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Oppcfithn au fcclU. XI. 51 j . a.
Oppofuton à um fenunce. XI. 5 i 5 -'*-
Oppofinon. en fous-ordre. X L Ç l ^. a.
Oppofition en furtaux. X L 515. Oppofition tierce à un mariage. X L 5 1$. i . y°y^K. T ierCE.
Oppofuion tierce à un jueement. X L 515. h. TIERCE.
Oppoßtion à un titre. 5 ^1 . 51^. b.
Oppofition à la v;/7(e. X L ç. b.
OPPRESSEUR. (^Gramm.) S’il y a peu de sûreté pour
les opprelTeiirs de la liberté des peuples , ce n’eft que dans
les premiers inftans de l’opprelTion. X L ç i ç . b. Les oppref-
feurs regardent les peuples comme des animaux vils , qui
ne foin faits que pour f'ervir à leurs projets & à leurs caprices.
Ibid. 51Ö. a.
OPPRESSION, (A/êifec.) fymptôme commun à dlveries
maladies. XL çi6 . a.
O PPU LEN CE, vuyeç O pulence.
OPS , ( Myihol. ) ou*Rhéa , femme de Saturne. Comment
on la repréfentoit. Obfervations fu r ie tréfor qui étoit renfermé
dans fon temple à Rome. X L 516. h.
O ps, voy<T{ les articles R héa & T e r r e : fêtes des Romains
en fon honneur. XL 493. b.
O P T A T , (6'ji/jt) X . 307. b.
O P T A T IF , (Grdmni.) mode perfonnel & oblique qui
renferme en foi l’idée acceflbire d’un fouhait. Il admet les
mêmes différences de tems que le fubjonflif. La tangue latine
a'a point de mode optatif. X L 516. b.
O ptatif, pourquoi ce mode a été appelle conjonûif &
fubjomftif III. 871. b. 872. a. Explication de ce mode. 879.
b. Selon Port-Royal on ne doit point admettre d'optatif en
latin ni en fiançois. IV. 69«;. a.
O VTEK , Choificr y Faire choix , Elire, Préférer, (5y/J0/i.)
III. 362. b.
O P T IM JT E S, [H iß. anc.) diftlnftion que l’on faifoit à
Rome des optimales & des popu/ar«. X L 516. b.
OPTIMISME. ( Philofoph. ) Voyetç_ Malébranchisme
& L éiBNITZIANISME. Autres ouvrages à confulter. DHH-
ciiltés très-embarralTantes pour les pardfans de l’optimifme.
X L 517. a.
Optimifme, réflexion fur l'opinion de ceux qui regardent
les défordres aèluels comme la preuve d’un état à venir. II.
193. h. Développement du fyftème de Leibnitz fur l’opii-
mifmc. X . 23. b. 8cc. Comment le P. Malebranche a développé
& défendu ce fyftème. 16. b.
OPTIMUS , (Zjng./ur. ) étymologie dé ce fuperlatif.lll.
750. a.
O PT IQ U E . [Anatom .) Defcnption des nerfs optiques.
X L 317. a. Ces nerfs fe rapprochent & s’unilTenr, mais ils
ne fe croifent pas. Exemples qui le prouvent. Différentes obfervations
fur ces nerfs. Ibid. b.
Optique, defeription des nerfs optiques. Stmp/. I V . 37. a.
Ï0 8 .E Leur origine dans le cerveau.5 upp/. iL 141. /».Couches
des nerfs optiques. Suppl. III. 942. b. 943. a.
O p t iq u e . [Science) Différentes acceptions de ce mot.
XI- 3 1 7 - é. Foyc^ V u e , V is ib le , V i s io n , C a t o p t r i -
QUE, D iOPTRIQUE & PERSPECTIVE, LUMIERE, COULEUR
, 6cc. Traités fur l’optique: ceux de Barrow & de
Newton. Définition de ^optique prife dans le fens le plus
particulier 6l le plus ordinaire a ce mot. Elle eft une branche
de la philofophie naturelle , parce qu'elle rend raifon
d’ime infinité de phénomènes phyfiqiies, qui feroient inexplicables
fans fon fecours. Difficultés attachées à cette partie
importante des mathématiques. Ibid. 318. a. Principaux ouvrages
qui en traitent. Deux livres d’optique attribués à
Euclide. Traité d'optique compofé jiar Ptolomée , auteur de
l ’AImagefte. Ouvrage de Maurocliusde Mefline fur ce fiijet.
Obfervations fur ce qu’on peut recueillir de cette fcience
dans les ouvrages de Porta, de Kep ler , d’Antoine de Do-
minis , de Jacques Grégori , de Barow. Ibid. b. Ouvrage
anglois de M. Smith fur l’optique. Auteurs qui ont traité
de la perfpeélive. Deux qiieftions à réfoudre dans l’optique;
celle de la diftance apparente d’un objet, & celle de fa grandeur
apparente. Ibid. b. Sur les loix de la vifion par les
rayons réfléchis ou rompus. Voyet;^ A p p a r e n t , Mir o ir ,
C a TOPTRIQUE & DiOPTRIQUE.
Optique de Newton. X V I I . 633. a. Figures d’optique
nommées anamorphofe. I. 404. a , b. Propriété de l’dlipfe
dont on fait ufage dans l’optique. V. 318. b. Examen de
quelques qiieftions d’optique. II. 636. a , b. Sic. Récréations
d’optique. 639. b. Machines d’optique indiquées à
l'article Hydromantie, V I ll. 374. b.
Optique, adj. Cône optique. Axe optique. Verres optiques.
Inégalité optique en >^ro/7ci;ßie ; explication de cette inégalité
par uirexemple. XI. 51g. a. On l'appelle optique, pour
la diftinguer de l’inégalité réelle. Ibid. b. Illufions optiques.
Voye^ D istance apparente. Pinceau optique ou pinceau
de rayons. Lieu optique en Aflronomie. Pyramide optique.
Triangle optique. Rayons optiques. Ibid. 320. a.
OPULENCE , il eft rare qu’elle n’augmente pas la
O R
méchanceté naturelle , ôc qu’elle fiaffe le bonheur. X ï.
520. a.
Opulence. Foye^ FORTUNE & RICHESSE. L’opulence &
la mifere confidérées comme fuite de la mauvaife adminif-
tration. VIII. 676. a,
O P U N T IA , [Botan.) caraderes de ce genre de plante.
Ses cfpeces. Voye:^ Ra q u e t t e . Efpece d’opuntia fur laquelle
fe nourrit la cochenille. XL 520. b. Foye^ No p a l .
O PU S , [Géogr.) \{ie de la Dalmatie. Son air eft mal-
fain , mais fa pofition importante aux Vénitiens. XL
5 20. b.
Opus , ville de B é o iie , voye^ T a l a n d a . O R O K , [Minéralog. Chym.) CATîSieres ÔC propriétés de l’or.
Principes qui le compofeiit. X L 520. b. Etat dans lequel il
fe trouve dans les mines. Quelle éll la matrice ou la minière
la plus ordinaire de ce métal. Mine d’or couleur de foie en
Hongrie. Il n’eft point impoflible que l’or fe minéralife,
quoiqu’on n’ait point encore trouvé de mine d’or proprement
dite. On trouve des particules d’or mêlées accidentellement
avec des mines d’autres métaux. Exemples qu’en fournif-
fent quelques mines de Hongrie. Ib/d. 521. a. L ’or fe
trouve plus communément dans plufieurs efpeces de terre
6 de fable. Un grand nombre de rivieres charrient des
paillettes d’or avec leur fable. Il ne paroit point que la
chaleur du foleil contribue plus à la génération de ce métal
qu’à celle des autres. Cependant il faut avouer que ce
métal fe rencontre en plus grande abondance dans les climats
chauds. Comment les liabitans de la côte de Guinée
recueillent la poudre d’or donc ils trafiquent .avec les Européens.
Diff'érens lieux de l’A frique où l’on trouve de l’or.
Ibid. b. Mines d’or en Amérique. Comment il fe trouve
dans le Pérou , le Potofi 6c le Chily. Terres qui contiennent
dé l’o r , appellees lavaderos par les Eipagnols. Moyen par
-lequel on s’affure que ces terres contiennent de l’or. Malles
d’or appellées pépitas qu’on y trouve quelquefois. Comment
on répare l’or du fable ferrugineux, avec lequel il eft encore
mêlé après le premier lavage. Defeription des terres
où cet or fe trouve. Ibid. 522. a. Origine de i’or qui fe
trouve dans les couches de la terre & à fa furface. Comment
on obtient l’or contenu dans des filons fu iv is , 6c enveloppé
dans le quartz. Ibid. b. Mines de Hongrie : leur exploitation.
Comment on obtient l’or qui fe trouve dans les
rivieres. Ibid. 523. a.
Or. Mines d’or en Afrique. Suppl. I. 194. a. O r d’A rabie.
306. b. De celles que les anciens Gaulois ont exploitées
dans leur pays. Suppl. III. i88. b. Efpece d’or de Mada-
gafear. IX. 925. b. Maffes d’or appellées pépites. XII. 324.
a. Fleuves qui roulent de l’or. V i . 869. b. Paillettes d’or
qu’on trouve dans le fable de quelques rivieres. XI. 748.
a , b. Or trouvé dans les lavoirs d’Andecoll en Amérique.
IX. 313. a. D u travail des mines. X. 433. b. Moyen dont
on fe fert en plufieurs pays pour tirer l’or de la mine. I.
314. b. X. 374. a. Maniéré de tirer l’or des terres par le
lavage. IX. 314. b. Comment on fépare l’or contenu dans
l’argent. IV . 851. a , b. Y . 993. a. Moyen de dépouiller un
alliage d’or 6c d’argent du cuivre qu’il contient. VI. 920./>.
Purification de l’or. XI. 529. b. Travail des mines d’or. Vol.
V IL des planch, métallurgie.
Or. Des propriétés phyfiques & des différens effects de l’or
dans les opérations de la citymie. O r blanc ou pâle. Comment
quelques chymiftes ont prétendu blanchir l’or. Poids
d’un pied cube d’or. Obfervations l'ur fa duftilité. X. 523.
a. Le feu le plus violent ne produit aucune altération fur
ce métal. Sa difpofition à s’unir au mercure. Diffolvans de
l’or. Précipitations de l’or diffous dans l’eau régale. Alliages
de ce métal avec d’autres. Comment on l’en dégage. Ibid.
b. Maniéré la plus sûre de le purifier. Autres moyens employés
pour cela. Précipitation de l’or diffous dans l'eau régale
par le moyen d’une huile effentielle. Moyen de le
volatilifer. Cryftallifation de l’or. Obfervatioh lur fa calcination.
Ibid. 524. a. Des vertus médicinales attribuées à ce
métal. Maniéré d’évaluer la pureté de l’or. Ibid. b. Moyens
imaginés pour donner à l’or différentes nuances. Ibid,
523'. a.
Or, quoique le plus denfe de tous les métaux, il contient
plus de vuide que de fubftance. IV. 833. b. Rapport de
la pefaineur fpécifique de l’or à celle de l’eau commune.
V . 187. <1. Difl'érence de poids entre l’or 6c l’étain. VI. 921.
a. Sur la pefanteur fpécifique de l’o r , voye^ PESANTEUR.
D e la duiVilité de l’or. IL 1 56. é. V. 136./». i5 7 .< j, i.O b -
fervation de Halley Rohaut 6c Boyie fur cette grande ductilité.
V L 790. a. Divifibilité de ce métal. IV . 1075. a. Affinage
de i’or. I. 160. b. Pourquoi l’air ne peut le diffoudre.
I. 234. a. Maniéré de diffoudre l’or par Vhépar fiulphuris.
VIII. 133. a. L’o rn e peut s’unir au foufre. X V . 400. a .S i
diffolution par l’eau régale. XIII. 9 1 1 .« , b. Alliage de l’or.
O R
î. 28 3. b. 286. a. Comment ôn exprime les degrés de cet
alliage. IL ô-»2. a. Ainalgamaùon tie J’or. I. 31.J. a. Maniéré
de le fondre. IL 136. a. Eltets de la fulion du fer
avec l’or. VI. 4y6. b. L'or Si l’arg..nt (e difiblvenr l'im l’autre
& fe nièleni avec ^e fer. 915. />. Fondant dont 011 fefert pour
la fulion de l’or. 920. a. Cliaux d’or. 1 . 314. <r. La calcination
de l’or ne pa.oit pas abloi.^meiK impratiqu.ible. Il- 343.
b. Précipitation de 1 or u i couleur p.'urpre p;r le mo /ende
retain; ufages qu’0.1 peut faire de ce précipité. V’ I. 8. b.
Amivs précipitaùo.is de l’or fur lefquelies il liiur coiiiùhir
l’article Pr ÉCip it .it io n . Poudre d’or dite |)oudie foiaire.
X ill. 189. Moyen de faire de la poudre d'or. X i. 329./».
X V II . 100. b. Prép.iraiioiis cliymiqnes d 'o r , So la ir e .
Comment on blanchit l’or. IL z ji.b . Comment on lui rend
fa couleur naturelle. IV. 333. a. Sur l’an prétendu defanc
l’o r , royei PlERRE PHILOSOPHALE. X il. 377. b.
O a , [Mut. médic.) Les Arabes font les premiers qui en
ont reconiinandé la vertu. Propriétés qu’eux 6c les chymiftes
lui attribuent. Celles que lui reconnoiffcnc les th-'onciens
modernes. L.s médecins railbnnables ne croient plus a ces
prétendues vertus. XL 323. a. Obilrvations l’ur les propriétés
attribuées au vitriol de fe! 8c à l'or (ùlminr.nt. Le
léul 1-i.mede ciré de l'or, qui Ibit aiijourd'iiui eu ul'age, eft
celui qui eft connu fous le nom de teinture d'or ou d'o po-
t.ible de rn.ideinoifclle de Grim.i/di. M.imcrc de le prép.ircr. Principe
des vertus de cette teinture. Ibid. b. Compofition 6c propriété
dos gouttes jaunes du général de la Motiie. A quel
tieiiein les apothicaires couvrent leurs pilules de feuilles d’or
on d'argent. Ibid. 326. a.
Or put.iblc végéta!. IX. 3S9. b.
O k , terre I [H ifl.nat.) ce nom donné à plufieurs efpeces
de terre qui ne contiennent point d’or. T erre que les Italiens nppcWcnucrravcrginedoro. XL 32Ö. a.
O r , ( A ns 6» Métiers) Or mat. Or bruni. Or réparé. Or
bretelé. O r de mofaïque. Or rougeâtre 6c verdaue. O r à 1 huile. Or moulu. Or en coquille. Ouvrage à confulter. X L
526. U.
Or fin. Cet oc ne peut être exaftement au titre de vingt-
quatre karats. XI. 326. a. D e même que l’argent fin ne pcui fe
trouver exaélemcnt au titre de douze deniers. Les eiTais d'argent
dcmaiulent beaucoup plus de foins ûc d’auemions que
ceux d’or. Ibid. b.
Or au titre. XL 326. b.
Or bas. X L 3 2Ö. b.
Or au ti're , poids qui exprime la perfeflion de l’or. II.
673. a. Des degrés d’alliage de !’or ; quel eft le moins efti-
mable : défenfe de travailler l’or au-deffous de vingt troi'^ kr.-
racs en France. 672. æ D u titre de l'or pour les ouvrages
X V I . 361./.. ^
Or bruni. XL 326. b.
Or bruni: comment les doreurs briiniffent l’or. Il, 430. h.
Or en chaux : attention qu’on doit apporter eu l’achetant.
Tromperie des affineurs. XL 326. b.
Or aigre. Pourquoi l’or qu’on travaille doit être allié. XL
326. b. La caufe de fon aigreur vient de fon alliage avec le
cuivre. Lorfqiie i'alloi donne de l'aigreur , on s'en apper-
çoic uifémeiu clans le bain. Des moyens de l’adoucir. Comment
on reconnoît dans le bain que l’or fera diiftlle. L'ai-
toucliemcnt du fer aigrit fo r en fiihon 6c adoucit l’argent. Ibid. 3 27. a.
O' poreux. Caufe de cet inconvénient dans l’or 8c dans
l’argenr. Moyeu de le prévenir , 6c d'y remédier. XL
327. b. ■
Or chargé dcmcril. Procédés à fuivre pour l’en pur-’ cr
totalement. XL 327. b.
Or d’eß'ai. XI. 328. u.
Or de couleur. Pourquoi l’on emploie des ors colores.
Ors de couleurs de cinq (brtes. Comniein on compofe l’or
ro u g e , l’or v e rd , l’or gris ou bleu, 6c le blanc. Maniéré de
former différentes nuances de verd. XL 328. a.
O r , marc d' [P oids) Poids de huit onces d’or. Ses di-
vifions Sc fubdivifions. Son prix. XL 328. j .
O r , ( Comm.) D e la proportion entre l'or 6c l’argent dans
les lieux de commerce. 111. 129. é. Valeur préfeine du marc
d’or monnoyé». IX. 700. a. Variations dans l’abondance 6c
la valeur de l’or. X. 643. *1,/». Anciennes proportions entre
la valeur de l’or 8c celle de l’argent. 6 3 1.. u , Le fouve-
rain ne doit pas fixer cette proportion. 647. b.
Or novdlan , exprcflion ulirée dans le Pégu. X L
328. b.
Or en feuille. IL 156. a , b. 8iC. Prix de cet or. Suppl.
IL 7 3 7 - b. _ '
_ Or en pâte, deftiné à réparer des accidens arrivés à une
pièce finie. Manière de coinpofer cette pâte, 6c de l’employer
lur l’or & fur i’urgem. XI. 328. b.
0 ‘ en C-ompoficion 6c ufage. X L 3 29. a.
Or battu. Jri<_yql>AT-MUR. Or en lames. XL 5 29. T.
Tome il.
U H 337
Or traiti XL b.
Or filé. X L ^2n. 'b.
O rja u .x.W .y.e^.,.
O. mouiu. .Manière do le faire. Les Allemands emploient
pour donner à leur dorure une couleur haute, des cires com-
polées. XI. 529. a. Recette de ces cires. Autres recettes pour
coiilcrver la dorure des pièces d’> ri'éviei io que l’on ferait
oblige cie reporer au feu pour reflbuclcr. Ibid. b.
Or moulu. Manitre de l’employer pour la dorure. Suppl. II.
Oreei.npomud re. Manière de f.
XI. 329.x
Ü! CH poudre. Poudre fohu
de la poi.clre d’of. X M L in-,
ÜR , ,unficu:ton X
ftiivr pou
e cette poudre Sc de l’employer.
. X iiL 18g. a. Moyen de f.ire
a I. 329. b. Procédé à
•ihcaaon. Ibid. 530. <7.
Or ,pi..fic.iùûn d e l. Procédé par rainimoine. V IL 363.
*1. X lV . 41. Comment a Schcmni!?. on purifie l’or qui fè
trouve dans les m.nes d'argent. X iV . 762. a. Cementation
pour la purifk:_u;on d c lo r . l l . 8 1 1 . e , X .Moyen de dépouiller
un alliage d'or 6c d’aigent du cuivre qu’il coutienc. VI. 020.
X Affinag.- cL l’m. I. 160. b.
Or-Jol. XL 330- U.
Ü’ à dorer les liv:es. XL 330. a.
O r lwrnp]..!,tl, ( Liiyiine ) Azoth de Hcfiliigius. L 912. X
üiv , ( i . ’.-,-//.) Dgux moyens j)onr écr.re en lettres d’or.
XL 330. X
O u , [B Lifon) Comment on le repréfente en gravure.
Sam. or ou l'ans arge..r il ne peut y avo.r de bonnes a. looiries.
Dans 1_5 coites d'aunes d>.s no, le.s, fo r s'appelle lep.^jc, 6c
dans cclifs des jtrinces louverXns. Jol. L’or confidére comme
fy 111 bole. A l, 530. b. l'dycq^ Suppl. HI. 916. /».
O r , ( Bi.jjon ) Manicrc de r..|jrcicn:cr ce métal. Sa figni-
fication dans les armoiries. Suppl. 1 V. i, 3, j .
O r de Touloufe , [L n i.) piüv.,;i;e u>ez les Romains,
qui fignifioit un bien qui ei iiuinoii la porte cio colui ei.i le
pollédoit. L ’origine du proverbe cü la pr.le de Touloule par
Quihcus-Cepion, Détails fur ce fiijet X L 330 b.
O r , dgc d’ ( Mythol. ) Defcnption poétique de ces tems
d'innocence 6c de bonheur. XL 33 i. m
Or , dge d'. La chimere de l’âge d'or réalifée dans l’.fte
d'Oueflant fur les côtes de Bretagne. XI. 701, b. Qiu.1 a été
le véritalpie état de l’àge d’or. 368. a , X
O R A C L E , [Théolog. paie/:.) On ne fe contenta pas de
faire rendre des oracles à tous les dieux, ce privilege paffa
jufqu'aux héros. Enumération des principaux oracles. Différentes
maniérés dont ils fe rcndoieiu. Le but de cet article
eXl do combattre l’opinion de ceux qui les auribiient au démon
, 6c qui les font Ccirer à la nauLmee de Jeùis-CJmft.
Les réflexions fuivantes feront tiréo-s du clifcours de M. de
FontenJle furies oracles. XI, 331. b. Les anciens chrétiens
ont pc.ilé que les oiacles éio'cnt rendus par les dénions, à
caufe de quelques hiftoires i'uiprenaniej d’o-aclcs qu'on
croyoir ne pouvoir anribiKr qu'à des génies. Confidérations
qui rendent ces hiftoires fuljatéles. Ibid. 532. a. L’opinion fur
les oracles opérés par les démons, décharge le paganifmu d’une
î>oiine partie de l’extravagance, 6c même de l’.-:b><miiiarion
que les l.iiius peres y ont toujours trouvée. Dans quelle vue
Porphyre avouoit fi volontiers que les oracles étoi^ni rendus
par de mauvais démons. L-,s ph'lolophes grecs partages
fur le fait des oracles. Ibid. b. Les oracles furent dans un cer-
t.iin tems allez peu eftimés des grands 6c du peuple même.
Les anciens chrétiens n’ont pas tous cru que les oracles ftif-
lent rendus par les démons. Paffage de Clement d’Alexandrie
fur ce lu|et. Sentiment d’Eiifebe. Compla fance qii’avoicnt les
oracles pour les princes qui s’étoient une fois rendu.s redoutables.
Ibià. 333.1J. Les nouveaux oracles qu'on établilloit quelquefois
, font autant de tort aux démons que les oracles
corrompus. Ignorance à la faveur de laquelle les premiers
oracles s’établirent. Obfervations générales fur les artifices
au moyen defquels les prêtres remloieiu leurs oracles. Ibid,
b. Des oracles qui fe lemloieiit fur des billets cachetés. Explications
fort fiinples du merveilleux qu’ils renfermoient. XI.
334. b. Différentes fortes d’officiers dévoués à l’oracle , &
qui tous avoicnc leurs clépartemens particuliers pour les intérêts
du dieu. Comment on peut expliquer les oracles rendus
par des for.ges. De l’ambiguité des oracles, nouvelle reflourA
que les prêtres fe ménageoient : Exemples,/XX 333, a. D é couvertes
faites dans le démoliffcmem des temples, de dif-
férens moyens que les prêtres ont employés pour rendre
leurs oracles. Ibid. b.
Oracles, leur origine. X. 371. b. Minîftre qui imerprétoit
& rangeoit par écrit les oracles des dieux. X lll. 462. a. Réflexions
liir lu vanité des oracie,s. V . 174. b. De leur ambiguité.
1 . 321. a. Reciii-ils d’oracles dreffés à Rome. X V . 138. a. Le
fanatifme des oracles fut moindre à Rome que chez les Grecs.
X iV . 86. .1. Ditférenies fortes d’oracles. Oracles qui fe ren-
doieiit avec des olîeiets. I. 778. a. IL 67- a , b. Oracles par
billets cachetés. 219. b. Suppl. I. 272. X Oracles par I4 moyen
Q Q i î
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