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111- l.
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390 PA S
Pafehal: agneau pafclial. Obfervaiions fur fon immolation.
XU. 496. a. Sauce amere qui lui fervoit d’alVaifonnemeiU. V .
Ç49. ù. Les Turcs rimmolent en mémoire cl’Abraham. IL
aai A Tcms pafchal ; cfpace qu'il compreiioit clans la primitive
cglifc. XII. 318. J. Cierge pafcbal. 111. 44^- ^y^}f
pafchal. IV. 589. L Cycle pafchal de S. Hyppolite. X \ II.
768. ‘I , h. Lune pafchale. 6'ü/ip/.'lII. 813.
P A SCH A SE -llA T B ER T , les réformés le regardent comme
l’auteur du dogme de la réalité. V I. 133.
P ASEN D A , {H ijl mod.) feéle de Bramines qui f.ùt pro-
feflion d'incrédulité. Leur cioéirine & leurs moeurs , au rapport
de leurs adverfaircs. XII. i i a . a. Comment les Pafen-
das traitent leurs ennemis à leur tour. Ibid. b.
P A S EW A L K , (Gf'tJgr. ) ville d’Allemagne dans lahautc-
Saxe. Elle reflbrtit direékment du prince. Son coinmerce.
Religion qu’on y profclTe. Suppl. IV. 243. b.
PASIPHAÉ, {Mythol.) fille du foleil & de la nymphe
Perfeis, Stc. XII. HZ. h.
hifloire de fes amours avec Taurus. X. 5^8. b.
Temple de Pafiphaé en Laconie. X V I. 217. b.
PASITELE, fculptcur ancien. X IV. 823. rf.
PASITHÉE , (^Mythol.) Tune des trois grace'. Cette
declTe promife en mariage par Junon au dieu du fommeÜ.
Teniple de Pafithée oîi les magiürats cleLacedcmone alloienc
de tenis-en-tems s’enfermer la nuit. XII. 112. b.
P A SO R , pere & fils ; obfcrvations fur ces lavans, &. fur
leurs ouvrages. VIII. 149. k.
P ASQ U É S , ( Thcolog.) fête de ce nom chez le.s Juifs.
Etym. du mot. Origine de cette fétc. Obligation de la célébrer
fous peine de mort. A quel lems ceux qui avoient
quelque empêchement légitime en remettoieiit la célébration.
XII. 112. b. Cérémonies que les Juifs modernes obfer-
vent clans la célébration de la pâqiie. Comment les anciens
Juifs ,au rapport des Rabbins, obfervoient le moment de l’ap-
p.irition de la nouvelle lune. Oblervations fur la dcrnicre
pâques , célébrée par Notre-Seigneur. Ibld. 113. a. Divers
fens du mot de pâques dans récriture. Méiliode pour trouver
la fête de pàqites dans chaque année. Quel ell le plutôt
& plus tard que ce jour puiflé ariiver. Ibid. b. Voye^
Pâques 6- Paschal.
Pasques clos. Cloture de pâques. Cette exprefiion en ufage
dans quelques anciens aÛes d’Angleterre, Se dans les provinces
de France. X ll. 113. b.
PASQUIN , (ƒ/!ƒ?. mod.) ftatue mutilée qu’on volt à Rome
dans une .encoignure du palais des Urfms. Origine de cette
ft.:tue 6c de fon nom. X ll. 113. b. On lui attribue toutes
les faiyres 6c les brocards ; Pafquin s’adrelfe à M.irforio, autre
llatue dans Pvome , & Marforio à Pafquin : excès de cette
licence. Comment les courtil'ans d’Adrien VI. l’empêcherent
de détruire cette Antue. Ibid. 1 14. u. Foyc^Suppl. tl. 146. b.
PASQ U IN AD E S , ( Hifl. mod.) origine de ce nom donné
aux fatyrcs qu'on fait à Rome contre les perfoitnes en plac
e , on contre les particuliers. X il. 114. a. Suppl. II.
146. b.
PAS SAD E, {M.ine^c) les pafTades font différentes, felon
la différente maniéré de ciianger de main, & de fermer la
{)affade. Paffade d'un tcms en pirouette eu demj-pirouette.
’nffade de cinq tcms. PafTades furieul'es. PafTades relevées.
XII. . .4 . . . .
PASSAG E, ( Aflron.) Obfervations qui ont éfé faites des
paffnges de mercure fur le foleil. En quels tems de Tannée
tombent ces palTages. Leurs retours périodiques. Oblervations
des paffages de venus fur le folcil. Utilité des obfervations
des paffages de mercure & de venus. PalTage d’une
éioiie par le méridien. XII. 114. h.
Vassp.GH fur le foleil, {Aflron.) ce phénomène particulier
aux planètes venus & mercure dans leurs conjonffions
inférieures. Taches du foiei! vues à Toeil Ample, & prifespar
d’anciens agronomes pour Tune de ces planètes. Kepler fut
le premier qui ofa marquer le tems de leur paffage ; mais
fes c ilciils ne furent pas toujours exempts d’erreur. Suppl. ÏV.
243. b. Pourquoi les paffages de mercure & de venus font
fl rares. Du calcul par lequel on les détermine. Ibid. 246. j .
Obfervations fur les caiculsdeHalley.TablesqueM. Trébucher
a données des palTages de ces deux pLmetes ; f.ivoir ,
1 ° ,de mercure pendant les dix-fept, dix-huit& dix-neuvieme
iîecies. La premiere colonne de cette table préfemc le tems
moyen de la conjonélion vraie de mercure, pour Paris j la
fcconde, fa longitude géocemrique vraie au moment de la
conjonffion ; la iroifieme , fa latitude géocentrique. Ibid. b.
2°. De venus , depuis Tan ç io , jufqu'à T.in 2490. La premiere
colonne prefente le tems vrai de la conjonélion de
venus à Paris; la fécondé, fa plus courte diffar.ee au centre
du foleil. /éiif. 247. J , fi. Manierede calculer les phafes de ces
paffages. Application de ces préceptes à Texemplc du paffage
de venus, obfervé t\\ 176^. Ibid. 248. a, h. Phénomc-ne remarquable
dans le coiuaft de venus avec le foleil, qui rend
cette obfervation trés-exaéle. Lieu du noeud de venus conclu
qiar Tobfervation du paffage. Ibid, 249. b.
P A S
Différence entre paffage, occultation, éclipfe. V ;
293. b. PalTage de venus fur le foleil. X V ll. 34. b. Paffage
de mercure. X. 370. b,
Pojfage au méridien, {^AJlrou. ) Utilité de Tobfervation de
ces paffages pour déterminer ralcenfion droite des affres.
Suppl. IV . 249. b. Aloyen de trouver l’inffant du paffage,
foit par les inftrumens, foit par les hauteurs correfpondan-
tes. Calcul de Tinftant du paffage, étant connues Tafccnfion
de Taffre 8c celle du foleil. Ibid. 250. a.
PaJfjge au méridien. IV. 549. b. Détermination du diamètre
du Ibleil par Ton paffage au méridien. 6uppE IL 712. b.
Heures dn paffage au méridien de quelques principales étoiles
pour le premier jour de chaque mois. 894. a , b. Détermination
du niomem tlu paffage d’un affreau méridien, par
Tüblervation des hauteurs correlpondames. Suppl. 111. 312.
i. 31 3. . i , b. De Tmfluence de la nutation fur le tems du paffage
par le méridien. Suppl. IV. 894. a,
Passages , mjhumeus des ( Ajhonom. ) inffrument qui fert
à obfcrver les aTcenfums clroiies des affres. Premiers affrono-
nics qui en ont propofé Tillage. Deferipnon de Tinllrumeiu..
XII. 115. a. M.mieie d'en faire ufage. ibiu. b.
Passage , (/e) des rivioes par les armées, Tune des principales
opérations de T.ut nnlitaiie. Dans quel but on paffe
les rivieres. LorfqiTil n'y a point d’ennemis à combattre, ce
paffage eff toujours taeile , 6cc. Principaux moyens à employer,
lorfqiTil s’agit de le u ir e , malgré les oppofiiions de
Teiinemi. Celui qui entreprend ce paff.ige réiiffit prefque
toujours. Explication des divers expéditiis auxquels il faut
pour cet effet avoir recours, félon les différences circonf-
tances. XII. 117. a , b. Etat de défeufe dans lequel on doit
promptement fe mettre loifqu’on eff parvenu à paffer une
riviere'. Ibid. ii8 . é. Prèc.iutions que doit prendre une armée
, lorfqu’elle fe trouve obligée de paiTer une riviere
pour s’éloigner de Tcnnemi. Auteurs à confulter pour acquérir
une connoiffance plus étendue fur cette importante matière.
A quoi Ton doit principalement faire attention, pour
empêcher le paffage des rivieres. Ibid. 1 19. a. Manière de défendre
ce paffage. Ibid. b.
PaJfjges des rivieres fur des ponts militaires. Suppl. II.
S42. a, b. Moyen de faire paffer une riviere à la cavalerie,
à Taide des peaux de bouc. 846. a. .Moyen de foutenlr une
attaque après ce paff.ige. Suppl. I. 12. a. Différens moyens
qui ont été inventés pour le paffage des rivieres. Suppl. I.
813. b.
Passage , {Marine) ordre d’une armée navale qui force
un paffage. V I. 206. a , b.
Passage du fojfé , le ( Fortifie.) Paffage du foffé fee & du
folié plein d’eau dormante. XII. 119. b. Moyens à employer
pour paffer un foffé rempli d’eau par un courant auquel on
ne peut pas donner un autre cours. Ce qu’on doit, pratiquer
lorfquc Tonnemi a des retenues d’eau dont il peut difpofer
pour détruire tous les iogemens du foffé. Du paffage des d inettes
dans le foffé. Ibid. 120. a. Moyens qiTon employ oit
autrefois pour le paffage des folTés pleins d’eau 6c des fof-
fés fees. Ibid. b.
Passage, {A n milit.) voy^^ Défilé. Barrières dans un
paffage. II. 93. a. D u paffage du dénié ou du pont. VI.
192. b. Paffage des défilés à la maniéré des anciens Grecs.
Suppl. Ill, 935. d. Camp de paffage. Suppl. II. 132. b.
Passage de l.i mer Rou^e , {H ifi. fiaint.Critiq.) chant 8c
daiife par lefquels les Ifraélites le célébrèrent. IV. 623. b.
Sentiment d’Abcn-Ezra fur ce paffage. X V t 388. b.
Passage, {Critiq. fder.) ouvrage de Surenhuffus fur I.a
méthode à fuivre pour concilier les paffages de l’ancien tef-
tamem avec la maniéré dont il font cités dans le nouveau.
III. 483. b. Fauffes applications que les prédicateurs font
quelquefois des paffages de Técriture. 482. b. 483. a.
Passage par le nord, ( Geogr. IVavig.) On fe propofe
de prouver ici que le paffage dans la mer Pacifique par le
nord de l’Amérique eff impoffihle, 6c qu’il eff non-lcule-
ment poflible par le nord de TAfie , mais sûr 6c facile.
Voyei fur ce même objet les articles A mérique septentrionale,
A sie , Californie, Mer de l’ouest, dans
le Suppl. Glaces à craindre dans le volfinage des terres.
Vent du nord qui , fur la mer glaciale, les retient 6c les
accumule. Obfervations qui montrent que le froid n’augmente
pas à proportion qiTon approche du pole. L ’Amérique
confidérabl.'ment plus froide que TAfie. Suppl. IV. 230.
a. Pvéfutation des prétendues preuves alléguée.s en faveur
du paffage par les mers du nord-oueft. Ibid. b. Découverte
que fe vanroit d’avoir faite un capitaine Anglois, nommé
Alexandre C lu n y , du paffage defiré par le nord-oueff,
pour aller aux Indes orientales. Recherdies de l'auteur pguf
acquérir quelque certitude fur cet important fiijet. Ibtd.
Ces reclierches devenues inutiles par la mort du
x’oyagciir. Doutes de Tauteurliir cette découverte. b.
Examen de la qiieffion, fi cette découverte , fuppofée vrai> ,
peut conduire au but de trouver une route plus conuiiodi;
6c plus abrégée pour Içs Indes orientales , que celle en
J L
P A S
doublant le cap de Bonne-Efpéraiice. Les obfervations de
Tauieur le portent à conclure pour la négative. Du paffage
par le nord-eff ou par le nord de TAfie. Kailbns qui parlent
en faveur de cette route. Ibid. 231. a. Témoignages
auxquels on ne peut fe refufer, Soins de la Rullie à détourner
les puiffances européennes de tenter ce paffage. Les périls
qu’on afTure que les Ruffes ont courus d.ms cette navigation,
attribués à leur peu d'expérience 6c d’habileté d..ns
la marine. Les Hoüandois iméreliés auffi bien que le Ruffes
à couper cours aux nouvelles découvertes. Empèchemens
que la cour de Ruffie met à la publication d’une liiffoire
fiddle de ce pays. ContradifUons entre les relations des
RulTes 6c certains faits avérés , qui montrent qu’on doit
be.aucoi:p fe défier de ce qu’ils rapporte'u fur les prétendues
difficultés infurmontables du paffage par le nord-eff.
Ibid. 153.0- Réponfe à quelques objeélions contre la poffibi-
Tiié de ce paflage DiieCHons fur la maniéré de le tenter.
Ibid. b. Indication des moyens que devront employer les
nations européennes qui voudront s’écarier du nouveau
monde par le pole aréfique. Ibid. 234. a. La mer Pacifique ,
qui s’étend entre TAfie 6c l'Amérique, ouvre feule la loute
du commerce entre les quatre paities du monde. Mais les
aatioiis qui cherchent aujourd’hui à s’y établir, ne peuvent
réulTir que par la route du nord. Places qu’elles doivent
chercher à s’y procurer. Les pays tempérés plus convenables
aux établiffemeiis des Européens que ceux de la zone
torride. Ibid. b.
Passage, {N.ivigacion) voyq Détroit , D ébouquement
, Canal. Obférvation utile aux uavjg.iceurs qui cher-
chevoient un paffageen Afie par les mers du nord. VU. 688.
b. Navigations périlleufes entreprifes pour tiouver ce palTagc.
X V I . 180. <r. X V II . 594. b. übl'ervation fur le pnff.ige dans
la mer du fud fans doubler le cap Horn. X V I . 181. a. R.ap-
port du capitaine Beering à la czarinc Catherine fur le paffage
de TEurope au Japon , par les mers du nord. XVII.
699. a, b. *
Passage, {Navig.) Vents de paffage. XV II . 22. b.
Passage, (A iy f OTui/.) droit deréception qu’onpaie pour
entrer dans Tordre de Mahlie, En quoi il confiffe félon les
différentes qualités des perlbnnes. XII. 120. é.
Passage, droit de {c-jmm.) paffage <hi Sund: à qui en
appaniennent les droits. Exemption dont les François joiuf-
Ibnt à ce paffage. Paffage ou fret, vjyr^ Fret. XU. 120. b.
P.ijf.igc, droit de paffage chez les Romains. X V . 125. a.
G.irde des ports 6c pafïages. V IL 493. b.
Pas.xaGE, {A rchil.) allée différente du corridor en ce
qu’elle n’eff pas fi longue. Paffage de ferviiude. Paffage de
Ibuff'rance. X ll. 120. é.
P a s sage , {Mufiq.) XII. 12 1 .0 . Passage. Suppl.
Paffage , de l'accord parfait à d’autres accords. Suppl. I.
120. a.
Passage , {Peinture) Paffage de lumière. Paffage de cou-
leiir.XII 11 1. a.
Passage, {Mancg. ) mouvement du cheval pour faire le
paffage des voltes bien proportionné. Utilité de la méiliode
du paiiage. XII. i2 i.t r . vol. VII. des planch. M.inege,
planch. 7.
Pas sage , ( Oavr/er/ en cuir) XII. I2i.*2.
Passage du patron , ( Ruban.) X ll. 121. a. Voye:^ l’article
fuivant.
P.iffaee des rames , explicatiort de la maniéré de les paffer.
XII. 1 21. a ,b.
Pas sage , {Fauconn.) faucon de paffage. XII. 122. a.
PASSAGER , ( Gr.rm/rt. ) Les joies de ce monde foin p;if-
fageres, 8cc. Différentes acceptions du mot p-ff.ig'.r. XII.
122. a.
Pas sagers ou paffage, {Hifi. ecd.) hérétiques du douzième
fiecle. Leur cloéiriue. Leur condamnation en 1184.
XII. 122. 47.
PASSALORYNCHITES , {Hifi. rcc/.) hérénques du onzième
fiecle. En quoi ils faifoient confificr la perfcéHon. X ll.
122. a.
PASSANT , épitaphe de M. Phon faite par lul-inéme , où
le mot paffant fe trouve employé fous deux acceptions différentes.
XII. 122, a.
Passant, {B L fo n ) X ll. 122. b.
Passant, {Bottier) XU. 122. b.
P A S S A V A N T , ( Daniel) phyfiologlfle. Suppl. IV. 361. æ.
PASSAW , {Ccogr.) ville d'Alleinagne. Evénemens qui
la rendent remarquable. Sa fmiation 6t fa pofition. Übfer-
vations fur Tévêchc de Paffaw. XU. 122. b.
P.iffaw : de Téveque de cette ville. IV. 69. a.
PÄSSE, {Marine) canal de mer, ou paffage entre deux
terres ou entre deux bancs. XII. 122. b.
Pa s s e , (Faifeurs de bonnets) XII. 123. <7.
Passe, {Broder, au métier) XII. 123. a.
Passe, {Teint.) XII. 123. a.
Pa s s e , {Fauconn.) X ll. ’123 .7
Passe U cerf, { Véner.) X li. I23.
P A S 391
Passe, {Billard) XII. 123, a.
Passe, {Jeux) XII. 123. n.
Passe, tirer à la {Jeu de mail.) XÎT. I13. «f.
Passe, cflocadc de {F.Jcrime) Comment on fait une botte
de paffe. X il. 123. a.
Passe au collet, ou croc en jambe, ( Efcrime ) Maniéré de
faire la paffe au collet à un eferimeur qui vous défarme.
X ll. 123. a. Voye[ vol. IV . des planches, Eftriine , pages
9. b. 10. a.
P A S S E -A V A N T , XII. 123. a.
PASSEDROIT , {Politiq.) Rien de plus contraire aux
intérêts d'un état que d’accorder des récompenfes à des gens
en faveur, au préjudice de ceux qui les ont méritées. XII.
123, b.
PASSEGER un cheval de fia longueur , ( Maneg. ) IX.
PASSEMENTIER , {Artsméch.) XII. 123, b. &c.
PASSE-PA R-TO UT , terme de carrier, de bûcheron,
de graveur, d’imprimeur, de luthier 6c de ferrurier. XII.
Ta s s e p i e r r e , ( n rdin. ) cfpece de fenouil marin.
Sa defcriptioii. Lieux oii croit cette pl.mte. P.iffe - pierre
des jardins. S.a culture 6c fon ufage. XÜ. 124. a. Foyc^
Perce-pierre.
PASSEPOITT : {H iß .mod.) paffeport lionorable accordé
par un empereur à un philofophe. Différentes acceptions du
mot paffeport. XII. 124. b.
Paffe-port pour les inarchandifes en Hollande. II. 238. b.
■ PASSER , -ooyci les articles fous ce mot. XII. 138. b. &c.
PASSER AGE , {Botan.) voye^ les caraéleres de ce genre
de plante an mot Lepidium. Efpeces de ce genre. Defciip-
tion de la pafferage vulgaire cultivée. XII. 12.4. b.
Passerage, {M.ii. médic.) pafferage vulgaire, Sc paffe*
rage ou crclTon fauvage. Elles contiennent abondamment le
principe propre aux plantes anti-fcorbutiqiies ; leur analogie
avec le coclilearia 6c le creffon. Ufage extérieur des feuilles
6c des racines. XII. la.j. b.
PASSER AT , {Jean) littérateur françois du feizieme fiecle.'
X V I 720. <7.
PASSE VELOURS , ou queues de renard, {Jardin. ) cfpece
d’amaraiithe. Sa defeription. X ll. 123. a.
PASSE-V IN, {Phyjiq.) infiniment de phyfiqiie qui fert
à féparer d ,ux liqueurs do pefantciir différente. Defeription
6c ufage de cet inffrument. XH. 123. a.
PA S S E -V O L AN S ou faux foldats , {A r t. milit.) gens
fuppofés enrôlés, quoiqu'ils ne le foient pas. Peine qu’on
leur iiiffige en France. X ll. 123. a.
P.iffc-volant, voyei Fa GOT , VI. 371. 8c FauX-Sol-
DAT. 430. a.
Passe-volant , {Ma-ine) faux ntatelot. Canons de bois
appelles jy./ffe-vol.ins. X ll. 123. a.
PASSÉE , terme ufité dans plufieurs arts, en baffe-lilTe-
r ie , mégifferie , X lf. 123. .7-chezlcs faifeurs de papier de
tapifferie , les perruquiers, les railleurs , ‘Seen vénerie. Ibrd. b.
PASSEMENFIEk , {A n mich.) divers ouvrages que fabriquent
les P iffememiers. Nouveaux fiatiits de ta communauté
de' P iffém entiers .i Paris. Principaux réglemens qui
les concernent. X ll. 1 23. i. Différentes fortes ue march.m-
dif-'S qu’ils peuvent fabriquer 8c vendre. Ibid, t iß .u . Différentes
matières qu’ils peuvent employer dans leurs ouvrages.
Patron des paffemomiers-boutonniers. Lieu de leur
confrérie. Ibid. />.
PASSEMENTERIE , { A n mich.) On trouve dans cct
article l’explication des manoeuvres les plus générales de cet
a rt, 6c le détail des grandes machines du paffcmcnticr. XII.
126. b. De Tüutdiffuge. Defeription de TourdilToir. Du retors:
defeription du rouer néceffaire à certe opération. Lif-
fige ou leéliirc des deffeins. Ibid. 127. a. Du métier hattant
pour les livrées. Ibid. 128. a. F.içon de f-fre les g:ilons
de livrée. Métier du riibaniiier batiain. Ibid. b. Métier
du ruban figuré. Evplicailon de la manoeuvre des retors.
Ibid. 129. <7. Allonges des potcnccaux. Ihid. b. Lanterne
à fumer le galon pour lui donner plus de couleiu'. Dcf-
cripiion du métier vu par le cô té , depuis la porte-rame
de devant, jufqu’â Tcxrrémité du dcrfferc , c.xccpté les po-
tenccaux. îlid. 130. a. ITeprcfenration du méiicr coupé
par la moitié , 8c dont on ne voit t(ue les principales parties
de derrière. Métier à frange,'. Efpece d’ourdiiToir long.
Le dedans du métier à franges."/étV. Le métier tout monté.
Maniéré de fabriquer la clienille. Ibid. 131. a. Defeription 6c
travail du métier à baffe liffe.Travail delà nonuiareille. Ibid,
b. Du tors. Différentes fortes de retors, i". D e la raÜa-
noilc. Ibid. 132. a. 2". De la graine cTépinards. Ibid. b. Du
cordon pour les galons .à chaincircs. 4°. Du retors pour les
franges. 3“. Des guipures pour les livrées. 6". Des cordonnets
pour les agrémens. Ibid. 133. a. 7®. Des cordonnets
à broder. 8“. Des câblés pour les bords coquilles du galon.
9“. Des grilettes pour les coquillages des bords des galons 6c
autres ouvrages. 10". Du frifé. Ibid. b. 11*. De la ganfe ronde.