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mercure Sc l'efinlt de vin , dunt les réfiiltnts font, que la
rnrof.iilion dvi mercure s'accorde mieux avec la chaleur que
la raréfaction de rcfpric-clc-vin. Propriétés du mercure qui
nuiront un pou à la régularité de la marche. Il elt pelant ,
& Ibn poids ne lui nermet pas de monter au terme tic la
chalcur'düuc il elt afteaé. Il dépolé quelquefois , en s’at-
tacliaiu à la furfacc du verre , des molécules , qui cimu-
niiaiit te volume de la liqueur, déraiigcut ncceirairemeiu h
graduation. Maniéré dont on doit charger le thermomètre
pour remédier à ce défaut, qui paroit venir de l’huniidite.
JhiJ. 9^9. U. Suite des opérations qu’exige la coultruaion
de ce thermomètre. Ibnl. b. Direétious fur la mauicre de le
graduer. Comment on doit cliercher le terme de la congélation.
Ibïd. 940. a. Graduations de rimervalle entre ce
terme & celui de l’eau bouillante. Celles du thermomètre
de Réaumur, & de celui de Fareuheit. Comment on s’allure,
avant la conllruflion du tliermomeire, que le tube qu'on
veut employer cfl cylindrique. îbU. b. Manière de diviler un
tube iné>Jal en parties proportionnelles aux inégalités. IbiJ.
Themomefs , terme de congélation dans cet infiniment.
III. 866. />. Terme du tempéré. VII. 'yiC.b. Terme de lean
bouillante, voye^ BouiLLia , Ebullition. Des divers degrés
de clialeur & de f'rpid icmarquables dans la graduation
du thermomètre, voye^ C haleur & Froid. Pourquoi le
ihermomctrc delcend dans le vuide. Suppl. 1. 23^. u.
Tliermomeire reélificateiir pour le baromètre. 813. u. Un
tliermometre nous apprend les diîFérences du chaud Sc du
fro id , fans nous apprendre au jufle la proportion de ces
différences. IV. 763. b. Difficulté de faire d’exaétes obfer-
vations avec cetinflriiment.5ü;?/j/.lV.42i. b.
Thermomètre , machine compofée de deux métaux , qui
en indiquant les variations du froid Sc du chaud , fert à
compenfer les erreurs qui en réfultent dans les horloges à
pendule. Tlictmometre de M. Graham. Defeription d’uii
moyeu tout différent, & fans doute préférable , dont M. le
Roi fe fert pour parrenir au même but. X V I . 272, i>. Autre
méthode inventée par M. Ellicot, célébré horloger de Londres.
Ibid. 275. rf.
THER.VIOPYLES , ( Grogr. anc. ) paffage entre l.a Pho-
cide Sc la ThelTalie. Xerxés dépeupla fes états pour le
palfer. Dans la fuite , les Phocéens y bâtirent une nuiraüle.
Origine du nom donné à ce paffage. Defeription de ce défilé.
AfTcmbléêS de laG re ce dans ce lieu. Combat de L e o nidas
Sc des 300 Lacédémoniens contre les Perfes au palTage
des Thermopyles. Vers de Symonide fur cette journée mémorable.
Epitaphe des trois cens Lacédémoniens. X V I . 173. b.
lhermopvUs. Monument en l'honneur des Lacédémoniens
tués aux Thermopyles. IX. 168. u. Fortification des Ther-
mopj'les rép.arée par Jiiffinien Sc détruite par les Barbares. X.
016.
TH ERM O SCO PE , {^Fhyfu-j. ) différence entre le thermof-
copc Sc le thermomètre. X V I . 273. é .M . W o lf regarde tous
les thermomètres qui font en ufage , comme de Amples
thermofeopes. Méthode pour régler l’échelle des thermomètres
communs , de forte que leurs divifions inégales répondent
à des degrés égaux de chaleur , au moyen de quoi
la proportion qu’il y a de la chaleur d’aujourd’hui à celle
d’hier, peut être mefurée, Sc par conféquent un thermof-
cüpe peut être porté à la perfetlion d’un thermomètre. D éfaut
de cette méthode. Ibid. 274. a.
TH E S E , ( Logic]. ) thefe quodlibétaire. XIII. 727. b.
Thcfe forbonique. II. 227. b. Réflexions contre l’ufage de
foutenir des ihefes fur im fiijet particulier. IX. 904. a.
THESÉE. Incorporation qu’il fit de divers bourgades de
l’Attiquc fous un même gouvernement. XI. 810. »j,é. Fête
qu’il inffitua en mémoire des villes de l’Attique qu’il avoir
engagées à venir habiter dans Athènes. X V . 736. b. Il rét.a-
biit la sûreté dans les états & renouvelle les jeux iflhmi-
ques. VIII. 930. b. 11 purge la t'erre dès fcélcrats qui l’in-
fefloient, Sc établit des écoles appellées palcflres. IX. 758.
a. Viéloirc qu’il remporta dans la plaine de Marathon. X.
69. a. Fêtes qu’il inAitua en mémoire de la défaite cln Mi-
notaure. XI. 680. b. X V I. 274. b. T h é fé e , vainqueur du
Miiiotaiire , tableau d Hcrciilaniim.5«/>^’/. III. 356. <j. A ventures
qui lui arrivèrent auprès du fleuve Solooii. X V . 327.
a. Amours de Tliéfé’e Sç d’Ariane. Suppl. I. 5 3 5. a , i. Exil,
mort &. fêpulture de ce héros dans rifle de Scyros. XIV.
846. a. Traiilport de fou cercueil à Athènes. Ibid. b. Mo-
numeiis concefiiaiic ce héros , qu’on voyoit à Troezene.
X V I . 683. b. 686. U. Roche de Théfée. X V. p 8 . a. XVI.
274. h. Temple de Théfée. X V I . 79. b. Ruines du palais de
Tliéfée. Suppl.\.6-jo. b.
THÉSÉES ou ThcJ’éennes, Hiß. anc.') fête célébrée chez
les Athéniens en mémoire de la viéloire que remporta T hé-
l'ée fur le Minotaurei Ingratitude des Athéniens envers ce
héros. Punition qu’ils en reçurent des dieux. InAitiition des
theféennes. Les os de Théfée trànfportés à Athènes. Temple
élevé en fou honneur, Les Romains étoient bien cloi-
■ T H E
gnés de lui dreffer des amele , puifque Virgile place Tbéfée
dans le tariare parmi les fcélé»ts tourmentés pour leurs crimes.
X VI; 274. éÜ “
TH E S E ! A R A , ( Giogr. anc. ) lieu du Péloponnefe. X V I .
274. é. I^oyr-STHENIEN.
THÉSEIDE , {Myt/iol.) le cycle épique étoit un centon
de dlfférens poètes , ôc le morceau de cet ouvrage qui con-
cernoit T lié fé e , s’appelloit tliéféide. La théféide étoit aulTi
une maniéré de fe rafer la tête , introduite par Théfée. Poème
de Codrus, intitulé : lu Théjèide. X V I . 275. a.
TH E S IS , {Mußcj. ) abailTementde la voix dans la déclamation
& dans la mufiq e. L 7 13 .
THESMOPHORIES , {Ânüq.grecq.) fêtes célébrées dans
l’Attique en l’honneur de Cérès. Il n’y avoit que les femmes
de condition libre qui les célébroient. Habits qu’elles
avoient. Procelîion qu’elles formoieiit. Ouvrage à confuher.
X V I. 27>;. U. V o y e z Ce r e a l ia .
TH É SM O TH E T E , ( Antïq. grecq. ) les fix derniers archontes
d’Athenes étoient appelles thofmothctes , parce qu’ils
avoicut une intendance particulière fur les loix. Leurs fonctions.
X V I . 275.0. 77ie//no//iefcîj, maglArats d’Athencs. I. 620. <r. Ils étoient
chargés de convoquer l’affemblée des hélialfes. VII I. 100.
b , &c.
THESPIE , (Grdgr.j/ic.) ville de Bootie. Les Thefpiens
faifoient gloire d’ignorer tous les arts, fiemême l’agriculture.
Leur alliance avec les Athéniens. Fêtes en l’honneur des
mufes, & en l’Iionneur de Ciipidon que l’on célébroit à
Thefpie. ’ Statues qu’on admiroit dans cette ville. XVI.
275. b.
TH E SP IS , premier poète tragique. III. 361. a. X V I .
514. a.
TH E S P R O T IE , ( Géogr. une.) petite contrée de l’Epire.
Ses bornes. C e l l d.ins ce pays qu’étoieiit l’oracle de Ûo-
done , les chênes confacrés à Jupiter, le fleuve Aclieron ,
le Cocyte. Uu r o i, nommé Pliiton , y avoit régné avec fa
femme Proferplne, 6*c. XVI. 275. b.
THESSALIE , {Géogr. anc.) bornes de la Theffalie prife
en général. Anciens noms qu’elle a eus. Divifion de ce pays.
Son hifloire. XVI. 276. a. Chevaux de Theffalie. Caraftere
perfide des ThefTaliens. Magiciennes de Theffalie. Beauté
des femmes de ce pays. Ibid. b. Principales villes , rivieres
&. montagnes de ThelTalie. Vallée de Tempé. Produélions
de la Janna ou Theffalie moderne. Ibid. 17 7. a.
Thejfulie. Peuples de ce pays nommés Perrhebcs. XII. 396.
h. Sorcières de Theffalie. X V . 372. b.
THESSALIENS, {Géogr. anc.) les ThefTaliens ou Centaures
habitoicnrau pié du mont Pélion , & avoient inventé
la maniéré de combattre à cheval. X V I . 277. a.
Theÿuliens, renommés par leurs enchamemens, V . 619. a.
SedansTarede manierles chevaux, III. 391 .« , i.Leu rs
efeadrons. 868. b.
THESS A LO N IQ U E , ( Géogr. anc. ) ville de la Macédoine,
anciennement Therm.i. Origine du nom de Thcffalonique.
On la nomme aujourd’hui Salonichi. Juifs établis dans ce
lieu déjà du tems de Jefus-ChriA. Hifloire de la prédication
de S. Paul à Theffaloniqiie. X V I . 277. a. Premiere épître
qu’il adreffa aux fidcles de ce lien. Métropolitain de ThelTa-
lonique. Obfervations fur quelmies hommes de lettres, nés
dans cette ville jPierre Patrice ; Théodore Gazaj Andronicus.
Ibid. b.
TH E S SALU S , fils d’Hippocrate. X . 268. a.
Thcj]'.ilus de TraÜes, difciplc de Thémifon, médecin. X.
291.12. 461.é.
T H E T A , cette lettre grecque fervoit chez les Romains
à donner fon fuffrage pour la condamnation à mort. XVI.
277- b.
TH E T F O R D , ville d’Angleterre : mallienrscaufés dans fou
voifinage par les fables. X V . 571. a.
TH É T I S , (% M e / .) fille de Neréc Sc de D o ris , lapins
belle des Néréides. Noces de Tliétis. X VI. 278. a.
Théûs. Epreuves qu’elle faifoit fubir à fesenfans. SuppLl.
144. b.
TH EU D A S , faux ineffie. X. 406. a.
TH EU R G IE , {D iv in a t.) efpece de magie des anciens
dans laquelle on avoit recours aux dieux ou aux génies bicn-
faifans. Eloge que faifoient de cet art ceux qui le profef-
foient. L’appareil de cette magie avoit quelque chofedefage
& de fpédeux. X V I . 278. a. Epreuves que dévoient fubir
ceux qui vouioient y être initiés. En quoi confifloient les
grands myflcres. L’invention de cet art attribuée a Orphee.
Obfcrv.ation fur les formules théurgiques. Ibid. b.
T/iéirgie. Différence entre la magie goétiqne Sc la magie
théurgique. VII. 730. a. On ne doit pas rejetter comme,
faux tout ce qu’on dit des opérations théurgiques. V .
280. b.
TH E U T A T ou Thciitatcs, {Mythol. 6* Hiß. anc. ) nom
fous lequel les Celtes acioroient Mercure. Il étoit connu
des Gaulois fous le nom tl'Ogn'ius. X V I . 278. b.
T H O
TH E ü T H , {Mytbol.égypt.) dieu des anciens égyptiens.
Différentes dérivations de ce mot. Le tlictith des Egyptiens
n’éroit point le Dieu fuprème , mais une divinité donc tons
les arts tiroient leur origine. XVI, i - ß .b . Voye^ FIermls &
T hot.
T hcuth ou Thot, ( Culendr. égype.) premier mois de
l’année égyptienne. X V I . 279. a.
T h eu ïh , {Mythol.) dieu fuprème des anciens Celtes.
Suppl. II. 282. a.
T H IB A U T , comte de Champagne, fes ouvrages. XI.
740. h.
TH IE , ( Outil de fileufe ) fa deferip tion Sc fon ufage. X V I .
279. .2.
THIERRI I , roi de France. Ses guerres avec Pepin , duc <1 AiiHrafie. Suppl. IV . 286. a , b. Thierri, roi de M etz. Supvl,
n .^ C )Z .a ,b .
T h ierri de Niem, natif de Padeborn , fes ouvrages. XI.
740. b.
TH IN IT E , ( Hiß. d'Egypte ) dynaflies des rois thinites
ou qui ont régné à This. X V I . 279. b.
T H IV A , ( Géogr. ) ville de la Livadie , autrefois Thebes.
Situation de cette ville. Relies de la Cadmée. Grandeur Sc
Sc population de Thiva. Eglifes Sc mofqnées qu’on y trouve.
Exploitation de la terre dont on fait les' pipes à fumer.
X V I . 280. a. Rang que tenoit Thiva dans les notices eccléfiaf-
tiques. Ibid. b.
TH L A S P I , ( Botan.) caraéleres de ce genre de plante.
Sesefpeces. Defeription de la plus commune. Lieux où elle
croît. X V I 280. b.
g ThUfpi, efpece de ce genre appellée fcorodo-ihUfpt. X V I.
T hlAspi , ( Mat. médic. ) qualité 8c ufage de la femence
dethlafpi.X VI. 281 .J, ^
TH LA SPID IUM , {Botan.) caraile tes de ce genre de
plante. Ses efpeces. Du thlafpidium de Montpellier. Lieux où
croît cette plante. X V I . iZ i.a .
TH N E TO P SYCH ITE S , {Hiß.eccl. ) anciens hérétiques,
croyant ciuel’ame humaine étoit fembiablo à celle des bêtes ,
& mourolr avec le corps. X V I . 281. a.
T H O A S , roi de Lemnos, X V . 166. b. 190. b.
^^ JH O G R A I, philofophe Sc médecin arabe.X. 291. b. X IV .
TH O L O S , {InfeÜol. ) Foyei BOUCLICR.
TH Ü .M A , {JJianncsàSanfto-) philofoplie. XII. nyi.b.
TH OM A S , arbre de Saint- ( Botan. ) XVI. 281. A.
T homas, Coeur de Saint- {Botan.) Suppl. II. 496. i.
T homas, {Géogr.) iffe d’Afrique. XVI. 281. i .
Thomas, Saint- Habitans de cette ifle d’Afrique. VIII,
347.
T homas, Saint- {Géogr.) ifle de l’Américrue fenten-
trionale. X V I . 281 .i.
Thomas, Saint- Voye^ fur cette iffe de l’Amérique. XIV.
52<;..i.
T homas, chrétiens de faint- ( Hiß. eccl. ) chrétiens établis
dans la prcfqu’ifie des Indes. Il paroit par un témoignage
de Cüfinas, écrivain du fixieme ftecle, que le chriilianifme
étoit alors déjà établi dans les Indes. X V I. 281. b. Mais les
chrétiens de ces contrées fe donnent une antiquité bien plus
reculée. Ils prétendent que l’apôtre S. Thomas ell le fondateur
de leur cgüie. Narrarion roinanefque des courfes de
cet apôtre dans les Indes. Diverfes preuves de l’ancienneté
du chrtffianifme dans le M.iiabar. Princes du pays qui le
favoriferent. HiAoire d’un marchand arménien nommé Alar-
T/iomas, de qui l’on croit que les chrétiens du Malabar ont
pris le nom de chrétiens de S. Thorn.is. Ses dclceiulans divi-
fes en d-ux fcélcs. Ibid. 282. a. HiAoire de ces clirétiens,
Détails fur leurs opinions & rits ecci:'fi„Aiques. Ibid. b. On
voit par ces détails , que ces anciens chrétiens , fans avoir
eu de commerce avec les communions de Rom e, de Confiai.
unople , dAntioche êc d’Alexandrie, confervoient plu-
ficurs des dogmes admis par les proreAans , & rejoués
T homas, Chrétiens de.S.tlnc- III. 379. i. IX. 598. a. 921.
b. Leur axeifion pour l’églife romaine. XII. loS. b.
T homas d Aquin, b'-'i/u-Obff'wations fur ce doéleur.
X lV . 773. CiKunbre qu’il occupoic à Fondi. Suppl. III.
83. b. Somme de Saint Thomtts. III. 484 b. D e la néceffùé
de Ja foi félon ce pere. VU. 23. . t , h. Réponfe remarquable
quil fit à I.iiioocnt IV. X IV . 138. a. - Fove- THOMISME
6' T homistes.,
T homas, ) do l’académie francoife. Son ode fur le
tems. XVI. 1 19. a b.
TH OMASIU S , pkilofophic de {Hiß. de la pinlofophie )
lu n des reformateurs de philolophic , & des fondateurs
de l’cclcaifme rcnouvtUé, né à Léipfic en 1655. HiAoire
de ce philofophe &. de fes ouvrages. XVI. 284. b. Son éloge.
Principes généraux de fa philolophic, Ibid. 286. .2, b. de
la logique , Ib.d. 288. b. de fa pneumatologic, de fa morale ,
T H O l is
Ibid. 280. h. de fa jurifpnidence divine. Ib'id. 291. a b
T homasiUs , {Chrißiern)\c même dont on vient'devoir
U n id c précédent les principes philofophiqucs. IX.
THO.’WASSIN, prêtre de l’ouatoire. Sa doarine
fur la grace. V IL 802. 12. Son ouvrage fur la difeipline ec-
clefiaAïque. IV . 1030. b. ^
Thomaßn, pere & fils, graveurs. VH. 870 b
TH OMÉ . 6-.222N , ( Géogr^) ville de I’lndZ X. '3 i . ...
TH Ü M É E , { Nicolas-Léonic) philofophe péripatéticteii.
X ü . 372. b. ‘ •
TH 0 M 1S_ME. ( Théolog. ) Doarlue de S. Thomas d’Atiiîin
(X de fes difciples, principalement par rapport à la prédcl-
i.nauon & à la grace. X V I . 294. it. On ne fait pas pofiti-
vement quel eA le veritable ihomifmc. Cependant les écrits
d’Alvarcz_ & de Lémos ont paffé pour la regle du pur iho-
miline. L’école moderne a abandonné les fentimens de plii-
fieurs thomiAes, dont les expreffions avoient paru trop clti-‘
'■ es à Alvarez & à Léomos. Quatre ciaffes de thomiAes,
diAïugiiées par ces auteurs. Prémotion phyfique admife par
eux. Ibid. b. 2 r
TH OMISTES. ( Théolog. ) Explication de leur fyAême
fur la grace. X V I . 294. b. Objeélions contre ce fvAéme Ôt
reponfes. Ibid. 295. b.
Thom'iflcs. Leur doêlrine fur la g race , VU . 801. b. XV.
6 3 4 , b. fur la prédcAination, XIII. 274. a. 275. a , b. fur
la predetermination phyÄque , 279. u. fur la prémotion p hyfique
, 292. a , b. 293. it, fur la réprobation, X IV . 148. b.
fur la fcience des conditionnels attribuée à D ie u , 791. a.
fur l’immenfiié de Dieu. VIII. 5 7 3 . En quoi les ThomiAes
different des ScotiAes, XIV. 811. ^.;Di(pute des TliomiAes ou
Nominaux, avec lesScotiAes, fiirla diAinélion , IV . 1039.
b. 1060. a. fur la nature de l'éternité, VI. 48. u , b. fur les
univerfaux. X V II . 406. <2, b.
TH OM P SO N , {Jacques) poète anglois. Obfervations
fur fa vie & liir fes ouvrages. Suppl. II. 769. b. 7-^0. <2.
Eloge de fon poème des failbns. X IV . 530. b. Morceau de
ce poeme fur le foleil. X V . 316. a. Sa defeription de la
tempête traduite en français. XVI. 6o. b. Morceau fur la
Tamife. 219. b.
T H O N , Athen. {Ichihy.) Defeription de ce poilTon de
mer. XVI. 295. b. Lieu & faifoii où on le pèche. Qualité de
fa chair. Ibid. 296. a. — Voye^ vol. V I des pl. Regne aniin.
pl. 54.
T hon. {Pèche du) Defeription de cette pèche qui fe fait
aux côtes des Bafques 6c de Labour, Préparation de ce tjoif-
fon. X V I . 296. a. ‘
T hon. {Meda'dl. & L'ittér. ) Les Sinopiens tiroient autrefois
un grand profit de la pèche du thon, c’eA pourquoi
i|s le repréfentoient fur leurs monnoies. X V I. 296. a. Sacrifices
de tlion que les Romains faifoient à Neptune Bon
mot du poète Dorion fur un apprêt de ce poiffon. Ibid. b.
T u o y , {Géogr. anc.) ville de l’Afrique propre. XV'l.
T hon, le {Géogr. mod.) petite riviere du Poitou. X V I ,
T H O PH A IL , philofophe arabe. XIV, 666. b. 671. a , b.
T H O R , (Mythol.') divinité des anciens peuples du nord.
On croit que Tlior étoit le meme que le Mithras des Perfes
Sc le foleil. Comment cm le rcpréfenioit. Fonflions qu’on
lui attribuoit. Célébration de fa fête. Jour de la femaine qui
lut étoit coiifacré. X V I. 296. b.
T h o r , {H iß . du Nord) nom d’un roi du No rd , dont
riiiAoire tient beaucoup de la fable. Suppl. IV . 941. j .
Thor 6c Ba'ive, dieu des Lapons. II. 23. b.
T H O R A , {B o tan .) efpece de renoncule. Sa defeription.
Lieux où croit cette plante. Les Vaudois acculés en
1560, d’avoir trempé la pomte de leurs épées & de leurs
dards dans le fiic véiiimeu.v du thora. Fléchés empoifonnées
dont fe fervirent les Efpagnols contre le Maures en 1570.
X V l . 297. a.
TH O R A CH IQ U E , canal, {Anatom.) conduit par lequel
le chyle eA porté clans le coeur. Sa defeription. X V I .
107. a. Son ul'age. Jeux de la nature auxquels il eAexpofé.
■ variations qu’il montre dans les bêtes. Arteres thorachiques,
ou mammaires e.xteriies. Ibid. b. — Foyei Pecquet, {R é - ^
fcn'oir de) 6c Suppl. II. 614. a. Suppl. III. 698.
T H O R A X , {Anatom.) partie du corps humain qui forme
la capacité de la poitrine, 6c renferme le coeur 6c les
poumons. Etyin. du mot thorax. Defeription du thorax 6c
de fes parties. X V l. 297. b.
Thorax, divifion 6c parties du thorax. VIII. 270. a, b.
8cc. XII. 894. a. Limites du thorax 6c do rabdonien. Suppl,
II. 612. a. Ulcérés intérieurs du thorax qui caulènt l’ein-
piiyfcuie. V, 578.- b. Air thoracliique. Ibid.
T horax, {Géogr. anc.) montagne de la Magnéfie , fur
laquelle tut crucifié un certain Dapiihas, pour avoir attaqué
les rois de Porgamc dans deux vers. XVI. 298. a.
TH O R I , {Geoßroi) imprimeur. VIII. 628. b.