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134 OP E fpcftaclc jiirqu’a« terns de fa fiippredion cn I7 4 Ï- 4 9 Ç- b. Lc fieiir Monnet a obtenu la pcrmillion dc le rétablir à la
foire S. Germain cn l’année 1 7 ^ Ibid. 496. </.
Opcr.l bouffon , voyc^ INTERMEDE.
O péra italien, {SpefUeU moderne) fon orii’ inc à Florence
jm commencement ou dix-lejnicme fieclc , & Ion entrée en
France cn 1646. Ce genre de poeme n’a été perteéUonné
qu’après que le goût des François a été élevé par les tragédies
dc Corneille & dc Racine. Secours que le font
prêtés Qiiinaut Sc L u lly , cn yavaillant 1 un & 1 autre à ce
genOriete. rXa Ii.t a4l9ie6n. .a. Réflexions fur cette forte dc fpcélacle. V .
'iij.j.S u p p l. 111.826. a.
O PÉRAT EU K, (^C/iirurg.) qualités nécelTaircs dans un
chirurgien conlidcré comme opérateur. Deux fortes d’opérations,
celles qu’on peut apprendre fur les cadavres
celles qui font appellees cas Je c/nrurgie. Les premieres lout
cn ciès-pctit nombre, & le tems qu’il faut pour acquérir
la facilité d’exercer ces opérations, cil fort borné. Le manuel
des opérations n’cll point l.a partie la plus difficile i't
acquérir. La vue d’une opération cil très-peu capable d'in-
ilruire un élevé, X L 496. /■ . ü n n’apprend efléntiellemcnt
l’art d’opérer que par la leélurc réfléchie des auteurs qu'dont
le mieux traité cette matière. Qualité qu’exige Lanfranc
dans un chirurgien. Tempérament général dn corps qiill
faut obferver dans le traitement des maladies chirurgicales.
Ibid. 4 9 7 - ‘t. Attention partiailicre à la complexion des parties
fur lefc|uellcs il s’agit d’opérer. Différence d’opérations
poiirlaréimiondesdifférentesplales. JbiJ. b.
0 PÉR.4 .T 1 0 N , {Logup) Quatre opérations de l’cfprit.
Ordre de leur génératioji. XL 497. é.
O péra tio n , Penfée, Perception, Senfation , Confcience ,
Idée , Notion. Différences qui caraclériiént ces mots. XII.
OpÉitATiON, ( TJtéohg.) Deux opérations cn Jefus-Chrift,
Lune divine &. l'autre humaine. XL 497. b.
O p é r a t io n , (C'/i/r. ) Quatre fortes d’opérations diffin-
giiées par les noms de jyntheje , dc diérefe , d exerefe dc de
p.'oreje ; voye z ces mots. Souvent pUilieurs de ces opérations
fe trouvent réunies cn une feule. X L 497. b. Quatre
•chofes que preferivent les auteurs fcholalliques fur les opérations.
C e qui doit le laite avant, pendant & après 1 operation.
Choix de certaines failbns pour quelques opérations
particulières. Qualités néceffaircs à un chinugien outre l’art
d'opérer avec habileté. Ibid. 498. .r. Opér.ition. Ufage d'appliquer la neige pour éteindre le
Sentiment d.ms un membre fur lequel le chirurgien veut
opérer. XL 88. b. Eniamnres faites dans certaines opérations.
V. 7 17 . b. üfages dc la chaife cliirurgicale pour di-
verfes opérations. IL 303. dv.
O pér a tio n cryijr/r/:/,’r. Enumération des cas où cette opération
doit être pratiquée. XL 498. é. Nouvelle manière de
la faire, par laquelle on évitera le iré-,-dangeicu.x inconvénient
de bleller les iiuéflins. Ihïd. 499. j . Voyc^ CÉSARIENNE.
Opération céfarienne , ( Méd. leg. ) differens cas dans
Icfqucls on la pratique ; 1". dans une femme morte d accident
ou fubitement, dans la vue de conferver ou de
baptifer l’enfant qu'elle porte; a", dans une femme en v ie ,
lorfque l’enfant mort dans fon Icin , nen peut être tiré par
aucun autre moyen ; 3“ . dans une femme mal conformée ,
qui ne peut accoucher par les voies ordinaires , fans expo-
fer la vie de fon enfant. Suppl. IV. i6 z . b. Examen des
circonflances qui peuvent rendre cette opération légitime,
ou engager à la fupprimer dans chacun dc ces cas. Ibid.
163. a. Réjsonfe à cette qiieflion médico-Lgale, à laquelle
l’opération cél'aricnne peut donner lieu : un foetus dc Icpt
mois , tiré vivant du fein de fa mere par 1 opération , doit-
il être cenfé viable , on avoir acquis le terme néceiiaire
pour jouir des privileges dc la fociété ? Ibid. b.
O p ér a tio n s chynuques. Opérations proprement & effen-
ticllcmcnt chymiques. Opérations fimplcmcm préparatoires
& méchaniques. Difficulté dc conliruire un lyfféme régulier
philofophique des opérations chymiques. La divllion
la plus naturelle eff celle qu’on fait en opérations divi-
fantes, en opérations imillantes, X L 499. a. &. cn mixtes.
Subdivifion de ces opérations en quatre fortes , lavoir les
aggrég.itivcs, les difgrégatives , les combinantes ou mlxti-
v e s , 6c les réfolvantes. Opérations aggregatives. Ou doit rapporter
à cette clalfe , le rcfroitllffement des vapeurs par lequel
on les réduit cn état de liqueur, la fufioii , Ibid. b.
la fublimacion , rinfpiffation , la cryflallifation , 6c la concentration.
Opérations dijgrégdtives. On rapporte à cette clalfe,
Ja dilTolution menftrunlle l’uivie de la précipitation , la va-
porifation , Ibid. 300. a. la fiiblimation dc certains corps denies
qu’on convertit cn fleurs par ce moyen , l’éliquation ,
toutes les d'peccs de départs 6c de purifications des métaux
parfaits, 6c enfin la reéfification. Opérations inixtivcs.
Oiï doit compter parmi cellcs-ci, la foliuion , diffohition
O P H
en folutlbn humide , la vaporation , la folutioa par voie
fechc ou par fufion , Ibid. b. la vitrification & enfin la
rédiiilion. Operations refolvantes. Elles fe fubdivifent en
celles qui s’exéciircnt par la feule force du fe u , 6c en celles
qui s’exécutent par les menfinies, qui luppofent toujours
la coopération du feu. Du premier genre font l’ab-
firaélion , rédnlcoraiion pinlofophique , Ibid. 301. it. & enfin
toutes les efpeces d'incendie. Du fécond genre font toutes
les précipitations. Opérations mixtes ou complexes. Opérations
préparatoires & méchaniques. Ibid. b.
Opérations chymiques. III. 417. a. X llI . 402. b. Effets diî
l’air dans plufieurs de ces opérations. I. 234. b. Maniéré
de gouverner le feu. VI. 609. a , b. Inftrumens pour les
opérations. VIII. 803. a. Opérations méchaniques 6c leurs
inffiTimens. Ibid. C c f l fouvent des circonflances du manuel
que dépend tout le fuccès d’une opération. X.60. j .
Opérations pharmaceutiques. X ll. 491. b.
OPHIOGLOSSE , l^Uotan.) elpcces ou variétés de ce
genre. Defeription de l’ophiogloffc ordinaire. Lieux oit cllû
croit. Propriété de cette plante. Maniéré de la préparer.
XL 302.II.
ÜPHIOMANC IE , (D/vi/iJf. ) étymologie du mot. En
quoi confifloic cotte divination. Exemple (ju’on en trouve
dans l’Enéide. XL 302. ... Origine de l’ophiomancic , félon
M. Pluclie. Anciens peuples qui avoient le l’ecrei d'endormir
6c de manier les ferpens. Cmilnme ([u’.ivoicnt les
P fy lle s , d’expofer leurs enfans aux céraftes, pour connoî-
tre s’ils étoiem légitimes. Dilfertatlon à confulcer fur cette
maticre. îbiJ. b.
ÜPHIR , {Gcogr.facr.) pays où les flottes d’Hirnm 6t?
de Salomon alloiem tous les trois ans, 6c doù elles rap-
portoient quantité d’or. XL 301. b. Divers fentimens des
interprètes l'ur le lieu où étoit Ophir. Confidérations qtii
rendent trés-vraifemblable l’opinion qui place Ojjhir fur la
côte orientale de l'E thiopie, entre te pays de Sophala inclu-
fivement 6c le détroit de h mer Rouge. Ibid. 303. a.
Ophir. En quelle contrée on doit placer le lien dc ce nom
d’oii Salomon tiroit fon or. X. 328..;.
O PH IT E S , {H iß. Culte) anciens hérétiques fortis des
gnofliques. Etymologie dc leur nom. Leur doéfrine. Les
fethiens étoiem les mêmes que les ophites. Efpcce dc prodige
par lequel les prêtres des ophites leur cn impofoient.
XL 303. .2. V alentiniens.
O phite on Serpentine, {Hiß. nat.) voye^ ce mot. Efpc-
ces de marbres que les anciens appelloient de ce nom. XI.
303. t.
OPHIRIS , ( Potan. ) carnfleres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription de la plus commune. XL 303-é.
OPHIUCUS ou le Serpentaire, { Hßron.) conflellation
boréale. Ses autres noms. Son origine. Suppl. IV . 164. a.
Détails fur lesalignemens des difi’érentes étoiles d’ophiuens ,
par leiqucls on peut parvenir à les diflingucr dans le ciel.
Ibid. b.
Ophiucus. Moyen de connoître cette conflellation. Suppl.
II. 368. a. Nouvelle étoile d'Ophiiicus. 896. a. Foye:^ Serpen
t air e .
O PH N I , qui couvre, OU Phinées, { Hiß. facr. ) fils dti
grand-prêtre Héli. Leur caraélcrc. Péché qu'ils commirent
devant le feigneur. Criminelle indulgence de leur pere, Pn-
niiion d'Heli 6c de fes enfans. Suppl. IV. 164. b.
OPFITHALMIE , ( Chir. ) maladie des yeux. Etymologie
dn mot. Oplulialmie humide , & ophtnalmie feche. XI.
303. b. Caufe immédiate dc l’ophthalmie. Remedes 6c pré-
fcrv.atif’s vulgaires contre ces maladies. Méthode que fuivent
les modernes. Divifion des ophihalmics en internes 6c en
externes. Defeription dc fix dift’érentes maladies particulia-
l'cs dc,s yeux. Traitemens qu’elles exigent. Auteur à coafiil-
ter fur les oplithalmies. Ibid. 304.-7. Ophtlulmie, inflammation de la conjonflivc. III. 874. b.
F.fpece d’ophthaliiiie appellee chemofis, 283. a. hémalopie,
VIII. i io . a. fderophthalmie. X IV . 800. a. De l’application
des remedes aqueux fur l’oeil : premier auteur de ces
remeclcs : inflrumens qu’il inventa pour cet ufage. II. 124.
b. Dc l’ufage de quelques remedes qi^tiiahniqiies : de la
grande chclidoinc, V . 269. a. du fviiMÉÉj^ VI. 492. a. co llyres
, III. 642. b. véficatoircs. X V II . 2 ^ . “. 203. a. Remedes
ophthalmiques pour rinflammation feclic des yeux.
653. -2.
Ü PH TH A LM IQ U E , {A natom .) Defeription des nerfs
ophthalmiques. XL 304. b.
Opiuh.ilmique , voye^ fur ce nerf. XVI. 643. a. A ncre
ophtiialmiquc. Suppl. II. 248.-2.
ÜPHTHALMIQUE, pienc , f Mat. médic. ) XII. 379. h.
O PH TH A LM IT E , furnom de Minerve. XVI. j6.b.
O PH THALMOGRAPH IE. Indication de trois differens
traités qui portent ce titre. Etymologie du mot. XL
304. b. ÔPHTHALMOMETRE , {Anatom.) infiniment invonté
parM. Petit. III. 62. b.
O P I
O PH TH A LM O X Y STR E , ( Chir. ) inflmment de chînir-
gie. Petite broffe très-utile pour la fcarification des yeux.
Nil. 304. b.
O P IA T E , ( Pharmac. ) origine de ce mot. Ce qui a été
dit nu mot éleâuaire , fur l’éleéluaire officinal , convient
parfaitement à l’opiatc. D e la manicre d’adjiijiiiflrer ce re-
inede.XI. 303.<2.
F O piate de Salomon, {Pharm. M.tt. médic.) fa compofi-
tion. Oblervation fur certaines tépétitions puériles de mè-
üies ingrédiens qui entrent dans cet opiate felon la pharmacopée
de Paris. XL 303. a.
O PIC IEN S , vqyt^^OsQUES.
O P IL A T IO N , ( -fL'j’ec’, ) voyir^ Pales couleurs, Splé-
NÉTIQUE. Dépravation d’appétit qui accompagne l’ouvent
cette maladie. XII. 344. b.
O PIM ES, Dépouilles, {Antlq. rom.) étalage qu’on f.ii-
foit des dépouilles militaires. Diflérenccs entre ces fortes
dc trophées 6c les dépouilles tirées du p.liage des villes.
Fabius Maximus loué de ce qu’il avoit laill’c aux Tarentins
les tableaux 6c les flatues des dieux. La gloire dc tuer dans
le combat le chef des ennemis , 6c de lui enlever fes armes
, étoit très-recherchée. Loi de Ntmut fur les dépouilles
oplmes. Signification du mot opime, Defeription que
donne Pluiarquc dn triomjjhe de Marcellus après qu'il eut
défait les Gaulois, 8c tué leur roi Viridomare. XL 303. é.
Quels font les trois capitaines romains qtti ont remporté
les dépouilles de» roi.s do leurs ennemis. Un limpli, ibldat
pouvoir remporter les dépouilles opimes, 6c les confacrer
à Jupiter Féreiricn. Erreur de Plutarque fur ce fujet. Ibid.
506. a.
OPIMIEN , vin, {L in .) Quel efl cc fameux vin que les
poètes ont immonalilc. X!. 306. a.
OPINER i/«i la main , {Anttq. grecq.) Manière d’opiner
chez les Athéniens. Comment Cicéron s’i.n moque. Obfer-
vations fur le décret appcllé pfeph'jhu. XL 306. L
Opiner. Deux m.mieres d'opiner chez les Athéniens. IX.
117 . a. X V . 639. a. Sénateurs romains qui n’opinoient point
ordinairement. X ll. 324. b. Dilpcnfe pour opiner. IV.
1041. i2.
O P IN IÂ TR E T É , Obffination, { Synonyme ) Différence
entre ces mots. O blcrvations furces deux défauts dn caraêlcre
X L 306. b.
O piniâtreté, Entêtement, {Synon.) XVII . 7TO. i.
OPINION , {Logiq. ) dériultion. XL 306. b. On foutient
communément tians l’école, qnc l'opinion n’efl pas in compatible
avec la fci^ncc fur un même fujet. Obl’crvaiions
lur cette propofiiion. Différence entre la fcicncc 6c l’opinion.
Ibid. 307. a. Quelle efl la forte d’obfcurité cireiuielle
à 1.1 io\.Ibid. b.
Opinion. Différence entre opinion , femiinent, avis I.
879. a. XV. 37. b. entre opinion , penfée , fentimenr. X ll.
309. a. Des opinions vraifembla!>les. X V ll. 482, b. Autorité
de l’opinion. IX. 360. a. Caiifcs de la diverlité des
opinions felon les feeptiques. V . 8 31. b.
O pinion dangereuje, { Tiieolog ) II 820.-2.
O pinions, {Jurijpr.) avis de cli.ique juge.’ XI. 307. b.
Dift'érentes maniérés de recueillir le. opinions , clicz les
Grecs 6c chez les Romains. D e la manière d’opiner en
France dans les differens confeils 6c triiiunanx. Du partage
d’opinions. Ibid. 308. a. Secret qu’on doit obferver par rapport
aux opinions./i;d. b.
Opinion. Dn partage d'opinion en matière civile Sc en
matière criminelle. lU. 730. b IV. 833. b. 856. a. XII.
86. a , b.
O PISTH O D OM O S , {Antiq. grecq.) nom du lieu du
tréfor public d'A tbenes. Origi e de ce nom. Détcnf'c de
propofer de touclier à cc tréfor. Dieu.x iiKélaircs de ce dépôt,
6’c. XL 308. b.
0 I*1 S 1 H O TO N O S , {Médcc.) ef[)ecc dc convulfion, qui
plie tontes les parties du corps en arrière. Deicripiion lie cette
maladie. XL 308. b. Prognollic. Fhyc^-en Ic' caufe» aux mots
Convuljion, Spafme ; oii vous trouverez auffi le tr.iitcnient
qu’il Convient d’employer. Autres direélions l'ur le traitement
de cette maladie. Ibut. 309. a.
Ü P IT IU S , {b,bU d•)\\.^% A.a.
O P IT Z , poeie allemand. Suppl. IV. 447. b.
O PIUM , {Hijl. nat. des drog.) fous ([uelle forme nous
le recevons. Lieux d’oîi il vient. XL 309. u. Choix du meilleur.
Deux fortes de fiic de pavot l'elon les anciens. Quel
efl celui que l’on nous fournit aujourd’hui. Defeription de
la plante dont on le tire. Comment on le recueille. Ibid. b.
Comment on le prépare cn Pcife. Aut e manière de le
préparer. Manicre de faire une h([Ueur célèbre chez les Per-
les , appeliée cucomar. Autre forte d’o|)ium dont parle
Koempfer, qui réjouit, 6c qui caiilc une agréable ivrefl’e.
Opium, métliode du doéleur Hervei pour tirer l’opium
des tetes de pavot. X V I . 132. t. Lien d’où l’on tire le
meilleur. Suppl. 1 . 33. b. Opium qui fc fait à Java. 863. a.
O P P 333 Confidérations fur Jc ï effets de l’opium. .S'i/p/iJ. IV. 8 0 8 .- ,
b. 809. a. Son cfl'ct fur les dervis. IV. 871. a. Emphure
d opium contre les maux dc dents. V. 392. .1.
tidaO.pium cyrénaïquc, {Mat. médic.) nom donné à l'ajlu fat- XI. 310. a.
O I^O BALSAM UM , {H iß. des drogues) forte de refine :
Delcription de la plante qui la fournit: lieu où clic lé tr.ni-
ve. Defcrijition de rojjobalfamum. Caraéltres de celui qui efl
naturel 6c récent. Q uel efl celui que les anciens recucilloiem.
Deux efpeces de ce baume, aujourd’hui reconnues. Ma-
mere.s de les recue-illir. X L 310. b. Maladies dans lefqucllcs
on emploie ce baume. Comment les Egyptiens s’en fervent
j)our fc rendre la peau douce 6c polie. Compofltion du lait
virginal avec cc baume. Noms que lui donnent lc.s médecins
dans leurs ordonnances, Ibid. 311. a. Obfcrvntions
fur le fen.s du mot hébreu t^ori, ([ue nous avons traduit par
celui de b.utme. Semimeiit de l’auteur fur le ^0/2 de Ga-
laad. Etymologie du mot opobalfamum. Ulàge qu’on fait de
cc baume dans la thériaque 6c le nuthridatc. Quel en cft
le prix fur les lieux. Ibid. b. gétOalP. OSeCsA fRmPieAllSeUs Mef f,e t{s.H iß. des drog. anc. ) forte de fuc véXL
3 1 1, b.
de OceP OnoDmE. LOIObfCerHva ,t io(/nM ,f2u72r/ 2.f e) sc opmropporifélttiéosn. de l’emplatre XI. 311. b.
O PO P AN A X , ( Hiß. des drog. ) force de fuc végétal. Souj
quelle forme on l’apporte. Choix du meilleur, l'nteniuide
lur la plante d’ofi on le tire. Scs propriétés. Principes qui
cmrem dans fa compofiiion. XL 312. a.
O PO R IN , {Jean) imprimeur. VIII. 628.-7.
O P O R T O , moyen de donner à un vin la couleur dc
celui d’Opono. XVII. 293. b.
OPOSSUM. {H iß .n a j.) l'ove^ Ph îl a n d r E; quelques-
uns regardent le taiibi comme le mâle de l’opofum X V .
832./..
O PO S S T , {Botan.) cfpccc d’arck. Suppl. 1 . 340. <7 b.
O P P IA , loi. IX. 6C6. a.
O PP ID U M , {Litt. Géogr.) Ie.s anciens employoient indifféremment
les mots urbes ÖC opida. Etymologie du mot oppidum.
XI. 312. b.
O PP IL AT ION , ( Médcc. ) fignification littérale de ce mot.
Acception fous laquelle on l’emploie aujourd'hui. XL 412.
b. Voye:^ PALES-COUI.EURS , PlCA , MaRIAGE.
OPPIUS , récompenfe de fa piété envers Ion pere. X V I .
673. a.
O P P O S A N T , tiers- (^Jurifp.) X V I . 323.-7.
OPPOSÉ. ( Logiq. ) Différence entre oppofé 6c contraire.
IV . 121. b. Propofitions oppofées. XIII. 479. <7.
O p po s é s , {Géum.) angles oppofès au Ibmmct. XI. 312,
b. Angle externe oppofé. Angle interne oppofé. Cônes op-
pof’és. Scélions oppofées. Ibid. 313. a.
O p p o s é , {BLifon) XL 313. -r.
OPPO SER, {Gramm.) XI. 3 1 3 .-7.
O p I’O.s e r , { Efcrime) rwer avec oppofition. Détails fur
cette manicre de tirer. X L 313. a.
O PPOSITION. {Aßronom.) Oppofition de Ja lune au
foled. Eclipfes de lune dans cette circonflance. Mars dans le
tems de Ibn oppofition avec le foleil, efl beaucoup plus
proche de la terre que du foleil. X L 313.
Oppoßtiou , étoiles cn oppofition. IV . 16Ö. b. Oppofition
de la lune au foleil. Uoye:^ S y ZYGIE.
O p p o s it io n , {Rhéioriq. ) figure de rhétorique. Elégance
de cette figure. Exemple tiré de la Henriade. XL 313. b.
Voyei OxuMORON.
O p po s itio n , ( lurifpr.) XL 3x3.
Oppe/îrien , converfion d’appel cn oppofition. IV. i66. b.
Débouté d’oppofition. 637. b.
Oppofition .i fin d'anmdler. Elle (ç fait par rapport à la
forme, ou par rapport à la maticre. Par qui cette oppoft-
tion peut fc faire. XL t,t'].b.
Oppofition <7 fin de conferver. Cctie oppofition efl reçus
par-tout jufqu’à l’adjudication. XL 313. b.
Oppofition aux criées: X L 314. a.
Oppofition au décret volontaire ou forcé. XI. 314. a.
Oppofition <7 lu délivrance. XL 314. a.
Oppofition à fin d'hypotheque. XI. 314. a.
Oppofition à un arrêt. XL 314. a. Voyc^ Rebellion.
Oppofition à fin dc charge. XL 314. a.
Oppofition aux lettres de ratification. XI. 314. a,
Oppofition mendiée. XL 314. b.
Oppofition à un maritge. Regiflrcs où les curés tranferi-
vent ces fortes d’oppofitions. Ils doivent faire figner les op-
pofitions par ceux qui les font. Quelles font celles donc
l’official peut connoître. XL 314. b.
Oppofition à l'ordic. XL 314-^.
Oppofition à une faific. XL 314. b.
Oppofition au jce.iu. Epoque de cet ufage. Effets de ces
oppofitions. Deux fortes d’oppofitions au Iceau ; l’opi>ofuion
au titre , 6i celle à fin de conferver. XL 314. b. Des
formalités qui les concernent , &- dc leurs effets. Ibid.