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i4 4 MO N Monapen , cln nombre des places dans un monarterc.
XH. 6 7 1 - Cellules des moines. 11. 808. j . Bibliothèques
des monallcrcs eu France. 236, b. Les monafteres ne doivent
point avoir de cloche qui empêche d’entendre celle de
l’égUle principale. 111. 344. a. Inllrument qui fcit à réveiller
les religieux. X V . 901. b. Priions des monafteres. XIII.
385. b. Choeur dans les monafteres de hiles. III. 362. j .
Grille. V i l . 947. /'• Clôture dans les monalleres de tilles.
III. 348../. Othccs clauilraux. III. 313. XI. 4T6. u , b.
Des monancrcs prieurés. XIII. 362. b. Gouvernement triennal
d.ans les mouafteres. X V I . 638. u. Doyen. V . 96. b.
Vintcur. X V II . 337. ■ !. Advoués de monalleres. 1. 132. b.
Les Tuperieurs ccdêfiadiques en vifitant les monadercs examinent
fl la clôture y cil bien obfervée. III. 348. Rcgil-
tres des monalleres où font confervés les aélcs de vèture.
X V II . 222. b. Commendataires à qui l’on avoir accordé
autrefois les revenus des monalleres. III. 205. ,i. Origine
des concelTions de dixnies faites à des monalleres. IV. 1092.
b. Des monalleres exemts de l'ordinaire. V I . 237..!. Mo-
nailercs acéphales. I. 93. b. Laïcs employés ordinairement
pour le fervice des monalleres. V II . 300. a. Les monalleres
doivent être rcfpeélcs dans un pillage. IV. 731 . .i. Voyt^
C ouvent , C loître 8c Communautés eccUjïajUqucs.
Monjptrc , lupérieur d'un monailerc d’hommes dans l’églife
grecque. 1. 613. j .
Alon.iftcre de Dcrvls en Egypte. IV. 871. b.
M O N A S T IQ U E , la proteilion monallique ell une mort
civile. D e l’àge auquel il efr permis de faire profelîion.
Auteurs de la vie monallique Sc cénobitiqiie. Obfervaiions
fur la maifon de Clugny 8c fes privileges. X. 639. b.
Monafliqtic, origine de la vie monallique. X. 613. é. Scs
progrès. Ibid, Relâchement introduit dans l'état monallique
en France. 616. é. Comment les abus furent réprimés. 617.
a. V ie monallique des Thérapeutes. X VI. 263. b. Regie
monallique. X IV . 22. — 23. b. Voyei^ Monachisme,
O rdre Religieux.
M O N B A ZA . (G éo^.) ifle 6c ville de ce nom fur la côte
d ’Afrique. X. 640. a.
M O N C E A U , W i, {Synon.) X V . 932.^.
M O N CH Y , {Je) fon ouvr.igc fur le recueil des canons,
par Gratien. IV . 712. b.
M O N C L A R , {Géogr.) paroiiTc de P ro ven c e, diocefe
d’Embrun. Obfervatiuns fur Jean-Pierre de Ripert, feigueur
de Müiiclar , procureur-général du parlement de Provence.
Suppl. III. 934. b.
M O N D A IN E , loi. IX. 663.
M O ND E , ( Phyfiq. ) deux lignifications de ce mot. Rai-
fons par lelqueiJes M. de Fontcndle prouve la pluralité des
inondes. Sentiment de M. Huyghens fur les habitans des
phinetes. L’opinion de la pluralité des mondes n’ed point
contraire à la foi. Difficultés attachées à cette opinion.
Celles d’admettre des habitans dans les cometes. X. 640. b.
Monde, {Métaphyj. Phyfiq ) étymologie de ce mot.
I. 733. J. Ce monde matériel n’exille pas néccffiiirement.
IV . 978. b. Ouvrage de Defeartes où U explique la formation
8c la llruélure du monde. II. 722. b. Idée de la création
8c de la fin du monde felon les Ibuphis perfans. I.
732. b. Sur l’origine du monde, voyrç CREATION , COSMOGONIE
, T erre. Eternité du monde felon Arillote, I.
639. b. Antiquité du inonde. 316. a. Ages du monde. Suppl.
I. 201. rt , b. L’àge du monde divife en fix époques, 1.
169. b. 8c en trois périodes par Varron. VI. 332. a. Sur
le monde confidéré dans fon état aéluel 8c permanent, voye^
COS.MOLOGIE. En quoi confide l’adion de Dieu dans la
conlérvation du monde. IV. 38. a. Réflexions fur ce que
nous appelions déforclres 8c chofes inutiles dans le monde.
VIII. 30. a. XIII. 316. ei, b. Voye^ à l’article de chaque
fede philofophique les différentes dodrines des phllofophes
fur le monde : voyrç auffi l’article Univers. Expofition
abrégée du fydême du monde. IV. 293. b. Voye^ auffi
Système. Sphere du monde. X V . 433. a. D e la pluralité
des mondes. XII. 704. a , b. — 703. a , b. Poye^ auffi quelques
obfervations fur ce fiijet au mot Lune. IX. 733 b.
— 734. a. D e l’ame du monde, voy«^; Ame. De la foi du
monde , voyei Conflagration. Tems oii doit finir le
inonde felon quelques rffit onomes. V I. 64. a. De la fin du
monde félon les anciens feandinaves. VIII. 917. b. Sentiment
de Newton fur la maniéré dont le monde finira. X.
360. a.
Monde, {Morak) étude du monde. III. 948. a.
D e l'amour du monde. I, 368. Difficulté de renoncer au
monde après s’y être long-tems attaché. V . 694. a. Vers
de M. de la Fare fur les erreurs 8c la frivolité du monde.
X VII . 368. b.
Monde, U {Géogr.) En quoi confifie ce qu’on appelle
faire U tour du monde. X. 641. a.
Monde nouvedii. X . 641. a.
Monde-ouvert , (L in .) folemnité qui fe faifoit à Rome
dans une chapelle ronde comme le monde. C e que les
MON Romains obfervolent le jour de cette folemnité. X. 641. et
M onde , {BUfion) X. 641. n.
M O N D IF IC A T IF D ’A C H E , {Ph.irm. & Mot. méd. cxier.-..)
Préparation do cet onguent. X. 641. b. Son ufage. La com-
pofiuibn de cet onguent très-mnl-entcndiie. Obfervaiions liir
la maniéré dont Lemcry l’a réformé. Ibid. b.
M O N D IR , (Zffy?. ortom. ) fa généroficé envers b famille
des Barmécides. Suppl. I. 809. a.
M O N D O , {B o t .) chiendent du Japon. Autres efpcces
de clnendent de la même contrée. X. 641. b.
M O N D Ü N V IL L E , des ouvrages de ce muficien lit .
804. <1.
M O N D O V I , {Geogr.) ville du Piémont. Obfervations
hilloriques fur cette ville. Sa fituacion. Elle efl la pairie du
cardinal Bona. X. 642, a.
M O N E T A , {Aiyth.) furnom qu’on donnoit a Junon.
Temple de Junon aveniffame. X. 642. a.
M O N É T A IR E , ou Mo n n o y e u r , {Hifl. u/ic. ) fabrica-
teur des anciennes monnoles. Le nom 8c la commiffion de
ces monétaires marqué quelquefois fur les médailles. Le
nom de donné fous le bas-empire à ceux qui étoienc
chargés de la furintendance des nionnoies. ils étoient au
nombre de trois. X. 642. a.
Alonèraires, officiers de la monnoie à Rome , appelles quur-
turnvirs. XIII. 693. u. 8c trevirs. X V I. 609. .1. 666. b,
M O N G O L S , defeription de cet animal. Vol. V I . des pl.
Régné animal. Pl. 18.
M O N GU LS , Tartjres, ( Grog/'. ) voyf.ç T a r TARES. Ch e f
de cette nation. X V . 832. b.— X VI. 830. Lieux où font
leur féjoiir le kan des Kalchka-Monguls , 8c le grand prêtre
des Monguls de l’ouefl. XI. 671. u. Exemptions qu’ils nc-
cordentà ceux qui ont fait quelque grande aélion. X V I. 134.
b. Machine dont les Monguls lé font fervis dans les fieges.
XII. 192. *1.
M O N IT EU R , {Hifl. anc.) différentes perfonnes à qui
l’on donnoit ce nom. X. 642. b,
M O N IT IO N , {Jurifp.) différemes acceptions de ce mot.
Des monitions canoniques. Ce t ufage preferit, AiotM.XV IIL
Monitions de l'Eglife primitive. Introduélion des formalités
judiciaires dans les monitions. Efpric du concile de Trente
fur ce fujet. Pourquoi les rois ont aflrcint les eccléfiaffiques
à certaines regies dans ces procédures 8c condamnations. X.
642. h. Difpofitions du concile de Trente par rapport aux
eccléfiaffiques du fécond ordre , connus pour concubinaires,
8c par rapport aux cas de récidive. Peines dénoncées contre
les fimples clercs. Deux difterentes maniérés dont les monitions
canoniques doivent être faites. Formalités qui doivent
précéder les monitions. Informations fur la récidive. Suite
des procédures. Objers fur lefquels on peut faire des monitions
aux eccléfiaffiques. Ib'-d. 643. a. Intervalle entre les trois
monitions. Auteurs à confulter. Ibid. b.
AJonitions canoniques. XIII. 837. b.
M O N IT O IR E , {Jurifp.) ancienneté de l’iifage des mo-
nitoires dans l’églife. Par qui ces lettres peuvent être accordées.
Lettres monitoriales que les papes donnoient autrefois.
Ces monitoires déclarés abufifs par les parlcmens. X. 643. b,
Diverfes maximes de jiirifprudencc fur les monitoires, leur
obtention , les moyens d’oppofition à ces lettres. C e Si’ellcs doivent contenir , leur publication Sc fes fuites , Scc.
uvrnges à confulter. Ibid. 644. a. Voye:^ RÉVÉLATION.
Alotùtoires lettres, IX. 426. ^7. Les ordinaires qui ne loin
pas évêques ne peuvent décerner des monitoires. X L
380. b.
M O N IT O R , aéleur que les Romains défignoicnt par cc
nom. X IV . 884. a.
M O N LU C , {Adrien de) fa comédie des proverbes. Suppl.
III. 3. a , h.
M O N M O U T H , ( Géogr. ) ville d’Angleterre , patrie
d’Henri V . X. 644. a. Obfervations fur ce roi d’Angleterre.
Ibid. b.
M O NM O U TH SH IR E , {Géogr.) province d’Angleterre.
Ses rivieres. Ses principaux lieux. X. 644. b.
MONNIER , {P:erre-Charles de) fes ouvrages affronomi-
ques. I. 792. b. — 793. b. Suppl. I. 664. a. Ses obfervntions
aftronomiques. 663. a. Ses catalogues d’étoiles. Suppl. IV.
910. b. — 913. b. Sou fcinimeni fur les aurores boréales. I.
889. a. Son ouvrage fur les cometes. III. 678, a. Scs travaux
pour perfeélionner la théorie de la lune. IX. 732.
b.— -70,y. a. Ses tables. X V . 798. a. Suppl. iV . 889. /•.
901. b.
M O N N O IE , {Polit. Financ. Comm.) trois queffiûns à traiter.
U. D ’où la monnoie reçoit fa valeur. 2". Si cette \’a-
leur eff incertaine 8c imaginaire. 3“. Si le fuuvcrain doit
faire des cliangemens à !a monnoie, 8c fixer la proporim:)
des métaux. Définition de la monnaie. La monnoie ne reçoit
point fa valeur de l’autorité publique. X. 644. b. La
monnoie n’eff pas une valeur certaine. D o ii les effets reçoivent
leur valeur. D e qud'e maniéré cette v abur e:t
appréciée. Commciu elle euan.i^e. La mctileure ou plus
M O N
ïnnuviife qualité n’augmente ni ne diminue le p rix, qli’à I
mefiire que la différence dans la qualité augmente ou di
mimie b demande. L’or 8c l’argent, comme les autres effets, I
reçoivent leur valeur des ufages' auxquels ils font employés.
Ibid. 643. U. Nous appercevons peu les changeinens dans la
valeur de la monnoie, mais cela n’empêche pas que la
valeur des matières d’or 8c d’argent ne change. Diminution
de la valeur de ces matières depuis la découverte des Indes.
Pertes attachées à l’ufage de la vaiffellè d’argent. La
valeur de l'or n’a pas tant diminué que celle de l’argent. Affoi-
bliffôinent que les princes ont fait clans les efpeces. Ibid. h.
Il y avoit autrefois autant d’argent dans vingt fo ls , qu’il
y eu a aujourd’hui en cinquante livres. Ceux qui ont eu
leur bien payable en monnoie , ont foufferc encore par les
diminutions do rentes. Une fomine dcffincc il y a deux cens
ans, pour l’entretieu de cinquante perfonnes, ne peut en
entretenir une préfencement. La quantité des matières apportées
en Europe, a établi une nouvelle proportion de
forces entre les puiffances. Examen du fentiment de Lock
e , qui penfe que les hommes, par un coiifcntemem
cinérul ont rlonné une valeur imaginaire à la monnoie.
Ibid. 646. .1. L’argent , avant que d’être employé en monnoie
, avoit une valeur dépendante des ufages auxquels il
étoit employé. D ’où vient l'augmentation de valeur de l’argent
inonuoyé. Comment 8c par quelle raifon 1 argent a c te
cmphiyc à faire de la monnoie. Difficultés dans le commerce
avant l'établiffement de l’argent monnoyé. Ibid. b.
Examen de 11 troifieme queffion propofée au commencement
de cet article ; f.ivoir f i U fouver.iin doit faire des change-
mens à II iiwfinoie, & fixer l.t proportion des mét.iux. Danger
d’affoibUr les moiinoies. Le furhauffement des moniioies n'eu
augmente pas le prix. Les anciens regardoient la monnoie
comme facrée. Le prix des efpeces ne doit pas être réglé
par le prince. U ne doit pas non plus fixer la proportion
entre l’or 8c l’argent. Ibid. 647. Une regle générale pour
les états convncrçaus qui fixent une pro])Ortion , c’eff d’éviter
h plus h.uite'Sc la plus baffe. C e qui conflitue la valeur
réelle d’une piece de monnoie , c’eff le nombre des
vrains pefans d’or fin ou d’argent fin c[u’elle contient. Ibid.
Ü48. a.
Monnaie, invention de ce moyen de commerce. III.
128. a. lliffoire de la fabrication des monnoies en France.
Suppl. III. 350. b. En quel tems on commença en France
à mettre des couronnes fur les fleurs-de-lis des monnoles.
Suppl. H. 642. b. Différentes valeurs des monnoles felon
les différens lieux. 129. a. Des rapports entre la monnoie
de France 8c celle d’Angleterre. Ibid. D ’où dépend la valeur
relative d'une monnoie avec une autre. Ibid. b. Monnoie à
croix: tems où l’ufage en a ceffé en France. IV. 312. b.
Différence de l’argent de nos jours à celui du tems de
S. Louis. VII. 932. b. Lettres du roi Jean pour faire exécuter
les ordonnances qui avoieut fixé le prix des monnoies.
IX. 417. b. Pair des monnoies. XI. 766. b. Leur v a leur
intrinfeque. X V I . 819. a. D e l’affoibüffement des monnoies.
Suppl. I. 187. b. Billets de monnoie, II. 133. a. Monnoies
françoifes, diffinguées par une lettre de l’a'phabet :
voyei l’article de chaque lettre. Monnoies des principales
villes de l’Europe. Vol. VIII. des planches, Monnoyage ,
planch. 18 , 19. Premiere monnoie des anciens calitex.
II. 129. a. Monnoie turque. X V I . 738. a , b. Monnoie des
Siamois. X V . 130. a. Il n’y a point d’argent monnoyé à
la Chine. XIII. i i i . b. Ouvrage fur les nionnoies d’Angleter
re , X V I I . 603. b. Confulcez fur les monnoies l’article
Especes.
Monnoie de billon , ( Monn. ) il y en a de deux fortes ;
favoir celle de haut Sc celle de bas billon. Ancienneté de
l'ufage des nionnoies de billon en France. Quelles fout celles
dont ou s’eff fervi fous la troifieme race. X. 648. a.
Monnoie de cuir , ( Afon. rom. ) Cette monnoie 8c celle
de terre cuite en ulàge avant Numa. X. 648. a. Les pieces
de bronze introduites par Numa, 8c gravées fous le regne
de Servlus Tullius. Ancienne monnoie de cuir des Hollan-
düis. Ibid. b.
Alon/ioic de cuir , voyeç IVE 336. a, b.
Aionnoie incuj'e. VIII. 66o. b.
Monnoie obfidionale , {Hiß. milit.) monnoie frappée peu
daiu un fiege pour fiippléer à la vraie monnoie qui man
que. Cet ufage paroit devoir être fort ancien. Matières dont
ces monnoies font faites. Leurs différentes formes. Leurs
types 8c inferiptions. Différentes occafions dans lefquelles
an en a fabriqué eu divers endroits. X, 648. é. D e là marque
de ces monnoies : il paroit fort indifférent de quelle
manière elles foieiit marquées, pourvu qu'elles procurent
les avantages qu’on en efpere. Ibid. 649. a.
Monoie obfidionale. XI. 326. a.
Monnoie des Grecs , {Monn. anc. ) La monnoie d’Atlu
nés fe rvo it, pour ainfi dire , de niefure ou d’étalon à toutes
les autres. Proportion des draebmes d’Atheiies à celle des
autres contrées. X. 649. a. Evaluation des drachmes, mines.
Tome IL
M O N ^ 4 5
8c taleils d’Athenes , félon Brerewood , & felon Bernard.
Ibid. b.
MonNOIK Rom.tins, {H ifi. rom.) monnoie de cuivre
des premiers Romains. Rareté de ces efpeces dans les eom-
mencemens de la république. L’ufage de donner du cuivre
en maffe au poids fubfiffa long-tems dans Rome. X. 649.
b. Teins auquel les Romains commencèrent à fabriquer
des monnoies d’argent, auxquelles ils Impoferenc des noms
6c valeurs relatives aux efpeces de cuivre. Premiers deniers
d'iir<»cin. Rétluélion des monnoies dans le tems de la premiere
guerre punique. L’opération que firent les Romains
fur les monnoies dans la (econde guerre punique, marque
une fageffe admirable. Nouvelle opération fur la fin de cette
fecüiric guerre. /ÜV630. a. Premieres efpeces d’or fabriquées
dans le même tems. Autres chaugemens faits aux monnoies
par vole d’alliage fous les empereurs. Le change a appris
à fe préferver des tromperies des princes en fait de monnoie.
D e l'empreinte des monnoies romaines. Ibid. b. Evaluation
des deniers, fefferces, mines d’Italie , ou livres
romaines 6c taleiis. Quelle étoit la pmjiortion de l'or 6c
de l’argent. Monnoie de plomb dont parte Martial. Pour
prévenir les tromperies des faux - monoyeurs , on imagina
de denteler les monnoies tout autour. Ibid. 631. a.
Monnoie des Grecs (S- des Romains. Rien tic plus fréquent
chez les anciens que les monnoies c(u’on appelloit du nom
du prince dont elle portolt l’image. VIII. 132. <2 , Il y
a lieu de croire que les médailles antiques étoient des
monnoies courantes. X. 231. a. b. — 237. />. Les lupins reçus
à Rome comme une cfjiece de monnoie par les comédiens
8c les joueurs. IX. 748. a. En qvi-.-l tems les Romains coni-
mencereut à fe fervir de moimoie d’or. X. 242. a. & de
monnoie d’argent. Ibid. b. IV. 823. b. Du titre de ces
monnaies d’or 8c d’argenr. X. 241. b. Monnoies de cuivre
cou verres d’une feuille d’étain. Ibid. 8c 243. a. Monnoies
anciennes de b ronze, de cu iv re , d’etain , de fer ôc de
plomb. Ibid, a , b. Califes de la différence du titre qu’on
obferve fouveiu dans beaucoup de monnoies d'argent de
même époque. 247. a. Mouno'es moulées des anciens. Ibid.
Eu quel tems la monnoie faucée devint commune. Ibid.
Mo;io<'nm;ues fur les monnoies anciennes, X. 667. b. Con-"
fulte^ Tes articles renfermés fous le mot Médaille.
Monnoies des Hébreux , de B.ibylone 6* d'Al xandrie.
( Monn. anc. ) La manière la plus commune de compter des
anciens, étoit par talens. Valeur du talent des Hébreux.
Celles du ficle 8c de la mine. X. 631. a. Celle de la drachme.
T a len t, drachme 8c mine d’Alexandrie. Evaluation
des monnoies du même nom des Babyloniens. Proportion
de l’or 8c de l’argent clic? les anciens. Ibid. b. Evaluation
des monnoies de. Hébreux 8c de celles d’Alexandrie, felon
Brerewood. Auteurs à confulter. Ibid. 632. a.
fAotmOtï. réelle & Alomwie imaginaire, {Monn.) ce qu’otl
entend par l’ime 8c par l'autre. Monnoie de compte. Qualités
à confidérerdans les monnoies réelles, les unes effentielles,
les autres arbitraires. X.632, a. Coiifidérations furies matières
qui fervent à ces monnoies. Comment s’expriment les degrés
de bonté de l'or 8c de l’argent monnoyés. Pourquoi l’on fe
fert d’alliage dans ces métaux. Confidérations fur le poids, la
taille, le remede du poids, 8c l’impreffion des monnoies, toutes
ces chofes comprifes fous le nom de forme. De la valeur
de la momioie. Qualités moins etTentielles. Le volume, la
fioure , le nom , le grénetis. Ibid. b. L,i légende, le milléfime,
le différent, le point fecret. Les monnoies réelles peuvent
être fauffes, altérées, fourrées 8c foiblê-s. La monnoie diffin-
guée autrefois en blanche'8c eu noire. Ibid. 633. a. Auteurs
qui ont traité des monnoies réelles, anciennes 8c modernes.
Ibid. b.
Monnaie réelle , & monnoie imaginaire : l’ufage de l’une 8c de
l’autre a lieu en tout pays. On a confervé dans les comptes
les monnoies idéales pour la commodité. III. 128. b.
Mo'stiO it brafléate, { Monn.) cfyttct de momioie du moyen
âirc. Pays de l’Europe où ces monnoies ont été long.^tems
communes. Par-tout où elles ont eu cours, elles doivenc'ètre
regardées comme une produffion de l’art ou naiffant ou dégénéré.
Leur époque eff im problème difficile à réfoudre. Recherches
de M. Schæpflin fur cc'ce maticre. Dépôt de ces
monnoies trouvé 001736 dans le monaffere de Gucngcnbach,
diocefe de Strasbourg. Rareté de ces monnoies. D e leur origine.
X. 633. b. Il ne faut pas les confondre avec les pieces
dont Juffiuicn parle fous le nom de caueii,T\\ avec celles qu'on
appelloit monnoie palatine, fous les rois Carlovingiens. M.
Schæpflin conjeffure que l’ufage des monnoies braéléates a
commencé dans le Danemarck 8c la Suede. Pourquoi les bra-
éléates font plus communes en Allemagne qu’ailleurs. Tems
auquel elles s’y font répandues. Ibid. 634- <»• L ’ufage des
braéféates continué encore aujourd’hui dans la ville de Baffe.
Du titre des anciennes braôéates. Différens métaux employés
pour ces monnoies. D e leur forme 8c de leur grandeur, De
leurs types. Mémoire à confulter. Ibid. b.
Monnoies décompté des modernes. {Comm.) L’Amérique
Qqq