc réduits en anagrammes.
Exemple d’une efpece d’onomancie fort finguliere. X I.
484. a.
O N OM A T O P E E , {Gramm. Art étymolog.) étymologie
de ce mot: c’eft le nom de l’une des caufes de la génération
matérielle des mots expreffifs des objets fcnfibies; 8c
cette caufe efl l’imitation plus ou moins exaéle de cc*qui
conflitue la nature des êtres nommés. L’onomatopée vient
du penchant naturel de l’homme à l’imitation. XI. 484. .z.
C ’efl dans le genre animal que l’on rencontre le plus de
mots de cette efpece: exemples. Autres exemples d’ono-
matopce, qui ne font pas renfermés dans le régné animal.
L’imitation qui fert de guide à l’onomatopée, fe fait encore
remarquer dans la génération de pluficurs mots , en proportionnant
les élcmens du mot à la nature de l’idée qu’on
veut exprimer. Origine du nom aa , donné à quelques fleuves.
Ibid. b. Origine de plufieurs mots qui commencent par
le caraélere J i, 8c qui font deftiués à marquer la fermeté.
8c la fixité. Origine de quelques-uns de ceux qui commencent
par le caraélere f c , 8c qui font deftiués à marquer le
creux 8c l’excavation. N , la plus liquide des lettres, efl la
lettre caraélériflique de ce qui agit fur le liquide. Ibid. 483.'
a. FL efl affeélé au fluide dont il peint affez bien le mouvement.
On peint la rudeffe par l’articulation r, qui fort
auffi à déterminer le nom des chofes qui vont d’un mouvement
vite,accompagné d’une certaine force. Le principe
de la dift'érence des idiomes vient de ce que les hommes,
déterminés par différentes circonftances, ont envifagé les
chofes fous divers afpeéls. Origine que Publius Nigidiu»
donnoit aux mots par lefquels on exprime en latin les
pronoms perfonnels. Ibid. b. Paffage d’Auiugelle, dans lequel
efl rapporté le fentiment de Nigidius fur l’origine des mots; Ibid. 486. zz.
Onomatopée, figure de grammaire. XI. 770. b. Les mots
que nous devons à l’onomatopée ont les mêmes racines
dans toutes les langues , Sc nous font fuggérés par la nature.
IX. 261. b. Foye[ IMITATIVE , Harmonie.
O N O N Y CH IT E , {Théolog.) étymologie du mot. Nom
njurieux que les païens donnoient au Dieu des chrétiens.
Sur quel fondement les païens prétendoient que les Juift
adoroient un âne ou un dieu qui avoit des piés d’âne. XI,
486. zz.
O N TO LO G IE. ( Logiq. Métaphyf. ) L’ontologie fcholafli-
que tombée dans le mépris, dès que la philofophic de Def-
cartes eut pris le deffus. Ontologie de M. W o lÊ XI. 486,