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438 P H Y
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PHRIGANE , (//iA<7ö % . ) royciTRJGAm.
PHRO N T IS , cclcbre pilote grec ; honneurs qui lui furent
rendus. X ll. 624. b. , , , . u u
PHRYGIENS , {Théolo^.) anciens hérétiques, branche
des niontaniftcs. Voyc^ C a t a p h r yGES. Caraaere diftinaif
de cetie l'eae. XII. 531. b.
Phrygiens, {Géogr. ) Leur façon de bâtir. IX. 804. a.
Phrygien , mode {Mußq. anc.) Caraaere de ce mode.
XIT. 531. b. Poyrç Phrygien. Suppl. ■
Phrygien , cc mode propre à exciter la fureur. X. 903. a.
PHRYGIENNE , pierre nai.) Caraaere & ufages
de ceitc pierre, qui ne nous eft connue que par les écrits
dos anciens. Pierre de même nom dans le royaume de Naples.
XII.
PHTHTES, {Géogr. anc.) ville de G r è c e , p a triedA -
chille , déjà détruite du tems de Procope. a". Port de la
M.irniarique. 3°. "Ville d’Afie. XII. 331. b.
PHTHISIE , D e laphthifie en général. Ses canfes.
A<'e auquel fe forme cette maladie. XII. 332. a. Ses fymp-
tomes. Prognoftic. Curation. Ibid. b. Remedes pour la phthi-
fie. Eleauaire contre h diarrhée. Ibid. 333. <1. Comment on
modere les fueurs colliquatives. Différentes autres fortes de
phthifies que l'on peut traiter félon la cure qui vient d’être
indiquée. Obfervations fur la phthifie par hémorrhagie , fur
la phthifie caufée par la gonorrhée , fur celle qui fuccede
aux abcès du foie , de la rate , & c . Phthifie des nourrices,
celle des enfans ; phthifie rachitique, écrouelleufe, feorbu-
tiqiie , afthmatique , hypocondriaque ou hydérique. Ibid. b.
Phthif.e. Pourquoi le cou long & grêle cil un préfage de
cette maladie. IV . 319. a. D u crachement de fang dans la
phthifie. VIII. I l 5. b , Sic. D e l’état de la peau des phthi-
fiques. XII. 220. a. Pourquoi leurs joues deviennent rouges
Sc vermeilles. X V . 737. b. Des crachats dans la phtliifie.
IV . 426. a , h. Epreuve qui fert à en caraélérifer la piini-
Icncc. XIII. 384. a. Signe de phthifie dans la raucité de la
voix jointe à la toux. XVII . 433. Pourquoi les phthifiqucs
parcilTciit fouvent mourir hydropiques. VIII. ^77. b. Phthi-
fic du coeur. III. 601. b. Spécifique contre la phthifie commençante.
X V . 443. b. Rcmede que confeilloit Hippocrate dans
le cas d’abcès du poumon. XI. 287. b. Des injeftions employées
dans ce même cas. VIII. 749. b. D e l’iifage du
lait dans les phthifies. IX. 2S4. a. D e l’expefloration & des
moyens de la procurer. V I . 288. a , b. Métallafe qu’il faut
chercher à déterminer dans cette maladie. X. 441. a. De
l’iifage des narcotiques. X L 24. b. Utilité de l’équitation.
Suppl. II. 848. <i , i>, & c. Préparation de farine d’orge pour
nourrir les phthifiqucs. Suppl. III. 7. a. Üfage du fiigou dans
le même but. Suppl. IV. 694. a. Des influences de l’air
dans les phthifiqucs. X V . 47. b. Remedes anti-phthifiques.
Foyci V iscéraux. Sur la phtliifie , voye^ TUBERCULES ,
article important à confiilter.
Phthisie dorfale , {Médec.) Symptômes de cette maladie.
Scs caufes. Scs prognoflics. Curation. XII. 334. a.
Phthisie nerveuje, {Me'dec.) Symptômes. Caufes. Tra itement.
XII. 334. b.
PHURIM ou purim , ( Critiq. facr. ) c’efi-à-dire Us forts ^
fête folemnelle des Juifs. Son origine. XII. 334. b. Comment
ils la célebreiu. Ibid. 333. a. Voye^ PuRIM.
PH Y LA C TER E , {^Hif. anc.) nom que les Juifs ont donné
à certains infirumens ou ornemens qu'ils porioient particuliérement
dans le tems de la priere. Dcfcripiion de ces
phylaéleres. Signification propre de ce mot. Phylafleres des
Pharifiens. Origine de cette coutume. Le nom de phylactère
donne à certains talifmans. XII. 333. b. Foye^ Amu-
lete.
PhylaBeres , voye^ T effilia. Phylaéleres que les Juifs
fe mettent au milieu du front dans la fynagogiie. VII. 341.
a. Les phylaélercs confidérés comme talifmans furent condamnés
par les papes & les conciles. V . 619. a.
PH Y LA RQ U E , (^Antiq. grecq.) Chef d’une tribu dans
les villes grecques. Dans la fuite ce terme devint le titre
d’une dignité militaire , & alors on y fubllitua le nom
à ’ipimeUte afin d’éviter toute équivoque. Ce nom de pby-
larque donné dans l’empire grec au chef des troupes auxiliaires.
XII. 333. b.
PhyUrque , né à Sicyone. Ses ouvrages. X V. 168. a.
PHYLLITES , {Hiß. nat.) pierres coquillaires , voye^
Pierres & volume V l . des planches, Coquilles fofiîles ,
planche 8.
PHYLLOBOLIE , {Antiq. grecq.) Ufage de jetter des
fleurs fur le tombeau des morts. Ufage de jetter des fleurs
au vainqueur dans les jeux publics. X II. 336. a.
PHYSICIEN ,{PhilofoDh.) Différence entre un pliyfi-
clen obfervateur Si un phyficien expérimental. XI. 310.
h. La méthode fynthétique jette le phyficien dans l’erreur.
III. 416. b. Comment i! doit étudier la nature. V II . 614.
a , b. 618. b. Phénomènes qu’il doit fur-tout s’appliquer à
connoitre. Comment il doit les étudier. V L 301. a.
PHYSICO-MATHÉMATIQUES , ( Sciences ) Foye^ au
P H Y
mot A p? lication les abus que l’on peut faire du calcul
dans la phyfique. Autres réflexions fur le même fujci. X ll.
336. b. Comment le calcul doit s’allier avec les obfervations.
Méthode à fuivre par rapport aux phénomènes fur
la caiife dciqiiels le raifonnement ne peut nous aider. Enumération
des fciences phyfico-mathématiques. Une des branches
les plus miles de ces fciences eft l’afironomie phyfique.
Parmi les différentes fuppofitions que nous pouvons
imaginer pour expliquer un e ffet, les feules digues de notre
examen , font celles qui par leur nature nous tourniffeiu des
moyens infaillibles de nous affurcr fi elles font vraies. Ibid.
337. a. Le fyftènie 'de la gravitation eft de ce nombre ,
& mériteroit pour cela feul l’attention des philofophcs.
Ibid. b.
P h y f co-mathém.itiques , fciences : en quoi elles different de
la phyfique générale & expérimentale. I. vij. Difc. prélim.
PH Y S IO LO G IE, étym. de cc mot. Toutes les fondions du
corps humain fontou vitales ou naturelles, ou animales. D ’où
dépend la perfeftion des unes & des autres. Démonftra-
tions dont la médecine eft fufceptible. Exemple tiré de la
refpiration. XII. 337. a. Le mouvement des organes & la
chaleur vitale ne peuvent s’expliquer par l’amc. Tous les
fyftèmcs fur le commerce de l’ame avec le corps , four
inutiles au médecin. Ibid. 338. a. Eloge de Boerhaave con-
fideré comme praticien. Ouvrage de phyfiologie par M. de
Haller. Ibid. b.
Physiologie, {Médec.) Etymol.de ce mot. On l’appelle
auffi (Sconomie animale , voye^ ce mot. Ce n’eft pas
par cette partie que la inédecine a pu commencer : elle
lùppofe des connoiffaiices anatomiques , & des attentions
fur les fonflions des parties animales, qui n’ont pu fe per-
feélionner qu’après une fuite de fiecles. Doflrines phyfio-
logiques des anciens philofophes. Pythagore. Alcmanon. Em-
pedocle. Suppl. IV. 344. b. Anaxagore. Démocrite. Héra-
clite. Hippocrate. Ibid. 343. a. Diogene d’Appollonie. Platon.
Ariftote. Ibid. b. Theophrafte. Dloclès. Praxagorc. Ibid.
346. a. Erafiftrate. Hérophile. Afclépiade le rhéteur. Athe-
née. Aretée. Plutarque. Rufus d’Ephefe. Ibid. b. Galien. Ibid.
347. d , b. Alexandre Aphrodyfée. Néméfius. Théophile. Phy-
fiologie des Arabes. Ibid. 348. </. Celle des Chinois. Ibid. b.
Les fiecles du moyen âge ont été auffi ftériles pour la médecine
que pour les autres fciences. Rétabliffement de l’anatomie
par les foins de Frédéric 11. Etat de cette fciencc
dès le commencement du feizieme fiecle. Auteurs qui ont
écrit fur la phyfiologie depuis cette époque : obfervations
fur leurs ouvrages. Fernel. Vefale. Michel Servet. François de
Valériols. Réakle Colomb. André Céfalpiu. Ibid. b. Jules Jafo-
liii. Plater. Jérome Fabrice d’Aquapendente. Louis Kepler.
Jacques Muller. Riohm. Frapaolo. Sanéloriiio. Jean Faber.
Ibid. 349. a. Cafpar Afelli. Guillaume Harvey. René Def-
cartes. François Sylvius du Bois. Ibid. b. Jean Vcffius. Thomas
Bartholin. Conrad V iilo r Schwerder. Jean-Baprifte Van-
Helmont. Ibid. 330. a. Jean Van-Horne. Radiilphc Bathiirft.
Nathanaël Highmor. Jean Pecquet. Rudbek. Jean Wallis.
François GlilTon. Jean-JacqiiesWepfer. Thomas Willis. Marcel
Malpighi. Ibid. b. Jean Alphonfe Borelli; Nicolas, fils de
Stenon. Olaiis Borcli. Jean Bohn. Robert Boyle. Laurence
Bellini. ■ /iiù. 331. a. François R.edi. Regner de Graaf. Robert
Hooke. Frédéric Ruyfch. Jean Swammerdam. Ibid. b.
Claude Perrault. Needham. Richard Lower. Guillaume Hol-
fer. Jean Mayow. Edmé Mariette. François Bayle de Tou-
loiife. Martin Lifter. Gafpard Bartholin. Conrad Brunner.
Antoine Van-Leeuwenhoeck. 332. a. Guillaume Coll.
Guichard Jofepli Duvernon. Jean Conrad Peyer. Jean Mé-
ry. Denys Dodard. Godefroi-Guillaume Leibnitz. Edouard
Tyfon. Ibid. b. Pliilippe de la Hire. Nèhémie Crew. Jean
Ray. Jacques Rzambeccari. Philippe-Jacques Hartman. Antoine
Nuck. Godefroi Bidloo. Guillaume Mufgrave. George
Enicft Stahl. Ibid. 333. a. Antoine de Hcide. Raimond
Vieuffens. Paul Biiflicre. Frédéric Hofman. Taiivry. Jean
Bernoulli. J. Conrad Amman. Ibid. b. Verheyen. Herman
Boerhaave. Archibald Pitcairn. Jean Van-Hoorn. Guillaume
Cowper. H. Ridley. George Baglivi. Ibid. 3 3 4. Jean Floycr.
Antoine Valifnieri. Jacques Keil. Jean Fantoni. J. Marie £.an-
cifi. Antoine Pacchioni. Louis , fils de Nicolas Lémcry. Richard
Mead. Jofeph Moriaud. Jean Friend. J. Dominique
Santorini. Ibid. b. J. Louis Petit. George Cheyni. Michel
Alberti. Chrétien Stroem. Laurent Heifter. Guillaume Der-
ham. Ciaude-Jofeph Geoffroi. Antoine Fcrchuiid de Réati-
mur. Jean Arfamhnot. François Petit. Ibid. 333. a. Jean Af-
truc. Jacqiies-Benigne Winffow. Guillaume Cihefeldcn. Gufl-
laume Courten. Pierre-Simon Rouhault. Pierre Van-Muffthcti-
brocck. Thomas Schwenke. Bernard Nieuwentit. Théodore.
Eller. Jacques Jurin. J. Claude-Adrien Helvétius. Sauveur
Morand. Ibid, h. Jean Woodward. Bernard Sieefroi Albimis-
J. Théophile Défajuiius. Henri Pemberton. J. Henri Schidze.
Pierre-Antoine Michelotci. Daniel Bernoulli. Thomas Seeker.
Gtorges-Bernard Bulfinger. Pierre Sénac. Ibid. 336-
Jean Tabor. Jean Poléni. Georges Martine. Jean de Gorter
P H Y
Thomas Mctrgan. Alexandre Monro. Thomas SImfon. Ibid,
h René Moreau de Mauperuiis. Etienne Haies. George
Erharci H.imberger. Jacques-Aiigufte Blonde!. Jean-Baptille
Sylva. Albert de Haller, /iiù. 3 37. 2 , i . J. Frédéric Schrei-
btr. François Nicholls. Jofie Weùbrecht. Alexandre Stuart.
Job Baller. Bryan Robinfon. Ibid. 338. a. Antoine Forrcinsi
François Quefnai. Jean Pringle. Lamorier. J. André Segner.
Guillaume Portefied. Browne Langrish. Ilye. Jofeph Lieu-
taiid. François du Hamel du Monceau. Ibid. b. Michel-Chrif-
tophe Hanow. André Pafta. François Boiflîer de Sauvages.
Abraham Kaauw. Claude-Nicolas le Cat. Jcan-Ecienne Berlier.
Heuri Baker. Clifton Wincriiigham. Ibid. 339. a. Benjamin
H.iadley. Joieph Exupere Bertin. Jacques Pnrfons.
Antoine Petit. François-David HerilTant. Théophile de Bordai.
L. Pierre Sufmilwh. Jean Linings. Grand Jean de Fou-
tliy. Charles Bonnet. Ibid. b. Turberville Needham. Guillaume
Humer. Georges-Louis le Clerc de Biiffon. Ibid. i6 o.
a. Daubentou. François de Lamure. Abraham Trembley.
Vincent Mengliini. Richard Brocklesby. Benjamin Schwartz.
Augufte-Jc.ui Roefid. J- Augufte Unzer. Etienne Bonnot de
Condillac. David Hartley. Deparcieii.x. Ibid. b. Jean-Antoine
Dutiiii. Charles de Gcer. Levrot. Jean-Frédéric Meckd. Anne-
Cliarles Lorry. J. Benjamin Bccmer. Daniel Paifavant. Etien-
tic-Louis Geoffroi. George Heucrman. J. Godefroi Zinii.
Chretien-FrédéricTrendclindiirg. Antoine-Louis le Cat. ibid.
361. a. J. Rodolphe Stæhelin. Michel-Philippe Bouvart. Jean-
George Roedcrer. Jacques Felix. Samuel AuriviUiiis. Peyf-
foncl. Robert Wh ytt. Jofepli Albert la Lande de Lignac.
J. Mekhior. Frédéric Albrecht. Georges Rciinis. Pierre Caf-
tel. Ibid. b. J. Dietetic Walsdorf. Atirien-Théodore Sprsgel.
Pierre Detlcf. J. Henri de Brunn. J. Chriffoplie Kulzkmaiin.
Joachim-Jacques Rhades. Emmanuel-Jean Evers. Jean-George
Ruuge. Arnold Dimtrc-. HacUis. Guaither VonDoevercn.
Jacques Chretien Schccfllv. Bahhafar Sprenger. Georges-Philippe
Schrader. Pierre Wargentin. Alexandre Moiiro le fils.
Ibid. 362. U. Pcruval Pofl. S. A . D . Tilfot. Cefario Pozzi.
Emmanuel Perdot. Peicivac Poli. Guillaume Vauglian. Cul-
dani. Meifter. Horace-Marc Pagani. Camille Bonioli. François
Cigna. Antoine de Hacn. Ibid. b. Tenon. J. Bapiifte
Gaber. Charles Frédéric Wolf. Georges-Clirciieii R-.khel.
Péréiiotti. Bordenave. Hoiiftet. Fomaiia. J. Frédéric Lob-
ftein. Antoine Martin. liui. 363. n. Wenccllas Néponuicene
Langfvert. Henri Augufte Wircisbeny. Jean le Bas. David
Macbride. Ferdinand Martini. Laurent Sichi. Lazare Spallanzani.
Ibid. b. Adam Gottelieb Schivacli. Cadet. Pii.rre Portai.
Spielmann. Barthélemi Beccari. François Bibiena. Brauns.
Ibid. 364. a. Guillaume Hewfoii. Arthaud. J. Oihon Frédéric
Muller. Pierre-Jean Bergius. Guillaume Alexandre.
Ibid. i. Z e tz e , Girard Gisbert Tcn-Haaff. Jacques Maclurg.
Ibid. 363. U.
Phyfologie des anciens. Suppl. IV. 103. b. Effais phyfio-
logiques de Boyle. III. 436. ,1. Des obl'ervations phyiiolo-
giqiies. XI. 318. b. Foye^ (ÉCONOMIE animale.
PHYSIONOMIE , {Morale) Ce qu’on entend par une
fptte pliyfionoinie. Pourquoi il ne faut jamais juger fur la
phyfionomie. XII. 548. b.
Physionomie, {Science imagin.) Réflexions de M. de
Buftbn fur ce fujet. Comme l’aine n’a point de forme qui
piiilië être relative à aucune forme matérielle , on ne p a ît
la juger par la figure du corps ou par la forme du vifage.
Les connoiffances en phyfionomie 11e,peuvent s’étendre qu’à
deviner les inouvcnicns de l’anie psr ceux des yeux , du
vifage S^ du corps. X ll. 348. b.
Phyfonomie , voye^ MÉTOPOSCOPlE. Jugement qu’on peut
poiier fur la perfoune par rinfpeilion de la face. VI. 333.
/’.par l'infpeélion du cou. IV . 319. b. Rapport entre le ca-
r.iacre & le maintien. V I ll. 349. a. Caraélere c|ue les Romains
aitribuoient à ceux don: le liez eft aquilin ou cro-
chu. XI. 128. b. Phyfionomie d’Alexandre le grand &, de
quelques empereurs. Suppl. III. 229. b. D e la phyfionomie
des paflîons dans la peinture^ Ibid. L’art de Lx pliyfionomic
en partie fondé fur l’obfervation des couleurs du vifage.
Suppl. II. 630. b.
PH Y S IO N OM ISTE , fa définition. X V I. 234. a.
PH Y S IQ U E , origine de la pliyfique. Comment elle fe
comiminiqua Sc s’étendit dans le monde. Sur les divifioiis
& branches de cette fcience , voye^ le difeours préliminaire de
l ’Encyclopédie. Phyfique fymboliqiie, péripatéticienne , expérimentale,
niédianiqiie & corpufculairc. Trois principaux
objets de la }*hylique , le corps, l’efpace 6c le mouvement.
C e qu’on cmeud par phénomènes en pliyfique. X ll. 539.
a. Tout changement opéré dans le corps, n’arrive que par
le moyen du mouvement. La ceffatioii du mouvement opere
auffi quelque changement dans les corps. On a obfcrvé que
tous les corps fe meuvent felon certaines loix. Mais jufqu’ici
on n’a découvert que peu de loix dans la phyfique. Il eft
par conféquent de notre devoir de faire une recherche exaéle
de ces loix. Comment cette recherche doit être faite. Ibid. b.
Un des grands écueils de la phyfique eft la manie de tout
P I A 439
expliquer. Exemple qui montre combien on dpit fc défier
d « explications même k-s plus plaufiblcs. Outre la retenue
& la circonfpeélion , la patience Scie courage doivent être
un des principaux caraéleres du phyficien. Ibid. 340. u.
Phyfque générale & expérimentale. I. Difc. prélim.ï.\i
quoi elle différé des fciences pliyfico-mathématiques. Ibid.
Se. X ll. 336. b , Scc. Union de la phyfique 8c de la chymie.
Suppl. iV. 336. b. Différence entre la pliyfique Sc la chymie.
III. 414. 413. 416. Divifion de la phyfique en deux
branches, favoir la connoifiance des corps par leurs qualités
extérieures , 8c la comioiffance de leurs forces ou propriétés
internes. 410. a. La pliyfique des corps organilés divi-
fée en deux fciences féparées , favoir la phyfique ordinaire
8c la chymie. 413. />. La premiere fe borne aux affeéUons
des mafl'es. 414. a. Divifion de la phyfique générale 8c de
la phyfique particulicre. I. xljx 8c l , Dife. prélim. Regies de
Newton pour l’explicatioii des phénomènes en phyfique.
Suppl. IV. 319. />, Scc. Dos phénomènes pliyfiques 8c de
la connoiffaiice que nous en pouvons acquérir. Ibid. Phy-
fujiie expérimentale. V L 298. a , b , Sic. On devroit la
faire connoitre aux enfans. V. 399. a. Reproche que faifoit
un favarit à ceux qui s’adonnent à la phyfique expérimentale.
918. b. Reclicrchc des vérités pliyfiques : manière de
procéder à cet égard. IV. 491. i. V IL 613. b. — 618. /. De
l’art d’obfcrver. VII. 614. a , b , Sic. Deux caufes generales
de tous les phénomènes de la phyfique fublunaire :
moyeu de les foumettre au calcul. "VI. 283. a. L’cipric de
calcul régné peut-être un peu trop aujourd’hui dans fa phyfique.
8yo. b. Caraélere que doivent avoir les explications
des phénomenc.u 301. a. On ne doit point banniv l’efprit de
con;cfture 8c d’analogie. Ibid. b. Comment on parvient à
la clémonllratioii des vérités phyfiques. IV. 491. a. Nos connoiffances
phyfiqiies ne fout fondées que fur l’analogie.
VIII. 688. a. Des fyffémcs en phyfique. X V . 778. a , b.
D e l'applkaiiüu des principes mathématiques à cette fcicuce.
XVII . 183. b. Application de la géométrie 8c de l’analyfc
à la phyfique. I. 332. b. Avantages que la phyfique a tirés
de i’iiivemion du verre. XVII . 93. b. Quels font les meilleurs
traités élémentaires de phyfique. V. 497. b. Planches
de phyfique dans le vol. V. Phyfique d’Ariffotc , I. 636.
b. X ll. 367. a , i. de Campanclla. II. 377. a. Pjiyfique cor-
pufculaire, I. 822. b. IV. 269. b. de Defeartes. 11. 716.
b , 8cc. D e lu feéle éléatique,V. 430. a. d’Epicurc , 780.
, i. de Gaffendi , voyej ce mot. Phyfique d’Héraclire ,
VIII. 141. k d’Hippocrate , 142. b. de la feéle ionique ,
877. a , b. de Newton , XI. 122. b , Sic. des Stoïciens.
X V . 328. i , Sic. Premiere académie de ph.yfiquc en Europe.
Suppi. I. 88. b.
Phyfque, adj. Vérité phyfique. XVII . 183./>. Caufes pliy-
fiqucs. II. 7S7. b. Certitude phyfique. S46. a. Géographie
phyfique. VII. 613. b.
Y T O L A Q U E , ( Caraâeres de ce genre de plante.
Deux efpeces de ce genre. Defeription de la principale. Lleii.x
où elle croît. XII. 540. b.
PH Y T O L IT E S , {Minéral.) pierres qui ont la figure ou
qui portent l’empreinte de quelque corps du régné végétal.
Ces différentes fortes de pierres diffingiiées par difl'erens
noms. Quelles font celles où l’on rencontre le plus fouvent
des empreintes de végétaux. On obfcrvç avec étonnement
que ces empreintes ont été faites par des végétaux entièrement
dlfférens de ceux qui croifi'out dans les pays où on
les rencontre. Obfervations fur celles qui fe trouvent fur
la pierre qui accompagne les mines de S. Chaumont en
Lyonnois. XII. 340. b.
Phytolites , voye^ PigRRES empreintes , T y p OLITES 6c Ll*
TOPHYTES. Elles font repréfentées vol. VI, des pl. Coquilles
füffiles, pl. 9. — 14. P I
P IA BU C U i {Ichthyol.) defeription de ce poifl’on d'Amérique.
A vidité qu’il marque pour le fimg humain. XII. 34t.
PIA CHES, {Hifl.mod. Culte) prêtres des Américains de
la cote de Ciimana. Quelles étoient leurs fondions. Noviciat
qu’il falloit fubir pour être admis dans leur ordre. Leurs
principales divinités. C e qu’ils pratiquoient ou faifoiein pratiquer
pendant les éclipfes. X ll. 3 4 1 . rt. Médecine qiiils exer-
çoient. Autres obfervations fur les piaches. Ibid. b.
PIAFER , ( Manege ) leçon de piafer dans les piliers , vol.
VII . des planch. Manege , pl. 12.
PIAIE , ( //^. ) mauvais génie auteur de tous les
maux, félon les faiivages de l’ifle C:#yeime. Ces fauvages
donnent auffi ce nom à leurs prêtres. Noviciat à fubir pour
obtenir cette forte de prêtrife. XII. 341- Comment ces
plaies guériffent les maladies. Jl'îù. 342. <i.
PIAN , {Médec. ) maladie connue dans les colonies fran-
çoifes de l’Amérique. Fc'yqYAW.
P IA S T , payfiui qui fut élu roi de Pologne. XII. 926. b.
933. d.