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P ESA RO, {Giogr.)^ ville d’Italie. Beauté de Ta fitiiatîort
6c de fou territoire. (Jette ville détruite p a rT o t ila , & rétablie
par Bclilairc. Ouvrage à coiifulter fur les antiquités
de Pefaio. Getto ville tut la patrie de Jean-François Alba-
n i , connu enluitc fous le nom de Clément X I , pape. Principaux
événeinens auxquels il eut part durant la guerre
entre Louis X IV & l’empereur. Le livre du P. Quefnel
admiré d’abord, & condamné enfuite par Clément XI. Ob-
lérvations fur la vie 6c les ouvrages de quelques gens de
lettres , dont Pefaro fut aulîi la patrie. Jafon Mainus , ju-
■ rh'eonfulte. XII. 448. b. Pandolfo Colienuccio. Ibid. 449. a,
Pesaro , {_G:ogr.) Obfervatioiis fur Jacques Maiiliifet-
l i , philüfophc , né dans cette ville. Morceau de pourpre romaine
qu'on voit d.ms le cabinet de M. Olivieri. Suppl. IV.
308. b.
J^LSCE-DONNA , [khihy ol.) ou poijfon-femme, poitfon
•d'eau douce qtii fe tronvoit dans le royaume de Congo.
Defeription de ce poilTon fmgulier , qui paroit avoir donné
lieu à la fable des naïades, des fyrenes , &c. Qualité
de fa chair. XII. 449. a.
PESECES, ( Hijl. ecd. des Grecs.) tribut que l’on paie
au fultaii pour parvenir au patriarcliat de Conftantinople.
■ Obfervatioiis fur ce fiijet. XII. 449. a.
PESCHERIE, lu côte de la ( Geogr.) partie méridionale
•de la péninfule de l’ Indc. Pèche des perles qui s’y fait chaque
année. Les Hollandois y alfiftent en qualité de proteéleurs ,
mais ils en font véritablement les maîtres. Commerce que
ces Hollandois de l’ille de Ceylan viennent faire fur ces
cotes dans le tems de la pêche des perles. A qui font ré-
l'ervées celles cpi’on retire le premiei- jour. Caufe des maladies
coiii.igieuiés qui régnent dans le tems de cette pêche.
iit.it de mifere des habitaiis de la côte de la pêcherie. XII.
,449. b. f'ayc{ PÊCHERIE.
PESÉE , ( Comm. ) Peféc en P erfe, où les facs d’argent fe
pefent 6c ne fo comptent pas. XII. 449. b.
PESE-LIQUEUR, ou Atéometre. ( ) Premiere invention
de cet inftrumciu. Pefe-lîqueurs qui font le plus en
ufage. Defeription de celui de Fahrenheit. Maniéré de l’employer.
Suppl. IV . 30S. b. Autre aréomètre dont on peut
le i'ervir, lorfpie les iluides à comparer feroient fi difté-
rens , que l’aréonieire donné s'cnfoiiceroit trop dans l’un &
trop peu dans l’autre. Caufes qui miifent à la précifion des
expér'iences faites avec ces inllrumcns. Eipeec de balance
à employer lorfqu’on voudroit une grande précaution. Moyen
d'ellimer la fomme de la ténacité 6c du frottement dans un
fluide , confidérée comme force réfiflante. Méthodes pour
trouver par l’aréonietre les parties du mélange d'une liqueur
compofée de doux autres , dont les pcfantcurs fpécinques
Jonc données. Jbid. 309.. t , b. Defeription d'un aréomètre pour
coniioirre la force des e a u x -d e - v io . Ibid. 310..;. Con-
Jlniéfion d'un autre inllriimenr pour l'efprit-de-vin & les
eaux-de-vie. Aiirre aréomètre p.ir lequel on peut connohro
la force de ces liqueurs. Ibid. b. Moyen facile de faire des
aréomètres comparables. Conftruélion d’un inllrumem dclli*
né à comparer les liqueurs qui ne loin pa» plus pefantes que
l'eau , ni plus legeres que ï’elprit-de-vin. Oblervations fur
les aréomètres pour la perception des droits impofés à Paris
fur l'eaii-de-vie. Ibid. 3 1 1. a Foye^^ A réo.me t r e , B a lance -
hydrostatique.
P ESEN AS, (Geo^r. ) ville de France. C e que Pline dit
rie cette ville. Princes qui l’ont poffédée depuis que Saint
Louis l’eut acquiie. Übfervations lur le poète Jerm-François
Sarrazin , mort à Pefenas en 16 64, & fur fes ouvrages. XII.
430. a.
Pejenas, vignes des environs de cette ville. XIII. 7 7z .
a. Foyer Ve2£:<a $.
P ESER, ( Com/7i.) Différentes balances avec lefquelleson
Y)efe les marthandifes. C e qu’on entend par pejer net 6c
fefer brut. XII. 430. a,
Peser w . . ( w , . ) i « 9 . . .
Peser les malades , {Hiß. d Angl.) Coutume fuperfticieufe
qui avoit lieu en Angleterre pour guérir les enfans. XII.
450. a. Coutume à-peu-près femblable que la pieufe cré-
riiilité des fideles a itiiroduire dans quelques provinces de
France. Ibid. b.
P eser la pierre, {Carrière) X IL 430. b.
P eser *1 la main, {Manege) XII. 43O. b.
P eser , {M.irine) XII. 430. b.
Peser , {Ch.iJJ'e) XII. 430.E
PESEUB. {Comm.) Devoirs 8c fonélions des pefeurs
royaux dans les villes de commerce. Pefeurs publics d'A in-
Ilcrdam. Pefeurs de fil à Amiens. XII. 430. b.
PESNE , peintre. Suppl. IL 313. a.
PESON , ( Median. ) balance romaine. XII. 430. b. Con-
•flruftion de cette balance. En quoi fon ufage cft commode.
Pefon à contre-poids. Ibid. 431. b.
PeSON d rejfort, ( Médian. ) Efpeces de marchands qui
s’en fervent le plus ordinairement. Lieu d’oîi cette forte de
^ a àù n e ûre fon origine, 8a defeription. Maniéré de s’en
fervir. Défaut de jufteffe de cette balance. XII. 431. a'.
Pefon à tiers point. Sa defeription. XII. 431. é.
PESSAIRE, {Chir.) Moyen dont on fe fert pour retenir
la matrice dans fa fituation naturelle. Matière dont il
convient de faire ces inftrmncns. Les pcllaires en anneau
ne conviennent point dans tous les cas ; exemples. Peffaire
que fit Saviard pour une defeente de matrice extraordinaire.
Peffaire élalliquc formé par un reilbrt en fpirale. Peffaire
médicamenteux dont fc fervoient les anciens dans certains
cas. XII. 431. h.
PESSE , {Boian.) cfpcce de fapin. XIL 451. b. Obfer-
vations fur les ruches que l’on trouve fouvent fur les extrémités
des branches de cet arbre. Comment elles fe forment.
Pucerons qui en rempliffent les cellules. Ji/i:'. 432. a.
Peße , maniéré d’en tirer la poix. XII. 899. a.
P E S S IM U S , ( Lang, latin. ) Etymologie de cet adieéHf.
III. 730. a.
PESSINUNTE , ( Géogr. anc. ) ville des Galntes Tollfto-
boges. Statue de Cybelc , qui n’étoit qu'une groffe pierre
noire, qu’on gardoit dans le temple de cette déeffe à Pef-
fmunte. Cette ffatiie demandée par les Romains. Fête an-
nuelle que les Romains célébroicnt en fon honneur. XII.
452. a.
Pcjfimmte, temple de Cybele dans cette ville : ftatue de
la déeffe que les Romains en firent venir. IV . 585. b. VIII.
926- a. X. 301. a. X V I. 70. J.
P E S T , {Géogr.) ville de la baffe Hongrie. Sa fituation.
Sa defeription. Ses révolutions. Suppl. IV . 31 1. b.
Pest , ( ) province de la baffe Hongrie. Sa divi- '
fion. Ses principales rivieres. Qualités du climat Sc du pays.
Ses produélions. Différentes origines de fes habitans. Ses
villes principales. Suppl. IV . 3 1 t. b.
PESTE , {Médec.) Définition de cette maladie. XII.432. a.
Ses cattles. Son origine. Quatre fortes de pertes. Ibid. b.
Caufe difpofitive dans les corps que cette maladie infeéle.
Ibid. 433. J, Symptômes., Diagnortic. Ibid. h. Prognortic. Ses
aflrcux ravages. Dangereux effets de la crainte dans cette
maladie. Traitement de la perte. Ibid. 434. a. Cure préfer-
vative. Le contentement de Tefprit 8c la joie empêchent
l’effet de la perte ; exemple. Ouvrage à confulter fur cette
qtiertion , fi l’eau ert un excellent prefervatif en tems de
perte. Cure thérapeutique. Ibid. b. Potions cordiales contre
la perte. Narcotiques. Ibid. 433. b.
Peste , {Médee.) Remedes contre la perte. Préfervatifs
8c curatifs. Suppl. IV . 311. />.
Pefle , prompte corruption des corps de ceux qui en font
morts. Suppl. iV . 723. a. Ufage du citron dans les tems
de perte. III. 493. a. Vertu que les Perfans attribuent au
platane contre la perte. XII. 733. b. Vertu de l’angélique.
Suppl. I. 426. b. Âloyen de fe préferver de cette maladie.
X'V. 386. b.
Peste, ( Defeription poétique de la perte. XVII»
729. b.
P e s t e , {Aflrolo^.) diverfes pertes attribuées à certains
afperts des planètes. VIII. 737. b. Talifmans 8c amulettes
contre la pelle. I. 384, a. 406. a , b. III. 613. b.
Peste , ( Jurifpr. ) Défenfe qui regarde les colporteurs
en tems de perte. III. 660. a. Tertanient en tems de perte.
X V I. 194. b. 193. a.
Peste , {H iß . anc. & mod.) Son origine. Ses ravages.'
Tableau de l’état de défolation d’une ville attaquée de cette
maladie. Deux pertes à jamais mémorables dont l’iiirtoire
fait mention.Divers pays que ravagea la premiere, 431 ans
avant Jefus-Chrift. Dclcription que Thucydide a donnée de»
fymptomes par Icfqiiels elle le manifertoir. XII. 436. a.
Géiiérofité que le médecin Hippocrate exerça dans ce tems
envers l'es compatriotes. Comment les Athéniens l’en ré-
compcnlcrent. Mort de Périclés pendant cette perte. Ibidé
b. Hilioire de celle qui ravagea le monde vers l’an 1346
de Jefus-Chrirt. Perte de Marfeilie en 1720. A quoi fe ré-
duifein nos connoiffaiices fur cette horrible maladie. Quels
font les meilleurs préfervatifs à employer en tems de
perte. Nombreux volumes qui ont été écrits fur la perte. Indication
de ceux qui méritent le plus d’être confuliés. Ibid.
437. A
efpece de perte fréquente en Ruflle. VIII. 468. a ,
b. Perte de Marlcille en 1720. X . 157. b. Perte fréquente
en Turquie. X V I. 739. a.
Peste d'Orient, du fixieme fiecle , {Hiß. de la médec.y
Précis des deferiptions qu'en ont données Evagrc 8c Pro-
cope. XII. 437. b. Circonrtance étonnante de cette maladie;
elle faififfuit les perfomies nées dans les villes attaquées ,
quelqu’cloignées que ces perfonnes flirtent du lieu où étoit
la maladie. Obfervations feniblables faites au fujci de la
fiieurjangloife. Ibid. 438, b.
P E S T l , ( Géo^r. ) village à dix-luiit lieues de Naples ,
dans le golfe de Salernc. Obfervations fur l’ancienne Paßum ,
enfuite Pajfidonia, ville des anciens D oriens. Rcrte précieux
d'architeélure qu’on voit dans ce lieu. Ouvrages où l’oa
P E T P E T
en troirve la defeription. Dernières révolutions qui ont m -
né cette ville, Suppl. IV. 312. a.
PESTILENTIEL , {Médec.) nialadic pertilemiclle. Ses
figues propres 8c carairtérirtiques. XII. 438. b. En quoi les
maladies pertilemielles different de la perte. Caufe de la fievre
pertilentiellc. Scs fymptomes. Prognortic. Ibid. 439. a. C u ration.
Potion ami-pertilenticlle, Ibid. b.
PcfliUnùel, fîevres pertilentiellcs. V I. 737. a. b. Caufe des
maladies pertilenrielles. I. 233. a , b. Bubon pertilemiei. II.
434. h. Charbon. lil. 193. a. Diffolution du fang dans les
maladies pertilenrielles de Marfeilie 8c de Brcda. 641. b.
Rien n’ert moins décidé que l’cxirtencc de leur contagion.
IV. 1 10. a. Maladies pertilemielles dans lefquclles il s’en-
gendroic des vers dans le cerveau. V . 617. a. D'où vient
la difficulté d'opérer la guérifon des fièvres pertilentielles.
III. 369. a. Ufage du vinaigre dans ces maladies. X V I . 871.
A XVII. 304. b.
PESÜLANIA , loi. IX. 667. rf.
P E T A L E S , ( ) pétales des f leu rs ,V I . 833. b. leur
formation. X'V’ l. 962. a. Pétale inférieur des fleurs papilio-
iiacées. Suppl. IV. 4. b. Dirtinélions admifes entre les fleurs
par rapport au nombre de leurs pétales. V I . 833. a.
PÉ'J'ALISME , ( Hijh anc. ) inrtitutiüii faite à Syraeufe
dans le même but que l'Ortracifme à Athènes, mais plusijii-
qiie 8c rigoureufe. Etymologie du mot Péialijmc. Inconvé-
niens tie cette infliiution , qui la firent abolir. XII. 460. a.
P É T A R D , ( Art milit. ) defc ription du pétard. Maniéré de
le charger. Son ufage. X II. 460. u. Compolition qui tient lieu
de poudre pour charger le pétard. Origine de cette arme, Manière
de s’en fervir pour rompre une porte. Le métier de
pétardier extrêmement dangereux. Autre efpecc de pétard
dont on fe fert pour enfoncer les herl'es 6c les portes des villes
afliégées. Maniéré de l’appliquer. Manierede le charger. Ibid. b.
Pétards , ( A n if. ) ou péterolles. Comment on les fait.
XII. 46t.
Pétards, efiiece de pétards appcllés marrons. X . 1 44. a.
P É T A S IT E , cararteres de ce genre de plante. Ses
efpcces. Defeription de la grande & commune pétarde. Lieux
où elle fe plaîr. Propriétés 6c ufage de fa racine. XII. 461. a.
P ÉTAU , ( ) célébré jéfuite, auteur de divers ouvrages.
X L 632. b.
P É T A U R E , ( Lin. ) efpece de jeu dans lequel deux hommes
fe balaiiçoient l’un contre l’autre. Defeription qu’en fair
Manilius. XIL 461. b.
P É T É CH IA L E , T/evrf (AJeWt’c. ) fymptomes de cette maladie.
Ses fignes funertes. Scs caufes. X ll. 462. a Manière de
la traiter. Ibid. b.
PETECHIES , ( Médec. ) taches pourprées dans les fièvres
ifialignes 8c contagieufes. Noms donnés à ces taches en différentes
langues. XIL 462. b. Foyc^ Pétéchiale , Fievrs.
Ouvrage à confulter.
P E T E L IA , ou Petilia , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie. Son
fondateur. Progrès de cette ville. En quoi elle a mérité d’être
comparée à Sagonie. XII. 462. b.
Pciclia, {Géogr.) ville d’Italie dans leBriitlmn. Son fondateur.
Ses révolutions. Suppl. W . 312.^.
PÉTERSDOURG , ( Giogr. ) capitale de l’empire de Ruf-
fic. Defeription de cette ville. Sa population. Ses èglifes, Sc
autres principaux édifices. Cette ville élevée dans l’clpace de
fix mois 8c dans le fort de la guerre. XII. 463. a. Mauvaife
pofition de Pétersbourg. Obfervations fur tout ce que cette
ville a de dcfagréable 8c de défavanrageu.x. Bois de conl-
truélion qu’on emploie pour les vailfcaiix de Pétersbourg.
Objets du commerce de cette ville. Balance de fon commerce
avec l’Angleterre, 1a Hollande , Sc la Suede. March,mdifes de
luxe qu'elle tire de France. Ibid. é. Exemples de l'âprcté des
hivers qui régnent en cette ville. Froids de 1733 8c de
Ï748. Inondations 8c incendies fréquens à Pétersbourg. Sa
pofition géographique.Obfervations furie caraélere du crar
Pierre I. 8c fur ion regue. Sa conduite envers le prince Alexis
fon fils. Ibid. 464. a.
Pétersbourg, nombre des jours humides qu'on y remarque
dans le courant de I’aniiee. Suppl. IV. 417. h. Académie
impériale de Pétersbourg. I. 33. b. Bibliothèque de cette
ville. IL 234. a. Marché public appelle lawks. IX. 327. a. A u tre
nommé miulnov-diwor. X. 384. b.
PET ERSHO F, ( Géogr. ) bibliothèque de cette ville. II.
PET ILIA loi. IX. 667. A
P E T IT , {Gramm. ) Il n’y a rien qui foit abfolument grand,
rien qui foit abfolument petit. L’homme juge de la grandeur
deschofespar le rapport qu'elles ont avec lafienne.XÎI, 464. E
Petit, )u om de quelques nniides. XIL 464. b.
Pet it , ) minirtre réformé. XI. 149- a.
Pe t it , {Jean-Louis) chiruigicn: diverfes méthodes &
inrtniinens qu’il a inventés, décrits dans plufieiirs articles
de chirurgie.Ses ouvrages. SuppLl. 404. E 5/i/zpJ. IV . 333. a
Petit , ( François ) anatomifte , I. 4Q3. 0. & phy-
fiologifte, Suppl.ïV. 533. a.
427
Petit , ( Antoine ) anatomifte , Suppl. I. 410. h. 8c phyfio-
lomftc. Suppl. IV. 339. b.
rLTIT bois des croijées à verre , {Menuif. ) XII. 464. b.
Petit corps des marchands, les membres des communautés
de ce nom entrent rarement dans le confulat. XII.463. .t.
P etit corps {Scrgetlerie) XII. 463. a.
Petit-g r i s , {Eouncur^ lieux où fe trouvent les rats-
écureuils dont 011 tire cette forte de fourrure. Comment le
vend en Mofeovie le petit-gris deftiné pour la Turquie. Con-
fommation qu’en font les habitans de Conrtaniinoplc. Ct)m-
inercc du petit-gris exercé à Paris par les marchands merciers
8c les pelletiers. On nomme quelquefois, mais lual-à-propos,
petit-gris , les peaux de lapin dont le poil cft gris. X ll.
463. A
Petit-g r i s , ( P/amu/É ) petites plumes tirées de rautru-
che. XII. 465. a.
P E T IT -JAN , ( TtiCrac) détails fur ce fiijct. XII. 4(13. a
P E T IT -M A IT R E , { Lang, jranç.) définition du pctlt-
niaitrc. Origine de cette expreflîon. I)éfiuits 8c ridicules attachés
au caraélere de petit-maître. Hommes 8c femmes de
ce caraélerc dont Rome regorgea dès qu’elle fui affervie.
Trait du peiit-maitre romain rapporté par Seneque , qui peint
admirablement cette efpcce d'hommes. X ll. 463. b.
P ET IT-O LON E , ( Comm. lie toile, ) forte de toile. Lieu où
elle fc fabrique en France. Comment elle fe vend. X ll.
463. b.
PET IT-PERE , {Hiß. rnonach.) Au^nCxin déchauffé. XÎL
436. b. Etabliffemenc de cette congrégation à Paris. Origine
du nom de petit-pere. Ibid. 466. a.
P E T IT -T E IN T , {Teintur. ) diftinrtion entre les teinturiers,
les uns du grand 8c les autres du petit teint. XII. 466. a.
J’ ETIT-'V^ENISE , ( Comm. Je toile ) efpece de linge ouvré.
XIL 466. II.
P ET ITE - GUERRE , ( A n milit. ) fon objet. Dcta-
chemens ou partis qu’on y emploie. Capacité qu’exige cette
guerre dans les officiers qui la condulfcnt. Son utilité. Oblervations
fur la maniéré de la faire. X ll. 466. a.
P E T IT -V IE U X ,fix réglmem qui fuivent les vieux corps.
XII. 466. b.
P É T IT IO N , phis-pctitioii , ( Jurifpr.) X ll. 803. a , b.
Pétition de principe. Logiij. X V . 363. b.
P E T ITO IR E , {Jiirijpr.) différence entre le péiitolre 8c
le poffeffoirc. Maximes de jurifprudcnce fur l’artlon péti-
toire. XIL 466. b.
Petitoire »lettres pour cumuler le pétitoire avec le poffef-
foire. IX. 421. a. A qui appartient la connoilTancc du p«-_
titoire , en matière bénéficialc. 111. 463. b.
P E T ITO T , ( Jean , ) peintre en émail. V . 356. a.
■ P E T IV ER E , {Batan.) carartercs de ce genre de plante.'
XIL 466. b. Lieux de l’Amérique où cette plante eu commune.
Qualité qu’elle donne au lait des bertiaux. O rigine de
fou nom. Ibid. 46J. a.
P E TO N C L E , ( Conchyliûl. ) coquille bivalve de la famille
des peignes. Ce coquillage ert un des meilleurs de la mer,
confidéré comme aliment. Peélen de Tarente. Defeription de
la coquille du pétoncle Sc du poiffon qu’elle contient, Ob-
fervations fur les fils que jette cet animai. XII. 467. a
Pétoncle, d’eau douce, IV . 187. b. Pétoncle de mer. 188.
a. Efpcce de pétoncle nommé ccEur de venus. Suppl. IL
496. b. Pétoncles reprefentés, vol. V I . des pl. Regne animal,
pl. 63. & 73.
P ETRA , ( Géogr. anc. ) ralfon pour laquelle ce nom a
été donné à pliifieurs lieux. Petra, ville capitale de l'A rabie
pérrée. C e que d’anciens auteurs nous en apprennent. D ix
autres lietix de ce nom. XII. 467. k. — Sur la ville de ce
nom en Arabie, l'oyeç^ Suppl. I. 369. b.
P E T R A R Q U E , ( François ) poète : étude qu’il fit des
médailles. X. 229. a. Couronnement de ce poète. XII. 244.
b. Sa demeure prés de Vaticlufe: amour qu’il y conçut pour
Laure : obfervaiion fur fes ouvrages. X'V I. 839. a, b. Lieu
de fon tombeau. Suppl. I. 3Ö9. a.
PETR E L , {Ornith.) Pinçon de mer. Sa defeription. Pourquoi
on lui a donné encore le nom d'oifeau de tcmpéte.WL.
468. a.
Pétrel, cet oifeau repréfeme vol. V I . des pl.Regne animal
, pl. 30.,
PETREUX , {A n a t.) apophyfe pierreufe de l’os temporal.
Sinus pécreiix de la dure-mcrc. XIL 468. a.
PÉTRIF ICA TION , { Minéral. ) c’ert aux eaux feules que
l’on doit attribuer la pétrification. XII. 468. a. Examen de
la maniéré dont fe fait la pétrification du bois. Quelques
perfonnes n’admettent point de pétrification véritable. Mais
leur fentimentn’eft fondé que fur une difpute de mots. Ibid,
h. Divers exemples de bois pétrifiés. Application de ce qui
vient d’être dit du bois aux parties des animaux qui fe pétrifient,
Les pétrifications des quadrupèdes doivent être très-
rares , fi tant ert qu’il en exifle. Fables racontées fur des hommes
pétrifiés. Jugement qu’on doit porter fur des prétendus
oifeaux pétrifiés avec leurs ceiifs, für des crapauds, lézards.