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» 4 5 4 P L A quand on porto la guerre cho7. roniiemi. II. 158. b.
11 no i'am pas garder trop des places conquifes. IbiJ.
P lachS cri premiere lig/ie, ( A r t miiit. ) colics qui couvrent
les provinces frontières des états : elles doivent fermer ab-
iblimiont reiuréc,^dii pays à rennomi. Les principes généraux
lia-la fortification la difpofition de .ces places , quoi-
qu’alfcz cxaéfcmcnc vrais en cux-méines, fonfirent néanmoins
beaucoup de clidicultcs dans la pratique. XII. 672, b.
Ï1 cl\ iinpoiïiI)!c de déterminer exaélemont le nombre & la
nature des pl.aecs fo r tes , qui doivent laire la b.imcre des
grands ét.its. Ouvrages à confulicr. îbiJ. 673. »t.
I^Lct, icconnoitrc une. XII. 673.
PU c c , fecourir une. Le fccours qu’on veut donner à une
place aniégée , confille ou en hommes ou en munitions, ou
en vivres. On tâche de les faire parvenir avant que les lignes
de circonvallation foientparfaites.Moliires à prendre lori-
qu'on v e u t , pendant le ficge , jener quelques fccours dans
la place. XII. 673. >1.
l'LACtS publiques de Rome. ( And.';, rom. ) Defeription des
places publiques citez les Grecs. Celles des Romains. Il y
avüit à Rome dix-feitt places publiques ; mais il y en avoir
trois principales où l'on rendoic la juftice , 8c oii s’alTem-
bloit le peuitle. Deux autres places, ajoutées dans la fuite à
ces trois premieres. Obfervations fur celle qui ctoit iituéc
entre le mont Palatin 8c le Capitole. Ses cinbcllilTemens, &.
fes diiïérentes parties. XII. 673. b. Place de Céfar. Sommes
qu'il dépenfa pour l’acquérir 8c l’embellir. Place d’Augufle.
Objets des afi'emblées qui s 'y tenolenr. Ses embclülTemens.
Place de Nerva. Place de Trajan. Magnificence de ces pla-
co.s. Ibid. 674. U.
PI.1CC du c!utne,e, ce qu’on entend par là : voye- C h a n g e
6’ B o u r se . XII. 674. a. Faire des traites & reniijes de place
en pl.uc, c.xprcflîcn de commerce. P Lice , corps des négo-
cians 8c marchands d’une ville. Dift'érens ufages du m ot
place dans le comm erce. Ibid. b.
Place, {^Conun. m.irit.') certain endroit deftiné dans les
ports de mer. XII. 674. h.
P l a c e , {Comm.) lieu public où fc tiennent les foires. Au-
tre.s ufages de ce mot. XII. 674. i.
Pl a c e , {Clouder) uftcnfile d e fer. Son ufage. XII. 674.
Pla c e , {M.trich.) efp.tce entre deux poteaux dans une
écurie. P lace, lieu du manege. XII. 674. b.
Places , tirer les ( Jeu du médiateur ) X îl. 674. b.
Placi:S , tirer les ( Jeu de quadrille ) XII, 67»;. a.
P L A C E N T A o u arriere-faix , {Ari.it.) origine de cc nom.
Autre nom donne au placenta. Sa defeription. Du nombre
des placenta dans riitcrns. Vaiffeaux qui s’y diliribuent. XII.
673. a. Contchations entre quelques auatomiilos fur la quil-
t lo n , fl le placenta a (juclque timique extérieure, par la quelle
il foit attaclié à la matrice. M. Rohault penl’e que le
placenta n’ell qu'une portion du chorion condenfé ou épaiilî.
Ibid. b. Voyei CtiORlON.
Placenta, {An.it.) animaux dans lefquds on trouve ce
vifeere. Comment il c< mmcncc. Son accroificmcnt. Sa Üruc-
ture. Suppl. IV . 387. a. Nature de fa fubflancc. Hydatides
(itii paroilVciU fe former des petites varices des veines du
placenta. Dillribution des artères ombilicales dans ce vifeere.
Manière dont le chorion 6c le placenta s’attachent à la matrice.
Ibid. b. Dillribution des veines ombilicales dans le placenta.
D e la comiruinication entre le placenta 8c la matière,
8c de ia mere au foetus. Ibid. 388. a.
Placenta , accroiflenicns que prend quelquefois une partie
du placenta, fans foetus 8c fans arteres. I. 134. a.
Placenta, accouchement du {C.hirurg.) I. 83. a.
Placenta , maladie du {Médcc.) Defeription du placenta.
Comment il efl attaché à la matrice. Eft’etsqui arrivent lorf-
qu’on détaclie cette partie de la inarrice. Accidens qui cau-
fent cette féparation. Continent on favorife le détachement
du placenta après rexctiifion du foetus, lorfqu’il adhere trop
fortement. C e qu'on doit faire lorfqu'il efl rompu , 6c lorf-
qu'il eft retenu par le reflerrement de l’ouverture de la ma-
iiice. X ll. 673. b.
Placenta, {Botan.^ corps qui fe trouve placé entre
ia femcnce des plantes 8c Uur enveloppe. X lï. 675. b.
P LA CEN T IA , ( Géogr. anc.) ville d’Italie. A quelle oc-
callon elle fut bâtie. Qualités qui la firent confidcrer.
Vo'/e:^ Plaisance. Placeuti.i, ville d’Efpagnc. XII. 676. a.
P L A C E R , Pofer, Mettre , {Synonym.) différences entre
ces mots dans leur fignifîcarion 8c dans leur iifage. Diff'é-
rens ufages du mot placer. XII. 676 a.
P L A C E T , {H iß .) éiym. de ce mot. XII. 676. a. Placet
d'Anne de Boulen à Henri V I I I , fon époux, roi d’Angle-
ten c. C e placet refpire riiinocence , la grandeur d’ame, 8c
les juffes plaintes d’une amante méprifée. Véritable caufe de
la mort de cette reine. Ibid. b.
P L A C E T T E , ( Jean de la ) miniffre réformé : éloge de fes
ouvrages. XIII. 73. b. Analyfe de la foi étabiie par ce théologien.
V i l . 13. i».
P L A C IT É , {Jurifpr.) origine 8c fignification de ce mot
P L A de jurirpruclence féodale. Nos rois des deux premières racés
avüient leur plucité général. Ce qu’on entend en Normandia
par les anicles placités. XU. 677. a.
P L A FO N D , {A tch ii.) quels croient les plafonds des palais
de l’amiquité. Üblcrvations fur les orneinens qui conviennent
;m:4 plafonds. Plafond de pierre. Façon de faire
ces plafonds en blanc en bourre. X ll. 677. b.
Plafond de rampes d’dcaliers. Vol. VII. des planch. Me-
nuiferie en bàtimens , pl. 18. Sorte de plafond appelle bati-
fodage. Suppl. 1. 827. b.
Plafond de corniche, {A r d ù t .) voyc^ SCFITE. XIL
CyS. a.
Plafond de peinture , {Peint. ) les grandes machines font
dans la peinture, cc que les grands poëmes font dans la
poéfie ; c’ell un ouvrage formé d’une inhnité de parties toutes
cffemielles, dont la réunion 8c l'accord font néceflaires .1
la réiifiire. Diihciiltés à furmonter clans les grands poèmes ^
en peinture , 8c dans les grandes machines que nous nommons
pl.ijonds. Préceptes à obfervcr pour en venir à bout.
Plafond de la coupole de la chapelle de la vierge à S. Rocli.
XII. 678. a, Plafond inaroiitlé. Ibid. b.
Plafond. {Hydraul.) X ll. 678. é.
Pl.afond , ( Aienuijerie) X ll. 678. b.
P L A FO N N A G E , {Arck it.) danger du plafonnage pour
les planchers. I. 259. a.
PLAFONNER une fgure, ( Peint.) talent du Correge dans
les plafonds. X l l . 678. b.
P LAG.AL, {Mufiq.) ton plagal ; ton authentique. Cette
diffinéfion ii’eft plus admife que dans le plain-chant. XII.
678. b. Voyet^ Suppl. I. 724. a.
P L A G IA , lit tus, portus , flatio, p o ftio , coto , refugiurn ,
gradtts , ( Lang, latin. ) Signification de tes mots. IX.
393. a ,b .
P LAG IAN ISM E, ou Plagiat , ( Xùt. ) différence qu’on
doit admettre entre , prendre certains morceaux dans un
auteur en le citant fidclcment , ik les dérober. Juflification
de J. M. Brunis, favant Vénitien , acculé de s’étre fervi
des obfervations de Lambin fur Cicéron. Réflexions de
Bayle fur le plagianifme. X ll. 679. a. Les auteurs conviennent
de cette maxime, qu’il vaut mieux piller les anciens
que les modernes. Mais s’ils agilfent ainfi, c’eft moins par
principe de confcience , qu’afin de n'ètre pas reconnus. Paf-
l'agcs de M. Sendéri 6c de la Mothe le V a y e r fur ce fujet.
Communauté de biens que vouloit établir Viélorin Strige-
lius entre les auteurs. On a fouvent démal'qué publiquement
les plagiaires. Bayle décide que le plagianifme eff un défaut
moral 8c un vrai péché. Ibid. b. Foye:^ le diéiionn. de
Bayle an mot M v su r u s .
P L A G IA IR E , ce qu'on eniendoit par ce mot chez les
Romains. Son étymologie. Livre de Thomafius fur le plagiat
littéraire. Les lexicographes paroilTeni devoir être exeints
des Inix communes du tien '8c du mien. Les auteurs de l’Encyclopédie
jiiffibés de .plagiat. Définition d’un plagiaire.
Bayle penfe qu’on ne doit point appeller plagiaire un auteur
qui prête fon nom à un autre. 11 obferve encore que
le défaut des plagiaires n’eff pas de choiffr toujours le meilleur
dans les auteurs qu’ils pillent. XII. 680. a.
Plagiaires , loi romaine contr’eux. IX. 660. b. Combien
d’auteurs célébrés doivent leur fortune à d’obfcurs écrivains
qu’ils n’ont jamais daigné nommer. V . 829. b. L ’imitation
des ouvrages d’autrui n’c ll pas plagiat. VIII. 567. b. Voye^
Plagiat.
P L A G IA R IU S , {Critiq.) celui qui vole des perfonnes
libres Sc les vend comme cfclaves. XII. 680. a. PalTagc de
S. Paul fur ce fujet. Peines infligées chez les Hébreux 8i
chez les Romains à ces plagiaires. Ibid. b.
P L A G IA T , {BelUs-lect.) forte de crime littéraire pour
lequel les pédans , les envieux 8c les fots ne manquent pas
de faire le procès aux écrivains célébrés. Diffinélion qu’ils
ont mis entre voler un ancien ou un étranger, 8c voler un
moderne ou im compatriote. D.ans les découvertes importantes
le vo l eff féricuremenr mal-honnête. Mais dans les
ouvrages d’efprit, celui qui fait tirer d'un auteur obfcur une
penfée hciireufc, 8c la mettre en oeuvre, ne fait tort à qui
que ce foit. Suppl. IV . 388. b. C ’eff à l’atiliré publique à
décider du juffe 6c de l'injiiffc , 8c cette utilité exigeoir que
les bons livres fuiTent enrichis de tout ce qu'il y a de bien,
noyé dans les mauvais. Celui qui produit une idée heureufe
8c féconde, mais ne la fait pas v a lo ir , la laiffc comme un
bien commun au premier occupant , qui l'aura mieux en
développer la riclicffc. Exemples de quelques pcnfics que
Voltaire paroic avoir tirées de du Hier, Ibid. 389. a. oc de
celles que Corneille femble avoir prifes de Théophile. On
voit par ces parallèles , qu’on ne fauroit avec juffice faire
un rcproclte au génie d’avoir changé le cuivre en or. La
condition des modernes llroit trop malheureufe , fi tout
ce que leurs prédéceffeurs ont touché leur étoit interdit.
Et les vivans eux-mêmes, lorfqu’ils n’ont pas fu tirer avantage
de la rencontre d’nn beau fujet ou d’une belle penfee.
P L A doivent fiibir ia peine de leur mal-aclrelfe & de leur incu-
d.icité. Ibid. b. Caille de la févérité des péd.uis , des demi-
beaux efprirs 8c des malins critlquci fur ce qui regarde le
plagiat, Il n’eff pas toiijours aifé de fatisfiiro ceux qui vou-
droient au moins que Ion citât l’auteur donc on tient quelque
penfée heurenfe , parce que rien n’eff fouvent plus
difficile que de démêler cc qu’on a tiré des livres ou des
hommes, de la nature ou do Ibi-mcille. Celui qui ne prend
que le fuje t, 8c qui lui donne une forme nouvelle, ce-
liii qui ne prend que des détails Sc qui les embellit ou
les place mieux , n’eff point non plus obligé de s’avouer
copiffe, puifqu’en effet il ne l’eff pas. Souvent c’e-ft le vol-
finage oii nous lomines/l’im auteur qui nous rend dilfi-
ciles fur le tiifaui d’cllime que nous avons à lui payer. Le
ioul plagiat que le public déiavoue , eff celui qui ne lui apporte
aucune utilité , aucun plaifir nouveau. Ibid. 390. a.
Poyei Plagiaire.
PLAG IAULE , cfpccc de flûte des anciens. Suppl. III.
38. b.
P L A ID , {Jurifpr.) tphl'h ordinaires 6c plaids générruix.
La venue des plaids gen-éraux rarement pratiquée. Alfigna-
lion du ieigneur pour ces pLiicls. Du liai où ils fe tiennent;
objet de la coinjnirution des vafi'aiix aux plaids génonuix.
Ouvrages à confiilter. XII. 680. b.
Plaids de la porte. X IV . 163. b.
I^EAIDER , ( /«/-f/yr. ) Ifocracc ctoit d’avis qu’on rendît
les frais très-grands pour empêcher le peuple de plaider ; une
partie de fon voeu a été exaucée , & non pas l’autre. IV.
83Ö. b. Tiibumuix devant lefquds ou plaidoit à Rome 8c à
Athènes. Suppl. I. 814. b. Deux nianic-ros do pl.tider chez
les anciens Romains. IX. 20. a. Heures que les Romains
confacroiem à aller entendre plaider. XVII . 233. a , b.
Jours où ü étoit permis ou défendu de p'aicler. VI. 41S.
b. Suppl, n . 117. a. Huiflier qui appdloit les c.aufos qu’on
devoir plaider. IX. 480. b. Ulago que les anciens faifoieiu
des cleplydres dans les plaidoyers. V i l l . 29S. b. De ia faculté
de plaider par procureur, V I I I .4 1 1 . b .41 1. a , b. De
la maniéré de plaider , x'Oye^ Barreau. Réflexions contre
rufage de foüicitcr les juges devaut lefquels on plaide. Suppl.
IV . 806. b. Voyer^ CAUSE , pROCLS.
PEtVIDEGR , {H iß .) Dépôt que les plaideurs chez les
Athéniens 8c les Romains croient obligés de configncr. XIV,
473. a. Connnent on punit les plaideurs en Turquie. IV.
087. b. Peine des téniérrâies plaideurs parmi nous. XLI.
232.
P L A ID O Y E R , {Jurifpr.) A quelles perfonnes il appartient
de prononcer les plaidoyers. Divifion du plaidoyer en
fix parties. Citations dont les anciens plaidoyers ccoient fur-
chargés. Autre défaut où l’on cft tombé en bannifi'atu le
premier, celui de négliger l’ufage du droit romain. Autems
anciens Sc modernes dont on doit prendre les plaidoyers
pour modèles. Autrefois les plaidoyers étoient rapportes ,
du moins par extrait, dans le vu du jugement. Les conclu-
fions ne fe prenoient qu’à ia fin du plaidoyer. Changement
fiiir à cet égard. X ll. 681. a.
Plaidoyer, les aréopagiffesenbamiiffblent l’éloquence. 1. 634.
b. Des citations fréquentes dans les plaidoyers. III. 484. b.
Caraéleres du plaidoyer. IV . 1033. i>. Chambre du plaidoyer.
III. 31. b. 5 3. <2. Voye^ Barreau.
P L A IE , {Chir.) différentes fortes de piales, par rapport
à leur caufe, à leur grandeur, leur figure 8c leur direction.
Coufidératious fur la difFércnce des piaiesqui viennent des
parties oit elles fe trouvent. Toutes ces différences ne font
qu’accidentelles. Celles qui font circntiellcs, conllftcnt dans
la fimplicité des plaies , dans leur compofition 8c dans leur
complication. X ll. 681. b. Moyen de traire ceffer la cniiviil-
lion , rinflammation 81C la fievre qui viennent ibuvent à la
fuite de certaines plaies. Caulcs du reflux des matières piii ii-
Icntes. Signes qui caraélérifem ce reflux. Les figues des plaies
divifés en commémoratifs, en diagnoftics, Ibid. 682. a. 8:
en prognoffics. Plaies légères, plaies graves , plaies mortelles.
Quatre états ou tems, cliflingiiés dans la durée des pl.aies.
Cure des plaie? qui font avec perte de (ubffance. Ce
qu’il y a de plus eff'emiel à faire dans la cure des plaies
Ibid. b.
Plaie , différence entre plaie 6c ulccre. XVII , 372. h.
Foyc:^ aufii A bscèS. Différons états par lefquels jtaflem les
plaies. VII I. 643. a. Plaies des aponévrofes,dcs llgumens, des
articulations. X IV . 626. b. Des plaies faites par des armes
empoifonnées. Suppl. IV. 464. b. Des plaies produites par
la morfure ou la piquiire d’animaux venimeux , voye^ Morsure
& PiQuuRE. Des plaies fifliilcnfes, voyc^ Fistule.
En quoi confiffe en général l’art de guérir les plaies. IV,
334. b. Dilatation d’une plaie. IV. 1006. a. D e l’ufage des
tentes 8c des bourdonnets. IL 369. b. XVI. 141. ^ , b. Suc- .
cion d une plaie. 606. b. 608. a. Réunion d'une plaie ; des
moyens employés dans ce but. XIV. 236. i. X V . 76.3. t.
Différence dans les opérations chirurgicales pour la réunion
des différemes plaies. XL 497. b. D e la future. X V . 707. b.
P L A 455
des
A Aiguilles pour cette opération. I. 203. a . Rcmccs
qui rouniüoiu les jilaics. Suppi. I. aob. a. Baiidince noii-
v e a ii, très-pvopro à opérer cette réunion. Suppl. IV. 6 1 1 .
a. d i2 . J. .Moyen employé pour enufbr une révulfion lorf-
que le fang le perd abondamment d,ms lin cb lcffirc drnge-
roufe. X iV . 240. a. Sondes pour les plaies, X V . 333 b.
Oaniperde les fonder. Supfl. III. B83. b. I ) „ panfement.
✓ > cm.oi-.cl par panfer du focrct. X V .
Û06. b. De I ufi.ge des e.npiâires. V. 390. h. Rcmede le pins
Ciicacc pour les plaies coniufos; dos plaies coimifos iinc-
iiouremcr.t ])ar la réfiffance , la fraélurc ou la diffocation
des o s ; deienfif pour les plaies des jointures, IV. 741. b.
Difiercns états des plaies i'cion h-l'quas le chirm-gien doit
combiner les remcdc.s qui do.vonc compofer le digenif. 999.
rf. Remèdes maturaiifs, V . 391. F. fiippuntiE. X V . 681. b.
laies ffmples pour icfquellcs en peut faire uE fc de l'opo-
ba lamnm. XL 5 1 ,. Tndlement des plaies qnï fnppntcnt.
IV . 902. b. Dnu.x fortes de fiijipuration. V i l . 6.4 . .,. Des
contr ouvertures dans le voifma"e d’une plaie. IV i-8 a.
Confohdation d’une plaie. V i l ï . 644, n. Cicatrifation. III.
4 'A b. V i l l . 643. ,7, b. Danger des ciranglemcns dans
ccrt.i.nes j)]aie.s. VU . .fnj. a. E.xcroifiàncc charnue qui s’y
forme quelqucfdi. V lü . 4c5. b. De la régénération dos
chairs. 642. b. 643. a. Moyen de guérir les plaies en tou-
ch.int feulemeiu aux linges qui ont été appliqués fur clics*
I- 71 a .
PLiie.t : des plaies en particulier. Plaies de la fc'.f. Celles de ia
peau du cnn..'. Celles qui font faites au péricrâne. lignes
qui .'innoiiceiit la contufion du péiicrâne ik. fon inlî.iinuia-
ticn. .5.1!. 6S2. b. Comment on prévient l’inflammation eu
p'jiicnine. Commeiu on y remédie. Des bleff'ures ?.u cr.îne.
OiItL-rcmcs fortes de ces blclî'urcs. Lc< principaux eJ'fets que
les coups violei.s puifTcnt produire, font la'coinmOricn 8c
la compreJiion. Traiteniens qu’eilcs exigent; ouvrages à con-
fuiter. Ibid. 683. n. Signes diagnoftics des fraélures du crâne.
Signes prcgnoliics des plaies de térc. Ibid. b.
Plaies de L ure. On les dit plus dangereufes à Paris qti'à
Montpellier. XV'. 47. b. Pourquoi dans certaines bleffures
de ia tête on vomit de la b ile , 736. h. 8c i| l'e répand dans
la cuiffe un engourdiffement. Ibid. Funeffes effets qui peuvent
réfiilter de coups reçus à la tète. S o i. a. Comment
le fait la réunion d’une plaie profonde à la tète. V lü . 644.
a, b. plaies du crâne. IV . 432. u .é . Plaies du front. V IL
338. b. 340. b. Bandage pour envelopper la tête. IV .
422. b.
Pluies de la langue , voye^ RÉUNION.
Plaies du cou. iV . 318. b. Pltiies de l.i trachee-artere. X V f;
Ç03. b.
Plaies de i.i poitrine. Examen à faire par rcipport à celles
qui font pénéiranies. Signes diagnoftics. D e l’iniroduffion de
la fonde dans Li poitrine. Signes de la léfion du poumon.
Des plaies du coeur. Cii'COiiffances qui peuvem retarder la
mo.-f, tou;otir.s caiifcc par ces bleffures. XII. 684. b. Signes
dos plaies du diaphragme. Sur les figues de l’epancbemcnt,
voyer Em p y EME. Prognoffic des plaies de la poitrine, Iîon;ede
à riiillammaiion & à l’épanchement dos matières. Ibid. 6H4.
a . Sur l’ouvcnurc de la veine interccffalc , vayr;; L ig a tur
e .
Plaies de h poitrine ; celles qui pénètrent jufqu’à la plèvre.
XII. 763. a . Celles qui peuvent être guéries par la
fuccion. X V . 607. a . Les plaies qui pénètrent dans la poitrine
donhent fouvent lieu à des emphylbmes. V . 378. b.
Plaies des différentes parties contenues dans la région de la
poitrine , royc^; leurs articles particuliers.
Plaies du bas-ventre. Diffinélions entre ces plaies. Différence
entre celles qui font pénétrantes. Signes diagnoftics,
qui font connoitre fi les plaies font pénitranres, 6c quelle
eff la partie léféc. D e rhuroduclion de la fonde dans l’abdomen.
Symptômes de la léfion de quelques parties intérieures.
Signes auxquels on reconnoit quelle eff la partie olfenfée.
XII. 884. a. Prognoffic des plaies du has-vcutic. Comment
on prévient ou on calme rinflammation. De ia réduélion
des parties qui fe font iffue par les plaies, comme dos in-
teffins 6c de l’épiploon. C e qu’on doit faire lorfque ces parties
font tombées en mortification par l’étranglement de h
plaie : Ibid. b. loi-fqu’elles font blcffées. Régime à obfervec
dans les plaies de l’eftomac 8c des inteffins grêles. Abffi-
ncnce de lavemens dans celles des gros inteffins. encore
fur les plaies, 8c fur-tout fur celles des extrémités, le
mot Suture. Sur celles des artères, le mot A n é v ris .me,
Du traitement des plaies d’armes à feu. Ouvrages à conful-
tci‘. Ibid. 683. b. Sur l’cxti'afljon des corps étrangers dans les
plaies, x'oye^ CoRPS étranger ik EXTRACTION,
Plaies du b.is-ventre, voyc:^ ABDOMEN : celles de la veffie.
XVII, 208. b.
P laies ,{Médec. A'g.) ùnporcance de bien connoitre toutes
les circonihuices qui peuvent indiquer la nature des bW-
l'iiics, leur daugor, leurs fuites, les accidens qui leur font
propres & ceux qui leur font étrangers, Bleffures appeUées
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