9 0 0 Z E M
i! ;
Point d’autres loix enir’ cux que les ufages établis par les
befoius. Comment fe Sic eu 17 °';
ftipulant pour Charles XII avec ces barbares. X V ll.
^^ 2A P 0 T , ( Boran. ) fruit vénéneux qui croit dans la
Nouvelle-Eibnene. A rbrequi le produit. X V I I .693.
ZA R A ( g I?'"-. ) ville de.s états de Vemfe , en Dalmane.
Fortiticaiions de cette ville. Ses révolutions. Les anciens 1 ont
connue fous le nom de Judcra. Infcripiion antique qu on y vou.
Zarj^^dcfert d'A frique , voye^ Sa h a r a & Z.\aRA.
ZAREX , ( Gcosr. anc. ') ville du Pèloponnefe dans la Laconie.
Malheurs auxquels elle futexpolée. C e quelle avüit de remarquable.
X VII . 694. <1. » - 1 Z ARM ISO G E TU SA rc^U , ( Geo^r. ,tnc. ) ville capitale
de la Dace. Infcrlpcions qui en font mention. Titres qu on
Im donnoit lorfqu’elle fut devenue colonie romaine. A V ll.
^^ ZA RN A CH , {Hifl.r.at. dis fo ßU s) terme des anciens
Arabes pour défigner l’orpiment. Caraéleres du zarnadi ou
zarnicli moderne. Cette fubllance dillinguée en quatre elpeces.
X V II . 694. é. ,
Z A R UM A , (Gf'ogr.) petite province de 1 Amérique méridionale.
Obfei vation lur fes mmes. Elévation du teircin de
Zaruuia au-deiTus de la mer. X V I I . 695. u.
Z E
Z É A , Botjn.) nous traduifous le mot ^éa des anciens
par épainre ; & ce mot fignirte auffi quelquefois la
plante appeüée Ubanotes. Obfervations fur les divers feus
du mot (ta & fur les équivoques qui en peuvent réfulter.
X VII . 694. b.
ZEBIÜ , ( Giiogr. ) montagne d’Italie au duché de
Modenej elle brûle de tems en teins. Huile de pétrole
dont on voit deux lourccs au pié de cette montagne. X V I i.
696. J.
ZEBRE, {H ifl.n a t.) animal de l'efpece des ânes. Lieux
qu'il habite. Sa defeription. X V IÎ . 696. j . f''oyc[ pl.mcbe2%
du regneaiiimal, vol. VI.
ZED O AIRE , ( Botan. ) racine aromatique des Indes
orientales. C e qu’eu ont écrit les auteurs arabes. X V II . 696. a.
Defeription de deux efpeces de zédoaires qu'on trouve dans
nos boutiques, l’une longue, éc i’autre ronde. Lieux d’oû on
les apporte. Dclcriptiou d’une plante de Ceylan à Jaqucllc
quelques botaniltes croient qu’appartient la racine zedoaire.
Autre efpece de zedoaire donc parle Herman. Analyle de celle
de nos b o u t i q u e s . é . _ ZÉLA , ( Giogr. une. ) ville de l A fie mineure dans le Eont
cappadoclen. Temple d’Anaitis dans ce lieu. Avantage de la
fituation de cette v ille, X V II . 697. a.
ZÉ L AN D E , ( Géogr.) l’ime des fept Provinces-Unies. Sa
defeription. X V l l . 697. SiguHicatioa de Ton nom. HiRoire
des Zélandois. Principales ifies & vdlcs de cette province.
Son étendue. Son gouvernement. Comment elle eii pre-
fervée des inondations de la mer. Ouvrage à coniulter.
JbiJ. b. ZÉLATEURS ou Zélés, {H iß. eccl.) nom donné a certains
juifs qui parurent dans la Judee , quatre ou cinq ans
avant la prife de Jérufaiem par les Romains. Pourquoi on
leur donna les noms de ißUutirs & ifiijfjßns. On croit que ce
font les mêmes qui font nommés/teVûitrni dans S. Matthieu.
X V l l . 698. a.
ZELE de religion , { Tliéolog.) 11 n'y a rien fur quoi les
hommes fe trompent davantage , que dans ce qui regarde le
zele de religion. Pour une fois qu’il peut être louable , on !e
trouvera cent fois criminel. Perfécution attirée fur les chrétiens
, au teins de Tliéodofe le jeune , par le zele inconfidéré
d’Abdas, évêque dans la Perfe. XVII . 698. <?. Maux infinis
qu’un zele dellruélcur a faits à l’humanité. Ce qu’on nomme
zele de religion n’eft fouvent à le bien p efer, qu’orgueil, intérêt
, aveuglement ou malignité. Ibid. b.
Zele. Le faux zele infpire la cruauté ; exemples. IV. 518. h.
Voye\^ Fanatisme.
Zele, (C>«/q./àcr.) divers fens de ce mot dans l’écriture.
X V l l . 699. ‘t.
Z ele, ( Jugement de") chez les Juifs. IX. %ya.
Z E L L , poudrede ,{ P h jrm a c .)X \\\. 189.«.
ZELLER , ( Jean ;anatomifte. Suppl. I. 402. a.
ZEM BLE, la nouvelle, ( Geogr. ) vafte pays ficuéaunord
de la Mofeovie, dont U ell féparé par le détroit de "Weigatz.
Sa découverte eu 1642. X V II . 699. a. Defeription de ce
pays. Obfervations fur fes habitans. Remarques que firent
les Hollandois , lorfqu’ils navigerent , vers la fin_ du
feizieme fiecle , dans cette partie de la zone glaciale.
Jbid. b. Obfervations fur le tems où le foleil quitte ce
climat , &. celui où U commence à reparoiire. Ibid. 700. a.
Z E R Zemble, la nouvelle , autrefois iflo de Tazzata. Suppl. I.
636. a. Obfervations fur les Zembliens. V l l l . 344. b. Ses
montagnes de glace. Suppl. III. 232. a. Journal hiflorique
fur les glaces de ce pays. V I 1 . 6 8 8 . <j. Froid exceflif que des na-
vigateius hollandois y éprouvèrent en 1596. V l l l . 508. E Du
tems où le foleil difparoît & reparoîtdanscecliniat.XIl.900-
X V l l . 7 2 4 .^ , b.
ZEMZÉM , ( Hifl. mod. Superflu.) fontaine de la Mecque ,
qui cR un objet de vénération pour les mahométans.Son origine
félon la tradition mahométane. Les pèlerins vont boire fon eau
par dévotion , & on la tranfporte en bouteilles dans les états
des différens princes, feilateurs de Mahomet. Vertus qu’on
lui attribue. X V l l . 700. é. Voyei Suppl. II. 88. rf.
ZEN D A V E S T A , {Phihfoph. 6> A ntiq.) cet article eft
delliné à réparer les inexnélitudes qui peuvent fe rencontrer
dans celui où l’on a rendu compte de la philofophic des
Parfis en général, 6c de celle de Zoroaftre en paniciilicr : il
efinré des ménioltes de M. Anquetil. Le Zenda veflaed le
nom fous lequel on comprend tous les ouvrages attribués à
Zoroafirc. X V II . 700. b. Miniftres de la religion des Parfis.
Difputes qui agiioient les Parfis lorfque M. Anquetil arriva
à Surate. Comment il fe procura leurs livres facrés. Ibid.
701. a. Livres attribués à Zoroailre , dont la plus grande
partie fu t , dit-on, brûlée par Alexaiulie-le-Grand. Obler-
vations fur ce qui refie de fes ouvmges. Anciennes langues des
Parfis. Ibid. b. Expofé du contenu des livres de Zoroafice qui
fubfifient encore.Zenda Ibid. 702. a , b. va)?.?. Obfervations fur celivre de Zoroaftre IX .847.
b. XII. 4 1 1 . b.
ZEN D ECAH , feéle chez les Oriemaux. XIII. 830. b.
Z EN D lC iSM E , ( Hifl nwd.) fe ac qui du tems deMaho-
met,uvoit des partifans en Arabie, 6c s’oppofa le plus fortement
aux progrès du mahométifme. Dofirine de cette feéIe,relTein-
blanic à celle des faducéens. X V l l . 704. a.
Z E N D lK o u {Litt, orient.) mot arab e, qui chez
les m.iiiométans, défigne un homme fans religion, un impie,
particuliéreracnr celui qui nie la rélurreêlion des corps.
X V II . 704. a. Düélrine des zendicks ou feaaieurs de Maiiès.
Ibid. b. ^
ZEN G , ( Géûgr. ) mot arabe qui défigne cette côte de l’A frique
, que nous appelions le Z-inguebar. Noms des peuples
qui l'habitent. Leur palllige 6c leur écablilTement en Arabie.
X V ll. 704. b;
Z É N ICO N , (B o l.) polfon que les chaffeurs de la Gaule
celtique euiployolen, pour tuer lesbètes qu'.lspourf,..voienta
lachalfe. X V ll. 704. i. , . , • . 1 . ,
Z ÉN ITH , {yijtiim.) le point du ciel qui répond verticalement
aii-cieffus de notre tète. Comme la terre n’eft pas exaélc-
meiu fphérique , on ne peut pas dire propremenr que notre zé-
n i .h , 6c celui de nos antipodes foieiit exaélement oppofés.
XVJI. -03. U. Zénith. Seéleur de M. Graham qui ferc .à obferver les difian<-
ces des étoiles au zénith, quand ellesen palTent fort près. X IV .
87<). a , b. 6cc. ,{Apoflolo ) poète italien. M orceaux de fes tragédies
ou opéras. IV . 153.
Z E N O B IA , (Gêugr. anc.) 1°. ville d’Afie dans l’Euphra-
tenfe. Obfervations hiftoriques fur cette ville. XVII . 703. rt.
2°. Lieu d’ Italie qui fut afligiié à la reiue Zéuobie pour fa demeure.
Ibid. b.
Zénobte. Portrait 8c hîftoire de cette princefle de Palmyre.
XI. 8oi.<i, f. Son éloge. Vaincue par Aurélien. Suppl. I.720. b.
Médaille de Zéuobie. Auteurs qui ont écrit fur elle. XI.
802. a.
ZENOBIUS , général de Mlthridate : rigueur dont il ufa
envers les habitans de Chio. X IV . 796. é.
Z ÉN O D O R E , fculpceurancien.XIV. 828. b.
ZEN O D Ü TIUM , ( Géogr. anc. ) ville d’Afie dans
rOfrhoene. Perfidie de fes habitans envers les Romains
qui firent la guerre aux Panhes fous Crafiùs. XV II . 705. b.
Z ÉO L IT E , {Mincratog'.) extrait d’un mémoire de M.
Cronfiedt, où il donne la defeription de deux pierres d’une
nature toute différente des pierres connues jufqu’à préfent,
6c auxquelles il a donné le nom de xéoiucs. X V ll. 703. i- Expériences
de ce natiiralifie, d’après lefquelles on pourroit con-
jeifiurer que cette forte de pierre n’eft peut-être qu’un fpatli
fufibie mélangé. Ibid. 706. a.
ZÉN ON d'Elée. V . 430. b. X V . 170. b. X V I. 878. b. Sa dia-
leéliqne. IV. 934. b.
Zénon , fondateur de la feéle des ftoïciens. XV. 170. b. i j t .
0.323.6. Sa morale. X. 700. 6. Sa doftrine lur la providence.
XUI. 3 I 3 ..7 .
ZÉOMBU CH , divinité des Vandales. IL 193. b.
ZÉPHIRE , ( Mythol.) un des vents. Propriétés de ce vent
felon les poètes, llparoitque Favonius eft le même vent. Zephirs, au pluriel, vents bienfaifans nés d Aftrseus, mari de
-l’Aurore. XVII . 706. a , b. • -vr
Z É R O , {Arithmétiq.) ft zéro eft pair ou impair. XL
ZERUNB ERTH,
2 I B Z ÉR UM B E TH , ( Bot. ) racineétrangere, très-peu connnè.
Defeription qu’en donne M. Geoffroi. Defeription de la
plante par le P. Plumier. XVII . 707. a. Lieux où elle croît.
Beau violet qu’on tire de fon fruit. Analyfe ciiymique de la
racine de cet aromate. Propriétés du fel 6c du fuc qu’on en retire.
Qualités 6c ufages de cette plante. Ibid. b.
Z E R YT H U S , ( Géogr. anc. ) ville de T iiracc. Caveme de
même nom. XVII. 707. b.
ZÉTHÈS , ( Mythol. ) Zéchès 6c Calais , enfans de Borée ,
& célébrés dans l’expédition des Argonautes. Leur hifloire ,
félon la fable. XVII . 708. <r.
ZET ZE , phyfiologifte. Suppl. IV. 363. a.
Z E V A R I , efpece de plante. Suppl. II. 93. b.
Z E U G IT A N A regio, {Géogr. anc.) partie de l’Afrique
propre , que les anciens divifoieiit en Zeugitanc 6c en
Byfacens; Bornes 6c étendue de la Zeugitanc. X V ll.
708. b.
ZEU GM A , ( Géogr. anc.) ville de Svrie dans laComma-
gene , fur l’Euphrate, avec un pont qui a occafionné fon nom.
Fondation de cette ville & de ce pont. Autre ville de ce nom
dans la Dace. X V ll. 788. b.
ZEUG.ME , ( Gramm.) efpece d’ellipfe ,par laquelle un mot
déjà exprimé dans une propofition ,eft fous-entemlu dans une
autre qui lui eft analogue 8c même attachée. Trois tTpeces
de zeugme. Exemples de ces figures de grammaire. X V II .
709. d. f^o y e ^ lV .y S .a .\l. 768.4.
ZEÜXIS , peintre grec ; fes ouvrages. XII. 263. a , b. Re-
connoiffance que lui témoignèrent quelques peiiplesde Sicile.
V U . 918.4. n n r i
ZE T BO o ii Ceyba , ( Botan. ) arbre du Mexique. Son fruit.
X V I I . 709. b. Z I ZI A ou Zèa , {Géogr. anc. &• mod. ) ifie de l'A rchipel , l'une
dos Cyclades; les anciens Grecs l’appelloienc Céos tL Côs.
( yoyei C é o s ). Par qui elle commença d’être habitée. Cette
ifte devoii être incomparablement plus grande qu’elle n’eft
aujourd’h u i, fi Pline a été bien informé des changeniens qui
lui font arrivés. XVII . 709. b. D e quatre fameufes villes
qu’il y avoit dans Céos , il ne refte que Carthéc , fur les
ruines de laquelle eft bâti le bourg de Zia. Ruines de l’ancienne
ville d’ioulis , connue par les gens du pays fous le
nom de Polis. Chemin par lequel on allott de cette ville à
Carthée. Hirtoire abrégée de fille de Céos. Ibid. 710. a.
Obfervations fur i’ufage établi dans cette ifle , de fe donner
la mort quand on éioit parvenu à Vâge de décrépitude.
V o y e z fur ce fujet l’articU loüLis. Mort volontaire d’une
citoyenne de cette ifle , iffue d’une maifon illuftre. Pline
prétend que ce fut une femme de Céos qui inventa l’art de
filer l’ouvrage des vers à foie ; mais il eft plus vraifemblable
que cette invention vient de fille de Côs , patrie d’Hip^
crate. Ibid. b. Cependant on recueilloit , & on recueilte encore
aujourd’hui beaucoup de foie à Céos. Maniéré de filer
des habitans de cette ifie. Produflions de Zia. Religion
établie dans cette contrée. Defeription du bourg de Zia.
Marbres antiques confervés chez les bourgeois de ce lieu. Ibid.
Z ” *
Z IAM E T 8c Timar^ {H ifl.m iiu.turq.) onentenàpzr ce$
mots des fonds de terre pris par les Turcs fur les chrétiens, 8i
que le grand-feigiicur deftine à la fubfiftance d’un cavalier de
la milice appelle :^aïni ou timarioi. Origine de ces deux mots.
Différence entre le ziamet 6c le timar. Détails fur les zatms
6c les timariots, deux fortes de gens qui compofent la milice
turque. X V ll. 7 1 1 . 4. Leurs revenus. Leurs devoirs par rapport
au fervice militaire. Colonels de ces deux ordres de fol-
dats. Ibid. b. Leur fervice dans les armées navales. Leszaims
font fouvent drfpenfés de fervir fut mer en perfonne ; mais
pour ce qui eft du fervice fur terre , ni les zaïms, ni les tiina-
riots ne s’en peuvent difpenfer. Du nombre de cavaliers
que doivent mener avec eux les zaïms 6c les timariots.
Avantage que retire le grand-feigneur , des terres qui retournent
à la couronne par la mort des zaïms 6c des timariots.
Nombre des ziamets 6c destimars. Ib id .y \i. a. Voyez
T imar.
Z IA Z A A , ( Litholog. ) pierre de différentes couleurs.
X V I I .7 i2 .4 .S e s vertusmervailieufes, felon Ludovico Do-
leo. Ibid. b.
ZIB ELIN E, {Zoolog.) defeription de la marte zibeline.
Lieux où on la trouve. X V n . y l î . J .
Zibeline. Du nom 6c de la peau de cet animal. IV . 601. b. Note.
Z ibeline , ( Hifl. nac. des anim. ) c’eft une des fourrures les
^lus rares. Scs différentes qualités felon les lieux d’où on la
tire. Difficulté de prendre des zibelines en Sibérie , depuis que
les Ruffes ont fait la conquête de ce pays. Hifloire naturelle de
ces animaux. Saifon choifie pour en faire la chaffe. XVII. 712.
b. Détails fur la maniéré dont cette chaffe fe pratique. Ufages
obfervés lorfque la chaffe eft finie. Fourrures de zibelines les |
plus eftimées. Le débit de cette marchandife réfervé aux fou- I Tome II, I
2 I N 9 ô t
verains tl» la Riilfie. Prix des cailTcs & des pamiets au'on en
tan à Péter,b( urg. Ibid. 713. 4. • i n
ZlBEL^E . {Fourrure) pays d’où fe tirent b s zibelines.X v IR
'ibH t ' fanimal qui fournit cette finirriuci
Z IB E T , (Zoo/4g.) voycj; C iv et t e . Cnraftercs qui diffinguent
cet animai de la civette. Suppl. II. 448. b. Sa clallification
4 4 9 - ,
Z IÉ G LER , {J.jcques) mathématicien & théologien. IX.
ZÎEMNOI-POIAS , ( Géogr. ) ce mot ruffe fignifie ceinture
de la terre-. Les Ruftes nomment ainfi de grandes moirta'’ nc3
qui font dans le pays des Samojedos. Leur ijclcription XV II
713.6.
Z IG E TH , Zighst ou Sigeth, (Géogr.) ville de la baffe
Hongrie, une des plus fortes places du pays. Mort de Soliman
i l , au fiege de cette ville. Comté de Zigeth, dont cette ville
eft la capitale. XV II . 713.6.
Z IG -Z A G , ( A n s méchan. ) defeription d’une machine de ce
nom , qui s’alqnge 6c s’accourcit a volonté , & qui peut être
uiilecn uiieintimtéd’occafions.XVII. 714.J,
ZlG-ZAGSû's/4rr4/jc6«, {Fort,ft:. ) X T I I. 71 4. 4.
ZiG-ZAG, allée en , ( ) X V ll. 714. 4.
Z IL IS , {Géogr. anc.) ville de la Mauritanie tingitane
colonie ctpbhe par Augufte , elle dépendoit de l’Efp.-igne
betique, Infcnption qui tait mention de Zitis. X V l l 714.4.
Z IM B I , {Comm.) petites coquilles qui fervent de mon-
noie au-royaume de Congo. Lieu où elles le tiouvent en
abondance &. de la meilleure qualité. Ces coquîll.s Ibnt une
mine d’or pour les Portugais. XVII. 714. 6. {Voyez IX. 262 ).
Z IM EN T -V A SSE R , (Minéral.) nom que les Allemands
donnent à des eaux qu’on trouve qiieiquefoi, prés des mines
de cuivre , & q u i foin légèrement imprégnées des parricules
de ce métal. Obferv-'.tions fur la fource qu’on en trouve près
de New-Sollen Hongrie. Tranfmutarlon appareme du fer en
cuivre par le m oyen de ces eaux. Effet quelles produifent fur
ceux qui en goûtent. X V II . 714. 6. Leurs propriétés médicina-
les. Qualité du cuivre qu’oii en tire. Comment on tire de ces
eaux du vitriol. Expériences quijuftifiem que ces eaux contiennent
une très grande quaiiiité de vitriol de cuivre , dont elles
lont la folution par ie fecoursde l'acideordinaire. Obfervations
fur la prétendue tranfmutation du fer en cuivre opérée par ces
eaux. Ibid. 713 . a.
Z IN C , ( Minér. Chym. & Métallurg. ) caraéleres de ce demi-
métal. Rien de plus inexaél que ce que les anciens auteurs en
ont écrit. Il n’exifte point dans U nature de zinc narif. La mine
qui eu comiencplus abondamment c ’eft la calamine. La blende cil .inffi „ne vra.e mme de zinc. XVII . 7 ,5 .4 . Diffdfemes ef-
pcces de blendes, qui lont lomes de vraies raines de zinc,
t ip e c e de fpa.l, qu, contient auffi du zinc. On trouve auIT. du
Zinc dans le vitriol b lan c ,q u i, quoique rarement, fe trouve
tout formé parla nature dans les mines de Goftar. Maniéré
dont ce vim o l fe fait auflï anificielleiiient à Goft.ar ou au Ra-
mclsberg. Expérience qui montre que le zinc fert de bafe à ce
vitriol. Ibid. 716. 4. Comment on tire le zinc de la blende
Propriété qui caraftérilè le z inc , celle de jaunir le cuivre. Le
laiton fait avec la calamine, devient très - duftile, au lieu
que celui qui eft fait avec le zinc feul, eft aigre & caffanr Différentes
compofitions faites par le mélange du zinc avec le cuivre.
7 6 /4 ’. 6. Réfiiltats de fa combinaifon avec divers métaux.
Comment on l’unit avec les métaux imparfaits. Amalgame du
zinc avec le mercure. Diffolvans qui agiffent fur le zinc. On
peut fe fervir du foufre pour le dégager des autres fubftânces
métalliques. Subftance formée par la diffipation du zinc lorf-
qu’il s’enflamme dans le feu. Chaux de zinc. Propriété phof-
phorique du zinc. /6;7.7i7. 4. De toutes les propriéte^s de
cette (ubftance , on doit en conclure que le zinc eft un demi-
métal , qui contient une terre métallique blanche, 6c beaucoup
de principes inflammables. Le zinc a des propriétés qui
indiquent affez d’analogie encre lui 6c l’arfenic. Ibid. b.
Zmc. Rapport de ce minéral avec la calamine. IL 33g b
A la fonte il ne peut s’unir avec le bifmuth avec lequel d ailleurs
il a beaucoup de rapport. 263. a. Procédés par lefjuels
on tire du zinc de la blende. 281. 6. On peut eu tirer de la
cadmie. 317. 6. Comment l’acide nitreux agit fur ce demi-
métal. 343. 4. Comment on découvre le zinc contenu dans
l’eau. Suppl. III. 473. b. Ufage que les potiers- d’étain en font.
V I . 9. 6. Le fer 8c le zinc ne peuvent s’unir. 496. 6, Le zinc
-confidéré comme fondant. 916. 4. Vitrificarion des fleurs de
zinc ; ce métal eft un fondant du cuivre. 917. 6. Le zinc en
fufion fe calcine même dans des vaiffeaux fermésîcomment
on prévient cet inconvénient. 918.6. D e l’alliage del’étainavec
le zinc. X llI . 183. 6. Travail du zinc , vol. V id e s pianch. Métallurgie,
Zinc.
ZiNG,(/’/i4r/n4C. 6> Mat. médic.)vsTt\i defficativeattribuéeà
deux de feschaux, lepompholix 6c la tuthie, 6càla pierre cala-
mmairc. Uiages qu’on en fait dans quelques préparations plur-
maceutiques. X V I I .7 1 7 .6. *
Z IN D IK IT E , {terme de Relation) fefte mahométane,
T T T T T t t t t t