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300 N ON
Nonce. Sn préfijance fur tons lus ambaffadeurs. I. 3 20. a. Iii-
fernoncc.Vlll.832.^;.
A'oncc , eii Pologne. Ele^Hon & pouvoir de ces députés des
palaiinats. XI. 216. b.
Nonces de Pologne, leur clcftion : combien ils font refpeélés.
XII. 927. «J , b. Leur iibe/uin veto. 928. è. 931./».
NONCHALANC.'E, {Gmmm.) divorfes obfervations iii-
térelTanics à i'occafion de ce mot. XI. 216. b.
N O N C IAT IO N , /K>r/vv/oeinTc , ( Droit coiiium. ) afte par
lequel on dénonce à celui qui fait é lever un bâtiment, qu’il ait
à ceder )ufqu’à ce qu’il en ait été ordonné par juflice. Quelle
étoit à cet égard la coin unie des Romains. XI. 217. a.
N O N -C üN F üRM IS T E S , { JJ.’jl. mod.') origine de ce nom
donne à plu (leurs (cèles en Angleterre. XI. z i j .a .
N O N L S, {C7irorwl.) Nones dans le calendrier romain.
Origine de ce nom. XI. 217..J.Ü11 comptoir chez les Romains
les jours en rétrogradant. Ibid. b.
Noncs. Vers qui contiemienr les regies du compm par calendes,
noues ides. II. 530./’. / 'ojrt^CALENDRun Ro m a in .
N ones , ( Hijl. ccd. ) une des fept heures canoniales dans
l’églife romaine. C e qui fc praiiqnoit anciennement à cette
heure. Origine de la prière de noncs dans la primitive égÜfe.
Pratique des anciens Juifs à cette meme heure. £n quoi con-
fifte aujourd’hui l’office de noues. XI. 207. b.
None, heure de. XIII. 362. a.
Nones , ( Jurifpr. ) le neuvième des fruits ou de leur v a leur.
Les laïques qui tenoient des terres par concdlion de
l'églife lui dévoient les noues & les dixmes. X L i \ j . b.
N O N IA , (Géogr.) ville d'Italie , anciennement appcllée
Nurfhl. Suppl. IV. 72. U.
NONIUS , {Ferdinund) critiqueefpagnol.il. 236. *1. X VI.
N O N -N ATU R E L LE S , chofes, Médecine) celles qui ne
compolcnt pas notre nature, mais dont l’économie animale
éprouve de grands effets. X L 217. h. Selon Galien il y a fept
chofes nacurellei, & trois contre nature : leur énumération.
Ces diftérenecs chofes font la maticre de la ]>liis grande partie
de la feiencc de la médecine. Reduélion des fix choies non-
naturelles à quatre, felon M. de Sauvage. Ces memes chofes
réduites encore à deux idées fort fimples, favoir, l’aétion des
autres corps fur le n ô tre, & celle de notre corps l'ur lui-
méme. Ibid. 218. .i, Confidérations qui établilîcnt la néceffité
d’une Icience qui preferive .à l’entendement des regies, pour
diflinguer ce qui eft utile ou nuifible à l'économie animale.
Obfervations Sc préceptes relativement à chacune des fix
chofes non-natm elles.
I. De l'air. Il efl d’une plus grande conféqiicnce pour tout
ce qui a rapport à la vie . qu’aucune antre des chofes non- naturelles.
Ibid. b. Etat de l’air le plus favorable à la famé. Quels
font les lieux où il e(I le pins pur. Efpeces de vents confidérés
comme mal-fains. Le v e n t , quel qu’il foie, ed toujours plus
fain qu’un long calme. L’air modérément froid préférable à
l ’air chaud. Les inégalités trop marquées dans l’air caillent .à
1.1 famé des altérations nuifibles. Ibid. 219. a. Plus l’air ed
pelant, plus il ed favorable à la famé , s’il cd en même tems
plus froid que chaud. C e qu’on <!oic entendre par la pefan-
teur de l’air. Sailbns de l’année où les qualités de l’air fo,.t
plus variables. Précautions à prendre au prinicms, en automne
, & dans les tems froids. Ibid. b. Suite des préceptes
fur la m.iniere de fe gouverner [:ar rapport aux viciffitudes de
l’air. Différens moyens qui fervent à corriger les qualités vi-
cieiifes de l'air. Ibid. 220. a.
IL Des alimens 6- de la boijj'on. Quelles font les chofes les
plus propres à fournir une bonne nourriture. Eloge de
la noiiniture tiree des feuls végétaux. Obiérvations fur
I ufage du pain. Ibid. b. Tons les individus qui conipofem
le ri.gne animal, peuvent être convci tis en la propre fubilance
les uns des antres , d’une manière pins on moins parfaite ,
felon que la partie mucide nourricière en ed extraite plus
on moins facilement, & s’y trouve pins ou moins abond.iin-
menc. La fnbdancc imicide qui ic trouve dans les végétaux ,
peut anffi être aifémeiu appropriée aux animaux. Ce n’cft que
cette matière nuicidc, qui dans tout aliment doit être confidc-
réc comme alimentaire. Quelles font les plantes qui contiennent
un fuc mucide qui a le plus de rapport à celui qui fc
trouve dans les animaux. Végétaux les moins propres à nourrir.
Ibid. 221, a. Siibdances qui fourniflent le plus de nourriture
Si de la meilleure. Différons choix des alimens felon la
diverfité des tempéramens, des travaux, des âges, fi-c. fé/V.
h. Coniinem on peut juger que l’on n'a pris dans un repas que
la nourriture convenable. De la incfure des alimens, felon le
temperament ou le genre de vie que l’on exerce. Coinmcm
k s gens riches hâtent la vicillefic par l’abns des alimens.
Quelle ed la boilTon la plus falntnirc. D e l’ufage des boiflbns
fpirituenfes.. Ibid. 222. .:. 11 ed plus nuifible de boire trop peu
que de boire avec excès , fur-tout pour ceux qui ont le ventre
pareffeux. Divers préceptes fur la boüTon. Ufage du vin pour
Jes vieillards. Danger des liqueurs f o r t e s . b. Voyez A limens
, Boissons , b-c.
N O R
III. Du mouvement & du repos, vo ye z Exercice, Mouvement,
Travail, Repos , Oijiveté, Hygiene, Régime. Ibid b. Vraie nie-
fiire de l’exercice qu’on doit faire pour le bien de la famé. Le
trop 6l le trop peu de diUlpaiion nuifent également à l’économie
animale.
IV . De l.i veille & du fonmeil: vo ye z cos mots. Q uel ed le
vrai tems où l’on doit fe livrer au fommeil. Mefure de fa durée
la plus convenable. Maux qui réfultent d’un fommeil ex-
ceffif. Danger de l’excès dans la veille. Ibid. 223. a. Voye^
Sommeil.
V . De ce ijui doit être retenu dans le corps , & de ce qui doit
en être porté dehors. Quantité d’alimens ik de boiffon que prend
chaque jour l’homme adulte en bonne famé. 11 (e fait dans l’é conomie
animale faine unejnde proportion entre la matière
de la nourriture que l’on prend ik celle des excréinens que
l’on rend. Comment fc fait l’excrétion de tout ce qui ed fuper-
flu dans le corps. Déjetlion des matières fécales avam.tgeiife
lorl'qu’elle fe fait une fois chaque jour.- Cependant le ventre
parclfeux ed auili une marque de tempérament robude.
Moyens de corriger le défaut contraire. Pour ce qui ed des
autres évacuations, v o ye z Excrément , Secrétion , Urine
Tranfpiralion , Morve, Aiucûjité , Narines , Crachats , &C.
Hnineurs qui , fans être excréincmicielles, ne lailfent pas
de devenir nuifibles, lorfqu’elles font retenues ou évacuées
en trop grande quantité. Ibid. b. Modération dans l’ufage des
remedes.
V I. Des affeélions de Tame. Changement confidérable qu’éprouvent
dans les organes vitaux ceux qui font vivement af-
feétés de quelque paiiion. Eloignement de toute paffion v iv e ,
iieccifaire à la famé. Aftééiions de l’ame qui ne troublent pas
l’économie animale , &. qui peuvent au contraire conTribuer
autant à entretenir la vie faine, qu’à la rendre chore üc pré-
cieufe. Ibtd. 224. a. Ouvrage à confiilter fur ce fujet. Conclu-
Jion. Cette grande mobilité dans les organes , qui fort à la
famé, ne peut être long-tems exercée (ans fc détruire elle-
lueme. On ne peut fixer une regie générale par rapport à la
façon de v ivre tant morale que phyfique. C e d à l'experience
qu’il appartient de déterminer les conditions qui indiquent le
bon ou le mauvais ufage des chofes non-naturelies. Utilité de
conl'ulccr là-dellus un médecin éclairé. Ibid. b.
Non-naturelles, chofes. VIII. 386. a. Relies à fuivre à leur
égard. Ibid. D e leur ufage felon les différeiis climats. lü . 335.
a. Effets des variations de pel'ameur de l’air fur la (àmé. I.
820. rf, é. Des paillons de l’anie, XII, 149. a , b ,& . . X V .
436. b. du mariage. X. 1 16. a , b. Le plomb coniiJ.ré cominê
compris dans la dallé des chofes non-naturelles. A U . 7 7 7 . b.
N O N N E , ( Hijl. eccL ) religieuié. Etymologie du mot. XI.
224. b. Divenes oblérvauons lur fon Oiigme cx la figniricat.on
pnmiiive. Ibid. 225. a.
NONNE r TE blanche, forte d’oifeau. XI. 22 r. a.
N O NN Ü ô , poeie. X i. 823
N O N O , (Eot.z/j.) efpecc de plante. Suppl I. 8c6. A
N O N O iib T A N C E S , ^Junipr.) daufe uf.rée dans les
provilitms de cour de Rome. En quoi elle conlilie. XI.
N O O D T , {^Gérard) profelTeur en tlroit. XI. i4 J .a .
N O O R D E N , (Géogr.) vilie d’Allemagne. Obiérvations
fur les ouvrage de EybenHulderic, né dans cette ville XI
223.a.
N O O R TW Y C K , ( Guillaume ) anatomifle. Supol I.
409. a.
^ N O PAL , ( Botan. exot. ) plante du Mexique, fur laquelle '
s elevem les cochenilles faiivages 6c cultivées. Differens noms
de cette plante ( O pu n t ia ). Defeription des nopals
du Mexique, 6c de celui qui nourrit la line cochenille Variété
des efpeces de cette plante. Prcfque tous les antenrs nous
ont donne les unes ou les autres efpeces de nopal ou tuna de
leur cüiinoiflance, pour celle qui nourrit la cochenille. XL
223. b. Tiayq C o chenille.
N O R B E R T , ( Saint ) fondateur des prémontrés. X IV .
630. b.
> ( Géogr. ) ville d’Italie. Son gouvernement.
Oülervations fur Quintus Sertorius, 8c fur S. Benoit, fon-
(ateur de l’ordre de ce nom, l’iinôc l'autre nés à Noircia ou
dans fon territoire. XL 226. <z.
N O R D , (Géogr.) origine du nom feptentrion donné à
cette menie partie du ciel. Etoile polaire ou du nord. Divi-
lions qii-a iont les navigateurs de cette partie de l’horizon qu’on
appelle en général le nord. XL 226. b. '
Nord. Oolérvations fur les peuples du nord, de l’ancien Scdii
noirç-eau continent. VIII. 344. b. Explication que donne M. de
^ la couleur bafanée des peuples les plus voifms du
n o rLX IL 216. a. Des migrations des ancienspeuples du nord. •
A V l i . 238. d. Jornandez appelle le nord de l’Europe la fabrique
du genre humain. VI. 698. b. InvaOon des iieiiples
dn nord en occident 6c en orient. Ibid, a , b. Migrations des
Germ.iins du nord vers le midi de la Germanie. VII 643
b. Langage froid 6c dur des peuples du nord, IX 243. a.
D e la prononciation des langues du nord. XIII. 4^8, b.
Meeurs
N O R
Meenrs des .anciens peuples du nord. Suppl. III. 482. b. Ces
peuples avoient une eiîimc particulière pour la v.deur militaire.
XL 173. U. Comment ils vengeoient les injures.
X V I. Ô03. a. Unique genre de littéraiiife qu’ils cultivoienr,
XIV. 737. b. Divinités qu’ils honoroienr. IX. 742. a. Parallèle
des peuples du nord 6c de ceux du midi. 337. b.
338. U. Quelques obfervations fur ces peuples à l’article
C l im a t .— ryyc'îde plus les articles C e lt e s , G e rm a in s ,
ScA.NniNAVls. Des maifons des peuples du novd. Suppl. II.
644. A A n s auxquels ils font le plus propres. Suppl. III.
N o r d , Les pays du nord abondans en bois.
Suppl. I. 383. a. Glaces du nord. X V II . 732. a. Froids rigoureux
qui le font redenur dans le nord , voyrç F r o id
6’ Hiv e r . Singuliers phénomènes obfervés dans ces climats
par rapport an tems du lever Si dn eouchci#dn folcil 6c à
fa hauteur fur l'Iiorizon en certains tems de l’année. XUI.
900. a. Antres phénomènes de ces climats , obfervés en
hiver. I. 888. b. Ufage des traiiieanx dans le nord. X V I .
329. b. Du paffiige par le nord. Suppl. IV. 230. a , b. Vove-
Pa s sage . '■
N o r d , vent du , ( N.ivig.u. ) noms des différens vents vei-
fms du nord. XL 226. b.
Nord, v e n rd n .V o y c iW iz z& XW I . 20. 21. <2. Caufe du
froid de ce vent. VU . 313. b. X V II . 23. b. Froid caiifé par
ce vent. VU . 316. a. Q uel eü le teins que ce vent peut
cmploycrù venir du nord jiifqii'à Pai is,/if,1'. Dans quelle direction
il lüuflo. 3 16. b. Utilité de l’art- du nord pour la coblér-
vation des vins, des viandes 6c desfruits. III. 12. .i.
, commerce du , (Comm.) XL 227. .2.
N O R L A N D , (Geogr) nom de i’uno des quatre grandes
chvilions du royaume de Siiede. Scs bornes. Ses provinces,
bes prodnaions. Suppl. IV . 39. b. Elle compofoit ancienne-
menr un royannie à part. O iieiiie de fon nom./i/i/. 60. .2.
N O R D S T R A N D , (Géogr.^ ifle du Danemarck. Inondations
qm l’ont fubmergée , a quelques endroits près. XI.
N O R F O L C K , ( Géogr.) province d’Angleterre. Son étendue.
Ses prodiiCUons. .Ses rivieres. Son commerce. Sesprinci-
p.i.es villes. O bfervations lur ics ouvrages de deu.x liuéraceurs
célébrés , Walton Briand , XI. 227. a. U Henri Wlia rtoii, nés
dans cette province./if/, b.
Norfokk. Etat de ragricnltiirc dans ce comté 6c de la méthode
qii’on y fuit. IV . 3 64. ,2.
N O R G E S , (Geogr.) village du Dljonnois. Fontaine remarquable
près de ce lieu. Monumens d’amiquité qu’on y
a trouvés, Commamleiie de S. Antoine dans ce village. Cé-
j'emoniü fingnliere qui s y pratiqnoit, 6c qu on y pratique
encore aujourd’hui avec t[uelqiie différt.ncc. Suppl. IV. 60.
No rges , ( Geogr. ) village du pays de Beze en Bourgogne.
Suppl. I. 693. a.
N O R IA , machine hydraulique, voyc^ les planches d’iiy-
tlranllque , \ ol. V.
NO R IQ U E , ( Gcaijr.imc. ) grande contrée entre le Danube
6c les Alpes. Revolutions de ce pays. D e tout tems il a été célébré
par fos mines de fer. X I. 227. b.
Noriqirs. Dieu de ces peuples, appelle Laiobius. IX.
303..2.
NORIS , ( Henri) favant , né à Vérone. X V II . 80. i .
N O R K O P IN G , ( Géogr. ) ville de Suede. XL 227. b. Signl-
ffeation de l'on nom. Oblcrvanons fur Laurent Blanck, né à
Norkoping,6c fnrfcsouvrages./iii/. 228.
N O RM AN D , jnédecin ; la dliVeru ition fur les crlfes. IV
485. b.
N O RMAND IE , ( Géogr. ) province de France. Ses bor-
nes 6c fon ctcndue. Hilloirc de cette province. Sa rlcheffe 6c
6c infertilité. Ses rivieres. Ses diverfes produflions foit naturelles,
foit de l’art. Ses évêchés, abbayes 6c paroiffes. Pairies
6c duchés de Normandie. XI. 228. a.
Aoirnandie , autrefois dke Ncujlric. XI. 118. a. Ori'ûne
du noni de Normandie. Suppl. IV . 33. b. Cette provîtice
inreodée à Rollon , chef des Normands. Ibid. Saiineries de
la baffe- Normandie. X IV . 349. a , b. Cidre de ce pays. III.
440. b. Obfervations fur la icrminaifon en Jlei/r du nom de
jmiiicurs lieux maritimes de cette province. VI. 864. b. Anten
n e cliambre de Normandie. III. 33. a. Chancelier de
Norm.mdie, 102. b. Chartre Normande. 221. b. Contume
bleue de Normandie. IV . 413. b. Sage coutume de Normandie.
4iS.b. Parlement de cette province. XII. 60. a
• Vicomtes. XVII . 239. a , b. Coinpiiraifon de ce que le
Languedoc 6i de h: Normatulic. V l l l . 800.
des ) peuples de la Scandinavie &
<1CS bords de la nier Baltique. Etymologie du mot/Vu,-«,2/7^.
Miüouc dcsmciirfions de ces peuples, 6c de leur établiffe-
0 ' i28./>, Complètes 6c éloge de Rolton leur
chef Ouvrage à confuher. Ibid. 230. .2. ^
^ Ao/w,22irf.f autrefois appelles Sitons. X V . 231. b. Leurs
eruptions on France, i'/in;)/. IV ne b ^
^ A n g lo is .X V n . Cm . b.
N O T l o i
N O R R K A , (,\C'/7c>u/.) forte de granit connu desSuédois
Sa defeription. XL 230. a.
^^''^J^HAMPTü N , ( Géogr. ) ville d’Angleterre. Oiifer-
vations fur deux littérateurs, nés à Northampton 6c fur iciiis
mivragest Samuel Parker : XL 230. ,2. Thomas Woolffom
I F l ‘ 'b réfuté les ouvrages de ce dernier.
N O R TH AM P TO N SH IR E , ( Géogr.) province d’Angleterre.
Son étendue. Ses principales rivieres. Obfervations fur
la vie oc les ouvrages de trois hommes de lettres nés dans cette
F o v in c e ; / canFreind, Daniel W it lib y ,6 c Jean Wilkins.
A l. 230./>. '
N O R TH UM B E R L AN D , ( Géogr. ) province tl’Angle-
terre. Son étendue. Son principal produit. Obfervations fur
la vie 8c les ouvrages de Jean Scot. Incertitude fur le lieu
CIC (a naÜTance. XI, 231. a.
^N ORW EGE , ( Hiß. nat. ) terre rouge de Norwene:
pierre de Norwege. XI. 231. ,2. °
Aurii-c^'e, rats de, XIII. 819./..
N o rw e g e , (Géogr.) étendue de ce pays. X L 231. a.
Etymologie de fon nom. Autres noms que les anciens lui
donnoicnt. Son gouvernement. Qualité 6c prodiiaion du
pays. La iterilité qui rend les pays méprifables, fervit amre-
tois à la gloire de celui-ci. Obfervations fur les NorwC-'uens
6c les Lapons d aujourd’hui. EtahlilTomcnt du chrliliamfme
en Norwege. Divilion géographique de ce royaume. XI.
2 31. é.
A ’jncr^e, souffre dans la mer qui environne ce pays,
y i . 731. b. IX. 843. b. 863. ,2, b. 864.-2. Des monts glacés
de la Norwege. Suppl. 1!L 23 2. ,2.
NO RWÉGIENS , autrefois appelles Sitons. X V . 231. b.
ctabliiîemens au Groenland. Suppl. I. 334. ,2.
N O R U S , conquérant 6c légiflateur de quelques peuoles
Senmiinaves. X V . 2 3 1.C
NO .SO LO G IE, ( A/ô/c'c. ) partie de la pathologie. Etymol.
du nom. Cette partie de la médecine doit fe confondre avec
1.1 fymptomatologie. XI. 231. b. Quelle doit être Ja façon de
piocéder dans l’examen 6c la cllvifion des maladies. Auteurs
célébrés dont rcxemplc doit être liiivi en ce cas. Ibid. 232. a.
Voyc^ PATHOinoîE.
, ( Médcc. ) ou m.dadie du pays. Les Bourguignons
fort fiijets .1 ce mal. Cîroenlandois en Danemarck
qui en furent aiilli aftéèlés. Ce n’cft point la légéreté de l’air
na ta l, ni le fentimeiit infnpportable d'un air pins pefanc qui
en cft le principe. Suppl. IV. 60. .2, Symptômes de cette maladie.
Pourquoi les Suiffes y font fort i'iijets. Plu.« le lieu oii
1 on cft né cft folitaire , plus 011 eft fufccptible de ce nul.
Ibid. b. l'oyc:^ HemvÉ 6c N a TAL.
N O S TO CH , ( Botan. ) efpece de inoulTe. Sa deferipticn.
Origine de fon nom. Lieux oii elle croit. Sentiment finguiivr
des alchymilîes fur cette plante : examen qu’en a fait M. de
Réammir. XI. 232. a. Nature de la végétation du noftodu
Ibid. b. Voyeq T remella.
N O S T R A D AM U S , (Michel & Je.m) freres.XIV. 102.,2'
Suppl. IV. 703. b.
N O T A B L E , (H iß . mod.) obfcrvatîon fur une coimmie
d Angleterre, iorfqiic quelqu’un laiffe en mourant, Jiors du
<-noceis ou il meurt, ce qu’on appelle dans le pays un bien
N O r .A lR E , ( Jurifpr. ) noms latins corrcfpondans. Le
titre de notaire étoit inconnu chez plufienrs peuples de l’ami-
qnité. XI. 232. b. Desaéles 8c contrats chez les anciens Juifs,
ft i-yis fortes de fcribe.s parmi eux. Ariftote no fait qu’un feul
office de celui qui reçoit les fentenccs 6c les contrats. Per-
lonnes publiques devant lefquclles les Athéniens paifoient
quelquefois leurs contrats. Maniéré dont fe faifoient chez les
Romains les contrats d’emprunts, auprès de pcrfoniies publiques,
appellees .2/ge/2/.;rt,'. Obligation où étolcnt ces argentiers
de communiquer leurs livres à cous ceux qui y avoient imércr.
/éi/. 233. a. Diverfes obfervations fur les argentiers 6c lents
fondions. Outre les argentiers, il y avoit encore dos notair
e s , tabellions, Sic. qui recevoient les contrats & autres
aéles publics. Connexité encre les fomftions des noiaire.s 6c
colles de.s greffiers, A qui appartenoie la qualité de notaire.
Ibid. b. Obi'erv aclons fur les notes, dont ces notaires fe fer-
v o ien t , .appellees notes de Tiron. On appelloic ati/n ces notaires
curfores. Efdavcs drefTés à cette façon d’écrire par notes.
Tous les fc ribes publics étoitnt au commencement des efcla-
ves. Pourquoi en France les tahcllionés font réputés domaniaux,
6c fc mettent ftipulans 6c acceptans pour les parties.
Ibid. 254. a. Loin que la fonftion de notaire fût ignoble chez
les Romains , les patrons fe faifoient un devoir de recevoir
les contrats de leurs cliens. D u tems d’Arcadius 8c d’Hono-
n i is , les fonflions de notaires étoient comptées encre lés
ciiarges municipales. Elles étoient exercées gratuitement.
Différence entre les notaires 6c les officiers appelles ac-
tiuirii feu ab aflis. Q u el étoit le pouvoir des notaires chez
les Romains. Méthode des Romains par r ep o r t aux aftes
qu’ils paffüient chez les notaires. IbiJ. b. Ces ufnges paffe-
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