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2 9 0 N I E
critiques modérrres qui parurent vers l'an S ç i . X î. 135.
N IC O L A S , { fa in t) fêtes extravagantes célébrées ce jour
en divers diocèfes de France. V I. 574. h. Ufages que pratiquent
ce même jour les Italiens. X V II . 693. a-
N ic o l a s , f u faini-{Mà-iorc.) II. 733. b. 734. a. IV.
1016. rî. V I . 613. b. . T> tt
Nicolas, V . pape, bibliothèque qu’il fonda a Kome. 11.
^ ^ N iCOLAS , {H if . de Dancm.) roi de Danemarck , fils de
.Suenon Efiritli. Suppl. IV. 43. a. Principaux évéïiemens de
fou regne. Ibid, b
NicoLts , roi de Danemarck. Suppl. II. 213. b. 224. a.
N ICOLE , ( Claude ) appréciation de fes ouvrages de morale.
V m . 818. b.
N ICO L O , del abbaie, peintre. V . 3 30. a.
N IC O M A Q U E , peintre ancien. XII. 260. b.
NICOM EDE , {Hiß. anc.) hilloire abrégée de trois rois de
Hiihynie , qui portèrent ce nom. Suppl. IV. 43. b.
N [COM ED IE , (Gw^r. anc. & mod. ) ville d’Afie en Bi-
tliynie. Son fondateur. Ce fut à Nicomédie qii’Annibal fe
réfugia. Comment divers hiftorîens ont parlé de cette ville.
Evéïiemens qui l’ont rendue remarquable fous le chrdli.'inif-
me. État préfent de Nicomédie. XI. 136. a. Sa fituation.
Obfervations fur Arrien , philofophe né dans cette ville , &
fur fes ouvrages. Ibid. b.
NICOPHANÈS , peintre ancien. XII. 261. a.
N ICO PO L IS , ( Géc-g-r.) obfervation.s fur l’origine de ce
nom donné à difl'érentes villes. X I. 136. b.
Nicopolis, ville de la Grèce dans l’Epire. Son fondateur.
Médailles frappées à l'occafion de la fondation de cette ville.
XI. 136. b. Peuples qu’AugiiIIe y raiTembla. Séjour de S.
Paul dans cette ville. Ibid. 137. b.
NiCüpolis ad Hizmum., ville de la Thrace. XI. 157. a.
Nicopoiis , ville de la baflc-Mccfie. XI. 137. a.
JSicopolts ad Neß'um , ville de la Thrace. Son fondateur.
Anciennes médailles de cette ville. XI. 137. a. .
Nicopoiis fon fondateur. X i. 137. a.
Nicopoiis , ville de I’Annenic mineure. Son fondateur. Sa
fituation. Son rang parmi les villes de l’Arménie chrétienne.
XL 137. a.
Nicopoiis , de Bithynie. XI. i 37. b. ^
Nicopoiis ,\\We de l’A fie mineure. XI. 137. b.
Nicopoiis, en Paleftlne. X L 137. b.
N I C O T , {J ean) homme de lettres. XI. 149. a.
NID d'oijeau , {B o l.) caraéieres du genre de plante de
ce nom. X L 13S. a.
N id s , arb/e aux , {B o t.) dans le royaume de Siam. X V .
130. b.
N ids d'oïfeaux , {Hi(l. nai. ) efpece de nids dont on fait
un grand ufage à la Chine , & qui e f un objet de commerce
confidérable. Lieux où fe trouvent ces nids. Prix
auquel ils fe vendent. Oifeaux qui les conliruifent. Matière
dont ils les forment. Couleur des plus eflimés. Qualité ali-
menraire de ces nids. C e que le difHonnaire de commerce
rapporte fur ces nids. X L 138. a.
iVid’j des oifeaux de proie. 1. 238. E Variété des nids des
hirondelles. II. 214. b. Erreur lur les nids des oifeaux de
mer. Suppl. II. 549. b.
Nids des infeéles. VIII. 784. b.
N ID D U I , {Crkiq. fa c r .) mot h éb reu , qui exprime la
plus légère excommunication ufitée chez les Juifs : en quoi
elle confftoir. Quelles étoîent les deux autres. XI. 136. b.
NIEBUHR , extrait de la relation de fon voyage en Arabie.
Suppl. I. 307. a , b. — 309. a.
NIEDER-MUNSTER,(Geog-/-.) état eccléfaftique d’Al-
lema>^ne. Raflg de cette principauté à la diete Sc fur le banc
des eccléfiaftiques du cercle de Bavière. Obfervations fur
cette abbaye. Suppl. IV . 46. a.
N IE L LE , {B o l .) carafterc de ce genre de plante. Ses
efpeces. Deferiptions de la nielle fauvage commune. XI.
138. b. Et de la nielle ordinaire cultivée. Lieux d’où l’on
en tire la graine. Petite nielle du levant. Ibid. 139. b.
N ie l l e , ( Chym. Diet. Mat. médic.)\m\\ti tirées de la fe-
mence de nielle romaine. Propriétés de tettc_ fcmcnce.
Compofitions pour lefquelles elle cft employée. X L 139. a.
N ie ll e , (£vü/i. ) maladie des grains. O rigine
de fon nom. Cet article éft extrait d'un ouvrage de M.
Qledltfch , botanifie Allemand. Autres ouvrages à conful-
ter.—Univerfalité de cette maladie. La nielle cft une efpe-
cc de carie qui vient du fuc végétal vicié , Sc qui attaque
Ipécialement les parties les plus tendres 8c les plus délicates
des plantes, Suppl. IV . 46. a. Aucune efpece de plante n’en
eft à l’abri. Elle s’étend même jufqu’aux fruits. Cependant le
feigle y eft rarement fujet. Le mal commence par cette
paftiedela plantule féminale appellée la plumule. Comment
on en apperçoit le progrès. Les terres graffes Sc fertiles paroif-
fent donner plus d’épis niellés que les autres. Ibid. b. On ne
fauroit diftinguer, felon M Gleditfch, les plantes infeélées,
jufqu’à ce qu'elles aient fait leur je t , Sc que les épis avec
N I G
leur b^bé foient fOrtis de l’étui des feuilles : mais ce fen-
liment eft combattu par d’habiles naturaliftesSc cultivateurs,
qni afîurent que dés que les blés ont trois ou quatre fanes,
on peut diftinguer les plantes tarées qui doivent produire
des épis niellés. Signes auxquels on reconnoit alors cette
maladie. Ibid. 47. a. Expériences faites par M . Gleditfch fur les
plantes niellées. Raifon de la différence qui le trouve dans leurs
épis. Dans toutes fe s plantes, les fleurs font généralement
la partie la premiere Sc le plus fenfiblement attaquée.
Les enveloppes des fleurs réfiftenc plus long-tems. Ibid. b.
Pouffiere dans laquelle les fleurs des blés font réduites. Q ualité
contagieufe qu’on lui attribue. La nielle détruit plus facilement
les épis du froment que ceux de l’orge. De la caiife
de cette maladie. Ibid, 48. a. Elle réfide pour l’ordinaire
dans la corruption de la femence. Conjeftures fur le principe
de cette altération. Aucun rcmede ne peut rendre à des fe-
inences ainfi altérées la faculté de fc reproduire, quelles
ont perdue par la mort des organes qui y doivent concourir.
Facilité avec laquelle des femences à demi mûres , ou imparfaitement
feches, lorfqu’elles font recueillies Sc entaffées ,
peuvent prendre des qualités contraires à leur nature. Principes
dont leurs fubfiftances encore glaireufes font compofées.
Ibid. h. Différences ftngulieres qui fe trouvent dans les épis
des plantes faines par rapport à la bonté de leurs grains.
Non-feulement les grains mûriffent l’un après l’autre, mais
ils pouffent encore plufieurs tiges collatérales , qui néceffai-
rement affaiblies, ne portent aucune femence qui arrive à
maturité. Une pareille graine plus fulceptible d’altération que
les autres, contribue beaucoup à engendrer la nielle des
blés. Ibid. 49. a. Nouveaux détails fur la caufe de cette maladie.
On obferve quelle attaque aifément les plantes qu’on
fait fleurir avant leur faifon , par le moyen des ferres chaudes
; il en eft de même fi la plante fleuriffoit après la faifon.
Des moyens de prévenir cette maladie. Maniéré de fe procurer
Sc de choifir une bonne femence. Accord entre le fen-
timent de l’auteur furies caufes de la nielle Sc celui de MM,
de Gleditfch Sc le Noir. Ibid. b. Ce fyftème confirmé par
les obfervations de M. Aimen. Lcftlves propres à prévenir
la nielle venant de moifilTure dans les femences. Si la nielle
procédé du defaut de perfeftion ou de maturité de la femenc
e , aucune lotion ne peut la prévenir. Expériences qui le
prouvent. Pourquoi certaines terres produifenr plus de nielle
que les autres. Ibid. 30. a. Énumération des moyens par
lefquels on peut la prévenir. Ibid. b.
N ielle , ( ji; r ia ilt .) brouillard qui gâte les grains : qualité
pernicieiife que ce brouillard communique au feigle. II.
444.é,Épisniellés.5i/pp/.I. 9 1 7 . -t. De la caufe de cette maladie,
Suppl. III. 3 27. J , b. Ses rapports avec le charbon, Ibtd.
b. Moyen d’en garantir les blés. Suppl. II. 328. a. Fumier
qui communique la nielle. V i l . 466. b. Elle ne vient point
de l’humidité. Suppl. III. 219. a. Fête que les Romains célé-
broient pour éloigner cet accident de leurs blés. XIV.3 10. b.
NIEMI , ( Gt’ugr. ) montagne de la Laponie Suèdoiie. X L
139. a. Defeription qu’en donne M. de Maiipertuis. Ibid. b.
^NIÉPER , ( Géogr. ) autrefois Boriflhcnc. Anciens auteurs
qui en ont donné la defeription. Origine du nom Dnieper^
Cours de ce fleuve. XI. 139. b.
Niéper, fauts qu’il fait dans fon cours. XIII. 126. b. D e feription
de ce cours. II. 337. a.
N IE R , {Jurifpr.) Foyei DÉNÉGATION , INSCRIPTION DE
FAUX.
NIESTER , ( Géo^r. ) voyei D n ie st e r .
NIEUPO RT , {Geogr.) ville des Pays-bas Autrichiens. Ses
révolutions. X L 139. é. Sa fituation. Origine du nom de cette
ville. E lle eft la patriedeJoffe Cliélhone, doéfeur deSorbonne.
Ibid. 140. a.
N IEUW E N T IT , {Bernard) phyficien. X V II . 602. b. Ses
calculs fur la lumière. IX. 719. b. Sa phyfiologie. Suppl.
IV . 333-é-
NIFLHEIM , (Myr/i, ) enfer des anciens Scandinaves.'
Defeription qu’ils en donnoient. XI. 140. a.
NIGAS , ( Hijl. nat.) ciron d’Amérique. IIL 476. a. Foyet^
C h iq u e , N io u a , T o n Sc T u n g .
NIGER , ( Gc-ogr.)fleuve d’A frique , autrement dit riviere
du Sénégal. Son cours peu connu encore , létoir encore
moins des anciens. Connoiffance que nous en avons. X L
140. a. Inondations du Niger. Ibid. b.
Niger, fon origine, phénomènes de fon cours. VI. 869-
a. Ses déhordemens. 870. a.
N IGRITIE, {Géogr.) efpece de lepre connue dans ce pays.
IX. 393. b. 393. b. Pluie qu’il y tombe ammellemenr. Suppl.
IV. 418. a.
N IG R O IT , ( Je/,Myo/. ) defeription de ce poiffon de
mer. Comment il fe noim it. Qualité de fa chair. XI. 140. b.
N IG R OM AN T IE , {D iv in .) Etymologie du mot On
entendoit autrefois par là l’art de connoître les cfcofcs de Ja
terre , Sc placées dans des endroits noirs. Selon quelques-
uns cette connoiffance naturelle devint enfuite criminelle
& diabolique. Offices que les démons rendweni par L’effet
N I L
de cet art. XI. 14®- Réflexion fur ces pratiques fuperf-
titieufes. Ibid. 141. a.
NIGUA , ( Infeêlolog.) efpece de puce du Bréfil. Sa defeription.
Comment elle le fiche dans la peau , s’y multiplie
& y caufe des ulcères. Moyen d’y porter rcmede. Foyei
NiGAS. XL 141. a.
NIHELL , médecin Irlandois : fli doftrine fur les crifes.
. IV. 482. b. Sur le pouls. XIII. 229. b.
NiHIL A L B U M , {Chymie) ou fiinplement ntl: farine
légère qui s’attache au-deffiis des fourneaux où l’on traite des
fubftances métalliques. El])ece de tutie qui porte particuliérement
ce nom. XI. 141. a.
N lK A D U W A L A , (£ot. ) efpece de cannelier. Suppl. II.
233. b.
NIL , {Bot. anc.) nom donné par le médecins Arabes à
deux graines très-différentes. Quelquefois ils entendent par-là
une plante, & d’autres fois la teinture qu’on en tire. X L ly i.b .
Ni l , {Géogr. ) fleuve d’Afrique. Scs dift'érens noms. Les
plus grands conquérans de l’antiquité ont regardé comme
une gloire, d’en pouvoir découvrir les fourccs. Découver-
re de ces fburces faite par les Portugais au milieu du dernier
ficcle. Defeription du cours de ce fleuve. XI. 141. h.
Scs caraifteres. Ses débordemens. Couleur de fes caiix clian-
gée au tems des crues. Obfervations fur le limon dont elles
font chargées. Ibid. 142. <i.
Nil , ( Géogr.) cataraftes de ce fleuve : elles font beaucoup
moins remarquables que l’ont prétendu les anciens.
Caufe particulière de la chaleur du climat de l’Egypte. Pourquoi
les nuits & les matinées y font très-froides. Des crues
du Nil, Obfervations fur riiyppopotaine qui habite les hautes
contrées du Ni l , 8c fur le crocodile qu’on trouve le long de
ce fleuve, Suppl. IV . 30. b. 8c fur les efpeces de furet appelle
rat de Pharaon. Caufes des inondations du Nil. La premiere
confifte dans la dircélion de fon cours du fuel au nord. Son
cours depuis fa foiirce jufqu’aux cataraéles fe trouve fous la
zone torride , où il pleut pendant tout notre été. La fécondé
provient d’un vent réglé qui fouffle de Left à l'oueft dans
la partie feptentrionale de la zoiie-iorridc , depuis le mois
d’avril jufqu’en oeftobre , 8c qui accumulant les vapeurs ,
forme des nuages, qui fe réfolvent en pluie fur les montagnes
d’Abyffmie. La troificme caufe provient des vents
étefiens qui foufflent du nord au fud de l’Egypte , Sc qui
arrivent périodiquement vers la mi-mai. Ces vents s’oppo-
fenc au cours du fleuve , en fufpendent les eaux & les font
déborder. Ib/d. <1. a. A cene caufe concourent les cata-
raftes 8c montagnes qui bordent le Nil à une petite diftan-
ce , lefquelles retiennent l’eau de tout coté , & ne la b iffent
échapper que par b Méditerranée. Pourquoi les fources
du Nil furent inconnues aux anciens. Incertitude où l’on eft
encore fur les vraies fources de ce fleuve. Ibid. b.
N i l , ce fleuve autrefois appelle Siris. X V . 93. Son cours
au-defltis Sc aii-cleffbus de fifle de P/nViE. XII. 303. a. Nombre
des rivieres qui contribuent à le groffir. VI. 868. Ses
cataraiftes. 11. 769. a. Peuples qui habitoient près des cara-
raéles du Nil. 739. a. Ses embouchures. VI. 869. b. VIII.
772. a. XI. 142. b. Embouchure du Nil appellée des anciens
tanicicum ojlium. X V . 887. b. Bras du Nil qui forment le delta.
Suppl. I I .6ç)i.a. Obfervations fur fes accroiffemens Sc dècroif-
femens. 183. b. Caufes de fes déboi demons. V I. 30. é. 870. a.
Tems où arrivent ces inondations; leurs effets par rapporté
b fertilité de b terre. 870. a. V I ll. 772. a. A quelle hauteur
les eaux du Nil dévoient s’élever pour marquer la fertilité.
X. 6 1 1. a. Infiniment avec lequel on mefiiroit la hauteur
de fes eaux. XL 143. a. Plante qui croit dans le tems de fes
inondations. X V . 344. b. L'Egypte fertilifee par ce fleuve.
Suppl. III. 30. a. Ces inondations plus petites aujourd'hui
qu’autrefois. VIII. 772. a. Ckangemens caufes à l’Egypte
par les terres que charrie ce fleuve. X V I . 164. b. Canaux que
les anciens avoient faits pour la diftribution de les eaux, VIII.
772. a. Canal conftriiit du Nil à la mer Rouge. IX. 866. a.
XIV. 404. a. X V . 633. a. Pierre appellée galaricidc, qu’on
trouvoit dans le Nil. VII. 428. a.
Ni l , ( Alyth. ) ce fleuve honoré des Egyptiens fous le nom
Ci’Ojtris. Fête qu’on célébroit en fon honneur. Repréfennuion
du Nil, qui fe voit au jardin des Tuileries. X L 142. a.
N il , {Art numifm. ) ftatue coloffale du Nil qu'on voit au
belvedere du Vatican, Sc dont il y a une copie au jardin des
Tuileries. XI. 142. a Médaille qui nous a confervé b mémoire
d’un débordement du Nil à b hauteur de feize coudées.
Ibid. b.
Ni l , {Hifl. Littéral.) les eaux du Nil annoncèrent, félon
Seneque, b défaite d’Antoine & les malheurs de Cléopâtre.
V IL 98, a. Repréfentation fymbolique du Nil. X V . 733. b.
Maniéré ingénieufe dont le chevalier Bcrnln a exprimé dans
^ e ftatue du Nil que fa fource eft inconnue. X IV . 68. l\
Delcription poétique du cours du NU. XVII . 728. a , h. T a bleau
trouvé en b ville de Paleftrine, repréfeiitant une por-
tion de b haute Egypte où le Nil cft débordé, vol. VII I des
pbneh. Mofaïque, pl. 4.
N I R 2 . 9 1
N il , ( Monn. du Mogol) XI, 141. b.
NILICA -M A RAM , {B o t.) efpece de prunier des Indes
orientales. Ses ufages en médecine. XI. 142. é.
N I L l O S T IA , ( Géogr. anc.) divers fentimens des anciens
lur le nombre des embouchures du Nil. Obfervations des
modernes fur ces embouclnires. XL 142. b.
N I I^M E T R E , ou NHofeope, ( Æ/Z. <ï«c,) inftrument dont
on fe lervoit pour mefiirer b hauteur des eaux du Nil. Etymologie
du mot nilometre, 8c du nom ùa Nil. Traité arabe
f nr les nilomctrcs. Colonnes élevées pour mefurer les accroif-
emens du Nil. Sacrifice d’une jeune fille qu’on noyoit tous
les ^ s dans le Nil. Le nilometre tiré du temple de Sernpis
l^r Conftantin, y fut replacé par Julien, jufqu’au tems de
iheodofe. XI. 143.
NIMBE , { A n numifm. ) cercle fur certaines médailles.
Quelle cft b plus ancienne fur laquelle on voie tm nimbe.
En quel tems ces nimbes devinrent communs. Differtation à
conliilter fur ce fujet. XI. 143. a.
NIM BO , f.vo/.) arbre des Indes orientales. Sa defeription.
Autre efpece de nimbo. XI. 143. b.
NIMEGü E , {Géogr.) ville des Pays-Bas. Divers évenC'"
mens qui la rendent remarquable. Preuves de fon ancienneté.
Hiftoire de cette ville. Citoyens de Nimegne qui le font
diftingués dans les lettres. Gérard Geldenliam. X L 143. b.
Henri Caniftus. Gerard Noodt. Ibid. b.
^t'uegue, miroir d’ncicr trouvé en 1647 dans un tombeau
à Nimegue. X. 371.^. Nimegne anciennement Abv;o/njet/j.
Suppl. IV. 62. a.
N im e g u e , le quartier de ( Gt'ogr. ) XL 144. a.
NIMES , ( Géogr. ) Nîmes ancienne. XI, 89. h. Suppl. IV .
12. Ruines d’un temple de Diane dans cette ville. 826. b.
Fontaine remarcpinble appellée Fonfanclie dans le diocefe de
Nîmes. VIL 100. b. Conventions royales de Nîmes. IV. 164.
a. Hiftoire de cette ville. III. 918. a. Foyc^ Nismes.
NIMETU LAHIS, ou Nimétulahiies , ( Hiß. mod. ) forte de
religieux Turcs. Leurs pratiques. Cérémonies par lefqucUes
on eft introduit dans cet ordre. XI. 144. a.
NINIAS , roi d’Affyrie. Suppl. I. 639.E.
N IN IV E , ( Géogr. o/tc.) fondateur de cette ville. Sa defeription.
Ses révolutions’. Il eft à croire qu’après la deftruéllon
de Ninive par les Modes, il fc forma de fes ruines une nouvelle
ville dans le voifinage, à laquelle on donna le nom de
b premiere, qui fubfiftoit du tems des Romains. XL 14 4.E
Ninive, recherches fur fon origine. V I. i i i . a.
N IN -O , {H iß . anc. Chronol.) Ere ou époque b plus ufi-
tee parmi les Japonois. Autre épooue des Japonois appellée
Nen-go. XL 144. b. '
N IN O N , Len'Clos.
NlN US ,ro id ’A ffyric. Suppl. I. 638. b. Sa cavalerie.V.883. E
N IN Z IN , ( Bc.\ exoï. ) plante des montagnes de b Corée.
Ses dilîérens noms. XI. 144. é. Sa defeription. Ibid. 143. a.
NIO ou lo s , ( Géogr. anc. & mod. ) ifle de l'Archipel, célébré
par le tombeau d’Homere , dont on ne trouve aujourd’hui
aucun vertige. Il paroît que fa mere ctoit de cette ifte,
8c qu’elle y avoir aufti fon tombeau. Produflions de Nio. Médailles
à la légende de cette ifle. Obfervaiion fur fes Jiafai-
rans modernes. Eglifes de Nio. XI, 143. b.
N IOBÉ , {Myi/i.) fille de Tantale, foeur de Pélops, &
femme d’Amphion, roi de Tliébcs. .Malheurs dont elle fut
accablée, felon b fable. Sa métamorpliofe. Evénement tragique
fur lequel cette fable eft fondée. Suppl. IV . 32. a.
NiOBÉ , {Rocher de) fur le mont Sipyle. X V . 224, a.
N IO N , ville de Siiiffe, voy<.-{ Ny o n .
N IO N S , {Géogr.) ville du Dauphiné. Obfervations fur
Jacques Bernard né dans cette v ille , & fur fes ouvrages. XI.
143. b. Voyez Suppl. IV. i i . b. 73./ ’.
N IO R D , \Myihol.) Dieu qui préfldoit aux mers 8c aux
lacs, felon les anciens peiij)!es «lu Nord. Les Gaulois le con-
noifl'oicm fous le nom de Neith. Rocher dans le lac de Geneve,
qui tire fon nom de cette divinité. XI. 143. A
Nio r d , ( ///y?. deSuede) porta d’abord la tiiiare, puis la
couronne. Il vivoit dans le premier flecie de notre erc, Suppl.
IV, 3 2. a.
N IO R T , {Géogr.) ville du Poitou, patrie de mademoi-
fclle d’Aubigne, ou m.adamc de Maititenon. Obfervations fur
Ifaac de Beaiifobre , né dans cette ville, Sc fur fes ouvrages.
X L 146,
N IPH AT ES, {Géogr.anc.) montagne de l’Arménie. Vers
de Virgile oîi ce poète en parlant des viéloires d'Augufte,
fait mention de Nipliates. Signification de ce mot. XI. 146. a.
Nipkates, fleuve d’Arménie. Poètes latins qui en parlent.
XL 146. a. Il paroît que ce fleuve eft le même que le Tigre.
Ibid. b.
N IPH O N , ( Géogr.) ifle du Japon : defeription de Jédo fa
capitale. VIII. 507.«/, b. Meaco, autre ville de cette ifle .X.
218. b. Villes impériales qu’elle renferme. XVII. 282. a.
NIPHUS, (Auguflin) philofophe.I. 66y.a, b.
NIRARI , (£ ü t . } efpece de ce genre nommée buianvah.
Suppl. II. 78. b.