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pour (Pî papier & paixliemin timbrée. Ecllt ch: mois
d'aoùt tîc 1 1 même année , portant établilTcinenc d’ime mar-
qnc j;énéra!e lar tout lo papier & parchemin. Un.1. $65.0.
Provinces derv.mce clans lcù|iielles la formalite du timbre
ii'.i jamais eu lieu. On ne .'■’en fort pas non plus dans les
elle, fiaiiçoilos de l'Amérique. Jl y a aiifli des tiibunau-v où
l'oii ne s’en l'crc point, quoique l'iifagc en Toit établi dans
le pays. Ibid. l\ Difrércnces choies à conitdérer pour déterminer
l'ur quelle l'orte de papier on doit écrire les nêles pii-
hltc*. Trois t'ortes de formalités dilllnguées dans les aéles ,
qui l'e règlent cluetme par des loix ilifferenres. Form.:Utes
c[ui habilitent la perroime ; celle:, qui concernent la lublhince
do l'afto ; celles qui ne concernciu que leur forme exté-
rieiue. Co ' formalités extérieures fe regleiu par la loi du
iou où l'ado cA palî'o. Ibid. 866. ‘i. Ou doit luivre 1 itlage
du lieu où fe palVcnt les aéles , pour déterminer la qualité
du papier l'ur lequel iP doivent être écrits. Ibid. b. QucAion
examinée , l'avoir fi dans im lems & dans un pays où le
timbre a lieu, on peut éciire nn ade public à la luire d un
autre afle aiiÜi public , reçu fur du p.ipior ou parchemin
non-timbré ou marque déun ancien timbre qui n’a plus cours,
l e s notaires au cliàt.let c!c Paris fe font long-mms fervis du
mémo papier & parchemin que les autres oiîîciers publics.
Depuis rét.’.blllVomeut du timbre , ils ont cciic leurs ades
luv P .pter & parebciinü nnibves- Chaque nouvelle torimile
qu’or. a introduite , étoic uniforme pour tous les a^ms publics.
Ce ne fut qu’en I7 i3 que l'on établit un t.mbre par-
liculior pour les notaires au dniielet de Paris. Principales
dil'pofiîions (le la déclaration par laquelle ce timbre particulier
fut ét.ibli. Ibid. b. CcLcc cicclarailon fut exéciitie pen-
d.mt fepe années. Aime décl,.i.i.io:i du 5 décembre 1730,
qui lupprinie les diti'ércntes formules établies par la docla-
nition de l’an 1723. Dirpofiiions qu'elle renferme. IbU. 868.
C eA h demierc qui ait été rendue fur le papier timbré
un géné.aal. Les notaires au châtelet de P.iris peuvent fe
fervir par tout le royaume du même papier & p.archcmin
timbré donc Us fc fervent à Paris. Aucun autre otHcier public
ne pourroic fc fervir de leur papier timbre , meme clans
1 .’ généralité de Paris. Il y a cependanc quelques affes que
tas notaires de Paris peuvent écrire fur du papier timbre
feulement de la formule générale des fermes. Enumération
(ie ces forces d’aéfes. Ibid. b. ‘Un notaire au châtelet de Paris
ne pomroit pas à la fuite ou à côté i^im aéfe ancien ,
reçu fur du papier qui ne feroit pas revêtu du timbre ac-
tviellemcnt ufité , écrire un nouvel aéfe c[ui n’auroit aucune
connexité av'ec le premier. Les réglemens prononcent peine
de nullité contre tous les aéies publics , qui devant etre
écrits fur papier ou parchemin timbrés , feroient écrits
fur papier ou p-archomin commun. Ainh les aéfes contentieux
font nuis , s’ils ' ne fout écrits fur papier ou par-
ci’.cmin timbré dans les lieux où la formalité du timbre eA
établie, /vil/, S69. .J. Quant aux aftes volontaires, cetix^qui
lie font obligatoires que d’une p a r t, peuvent être valables
comme écriture privée, quoique la formalité du timbre leur
manque. Mais s’ils ont été faits pour valoir comme aéfes
publics, & qu’ils ne foient p.m chus une forme telle qu'ils
puilTeiu valoir comme écriture privée , alors lo défaut du
timbre les rend abf'olum--nt nuis. Ibid. b. A l’ég.ird des
aéles fynallagmaciques , obligatoires des deux pans , le même
defaut les re^’iul abfolmneiu nuis clans les pays où cette formalité
cA établie. Ibid. 870. a. Il faut néanmoins excepter
de cefte règle certains aéles que les notaires peuvent recevo
ir en brevet Papeteries établies en France pour la fabrique
du papier dcAiné à être timbré. Marque du fabricant.
Etats voifms de la France où la marque intérieure du
timbre a été aiifii établie. Cette marque intérieure inférée
dans le corps du papier, n’eli pas abl'olument eAeniiclb à
1 ?. formalité du timbre. Il feqoit néanmoins à propos que les
oiTtcicrs pui)iics ne puffent fe fervir pour leurs ailes que de
panier marqué chi timbre intérieur & du timbre extérieur.
Utilité de la réunion de ces cleu.x timbres. Ibid. b. La marque
intérieure peut fuppléer le timbre extérieur, s’il n’a-
voit pas été niarqiié ou s’il fe trouvoit effacé ou déchiré.
Exemnle qui le p ro uve ./i/i. 871. u. La marque imérieure
fait préfumer que le papier a reçu le tim'nre extérieur, &
par-là fert à aA'urer que l’aéle a été écrit fur du papier qui
éteit déjà rcvciu du timbre extérieur , & non p.as timbré
après coup , ce qui eA d’une très-grande importance. Mais
cette précaution ne peut fervir pour les aéles qui s’écrivent
en parchemin : aiilTi y a-t-il beaucoup plus d’inconvénient
à fc fervir de parchemin qu’à le fervir de papier. Ibid. b.
L’ordonnance de 1680 fur cette matière, dlAinguc les aiAes
t|i]i doivent être en parchemin timbré de ceux qu’il fufFit
d’écrire fur papier timbré. Mais un aéle qui doit être en
parchemin , ne feroit pas nul, fous prétexte qu’il ii’eA qu’en
papier. Inconvénient confidérablc qui réfulteroit cependant
de l’inobfervation de cette formalité. Dillicuhc réfultante de
ce qu’un aéla d’une certaine nature aurolt été écrit fur du
papier ou parchemin dcAiné à des ailes d’une autre crpccc.
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ou de ce qu’un aile p-alTé dans une généralité aurolt été
écrit l'ur du papier ou parchemin timbré du timbre d’uiic
autre généralité.//>ii. 872. j , Lieu du dépôt des poinçons ou
einpreintcs du timbre. Ouvrage à conlultcr. Ibid. b. Foyc^
T imbre.
PAP IU ON A CÉ E S , (B o t.) famille de plantes dont les
fleurs ont qLick|ue relïemblance avec le papillon. Leur ca-
rail.'re. Suppl. IV . 233. b. Leurs quautés &. iil'agcs. Plantes
que raiitcur iiomms Juuffes p.tpH:on.2cées. Ibid. 234. a.
PAP IL LA IR E, (^Anûtom.') membrane ou tunique papillaire
de la langue. Caufe de la fenl'ution du goût. Procès
p.ipilLiircs , dénomination que les anciens donnoient aii.x
nerfs olfa>Aifs. XI. 872. b.
PdpiLLiircs,c.iron.cüUs. II. 693. a.P.apillaire, membrane.
IV . 110. b.
PAPILLES , ou curoneuks pupillaires des reins , ( Anat.')
Petit» canaux urinaires. Defeription & iifage. Papilles r.cr~
veuj'es. AnatomlAes qui les ont découvertes. XL 872. b.
P.ipilLnres nerveufes , voyez fur ce fuig t, V l i l . 263. b. X V ,
Siù. b. X V I . 446. dz.
PAP IL LON , ( Hijl. riat. ) Chenilles qui fe convertilfeiit
en papillons. Ailes farinculos de ces inleilcs. XI. 872. b.
Obfervatioiis miciofcopiqnes de cette poull'ierc dont les
ailes dos papillons font couvertes. Dcl'criptiou du corps des
papillons, ue leurs yeux , de leurs antennes. Divifion des
papillons en fix clali'es , par des caraélcres tirés de h forme
des antennes. Antennes à inaffcs ou à boutons. Ibrd. 873. .v.
Aiuenues à malTuc. Antennes en conic» de beiier. Antennes
prifmatiques .‘fiuennes à lilets coniques ik grenés. Antennes
en plumes. Examen de la trompe dont ptufieurs cfpecesde
papillons fotit poui v iic s , avec laquelle ils fiiccnt les fleurs.
Ibid. b. Papillons noéhirnes ou phalènes. Leurs efpeces plus
nombreufes que celles des papillons diurnes. Pourquoi ces
phalènes qui femblent fuir la lumière du jour , viennent à
celle des chanclelles. Diff'érenccs entre les papillons diurnes
& les phalènes. Les premiers diAribués en lc|)t clalTes pur
M. de Keaumur. Ibid. 874. a. DiAribution des phalènes auf-
fi en fept claifes par le même naturalille. Caraélercs qui
fervent à diihngucr les genres 5 : les efpeces renfermées
dans CCS diiVcreiues claifes de papillons de nuit. O bb rv a-
tion fur ces diAiiiAions métliodiques. Ibid. b. Etat des papillons
en chrylalides. Leur fovtic de la membrane qui les
enveloppe. Leur état au fortir de cette dépouille. Comment
ceux qui font renfermés dans une coque, parviennem à
l’ouvrir. Ibid. 873. a. Différence entre les papillons mâles
& les papillons femelles. Les femelles de quamité de genres
de phalcnes, ne vivent que peu de tems. Les papillons
femelles des chenilles à oreilles du chène , ne volent jamais
quoiqu’elles aient de grandes 6c belles ailes. Accouplement
dos papillons. Diiférentes formes de leurs oeufs. Leur maniéré
de les dépofer. Soins qu’ils en prennent. Ibid, b,
P.ipillon. Si on enleve la peau à une chenille un jour
ou deux avant fa métamorphofe , on met le papillon à
découvert, Sc on diAingue toutes fes parties, Sc même fes
oeufs. III. 292. h. Sa fortie de la chryfalide. é>w/ip/. UI. 633.
b. DlA'érens genres 8c efpeces de papillons. V llI . 786. .1",
b. Divifion des papillons par M. Geoifroi , v o l .V id e s planches,
Régné animal, planche 80. Papillons repréfemés. Ibid.
6c pl. 81. — 82. Papillon qui provient de la chenille commune.
III. 293. b. Papillons de nuit 8c papillons de jour app
e l l e s X I . 832. b. Papillon de Surinam. X lil. 142. b.
Papillons de jour nommés ar^us. Suppl. I. 333. zz.Papillons
qui pondent fans accouplement, des oeufs fécondés. Suppl.
II. 837. b , &c. Defeription 8c clalTification des papillons
lépidoptères. Suppl. 1 1 1 . 728. u , b , Scc. Clalfe des papillons
appelles picrophores. Suppl. IV. 331. b. Papillons qui ont
donné lieu à des apparences de pluies de fang. XII. 796. b.
Vibrations des ailes du papillon de ver à foie dans l’accouplement.
XVII . 230. b. Obfervations de Bibiena fur les papillons.
Suppl. IV . 364. a.
Pa p il lo n , fleur en , ( Boun. ) quatre parties remarquables
dans les fleurs en papillon. Plantes de ce genre. XL 876. a.
Pa p il lo n , ( Monum. Antiq. & Mcdcc. ) le papillon pris pour
fyinbole de l’aiiic. Bas-relief à Rome où U cA repréfenté dans
ce feus. X I. 876. a.
Pa p il lo n , (i?/d/ô/z) papillon miraillé. Signification de
cette figure fymboiique. Suppl. IV . 233. b. Foyer^ Suppl.,
III. 939, b.
Pa p il lo n s , ( M.irchand. de modes.') XI, 876. a.
Papillon , je« {Jeu x) defeription de la maniéré de
le jouer. X L 876. iZ.
Pa p il lo n , ( M .) fes découvertes dans l'art de graver en
bois. V i l . 894./>.
P A P IL LO T A G E , (/m/’Wm.) petites taches aux extrémi-!
tés des pages 8c des lignes. Caufes de ce défaut. XI. 876. b.
PAPILLOTER , ( Peint. ) ombres 8c lumières qui papillct
tent. Comparaifon qui fait fentir l’efTet d’une peinture qui papillote.
XL 877. a.
P A P IN , ( Denis) dcfciiptiou , ufage 8c effets de la machine
P A Q
chine qui porte fon nom. IV . 998. b. 1003, Ufage qu’on
en fait en cnifine. Suppl. II. 664. b. Elle démontre l’efficacité
de la chaleur pour diffoudre les corps les plus durs
qui fervent à la nourriture. III. 367. a. On peut regarder
Papin comme l’inventeur de la pompe à feu. V I . 602. b.
603. n. Ouvrage de Papin relatif à l’anatomie. Suppl. I. 401. Uu
PAPIRIA , loi.VX. 666. b. Foye^ PAPYRIEN.
PAPIR IUS, grouppe de, ( Sculpi. Antiq. ) fam eux grouppe
qui repréfente un événement célébré dans l'hiAoire romaine,
concernant le jeune Papirius 8c fa mere. Expofition du fujet.
Defeription du monument. XI. 877. a.
Papirius Curfor. Viéloire qu’il remporta fur les Sainnites.
XIII. 203. a.
P A P O , {B otan.) arbre des Indes orientales. Defeription
de fa feuille & de fon fruit. XI. 877. b.
P A P O U E , Saint- {Géogr.) ville de France en Languedoc.
L’abbaye de ce lieu, érigée en é vêché, en 1317. Son
revenu. XI. 877. b. Sa in t -Pa p o u l .
PAPO US,/rt terre des, {Géogr.) ou. nouvelle Guinée,
v o y e z cet article. Defcripiton des habitans de cette contrée.
XI. 877.
P.ipous. Obfervations fur ces peuples. V III. 343, h. Mam-
niclles prodigieufes des femmes. X. 4, a. Volcan de l’une
des ifles Papous. XVII , 446. a.
PAPPENHEIM , pierres de, {H ifl. nat.) pierres qui fe
trouvent dans le comté de ce nom. Leur defeription. X I 877. é.
Pa ppenheim , ( Géogr. ) ville d’Allemagne , capitale du
comté de même nom. XI. 878. a.
J^APPION , {Zootog. ) efpece de Ange, repréfenté vol.
1 des planch. Régné animal, planche 20.
,, ) palmiers des Indes 8c
dAm en q u e, ainfi nommés, parce que les Indiens écrivent
avec des poinçons iur les feuilles ou l’écorce de ces arbres
Madere dont eA fait le papier du Japon. X L S7S. a.
PAP YR IEN , cüde. l l l . 382 . , ê. V . 137. b. Loi papyrienne.
A l. 666. b.
rA P Y R U S , ( Botan. ) difl'éi ens noms domiésà cette plante.
Ouvrage à conlulter fur les plantes d’E g yp te, de Sicile 8c
de Matiagafcar, qui portent le nom de papyrus. De l’opi-
uion allez généralement reçue en Europe, que le papyrus
d Egypte eA perdu. 1 1 n’y a pas 200 ans que cette plante
fniübfervée llir les bords du Nil. XI. 870. <1. Obfervations
qui tendent à montrer que cette plante n’a pu être entiére-
menr détruite. Lieux où croît le p ap jru s , félon Pline. Sa
d^efeription. Divers ufages c[ue les Egyptiens en tiroient.
Efpeces de barques qu'ils conflruifoient avec la tige du papyrus
entrelacée en façon de tilTii. Ibid. b. Abondance de
ces plantes fur. les bords du Nil. Q uel eA le genre fous
lequel les botanifles ont rangé le papyrus. Deferiptions
qu’ils en ont données. Ibid. 879. a. Le papyrus d'Egypte
reffembloit à celui de Sicile 8c de Madagafcar, en ce qu'il
ne donnoit point de graine. Auteurs qui ont parlé de celui
de Sicile. Defeription qu’en a donnée Céfalpin. Ibid. b.
Deicription du panache de cette plante, Le papyrus d'Egypte
8c celui de Sicile ont entr’eux une très-grande affinité
, de même qu'avec ie fari. Obfeivaiions fur le fari
dont parle «ThéopliraAe. Le papyrus de Sicile ne doit cependant
pas être confondu avec le papyrus des anciens qui
ne venoit que dans l’Egypte ou dans rinde. Ibid. 880. a.
En quel tems celui de Sicile a commencé à être connu. Il
paroit que Pline n’en a eu aucune comioiffancc. Deferip-
rion du papyrus de Madagafcar , clôniiée p.ir M. Poivre.
Ibid. b. Lieux où il croit dans cette ille. Sa rcil'emblance
avec le papyrus égyptien. Ibid. 881. .7.
Papyrus, voyti PAPIER d ’Eg YPTE. XI. 847. — 830.
/».Rapports encre le feirpus 8c le papyrus. X IV . 798.
Ces deux plantes confondues par quelques auteurs. 799. a , b. Barques faites de papyrus. II. 89. b.
P A Q U E , ( Cntiq.facr.^ fignificarioii de ce mot. Evéne-
iricns en mémoire defquels cette fête des Juifs fut iiiAituée.
Cérémonies qui leur furent preferites pour fa célébration.
XI. 881. a. Difiérentes figiiirications du mot Pâque dans
l'écrinire. Ibid. b.
^ p.ique, voyc'3' Pasques & Pa sCh a l . Oraifonquc les Juifs
recitent le loir de la veille de Pâque t cérémonie qui ac-
conipagne ccrtc priefe. V llI . 22. b. Salle où l'on a prétendu
que JefusC.hriA a célébré fa dcinicre pâque. II. 813. a.
Obfervations fur cette derniere pâque du feigneiir, XII.
1 13 .« , i. Dans quel fensil d l appelle/low pâque. XVI. 780. b.
Paq u e des c/i'c/icns , ( Criiiq.Jacr. ) dans le premier fiecle
de l églife, les uns obfervoicm la pâque le même jour que
les Juifs , les autres ne la célébroient que le dimanche d’apres.
Raifons de cette cliverfité d'ufage. Le jour de Pâque
iixc eniiiitc iiiiiverfellement au (limaiiclie après le 14"' jour
de la lune , excepté chez les chrétiens d’Alie qui conti-
nueient de célébrer cette fête le même jour que les Juifs,
l-a dilptirc fur ce fujet entre les chrétiens d'Afie 6c les oc-
ciclenttuix , tcrintnéê par le concile de Nicée en 32 3, qui Tome II, 1 ) 1
P A R 373
ramena les uns 5 c les autres à un même ufage. XI 881 *
Examen de deux queAions fur les pâques célébrées par' i
C. la premiere coufiAe à favoir A Jefus-ChriA clans fa der'
mere paque , inangea l’agneau pafcal le même jour que les
Juifs . la A'concle regarde le nombre de pâques que le fei-
gm^r a celebrees durant fon miniAerc./Ai. 882. a.
TA, des quarto-décimans fur le jour de cette
fete. XIII. 693. a. Célébration de la femainc avant pâque.
i ■ femaine dans les premiers
Aecles. X M I 639. a. 633. Exercice des premiers chrétiens
a ht veille-de Pâque. XVII . 268. Autrefois toute
la lemainc de Paque éioit fêtée. V I . 307. a. Obligation de
communiera Paque. III. 732. b. Nom que les Grecs don-
no.cnt au jour de Pâque. IX. 233. a. Pâque clos. XII. 113. b. Foyc!^ Pa sch a l . ^
Pa q u e , (C'^/wzirier) vojc3;Pasque 6- Pa s ch a l . De h
deterniination du jour de Pâque par les êpaéles. V . 743. b.
Dans quel intervalle cette fête doit fc trouver : fêtes que
la mobilité de Pâque rend auffi mobiles. VI. 372. a. Table
des jours de Pâque pour chaque atuiée depuis Jefus-ChriA
ju qua lan 1900. Suppl. II]. ^7^. a , b , 6cc. Lime de Pâque.
813. a.
Pa q u e , {Jurifpr.) denier de Pâque. I. 103 a Parlement
de Pâque. XII. 61. b.
Pa q u e des Turcs, {H ijl. mod.) II. 2 2 .« , b.
P A Q U E B O T , {M.irine) II.340.<j.
Pa q u e t , ce terme employé en botanique pour exprimer
le petit tas de fleurs qui naiffent fur quelques épis ;
dans le commerce, pour exprimer divers affcmlilages ; chez
les arquebufiers, pour défigner un outil ; chez boutonniers,
ce mot Agnifie un amas de niilanoife 3 chez les cloutUrs ,
du lii de ter d Allemagne ; chez les imprimeurs , ce mot fc
dit de plufieurs lignes de conipofition, &c. aller en paquet,
e.xpreflion en ufage parmi les imprimeurs. XI. 882. a.
Paquet, mot en ulage auffi parmi les relieurs. XI, 882.i .
PAR , particule prépoAtive en françois. XII. lo z , a.
P A R A , {Géogr.) capitainerie de l'Amérique méridionale
au Bréfil. Ville que les Portugais y ont bâtie. Latitude &
longitude de Para. Déclinaifon de l’aimanr. Accélération du
pendule tranfporté de Quito & de Pichenchaù Para. XI, 882. b.
Pa-Ra , ( C'ü/n/«. ) mefiire dont les Portugais fe fervent
dans les Indes orientales. XI. 883. a.
FA RABOLAN S ou Paraboiains, {H ijl, eccl.) efpeces de
clercs qui fe devoiioientaii fervlce des malades. Originelle
ce nom. En quel tems ils furent iiiilitiiés. Corps conAcléra-
ble qu'ils formoieiu à Alexandrie. Us croient clioiAs par i é vêq u e , 8c lui étoiem fournis. Les empereurs avoientfaic
de trés-féveres loix pour les contenir. Les princes 8c les
inaglArats les regardoient comme une efpece d’hommes fo r midables.
Exemple qu’ils donnèrent des violences don; ils
étoient capables. XI, 883. a.
P A R A B O L E , {Géomei.) définitions. XI. 883, a. Manière
de décrire une parabole. Manière de déterminer géométriquement
chaque point de la para’oole. Mètiiode pour
décrire une parabole pr.r un mouvement continu. Propriétés
de la parabole. Quadrature de la par:,jbole ; vove-OuADRATURE.
Paraboles d’un genre plu>: élevé. Ibid. è. Dans
les paraboles dont l’équation eA y , les puiffances
des ordonnées font en raifon des abfciffes. Dans les
demi-paraboles, Ics puThmces des ordonnées font comme
les puiffances des iofeifl'es d’un degré plus bas. Premiere ,
fécondé parabole cubique , parabole du degré t , parabole
du 3'^ degré. Toutes ces paraboles ne peuvent avoir que
trois figures differentes , qui fe trouvent ici indiquées. C ’cA
lincerreur que de regarder l’équation ^ ^ a ” — y ' , cnnime
l'équation d’une feule 6c unique parabole , lorfque n 8c r
font tous deux pairs. La parabole ordinaire n’eff qu’une
ellipfe infiniment alongée. Pourquoi la parabole a été appellee
de ce m m . Ibid. 884. a.
Parabole. Comment elle fe forme par feélion conique;
la parabole examinée par fa defeription fur un plan. III.
873. a. Defeription de cette courbe ; définition des termes
qui lui appartiennent : fes propriétés expliquées. 876.
a. Abfciffe de la parabole. I. 39. b. Amplitude d’un arc de
parabole. 3S0. a. Axe de la parabole. 903. a. Dcnii-jxnra-
büles. IV. 813. a. Parabole apolloniennc. I. 331. b. Parabole
hclicoidc. VIII. 102. a. Premiere , fcconde parabole
cubique. IV. 331. a. Paraboles décrites par les projeéliles.
XIII. 437. b. 6’c. Parabole féini-cubiquc. XIV. 043. b. Parabole
de Defeartes. X V I . 6 3 7 . Trouver leccmre de gravité
d’une portion de parabole. II. 823. é. Q iiadratricc de la parabole.
XIII. 63S. k. Qiiadr.-îtuiede la parabole. 640. b. 867.U.
Pa r a b o l e , ( ('•///'*/./At . ) la maniéré d’enfe-igner par
difeours figurés fort uiitée chez les Orientaux. Regle donnée
par Clément d’Alexandrie pour l'Intelligence des paraboles.
Ce mot fignifîe quelquefois une fimjile comparaifon ,
une Amilitude obfcurc, une allégorie , une maxime, &c.
&c. XI. 884. b,
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