II4 LET LET
2'^:
Littrc. D^iT-rcnce entre lettre & cpîtrc. V . 821. a. Du
ftyîc des lettres. V. 816. n , h. X V . 553- Adrefle
d'une lettre. 698. b.
Lettres «l'cs .inàens. ( L'vtérAt.) L'nfa^e d’écrire des lettres
efiaiilliancieri que récriture. Recueils de lettres de l’antiquité
les plus eOiinés. D e b eoilc'fiiou de,s lettres de Cicéron. Leur
nombre. IX 411../. Divci fosconridérationsqui en montrent le
prix. Coinpartiiron de ce.s lettres avec celles de Pline , Ibid. b.
& de Pline lui-même avec Cicéioii. IbiJ. 4 1 2. a. Voye^ Epis-
TOLAIRE.
Lettres fùcrut'ujues. ( ZrrtfVvrr. ) Recueil de 35 lettres imprimé
à Paris en 1637. Les iept premières font attribuées à Socrate,
6'.'. Savant qui ont protivé que ces lettres ne font point
de ceux aux juel.s on les avoic d’abord attribuées. On les Ut
cependant avec plaifir , parce qu’elles font bien écrites, ingé-
nieufes &L intéfdî'antes. Deux de ces lettres tranferites 5 l’une
d’ArifHpoe à Aniillhene, d’un llyle tour ironique d’un bout à
l’autre. IX. 412. a. Lu l'cconde eu encore d’Arillippe écrite à
fa fille A re te , peu avant que de mourir. Ibul. b.
LETTRfs des empereurs, ( Hijî. rom. ) Secrétaires qui les écri-
voienr. IX, 854. i’. Matière fur laquelle les empereurs écri-
voient leurs lettres. XI. 849. b.
Lettres des modernes. ( Genre épiflol. ) Combien elles font
inférieures à celles des anciens. Examen de la qiieftion, fi la
leélure d’une lettre doit être retardée. 'IX .4i3 ..r. Liberté que
prennent en teins de guerre les minières qui ont l’intendance
des poiies, de décaclieter les lettres. Voye^ au mot Epifloluire
un jugement fur quelques recueils de lettres de nos écrivains célébrés.
Lettres oia l’on trouve de vives peintures de l’amour.
L e ttre s , moitié v e r s , moitié profe. Ibid. b.
Lettre de recommundution. ( Style épijlol. ) Celles de C ic é ron
en ce genre. Lettre de recommandation qu'Horace écrit à
Tibere , en faveur de Septimius; cette lettre mife ici fous
les j'cux du leôeur. IX. 413. b. Lettre de Pline le jeu n e , à
Maxime pour lui recommander un de fes amis. Ibid. 414. j .
yoyei^ Recommandation.
Lettre géminée. ( >-//■ ; numi/m. ) Exemple d‘e ces lettres dans
Jes médailles. IX. 414. j .
Lettres. ( Jurijpr. ) Ce terme a plufieurs lignifications différentes.
IX. 414. a.
Lettres d'ubievialion eCuJfifes. Lettres dc chancellerie ufitées
pour b province d’Anjou. IX. .414.
Lettres d’.iboUtion. Différens effets de ces lettres, félon
qu’elles font obtenues avant ou après le jugemenr, Leur
effet eftplus étendu que celui des Ictircs dc réiiiillion. Lettres
d'abolition génér.des ou particiiUercs. Crimes pour lefquels on
n’accorde point de telles lettres. En quel tcius 6c de quelle
manière l'impétrant les doitprélcnier. IX. 414. b. f'oye^ A b û -
UTION.
Lettres d'.iffrur.chijfement, d’.imortijjement, d’amnljlie, d'am-
plution , de rcm'JJîon , d'anr.obüjfement. Voye^^ NOBLESSE PAR
lettres. IX. 434. b.
Lettres d'jiiucipation. IX. ^l'ÿ. j .
Lettres d’jpp/. IX .415. a.
Lettres ^pOj)oli<jties. IX. 413. J.
Lettres d'oppcl comme d'abus. IX. 415. a.
Lettres pour articuler jaits nouveaux. IX. 413.1«.
Lf.ires d'ajjieue. IX. 413. a.
Lettres d'attaeke. IX. 41 3. a.
Lettres d’.utriLuüon. IX. 41 3. b.
Lettres avocutoires. IX. 41^. b.
Lettres de baccaiauri.it.W. 4I 3. é.
Lettres de bénéfice d'âge ou d’émancipation. ÏX. 41 3.
Lettres de bénéfice d'inventaire. IX. 413./’.
Lettres Je bourgeoifie. Comment la forme d’obtenir ces let-
treseli expliquée parl’ordojinaiice dc Philippc-ie-Rel, donnée
en 1287. IX. 416. a.
Lettres de cachet. Quelle eft la forme de cette forte de lettres.
Par qui elles font portées à leur deAination. Formalitéob-
fervée en remettant ces lettres. Objet de ces lettres. Q u c left
le plus^ncien exemple , en taut qu’elles ont été employées
pour exiler quelqu’un. IX. 416. a. Du fceau dc ces lettres.
Ufagesanciens du fcel fecret. Le roi Jean donna en 1361 des
lettres pour taire exécuter les ordonnances qui avoiem fixé le
prix des monnoies. Forme de ces lettres. Ibid. b. Il y avoit
outre le fee! fe cret, un autre cachet appelle petit cachet du toi.
Le roi l’appliquoii quelquefois aux kttres-paieiites. Origine
du nom de lettres de cachet.hé.tiTH':, qui dévoient être fcellées de
ce petit figiietou cachet. L.-s lettres que le roi adreffe à fes
cours, concernant l’adminiAration de la juAice, font toujours
des lettres patentes 6c non des lettres dûtes ou dc cachet. Ibid.
417. a. Ordonnances qui ont défendu à tous juges d’avoir aucun
égard aux lettrcs-dofes ou de cachet. Exemples de quelques
lettres de cachet rtgiArées au parlement. Déclaration
du roi du 24 février 1673 fur ia prélémation des ordonnances,
édits , déclarations , &c. aux chambres affemblées.
Ibid. b.
Lettres canoniques. IX. 417. é.
Lettres de ceJJion.lX. 417. b.
Lettres de chancellerie. IX. 417. é.
Lettres de chaïu-elUrie.lW. i l 6 .u , L Celles qui font fcellées
en couleur verte. X V . a 18. a. Lettres de chancellerie fubrep-
tricos & obreptriccs. X V . 371. i.
Lettre de change. Trois cliol'es qui doivent concourir pour
fermer unelottrede change. IX. 417. b. Forme la plus ordinaire
d'une lettre de change. Le cennat qui fe forme par ces
lettres entre les pevfonnes qui y ont part, n’a pas été connu
des anciens. D e l’origine de l’ufage des lettres rie change. Ibid.
414. d. Place du change dans la ville de Lyon. Place Lombarde
à AmAerdam. Convention que PIulippe-le-Bel At en
1294 avec les marchands & changeurs Génois & Florentins.
Otigine de l’ufage des florins en franco. C e qu’on doit entendre
par lettres de change dont les anciennes ordonnances
fout mention. Ibtd. b. Quelle eA la plus ancienne ordonnance
où il eA véritablement parlé dc ces fortes de lettres. Difpo-
fitions de cette ordonnance. L’o! jet des jurifdiAions confu-
laires eA entr’autres chofes de connoître du fait des lettres de
change Premiere ordonnance qui a établi des regies Axes
pour l’iifage de ces lettres. Comment l’ ul'age de ces lettres
s’eA étendu des négocians aux gens d’afl'ahe & de Anances.
Toutes les per.fonnes qui endolfent ou acceptent des lettres
de change deviennent juAiciablcs de lajurlfcliélion conlulaire.
Les eccléfiaAiques ne peuvent le mêler du commerce de ces
lettres. Ibid. 419. a. Du contrat qui fe forme par le moyen
d’une lettre de change. Cinq fortes de termes ou échanges
des paiemens de ces lettres. Articles contenus dans une lettre
de change. Ibid. b. Diverfes maximes de jurifprndence fur cette
matière. Ibid. 420. a. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Lettres de change : invention de ces lettres. III. 128. a.
693. a. IX. 23. a. De la date des lettres dc change. I. 68.
b. Réglement publié pour obvier à la facilité de les antidater.
300. é. De l’acceptation de ces lettres. 68. a , i. Maniéré
d’y mettre l’acquit. 112. b. Des protêts faute d'acceptation.
XIII. 307. n. Lettres payables a vue. IX. 430. a. X V IL
371. b. Les lettres lùont pas befoin d’acceptation. I. 6S. as.
Lettres payables à v u e , à jour prcAx , à ufances, 6-c. VIII.
893. a. A il. 209. b. De ce qu’on entend par ufances. X V IL
321. a. Jours de grace dans le commerce des lettres. V llI -
893. d. Ordre &. endoffement dans les lettres de change.
V . 630. a. XI. 609. b. Contrepaffation d’ordre. IV . 139. a.
Le dernier porteur a pour garans folidaires tous les endof-
feurs. V . -630. a. Des promeffes de paffer une lettre de
change. XIII. 443. b. Signature des lettres de change par
aval. I. 838. a. Ce qu’on entend par rechange en commerce
de lettres. XIII. 847. Lettre de change adirée. I.
139. U. Négocier une lettre. XI. 76. a. Tirer une lettre. X V L
343. é. Faire honneur à une lettre. VIII. 291. a. Billets de
clîange.234.j, b.
Lettres, en terme de commerce : lettres d’avis. î. 879.«. Lettres
de voiture. XV II . 417. é. Livre des copies do lettres. IX.
616. a. Livre des ports de lettres. Ibid.
Lettres de charue. IX. 420. b.
Lettres en commandement. IX.420. b.
Lettresco/nmendatices. IX. 420.é.
Lettres commendatices : leur origine. V II. i8 l . i . 182. a.
Lettres dc comm'JJion. IX. 42O. b.
Lettres de commutimus. IX, 421. a.
Lettres ccmmunicatoires. IX. 4 2 1. a.
Lettres de commutation de peine. \X. 421. a.
Lettres de compenfaüon. IX. 421. a.
Lettres de compulj'oire. IX. 421. a.
Lettresde confirmation. IX. 421. a.
Lettres de créance. IX. 42 I, a.
Lettres pour cumuler le petitoire avec U pojfeffoire. IX.
421, a.
Lettres de déclaration. IX. 421. a.
Lettres de dénicarion. IX. 421. b.
Lettres de déprécation. IX. 4 21. é.
Lettresde déjertion. IX. 4 21. b.
Lettres de diaconat. IX. 4 2 1. E
Lettres de dijpenje. IX. 421. b.
Lettres de dotleur. IX. 4 1 1 . é.
Lettres de don gratuit. IX. 4 2 1.
Lettres eccléfiafiiques. IX. 421. b.
Lettres d'écoher-juré. IX .4 2 l.é .
Lettrespourefierà droit. IX. 422.a.
Lettres d’état. D e l’origine de ces lettres. Dans les anciennes
ordonnances elles font appellees lettres de furjéance. Anciennement
pour jouir du bénéhee de ces lettres , il falloit que l’ab-
fent ne fût pas fubrié de fon abfence. L ’ordonnance de 1669
veut qu’on n’en accorde qu’aux perfonnes employées aux
affaires importantes. IX. 422. a. Elles ne s’accordent oïdinai-
remeiK que pom-Ax mois. Lettres débattues d’obreption 6c de
fubreption. De l’efFerdes lettre^ d’état Ibid. b. Surféance accordée
aux officiers qui o nifcrv i dans certaines guerres,
423. a.
Lettres d’état ou deconlrc-éiat.YX.^ï'^.a,
Lettres d’évocation, IX. 423. a.
LET l„M s ,x ic : ilc lr a .l'K .4Z’j .a . , ^ , i v
Lettres en ferme, felon la coutume de Cambrefis. lA .
^ lettres formées.\X. 41"^. b.
Lettres formées , en iifagechez les premiers chrétiens. V i l .
18 1 .L
Lettre deFrance.\X.4Zt^.b.
Lettres de garde-gardienne. IX, 423. b.
Lettres de grace. IX. 423.
Lellrcsd’honoraire.\X.4i4.a.
Lettres d’hypoihcque.YX. a,n.4.a.
Lettres de jujfion. Deux novclles deJuAinien où iîcA parlé
de lettres de juffion. IX. 424. b.
Lettres de jufiïce.YX. 4i4.b.
Lettres dc légitimation. IX. 424. b.
Lettresde licence. IX. 424. b.
Lettres lombardes. IX. 424. b.
Lente lue. IX. 424. b.
Lettres de majorité. IX. 424. b.
Lettres de main-fouveraine. IX. 424. b.
Lettres de maàre-is-arts. IX. 424. b.
Lettres de maîtrife.VX. 423. a.
Lettres de maiirijé. ( Police ) Réflexions fur ces lettres. La
raifon ne favorife en aucune maniéré l’idée d’obliger les arti-
fans de prendre de telles lettres, & de payer tant au roi
qu’aux communautés un droit de réception. Conjcélnre fur
l ’origine des communautés. Origine des abus des lettres de
maicrilc fous Henri III. IX. 423. a. Création de nouvelles
Places de maîtres dans chaque communauté fous Louis X IV .
cnniffions accordées aux communautés d’emprunter, de
lever fur les récipiendaires & les marcliandifes, les fommes
néceffaires pour rembourfer ou payer leurs intérêts. Inconvé-
niens émanés de ces permiffions. Divers maux caiifés par les
Aatuts de M. C o lb e r tco n c e rn an t les lettres de maicrife. Bi-
farrerics Angulieres renfermées dans ces Aatuts. Ibid. b.
Lettres de marque ou de repréfailU.VX. 426. a.
Lettres de mer. IX. 426. a.
LettresmiJJives.YX. 426.a.
Lettres de mixtion, felon la coutume de Normandie. IX.
426. a.
Lettres monitoircs ou monitoriales. IX. 426. a.
Lettres moratoires , en Allemagne. X. 703. b„
Lettres de naturalité. IX. 426. a.
Lettres obreptrices. X V . 371. b.
Lettres pacifiques. IX. 426. b.
Lettresd'éreüïon en pairie. IX. 757. b.
Lettres de pardon. IX. 426. b.
Lettres dc pareatis. IX. 426. b.
Lettres-patentes. Elles n’étoient défignées anciennement que
fous le terme de lettres royaux. On appelloit anciennement
cAarre ce que nous a p p e l i o n s I X 426. b. Premieres
lettres ainA qualîAées. Premier exemple de b diAinétion
de ces lettres d’avec les lettres clofes ou de cachet. Lorfque
nos rois commencèrent à ufer de diA'érens fceaux , le gr^uul
Iceaii fut réfervé pour les lettres-patentes. Q uel fut i’nfage du
fccl fecret ou contre-fcel. EnregiArcment des letires-paicnces
au parlement. Ibid. 4%"j.a.
Lettres de la pénitencerie de Rome. IX. 427. a.
Lettres perpétuelles, felon la coutume de Bourbonno’is. IX.
427. a.
Lettres prcceptoriales. IX. 427. a.
Lettres de précrifie. IX. 427. a.
Lettres de privilege. IX. 427. a.
Lettres de rappel de ban. IX. 427. a.
Lettres de rappel des galeres. IX. 427. b.
Lettres de ratification. IX. 427. b.
Lettres de recommandation. IX. 427. b.
Lettres en réglement déjugés. IX. 427. b.
Lettres dc réhabilitation de condamné. IX. 427. b.
Lettres de noble£é.\X.4iy.h.
Lettres de cc[fion.\X. 427. a.
Lettres de relief de laps de teins, IX. 427. b.
Lettres de rémiJfion.lX. 427. b.
Lettres de répit. IX. 428. a.
Lettres de repréj.ülles. X IV . 1 43. a.
Lettres derepr'ife. IX. 428. a.
Lettres de répudiaùon.XW. 160.a.
Lettres de requête civile. IX. 428. a.
Lettres derefcifion.\X. 428. a.
Lettresde réiablifficment. IX. 418.a.
Lettres de révifion. IX. 428. a.
Lettres rogatoires. IX. 428. a.
Lettres royaux. A qui elles font adreffées. Elles ne font jamais
cenfées accordées au préjudice du roi ni d’un tiers. C omment
elles font Agnées. IX. 428. b.
Lettres de l'ang ou de grace en matière criminelle. IX.
428. é.
lettres de fimté. IX. 428. b.
Lettres du grand fceau. Avantages qu’elles ont Air celles du
L EV iM petit fceau, Quelles font les lettres qui ne peuvent être expédiées
qu’au grand fceau. IX. 428. b.
Lettres du petit fceau. Par qui elles peuvent être dreffées.
Etendue dc leur pouvoir. IX. 428. b.
Lettresde jchotariié. IX. 429. a.
Lettres de /épuration. IX. 429. a.
Lettres /impies. IX. 429. a.
Lettres de /oufirance. IX. 429. a.
Lettres du joudiaconat. IX. 426. a.
Lettres/ubreptices. X V . 371. b.
Lettres de /abrogation. IX. 429. a.
Lettres de fiurannation. IX. 429. a.
Lettresde furfiéance. IX. 429. a.
Lettres fynodiques. X V . 736. b.
Lettres de icrrier.XX. 42Cy b.
Lettrestefiimoniales. IX. .429. b.
Lettres de validation de criées. IX. 429. b.
Lettres de vétérance. IX. 429. b.
Lettres de vicarial général. IX. 419.
Lettres de voiture. IX. 429. i.
Lettres à ufances ou à une, deux ou trois ufances. IX. 429. b-
Lenre à vue. IX. 430. a.
Lettres, ( Gramtn.j tous les caraéleres qui comiiofent l’alphabet
des différentes nations. L ’écriture clt l’art de former
& d’affembler ces càraiAcres. Par quels peuples & en quels
temsles caraéleres de l’écriture commencèrent à être connus
en Europe. PerfeAion de l’écriture lotis AiiguAe. Elle retomba
dans b groffiéreté lorfque l’Europe redevint barbare.
Perfeélion qu’on lui a rendue depuis la rcnailfances des lettres.
IX. 430. a. Exemples du cas que les empereurs 6c les rois flii-
foient de cet art. Indifférence des François de nos jours pour
la belle écriture. Divers exemples qui nionrrent le biâine
qu'on a jetté fur ceux qui négligeoient ccr art. Ibid. b. Caul’e
de l’ignorance de la jilupart des gens dans l’arc de l’écriture ,
b négligence dans le choix des maîtres. NécelTué d’apprendre
par principes. Quels doivent être ces principes./é.i/. 43 t. a.
Trois écritures en ufage en France. D e la ronde. Son ongme.
Son caraiAcre propre. D e l’italienne on bâtarde. Son origine.
Pourquoi on l’a nommée bâtarde. Quelle clt l ’cDe-nce de cette
écriture. D e la coulée. Pourquoi on l’appelle écriiuu de per-
mijfion. Son origine. Son caraélere propre. Ibid. b. Obfcrva-
tions fur les planches d’écriture contenues duns le recueil
des planches. D e la compoAtion des diA'érentcs encres. Principales
drogues qu’on y emploie. Maniéré de compoicr une
encre à l’ufage des maîtres écrivains. Autre préparation. Ibid.
432. d. CompoAtlons d’une encre grife, d’une encre pour le
parchemin, d’une encre de coniiminication , d'une encre
roug e, d’une encre blanche pour écrire fur le papier noir.
Ibid. b. Moyen de reviviAer l’encre effacée, ibid. 43 3. -r. Voyeti
Ecriture.
L E T T R É S , {Litté ra l) nom que les Chinois donnent à
ceux qui favent lire & écrire leur langue. C ’eA aiiffi le nom
d’une feéle du môme pays. Origine de cette feéle. Sa doéfrine.
Comment cette doéhine fe réj.andit dans b nation. Ibidi 433.
a. Les gens de qualité & les riches l’ont adoptée. Les lettrés
tolèrent les mahométans. Leur averAon pour tomes les fcélcs
idolâtres. Ibid. b.
ierrrèf du premier grade, XI. 180. a. du fécond, IX. 132.
a. dutroilieme. X V I. 731. a. Seéle des lettres. 111. 343. b.
Si les lettrés font véritablement athées. I. 800. a. Dieu des
lettrés Chinois. X V I . 319. a. C ’eA de l’ordre des lettrés
qu’on tire les mandarins. X. 1 1 . b. Lettrés du Tonquin. X V .
893. « , i
L EU , ( 5,z/«t-) fon tonneau de pierre. X V I . 410. é.
L E VÆ F AN UM . ( Géogr. ) On croit que ce lieu eA aujourd’hui
Liven-Vaet dans le P a y s - B a s . III. 733. a.
L E V A G E , ( Droit de) dans la coutume du Maine. IV . 4 17.
-J, b.
L E V A IN , { C/tym. Boulang. ) propriété qu’ont les levains
de communiquer leurs qualités à ce qui leur eA analogue ,
6c de fe l’aflimiler lorfqu’ils y font joints. Pourquoi le levain
de pâte eA plus convenable que la levure dans le pétriffage
du pain. To ut cherche à fe rendre femblable à ce qui lui eA
uni : tout corps cA difpofé à recevoir rimpreirion des chofes ,
qui ont quelque rapport avec fa nature. D e ces pripcipes fe
déduit l’explication des contagions & des épidémies. Tout
tend à fe reproduire ; tout tend à fa propagation. To ut tend
à fe perpétuer, & tout fc corrompt : delà la permanence & la
variété de l’univers. Suppl. III. 734.R.
Levain de p.ite. La farine alliée avec de l’eau en pâte , fait
du mauvais pain , A avant de la mettre au four , elle n’a pas
levé ou fermenté. Le levain foutient b pâte : une pâte qui
aura été pétrie fans levain , tombera, s’amollira en la gardant.
Il faut faire la pâte plus ferme , lorfqu’on la pétrit avec un
levain foible ; 6c il faut employer un levain plus fo r t , ou en
mettre une plus grande quantité , lorfque la pâte par la nature
de la farine a moins de liaifon. Quatre fortes de levains de
pâte. Bien des boulangers ne font que trois forces de levains.
Suppl. III. 734. b.