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328 O L Y
O l iv ie r , {M it. medic.) Deux manures contenues clans
l'olive , I'iniile graffc , & une niaiure cxtraàlive , d’un goîit
acerbe , amer , mêlé d’un peu d'acidité. Ces deux iubflanccs
foin iminifeibles Sc réciproquement inlolubles, Principe acide
que coiuleni riuiile tirée des olives avant leur maturité. XI.
452. i>. Propriétés de cette luiÜe que les anciens ont appellee
omph.icine. Deux autres qualités d’iiuiie, celle des olives ptc l'
que mûres, qui d l la plus fine ; 6i celle des olives partaite-
nient mûres. Les olives confites ne font autre chofe que ces
fruits épuifés de leur maticre extrnéfive , & accompagnés de
quelques alTaifonncmeus. Qualités diététiques de ces olives.
Quelles font celles dont il faut rejetter l'ufage- Des olives
cuites. XI. 453. ‘i. Ul'age de l’iuiilc d’olive. Mauvais effets
qu’elle caufe à certains tempéramciis. Ufage pharmaceutique
de cette huile. Efpcce de croûte appellee jlri-^mentum que les
athletes formoient fur leurs corps, en fe Ifottanc le corps
d'iuiilc , & fe roulant enfuiic fur le fable. Obfervatious fur
les bains & (lenii-bains d’imile dans certaines maladies. Ibid. b.
O l iv ie r , {L'uür.) Branche d’o liv ier , figure fymbolique.
X V . 731 .^.
O l iviers , montagne des ( Géogr. ) Montagne à l’orient de
Jerufilcm. Salomon ybâcitdes temples auxfaux dieux, irem-
blement de terre qu'elle effuya du tems d’O.fias.Xl. 433. b.
■ O'-ivicrs , rnont.:gne des , appellee montagne du Icandalc.
X IV . 741 . b.
O livier , ( Aubry ) inventeur du inonnoyage au moulin.
X . 663..;.
O l iv ie r , SnppLW . b.
O L L A , (C ’.û/i/./im.o) Différentes fignifications de ce mot
latin de la vulgäre. X i. 434. a.
Ü LL/UilL , Pierre {H/!}, nat.) Caraélcrcs de ces pierres.
Cinq dpeces difiinguées par Wallerius. Nature de ces pierres.
X i . 434, .t. Otiaire. pierre, efpeces de pierres olhires nommées pierre
de lard. IX. 2i)i. a , b. Lavege. 312. .1. Serpentine. X V . lïz.b .
O LLAUS TH RU G G O N , { h y i. de N onug.) roi de Norvèg
e , qui régnoit veri la fin du dixième ficclc. Quelques évé-
nemens de fa vie. Suppl. IV . 127. a.
OlLïus-U-f.iint, roi de Norwege, qui monta fur le trûne au
.commencement du onzième fiede. Principaux événemens.
de fon regne. Suppl. IV . 127. a.
OLL.AUS, O ll.\US.
O LO G R A PH E , {Jurifpr.) Codicille olographe. III. 386.
b. Tefiamens olographes. X V I. 194. b. Nécelfito de les dater.
IV . 634. b.
O LUF ou O lef , ( Hijl. du Nord. ) roi de Norwege & de
Gothland , fils d 'ü lu f Triggefon. Précis de ibn regne. Suppl.
IV . 127./-.
O L YM P E , {Cècgr. anc.) Villes & promontoire de ce nom.
Mont olympe en Macéclniii v , aujourd'i ui nommé Lac.'i i. Obj,
l'ervaiions de Brown furceitc montagne. X L 454. b. Evéne-
meiis remar([uablcs arrivés liir le mont Ol;;iupe ou auprès.
Autres montagnes du même nom. Dcl'cription du mot
OI) mpcdeMyfic parTouriicfort. Etymolog, du mut Olympe.
XI. 43 3..:.
O l y .mpe , ( Myth. ) l’empyréc, le féjour des dieux. Origine
de la fable de la guerre des géaiis. Conjechire de M. de Mai-
rnn fur l’origine de la fable des dieux tenant leur confeil fur
l’olympe. XL 4 5 5 - Olympe. Origine de la fable de l’apparition des dieux fur
l’olympe. Suppl. 1 1 1 . 10. a.
O L YM P IA D E , {Chronolog.) Origine de l'iifage de'compter
par olympiades. Epoque de la premiere olympiade. Evéïie-
mens remarquables dont la date a été fixée par le compte des
olympiades. Tems auquel on a ceffé de compter de la forte.
Perlonne n'a témoigné aux olympiades fa reconnoilTance pour
leur utilité dans la chronologie avec plus u’affeéfion que Scali-
gcr. XI.
O l ym p ia d e , ( Chrorwlog. ) Commencement de l’année
•olympique. Table des olympiades rapportées aux années avant
l'cre clirétienne. On y a joint les noms des vainqueurs aux jeux
olympiques, les fartes de l’iiirtolre grecque, les archontes
d’AihencSj & c. Cette table embraffe 804 ans. La premiere
olympiade commence 776 ans avant Jéfus-Chrirt, i
qui eft la derniere de cette table, tombe à l'an 2<23
de l’ere
chrétienne. Suppl. IN.Olympiades épocjue 127.des. b.
, V. 83 3. i . Suppl. 1 1 . 833. i.
O L YM P IE , ( Gèogr.anc.) ville du Péloponnefe. Diverfes
confidérations qui la rendoicni célébré. Son premier nom étoit
i-'z/L XI. 4 3 3 .é. Olympic, éclio remarquable dxns cette ville. II. 832.
rf. Honneur que Junon recevolt à Olympic. IX. 60. a. Stade
d'Olympie. X V . 487. <i , b. Statue de Jupiter dans cette ville.
X IV . 823. b. 824. a. Trône magnifique envoyé par un roi
Tofean dans le temple de Jupiter Olympien. Suppl, il. 900. a.
O l ym p ien . Sur Olymple , voyer l’article PîSA. Culte
de Gérés à Olympic. HT. 83. b.
OLYMPIEN , temple de Jupiter O lympien à Atliencs. IV.
C6z- b. X V I 74. a , b. Cavale de bronze qui étoit auprès de
O M B
ce temple. VII I. i i 6 . b. Statue de Jupiter olympien. X IV .
823. 824. a. Foye:^ O l y .MPIE.
Ô L YM P lO N IQ U E , {Gymnajl.) Vainqueur aux jcu.x
olyinpi(|ucs. Bornes que mit Solon aux prefens que les A th é niens
failbient aux olympioniques leurs compatriotes. X L
43Ô. E
O LYM P IQ U ES ,jeu.v ( Lin. grccq. & rom. ) Inrtitution de
ces jeux. Dertination particulière de chacun des cinq jours
coiilacrcs à ces jeux. Epoque à laquelle les athletes coin-
mcncercntà y combattre nuds. Défenfe aux femmes d’y af-
firter. XI. 436. a. Anecdote fur une femme qui enfreignit
cette loi. Serment que prètoient les athletes avant d’être admis
aux jeux. Défenfe d’ufer tic la moindre fraude pour être
décla-é vainqueur. Objets remarquables autour du temple de
Jupiter olympien. Statues de Jupiter qu'on rencontroit en allant
du temple de la mere des dieux au ilacte. Les jeux o lympiques
étoient entre tous les jeux de la Grèce ceux qui te-
noicnc le premier rang. Ibid. b. RélLxions fur les récom-
pciifcs affignées aux vainqueurs, 437. a. En parcourant
la quantité prodigieufe des belles rtutues placées dans l’Atiis ,
on dirtinguoit les dirterciues é co le s , on apprenoic l’iiilloire
de l’art même. Hérocle le grand ayant fait un prélcnt confi-
dcrable pour rendre aux jeux olympiques leur ancienne fplen-
d c iir , fut élu préfideiu de ces jeux pendant fa vie. Recherche
qu'on faifoit des moeurs &. de la condition de i'athletc
avant de radmettre au combat. Autres particularités concernant
CCS jeux. Ibid. b.
Olympiques, jeux ,\w e origine. Suppl. IL 390. <7, b. D u
tems oil les coiirfes de chevaux y furent introduites. 391.
b. Pélops fit célébrer ces jeux avec plus de jtompe qii’au-
paravant- Ibid. Leur intemipiion depuis O xylus , roi des
Eléens. 392. a. Ils font rétablis parlphytus. /i/ü'. Mais ce
ne fut que peu à peu qu’on y rétablit les diftéiens exercices
qui avoiont été auparavant en ufage. Ibid, a , b. Mois
oil ils commençoient. IX. 32. b. Officiers qui préfidoient à
ces jeux. V I ll. 104. b. 106. a , h. Athletes qui coiiroicnt armés
clans ces jeux. 293. a. De la courfe des durs aux jeux
olympiques. III. 183. a , b. En quel tenr. le pancrace y fut
admis. XI. 812. a. Prix de poéfic & de imifiquo cpi'on y dif- ^
tribuoit. X I ll. 392. h. Vainqueurs ;i ces jeux. XI. 436. a. Ils
avoient part aux dirtributioiT; & aux repas des [irytanes. X llI .
336. b. Défenfe aux femmes cl’athrter à ces jeux. X V I. 781.
a. Principal but de leur jnrtiiution. VI. 243. a , b. Noms des
vainqueurs aux jeux olympiques. Suppl. IV . 127. b. 141. a.
Olympique mefurc, X. 413. a.
O L YN TH E , ( Geugr. ane. ) ville de Tlirncc. Siege Sc
prife do cette ville par Pliilippe qui la ruina de fond en
comble. XI. 437. b.
O L Y S iP P O , (Ge'ogr. anc.) aujoiird’bui La fondation
de cette ville attribuée à UlylTe. XI. 438. a. Voyc^
L isbonne. O M
OM AG U A S , peuples de l’Amérique : ufage qu’ils-pra-
tiqueiit il l’égard de leurs enfans. IV. 43 i. b. Cérémonie c|u’ils
obfervcnt avant leurs fertins. XV II . 760. b.
OM AN , ( Geogr. ) province d’Arabie. Ses révolutions.
Suppl. I. 308. a.
OM AR , fucceffeiir d’Abubeker. IX. 865. b. Suppl. II,
123. , b.
OMBELLE , ( Botan. ) Cette forte de plantes parfaitement
repréfentee dans les armes accordées par le pape Alexandre
1 1 1 . au doge de Venife Sébartien Zani. X L 438. a. Ombelle
fimple & ombelle compofée. Plantes ombdliferes. Les
racines de clS plantes, fujeitcs aux vers. Traité de .Morifon
fur ces plantes. Obl'ervaiions fur ce botanirte. Remarques critiques
lur ce que M. Tournefort a écrit lur les plantes om-
bcllifcrcs. Ibid. b. Voye^ U mbf.llIFERE.
O.mbelle, {B Lifon) XL 438. b.
OMBEL LIFERE S, {B ot.) famille ou claffe de plantes
qui portent prcfque toutes leurs fleurs raflemblées en ombelles.
Garairtere (les plantes de cette cVaKc.S uppl. IV. 141. a.
Leur qualités. D e leur clirtribiuion en genres ék en feétions.
Ibid. b. Foycii U mbelliFEKE.
O M B I , ( Géogr. anc. ) ancienne ville d’Egypte. Oppofi-
fion de culte entre les liabitans de Tentyris 6c d'Ümbi ,
deux villes voifincs d’Egypte. XI. 438- b. Vers de Juvenal
fur ce füjct. Ibid. 439. .J.
OMBIASSES , ( J-Itfl. mod. Cube) Prêtres de l’ifle de Ma-
tlagafcar. Détails fur les métiers de médecins, de furciers &
d’artrologiics qu’ils exercent en même tems. XI. 439. a.
OiVililLIC , {A n a t.) ou nombril. Les foetus de prefifiie
toutes les claffes d’animaux ont leur cordon ombilical. Suppl, l V.
141. Defcripiion de celui de l’iioinme & déi} vaiffeaux qui
lui appartieiiuent. Ibid. 142. a. Examen de la (juertioii , ft la
ligature de ce cordon cft néceffaire. Ibid. b. Anatomirtes qui
ont prétendu qu’on pmivoit la négliger fans en craindre les
f.iiies. Expériences pour &. contre ce nouveau fciuimeiu. C omment
h ifi >4 > 1
O M B
'ment les deux femimens contraires fe concilient./i;./. 143. f,
Voyex^ N o m b r il .
O M B IL IC A L , cordon, {Anatom .) Sa defeription & fon
ufage. Singularités de la nature par rapport à ce cordon. XI
459. a. Artere ombilicale. Ibid. b. Voye^ Um b il ic a l .
Ombilical cordon : fa defeription. 'V'Il. b. Foyer O mbil
ic . Accroiffement de la membrane ombilicale du poulet
Suppl.l. 126.b. Diverfes obfervations fur ce cordon. XI 210
a. Danger de le lier trop prés du ventre. XV II . 62. é Comment
il faut le couper. I. 83. ,7. Obfervations fur fa ligature
&. la maniéré de le couper. Suppl III. 397. b. Comment les
Américains le coupent. Suppl. I. 350. b. Comment l’entor-
rillcment de ce cordon autour du cou du foetus peut caufer
fa mort. Suppl. III 393. .2. 398. h. D e la caufe de la mort du
foetus provenant de rhémorrhagie par ce cordon. 397 a b
Divination parle cordon ombilical. XI, 471. ’
O m b il ic a l e , veine ,{ A n a t.)l.c foie eft attaché à l’ombilic
par un ligament rond, qui dans le foetus fait la fonâion de
veine. Obfervations fur l’importance de ce ligament pour
la refplration & pour la vie. XI. 439. b. ^ *
7 (5 - E Suppl
OM B IL IC A U X , vaijfeaux, {A n a t.) Us font au nombre
de trois, deux ancres & une v eine , qui forment le cordon
ombilical, XI. 4 3 9 ' Defeription de ces vailfeaux./i/^.460
a. Fciyz^ U m b il ic a l .
Ombilicaux, vaiffeaux. Suppl. II. 614. b. l’ouraque. XI 7 1 1
S u p p liy .iii.b .k v tC T Ç i ombilicales
diftribuces dans le placenta. 387. b. Diftribuiion qui s’y fait
des veines ombilicales. 388. a.
O mb il ic a l , ( Médec. Chir. ) Hernie ombilicale VII I
’ ^5 ' Ex o m ph a l e . Vers ombilicaux. X V I I
43. a. Maladies ombilicales. X L 210. <z, b.
O M B L E , {Ichihyol.) Foye^ O mbre & U mble.
OM B R E , {O piiq.) La théorie des ombres eft fort importante
dans rallronomie ik la gnomonique. Defeription
d une mendienne. XL 460. Loix de la projeélion des ombres
par les corps opaques. Ibid. b. Moyen de trouver la longueur
de 1 ombre ou l’axe du cône d’ombre d’une fpliere opaque éclairée
j2ar une fpliere plus grande , leurs dcmi-diameties &
leur dillance étant donnés. Moyen de trouver la longueur de
1 ombre d’un corps opaque , la fiaïucur du foleil étnnMlonnée.
La longueur de l ombre & la hauteur du corps opaque étant
donnée, trouver la hauteur du foleil. Ibid. 461. a. Mefurer la
hauteur de quelque objet par le moyen de fon ombre T rou v
er l’ombre d’un corps irrégulier quelconque expofé à un
corps lumineux de figure quelconque. Autres propofitions fur
les ombres. Ulagc des ombres dans i’arpentage pour mefurer
les hauteurs acceflîbles ou inaccelUbles. Ibid. b. Obfavaùon ■
tout ce qu’on démontre fur les ombres des corps eft ex.-ift
à la vérité , du côté mathématique 3 mais fi on traite cette matière
phyfiquemeiu, elle devient alors fort différente Cette
obfcrvanon confirmée par les éclipfes de lune. Expériences de
M. Maralcii pour déterminer la longueur de l’ombre & de la
pénombre d’un corps opaque. Ibid. 462. a. Application des
principes qui font le rélultat de ces expériences, aux phénomènes
obfervés dans les éclipfes de lune. En introdui-
iaiu la lumière du foleil par un trou fait à la fenêtre d’une
chambre obfcurc, l’ombre des corps minces cylindriques ex-
pofés à cette lumière, cft beaucoup plus grande qu’elle ne
tlevroit être, fi les rayons qui rafent ces corps , fuivoient
exa^cment la ligue droite. Ibid. b. Explication de ce plié-
nomene. Divers jeux , réflexions & réfraftions des rayons de
himiere, qui fe mêlant aux ombres , en divcrfifient les nuances
prcfque à l'infini. L'etude du mélange & des diminutions graduelles
de la lumière Si des ombres, fait une des plus grandes
parties de la peinture. Maniéré de marquer dans la gravure
les lumières & les ombres. XL 463. a.
O mbre ,{Optiq. ) Ombres colorées. Phénomène remarquable
obfervé par M. de Buffon. Les ombres font toujours colorées
au lever & au coudier du foleil : elles font quelquefois
v e r t c s& fouvent bleues, & d'un bleu aiifti v i f que le plus
bel azur. Suppl W . 143. a. Expofition du fa it, tel qu’il eft
rapporté par M. de Buft'on. Ibid. E-Obfervations de l’auteur
Inr ce phénomène. Comme M. de Buft’on ne fait mention que
de deux feules ombres v er tes , apperçiies en juillet 1743
«eux jours confécutifs , & que toutes les autres obfervations
qu il rapporte n’ont donné que des ombres bleues , il eft vrni-
femblnblc que les ombres des corps, lorfque le foleil cft proche
de 1 h orizon, font régulièrement & naturellement bleues , &
que ce n’cft que par accident que ccrie couleur bleue^ fe
c lange en verd. Ibid. 144. a. Il ne s’agit donc plus que de
trouverla foiirce de ces rayonsbleiis. Or cette fource fe troti-
nousparoh lui-même
1-, cuLr <^ouféquent réfléchit les rayons qui excitent
antre-: ^Ibid Pf-^f^rablcmeiit à toutes les
‘ I /- ■ - ■ ■ tres-ciiconftancié de quelques autres
i;au,eu, a fait.s d.u „éme p hé „ „ „K „e. S
qui peuvent modifier ces ombres
O M E 329
& les faire paroître vertes. lUd. t. On pent obferver de.
ombres bleues prelque à ,eûtes les heures titt jour dans le’
appartemens ou la lumière du foleil pénétré par la réflêlion
de qimlque corps blanc, pourvu que de rctidroit fitr lequel
on ta,, om b e r l ombre on pttiflb découvrir quelque n?r 'e
du ciel (cre,... Quelle cft la caufe d'une e fp cL detordurq
ou otnbre Jaune rougeâtre, qu'ot, apperçoit fouvent au d e f
ft.sde_l ombre ordina.re, lorlque celle-ci eft teinte en bleu
Autre efpeced ombre appe,eue par l'aute.tr au commencement
du pnmems lorfque h lan tlc matin à la clarté trune
bottgte, la umtere du jot.r fe conibndoi, fur la ,nt,raille avec
celle UC la bougie, /h d ,46. a. Obfervation de deux ombres
cltm munc corps expofe en même tems à la lumière d'une
hé m ” ^ ■ ' ? i’ ï l " ' “ “ ° ' *^*P>i'-“ i<>" donnée par M. l'ab-
be Mazeas de la dtfterencc de coiilcnr qne préfentent ces
ombres. Remarques de l'auteur fur cette expl,cation. /i,J 4
Vtnirti d,s corpr, leur couleur apparente au moment du
ever & dt. cottdtcr du foleil. IV . , j a . 4. Expériences fur
es couleurs accidemcUcs de l'ombre des corps qui reçoivent
lalinmerc du jour ou dune lampe. Suppl. II. 6 ,8 4 'T ro u ver
une hauteur macceftible par le moyen des olnbres. VIII.
Oudr. un p„fp,a\uc. Methode pour trouver l'apparence de
1 ombre lu,vaut les loix de la peripceftive , l'apj.Vencc L
coips opaque 6t d tnt corps linmnciix , dont les rayons font
d.vergcns étant donnée. LaprojeSion de l'ombre d'utfe courbe
Itir un plan, cft une autre courbe tin même ordre La fee
non d un cône par un plan , cft toujours du même degré
que la courbe qui eft la baie du cône. XI. 462. b. Sur la eê-
nemion des courbes par les ombres , veycç l’nniclc CourI e.
Ombres, {Pemeure) D e la diftnbiition des lumières ik
des ombres, voyq Lumiere , C lair-Obscur, Coloris
uvur la immiL-re d’ombrer dans le deffin, voye^ Vol. HL des
planch. Delîin , page •^.a,b.
O.MBRE , ( Geogr.) Obfervations fur les ombres , relatives
au.x difterentes poiuions du foleil par rapport à nous, félon
a chverfue des lai/ons , les difteremes heures auxquelles on
lob lerv e , & les difterens climats que le foleil éclaire. XI
^ 1 obfervation des ombres. Colonnes &
obclifqiiesdes anciens deflinés à cet ufage. Pourquoi ces obe-
ilques etoiem ordinairement fiivmontés d’une boule Etymologie
du nom de gnomon donqé à ces obélifques. Direaion des
ombres chez les peuples fuués au-delà de l’équateur Ouels
font les peuples appelles a/aens. Ibid. b. amplficiens ,pcrifctens,
hciérojcicns. Ibid. a. ‘ ■'
Ombre , ( Aflron. ) L’ombre de la lune n’arrive pas juf-
q u a ja tene dans les éclipfes de fo leil, lorfque la lune eft
apogee, i-iguie cie cette ombre fur la lerrc , cfjiace qu’elle y
occupe , rapidité de fon mouvement. Méthode pour avoir
a largeur apparente de l’ombre terrcllre dans les édiufes de
lune. Suppl IV . 147. a. ^
O m b r e , rmngre, daine,{ fo/n/iyo/.) defeription de ce poif-
fon de mer. XI. 463. Z>. ^
Ombre^de riviere. Defeription de ce poiffon. Quallt-é de fa
chair. XI. 463. b. Foyc^ Umble.
O mbre .terre d- ( Minér. & Peint. ) caraéleres de cette terre.
Ungine de fon nom. Subftance bitumineufe qu’elle renferme.
XI. 463- >'■ Pbenomene très-curiciix produit par le mélange
do cette terre pulvérifce avec de riuiile Ombre , terre d' de \xn:ibid aGÙ a X V I . 178. é. ^
O.MBRE, {Lhtérat.) celui qu’un convié amenoit de fon
chef a un feltin d’invitation. Xl. 466. a.
Ombre dans les repas des Romains. \N . 168. b Suppl II
387. b. •
Ombre , ( MythoL ) ce n’étoit ni le corps ni l'amc, mais
1 ombre qui defeemioit aux enfers. Sort des ombres de ceux
dont le corps n’avoit point eu de fépulture. XL 466. a.
Ombres. Comment on a expliqué lapoffibilité de leur apparition
dans les cimetières. XL 783. rt. Culte que quelques
negres rendent aux ombres de leurs ancêtres. VIII. 447 b
O m b r e , {Bla/on) X I 466. a.
O mbre, {B lajbn) image fi déliée, qu’on voit le champ
ou les pieces de I’ccu au travers. Maniéré de la repréfenter.
Ombre de foleil. Corps ombrés dans les armoiries. Suppl.
IV. 147. a.
OM BR I, {Gèogr. anc.) nation celtique. Signification du
mot onibri. XI. 4C6. a. Hiftoire de ces peuples. Pays qu’ils
ont occupés. Ibid. b.
OM BR IE , ( Géogr. ) Umbrie.
O.MBROiVlETRE, {Phyßq.) tmchinQ qui fert à mefurer
la quantité de pluie qui tombe chaque année. En quoi confifte
cette machine. Ouvrage à confultcr. X L 467. a.
O M B U ,( .5 o;.;/?.) defeription de cet arbre du Bréfil. Q u a lité
de fon fi'iiit & de fa racine. X L 467. a.
OM ELE T T E , ( ) divers fentimens fur l’étymologie
de ce mot. Différentes efpsces d’omelettes. XL 467. a.
O melette , ( March, de vin ) moyen d’éclaircir le vin. X L
467. a.
OMEN .{ H iß , anc.) étymologie de ce mot. XI. 467. a,
OOo o