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62.4 S A I pitre eu retire. Moniuncns qui prouvciK qu’il y avoiiiI.ius
CCS cantons, une colonie romainenès-coniidcial>le.//i;i/. i.
SA IN T -CLO UD , (Grugr. ) bourg à deux lieues de Paris.
A des de cruauté commis autrefois dans ce lieu. M.i-
luifadures qui y font établies. Ce bourg extrêmement fréquenté
par les Parifiens & les étrangers, üuppl. IV . 698. a.
‘ SA IN T -D IE Z , (Gfugr.) ville de Lorraine. Maifon roli-
gieufe, fondée anciennement dans ce lieu. Eredion de l’é-
glile en évêché. Incendies que cette ville a clîuyés. Pro-
dudions du p.iys. Perfonnes célèbres, nées dans ce lieu ou
dans idn voifuiage. Hiftoire de l’églife de S. D ic z , publiée
•en 1726. Suppl. iV . 698. U.
SÀINTE-MARIE , {^Honoré J e ) carme déchaulTé. IX.
C43. b.
SA IN T E-M A RTH E , ( yVf.Vf. Je) famille illuftre dans la
républitine des lettres. Suppl. IV'. 469. b.
SAINTE-PALAYE , ( M. Je) fes mémoires fur la chevalerie.
V . -:i85. b.
SA IN l'E R EIN E, martyre. Eglife bâtie fur fou tombeau.
Suppl. 1. 282. b. Chapelle en fou honneur. iS'j. a. Eaux de
Sainte-Reine, /éi«/. Terres de Cliafellcs & de Ch arne y, données
à l'abbaye de Sainte-Reine. 337. J.
SAINTES , ( Geogr.) ville de France. Son état préfent.
Evêché de S.tintcs, ÖC cliapitre de fa cathédrale. Conciles
tenus à Saintes. X IV . ^22. Hilloirc des premiers tems
de cette v ille , autrefois appcllce Mediolunum. Origine du
nom de Ouvrages de D eays Amclotce, né dans
ce lien en 1606. îbiJ. b.
S.iunes, ujdnce Je. X V lf . 521. a.
Saîntes , les (Grogr.) deux petites Hles de la Guadeloupe.
Suppl. 111. 275. ~b.
SA IN T E T É , {Theolog.) différentes acceptions 6c ufages
de ce mot. X IV. 522. b.
Sainteté de Dieu. Obfervations fur ce qu’il eft d it , que
Dieu envoie quelquefois un efprit de menfonge pour em-
braffer rcrreiir. X l l l . 462. é. Réponi'e à cette objeéhon contre
la f.iintecé de D ie u , tirée de ce qu’il tolère le vice. X.
27. b. 28. a.
S A IN T -FA R G E AU , (Géogr.) ville du Gâiinois. Obfer-
vations lùlloriques fur ce lieu. Suppl. IV. 098. b.
SA IN T -G â LMIER, {Gèogr.) ville du Forez. Fondations
dans ce lieu. Origine de fon nom. Hommes célébrés qui y
font nés. Suppl. IV. 698. b.
SAINT-GERMAIN-EN-LAYE. ( Grogr. ) HiÜoire abrégée
de cette ville. Événemens qui l'ont rendue remarquable.
ÜbCrvations fur le roi d'Angleterre , Jacques I I , 6c fur
fa femme, Marie d'Eil, qui s’etotenr retires‘dans ce lien;
Suppl. IV. 698. b. fur Antoine Hamilton, Irlandois, qui y
mourut en 1720. Biirte de FuiiJiec , placé par l’ordre
de Henri IV , dans te jardin de Saint-Germain. Vers fur te
fiijet. IbiJ. 699. a. Obl'crvacions liir madame de G om c z ,
qui a vécu à Saint-Germain : lur Clirillinc-Ancoinecte Dcf-
nure s, celcbre aélricc, q u iy e ll morte; 6c fur l’abbé Fran-
qois-Piiilippe de Mczengiiy, aulfi more dans ce même lieu.
Remarque fur le château de Maifons, fitué au bas de Saint-
Germain. IhiJ. b.
SAINT -GENGO UL , ou Gengoux-le-Royal, ( Géogr.)
viUe du Matonnois. Excellence de fes vins. Obfervations
)iiHori([ues fur ce lieu. Suppl, IV . 699. b. Origine de fon
noJii. IbiJ. 700. a.
S A IN T -G R A A L , { Hifl. des pierres précieufes) vafe fait, à
ce qu’on dit, d’ une feule émeraude. Les chanoines de l’c-
glife cathédrale de Gènes en font les dcpolitaires. Deferip-
tion de ce vafe. Où . 6c comment les Génois l’acquirent. Traditions
fur fon origine. Formalités avec krqiiellcs on le montre.
X IV , 5 23. a.
SAINT -JEAN-DE-LAONE, ou Lone, {Géogr.) ville du
duché de Bourgogne. Obfervations hifloriques fur ce lieu ,
ÖC parficulicrcnicm fur le ficge qu’il foutint en 16-^6. Suppl.
IV . 700. a. Auteurs qui en ont fait l’hiftoirc, 6c qui l’ont
célébré. IbiJ. b. LONE.
SA IN T -JUST -D E-LU SSA C, {Géogr.) paroilTe prés de
Brouage en Saintonge. Obfervations fur le poète Gombatid ,
jié dans ce lieu. Suppl. IV. 700. b.
SAINT-LEGER-D E -FO UCHERE T, ( Géogr.) paroilTe du
Morvand, bailliage de Saulieu, diocefe d’Autun.Minc de mica
ou poudre d’or qu’on y a trouvée. Obfervations fur Sébaf-
lie Lepretre de Vauban, né dans ce lieu, 6c fur fes ouvrages.
Suppl. IV. 700. b.
SAIN F LO U IS , ordre de : ( Hiß. mod.) ordre de chevalerie
en France : fa création. Etat de cet ordre. X IV , ^23.
a. Couditions reqiiifes pour y être admis. Pcnfions qu’il dif
tribuc. Croix 6c marques de l’ordre. Ornemens , que ceux
qui y lont admis, peuvent ajouter à leurs armoiries. Ibid. b.
SA INT -M AR’TIN -DU-PU Y, {Géogr.) paroilTe de l’Au-
lunois , lur les contins de la Bourgogne & du Nivernois,
du naquit Gabriel Magdclenet, poète. Obfervations fur fa
vie 6c fur fes ouvrages. Suppl. IV. 701. a.
SAINT-MARTIN-LE-BEIAU, (Géogr.) paroilTe près de
S A I Tours. Origine de fon nom. Evénemens remarquables arrivés
prés de ce lieu. Suppl. IV. 70 1. a.
SA IN T -M A R T IN , {Géogr.) Voyei encore Martin
{Saint).
SAINT-MAUR-LES-FOSSÉS , {Géogr.) bourg prés de
Paris , fur la Marne. Scs anciens noms. Révolte qu’une troupe
de laboiireiivs gaulois formèrent dans cet endroit, pour te
délivrer de la tyrannie des Romains. Hilloire ancienne de
ce lieu. Inlcription romaine qu’on y a trouvée. Chrétiens
qui y furent mis à mort par Attila. Hilloire du monailoie
de Suint-Maiir. Suppl. IV. 701. b. Mémoires fur le commerce
, rédigés cn forme de diflionnaire , jiar Piiilemon-
Lüiiis Savavy , chanoine de l’églile de Saint-Maur. Ciiàteau
du prince de Con dé, à Saint-Maur-des-EolIés. Ibid. 702.
U.— l'oyei MaUU, (6'uf/it).
SAINT-MELÜIR-DES-BÜIS, {Géogr.) abbaye de bené-
diéfms, à quelques lieues de SaimMalo. liilci ipiion d’une
colonne miliaire qui y a été tranfpoaée. Suppl. IV. 702. a.
SA IN TO IS , le , (^Géogr.) ancien canton du diocefe de
Toul. Doyenné auquel il a donné fon nom. Anciens comtes
de Samtois. Suppl. IV. 703. a. Le nom de ce comté
changé fur la fin du onzième lieclc , cn celui de VauJe-
moiu. übfervacions fur fon ancienne capitale du même nom.
Pierre Gringore, pocte, né dans ce lien , lous le regne de
René I I , duc de Lorraine. Eloge de ce duc. Nouvelle capitale
du comté de Vuudcinont. Lieux remarquables du
Saiutois. Ibid. b.
SA IN T O N G E , {Géogr.) province tic Fr.ince: fes bornes;
XIV. 523. a. fa divilion, 6i lès villes principales. Origine
du nom de Saintonge. Hilloire de cette province. Ses
premiers peuples nominés Su/tiones. Voyc^ ce mot. État pré-
lent de la Saintonge. Son commerce de fel. Ses principales
rivieres. Obfervations fur les ouvrages cW Jean Ogier de
Gombaulc, gentilliomme faimongeois. Ibid. 524. a.
SAINT-OÜEN-SUR-SEINE, ( Géogr.) paroilî'e à une
lieue 6c demie de Paris, 6c maifon royale. Origine de fon
nom. Evénemens remarquables arrivés dans ce heu. Suppl.
IV. 702. b.
S A iN T -P A P O U L , {Géogr.) ville du Languedoc. A ncienne
abbaye à laquelle elle doit fon origine. Saint ÖC marty
r dont elle a tiré fon nom. Suppl. IV . 702. b. Foye^
Papoue.
SAINT -PAUL IEN , {Géogr.) ville d’Auvergne. Son nom
ancien. Origine de celui qu’elle a aujoiird’luii. Cette ville
démolie vers le neuvième fiecie. Momimens d’antiquité
qu’on y tranfi>orta lorfqu’elle eut befoiii de fe fortifier contre
les Normands. Pieces antiques qu’on y découvre de
tenis en tems. Inlcription qu’on y lit. Suppl. IV 703. a.
SA IN T PIERRE de Rome, {Archit. mod.) le temple le
plus beau, le plus valle, 6c le plus hardi qui fuit dans le
monde. X lV . 524. a. Hilloire de la conllruélion de cet édifice.
Ses principales dimenfions. Defeription de fon portail
6c de fa coimole. Son grand autel. Ibid. b. Endroit du temp
le , oil l’on-^ippofe que S. Pierre a été enterré. Morceaux
de peinture 6c de fciilpture dont l’intérieur de cet édifice
ell orné. Chaire de S. Pierre. Ibid. 523. a. f^oye^ Pierre
{S.^inl.)
N SAlîsT -POL-D E -LEO N , {Géogr.) ville de la iMfle-Bre-
tagne, polTécIce par les ducs de Rohan. Son fondateur 6c
premier évêque. Ouvrage de j urifpriidence d’Equinard ,
baron, né à Léon. 6'appf IV. 703. a.— Pol cf Pau l -
DE-LuON, {Saint).
SA IN T -PO N S -D E -T OM M IE R E S , (Gc’egr.) ville du
Languedoc. Abbaye à laquelle elle doit fon commencement.
Son évêché. Députés qu’elle envoie aux états. Prodiiélions
du pays de fon diocele. Suppl. IV. 703. a. — yhyet^ PoNS-,
de-Tomieres.
SA IN T -REM I, {Géogr.) ville de Provence. S'a;;;?/. IV.
703. a. Son état ancien. Monnmens d’antiquité mi’on trouve
clans fon voifinage. Population de S. Reini. Obfervations
fur Michel 6c Je.an Nollraclamus , fur l’abbé Expilli , né.s
dans ce lien, 6c fur leurs ouvrages. Ibid. b. Voye^ Remi.
SA IN T -R U F , {Géogr.) abbaye reguliere, chef d’ordre
à V a lenc e, fous la regle de S. Augultin. Hilloire de cette
maifon. religieufe. Suppl. IV. 704. a.
SAINTS ou Saintes, tfles des {Géogr.) trois petites illes
d’Amérique.'Qualité 8c produéfions de ce pays. Saints ou
Saintes, épithete qui précédé le nona de plulieurs des Hles
Antilles, dont quelques-uns ont été cjmis dans les volumes
précédens. Saint-Barthelcmi. Saint-Chrillophe. Saint-Jean.
Saint-Martin. X IV . 525. b.
SA IN T -SA U LG E , {Géogr.) ville du Nivernois. Obfervations
fur Jean T ilfie r , feigneiir de Ravifi , né dans ce
lieu. Suppl. IV. 704. rf-— Sa u l g e , {S a in t).
SAINT -SAU VEU R-D E-MO NTR ÉAL , {Hiß. mod.) or-
dre militaire d’Efpagnc. Son inftitution. Marques de l’ordre.
Il eft maintenant tombé dans l’oubli. X IV . 523. a.
SA IN T -SIG ISM O N D , {Géogr.) bourg de l’Orléanois,
où Sigifmond, roi de Bourgogne, fut jette dans un puits,
S A I en 324. Chapelle du Champ-Rcfier , regardée comme fan-
cieiine égliic du lieu. Dévotion des peuples pour le puits
où Sigilmond lut jette. Lieux remarquables dans le voili-
iirtge de ce bourg. Suppl. IV . 704. a.
SAIN T -V AN ÜR ILLE j {Géogr.) village près de Caude-
bec , en Normandie. Abbaye de bénédiiiins , â laquelle il
doit fon origine. Hiftoire de cette abbaye. Obfervations fur
qu-elques abbés 6c moines de cette maif/ii religieufe , qui fe
font acquis quelque célébrité. Suppl. IV. 704. b. Forêt
d'Arelatattim , aujourd’hui Brofo/ne, près de cette abbaye.
Événemens arrivés dans cette forêt. Auteur qui a donné
l’iiiftüire de l’abbaye de Saint-Vamlrille./iii/. 763. a.
SA IN T -V IN C EN T , iße de {Géogr.) l'une des Antilles.
Ses liiibitans. X IV . 323. .1. Ses protiudions. Montagne remarquable
dans cette ifle. Ibid. b.
S A ÏQ U E , efpcce de barque. II. 331. b.
S A IS , {Géogr. anc.) ville de la balfe-Égypte , où naquit
Pfammiitiitus. Ohfervations fur fon regne. X iV . 326. a.
S.ns : temple de Minerve dans cette ville. X V I . 76. b.
Hiéroglyphes qu’on y voyoit. V l l l . 203. b. Rois d’Égypte
qui ont régné- à Sais. X IV . 331. a.
SAiSlS , biens. {Jurifpr.) Diftribiition du prix des biens
falfis. IV. 1063. a. Tiers-faifi. XVI. 323. b.
.SAISIE, {Jiirijpr.) Caufes de faific. Diverfes efpcccsde
faille. Choies non faifift'abic.s. X IV . 326. a.
Saijie lans déplacemenr. VII. 420. b. Saifie en ticrce-
iiiain. X V I. 322. a. L-es falfics pour décimes font ptivilé-
giées. IV. 678. a. Gardiens d’une faific de meubles. VII.
493. b. 312. b. Oppofuion à une faifie. XI. 313. b.
Saiße plus ample. X IV . 326. b.
Saißc & annotation. X IV . 32Ö. b.
Saiße & arrêt. XIV. 326. b.
Sdiße ccnJucUe que le feigneur fait des fruits. XI. 327. a.
S.iißc & exécution. Titre nceclTaire pour faillr 6c exécuter.
Formalités qu’on 0! ferve clans i’execuiion des faifics. Exploit
de làilic. X IV 326. b. De la vente des eifets failis.
Denieis j^rov^nans de la vente. Ibul. 327. a.
Saiße gaj.erie. XIV. 327. a.
Saiße Jcodale. En quel cas elle fe fah. Objets de la faifie.
Perfonnes qui peuvent failir. Tems après lequel le feigneur
peut faifir. Formalités de cette forte de faille. XIV.
327. a. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Saiße féodale. V I . 697. a. Sa.fie féod.ale, appellee main-
lîiifc. IX. 877. b. De la faifie des arrierc-fiefs. VI. 699. a , b.
Saiße mobiHairc. X IV . 327. b,
Saifie 6c oppofition. X IV . 327. b.
Saifie réelle. Formalités de ectre forte de faifie. X IV . 327.
b. Ouvrage à confulier. Ibid. 328. a. = l^oyez C riée.
Saifie veibalc. X IV . 328. a.
Saifie dans le commerce. XIV. 328. a. Marchaiullfes fii-
jettes à faifie. Son des marchandifes failles. Ibid. t.
SAISINE, {Jurijpr.) pofi'efiiun. Coutume de faifinc. Sai-
fn e cn cas de nouvellcté. Simple faifuie. X IV . 328. h.
Saifine, voyc^ Ensai.sinement éh Pos,sEssiON. Coutume
de fiiifinc. IV. 418. a. 889. a. Complainte en cas de fiinplc
l'aifme. III. 764. a. Do l’obligation de prendre failine. V.
708. a , b.
Saisine. {Marine) Saifine de beaupré. X IV . 328. é.
S A ISO N , ( Cofmogr.iph. ) on entend communomont par
falfons, certaines portions de l’année qui font diliingiices
par les figues-dans k-fquels entre le foleil; X IV . 328. b.
mais ceite hypotliefc des faifons n’eftpas aclniilftble , parce
qu’elle n’eft pus vraie clans tous les lieux. D ’autres ciétenni-
iiciu les falfons par le degré de chaleur ou de froid, ou par
l’approche 6c l’éloignement du foleil. Pour établir quelque
choie de raifonnable fur ce fu je t, il tant dillingucr les lai-
fons terreftres 6c les faifons tclcftes. Ibid. 329. a.'Sous la
zone tempérée 6c la zone glaciale, les quatre faifons cé-
Icftcs font prefquc de la même longueur; 6c fou» la zone
torride, elles font inégales, la même faifon y étant dilTé-
rentc, felon les difterens lieux. Dans les lieux placés fous
1 équateur, les'fiiifuiis fou: doubles : plus les liu;x font proches
de l'é([uateur, plus leur été eft long , Ôc leur hiver
court. Sous la zone tempérée, l’approche ou la tliftaiice du
foleil eft fl puHTantc, quand on la compare aux autres caufe
s , que cette caufe ou diftance font prefquc les feules tlio-
fes qui règlent les faifons ; cependant les faifons diflèrent
dans le.s divers endroits jufqu’à un certain p oint, quoique
dans le même climat. -La plupart des lieux voifins du tropique
font fort chauds en ét-é ; quelques uns ont une faif>n
liumidc , à-peu-prés-femblable à celle do la zone torride.
Ibtd. b. Sur la caufe des l'aifons, voyc^-PARALLÉLISME DE
l’axe de LA terre.
Saifon , ligues du zodiaque particuliers à chaque faifon.
X V . 188. a. Calculs de l’efiet du foleil en dift'érentes lài-
fons : obfervations fur ce fujet. III. 27. b. 28, a , b. 29.
La chaleur de l’été 6c le froid de l’hiver doivent être plus
forts dans rhemifphere méridional, que dans le feptentrionul,
toutes choies d’ailleurs égales. 29. b. Moyen de counoître ,
S A L 6 2 5
par rhygrometre, les faifi.ns de famicc. V l l l . 389.,/. Com-
mtiu lair contribue au.x chai)gcmcii.s qui arrivem d’inic lâi-
lon à l autre. 1. 233. Sailons dans lelquelies les vents ont
le plus de violence. V I!. 623. b. Des faifons Ions les differentes
zones, voyc{ ce deinier mot. Obfervations fur le.s
iaifoiis de la Suilfe 6c de l'A;igicterrc. XVI. u 8 . a. Productions
de chaque faifon pour roriiemciu des jardins & des
bolqucts. Suppl. II. 23. b. — 23. b.
Saisons. {Myth. Iconol. Sculpt. Poéfie) Comment les Ro-
niams reprefenroiem les qu.atre faifoni. Monument de iinr-
b re, découvert prés d’Aihenes, fur lequel les fiifons font
r.pr.fencces. X IV . 330. u. D .fa iü iio a des faifons par Ho-
ra-.e, tirée de l ode dfiugere nives. Eloge du poème de Thoni-
lo n , lur les laitons. Ihtd. b.
S.^iJons. Comment clics ont été perfonnifiées par les ancien
». V l l l . 231. U. Figure fymholique <ics faifuiis. X V .
73 I. é. Delcripiion poétique des failoil». XVH. 7-14 a b
743. -t. / J > •
Saisons fixes de l .innée: {Médcc.) Celles dont la tempé-
raturc no v.uie pas, 6c qui no jiiomcitcnt que des
dics d’une efpe-.e favorable. Los viciifitudcs des faifon» oc-
calioniiciu de giands clinngenicns dans les maladies. XIV.
330. b. Utilité do l’afronomie 6c de la connoHTance de l’air
6c des laitons pour un médecin. Ibïd. 331. a.
Sa.Jon. Régime à obfervbr en chaque fufon. III. 336, a.
y . r ' 3 ^ 3 - , 1 5 . a. M.iladies propres aux diiférentos
fanons. V i l l . 734. b. Attention à faire aux fiifon» dans
l’admiiiiftration des remedes. X V . 49. a.
Saison, {Agrkult.) Le.» terres de France partag-ées d’o:*
diiiaire cn crois années ou fiifm». X IV , 331. a.
Saison. {A g rk .) Travaux du laboureur en diaaue fai-
fon. 1. 186. b. 6,c.
SAiTE S , {fjijl.des Egypt.) rois d’Égypte qui ont régné
a oais^ Trois dynafties de ces rois. X l ’V. a.
S A K L A , {Aniiij. Peifan.) féie des Cappaduclens en mémoire
de lexpullion des S cy th es , que les Perfans appel-
loienc Saques, ü n folcmm.'jir la même féie c;i Perfe , dans
les lieux ou l’on avoir reçu le culte d’Anaitis. Berolè- appelle
S .ko.i les faturnale» qui fe célébroient à Babylone,
Tr.iitemeiu que les Peilês taifoieiit alors à un homme con-
d.muie à mort. XIV. 331. a. Origine de cette feie feloii
Sirabon. Ibid. b. Foyc^ SaCÉES.
SARIvA , elpece d’arbre. Suppl. T, 900. a.
S A L , Uha d o , {G k g r .) ou ifie du fiel, fur la côto do
Nigritic ; fon étendue ; iés mar.üs falaus; là llénliié. X IV .
531- i-
SyiL, {Lang. Ltin .) genres de cc mot. VII. 392.
S A L A , {Gcügr.) fleuve d’Allcinngne; limon qu’il dopofe.
IX. 344 a.
Sala , {B o t.) el-jcce de plante. Suppl. I. 831. b. 8cc.
s a l a d e , {L ufin. & Aié.kc.) Iverbcs le plus en ulàge
pour la lîdade. Propriétés falutaires ties falades Sc du vinaigre.
En quel eus il faut s’en abftcnir. Quelle eft Ja meilleure
lalade. X lV . 332. u.
Sal.tJc d’cüragon. V . 1009. b. -Fenouil en falade. VI.
491. b.
Salade, {A n . miU.t.) efpcce de cafque. X lV . 532.
SALADIN , fu'itnn d ’É g ypte: fes viftoires. IV. 303. b
V i l l . 311. iX, 868. n. Médaille de Saladni. X. 233. 4.
SALADIN E , décime. ( Jurijpr. ) I V, 670. b. 679. F 1097. a.
SALA(»RAhlAM , {H j i . nai. & Superjl.) pierre coquil-
Uere que l’on trouve daii» la riviere de Gandica , qui fe jette
dans le Gange. Opinions des Indiens fur cette pierre. X lV .
332. a. Sacrifices que lui oftrent les Brames. Ibid. b.
Salagramam , cfpece de .caillou v ermoulu, de la ji -
viere Gandica dans i’indoftau. Vénération des Indiens pour
cette nviere. Cas fmgulicr qu’ils font des cailloux làla-
gramam. Leurs thftéreuces eljieces ont .donné lieu à quantité
de noms diffétens qu’on leur donne, 6c qui fe rapportent
fur-tout aux trois principales divinités de l'Iiule.
Suppl.W. 703. é. Delcription du falagramam. Fables auxquelles
le ver qui ronge cette pierre a donné lieu. Uef-
cription de cot animal, 6c de la maniéré dont il fe loge
dans cette .pierre. Ibtd. 706. a. Autre efpcce de falagramam,
appellee chacra paru. Efpcce de coquillage de I’jfle
d e ‘France, qui a un grand rapport avec le falaeratnain. O b fervations
lur les falagramams de difiorentes elpeces. Sacrifice
que les Brames fom à cette forte de caillou. Ibid. b.
SA LA IR E ; {Jurijpr.) origine de ce mot. IX. j.\z. a.
Diftérencc .entre gage 6c fiil.iire. VH. 418. b.
S A L AM AN D R E , {Zoolog.) reptile alTez femblable au
léfard, 6c qui vit fur terre 6c dans l’eau. Tous ,les auteurs
ont rangé les .falamandrcs fous les deux c'alTos générales
de rcrrcitrcs 6: d’aquatiques; mais cette diftindliuii paroi:
peu jn lle , parce que ces animaux font réellement amohi-
bies. Oneft tombé fur les falamandres, dans deux excès'op-
pol’és; de ne pasaftczdiftinguerdes efpeces dilTérentes, ou de
les trop nuiiiiplier. XLV. 332. h. Defcripiion de la fitaman-
dre commune. Marques fenfibles au.xcjneiles on diftinaue
T T T t c t t
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