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ce coloffe fut confacré au folcil. Nom de Touvrier qui le
conftruifit. Sa hauteur. ihiJ. b. En quelle année il tomba.
Tems qu'on avoit employé à le conllruirc. BaCe fur laquelle
il étoit élevé, ibid. 257. a. Réflexions de M. le comte de
C a y lu s , fur les moyens dont il a pu être exécuté. Ibid. b.
Les débris de ce cololîé enleycs par les Arabes en 672. Q u elques
auteurs ont cr\i que les Rliodiens avoient été appelles
coloflicns depuis l’ércélion du cololTe. Cette opinion réfutée.
Autres obfervacions de critiqtte. Ibid. 258. a.
Rhodes, co/offe de. II. 442, b. III. 6 59. j , b. X IV . 818. b.
RH O D IEN , le droit, ( Jurifpr. rom. ) loix dc l’Hle de Rhodes
, par rapport aux naufrages. Ces loix furent généralement
obfervées dans la Méditerranée, & Rome on ccconmit
l ’autorité. X IV . 2^8. J. Fragment qui nous en relie. Ibid. b.
Voyc^ Loi Rhodia.
RHO D IGIN US , {^Ludovicus Callus'^ Scs ouvrages. X IV .
406. b.
RH O D O D EN D RO N J ( 5 ot. ) voyez C hamærododen-
DROS.
R H O D OM A N , (^Laurent') littérateur. X V . ^3-5. b.
RH O D O P E , pyramide de ce nom en Egypte.XIII. ?o8, a.
RHCECUS de Sainos, fculpteur. X IV . 826. a.
RHOMBE , ( Hiß. nat. ) nom générique donné à différen-
te5 efpeces de coquilles. Plante dc l’ifle de Madagalcar. XIV.
 hombe, (/cAMyo/.) l'fy ef T urbot.
Rhombe ou Lot^jnge , ( Geom. ) maniéré de trouver l’aire
d'un rhombe ou d'un rliomboide. Rhombe folide. X IV .
2^9. b.
RH OM BO ÏD E , {Ichthyol.) poiflbn de mer. Sa deferip-
lion. X lV . 2^9. b. Romboide , terme de géométrie , terme 3’auatomie. Ibid. 260. u.
RH OM BU S , (Litter.) in finiment magique des Grecs :
fa defcription. On lui attribuoit la vertu de donner aux hommes
les pallions Sc les mouvemens qu’on fouhaitoit de leur
infpirer. Palfages de quelques auteurs fur cette machine. X IV .
260. .1.
Rhombus, (Ch ir .) bandage de figure rhomboidale. Maniéré
de le faire : fon ufage. X IV . 260. a.
RH O N E , le (Ge'ogr.) Defcription du cours de ce fleuve.
X IV . 260. a. Lieu où il fe perd. En quel endroit il devient
navigable. Rivieres confidérables qu’il reçoit. Principales villes
bâties fur ce fleuve. Examen de la queiUon fi ce fleuve appartient
au Languedoc ou à la Provence. Ibid. b.
Rhone : ( Geogr.) correftious à faire dans cet article de
l'Encyclopédie. Ôbfervations fur les bouches de ce fleuve
Si. fur les deferiptions qu’en ont données les anciens. Sitppl
IV . 642. b. ■
Rhône. Etymologie de ce mot. Suppl. IV . 9. h. Source
de ce fleuve. VII. 2 2 5 . Dircélion de fon cours. V I . 868.
b. Mur de Céfar le long du Rhône. Suppl. III. 977.
Moyen propofé pour arrolér, par fes e au x , les terres qui
font à droite & à gauche de ce fleuve, depuis Bcaucaire
jufqu a la mer. SuppL H. 190. a. Nom donné à fon embouchure.
Vins du Rhône, X V II . 291. b.
RH O T A N U S , ( Geogr. ) ville ancienne de l’Hle de Cor-
f e , aujourd'hui Àllaria. Suppl. I. 314. b.
RH U BA R BE , ( 5 or.) Caraélere de la vraie rhubarbe on
de la Chine. Cette plante peu connue encore des Européens.
Provinces de la Chine où croît la meilleure. X IV .
261. d. T ems & durée de fa végétation. Maniéré dont les Chinois
la fontfécher. Saifon la plus convenable pour la tirer dc
la terre. Commerce & tranfport qu’on en faifoit autrefois.
Petite variété qu’on trouve dans celle qui vient de Mofeo-
v i e , d’avec celle qui nous arrive par le commerce des Indes
orientales. Observations fur la rhubarbe de Mofeovie :
on h regarde comme une véritable efpece dc celle de la
Chiiie.^Son ufage. Ibid. b. Différence entre la rhubarbe 8c
le vhapomic des anciens Grecs. Préparation que les Clii-
nois font de la rhubarbe, Jorfqu’ils veulent la prendre en
fubflance. Ibid. 262. a. Lc au efi le meilleur menllriie de
la rhubarbe. Propriétés 8c ufage de cette plante. Ibid b
Rhubarbe. Caraélere de ce genre de plante. X IV . 423.' b.
Rhubarbe blanche. X. 227. a , b. Commerce de la rhubarbe
de Sibérie. XI. 671. a. CathoHcon double de rhubarbe
H. 777 . b.
Rhubarbe bâtarde. (Botan. ) Sa defcription. Lieux où elle
croît. Caraélere de fa racine. X IV . 262. b.
Rhubarbe des moines. Sa defcription. Vertu de cette plante
8c de la rhubarbe bâtarde. X IV . 262. b.
R H U M , liqueur fpiritueufe. Voyer Rum.
RH UM A T ISM E , ( Médcc. ) alFeâion compofée de la goutte
& du catarre. Trois claffes de rhumatjfmes. Siege dc l’humeur
rhumatlfmale. Caufes. X IV . 263. Diagnoflic. Prognoflic.
Curation. Ibid. b. Quelquefois le rhumatifme fe complique
avec la goutte ; s’il fe jette fur les parties internes, il donne
M mort. Neceffiié d’un régime e x a â dans cette maladie.
ibia. 264. a.
Rhumatifme. Les perfonnes expofées à l’humidité fontfu-
R H Y jettes a cette maladie. V . 193. n. Rhumatifme gouttaix caiifé
par un dépôt laiteux. Suppl. II, 701. a. Caufe du froid qu’on
éprouve dans les affcélioiis ihumatifmales. VII I. 324. a. Effet
attribué à 1 alun contre les rliumatifmcs. I. 312. <1. Ufage
des bains dans cette maladie. X. 338. a. Danger de s’expo-
fer à l’air après avoir été faigné dans un rbumatifmc. I. 236..;.
RHUMB. (Navigue.) On compte ordinairement trente-
deux rhumbs. Les rhumbs fe divifeut Sc fc fubdivifent d’une
maniéré analogic aux points auxquels ils répondent. XIV
0.64. a. Ligne du rluimb ou loxodromie. Angle du rliurab
Complément du rhumb. Efpece de courbe que le vailTcau
parcourt, lorfque fon chemin ell entre les points cardinaux
Ligne que décrit un vailTeau poulfo par un vent qui fait
toujours le même angle avec le méridien. To ut ce qu'il cfl
nécclTaire de calculer, cfl la longueur de la ligne du tEiinib
ou le clicmin que le vaifleau parcourt. La loxodromie n’efî
pas le plus court chemin entre deux points donnés, 011 la
plus courte dillance d’un lieu à un autre. Ufage de la loxodromie
dans la navigation. Ibid. b.
R/mmb, voyrç V ents. XV II . 22. a , b. Cartes dreffées par
rlnimbs. II. 7 1 1. a. Solutions de quelques problèmes fur les
nimbs. XI. 36. a , b. 8cc.
RHUME ou Catarre fur la poitrine. ( Médcc. ) Symptômes
du rluime. Ses caufes. Son traitement. Obfervations fur les
mauvaifes méthodes de quelques praticiens. X IV . 263. a,
b. Remecles formulés pour les rhumes. Looch commun aclou-
cifl'ant. Loo ch anti-aflhmatique , bon dans le rhume. Opiac
reflaurant dans le rhume. Ibid. 266. a.
Rhume. En quoi confifte cette indifpofition. IV. 383, b.
Des crachats dans les rhumes. IV . 426. a. Caufe de l’abondance
de l’humeur muqueufe que donnent les rhumes. X.
847. b. Pourquoi l’on ne fent point les odeurs quand on eft
enrhumé. XI. 336. a. D e l’iifage de boire chaud dans les
riuimes. V. 194. a. Spécifique contre les rhumes de poitrine.
X V . 443. d, b. Foyci C atarre & Fluxion.
Rhume de cerveau. ( Médcc. ) Sa définition. Ses caufes.
Prognoflic. X IV . 266. a. Symptômes. Traitement. Ibid, b.—‘
yoyei Enchifrenement.
RH U S , (B o t .) Caraéleres de ce genre de plante. Ses cf-
peces. XIV. 266. b. La defcription des deux principales fe
trouve à l’article Sumac.
Rhus, (Gèogr. anc.) bourg de l’Attique. X IV . 266. b.
RH Y A S , ( Chir.) voye^ Rhoîas. Caufes de cette maladie.
Symptôme qui l’accompagne. X IV . 266. b.
R H Y N D A C U S , (Gèogr. anc.) fleuve de la Myfic afia-
tique. Ses autres noms. Son cours. Médaille où ce fleuve
ell reprâfemé. Navigation de ce fleuve. II eft fameux dans
Ihiftoire, par la défaite de Mithridate par Lucullus. X IV
x 6 j. a.
R H Y TH M E , (Poéjîe latine) Différence entre le metre
6c le rhythme. X IV . 267. a.
Rhythme, (Poéjîe des anciens) voye^ Cadence., IT 31-*
VIII. 32. d , b. M e fu r e ,X . 410. b. Nombre.
A i. 208. b. Difference entre le rhythme 8c le nombre. Supp!.
lu . 306. b. Rhytlime péonique dans la poèfie grecque. XII.
319. d , b. Origine du rhythme en poéfie. Suppl. IV. 4 ix.b.
Rhythme, (Projè) C ’eft comme dans la poéfic la me-
fure 8c le mouvement. Effets du rhythme dans la pro^e,
Origine de la_ mefure dans la profe. C e ft le befoin de rei-
pirer, 6c^ la nécefiité de donner de tems en tems quelque
relâche à ceux qui nous écoutent, qui a fait partager la
profe _en plufieurs membres ; mais ces phrafes coupées doivent
être compofées dc pics convenables. Effets qui en rc-
fultent. Pour quelque efpece deftyie que ce fû t , la mefure
X IV étoient autrefois déterminés par des regies.
Rhythme, (Mufiq.) Ariftide Quintilien diftingue trois
efpeces de.rhythmes. X lV . 267. b. Explication de ce que les
anciens emendoient par rhythme dans la mufique Sc dans la
poéfie. Ibid. 268. d. Selon Voffius, le langa ge moderne cft
peu propre pour la mufique , 8c notre poéfie n’a aucun
rhythme véritable. Ibid. b.
Rhythme , des figues que les anciens avoient pour le
rhythme. I. 237. a. Des moyens d’exprefïïon que fournie le
rhythme. Suppl. II. 923. a.
Rhythme. Le rhythme eft en mufique, ce que la mefure
des vers eft en poéfie. La beauté proprement dite de la
mufique attribuée au rhythme. Deux différentes fourccs
d’où le chant tire fa force efthétique, favo ir, les fons 8c le
rhythme. Pour juger de la nature 8c de l’effet du rhythme,
l’auteur le confidere féparé des agrémens que la mufique
tire de la diverfité des fons , 8c il examine comment une
fuite de fon.s fembiables, tels, par exemple, que ceux des
coups de tambours, peut devenir agréable , 8c obtenir un
caradere moral ou paftionné. SuppL. IV. 645. a. Le com-
nieiicemeiit du rhythme fe trouvera dans le retour régulier
des mêmes coups ; le rhythme le plus fiinpie de tous-, ne
qu’un degré très-foible d’attention. Si enftute
on fait fucceder un coup fort à un fo ible , là commcncern
R I B R I C ce qu’on appelle mefure en mufique : on y trouve une double
uniformité , 8c le premier degré dc changement. Les
divers changemens qu’on peut faire enfuite dans la mefure,
rendront non-feulcmcnt l’ordre des coups plus variés, mais
lui donneront aiiffi un caraélere. A iiifi, une fuite de fons
indifférens en eux-mêmes , pourra devenir agréable, uniquement
par l’ordre de leur fiiccclTion. Ibid. b. Le rhyih-
me n'eft donc autre chofe que la divifion de cette fuite de
fons en membres d’égale grandeur; membres qui ne doivent
pas être uniquement arbitraires , mais fe diftinguer par quelque
chofe qu’on fente réellement. Origine 8c diftinélion des
différentes efpeces de rhythmes fimplcs , 8c de rhythmes
compofés. Origine de la mefure à deux tems , à trois tems,
8cc. Ibid. 644. a. Diflêrentcs efpeces dc rhythmes dans la
même mefure. Détails fur la formation des rhythmes compofés.
De l'origine & des effets du rhythme. Les peuples à demi
fauv ag e, obfervcnt le rhythme dans leurs danl'es , 6c tout
le monde mêle du rhythme dans plufieurs occupations, ce
qui montre qu’il eft fondé fur un ieiuimcnt naturel. Ibid. b.
Remarquons cependant que nous ne demandons aucun
rhytlime dans une fuite d’objets, qui par cu.x-mêmes, ont
delà variété, du changement, 8c eiureiiennciitpar là notre
aélivité. Dans nos occupations , tant que notre ouvrage
nous fournit quelque objet nouveau, nos forces n’oiu pas
befoind’etre excitées par des forces étrangères. Donc nous ne
defirons le rhythme , que lorfque nous éprouvons des fen-
timens continuellement uniformes.— Pourquoi tous les peuples
fc font avifés de donner un rhythme aux poèmes,
quoique déjà variés par les chofes qu’ils contiennent. Ibid.
<>43. a. Vrai lentiment fur lequel repofe l’efl'et du rliytli-
me. La répétition continuelle d’une meme imprdfion , a
feule la force d’entretenir un même fentiment pendant un
certain tems. — Recherche fur la caufe du pouvoir étonnant
du rhythme , 8c de la propriété qu’il a de diminuer la
peine d’un travail continuel 6c uniforme , 8c d’entretenir
8c augmenter graduellement les fentimens. Ibid. b. — Comment
on pourroit par le rhythme donner à une fuite dc
fons indifférens en eux-mêmes, la nature d’un difeours moral
ou paffionné. Ibid. 646. b.
Expojition de quelques principes fur l ’art de bien objerver le
rhythme, 6- de l'ajjorrir aux différens caruRercs de compofi-
tions. I". Des fentimens doux, tranquilles &: continus, demandent
un rhythme lé g e r , facile a faifir, Sc qui refte toujours
le même. 2". Dans les pieces qui doivent exprimer
des fentimens qui changent, il faut aiiH'i choifir un rliyih-
me plus varié. 3'-'. On peut encore plus s’écarter de la régularité
, lorfque le fentiment a quelque choie de conrra-
diéloire 8c de particulier. Ibid. 647. a. 4". Dans les cas
extraordinaires, 8c lorfqu’on cherche à metirc une énergie
particulière dans un endroit , on p eu t , en changeant le
mouvement , changer auffi le rhythme d’une manière
.très - expreftive. 3^’. Autre irrégularité qui confifte à glil-
fer une mefure qui n’appa--tient pas au rliythme ; mefure
pendant laquelle, par exemple, la voix fe tait, tandis qu’un
inftriuneut répété ou imite le dernier trait de chant de la
voix. Ouvrages à confulcer. Ibid. b.
Rhythme, (Médec.) efpece de modui.uion, de cadence
qu’on peut obferver dans plufieurs pulfations. Hcrophile cft
le premier qui ait employé ce mot dans le langage de la
médecine. Analogie qu’il a établie entre la mufique 8c la
doélrine du pouls. X lV . 268. h. — Voye^ Doürïne de Galien
fur le pouls. XIII. 2O7. a. 8cc.
RH Y TH M IQ U E , (Mufiq. anc.) Quel étoit l’objet dc la
rhytbmique. X IV . 269. a.
Rhythmique , mufique. Suppl. III. 917. h. Piés rbythmiques
6c non rbythmiques. Suppl. IV . 370. b.
R I
R IA D H IA T , (H iß. moi. Superß.) pratique fupcrftiticufc
en ufage chez les Mahométans , Sc fur-coiu chez ceux de
rindoftan. X IV . 260. a.
R IB A R , (Géogr.) bourg de la baffe-Hongrie. Ses bains
6c eaux minérales. Caverne remarquable dans'fon voifir.ape.
Suppl. IV. 647. b. °
Ribar, en Hongrie : fourec d’eau minérale dans ce lieu. X.
780. a.
R IB A U D EQ U E R , ( A n milit.) efpece d’arc ou d'arbalète
des anciens. XIV. 269. b.
R IB AU D S , (A r t mi/it.) corps de foldats qui étoient dans
les armées de Philippe-Augulle. Décri dans lequel iis toni-
bet^nt par leurs débordemens. X lV . 269. b.
Ribauds , roi des. ( Hiß. de France) Le mot de ribaud a
été pris fucceffivement en bonne 8c mauvaiié part. X lV .
269. b. Fauchet dit que le roi des ribauds 'étoit un officier
qui avoit charge de mettre hors de la maifon du roi,
CEUX quin'y jlevoieiit ni in.nigEr . ni coiicher.Duiillet ntàeiKl
Tome II.
5 97 que c’étoit le grand-prévôt dc l’Iiutel du ro i, qui ju"coit
des crimes qui fe commettoient à la fuite de la cour. I^oiir-
qiioi il étoit appeilé roi des ribauds. Selon P.if(|iiier, le roi
des ribauds étoit fous Philippc-Augufte , le d ie f ou capitaine
de ce corps de foldats , dont on a jjarlé à l’article
Ribauds. Services que les ribauds 8c leur capitaine rendirent
à Philippe-Augufie en certaines circonftances. Détails
ou entre Palcjuier lur ce fujet. Ibid. 270. it. Quels étoient
les gages du roi des ribauds. Opprobre où il tomba dans la
fu ite , lui 8: la compagnie. Auteurs à coufulter. Jbid.b.
Rib.iuds , roi des. Ses fonélions ; tems ou cette charge fub-
fiftoit. X I ll. 347. a. Obfervations fur cet officier. Supul. IV.
630. a. 66 2 .0 , i.r * 6 6 6 . é.
R ÎB nU M O N T , (Eußa.he de) Voyc^ Eustache.
, (François de) iliéologieu Rholaftique. XIV.
R IC A T I , équation de. (Cakurmtégral)^oym\c>n différentielle
du premier ordre à deux variables, propolêc par le
comte Ricati, 8c dont encore jterfoime n’a donné de folu-
tlon générale. F'orme dc cette équation. Méthodes pour la
folution de certains cas particuliers. Suppl. IV, 648. a.
IIICCIOLI , (J e a n -Bapüße) jéfiiite. Son almagcfte. L
290. a. 792. b. Ses connoilîanccs aftroiiomiques. 791, a. Scs
expériences fur la pefameur. IV. 873. b. X ll. 444. b. Ses
tables. Suppl. IV . 884. b. 893. a , b. 913, b. 922. b.
R IC E Î , ( Géogr. ) crois bourgs dc ce nom dans le Barrois.
Suppl. I. 818. a.
RICH , ( Fourrure ) peau d’une efpece de loup-cervier.
Diflérentes contrées où ces animaux fe trouvent. Leurs différentes
couleurs. P rix exceffif de ces fourrures. X IV . ly i .a .
RICHARDS , ( InfieRolog. ) infeéles repréfentés vol. VI. des
plaucb. Regne animal, pi. 77.
R ICH A RD de Cornouailles, (H iß . d ’Allem. ) fils de Jean
Sans-Terre, 8c d’ifabelle d’Angoulème, fucceffeur de Frédéric
II. Suppl. IV . 648. .1. Voyages qu’il fiten Allemagne,
pendant lefquels il exerça tous les droits de la fuuveraineté.
Son regne fut un rems d’anarcliie. Ibid. b.
Richard I , furnommé coeur de lion, roi d’Angleterre:
fon goût pour les poètes provençaux. XII. 840. b. Article
fur ce roi. SuppL IV . 467. b. Particularité fur fa prifon en
Allemagne. III. 780. b.
Richard 11, roi d’Angleterre. Obfervations fur ce prince
XIII. 79. U.
R ICH E , compofiition, (Pcintur.) Les compofuions riches
font celles où la fécondité du génie enrichit la matière par
la beauté des formes. Détails fur ce fujet. X lV . 271. b.
Rich e , pcnjéc ,(B c lU s - le tt.) XII. 310. j . Image riche.
Suppl. III. 365. b.
Riches. Tous les avantages de la fociété font pour eux.
V. 347. a. Fiineftcs effets du crédit des hommes riches. IX.
767. a , b. C t n’eft pas des gens riches qu’il faut attendre
une population nombreufe. XIII. 97. a, b.
RICHEDALER ou Rixdaler. Origine du nom donné à
cette monnoie. VIII. 866. a.
RICHELE T.(PuTrr Céfiar) Suppl. II. 384.
RICHELIEU, (Armand du PleJJis,cardinal de) Parallele de ce
minillre, Sc du cardinal Mazarin. XII, 636. j .XVII. 306. a. Autre
parallelede ce minillre 8c du comtc-duc d’O livarez. XVI.
427. h. Réduéllon de rintérêt, par Richelieu. VITE 823. b.
Mot fatyriqiie fur un portrait de ce cardinal. X IV . 137. b.
R ICH EM O N D , (Géogr.) ville d’Angleterre. X IV . 271. b.
Son origine. Princes qui l’ont polTédée. Ibid. 272. a.
Richemond, grand bourg d’Angleterre. Maifon de piaifan-
ce dont le roi y jouit. Beauté de ce lieu. X iV . 272. a.
R ICH ER , ( Edmond) fyndic de Sorbonne. Suppl. III.
RICHESSE, ( Philofiophie, Morale ) Signification dc ce mot
appliqué aux biens des citoyens. Ce qu’on entend par les
richelTes d’un royaume, d’une république, 8cc. L'auteur fe
propofe d’examiner ic i, U'. fi les richefles ne détournent pas
néceffairement de la recherche de la vérité; XIV. 272. a.
2°. fl elle n’entraînent pas infailliblement la coiruption des
moeurs ; 3°. fi tout homme riche qui veut préferver de ces
maux fon efprlt 8c fon coeur , ne doit pas fe dépouiller de
fes riclieffes. Les anciens philofophes ne croyoieiu point que
les riclieffes , en elles-mêmes , fuffent néceffairement incompatibles
avec la fageffe. Mais comme ils en jugeoient par
leur effet le plus ordinaire, ils ont cru que le plus fur étoit
de renoncer à leur poffeffion dangereufe ; c’eft ce que Séne-
3ue fait entendre, lorfqifil dit que pour jouir de la liberté
’efprit néceffaire à l’étude, il faut être pauvre , ou vivre
comme les pauvres. Ibid. b. Oii ne peut gucre douter de
la certitude de ces maximes, lorfqu’on voit des pliilofb-
phes, tels que Dcmocrite 8c Anaxagore , abandonner leurs
biens, pour mieux s’appliquer à la philofopbic; 8c lorlqu'on
voit Séneque peindre avec des traits de feu , les maux affreux
que les richeffes caufent à la fociété, 8c les crimes que la foif
de l’or fait commettre. Ibid. 273. a. Auffi le môme auteur
ne craint-il pas d’avancer, que les richeffes font la princi-
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