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li ii. I
Tjl MAL djfcndu le fyftème de roptimifme. X. i6 . h. Son feiUinicnt
fur le péché originel, XI. 640. .1. Inr les lorcicis. X V . 370.
l>. Rétiu.ition des petits tourbillons du P. Malebraiiche. X V I.
471 • U, b.
M A L E D IC T IO N S , to y q Im pr é c a t io n s .
MALÈE , cap , ( Geogr. ) promontoire du Pcloponiiclc ■,
où la mer ell fort orageulc. Vers de Malherbe. Nom moderne
de ce cap. IX. <;43- ^ . , c n n
M A LE F ICE , (n iv in a t .) obfcrvations par lerqiielles 1 auteur
tâche de prouver que ce qu'on appelle malcficc, n eft pas
Fans tondemenr. Emanations qui partent des dificrentes parties
de notre corps, 6c particuliérement de l’oeil , fur lefquel-
les rameur fonde fa doéliinc fur les fafemations. IX. 944. a.
Quelles fout les perfouncs que l'on croit ordinairement avoir
1.1 vertu du maléfice, & celles qui eu font plutôt atfcélées.
AttraéHon qu’c.xerce le crapaud fur le rat, & lu couletivre fur
Je crapaud. Accident arrivé à uii pliyficien en regardant un
crapaud qu’il avoit mis fous un récipient. IbiJ. b. Effets des
yeux d’un chien-couchani fur la perdrix qu’il arrête. L’hqni-
nie n’ell pas à couvert de femblables impreirions. DifFé-
rciues fortes de maléfices dont parlent les démonographes.
IbiJ. 943. a.
M,zUjiûc. Différence entre fortilege &. maléfice, III. 885. a.
entre crime , maléfice 8c délit. IV . 468. a. Maléfice qui con-
fifte à fafeiner l'efprit ou le corps. VI. 416. u , b. Maléfices
confidérés par certaines loix comme caufe d’impuilTance. Suppl.
î l l . 569. h. Ils étoient autrefois examinés par les médecins.
889- b. Fove^ So rtilege.
MALEf^ÙC.'K , ( Ornith. ) oifeau du Spiizberg. Comment
ia voracité de cet oifeau s’exerce fur la graille 8c le fang des
b-ileines. Sa defeription. IX. 945. a.
MALENTENDUS. Caufe de la plupart. Moyen d’y remédier.
X. 7Ô0. b.
M A L E R , ùzc. IX. 13 t . è.
M A L FA ISAN T . Si l'homme n’eff pas libre , il ne faut plus
diffinguer les hommes en vertueux 8c vicieux , mais en
bienfaifans 8c malfiùfans; ce qui n’cmpèche pas qu’ils ne
foient modifiables en bien 8c en nul par plufieurs moyens;
I.X. 943.1^.
MALFAITEURS. Une des caufes qui en multiplie le nombre.
IX. 913. it.
MAI.HÂB1L E T É , ALiLdrcffe , (Synon.) IX. 940. <r.
MALHERBE, ( François )obfervationsfur fes odes, XI.
346. b. 347. .1. Suppl. IV. 93. a. fur fon ode à Duperrier.
IV . 48. b. Exemples de la funplidté de fon ffyle. X V . 203- a.
Se-s odes pen propres à être niifes en mufique.S'u;’/?/.'!. 238.
M A LH EU R , {Morale) les malheurs font tout l’appanage
de riuimanité. Ils développent fouvent en nous des fenti-
mens, des lumières, des forces, que nous ne counoiflions pas.
Perfonne ne peut répondre de fa defiinée. La vraie grandeur
eft d'avoir en même tems la fo'ibleffe de l’homme 8c la force
de Dieu. IX. 943. b.
Malheur. Réflexion fur le malheur de la v ie. V . 106. a. Malheurs
de rinimanité. XVII. 731.;», b.
MALHEUREUX , MiJérabU. Difference entre ces mots.
IX. 943. b.
Malheureux. Principe des anciens, que les malheureux iné-
ritoienc des peines, par cela même qu’ils étoient malheureux.
ÎV . 64-7. b. Il femble qu’il y ait des hommes ijés pour le malheur.
VIII. 739. b. Des jours malheureux. V llI . 891. a , b.
Préjugés fur les tems prétendus malheureux ; fur des iiommes
malheureux par deffinée. VI. 428. a , b.
M ALHO NN ÊTE j Dèskonnète , (5y/2C7/;.) IV. 884.^.
M A L IC E , Maligniiè , {Syiiott. ) IX. 946. b.
M A L IC H I , cafuiile maliométaii. X IV. 667. a.
M A L IC Ü R N E , ( Géogr. ) bourg du Maine. Pourquoi i!
fut appelle Condé. Suppl. III. 836. b. Anecdote fur Jean de
Cliourfes , comte de Malicorne > gouverneur de Poitou. Ibid.
837-M
ALIGN E ,jîev r?, {Médec.) définition des fièvres malignes.
Ce n’eff pas à la fievre même cju’on doit imputer la
malignité. En quels cas cette malignité eft fur-tour dangereufe.
IX. 946, a. Obfcrvations que doit faire un médecin pour reconnoitre
une fievre maligne , 8c pour établir fon prognoftic.
Symptômes des fievres caraélérifées malignes. Conduite que
doit tenir le médecin dans ces maladies. Ouvrage à confulter.
Ibid. b.
Malignes , fievres, difflnguées en elTentlelles 8c fymptoma-
tiques. X V . 742. b. Mctéorifme obfervé dans ces fievres. X.
444. b. 443. a. Conduite à obferver dans ces maladies. 111.
368. a. 369. a.
M A LIGN ITÉ , ( Gramm.) fe dit des chofes 8c des per-
fonnes. Telle eff la malignité humaine , que jamais l’apologie
la plus authentique ne fait autant de fenfation , que l’accula-
tion la plus mal fondée. Le fubftantif malignité a une toute
autre force que fon adjeélif Différence entre malignité
& malice. Comment les hommes peuvent être conduits à la
malignité. Différence entre malignité 6c méchanceté. IX.
546. b.
A L
M a l ig n it é , ( Midec. ) on ne peut donner des regies sûres
de pratique dans les maladies accompagnées de malignité.
IX .946. b. Voye^Suppl, 11. 229. a.
M A L IN , voy«ç Ma l ig n it é .
MALINES , ( Gtogr. ) ville des Pays-Bas. Diverfes obfcrvations
fur cette ville. Comment elle a perdu fon ancien éclat.
Gens de lettres qu’elle a produits. IX. 947. a.
M alines , confeil de, IV. 12. b. X ll. 38. a. Hauteur de la
fléché du clocher de Malines. Suppl. 111. 317. b.
M A L IN G R E , (Claude) hifforien. X V . 34. <t.
M AL-IN TEN TIONN É. Quelques réflexions fur les mé-
contens 8c fur les mal-intentionnés. IX. 947. a.
MALLE , ( Cofretier) ce que preferivent les ffatuts des
maîtres coft'reticrs pour la bonne fabrication des malles. IX.
947. i.
M a l l e s . fabrication, fuyr^les planches du Coffretier,
vol. IlL
M alle , ( Hifl. de France ) vieux mot qui figntfie ajjcmblée.
Origine de ce mot. IX. 947. b.
M alle , ( Géogr. ane. ) ville de Cilicie. Oracle de Mopfus
en ce lieu. XL 339. b.
M A LLÉ AB LE, (^Artméch.) c’eft une erreur de croire
qu’on ait jamais trouvé le fecret de rendre le verre malléable,
ba nature y répugne. IX. 947. b. Voye^ Luné cornée.
M A L LÉ O LE , {Anato/u.) malléole interne 8c malléole
externe. IX. 947. b.
M a l lé o le , (A n ific . ) forte d'artifice autrefois en ufage.
V I. 830.
M A L L E T , (Mariejfon) fon fyftcme de fortification. V I I .
198. a , b. Vol. I. des planch. Art militaire.
M a l le t , (^Edme) abbé: fon éloge. VI. iij. — v. Préface.
M allet , ( AL ) profelTeur n Upfal ; fes tables relatives à
la géographie 8c à l’aftronomic. Suppl. IV . 879. b. 883. a.
883. b. 904. b.
M A L L IN C K R O T , {Bernard) littérateur allemand. X .
864. a.
MALLUS , ( Géogr. anc.) ville d'Afie en Cilicie , bâtie par
Amphiloque 6c par Mopfus. Patrie du grammairien Ciatés.
Obférvatioiis fur ce granim.iirien. IX. 948. a.
M A LM E SB U R Y , {Géogr.) v ille d’Angleterre. C e qui a
rendu ce lieu remarquable. Obfervations fur Guillaume de
Malmesbury Ôc fur Thomas Hobbes , nés dans cette ville j 8c
fur leurs ouvrages. IX. 948. a.
M A LM IG N A T T O , {Infeéîolog.) deux efpeces d’infeftes
de ce nom dans Tifle de Corfe. IX. 948. a. Effets de leur mor-
fure. Q uel en eft le remede. Ibid. b.
M A LO ,faint-,{Géogré) v ille de France. Son port. Comment
cette v ille eft défendue. Son commerce. Jacques Cartier célébré
navigateur né dans cette ville. Elle eft aiifli la patrie de
M. Du-Guay-Trouin ; fes mémoires. Situation de S. Malo.
IX, 948. b.
Malo, faint-. Chambre d’affurance dans cette ville. III.
59. b.
M A LO N A , e ftece de plante. Suppl. I. 786. a.
MALPIGHI. Corp.s réticulaire de Malpighi. Ouvrages de ce
doffeur en médecine. IX. 948. b.
M a l p ig h i , ( Marcel) anatomifte, Suppl. I. 398. a. phyfto-
logifte. Suppl. IV . 330. b. Ses obfervations fur le foie de
l'homme, V IL 3 1 . a. fur la ftrufture des glandes, 46. b. Suppl.
III. 82. b. fur la génération. V IL 565. A Auteur qui s’eft appliqué
à le critiquer. Suppl. I. 402. a.
MALPIGHIE , {Botan.) caraélcrcs de ce genre deplante.
Nom ([ue lui donnent les Anglois. IX. 948. b. Comment cette
plante eft caraftérifée par différens botaniftes. Lieux oii cec
arbre eft cultivé pour fon fruit. Comment on le multiplie en
Europe. Soins qu'il exige. Ibid. 949^ a.
M A L P L A Q U E T , bataille de. Défordre que M. de Male-
fteu mit dans quelques bataillons qui fc précipitèrent pour
l’attaquer. Suppl. I. 620. a. Retraite des François après cette
bataille. X IV . 213. A
M A L T , {Brajferie)g,rm\ germé, propre irfaire de la bière.
IX. 949. a. Comment on maccre Sf. l’on fait germer le grain
deftiné à faire cette boiffon. Comment on le fait fermenter.
Etendue confidérable du négoce dn malt en Angleterre-
Nombre de boiffeaux qui s’en confomment. C e que rapporte
au gouvernement l’excife levé fur la biere double.
Ibid. b.
Malt. Des liqueurs faites avec le ma lt, voyc^; L iq u eu r s .
M A L T H A , ( Archit.) ciment ou corpsglutincux , qui écoît
connu des anciens. Compofftion du maltha faftice. Maltha naturel
des Afiatiqiies. IX. 930.
M ALTHE , ( Géogr.) ifte de h mer Méditerranée. Sa
fituation & fon étendue. Cluvier a cru que cette ifte étoic celle
de la nymphe Cnlypfo. Ptoléméc l’a mife entre les iftes de
l'A frique. Monumens que les chevaliers de S. Jean de Jérufalem
y trouvèrent. Les Romains l’ufurpercnt fur les CatUagi-
nois , &c. Suite des révolutions de cette ifte. IX. 930. a. C e
fut en 1323, que Charles-Quiiit en fit préfent aux chevaliers
ds S. Jean de Jérufalcm. Siege de la Valette par les Turcs en
i j 6 s .
M A M
1 363. Conftfuélion de la nouvelle v ille qui fut appellee la cité
de U Valette. Divers ouvrages que les grinds-maitresde l’ordre
de Malthe ont fait conftruire dans cette ifte , qui la rendent
imprenable. Revenus par lefquels cet-ordre fubfiftc. Pro-
dutftions de l’ifte de Malthe. Sa population ; fa fituation.
Ibid. b.
Malthe , capitale de l’ifte de ce nom. Sa fituation ; fon hôpital.
RévoUiiions de cette ville. Comment Diodore cls Sicile 6c
Cicéron en parlent. IX. 931. a.
Malthe ancienne, X. 317. b. Partie de la ville ajipellée/a
Valette. XVI. 8 i8.æ. Rapport de la langue nialthoife avec l’ancienne
langue punique. XIII. 37a- «•
M althe , Ordre de , ( Hift. mod. ) origine de cet ordre. Son
hiftoirc. IX. 931. a. Poffcflîons de l’ordre de Malthe. Son gouvernement.
Langues de Malthe. Ibid. b. Divers détails fur cet
ordre, 8c fur la réception des chevaliers. Ibid. 932. , i . Marques
de l’ordre. Chevaliers de Malthe créés par des princes
luthériens, mais que l’ordre ne reconnoît point pour membres.
Religieufes hofpitalieres de l'ordre de S. Jean de Jérufa-
lem. Ibid. 933-
Malthe, l'ordre de. Précis de l’inftoire de cet ordre. Suppl.
III. 837. a. Titres dont le grand-maître fe qualifie. Nom de
celui qui vit aujourd’hui. Ibid. b. Qualités requifes de ceux
qui afpirent à entrer dans l’ordre. Marques diftinéUves des
chevaliers. Ibid. 838. a. Voye^ vol. IL des pl. Blafon ,
pianch, 23.
Malthe, ordre Son inftituteur. X. 163. A Diftribution de
l’ordre en trois claffes. VII. 302. a. Huit langues de cet ordre.
IX. 272. a. Elcéliondu grand-maître. X V II . 472. A Seconde
dignité de l’ordre. X. 93. a. Baillis. II. 18. b. Caravannes des
chevaliers. 673. a. Chanceliers. III. 103. A Chapelains. 173. </.
Cliapitres de l’ordre. 181. A Commanderics. 687. b. 688. a.
Confeil des rétentions. IV . 16. A Grands-croix. VII. 834. a.
Rehgicufes de l’ordre de Malthe. VIII. 314. b. Préfent que le
grand-maitre fait tous les ans au roi. V I. 432. b. Comment on
fait preuve de nobleffe dans l’ordre de Malthe. Suppl. III.
196. a. Droit de réception qu’on paie pour y entrer. XII. 120.
h. Ce qu’on entend par auberge 8c pilier dans l’ordre de Mal-
thc. 621. b. X V I. 818. a. Grands-prieurs. 363. A Biens que
l'ordre poffede en Provence. XIIL 309. Chevaliers appelles
fervans d'armc s.W. 120. a. Palais du grand-prieur de la langue
de Fraucc. XVI. 87, A Dignité de l’ordre appellee turcepoUer,
mais qui ne fubfifte plus. 732..z.Ce qu’on entend par le vacant
dans l’ordre de Malthe. 790. A
M a lthe , terre de, ( Minéralog.) defeription de deux cfpc-
ces de terre de ce nom. Leurs i>ropriétés. IX. 933. j .
M A L T O T E j (/"z/z^z/zerj) opinion qu’on a des gens qui exercent
la maltote. Origine de cette opinion. IX. 933. i .
Maltore. Etyzn. de ce mot. X V . 841. b.
M A L T R A IT E R , traiter mal : différence entre ces mots.
K . 9 î 3.J.^
M A L T ü S , ingénieur anglois. II. 619. a.
M A L V A Z IA , Malvoife. (Grog/-. ) petite ifte de la Grece.
Son étendue. Vignes qui rapportent ce vin clairet connu fous
le nom de vin de Malvoifie. Culte d’Efculape établi autrefois
dans cetre ifte. Colonie par laquelle cette ifte fut anciennement
liabitée.Ses révolutions.IX.933. A
M a l v a s ia , ( Géogr. ) capitale de l’ifle de ce nom. Débris
du temple d’Efculape qu’on volt parmi fes ruines. Obferva-
lions fur la nouvelle Malvafia , 6c fur fon porr. Obfervations
fur Arfénius , l’im des archevêques de cette ville. IX.
934. ;Z.
M A L V E N D A , ( Thomas ) dominicain. X V II . 630. b. Son
ouvr.nge fur l'antechrift, I. 492. b.
M A L V O IS IE , {B o t.) Comment fe faifoit autrefois le
vin de ce nom. Lieux où il croiifoù. Genre de mort que
choifit G eo rg e s , duc de Clarence , condamné à mort par
fon frere Edouard I V , roi d'Angleterre. IX. 934. <z. Q uel eft
le v in que nous nommons aujourd’hui vin de malvoifie. Celui
des anciens Grecs n’eft point celui que les Latins nommoient
arvifium vinum. Ibid. A
Malvoifie. Différentes fortes de raifins de ce nom. XIII.
768. a.
M a l vo is ie , {Diete & Mat. medic.) efpece de vin de
liqueur fouvent demandé dans les pharmacopées. IX. 934. b.
M AM A , maman. Obfcrvations fur ce mot coninum à plu-
ficurs langues , avec de légères différences. IX. 261. »z.
M AM À C U N A S , {Hiji. mod. Culte.) les plus âgées des
vierges confacrées au foleil chez les anciens habitans du Pérou.
Diverfes obfervations fur ces vieiges. IX. 934. b.
MAMBRÉ , ou Mamri, {H if l facr.) vallée de la Palef-
tme. Ce qui a rendu ce lieu célébré dans l’écriture. IX. 934.
A Vénération qu’on a eue de tout rems pour le térébiiuhe
ou le chêne.fous lequel Abraham reçut les anges, {voye^
J ERLBiNTHE. ) Merveilleux cfue les rabbins ont répandu fur
cet arl^e. Foire que les Juifs établirent dans i’endvoir oii il
croit. Grand nombre de Juifs captifs qu’Adiicn fit vendre en
« t endroit. Comment les Juifs fuient accréditer les foires de
iwambre , en y intérelTant la dévotion des peuples de toute
Ionie U.
M A M 173'
religion. IX. 933. a. Combien ce lieu étoit réputé faint au
rapport de Sozomene. Diffieuhe de concilier la prétendue fain-
teté des fêtes de Mambré, avec la maniéré dont s’y tenoient
fes foires. Pourquoi perfonne pendant la fête ne piiifoit de
l’eau du puits de Mambré. Anecdote qui prouve que du tems
de Conftantin, la fainccté de ce lieu n'etoit plus rcfpeélée.
Ibid. A
M AMBRÈ S, magicien de Pharaon. IX. 831, a.
MAMELLE , ( Anat. & Phyfiol. ) Etat des mamelles dans
les enfans & dans les hommes de tout âge. Formation du
corps des mamelles dans les femmes à l’âge d’adolcfcence.
C e corps eft en partie glanduleux, & en partie gratffeux.
Membranes entre lefquelles il eft renfermé. X. i. a. Difque
ou cercle coloré des mamelles. Liqueur qu’on exprime des
tubercules qui s’élèvent tout autour du difqtie. Différentes
chofes dont la fubftance des mamelles eft compofée. Les mamelles
bien conditionnées font le principal ornement du beau
fe x e , 6>c. Ibid. A Les femmes dont les mamelles font en
forme de poires, paffent pour les meilleures nourrices. En
quoi confifte la beauté des mamelles, felon la proportion des
ftatuaires, Examen de cette queftion, fi le tiffii des mamelles
n’eft pas celluleux auffi-bien que glanduleux. Quelle eft la nature
du lait qui fort des mamelles des femmes. Ibid. 2. a. Autre
queftion, favoir fi le lait vient du fang dans les mamelles,
ou fi le chyle peut y être porté par des vailTeaux fangiiins.
Comment le lait fe filtre , & comment il eft fucé par l'enfant.
Pourquoi les hommes ont des mamelles. Pourquoi les homines
en général n’ont pas du lait comme les femmes, & pourquoi
leurs mamelles font plutôt feches. Caufe du gonflement des
mamelles dans les enfans, 8c de celui qu’éprouvent les filles
venues à un certain âge. Ibid. b. Pourquoi le lait vient aux
femmes après qu’elles ont accouché. Ibid.'^. a. Comment le
lait peut fe filtrer dans les filles dont les regies font fuppri-
niées. Raifon pour laquelle les filles lafelves pourront avoir
du lait. Ibid. A Le même effet peut arriver fi les femmes manient
fouvent leurs tetous. Pourquoi les vuidanges diminuent
par l ’écoulement du lait, 8c vice verfâ. Durant la groffelTe, la
douleur , la teufion, Sc la dureté des mamelles doivent augmenter
le foir. Jeux de la nature fur le nombre des mamelles.
Femmes de quelques nations dont les mamelles font d’une
groffeur monftrucufe. Ibid. 4. a. Dift'erentes obfervations particulières
fur cette partie. Comment on peut voir exaéfement
la ftrufture des mamelles. Tems oii les mamelles fe gonflent,
6c celui où elles diminuent. Le lait dans une femme n’eft point .
une preuve certaine de groffeffe. Des exemples d’hommes
dont les mamelles ont fourni du lait. Fait très-curieux qui
montre que le lait peut fortir par la cuiffe. Ibid. b. D e la ftriic-
ture des mamelles dans les bêtes. Leur fituation dans la femelle
de l’éléphant. Ibid. 3. a.
Mamelles. Animaux à mamelles. Suppl. IV . 838. a. Du
nombre des mamelles 8c de leur emplacement. Ibid, a , A Leur
defeription. VII I. 270. a. Forme des mamelles dans les ftatues
grecques. .S'zz/'/i/. III. 238. zz. D e leur ftrufture. 5zz/zp/. IV. 839.
a , b. Mamelles des mâles; leur ufage. 838. A Conduits lai-
te«x des mamelles. Suppl. IL 541. i , Suppl. IV. 839. Aréole
du mamelon. I. 632. b. Suppl. I, 349. A Suppl. IV . 839. b,
Correfpondauce des mamelles avec la matrice. Suppl. I. 287. b.
288. a. Suppl. IV. 840. b. Caufe de l’engorgement des mamelles
dans la groffeffe. V . 876. b. Suppl.ï. 287. b. Suppl. IV .
840. a. Du cours 8c de la formation du lait dans les mamelles.
Suppl. IV . 840. a. Caufes qui en font fortir le lait, Suppl. I.
290. a. Suppl. IV . 840. a. Art avec lequel certaines femmes
ont fait venir du lait dans leurs mamelles. Suppl. III.
271. b. Le fucement d’un enfant peut le faire venir dans les
perfonnes des deux fexes 8c de différens âges. Suppl. IV. 840.
a. Effet d’une légère irritation fur les mamelles. Ibid. Gonflement
fubic aux mamelles. V . 903, a. Emplâtre pour les
mamelles des femmes qui ne veulent pas nourrir. 391. b.
Dou leu r, tumeur, dureté des mamelles des femmes accouchées.
V I . 481. b. Cataplafme pour réfoudre les duretés des
mamelles, 8c difl'oiidrc le lait coagulé. III. 240. i. Remede
contre le lait grummelé dans le fein. Suppl. I. 291. A
M AM E L O N , {A n a t.) Son volume eft difl'érent felon
l’â g e , le tempérament, 8c les différens états du fexe. D e feription
anatomique du inamelon.X. 3. a. Comment les enfans
en fuçant le mamelon , 8c les payfannes en tirant le pis dé" la
v a ch e , font fortir le iair. Pourquoi le mamelon groffit 8c fe
releve quand on le manie. Trous Sc orifices des tuyaux laétés.
Couleur de l'aréole. Comment on corrige le défaut d’un
mamelon trop petit 8c enfoncé dans le corps de la mamelle.
Remede pour les femmes en couclie , contre les gerçures 8c
ulcérations du mamelon. Ibid. b.
Mamelon. Sa defeription. Suppl. IV . 839. a. Arcole qui
l’entoure.5z//»/’/. L 349- b. Suppl. IV. 839. A I.632. 6, Caufes
de fon éreélion. Suppl. IV . 839. a. D e fa mauvaife conformation.
Suppl. L 290. a. Remedes. 291 a , A
Mamelons /j/rt/7g«e, {A/!.it.)X. 3. i.
Mamelons de la peau, {Anat.) Suppl. III. 436. a , b,
Suppl. IV . 264. a.
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