1 ^6 LOU O L , U c LUC 147
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ncccffaires tous les moyens de d cftniilion Cju’on a imaginés.
Ihid. b.
Loup. De la cliaffe de cet animal : les rois de France
Toin encouragée. 111. 217. b. Aiguilles dont on le lervoit
à cette chaire. I. 207. u , b. Battue , manière de chafl'er au
loup. II. 160. b. Chambre , efpece de piege qu’on lui tend.
111. 65. .1. Inftinél 6c rufesqu’il rnanifcfte lorl'qu'on le chade.
VII I. 796. >2. En quel teins les loups furent détruits de
l'Angleterre. IX. 181. Moyen de di/linguer les traces
d’un vieux loup de celles d’un chien. X ll. 561. b. Différence
entre les pics du loup Sc la louve. 562. <7. Comment
on rcconnoit les jeunes loups au pié. Ibid. Sur la chalVc
du loup , voyc^ vol. I ll des planches j ChalTe , planche 5 ,
16, iS.
Lüup. [^Mat.mcdic.') parties médicamenteufes du lou p ,
felon réiiumération de Schroeder. Prétendue propriété des
hochets faits avec une dent de loup. De la graill'e de loup.
Propriétés attribuées au foie de cci animal. On airure queli
on frotte les brebis avec ia tieiue , il ne leur fait plus aucun
ma). IX. 702- b.
Lo u p . ( P illa. ) Ufage de fa peau garnie de fon poil. IX.
703--î-
Lo up rr..ir:ji. (^Hiß. nul.') Sa delcription. IX. ” 03. ■ ».
Loup-cervur , contrée qu’il habite ;fes differentes couleurs :
fourrures qu’on en cire. X IX. 271. a.
L o u p , ( Jß^on. ) IX. 703. a.
Loup. ConAcllarion méridionale. Siippl. III. 803. b. Son origine.
Nombre de fes étoiles. Afcenfion droite & décliiiailon de
la principale. IbU.So^.a.
L o u p . ( Bbfon ) Maniéré de le repréfenter. Loup lampaffé,
armé , raviffant. Suppl. III. 804. a.
L o up , ( Géopr. ) riviere de Provence , qui fe jette dans
la Méditerranée. Infcripiioii trouvée fur fes bords. SuppL.lW.
804. .7.
L o u p . ( Chym. ) Pourquoi les chymiftes ont donné ce nom
à l'ami moine. IX. 703. .7.
L o u p , ( Ckhurg. ) cfpccc d’ulccre aux jambes. IX.
703. .7.
Loup-gjroü. Hiß. des Superß.) Pline parle de cotte opinion
populaire , que les hommes pouvoient être changés en
loups. Gilles Garnier condamné au feu en 1574 pour s’ètre
clungé en loup-garou. IX. 703. ii.
Liuip-gatüu , rcyt-ç ce qui en eff dît aux mots Fafciuation ,
Lyc.2nihropc (k Lyc.utthropie.
Lo u p , [A n mikt. ) niadiine des anciens. IX. 703. a. Foyc:^
C o r be au .
Lo u p . [Pêche) Defeription de cette forte de filet, IX.
703. U. & de la manière de s’en fervir pour la pèche. Autre
forte de filet de ce nom, qu’on appelle verveux dans le canal de
la Manche. Ibid. b.
L o u p . ( J.irdin. & Botan.) Dent de loup. IV, 843. L Pié de
loup. XII. 360. a.
L o u p , ( Lin. ) figure fymbolique. X V . 733. b.
Loup , dent de , [ Sermr. ) IV. 843. L
L o u p , patte d e, [ Ecrivain ) XII. 188. a.
L o v p s m.2rins ,tßes .aux , [Geofr.) VIII. 922.0.
LOUPE. ( Dlopi. ) La loupe grofiit d’autant plus les objets,
que fon fo y tr eff plus court. IX. 704. a. Voye^ M ic r o s c
o p e .
L o upe. [C!ûr.) Defeription de cette forte de tumeur.
Quatre différentes fortes de loupes. Caufes formelles, 8c
caufes occafionnelles des loupes. Defeription de leurs pro-
gi és. IX. 704. a. Exemples de loupes énormes. D e la guért-
fon de ces tumeurs par voie de réiblution. De leur guérifon
par ligature , & par extirpation. Obfervaûons fur l’extirpation.
Ibid. b. Foyer auffi fur cette opération le mot
Enkißee.
L o u p e s , [Monn .) briques & carreaux des vieux fourneaux.
IX 704. b.
L o u p e s , ( 7e/7ji//.) pierres précieufes imparfaites. Pierres
qui reffent le plus ordinairement en loupes. Des loupes de perles.
IX. 704. b.
Loupe ou nacre , chez les lapidaires. XI. 4. a. Loupe de perles.
XII. 383. b. 286.0.
Zr>/7/>rf, efpccc de fer. Suppl. III. 12 .L 15.77, L
LÜURL) , pefanr, ( Synon. ) XII. 443. b.
L ü U l RE. ( Hiß. nat. Zoolog. ) Defeription de cet animal.
Efpece de nourriture dont il eft avide. IX. 705. a. Qualité de
fa chair. Lieux oii l'on trouve des loutres. Ibid. b.
Loutre ampliibic d’Amérique. VIII. 551. <2. Loutre du
Canada, décrite vol. M des planches3 regneanimal, planche
17.
Lo utr e . [P e lla .) Lieux d’oîi l’on tire les plus belles loutres.
Le poil de loutre n’entre point dans la compofition des
chapeaux. IX. 705.
L o u t r e , ( 5/j/o/7 ) animal reprefenté dans quelques armoiries.
Etymologie du mot. Suppl. III. 804. a.
L outres , ( Gêogr. ) nation de l'Amérique fcptentrionalc.
Suppl. I, 359. b.
L O U V A IN , ( ville des Pays-Bas. Commenccmens
de cette ville. Q u el était autrefois fon principal trafic. Epoque
a laquelle Cc commerce vint à ceifer. Fondation de fon
univerlKe. b.i luuation. IX. 705. b. üblervutions fur Efpen,
( Zeger Bernard Van- ) , ne à Louvain, ik. fur fes ouvrages.
Ibid. 706. a.
Louvain. Famiiies de Louvain qui ont droit de transférer
la iioblelle par les femmes. XL 181. a. Titre de premiers
donné àcertains éiudians dans runiverfué de cette ville. XIII.
LO U V E ,[L itt. ) nourrice de Réimis ék de Romulus. Cette
louve fe trouve fouvciu dans les anciens monuniensdeRome.
IX. 706. a. .1
L o u v e , ( Ardiit. ) I x . 706. <2.
L o u v e , la , [ Geo.r. ) deux rivieres de cc nom en France.
IX. 706. 72.
L o u v e , [Pêche) filet, diminucif de h rafie. Manière dele
tendre dans toutes fortes d'eaux. Suppl. 111. 804. a.
LO U V E T , [Arc.veterin.) maladie du bétail : fievre in-
tLimuiatoiro Ck putride , dans le cours de laquelle on obferve
quelcpietois des tmneurs qui ont beaucoup de rapport avec le
ciiarbon. Extrait d’un traité de M. Reynier fur cette maladie.
Symptômes qu’elle préfente. Suppl. IIL804. b. Son prognollic.
Sympiômes qui annoncent la guérifon de l’animal. Symptômes
tùcneux. Saifon où cette maladie paroîc ; an,maux
qu’elle attaque. Oblérvations faites fur rouvenure de ceux
qui u i font morts. Caufes du louvet. Ibid. 805. .2, b. Des cas
qui ont occalionné les ravages que cette maladie a faits en
SuiiTe en 17Ô1. Ibid. 806. a. Détails fur fon traitement.
Ibid. b. Directions lur la maniéré de gouverner le bétail pour
en prévenir les maladies. Ibid. 807. b. 808. a , b. Précautions
à prendre contic lesépidémies. Ibid.Soc). b.
L O U V E l lE l l . ( Fénênc) D u grand louvetier de France.
Ses armoiries. IX. 706. a. Loix faites à l’occafion des ravages
que cauia la nniltiphcatioii des loups occafionnée ■ par ia
dépopulation qui fuivit les incurlions des barbares dans les
Gaules. Créatioii des louvctiers ék du grand louvetier. Salaire
qui leur iut attribué. Ibid. b.
Lowvaier. Arme^ du grand louvetier, vol. II des planches ;
Blalon , planche i8. Sergent louvetier. X V . 91. n.
LOU VIEK.8, ( Gêogr. ) manufacture de draps de cette ville.
Obfervatiotis lur quelques hommes de lettres dont elle e/l
la patrie. M. de Linant. Jean-Baptiffe Gautier. Suppl. 111.
810. b.
L O U V O IS , ( Gêogr. ) bourg de Champagne. Son érection
en marquifat. Oblérvations fur le marquis de Louvois ,
minillre de la guerre fous Louis X IV . Suppl. 111. 810. n.
Foyei T ellier.
LO U V R E . [Hifl. mod.) Hiftoire & defeription de cet édifice.
IX. 706. b. L’achevcmeiit du louvre exécuté dans la plus
grande magnificence , relie toujours à clefirer. C e qu’il relie-
roit à faire pour lui donner fa perfeélion , & l’appliquer à des
ufages dignes de cet edifice. Ibid. 707.72.
Louvre. Périffylc du vieux Louvre. III. 647. b. Defeription
du Louvre : obfervations iiilloriques fur cet édifice. XI.
947. b. Médaille frappée lorfque l ’académie françoife fut p lacée
au Louvre. 775. b.
, honneur du,[HiJl.deFr.vic e) Quelles font les
perfonnes auxquelles les honneurs du lotivre font accordés.
IX. 707. a. H onneur. VIIÎ. 291.n.
LO U V S IAN E , (GftJgr. ) contrée de l’Amérique feptentrioiiale.
Auteur qui 1 a décrite. Européens qtii en oui fait la
découverte & qui y ont abordé en différens tems. IX. 707. u.
Voye-^ Lo u is ian e .
L O W E R , ( Richard ) anatomlffe, Suppl. I. 399. b. 8c
phyiiologille. S22/?/?/. IV . 352. j . Son hypothefe l'ur la caiife
des mouvemens vitaux dans le corps Jiumain. l i l . 594. b.
X. 220. b.
LO X A ou Loja , ( Gêogr. ) ville d’Efpagne. Autre ville de
cc nom au Pérou : fa pofition : fa fondation en 1546 : qualité
de l'on climat. IX. 707. b.
Loxa. Elévation de cette ville du Pérou au-de(Tus de la
mer. XIII. 7 1 7 . a , b. Caufé de la ruine de fon commerce.
718. b.
LO XOD ROM IE. ( ,7V.2v/g. é-GéoOT. ) Etymologie du mot.
La ligne loxodromique coupe tous les méridiens fotis un
meme angle. Auteur <[ui a donné plufieurs propriétés de
cetie ligne. Voye^ C a p o t a g e . Spirale qtic décrit la loxodromie.
Une portion quelconque de h loxodromie eft toujours
Cil raifon conffame avec la portion correfpondante du
méridien. Equation par laquelle on peut conllrtiire des
tables loxodiomiques pour tel rhumb de vent qu’on v o u dra.
\X.707.b. Foya^ C a p o t a g e , M illes de lon g itu d e
O R humb.
LO X O D ROM IQ U E . ( Havig. ) Art ou méthode de
faire voile obliquement au moyen de la loxodromie. Tables
loxodromiqucs, Inffruclions potir la maniéré de les drelî'er.
IX. 708, .2.
Loxodromiqucs , tables. X V . 798. b. Suppl. IV. 884. a.
l o y a l , étymologie de ce mot. Suppl. III. 735. h.
LO Y A U X -CO U T S oaLoyaux-coutemcns.[Jurifpr.) Ufage
de ce terms en matière de retraits. IX. 708. b.
LOYER. ( .Turifpr. ) Privilege du propriétaire d’une mai-
fon furies meubles de fes locataires. Ordonnance de 1629 ,
art. 142 , fur les loyers des mailbns , &€. Foyei^ L o u a g e 6-
L o c a t io n .
L O Y S , [Hiß- mod. Gêogr.) peuples du royaume de
Champa , ou Siampa dans les Indes orientales. Par qui ils
ont été fubjugués. Defeription des Loys. Leur caraftere. IX.
708. b.
L U
LU A , ( Mythol. ) divinité romaine qu’on invoquoit à la
guerre. Ce que rapporte Tite-Livedes offrandes confacréesà
cette décile. Il paroit que Lua étoit la déeffe des expiations.
IX. 708. h.
LU B E C K , ( Gfegr. ) ville d’Allemagne, lib re, impériale
8c anféatiqiic. Son origine. Son état dans le treizième ficelé.
Hilloire de cette ville. Son territoire. Son rang parmi les
villes impériales. Sa ficuation. Obfervations fur quelques
littérateurs nés dans cette ville , favoir Jean Kirchman ,
Henri Mcibomhis, Henri Muller, 8c Laurent Surius. IX.
709. il.
Lubeck, c\c fon évêque. IV . 69. 71. Premier établiffemeiu
de ia hnnfe entre cette ville & Hambourg. VIII. 39. a.
Lu b e ck , U droit, ( Droit gertn. ) Droit que Lubeck a
établi dans fon reffbrt pour le gouverner. "Villes qui ont
introduit ce droit chez elles. IX. 709. 72. Hilloire de l’éta-
bliffemcnt de ce droit. Ouvrages 3 confulter. Ibid. b.
LU SIENIETSK l , ( Stuuißas ) favant Polonois. XIII.
7 5 1 .X
LUBIN . ( EUhart ) favant Allemand. XL 448. a.
LU B L A U , Lublyo , Lubawna , ( Gêogr. ) ville de la
haute Hongrie. C e qui l'a tendue coufidcrable. Suppl. III.
810. é.
LUBRIC ITÉ des femmes dans quelques contrées d’A üe.
XIL 16 1 .é.
LU BRIF IAN S, recrémens.xm. 86^. b.
LU BRIQUE. ( Gramm. ) Animaux lubriques. Différence
entre ia lubricité, l'impudicité, la lafeiveté. IX.
709. b.
LU C , évangile de faint. ( Théolog. ) Quelques doéleurs
ont enfeigné que l’évangile de S. Luc étoit proprement l'évangile
de S. P,ml. Citations que cet apôtre fait de cet
évangile. Perfennage inconnu auquel S. Luc adreffe Ion évangile.
Les Marcionites ne recevoient que cet é vang ile, qu’ils
tronquoient en plufieurs endroits. D u llylc de S. Luc. A uteiirà
confulter. IX.710. a.
Luc , évangile de faint. V I, 114. a , b. Obfervations fur
chap. IL I. 2 , 1 V . 828. b. fur chap, IL ■ ÿ' 7 , IV . 444.
i . fur chap. V I , 3 4 , 35. XIII. 334. b. XV II . 545. b ,
&>c. fur chap. X. i , iV . 1030. a. fur chap. X des feptantC'deux
clifciples , IV . 1050. a. fur chap. XI , i/. 42. ,
IV . 1091. 72. fur chap. XIV , ■ jJ'. 12 , XVII. 545. b. lur
chap. X V I , 5 , IL 694. a. fur chap. X V I , -f-. 19. IL
471 . b.
L u c , ( Gt'ogr.) ville en Dauphiné. IX 715..2,-
L U C A , [jean-Baptißc) favant cardinal.XVIL 17.72.
LU CA IN. [Marcus-Annccus) O.d'crvutioiis fur cc poète
& fur fa Pharfale. XII. 819. a , b. V . 673. b. 827. 828.
Suppl. III. 641. b. C e poète recommandable par fa noble hur-
dielle. V. 826.72. de l’aftion de fon poème. Suppl. I. 158. .2. Du
choix du fiijet Suppl. III. 961. i.
LU C A N IE , [Gêogr. anc.) région de l’Italie méridionale.
Origine des Lucaniens. Leur hofpicalité. Des médailles frappées
clans les villes de la Lucanie. IX. 7 1 o. u.
L U C A R , [H iß . anc.) argent qu’on dépcnfolt pour les
fpeflaclcs. Q uel étoit le falairc d’un affciir. IX. 7 10. .2.
LuCAR , San , Cap. ( Gêogr. ) Cap de l’Amérique fepten-
ïrionale. IX. 710. b.
L u c a r de Barrameda , San, ( Gêogr. ) ville Sc porc de l'Ef-
pagne. Importance de ce port. IX. 710. b.
Lu c a r t/c Guadiana , S.in. [Gêogr. ) IX. 710. b.
L u c ar la Mayor , San , ( Gêogr. ) IX. 7 10. b.
LU CA R IE S , ( Lite.) (des romaines, qui prenoient leur
nom d’un bois facré. Origine de ces fêtes. Paiement des
comédiens qui fc faifoit ce jour-l.'t. IX .7 10 . b.
LUCARNE, ( Archit. ) Différer is genres de lucarnes ,
fnivant les différentes formes cpi’clles peuvent avoir. IX.
710. b.
Lucarne. Cliapcau de lucarne. III. 174. a. Quatre différentes
fortes de lucarnes, XIII. 38. a. vtiye^ vol. II des planches,
Charpenterie, planche 13.
LU CAS <lc Hollande, peintre. V .3 2 3 .L
favant théologien.754.72.
LÜ C A B E LLI, b-iumede. II. 165./>.
L'U C A Y L S, (Géogr.*) ifles de l’Amérique feptentrionale.
Origine de leur nom. Pourquoi elles font défertes. IX.
710. b.
Lucayes. Des habitansde ces ifles. VIII. 34-7, b.
LU C C IO L E , [ Infcclolog.) mouche luifnntc. Lieux où
elles fc tfouvem très-abondantes. Leur defeription. IX.
711.72.
L U C E , e.iii de, [Chym. Mat. médic.) Cette eau dont M.
du Balen avoir le fccret , confondue par quelques chy*
luiffes .avec une autre eau du fieur Luce. Obfervations lur
le procédé de M! de Maclii pour faire Beau de luce. Procédé
plus fimpie par lequel on parvient au même but. IX.
7 1 1. 72. Defeription du procédé de M. de Maclii. Vernis de
cotte liqueur. Compofition & propriétés de cette eau.
X V . 606. 72, A. XVII . 322. 72.
LU CER A , ( Gêogr. ) ancienne ville d'Italie. Pourquoi
elle fut appellee Lacera delli pagani. Scs révolutions. IX.
7 1 1. b.
LUCERES , [L in .) troifieme tribu du peuple romain.
Difiribution que Romulus fit de fa ville en trois nibus. IX;
7 1 1 . A.
_ LU C ER IE , ( Gêogr. anc.) ville d'Italie , appellee aujourd’hui
Lacera. Bonté de fes pâturages & des laines de fes
troupeaux. Paffage d’Horace où il eft parié de ces laines.
IX. 7 1 1, /;.
LU C E R N E , canton de, [Gêogr.) fon rang dans le corps
helvétique. Obfervations fur fes lac s , & fur les écreviftés
qu’on tire de quelques-uns. IX. 712.72.
Lucerne , ville deSuilBe. Conjcéhire fur l'origine de cc nom.
Obfervations fur fon gouvernement civil Sc ecetéfiaftique. En
quel tems les Lucernois entrèrent dans la confédération liclvé-
tique. lX.71a.72.
LU CÎANISTES, ( Thêolog.) hérétiques du deuxieme fiecle.
Doftrine de Lucianus leur chef Autres Lticiaiiiftes qui font
venus des Ariens. IX. 7 12. a.
LU C IE , Sainte-[ Gêogr.) ifte des Antilles. Son étendue.
IX. 712.72. Son port. Defeription de cctre ille. Ses procluffions.
Mauvaife qualité du climat. Comment la France en a pris pof-
fefiion. Ibid. b.
Lucie , fiin ie , bois ainfi nommé. IX, 863.77.
LUCIËN. Obfervations fur la vie Sc les ouvrages de
de cet auteur. X IV . 602. b. Sur fes dialogues. IV . 936. 72. Comment il attaque le décret fatal des fto'iciens. X llI .
278. b.
LUCIFER , ( Ajlron. ) dlftance à laquelle la planete
venus peut s’éloigner du ibleil. Ses deux noms latins. IX.
712. b.
L u c if er lapis, ( Hijl. nat. ) ÎX. 712. b.
L u c if e r , [My thol.) les poetes ont divinifé l’étoile du
matin. Détails poétiques fur cc dieu. Vers de Milton. IX.
712. A.
LU CIFERE. [L in . ) Diane liiciferc. Les Grecs l’invo-
quoicnc pour raccoiicbement. Comment on la rtpréfentoir.
Pinclarc l'a décrite. Chevaux que lui envoya Jupiter. Médailles
de 1 )i;me Iticifere. IX. 712. A.
LU CIFÉRIENS, [Thêolog.) fehifmatiques du quatrième
fiecle. Leur doélrine. Lieux où ils fe multiplicrenr. Occafion de
ccfchi'mc. IX.713.72.
LUCILIUS. ( Caius ) Obfervations fur cet auteur & fur fes
Oiivr; ges. X iV . 700. A. X V , 626.72.
LU C IN E , [Myth.) fiirnom donné tantôt à Diane , tantôt
à Junon. Invocation de Lucinc. Leçons que donne Ovide
fur la maniéré de l’invoquer. Comment on la repiéfentoir.
Scsautres noms. Oi igine du mot IX. 713.72.
Lucine , vaytq I l ith y e 3 pretreffes de fon tems prés du mont
Cronius en Elide. XIII. 343. A.
L U Ç O N , [Gêogr.) ifle confidérable d'A fie. Qualité ék
& pfodtiftions de cette ifle, nufti nommé Manille. Son étendue.
PuilTance européenne qui la poffede. Ses habitans. Defeription
de la baie de Manille. Auteur à confulter. Sa fituation. IX.
713. A. Cc;>vq_MANILLE.
LU CQ U L S , ( Gêogr. ') ancienne ville d'Italie. Colonie que
Rome y envoya. Ses revolutions. Sa fituation. Littérateurs
dont elle a été la patrie : André Aitimonius : Jean Guidic-
cioni : Martino Poli ; Sanéles Pagnimis. IX. 713. A.
Lucques. Détails fur le gouvernement de cette république.
■ V IL 740.72.
L U C Q U O IS , le , [ Gêogr. ) état de la république de Liic-
q^ues. Son gouvernement. Bonnet ducal ilu clict appelle gon-
falonnier. Produftions du teiroir du pays. Utilité du mont de
piété établi dans cet état. Tous les fours de ce pays font à la
république. IX. 714. a.
L U C R A T I F , t i t r e lucratif. X V I. 360. A.Ufiire
lucrative, XVII. 555. a.
LU CR E , bénéfice, gain, prof t , émolument. [Synou.) II. 202. 71. XIII. 428../.
LU CR E C E , dame romaine : décence dans fa mort. IV.
C64. a.
Lu c r è c e , [Titus Lucretius C im r ) poète Sc pbilûfoplic ;