Ö4 I S T I T A ISOLÉ. Avantnges &. iRConvcnicns de l’état d'un Iiomme
ifolé. V lll- 927.
ISOLER , ( Phyfiq. EkBr. ) faire enforte qu’ un corps con-
dnébiir ne touché quo les corps noii-conduftcurs , telleiiieut
qu’on paille réleélrifcr politivcmeiit ou nèptivemem. Difté-
rentes m.iticrcs propres ù iloler. Suppl. III. 670. Maniéré
lie préparer le bois à cet ufage. Précaution à prendre lorf-
qu’on fait ufage de ces corps non-conduéleurs. Autre obfer-
vation : pluheurs matières élcélriques, lorfqn’ellcs font trop
écliandécs, deviennent des conduélciirs. IbiJ.h.
ISOPÉRIMETRE. {Géom.) Entre les hgvircs ifopérime-
ivcs, celles-là font les plus grandes qui ont le plus de cotés
ou d’angles. Dcnion/lration. Propofition fur les triangles ifo-
périinctres. Entre les hgures ifopérimetres qui ont un même
nombre <le cotés, celle-là cil la plus grande, qui oft équilatérale.
D e la théorie des figures ifopérimetres curvilignes. Cette
théorie expliquée par'M. Euler. Mémoire de M. Cramer fur
le même fiqet. S'Ill. 927. b.
ISü PSEPHE. ( Liitèrat. grftr</. ) D ifférentes acceptions que
ce mot recevoir chez les ôrecs. Ce qu’ds entendoient par
Tuou ij'opfephcs & vers ifopfcphcs. Poète qui fe diiiingua
dans ce genre bifarre de poéfie. Epigramme de laïuologio
dans laquelle M. Huet a remarqué rifoplephllme. ü n prétend
qu’on trouve dans Homere quelques vers iloplcphes.
V l l l . 928.0.
ISOSCELE. {Geom.') Théorème fur les triangles ifofcelcs.
VIII. 928.0.
Ifûjcelc. Manière de décrire un triangle ifofccle dont les angles
à la bafe foient doubles chacun de l’angle au fommci. HL
753.
ISPAHAN , ( ) capitale de la Peife. Cette ville
décrite avec beaucoup de foin par Chardin. VIII. 928. a.
Situation avantageufe de cette ville. Son commerce. Delcrip-
tion que les mémoires nous donnent d’Upahan. Magnificence
de l'empcrcuT, de fon palais & de fa cour. Révolutions terribles
que cette ville a éprouvées depuis 1722. Antiquité d'Ilpa-
h;m. Sha-Abas I la ciioifit pour capitale de fon empire 8cne négligea
rien pour l’embellir. Ibid. b.
Ifpuhun, fauxbüui g de cccie ville habité par les Gaurcs. V IL
529. b.
ISR A Ë L , ( H iß.fdc r.) fignihcation Sc ufages de ce mot
d.ans l'écriture. Nom d'Jfraäiccs donné au-'t anciens Juifs.
Suppl. III. 670. b.
Jf'rjël, enfeignes des douze tribus d’Ifraél. V . 709. o.
Royaume d’Ifraél. X IV . 419. b. Son commencement. Suppl,
IV . 6^6. .ï, b. Sa fin. 192. b. Tranfmigratioii des dix tribus.
X V I . ^^6. O.
ISS.ACH.AR , rècompeiife, {Hiß. fier. ) cinquième fils de
Jacob & de Lia. Béiiédiétion qu’il reçut de l'on peve. Ses
quatre fils. P.artis du pays de Chanaan qui échut à fes defeen-
daÂS. Suppl. 111. 670. b.
ISSANT. (.0/4/cn) Différence entre le lion ilTant & le lion
naiffam:. VU l. 918. b. Naissant.
IJjd/it, acceptions Sc ufages de ce terme de blafon. Suppl.
II I .671. .2. vol. 11 (les planches, Bla fou ,p l. 5.
ISSINOIS, mets le plus délicieux de cos peuples. X V I .
427. .1.
IS SO îR E , ( Géogr. ) ville de France en Auvergne , où naquit
Antoine du Prat, chancelier de France. Obfervations fur
ce miniffve.'V Ill. 929. *2.
IJpjire. Divcrfes obfervations fur ce lieu. Suppl. III.
671 . d.
IS SO N G , {Boran. Mdt. mcdic.') plante de Guinée. Son
ufage dans les maux de tète. Nom 8c dclcription qu’en donnent
les Botanifies. Différens lieux où elle fe trouve. V l l l .
^ IS SO U D U N , ( Geogr. ) ville du B e r r y , où naquit Michel
Baron, le plus grand aéleur tragique. Hilloire abrégée de fa
vie. V l l l . 929. .2, Ses avantages naturels. Il n’a pas été remplacé.
Vers de Boileau pour mettre au bas de l’efiampe de B aron.
Ibid. b.
Iffbudun. Son commerce. Seshabitans recommandables par
leur fidélité enversles rois de France. Incendies que cette ville
a effuyés. Suppl. III. 6 j i.a .
ISSUE. ( JurifpT. ) Droit d’ifTue dans quelques coutumes.
C e terme eft ordinairement joint avec celui d'enirce. Coutumes
qui en parlent. VIII. 929. b.
Ijfue. Droit dont jouilTent quelques villes de Flandre. V .
122. b.
Issue-foraine. {Comm.) Entrée Sc iffue-foraine. Différence
entre ce droit Sc celui de tranfit. On appelle ces droits
lu foraine. Exigés dans le lein du royaume ils arrêtent la circulation.
V l l l . 929. b.
ISSUS , {Géogr. une. ) ancienne ville de Cilicie. Réflexions
fur la vidoire qu’Alexanclre remporta près de cette ville. Le
nom moderne diffus efi V l l l . 930.^2.
Iffus, bataille d'. Suppl. I. 267. a , b.
ÏS T E R , (Gc'opr. ) nom que portoic anciennement le Danu
b e , dans la partie baffe de fon cours, depuis lu cafeade de
ce fleuve à l’entrée de la Dace. Pont que Trajan fit confiruire
un peu au-delToiis de cette cafeade. Embouchures du Danube.
Nombre des rivières qu’il reçoit. Malgré f'a rapidité il cfl glacé
prcfque toiisle.s hivers. Suppl. HI.671. i .
ISTHME. ( Géogr. ) lahmcs les plii-s confidérables, ccu.x
de Corinthe, d’Erizzo , do Malacca, de Panama, de Romanic
, de Sue-z , de Zacala. Par le mot ifihme , les auteura grecs
entendent l’ifthme de Corinthe. Sa laigour. Inutiles erioirs
qu'on a faits pour le percer. Proverbe grec aïKjuel eerie
cntrcprife a donné Hou. Temple de Neptune dans cet ifibme.
V l l l . 93O..2.
IJl/imes , comment ils font formés. V IL 620. b.
ISTHMIEN S, jeux , ( Litiér.1!. gra-ÿ. ) un des quatre
jeux facrés de la Grèce. Premiere infUiution qu’en fit Sifi-
p he , roi de Corinthe , en ritonneur de Méücerte. Abus qui accompagnèrent
la célébration de ces jeux, S< qui les firent
interrompre. Ces jeux rétablis par Thelée. Brigandages de
Sinnis punis par ce roi d'Aihenes. Dans quel intervalle les
jeux iflhniiques fe célébroient. VIII. 930, b. Diff.'.rcntcs fortes
de combats qui y étoien: admis. Il n’y avoit que les principaux
membres des villes qui pullént y être jfiacés. Elpace
que les Athéniens y occupoiem. Pourquoi leS i'.léens ne s’y
trouvoienc pas. Magnificence que les Romains ajomerent k
la célébration de ces jeux. Réeomi)cnfe Cjut recevoiuit les
vainqueurs. Relation que fait Tite-Live de la maniéré dont
les Romains retiditent la liberté à la Grèce dans les jeux
iflhmiqucs. Ibid. 931.«. Cette même jiroteilation rcnouvellée
par Néron , 260 ans après, dans la même al’ emblée, mais
reçue avec bien moins de tranfports Sc d’acclamations quo
la premiere fois. Cefl'ation des jeux ilihmiqucs fous l’empire
d’Âdrieii. 11 ne refia pour en perpétuer le fouvenir que les
belles odes de Piiulare. Ibid. b.
IS T R IE ,( Géogr. )prefqu’ifle d’Iialie dans l'étatde Venlfe.
Port de Pola , que les Colques y fondèrent. Le culte d’ilis
porté dans l’Ifirie. Qualité de l’air du pays. A qui appartient
i’Ifirie. Capo-d’Iftria ^capitale de ccctc contrée. Scs anciens
noms. VIH. 931. b. Evêché de Capo-d’Iilria. Principaux revenus
clc cette ville. Mathias Flaccus Illyricus, théologien do
la confellioii d’Augsbouig , né dans cette ville. Ses ouvrages.
ISTROPOLIS , ( Géogr. une. ) ville à l’embouchure du
Damihs. Sa fondation. Son nom moderne. VIH. 932. n.
ISTURIE , ( Géogr. ) petit village à cinq lieues de Bayonne.
Il cloima fon nom à une fameufe mine“ exploitée par les
Romains. Diverfes obfervations fur cette mine. VIII. 93a. a.
ISUREN, {Idoldt. modem. ) l’une des trois divinités auxquelles
les Indiens idolâtres attribuent le gouvernement de
l’univers. Les deux autres font Brurnha Sc JPljnou. Figure
fous laquelle cette idole cfl repréfentée. Pratiques de fes adorateurs.
VIII. 93 2. a. La feéle u’Iffuren fabdivifée en plulieurs
autres. Ibid, b.
I T
I T A B U , ( .ffor. ) efpece de figuier fauvage du Japon,
Autre figuier nommé i/miuibu, Sa defcripiion. V l l l . g a i.
IT A G U E , {manne) VIII. 934. b.
IT A L IC A , {Géogr. anc.) ancienne v ille d’Efpa gne dans
la Betique. Origine de fon nom. Elle a le titre de niunicipc
d.ans quelques inédàllles. Empereurs nés à Itaiica, Trnjnii ,
Adrien , ik Théodofe le vieux. Silieus Italiens, auteur d’un
poème fur la guerre d’Amiibal , n.aqiiic aufi'i à Italica.Nom
moderne Sc état aéliiel de cette ville. V lli. 932. b.
IT A L IE , ( Géogr. anc. ) écendue que Pline donne à ce pays.
D e l’origine du nom d’Italie. VIII. 93 3.22. Diver.s noms donnés
jadis à cette contrée. Avantages que Pline attribue à
l’Italie fur la G r è c e , parce que la partie méridionale d’Italie
s’appelloit l.i grande Grèce. L’Italie étoit anciennement très-
rcffeirée. Anciemies nations qui i’ocaipcrent. Ibid. 933. a.
Divilion de ce* pays fous .AiiguAe, fousTibei’c , fous Trajan
, fous Conilamiii. Toms auque-l fe formèrent en Italie
pluficurs républiques Sc fouverainctés particulières. Ouvr.tr
ges qui contiennent la defeription de l’It.aiie. Ibid. b.
Italie, ce pays nommé anciennement (Enotric. Suppl. IV ,
1 17. b. Saturnia lellus. XIV, 696. b. Origine du nom d’Italie.
Suppl. IV. 118. a. Prcfque toute l’Italie renferme de l,i
lave dans fon fein. IX. 31 1. b. Vafics embrafemens auxquels
il paroit que ce pays a été fujet. Ibid. Chemins de
communication d'Italie aux provinces orientales»dc l’Europe.
III. 276. <2. X V i l. 421. <2. Partie de l’ancienne Italie ,
appellee grande-Grece. 'VII. 919. é-. Mers de l’ancienne Italie
dillinguées en fupérieure Sc inférieure. VIII. 701. a. Difi'é-
reii5 peuples qui occupèrent ancie-nnement la partie orientale
de l’Italie. IX. 480. b. De la population de l’ancicmic
Italie. 763. b. Avant que les Romains l’cuffent fiibjuguée. X III.
89. b. Sublifiaiice que ritalie retiroit du tems des empereurs
de pluficurs provinces romaines. Suppl. 1. 214. b. Caufes du
dépérifi'emcni de ragriculiurc dans ce pays, fous les premier
» empereurs. IX, 766. b. Durée du régné des Oflrogodis
I T i 20ths en Italie“. XL 693. a. Te*mplcs des dieux dans rîtallo ,
wyiti T e.mples. Figure fymbolique de l’halie. X V . 732. b.
It.xlie , ( Géogr. mod. ) les anciens comparoient ce pays
à une feuille de lierre , les modernes à une jambe d’homme
ou à une botte. Übl'ervations fur ces comparaifons ridicules.
Table de l’Italie publiée par MM. Sanfoii. L’Italie con-
fidéiée comme le berceau des arts Si dos fciences après les
fiecics de barbarie. VIII. 93 3. A Célébrité du fiecle de Léon
X. Époque à laquelle les beaux jours de I’lcalic s’éclipferent
Si fa gloire s’évanouit une fécondé fois. Etat aéluel des prin-
cipale.s puiffances d’Italie. Strophes de M ilord Harvey fur ce
pays. Ibid. 934. a.
Italie., nombreufes académies qui y font établies. I. <;6.a,
b. Edifices d’Italie qui montrent que dans le tems de l’.irchi-
teélurc gothique, le bon goût n’étoit pas entièrement éteint.
Suppl. I. 539. a. Droit d’Italie. V . 129. i. L’inoculation pratiquée
dans ce pays en 1730. VIII. 737. a. Pourquoi les
vertus guerrières n’y exifient plus. IX. 765. a. Des républiques
d’Italie. X IV . 131. 12. Soins qii’oii donne à l’agriculture
dans CO pays. Suppl. II. 186. a. Des blés qu’il produit. Suppl. 1. 921. b. Des vins de ces contrées. X V II . 290. b. Utilité des
voyages d’Italie. 476. a , b. Les peintres doivent la fréquenter.
Suppl. I. 90. b. Principales villes d’Italie où fe trouvent
les chefs-d’oeuvre des grands artifics. 91. a , b. Poème d’Ad-
diffon fi:r Tltalie. X'VII. 617. b.
ITAL IEN , les anciens Italiens appelles Pélafges Sc T y r rhenes.
XVI- 787. a. L’hofpitaliié pratiquée par CCS peuples.
VII I. 313. a. Éloge du caraélcrc des Italiens. IX. 763. a.
Leurs difpofitions à cultiver les beaux arts. Suppl. III. 318.
b. Suppl. IV. 394. b. Sc les divers genres de poéfie. 432. <2,
h. de la poéfie lyrique dos Italiens. Suppl. III. 821. b. Leurs
progrès dans l’aflronomie. I. 791. b.
Italienne, langue , Son origine. IX. 239. a. Pourquoi elle
eft plus accentuée que la nôcfe. 260. b. Caraétere de cette
langue. 262. a , b. 265. a. Son utilité. 265. b. D e fa prononciation.
X llI . 438. a. Obfervations fur les dialeéles tofcaii
Sc romain , Sc fur la prééminence de l’un fur l’autre. X V ll.
317. /’.T ou s les idiomes de cette langue également propres
au genre noble. Suppl. III. 302..:. Des déclinaifons de la langue
Italienne. I. 724. .2, b. Des fuperlatifs dans cette langue.
X V . 664. a. Des conjuguifons. 111. 883. b. Analogie.s des
tems dans ces conjugaifons. XVI. 103. b. Académie qui a
beaucoup cüiuiibué à perteélionner cotte langue. Suppl. 1.
89. b.
Italienne, comédie. III. 667. b. Mufique italienne , voycç
Musique.
Italienne, {écriture.) On l’appelle auffi bâtarde. Q u atre
efpeces de bâtardes. Ibid. b.
Italienne, écriture. IX. 431. b.
IT A L IQ U E , (Grj/«;«. 6“ ƒƒ//?.) heures italiques. Carafte-
res italiques , C aractère. Seéle italique. VIII. 93. é.
It.iHijuc. Exemple de caraéleres italiques. IL 663. Heures
italiques. VIH. 194. a. Cercles horaires italiques. 296. b.
Italique , danfe, { Art orcheßr. ) danfe théâtrale , Scc.
Comment elle fut formée. Caraélere de cette danfe. Combien
elle enchanta les Romains. VIII. 934. b.
IT A G U E , {marine) forte de cordage; itague de palan;
fauffe itague. ‘N-'III. 934. b.
I T E A , {Boian. ) Cai'iiéiere de ce genre de plante. Lieu
où elle croit. Sa defeription. Sa culture. Étymologie de fon
nom. Suppl, i l l . 672. a.
IT EIT ES , (ZifÀo/og-. ) cailloux qui fe trouvent dans la
riviere de Sila près de Zurich. VIII. 934. A
lTERATO,(./'/2nypr.) arrêt, feiuence d’itérato. Edits où
ce terme fe trouve. Lettres d'iiéiato. VIII. 933. a.
ITH A Q U E , ife ( Géogr. anc. ) fituation de cette ifle. Ville
de même nom. En quoi confific aujourd’hui cette Ithaque,
qui fut autrefois le royaume d’UlilTe. VHI. 933. a.
Itluujue, Ion porc. X ll. 324. 4. État prefent de cette ifle.
XVI, 22Ö. A
ITH OM E , {Géogr. anc.) montagne & citadelle de la ville
de Meffene. Jupiter Ithomatc. Fête ithomée, comment elle
fe célèbroit. VIII, 933. a.
Ithomc, fiege de cette place que les hélotes foutinrent
contre les L.acèdémonicns. V l l l , 108. a.
IT IG U E , ou Itégue, {H iß . mod.) époufo de l’empereur
d’Ethiopie, Formalités qui precedent la bénédiélion nuptiale.
Cérémonies de cette bénédiélion. Comment l’époufe de l’empereur
cfl infiallée reine. V l l l . 933. b.
IT IL A T , (B o t .) efpece de figuier. Suppl. I. 370. A
IT IN ER AIR E , (Géogr.) Celui d’Antonin. Colonne itinéraire.
Tableau des mefures itinéraires anciennes, comparées
avec les mefures itinéraires modernes. VIII. 933. A
Itinéraire, colonnes itinéraires des Romains, découvertes
dans les Gaules. IX. 443. APetite mefure itinéraire delà Chine.
433. a. Pierres milliaires des anciens. 814. b. Mefure itinéraire
des anciens aftronomes , d'Ariflote , Hérodote , Xenophon,
&c. X. 412. b. Mefures ititiétaires de différentes nations.
419. b. Mefure itinéraire d’Egypte appellee fehoene.
Tome II,
I U D X ÎV . 768. h. Iiinéraire d’Antonin & table thèodofiennc.
XV II . 418. A Cartes itinéraires. Suppl. H, 232. b.
IT IN G , {Ornith.) üilenu des iflos Philippines qui paroît
être de la claffe des pics. Sa defeription. Lieux oîi il niche ,
Scc. VIII. 935. Z,.
IT O N IA , {L in .) furnom de Minerve. VHI. 933. b.
IT U R E E , ( Géogr./.icr. ) pays fitué au-delà du Jourdain.
Origine de fon nom. Elle eff appellée quelquefois Auroriitis.
Les Iturécns incorporés avec les Juifs par Ariflobule pour
k “ temporel & pour le fpiriruel. Philippe tétrarque de î’Itu-
r je (lu tems de Jcan-Bapiiile. L’Imréc , diflinguée de la Tra-
chonitide. Cnraélere des T rachonites & des Iturécns. Lesétats
d’H érode agrandis par Augufle de rituréc , de la Bataiiéc
& de la Trachonitide. Ces pays délivrés par Flérode des
brigands qui les infefloient. VIH. 936. a.
IT Y PH A L L E , {Hiß. une.) ef|>ece de bulle en forme de
coeur que l’on pendoit au col des enfans Sc des vefialcs.
Propriétés merveilleufes qu’on lui atribiioit. VHI. 936. b.
IT Y PH A L L IQ U E , ( Lin. ) vers en ufage dans la poéfie
grecque. On en difiingue deux fortes ; riiyphalliqiic trodiai-
que Sc le daftylique. Ufages auxquels étoieiit dellinés les
pieces ityphalliqucs. VIH. 936. b. I U
WJPd^, de fan Pitcrto-Rico , {Géogr.) Porto-Ricco de
l’Amérique méridionale , découverte par Chrifiophe Colomb.
Defeription de cette ifle. Port delà ville de Porioiic. Situation
de la ville. Quelques traits hifturiqucs fur ce lieu. —
Voyei P o r t o -R iCü . IX. I. a.
JUAN . {Dom ) d ’Autriche : la viéloire de Lépance : conquête
de Tunis. IX. 392. A Obfervations fur ce prince. XIII.
828. a.
JUANEFELD , ( Hcrmand ) peintre payfagifle. XII.
313. a.
JÜBA,(Af/y?. anc. ) hiftoire de trois rois Africains qui
portèrent ce nom. Suppl. III. 672. b.
JÜ BARTE , ( Hiß. nul. ) efpece de baleines. Lieux où on
les trouve. Quelle eff leur nouniiure. IX. i. a.
JUBÉ , ( Théolog. ) tribune élevée dans certaines églifes.
Origine de ce nom. Q uel eft fon nom en latin. Pourquoi
l’on a nommé graduel la partie de la meffe qui fe chaîne
entre l’épitre Sc l’évangile. On voit peu de jubés dans les
églifes modernes. C e que penfe M. Tliiers de leur fuppref-
fion dans les anciennes. IX. i. a.
JU BILÉ, {Theolog.) Celui des Juifs. Recherches fur l’étymologie
cle.ee mot. Il efl parlé du jubilé dans le vingt-
cinquiemc chapitre du lévitique. Effets civils Sc agraires du
jubilé. Il n'y eut plus de jubilé fous le fécond tejiiple. C e pendant
les Juifs ont toujours continué de compter leurs jubilés.
Jubilés célébrés par les papes. Leur inflitution. Leurs
différens périodes. IX. i . b. Cérémonie cpii s'obfervc à
Rome pour leur ouverture. Ibid. 2. a.
Jubilé accordé par les papes en divers lieux , à divers
princes Sc monaficres. Celui des moines de Cainorbery. Pour
gagner le jubilé, la bulle oblige à des jeûnes , ,à des au-
nuûnes, &c. Edouard HI. roi d’A ngleterre, voulut qu’on
obfervât le jour de la naiffance par un jubilé , lovfqu'ii fut
parvenu à l’âge de cinquante ans. Jubilés particuliers en ce r taines
villes à la rencontre de ccvialnes fèces. Jubilé célébré
à Rome par les Jéfuites en 1640. IX. 2. a.
/«A/è, année de jubilé chez les Juifs. 1. 391. a. Étymologie
du mot jubilé : maniéré donc les Juifs rantioncoicnc.
IV^. I 94.,m
Jubilé ou Jubilaire, {H iß .e c c l.) religieux qui a cinquante
ans de profellion , ou ecetéfiafiique qui a deffervL
une églife pendant cinquante ans. IX. 2. a. Duéleur jubilé
dans la faculté de Paris. Autres ufages du niot jubilé. Ibid. b.
JU C A T A N , ( Géogr. ) province de l’Amérique. Difl'é-
rentes chofes qu’on en retire. Pointe du Jucatan. Port de
Campêclie. Situation de la peninfule de Jucatan. Par qui clic
eff habitée. IX. 2. b.
JU C U B A , forte de pois du royaume de Congo. Ibid. a.
JU CU N DU S , gratus, {Synon. latins )X 'V . 738. A
JU D A , ( Géogr. ) royaume de Guinée en Afrique. Forts
établis à une petite diuance de la mer ; banc de fable qui
ne permet d’aborder à la cote qu’avec beaucoup de difficultés
par le moyen de petits canots faits exprès. Suppl. III.
672. b. Les noirs de ce pays font les plus efiiinés de tous
ceux d’Afrique. Révolutions que le royaume de Juda a
effuyées. Cérémonies barbares par lefquclles D ahomet, roi
de Juda , célébroit l’anniverfaire de la mort de fon pere.
Ibid. Ö73. a.
Juda , en Afrique , {Géogr. ) Traite des negres de Juda.
I. 39. a. Obfervations fur ces nègres. XI. 8 i. a. Leur couleur.
VIII. 347. a. Divinité qu’ils adorent. X V . 108. A Leurs
tambours. Suppl. IV. 929. b.
JvDX , louange du Seigneur, {H iß . facr. ) Quatrième fils
de Jacob Sc de Lia. Hilloire de ce patriarche. Pays qu'oc-
R