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Moratip.:.<, (Icfaut oô ils toinbent, celui de g^ncralifcr
tio» Ij - idccs , & de vouloir donner au monde la loi qii ils
reçoivent do leur caraélcre. V llI . aSy. Calme ddlmeleur
où comluiienc ceux qui attaquent fans ceiTc les paliions. 666.
b. Los mor.ilincs écrivent beaucoup Sc obfervont peu. - .
310. />. Réflexions furies moraÜlles aulkres. X% H- 4<^o. b.
M O R A L IT É , nai.) rapport des aélions bumames
avec la loi. La moralité dos aélions confidéréc, 1' . par raji-
port à la maniéré dont la loi en difpofe; a". pa>' «appoit a
leur conformité ou oppofition avec la loi. A cet egard on les
dillinguo en bonnes, mativaifes , & mdifioientes. Une
bonne aélion peut être plus ou moins excellente, ik mie
luauvaiic plus ou moins condamnable. La moralité attribuée
aux pcrlbiincs aulH bien qu’aux aélions. X. 702. b.
des avions, IX. 87. .t- prouvée fuiyant les principes
d’un dratoriicicn. I. 804. b. Les aélions 11 ont de moralité
qu’autaiit qu’on reconnoit une obligation de le loumettrc
à une loi. 805. .!■ Fondement de la moralité Iclon Hobbes.
S05. b. Fondement de toute moralité. VJ. 7Ö. <1. La moralité^
peut être fans la religion. V llI . 909. .n Ln cur de Putîendort
fur la moralité des aélions luimaincs. IX. 86. b. Dilliiiélioii
éternelle du bien &. du mal. 66‘^.u , b. 6O6. .j. —
TINCT MORAL. Mo r a l it é , {Bdks-Lctt. Pocße.)h\ fin que la poéfie fe
propofe, c'eA le plaifir. Mais tome poéfie un peu léricule
doit avoir fon objet d'utilité , fon but moral. Quelquefois la
moralité fe préfente dircélement. Mais le plus louvent on la
lailTe à déduire, l'elFct n’en efi que jilus infaillible, lorf-
que le lefleur la trouve par lui-même. D e la moralité dans
l'ejiopéc. Examen du leniiment du P. le BolTu fur ce fujet.
Suppl. 111. 961. .1. Übfervations fur le lujet de riliade & fur
l'a moralité. Eloge du choix qu’a fait Lucain pour fon potùne.
/i/V. é. Grandes vues qu’cmbrtuîe le fujet de la Henriade.
Jb'hi. ^62. a. Mo r a l it é , (Wpo/og. ) Qualités qu'elle doit avoir. X.
702. b. Phèdre & la Fontaine placent iiidlfieremmcm la mo-
jalitc avant ou après le récit, ié/j'. 703. .2.
Mo ra lités, ( Thc.it. comédies faintes jouées dans
le quinzième & feiziemc fiecles. Ces pieiiles farces otoient
un niclaiige monfirueux d'impiétés 6c de fimplicitcs. Exemple
tiré de la maniéré dont on fait parler Joieph dans l’une de
CCS pièces. U n jéfuite efpagnol a cru que S. Joleph pouvoir
être placé au rang des martyrs, à caule de la jaloyifie^ qui le
dédiiroit , lorfqu'il s’apperçut de la groffeife de Ion époufe.
X. -03. .1. l'oyc^ Comédies saintes 8c Mystères de la
PASSION. M oralité , ( Poif. drum. ) cfpcce de drame qu’on repre-
femoit autrefois avec tes farces & les fotties. Du luje: de ces
pièces. Obfervafions fur la moralité de t ’horr.mc jujlc & du
mondain ; fur celle Je l'enfant ingrat. Suppl. UL 962. a.
Moralités. Des prologues de ces pièces. Suppl. 1V.333.Z'.
M O R A N D , [S.uivcur) anacomifte, Suppl. I. 406. a. &
p'ivfiülogiftc. Suppl. IV. 333.
iV lü R A T , (Géügr.) petite ville de SuilTc. Trois fieges
mémorables qui ont illultré Morar. X. 703. a. Défaite des
troupes de Ciiar!es-!e-hardi, dernier duc de Bourgogne; ce
qui fut l’aurore de la liberté de cette ville. Vers de M. de
Voltaire fur ce fujet. Chapelle de Morat remplie des os des
Bourguignons. Obfervatioiis fur le territoire Sc le lac de cette
ville.'ßailliage de Morat. Etablifl'ement du proteftaniifme dans
ce bailliage. Situation de la ville. Ibid. b.
M O R A TO IR E S , Lettres, ( ) ces lettres font
en Allemagne la même chofe que ce qu’on appelle Utires
d'ctdi en France. X. 703. b.
M O R A V E S ou frtres unis, ( Hijl. eccl. ) maifons ou communautés
dans Icfqueiles ils fubfillent. Education de leurs
enftms. Leurs principes de doélrinc 6c de morale. Obferva-
lions fur le comte de Zinzendorf, qui fut leur patriarche ou
leur chef. Eloge des niccurs des freres unis. X. 704. a. L’hif-
toire ancienne Sc moderne nous fournit pUificurs exemples
de cette forte de communauté de biens Sc de travaux établie
entre les Morave.s. Comimmainés d’Auvergne , qu’on peut
regarder comme les Moraves de la France. Ibid. b. Régime
de ces communautés. Nouveau projet d’aOTocintion , par
lequel de bons citoyens unis entr’eux , clierchcroient à mettre
à couvert des follicitudcs Sc de chagrins , ceux que le
défaut de talcns ou d’emploi rend fouvent malheureux ; afib-
ciation de gens laborieux , qui fans renoncer au mariage
poiirroient remplir les devoirs du chriftianlfme , Sc travailler
de concert à diminuer les peines , Sc à fe procurer les douceurs
de la vie. Ibid. b. ObjeiTions Sc réponfes fur cctétablif-
lement. Ibid. 706. a.
Moraves freres. VIII. 183. b. Leur fentiment fur la communion.
397. b.
M O RA V IE , , ( Géogr. ) province annexée au royaume
de Bohême. Scs bornes. Qualité du pays. Su capitale. X.
707. a.
Moravie, du marquifat de. IV . 6 3 .é.
M O R B ID E Z ZA , {Peint. ) la délicateffe , les grâces , le
M O R
moelleux des figures. Tableaux du Correge oii l’on volt comment
il réiilfiiVoic dans la morbitlezza. X. 707. a.
M O R B IF IQ U E , «.UR«, ( Medec. ) voye^ MATIERE.
M O RD , paper en , {Relieur. ) X ll. I4°-
m o r d a n t , {A r t mich. ) imlication de quelques mor-
dans pour attacher l’or en feuille, ou l’argent battu fur mie
furface quelconque. X. 707. b. Mo rd a n t , {A n s . Dorure. ) incoiivénlens de celui do:it
on fe 1ère ordinairement. Comjiohtion d’un mordant nouveau
qui n’ell point fujet à ces incouvéniens. Maniéré de s’en fer-
vir. Suppl. 111. 962. b.
M o r d a n t , ( Cloutier d'épingle.) X. 707. é.
Mordant , ( Imprim. ) clefcription Sc ufage de deux inflru-
mens de ce nom , dont le compofiteur fe fert. X, 707. b.
Mordant , ( Peint. ) Comment le fait le mordant defilné
à rehaulVer les ouvrages en détrempe. X. 707. b.
Mordant, la connoilfance des mordaiis ell très-ancicnne :
pafiage de Pline fur ce fujet. lU. 423- Mordans pour les
toiles pointes. X V I . 373. a. 376. a.
M O RD AT E S , ( J-üß. mod. ) ceux qui par une double
apollafie du chrifiianifine font rentrés deux fois dans le inaho-
inétifme. Mépris des Turcs pour ces gens-la. X, 707. b.
MÜRDE>^IN , ( MéJec. ) mot chinois par lequel on défigne
une cfpcce do choiera morbus , fréquente à la Chine , à Goa ,
Sc dans le Btcfil. X. 707. b. Symptômes. Prognollic. Opération
fuiguliere qui fait le traitement de cette nudadie. Méthode
fort analogue employée à Java pour guérir la colique.
Pourquoi ce remede ne peut s'établir en f'tance. Suite du
traitement tlii mordexin. X. 708. a.
M O R D EH l, ( Médec. ) efpcce de langueur d'cftomac,
familière aux Indiens. X. 70S. a. Scs caules. Remedes qui
paroilTent convenir à cette maladie. Ibid. b.
iMORDRE , ( Phyfcolog. ) defeription du mcchanifme do
cctic adion. X. 708. b.
Mordre, terme de marine , de chapelier , Sc d'imprimerie.
X. 708. b.
MORDS , ( Eperonnier. ) defeription de diô'ércntes efpeces
de mords. X. 708. b.
Afords , comioifTances que doit pofTéder l’éperonnier pour
Part d’emboucher les chevaux. V . 339. a. Portion du mords,
appellee embouchure. Ibid. Différentes parties qui accompagnent
le mords. 11. 417. b. Branche de mords. 396. a. Ca non.
618. a. Anneau , dit gargouille. VII. 31 3 - i . Efpece de
mords, appelle genette. 378. N Autre nommé pas-d’àne. X II.
I I I . a. Foye^ de plus grands détails dans les planches de
l'éjicronnier. vol. iV .
Mords , ( Antiq. ) obfcrvatlons fur les mords que nous
repréfentent la colonne trajanc , la colonne antoniiic , Sc
celle de Théodofe. V . 339. a.
Mords , ( Relieur. ) mords des livres , mords du carton.
X. 709. a.
MORE , tête de , ( Chym. ) III. 180. a.
Mo r e , tête de, {Blafoii. ) Suppl. IV. 936. b.
More , ( Géogr. } abbaye de ce nom dans le Barois. Sup>pl.
Mores , ( Hiß. eccl. ) détails fur la religion Sc les pratiques
re'igieufcs des Mores des états de Fez Sc de Maroc.
Leurs prières , leurs prêtres. Suppl. III. 962. b. Leur doétrine
Sc leur faintetè. Saints qu’ils vénèrent le plus. Leurs fêtes
principales. D e leurs mariages./iii/. 963. <2. Maures.
MOREAU,(/•’ic’/rr) fes voyages Sc fesouvrages. XI.924. b.
M Ü R É E , {Géogr.) le Péloponnefe des anciens. Révolutions
de ce pays. Sa divifion géographique. Qualité du pays'.
Liberté dont jouiiToicnt les Lacédémoniens, Sc dont jouiifent
les Magnotes leurs fuccefleurs. Albaiiois qui habitent la Mo-
rée. Rélidence du Morabegi ou Sanifiac. Etendue de la Mo-
rce. Muraille élevée par les Péloponnéfiens pour fe g 'rantir
des courfes des ennemis durant la guerre contre les Perfes.
Différens noms qu’a eus la Morcc. Origine de ce dernier
nom. X. 709. b.
M O R E L , ( les) imprimeurs. VIII. 628. a.
M O R E L L E , {Botan.) caraélcrcs de ce genre de plante.
Defeription de la morelle ou douce amere. Lieux oii elle fe
plaît. Ufage que les dames de Tofeaue faifoicnt du fuc de fes
baies. X. 710. a. Morelle ou douce amere, ( Mat.mcdic. &Dietc.) Propriété
dcfobftruame de cette plante. Ses autres venus Sc difterens
iifages, foit pour rmtérieur , foit à l’extérieur. X. 710. a.
Celle ^ui efl tendre peut être mangée cti falade. Ibid. b.
M o Icelle à fruit noir, {Botan.) X-710. b. Foyc^ SOLA-
Ni/M Sc Tr v ch .vi/s . Morelle commune à fruit noir, {Mat. rncdic.) prife intérieurement,
on la re'farde comme un poifon. Antidote affûté
de toutes les efpeces dangerciifes de morelle. Maniéré de
l’appliquer à l’extérieur. Quels .font les cas aiixc[iiels elle
convient. Eau diflillée fimple de cotte plante. Huile par infu-
fion Sc coSIiou de fes baies & de fes feuilles. Obfervation
générale fur les remedes extérieurs tirés de la morelle commune.
X .7 10 . b. M orelle ,
M O R
Morelle ylinea/’ , {Médec.) poifon violent dont Je premier
effet eft de jecter en fureur. X. 710. />. Obfervation remarquable
à ce fujet. Ibid. 7 1 1. F o y c i Bl ll a d o i^e so la -
Mü RELLE à grappes, {Botan. M.u. médic. ) X. 7 II. a.
J'oyei P h it o l a c c a .
Morelle, appellee pomme d'amour. XIII. 1,. a , b. Morelle
grimpante, ■ ooyei So l a s u m s c a n b e s s .
MORERI , ( Louis ) fon dictionnaire. XVII . 749. a.
M O R E SQ U E , ouvrage de pciiKuie ou de fculpturc. I.
<69. b.
M O R E T , ( Géogr. ) ville du Gàtiiiois avec un anoen
château. Différens nuiitres qui l’ont poiTedée. Diffique fur la
comiclïe de M o r c t , maitrelie de Henii IV , dcyemie aveugle.
Obfervaiiuns fur le fils qu’elle eut de ce roi. Suppl. III.
963. a. Evéneinens qui ont rendu la ville de Morct remarquable.
Ibid, b.
M o r e t , ( /i’u;2-P;é/7e) de Boudicnu de Valbonnois. VU .
942. b. Moret , ( Jean ) imprimeur. \ III. 628. a.
M O R FO N D U R E , ( Maréch. ) Suppl. 111. 419-
M O R G A G N I , trou de Morgagni. Obfetvations fur les
découvertes Sc les ouvrages d’anatomie Sc de médecine de
cet auteur. X. 7 1 1. b.
M o r g a g n i , ( Jean-Bapùpe) anatomiffe. Suppl. I. 404. b.
M O R G A N , ( Thom.is ) phyfiolügilk. S u p^ IV. 336. b.
M O R G A N A T IQ U E , manage, {Jurifpr. ) mariage entre
des perfonnes de condition inégale. Les eiifans nés de ces
mariages font déchus des biens de leur peie. Réflexion fur
l’injufîice Sc rhiluimanité de cette loi. X. 7 1 1 . b.
Morganatique , voyc:^ fur ceicc forte de mariage. X.
^’ i io R G A N E , f é e , { Phyfq. ) Suppl. IIL 9. h.
M O R G A N T IUM , {Géogr. anc.) ville de Sicile. Différentes
maniérés dont les auteurs ont écrit le nom de cette
ville. X. 7 1 1. b.
M ORGELINE , , {Botan.) caraderes de ce genre
de plante. Ses efpeces. Defeription de la principale. X . 7 1 1 .
Cette plante eil une nourriture délicieufe pour quelques oi-
feaux de chant. Ibid. b.
Morgdine , efpcce de genre , appellee fpergula. X \ .
430. a.
M O R G EN G A B , {D ro it German.) préfent que le mari
fait le lendemain de fes noces à la femme. Maximes de juril-
prudence fur cet objet. X. 712. a. Auteurs a confulter.
Ibid. b.
MORGES , (Grbgr.) v ille de Suiffe dans le pays de Vaud.
Ouvrages utiles que les Bernois ont faits à Moi ges. Bailliage
de Morges. Defeription du pays , appcllé la côte. X. 7 1 2. b.
MO RGUE , ( Gramm. ) la morgue eff de tous les états ;
mais on en acciife particuliérement la robe. Les gens de lettres
ont aiiffi leur morgue. X. 712. b.
Mo r g u e , {HÎfi. mod.) lieu appelle de ce nom dans les
prlfons. Endroit du châtelet défigné par le mémo nom. X.
712. b.
MO RH O F , {Daniel-George) littérateur allemand. XVII.
627. b.
MORIBO ND S, l-'ellicuie qui fe forme fur leurs yeux. IV.
250. b.
MÜRIEN , alcl'.imiffc. VHI. 170. b.
M O R IG EN ER , ( Gr.imm. ) rerlc.xion fur la maniéré de
morigener. X. 713. a.
M O R IL L E , {Botan. ) genre de plante qui rcffemble au
champignon , 8cc. Sa del'cripnon. Ses efpeces. Lieux où vient
la morille. Différentes manières d'apprêter les morilles. X.
713. a. Les Romains en faifoicnt leurs délices. L’empereur
Claude cmpoifoimé avec des morilles. Ce ti air d’hilloirc raconté
par Agrippine à Néron dans la tragédie de Bérénice.
Ikd. b.
Mo r il l e , ( Dicte.) propriétés de cct aliment. X. 713. b.
M O R IL L O N , {O m it .) defetiptions de cette cfpcce d’oi-
feau. X. 713. b.
Morillons, efpcce de raifins. XIII. 767. a.
M O R IN , {Jean-Baptijlc) XV II . 2 8 1 .u.
MORINÉ , {Botan ) carailcres de ce genre de plante.
Origine de fon nom. Defeription de la moriiie. X. 714. a.
M O RINGA , ( Botan. ) defeription de cet arbre des Indes
orientales. Propriété de la racine. X. 714. a.
M O R IN S , ( Géogr. anc. ) anciens peuples de la Gaule
Belgique. Etendue du pays des Mot ins. Etymologie de leur
nom. Différentes maniérés dont quelques anciens en ont parlé.
X. 714. b.
MORISSON , ( Robert ) obfervaiions fur ce favant & fur
fon ouvrage de botanique. XL 438. b. Suppl. IV . 403. a , b.
MORISQUES , ( Géogr. ) Maures qin étoient reflés en
Efpagne après la niitic de leur empire. Mauvaife politique
dont Philippe 111 iifa , en cliaffant les jMaures. X. 714. b.
MO RISTA SGUS , {Myrh. gauloife. ) divinité des Seno-
nois. Roi de ce nom d.uisles Gaule s, lorfquc Céfar y arriva.
Terne IL > ' 1 7
M O R 253
Infcrlpiion où il eff parlé du temple de Moriffafgus. X.
714. b.
M O R L A IX , {Géogr.) ville de France. Origine de fon
nom. Commerce de Morlaix; Sa fitiiaiion, X .7 13 , a.
Morlaix, maniifaélurc de tabac peu éloignée de cette ville.
Suppl. IIL 963. b.
MOP.L.'^ND, ( Jofeph ) phyfiologiffc. Suqtpl. IV, 334. b.
M O RM E ,6 é c . {Ichthyol.) defeription de ce poifTon de
mer. Qualité de fa chair. X. 713, a.
M O RN A C , ( Antoine ) avocat & poète. X V L 491 . i.
M O R O C H TU S , Alorochitcs, AioroEl'es , ( Hiß. nat. ) nom
donné pur Pline à une fubfiance qui fervoit à enlever les
taches des habits. Divers lêmimciis des modernes fut ccu<ê
fubfiance, X .7 13 , b.
M O R O N , efpece de poiffon. Suppl. IL 42.^.
M O R O S IN I, {Andié ) fon hilloire de Venife. X M L
l y b .
M Ü RPHÉE, {M yth.) fils du fonimeil 8: de la nuit. C e
que les poètes racontent fur ce dieu. X. 713 . b. Peiiuiire
ingénieufe 6c forte que le poete Rowe nous en fait. Ibid.
716. a.
Alorphéc, les poètes plaçoicnt les plantes fomniferes à l’entrée
de Ibn palais. V l I l . 792. a. Lieu où il ctoit fituc : fa
defeription. Ibid.— Foyet^ Sommeil.
M O R PH O , ( Lut. grccq. ) furnom de Vénus , fous lequel
elle avoir à Lacédémone un temple fort fingulier. Defeription
de ce temple. X, 716. a.
M O R P IO N S , {Médec.) infeétesqui fe cramponnent à la
clialr. Parties oit ils s’attachent. Exemple de la maniéré dont
on doit chaffer cette efpece de vermine. Cette vermine pré-
fage une mort prochairic à ceux qu’elle abandonne d’clle-
mêine. X. 71Ö. a.
M O R S , {Géogr.) petit canton ou ille de Dancmarck. Sa
grandeur. Qualité du fol. Population du pays. Suppl. IIL
963. b.
MORSE , animal d é c r it ,v o l. V I . des planch. Regne animal,
pi. 17.
h lO R SU R E , {Aîédec.) celle des anitnaiix venimeux. XH.
63 2. a. Eile peut donner des plaies gangreneufes. VII. 468. a.
470. b. De la maniéré de traiter ces morfures. Ibid. b. & celle
des ferpens. X V . 107. b. Effets de la nnifique contre la mor-
fure des animaux venimeux. X. 906. a. Plantes St autres remèdes
contre la morfuredts ferpens. Suppl. I. 105. u. 319. b.
884. U , b. Suppl. IL 92. a. 200. b. 486. b. Suppl. IV . 463-
a , b. Du fucement des plaies formées par la morfure des
ferpens. X V . 608. a. Peuples 6t yliarl.ttans qui prétendoienc
guérir les morfures des. fcipcns. X lII. 344, a , b. Racine
d’Amérique dont on vante la vertu contre les ferpens. X V I I ,
662. b. Eft't'i de la morfure du ferpent aimoirous. I. 224. a.
Effet 6c remede de la morfure du ferpent ammodyce. 363. a.
Remede contre celle du ferpent bolcininga. IL 293. b. Mor-
fure du cérafle. 832. b. D e l’héréiimandel ; 8t fon remede.
Suppl. II. 478. a. Ufage de l’can de lucc contre la morfure
clos ferpens 6c des viperes. X V . 606. l\ — Sur la morfure des
vipca'es, voye:^ ce ciernier mot. D e là morlure des animaux
enragés , voye^ FIy d r o ph o b ie 6c Ra g e .
M O R T , { Hiß. nat. de Thomme ) la naiffance n’eff qu’un
pas à la mort. Nous commençons de vivre par degrés , 6c
non, fiuiffons de mourir coninte nous commençons do vivre.
Combien il importe de s’accoiiiuiner à envifager la mort.
X. 716. b. Les médians ne peuvent que la craindre ; mais les
honnêtes gens devroieiit être armés contre les prétendues
angoiffes de ce dernier période. C e font les illufions de notre
im.igination qui nous la font redouter. Dans prefque toutes
les maladies, on meurt doucement 6c lansdouleur. Efpérance
que nourrillcnt ceux qui confervent la connoilTance jufqu’au
dernier foupir. Ce font les médecins qui nous font anticiper
l’agonie. Ibid. 717. a. On ne craint la mort que par habitude ,
par éducation , par préjugé. Les grandes alarmes ne régnent
que chez les perfonnes élevées mollement. Rien de violent
n’accompagne la mort dans la vioilleffe. Il femble qu'on p.iie
un plus grand tribut de douleur quand on vient au monde,
que quand on en fort : du moins eff-il vrai qu’on en fort
comme on y eff entré , fans le favoir. Rien ii’eft plus mal
fondé que notre façon de raifonner par rapport à l’idée de
douleur que nou's attachons au moment de la mort. Vains
fantômes , appareil 6c cérémonies qui effraient notre ima-
sination. Ibid. h. Les remedes contre la crainte de la mort
concribnentfouventà la redoubler dans iiotreamc. Ibtd.-j\%. a.
M o n , différence entre les mots décès , trépas 6* mort. IV.
664. b. XVI. 393. b. Comment nous acquérons l’idée de
mort. 1. 46. a. VI. 264. a. Caiife naturelle de la mort dans la
vieilleffe. I. 89. .1, b. VII. 339. b. Comment arrive la mort
naturelle. IV. 727. a. Obfervaiions phyfiologiques fur la
mort. S u p p l.lV .70 .a ,b . Dérèglement dans la circulation qui
precede ce moment. 729. a. Dérèglement dans les mmivemens
du coeur. Suppl. II. 492. b. La mort complette n’a lieu que par
la deffruéUon totale do fou irritabilité. 496. a. Defeription
du dernier moment du corps par lequel fe fait l’expiration.
S s s