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<îu toucher. X V . 820. a. Eft'ets de la fenfibiliti de la pcaii.
48. a. Jfiux dc la navurc fur la pcau. Seppl. III. 5 5 1. <a. ÿoye^
Epiderme & Réticulaire, corps.
P eau des Ne^res, ( A/ijicin. ) différens feniimens des ana-
Tomilles fur le principe de la couleur noire des negres. Les
uns prétendent que cette couleur eft dans la membrane réticulaire
, qui tft entre l’épitlerme 8c la pe.au. D ’autres que le
fang des noirs eft plus noir que celui des blancs. MM. B.irrerc
Ôc 'SVlnilow penféin que répldermc des ncgvcs efi noir j XII.
215..^. Sc que cette couleur dc repiderme vient de ce que
leur bile cft noire comme de l'encre. Objeélions contre cette
hypotlietc. M. de BufFon peufe que la même caul'e qui nous
brunit lorfquc nous nous expofons aux ardeurs du l'oleil, fait
aulîi 1.1 noiiceur des negres, Explication de la couleur bal'anée
des peuples voifms du pole Icpteutrional. îblJ. i\6 . a. Obje-
élion contre le fyl'éme de M. de Buffon, tirée de ce que les
peuples d’Amérique fuués fous la zone torride no reireinbleiu
point en couleur .i ceux qui vivent fous les mêmes latitudes
en .<Vfrique. Réponfe. Précaution à prendre pour la confer-
vation des cnf«ns des negres dans les ifles fraucoifes. Obfer-
vation qui prouve que l’aéliotî de l’air eE nécelltire uonr produire
la noirceur dc la peau des negres. Effet que produit fur
les enfans negres cette jaunillc commune à tous les enfaiis
nouveaux-nés. Comment ü eli démontré que le acnne de
la noirceur eff communiqué aux enfans negres par lesperes
8: meres. Il y a lieu de préfumer que des negres tranfpor-
tés d.ms nos climats, pcrdroieiit infenfiblement leur coulctir
noire ; & qu’aprés quelfjues generations, iis aurcienc acquis
la même Diandicur que nous. Ibid. b.
Pe.z:i des nsgies, obfervaiions fur fa couleur. XI, 77, />.
_ "Peau des in/eêles, ( Hiß. n.tc. d-..i i/ijecî. ) différentes qualités
de leur peau felon leurs elpeces Sc leurs divers genres de
vie. Ufages qu'ils en tirent félon fa nruffure , toujours affor-
tic à leurs befoins. Changement dc peau des iiifeffes, cara-
•élere qtii les dillingue des aut:es animaux. XII. 21*7. a.
Pe a u , maladies ds la ( AÂ'./if, ) éruptions ou taclies qui
caraff-érifent ces maladies. X il. 217. j . On les dillintrue en
«hrq/iiques & en aiguës. Maladies de la peau qui ne font
qu'une affeffion fyinptomatique d'autres maladies. Eruptions
cutanées qui n’ont point de caraffere fpècifîque , ni do nom
particulier. C ’cll dans les maladies de la peau que les théoriciens
fco»ji haavifies ont fait jouer un grand rôle aux acrimonies
imaginaires du fameux Boerbuave. Expofition de leur
théorie fur ces maladies. Obfervations de l’auteur fur ce fuiet.
Ibid. b. Pratique dangereufe que cette fauffe théorie a établis
dans le traitement des maladies chroniques de la peau. Remarques
pratiques fur la maniéré de les traiter, uniquement fondées
fur Tobfervation. 1°. Les maladies aiguës de la peau
font ordinairement une efpecc de dépôt critique. Ilnd. 21 S, »2.
2 ’. Les maladies chroniques privées du fecours de la fievre ,
ne guériffein pas fans remedes. Mais la médecine rationelle
eA bien peu avancée fur ce qui les regarde. 3". Toutes les
affeffions cutanées,opiniâtres ou périodiques, dépendent d'un
vice dans la iranfpiraiion. Caufes de ce vice. 4°. La méthode
la plus .sûre ell donc de rétablir & de favorifer la tranfpira-
tion. Remedes à employer. Régime à obferver. Ibid. b. 5®.
Danger des applications extérieures. Ibid. 219. a,
Peasj, maladies de la. Vo y ez CUTANÉES. Maladies qui peuvent
provenir de la cr.affe de la peau. IV. 436. a. Maladies
de la peau appellees fudamima. dyp. b. X V . 621. a. üfa-
ges qu’on tire de la vipere contre les maladies dc la ncau
X V'II. 322. a.
Pe a u , {Médcc. fémeïonq.) les fignes qu’on tire des chan-
gemens de la peau ou de la couleitr du vifage, font expofés
aux articles T.KY, Kifn^e, Couleur, P.iUur. Dans l’état de fanté,
1 organe extérieur ou la peau , contrebalance avec efficacité
h rcl'ühnce 8c les efforts des puifl'ances internes, & il eff h
fon tour fomenu & comme repouffé par leur affion oppo-
féc. XII. 219. U. Qualités dc la peau dans l'état de famé.
Différentes affeffions fymptomatiques dc la peau. i^. Maladies
dans lefquelles elle acquiert un excès de fenfibilité. A u tres
maladies qui la rendent infenfible. 2'\ Excès de chaleur
ou de froid qu’elle contraéle par différentes tievres. y . Maladies
qui la rendent feche, inégale & raboteiife. Augure favorable,
lorfque cet état fe diffiue. Ibid. b. D e l’état de la peau
dans les phtliifies 8c les ficvies lentes lieffiqucs. 4". Effets de
certaines maladies fur la couleur de la peau. y . PrognoAics
à cirer des éruptions qui arrivent à la peau dans les maladies
aiguës. Ibid. 220. a.
Peau, prognoAics tiré.s de fa couleur. IV. 333, b.
Pe a u , ( /ûcr.) acceptions de ce mot dans l’ancien
îcAament. XII. 220. a.
Pe.'.u , ( Afu/c/i. 6» ) différentes peaux dont on fait
le maroquin, XII. 220. a. le parchemin, le v élin, le vrai
cliamo s & 1rs b.aEines. Celles donc on fait les fourrures ou
pelleteries. Peaux donc on fait les outres. Ibid. i.
Peau, ( P JL ia ie ) préparation des peaux avant que d’être
employce.s par le pelletier; principales peaux dont on fe fort
pour Us Axurures; maniéré de U> palTer en iuiiie. I. 356.
b. Opérations du foiireur pelletier dans le travail des peaux.'
VII. 234. b , &c. Affemblage de peaux appelle timbre. X V Î .
334. a. Voyti les planch, du fourreur, vol. I V , &c les articles
Fou/rare , Pelleterie, Pelletier.
Peau de bafane. II. 1 14. a.
Peau de cha^rm, ( Cem/n. du Levant') maniéré dont on
prepare à Conltandnople le derrière de la peau du chev
a l, pour faire la peau de chagrin. XII. 220. b.
Peau humaine p-^ffée , {Arts m od.) on peut pafferlapeau
humaine comme celle des quadrupèdes. En quoi confiAe
cette préparation. Pantoufles faites de peau humaine. Con-
AAance de cette peau. XII. 220. b.
Peaux d’Efpa§ne , o.u defenteur, {Parfum.) ufages qu’on
en E ilb it, mais qui ne fubfiAent plus aujourd'hui. XII.
220. b.
Peau, {Ganterie) des peaux propres aux gants. XVII .
793. .n A ttention que le gantier doit avoir en les achetant. V IL
474. b. Travail de ces peaux. Ibid. 474. é.Vol. IV des planch.
Gantier-parfumeur. Faire boire les peaux. II. 296. b.
Peau, ( A'/t/i.) peau de boeuf. II. 293. b. Travail de
cette forte de peaux. Voyei T anneur 8c T anner. Chair
8c fleur dans la peau. 111. 12. a. 71. a. Peaux Air lelquelles
le corroyeur travaille. IV. 273. a.
VtKM. {Chapelier) \\\. 160. é , 8’r.
Peau, {Chamoij. 8- Mégijf.) travail des peaux. III. Ô9,
a , b , &c. Faire prendre de l’humeur aux peaux. VIII. a t i é.
?EAVX fraîches. {A îégif.X n . 2 1 1. a.
Vl a v verte. {Corroy.) XII. z i i . a.
PE.AUSSIER, {A/utioin.) nuifcle fitué fous la peau qui
environne le col. Sa defeription. XII. 221. a.
Peau s s ier , {Comm.) deux fortes de peauAiers à Paris ;
les uns font des marchands merciers qui fe font attachés uniquement
au commerce dc peaufferie, les autres qui feiils
méritent ce nom , font des artifaiis chez qui les peaux pafl'enc
en fortant des mains des chamoifeurs 8c des mégiffiers. Ere-
élion de ces derniers en corps de jurande en 1457. Leurs
Aatiits. XII. 221. a. Marchandifes 8c ouvrages qui leur font
propres. A rrêts qui ont réglé les limites entre les peaiifliers 6'c
les corroyeuis, 8c entre les peauffiers & les bourfiers. Principaux
rêglemens concernant la communauté des peauffiers.
Preparations qu’ils donnent aux peaux qu’ils reçoivent des
mégiiiiers. Ibid. b.
f ECCETTIU.S , {Francois) auteur en chirureie. III. at a. a.
P E CH AN TR É , {Nicolas de) poète. XVI. 473. a.
PECH E, { A n mich.) diAinélion des pêches relativement
aux betix, au.x inArumens Sc aux poiffons. InAnimens des
pC-ches en pleins mer avec rets Sc fllets flottans à fleur d’eatt,
ou entre deux eaux, avec rets 8c filets couverts furie fond;
inArumens à la mer traînant fur les fonds. Rets fédentaires
8c par fonds à la mer. XII. 222. a. InArumens fédentaires à
la mer. Rets 8c fllets flottés, 8c inArumens fédentaires ferrant
aux pèches de pié à la co te , fur les g rèv e s , fur les fables
Sc entre les roches. Filets non flottés, 8c rets montés fur
piquets à la côte 6c aux bancs de fable, 8c découvrant à toutes
les marées. InAnimens de pié â la côte pour la pêche
fédentaire fur les grèves & entre les roches. InArumens de
main de pêcheurs à pis à la cô te , furies grevés 8c entre
les roci-es. Rets 8c filets dérivans 8c flottans aux embouchures
des rivieres dans les eaux Talées. Filets , rets 8c inArumens
trainans aux embouchures des rivieres permis par l’ordonnance
de 16Ó9 , Sc défendues par celle de i6%i.Ibid. F.
Poches défendues à la mer,à la côte avec bateaux , 8c à pié.
Différentes fortes d’a p p â t s . 223. a, b. Appâts 8c inAru-'
mens défendus. Appâts empoifonnés. InArumens 8c appâts de
la pêche de riviere. Ibid. 224. a.
fortes de pêches repréfentées vol.
y m des planch. & décrites dans leurs articles particuliers
du diéhonnaiie, principalement à l’article Rets. XIV. 219. a
é , &c. Cordes de pêcheurs. IV. 212. j , é. De la pêche des
étangs. VI. 13. b. Comment les Anglois préparent les feves
pour lervir d’appât aupoiffon. V l . ô c i .é . D e la pêche dans
les étangs. S/ippi. II. 882,
Pèc h e des coquillages, {Conchyitol.) defeription de cincr
diflerentcs maniérés de pécher les coquillages, favoir à la
main, au rateau, XII. 224. à la drague, au filet, 8c en
plongeant. Ibid. b. Voyc^ les planches vol. V I I I , 8c les arù-^
des particuliers des difiérens coquillages.
Pccke des perles. V o y e z PÊCHERIE,
PÊCHE, ( Jurifpr.) la pèche permife à tout le monde par
le droit des gens, 6c reArcintc par le droit civil. ReAriéHon*
établies en France au droit de pêche. XII. 224. b. Réglcmcns
concernant les maîtres pêcheurs, 8c autres perfoniies qui peu^
vent avoir droit de pêcher dans les fleuves 8c rivieres navigables,
8c autres eaux appartenantes au roi. Ibid. 223. a.
Pèche. Privilege excluAf de pcciie accordé à quelques
perfonnes par l’empereur Léon. X. 338. b. Sergent -’ arde-
pêche. XV. 90. b. Efpece dc droit de pêche appellé trêve-pê-
chereffe. X V I .6 0 6 ./>. f Kl p
PÈCHE, {Jjrdtti.) fruit du pêcher. Dhrérentes forte/t
di:!
P E C
tle pêches. Etat dans lequel la pèche doit être mangée. XIL
223. b.
Pêche. Pêche précoce appellée avam-pêche. I. 8 ô i. b. La
pêche nous eA venue de Perfe comme un poifon. 1. 109.
a. Maturité des pêclies. X. 209. b. Manière dcles féchcr. V IL
ne7- b. Foye[ PÊCHER.
pêches , noir dc. XI. 188. i.
PÉCHÉ, ( Thèolog. ) définitions du péché : celles qu’en
donne S. AuguAin. XII. 223. b. DiAinélions des péchés ,
1 ° .du côté de l’objet, péchés dc b chair 8c péchés de r d -
prit, 2°. cil égard aux principes du péché. DiAinéHoii du
péché en originel 8c en ailuei. Sur le péché originel, voye^
O r ig in e l . Le péché affuel fe divife en péché d’Qjniffion
8c péché de commiAion , en péché mortel 6c véniel. Obfervations
fur le fondement de cette derniere diAinéiion.
Caraéieres qui fervent à faire connoître la grandeur 8c l’atrocité
des péchés. Abfurdiié de l’opinion des Aoiciens qui
peiifoienr que tous les péchés étoient.égaux. Principe du
peché, félon les manichéens,félon Calvin 8cfeionlescatho-
iiques. Ibid. 226. a.
Pêché. Différence entre p éd ié , faute , crime, forfait Sc
délit. IV . 466. b. Caufes du péché dans la foibleffe 8c la
fragilité humaine, FoiBLESSE 6« FRAGILITÉ. Comment
Dieu eA l’auteur de tout fans l’être du péché. VIL
203. b. D e l’état de peché ou de nature tombée , félon
Bains. II. 167. a. D e l’imputation du péché d’Adam. VIL
640. U. Pourquoi, félon Van-Helmont, l’homme étoit immortel
avant le péché. X V . 39. b. D e la différence entre le
péché mortel 8c le péché véniel. X V II . 4. i. Expiation des
péchés. V L 304. a J b. Sacrifices pour le péché chez les anciens
Juifs. X IV . 484, a,
PÉCHÉ, {Crttiq.facr.) mots propres à diAinguer les di-
verfes tranfgreffions dans le langage des cafuifles hébreux.
Diverfes fignirications du mot pecké dans l’écriture. X lï.
226. b.
PÊCHE .1 mo/t, ( Criciq.facr. ) dont parle S. Jea» , i. épître,
chap. V , 16. Il paroit aiie ce péché eA l’idobàtrie : 8c
quil ne s'agit ici que de la mort temporelle. En quoi con-
'liAent le péché contre le S. Efprlt, 8c le péché irréiiiiilible
dont il cA parlé dans l’épitre aux Hébreux. X II. 226. b.
Péché à mon , péché irrémifuble. V I ll. 384. a. DiAiiiffion
que font les Juifs des péchés qui fe pai donneiu en l’autre vie 8c
des pé’.hés irréiuiffibles. XIL 304. b.
Péché originel, { Criiiq.facr. ) Clément d’Alexandrie n’a
point connu ce péché. Mais Origene , fon diiclple, foutinc
que les hommes naiffent pécheurs. XII. 226. b. Doctrine
fur laquelle il fondoit cette affertion. Ibid. 227. a. Poye^ Originel.
PÉCHÉ vo/onraire, {Hijl. fre r.) il femble que ce péché
foit celui dans lequel on perfévere malgré les remontrances.
XIL 227.
PÊCHER , ( Botan. Jardin. ) carafteres de ce genre de
plante. Defeription de cet arbre. XIL 227. a. Obfervations
fur fon fruit Si. fur fes variétés. Détails fur la maniéré de
le multiplier 8c de le cultiver. Ibid. b. Précaution h prendre
pour conferver les jeunes pêchers dans le tranfport. D ’où
l’on doit tirer les bonnes eljjeces. Maniéré de Ibigner ces
plantes dès qu’elles font arrivées à leur dcAination. Ibid,
228. a. Soins de cuhiue qu’on doit employer pour ces
arbr&s dans les différentes faifons de l’année!^ Ibid. b. Ar-
leuiions que demandent les fruits étant encore fur l’arbre.
Diflérentes forces d’animaux 8c d’infeéles qui attaquent les
pecliers. Préfervatifs à employer. Ibid. iiC). a. Maladies
du pêcher. Moyens dc les décriiire. Ufages de cet arbre
en médecine. Obfervations fur les diflérentes qualités de
fes triiiis , diAingués en pêches , pavies 8c brugnons.
Ihid. 230. a. Variétés du pécher les plus remarqunbies. i. Le
pécher blanc. 2. Le pécher à fleurs doubles. 3, La pêche
amande. 4. La pêche noix. 3. Le pécher nain. 6. Le pêcher
nain à fleur double. Obfervations fur ces efpeces 8c leur
culture. Ouvrages .à confulter. Ibid. b.
Pêcher. Son caraéfere générique. Les différentes efpeces
dc pêchers diAribuées en quatre claffes. Suppl. IV. 264. b.
L amandier 8c le pêcher, dont L'mnæus n’a fait qu’un genre,
diAingués en deu x, pour éviter la confufion. Eloge de la
pèche. Prix étonnant de ce fruit du cems dc Pline. Le nombre
de les elpeces augmenté confidérablement depuis le
tems où vLvüit ce natur.tlLAe. Dans quel fens nous pouvons
le regarder comme notre ouvrage. Ibid. 263. a. Des traités
écrits fur le pêcher 8c des méthodes propolées pour le cultiver.
Principaux ouvrages à confulter fur ce lûjet. Ibid. b.
Ffpeccs. Efpeces fmplcment curieujes. Pêcher à fleur fémi-
düublc. Pêche-noix. Pêche-amande. Pêcher-nain. Efpeces
qii on cultive pour la bonté de leurs fruits. .\vant-pêche blan-
, rouge : avant-pêche de Troyes. Double
üc iro y es ; pèche de Troyes : petite ralgnone. Avaiit-
peche jaune. Ibid. 266. a. Aiberge jaune : pèche jaune.
ra \ ic alberge ; perfais d'Angomnois. Madeleine
blanc : pavie-nudekiue. Pêche-m.ilie, Véri-
RoA'ani
blanche. Pa
P E C 403
table pourprée liâtive à grandes fleurs. Ibid. b. Pourprée
tardive. Migiione : groA'e-mignone : veloutée de merlet. 1 ourpree hâtive vineufe. Bourdin ; bourdine : Narbonne.
Uievreufe hâtive. Pêche d’Italie. Belle chevreufe.//'/iz'. 2Ô7.
a. Véritable clianceliere à grande fleur. Cltevrenfe tardive,
pourprée, Pèdie-ccrife. Petite violette hâtive. Greffé violette
hâtive. Ibid. b. Violette tardive : violette marbrée r
violette panachée. Brugnon violet mufqr.é. Jnime-liffe :
hllee jaime. Belle-garde : galandc. Admirable. Ibid, a.
Admirable jaune abiicotée : pèche d’abricot : grolTe pêche
jaune tardive. Pavie jaune. Teton de Vénus. Royale. Belle
de Vitry : admirable tardive. Pavie rouge de l^ompone :
pavie moiiArueiix : pavie camu. Utd.b. Teindou ; tein doux.
Nivette ; veloutée. Petfique. Pèche de Pau. Ibid. 269. rz.
Mngnmolc : betterave : dnffelle. La cardinale. Cardinale de
runiemberg. Vineule de Fromentin. Tnnfparcnto ronde.
Incomparable en beauté. Belle-beauce. Belle-tillemonr. La
nionfnn.-— D c la taille du pêcher./éit/. b. Caufesqui tuent
les fruits dans les fleurs ou quelque tcnis après leur nail’-
fance-. Moyens de les prévenir. Du foin d’abriter les pêchers.
Ibid. 271. tf. Autres foins de culture que ces arbres
exigent. De la grcfle. Ibid. b. Oblcrvations fur la méthode
oblcrvée par les habitans de Montreuil dans la culture du
pecher. Qualué du terroir qui lui convient. De la prépa-
raflon des plates-bandes. Ilnd. 272. a. Maniérés de mettre
les pecliers en efpalicrs. Ibid. b. D e la diliance à laquelle
on doit les phanecr. Autres avis aux cultivateurs. Ibid. 273. a.
Pecher. Expofition que cet arbre demande. I. 757. a.
Détails fur les pêchers que l’on fait venir tù; noyau , fur
leur greffe Sc autres foins qu’ils exigent en pépinic-re. XIL
321. b. Dy l’ulage de couper les branches gourmandes des
pêchers. X"\ IL 762. a. M.dadie qui attaque les feuilles de
ces arbres. 763. b. Bouillon pour les pêchers. Suppl. I.
378. d.
Pé c h er , ( Dicte , M.h. médic. ) éloge dc la pèche. Efpece
de ce fruit la plus falutaire. Meilleures façons de le manger.
xn. 230. b. ü ii a cru , 8c il y a lieu d’en être per-
fiiadê, que la pèche étoit un poifon en Perle. Qualité purgative
des fleurs du pêcher. Maniérés d’adminiArer ce purgatif.
Leur propriété vermifuge. Les fleurs du pêcher ne doivent
pas être foumifes à la décoéfion. Ibid. 231. a. Foyer
PÊCHE.
^ PÊCHERIE , ( Pêche & Comm. ) principales pêcheries
d'O rient , des Indes occidentales 8c de l’Europe. XIL
231. a.
Pêcherie des perles. XIL 383. b. 449. b. Defcripflo.T de
la pèche des huitres perlieres. 7 9 1. b.
PÊCHEURS, peap/rr, {Géogr.) voye^ ICTHYOPHAGES.
Peuples pêcheurs en Amérique. 1. 348. rf.
PÉCHINIENS, ( Géogr. anc. ) peuples d’Ethiopie fous
Péchiniens, felon toute apparence, font les
pygmées d’Homere. Obfervations qui appuient cette conjecture.
XII. 231, É.
PECH LIN, {Jcan-Alcolas ) mmomide. Suppl. I. 400. a.
P ECK IN , ( Géogr. ) voyrç Pe k in g .
PECKIUS , ( Pierre ) jurifconfulte Iiollandois. XVII.
719-
P E C Q U E T , réfervotr de, {Anatom. ) ÎII. 407. .z. X IV .
169. b. XVI. 297. a , b. Suppl. IL 614. a. Suppl. i lL 698. b.
Ouvrages de jean Pecquet. Suppl. I. 397. a. Suppl. IV ; 350._Z>.
PECTINITF.S , (H ijl.n a t.) peignes foffiles ou pétrifiés-
vol. V I des planch. Coquilles fofliles, pl. i .
P E C T IS , flûte des anciens, aulîi nommée maeade. Suppl.
III. 830, É.
P E C T O R A L , ( Aflron.) mufcles appelles le grand peSla-
ralSc\c petit pectoral. Leur defeription. ManifeAation particulière
de la providence par rapport à la grandeur 6c à la force du
mufcle peifforal en differens animaux.XIL 252.-.
Pcclonil, remedes peAoraux, compofitions peAorales. X IL
Peêîoral. Apozême peiAoral. I. 342. *7. Baume pefforal. IL
163. b. Remedes peéforaux tirés des corps doux. V. 92. a.
Remede pefforal appellé éclcgme. 203. b. Poudre pefforale.
XIIL 188. b.
P e c to r a l du fouverain facrifeateur, {H if . ftinte) VIIL
339. <z, i. XIII, 80. </. XVII . 496. a. Parties dupefforal appellees
uri/a&uhummim. XVII . 496. <-z, b.
P É C U L A T , {Jurifpr.) éiyTno\og\e dc ce mot. Parole de
Marc Caton fur ceux qui piiloicnt le public. Le pcculat puni de
mort chez les Romains. Par quelles perfonnes ce crime f'e commet.
Dlri'érentes maniérés des’en rendre coupable. XIL 232.
a. Pourliiite Si punition de ce crime en France. Remarque fln-
gulierc Air la preuve dupéculat. Ibid. b.
Péculat. Du jugement de péculat chez les Romains. IX. 20.
b: Amende infligée à ceux qui font convaincus de pécuiar. X V .
947.
ŸLCVCX'T, { Art miin.des Rom.) le péculat envifaRe feule-
r.wm danscetartkic comme laicinniilitaire. En quoi confàlloit