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2 4 6 MO N Ti’cn U ])olnt de particulières. Celles d’Afrique. X. 6^4. f.
Alomiüies de compte eu France , en Ain^leterre, en Efpaj^ne,
en Holl.ande, Zélande, lAabant, & à Colo gne, en Siiilfe , &
dans plufieiirs des principales villes d’Allemagne ■, en Italie ,
Jl'iJ. a .en S ic ile ,e n Pologne, à Dantzic 6c dans la nlu-
p.îrt des états du roi de Prude, en Suède ,Danemarck &. Mof-
cü v ic ,d an s l’empire T u rc , en P e r fe , dans la Cliine 6c le
Japon , dans le.s états du M o g o l, au Malabar Sc à Gon, ibid. b.
dans l’ifle de 7ava, 6c fur les cotes oecideiuaies d’Afrique.
Pii.vdcs efclavesSc desmarchandifes que les Européens é'ciun-
gent avec les nègres d’Afrique; le tout évalué en monnoic
<lu pays. Les coquillages,le cacao, le niays, les amandes de
la r , employés en certains lieux en qualité de monnoic. IbU,
656. a.
Morinoiis faites de certains fruits ou de certaines coquilles.
Finit i[iii lert de monnoic aux Indes orientales, l. 315. é-
Fruit du coca employé pour monnoic par les Péruviens. III.
5 b. Coquille qui l'ert de monnoie en plufieurs endroits de
l ’A lie 6c. de l’Afrique. IV. -4 1 . b. Coquille qui fert de mon-
noie clic2 les fauvagos de Virginie. XÜ. 214. h. .Monnoie de
Guinée, coquillage. Suppl. II. ^02. b.
MONNûIts ( cours des') olHcieis qui prcfuloient à la fabrication
des nionnoies chez ies Romains. X . 6 0 . u. Intendant
des hnances créé par ConiLmtin , auquel il donna aiilfi l’intendance
des moimoies. Police que fuivit Pharamond, premier
roi de France, par rapport aux monnoics. Vers la fin de la première
race , il y avoir des moimoies dans les principales villes
j(hi royaume, fous l’infpcéHon des généraux des moimoies.
Etablillement que rit Charles-le-Chauve de huit hôtels des
monnuies, Sc de maîtres particuliers. G énéraux des monnaies ;
qualirications qu’ils recevoiem, variations dans leur nombre.
Leur incorporation avec les maitres des comptes, 8c les tré-
foriers des finances. Objets dont ces trois jurifdiélions con-
noifi'üiem. Chambre particulière où s’aflembloient les généraux
des nionnoies pour tout ce qui concenioit le fait de leur
jurifdiiftion. ilnd. i . En 1338, féparation des trois corps d’officiers
qui fe réunilToieiu à la ciiambre des comptes. Lieu où
depuis 1686, la cour des nionnoies tient fes féancos. Objets
de la jiirifdiéiion des premiers généraux des nionnoies. Con-
nollTance que prenoieiit du teins de Philippe-le-Bel, les fei-
gneurs liauis-jufliciers, des abus que l'on falloir des nionnoies
dans leurs terres. Ih'id. 637. >1. Enfuite le droit de battre mon-
iioie leur ayant été ôté, il n’y eut dès-lors que les généraux
6c leurs députés qui conmircnt des moimoies. Quels étoient
CCS députés : étendue que prit la jurildiélion des généraux des
nionnoies. Sceaux donc ils fe forvoient pour leurs lettres 6c
jiigeniens. Confidératioii dont la chambre des moimoies jouif-
Jbit. Ibid. b. Généraux des nionnoies qui ont été élus prévôts
des marchands de la ville de Paris. Procureur du roi pour
la chambre des nionnoies. Autres offices créés pour cette
cour. La chambre des moimoies érigée en 15 5 1 , en cour 6c
jurildiSion lüiivcraitie & fupérieure. Difpofiiioiis de l’édit
rendu à cette occafion. Officiers dont cette cour eft préfeii-
teineiit compofée. 638. Droits 8c privilèges de ccite
cour. Robes de cérémonie des officiers. Comment le lems
de leur fervicc a été réglé. Objets de la jurifeliélion de la
cour des moimoies. Ibid. b. Jours d'audience. Séances des
juges dans les audiences. Etendue du refîbrt de la cour des
nionnoies de Paris. Hôtels des monnoies & jurifdiéUon du
reiTorc de la cour des nionnoies de Paris. Jurifdiélion dn
prévôt liénéral des monnoies fubordonnéeà la cour des monnoies
de Paris. D e la peine des faux-nionnoyeurs. La cour des
monnoies dèpofitaire de l’étalon ou poids original de France.
h :J . 639. J. Vérification Çc étalonnement fait pour conformer
le poids du marc de l’empire pour les Pays-Bas, au poids
royal de France. ibU. b.
Monnaies,cour des. Officiers de la monnoie à Rome, veyr^
Mo^ÉTAlRES. Cour des monnoies. IV. 372. b. Ciiainbre des
monnoies. III. 53. a. Chevauchées des commilTaires députés
par la cour des monnoies. 3 M- é. Clercs des monnoies. 323. é.
Contrôleur concregarde. IV . i 37. b. Direfteur à la monnoie.
1028. b. Elus pour le fait des monnoies. V. 462. u. Maître
de la monnoie. IX. 894. a. Receveur à la monnoie. X l l l . 846.
a. Les orfèvres en France ne peuvent fondre des matières
monnoyées. X. 195. a.
Generaux provinciaux des monnoics. Quels font ces officiers.
Matières dont ils connoilTent. Pourquoi on les appelle fubfi-
diaircs. Provinces où iis furent originairemeii' inflitués. Üb)ets
dont ils étoient chargés. X . 639. h. Defiicutioii de plufieurs de
ces officiers en différens tems. Leur fiippreffion en 1 3 4 9 ,6c
leur rétabliirenient en 137". Lieux où ils durent réficier. Siio-
preffion de ces offices par édit de 16 96, qui portoic créa-
non de vingt-huit autres généraux provinciaux fubfidiaircs des
monnoies. Enumération des ville.s ik provinces pour lefquellcs
chacun d’eux fut créé./éi(J.66o.u.Objets dont ils connoifient par
prévention 8c concurrence avec d’autres juges royaux. Ibid. h.
JurijJinions des monnoics. Officiers qui compofent ces jurif-
diélions. X . 660. b. Des juges-gardes. Des gardes 8c contre-gardes.
Objets dont les juges-gardes conaoilDut. IbnJ. 66x.a.
MO N PrévSfé générale des monnoics. But de rétablilTenicnt de cette
compagnie en 1633. Officiers qui la compofoieiit
autrefois. Ceu x qui la compofent aujoiiid’lnii. Objets
dont le prévôt général des monnoics 8c les officiers de ladite
prévôté peuvent connoître. Ibid. b. Entrée 8c féaiice qu’il a
en la cour des monnoics. Seconde prévôté des monnoies
créée en 1704 pour le rclîbrt de la cour des monnoics de
Lyon. Ibid. 66z.a.
Prévôts des monnoies. Officiers qui furent établis dès le
coniineiicemciit de la trolfienie race de nos rois. Les mon-
iioycrs ne peuvent être admis dans les m onnoics, qu’en jiifii-
flant de leur filiation, Sc du droit que la naili'ance leur en a
donné de pere en fils. Ces prévôts 6c ouvriers étoient élus
chacun dans leur corps. Jiillice qu’ils cxerçoiciu. Création
en 1348 d’un feul prévôt 8c d’un fciil greffier en leur place.
Les prévôts eniiéremciu fuppvinics en 1381 , 6c les offices
des gardes rétablis. X. 662. a. Prévôts que les moniiovcrs
ont cependant continué d’élire. Autorité qu’ils exercent. Ibid,
b. — Foyci Prévôt des monnoies.
Cour des monnoies de Lyon. Sa création. Eicmiiie de fou
refTort. Officiers dont elle cil compofée. CoiiimHIioiis établies
pour les vifites dans les monnoies. Chancellerie établie en
1704 près la cour des monnoics. Prévôté générale des monnoies
près cette même cour. X .6 6 i.b .
Hôtddc i l monnoic. Celle que les ducs de Lorraine avoient
•à Nancy, X. 663. a.
Monnoie , (Fùtcv.) divinité qui jiréfidoit à la fabrication
des monnoics de cuivre. I. 153. b. Figure fymboliqiie de
la monnoie. X V . 731. />.
M o .vnoie , du crime de f.iux en ( Jurifpr. ) différentes manières
dont on lé rend coupable de ce crime. VI. 442. b. De
l'adultération des monnoies courantes. I. 130. a. Défenfc de
déformer ou altérer l'argent memnoyé en France. 643. a.
Compofition dont les faux-monnoyeurs ont fabriqué des écris.
II. 360.^. Faillie monnoie appellee piece fourrée. VII. 233.
b. Crime de faux-monnoycur, connu fous le nom de frai.
292. éJRétlexioiis fur les anciens faux-monnoycurs : fautes
groffieres par lefcjuelies ils fe dcceloicnt : pourquoi leurs p ieces
pouvoient avoir eu quelque cours malgré ces méprifes.
X. 243. a , h. Multitude étonnante des fatix-monnoyeurs fous
Septlme-bévcre 6c fes lucceffeiirs. 247. a. D e la peine qu’on
leur fait fiibir en Fiance. V I . 442. b. X. 639. a.
M O N N Ü Y A G E iîii marteau &• au mouitn,(^HiJl. des monn.')
Les efpeces de France fabriquées au marteau jufqu’à Henri 11.
Inventeur du monnoyage au moulin. Etabliffement de ce
monnoyage en 1333. Défenlé en 1385 de faire de lanion-
noie au moulin. N ouvelle machine inventée par Nicolas B riot,
Sc reçue en Angleterre. Le monnoyage au moulin perfectionné
6c rétabli. Invention de la machine deftinée à marquer
un cordon fur la tranche des monnoies. X. 663. a.
Monnoyage, (^An de fabriq. les monn. ) hilloirc des différentes
méthodes qui ont été employées pour la fabrication
des monnoies. Defeription de la manière de fabriquer les
monnoies au laminoir 5c au balancier. Les momioyeiirs ne
fabriquent point d’efpeces d’or 6c d’argent fans alliage. Deux
fortes d’alliage dans la fabrique des monnoics. Méthode pour
trouver la proportion de l’alliage avec le fin , lorfque l’on
fond enfemble des lingots de différens titres. X. 663. b.
Détails fur la maniéré dont la fonte fc fait. Modèles des
monnoies. Moules pour l’or 6c l’argent. Opérations du monnoyage
au laminoir. Ibid. 664. a , b. Différence entre le monnoyage
des efpeces 8c celui des médailles au balancier. Comment
on connoit qu’une médaille eff fuffifamment marciuée.
Ibid. 663. i.
Monnoyage ,ôc[cr]pt\on de la façon de monnoyer avec la
pile. XII. 620. J. TroulTeau dans rancicn monnoyage. X V I .
718. a ,b . En quel tcnis fe (n en France le premier etabliffement
d’un balancier pour les monnoies. VIII. 132. b. Article
fur cette machine. II. 30. b. Coiipoir. IV . 333. .Laminoir.
IX. 229, b. Preffe. X l l l . ^z i. d. Pourquoi l’on fait l’alliage
en monnoie. I. 283. b. 284. b. C e qu’on entend par amatir,
317. a , b. blanchir, II. 274. b. braffage, II. 399. a. dégrof-
fir , IV. 768. a. elloc 8c ligne do monnoyage, V. 1003. b.
flanc, VI. 843.n. rem ed e,XlV , 93. a. tranche des monnoies.
X V I. 339. a. Marque que chaque direéleur met fur fa mon-
noie. W . 742. b. Suppl, lu . 838. b. Délivrance à la monnoie.
792. b. Droit de feigiicnriage 6c de braffage. XIV, 896. a , b.
Sur-achat dans la fabrication de la monnoie. X V . 684. a , b.
Tailleur général des monnoies. X V . 839. a. Planches de monnoyage:
elles fc trouvent dans le volume VII.
Monn’ IYACE, {^Fabrication de monn. au marteau') procédés
que l’on fuivoit dans cette fabrication , qui n’eft plus en ufaee.
X. 6 6 3 .F
Monnoyage, {^Hôtd des monn.')\\Wz% esn France où l’on
bat monnoie. Officiers dans cliaque hôtel des monnoies pour
la régie, 8c pour la jiifiice. Deux cours des monnoies, 8c
trois chambres des monnaies en France. X. 666. a. Voye^
Monnoies, Gourdes.
Monnoyage, à la monnoie, lieu où eft placé le balancier.
MON lnfnca«ur du monnoyage. Chambre du monnoyage. X . 666. a.
m o n n o y e r , {Jcan-Papiiße) peintre de fleurs 6c de
Riiits. XII. 267. a.
M O N N O Y E U R , qui font ceux qui peuvent être reçus
nioiinoyeurs. Leurs fondions. X. 666. a.
M O N O CH R OM A TO N ,{Pemt. <r«c. ) peinture d’une feule
couleur. X. 666. a. Quoiqu’elle ne fût pas dans les règles de
la parl^aitc imitation, elle n’a pas laiffé d’être goûtée, 6c de
parier à la p o r i é r i t é . i . F u yq CiAMAYEUX,
M O N O C O R D E , {Luth.) iiiftrumcnt imaginé pour con-
noitre la variété 8c la proportion des fons de iiiufiqiie. Son
inventeur. Defeription du moiiocordo ancien. On l'appelle
regle harmonique ou canonique. Différentes fortes de monocordes.
Auteur qui a donné la divifion du monocorde. Etymologie
du mot. X. 666. b.
Monocorde, {Mußq. ) obfervation fur deux monocordes
repréfciués pl. 2 de luth. Suppl. III. 934. b.
Monocorde des anciens. X V . 343. b.
M O N ü C U L E ,(6 ’/i/>.) bandage pour la fifiule lacrymale
& aunes maladies qui affeélent un ceil. Maniéré de le faire
1' . 5 6c de l’appliquer. X. 667. a.
I >J M o n o CULES, ( Géogr. ) peuples fabuleux qui ii’avoient
' ’ qu’ un ceil ; pourquoi les Scythes furent appelles monocules. X.
667. a.
M O N O ÉM U G I , ( Géogr. ) royaume d’Afrique. Scs bornes
6c fa divifion. Mines qu’il renferme. Ses habitans. X. 667. a.
M O N O G R AM M E , {Monn. infertpt. Médaill.) caraftcrc
compofé d’un chiffre, entrelacé de plufieurs lettres. X. 667. a.
La fignature avec de- monogrammes croît fort en ufage aux
i'eptieme 8c liuiticrac fieclcs. Charlemagne s’en fervoit,parce
qu’il ne favoitp.as écrire. O n trouve fur les monnoies le mono-
gramnie de cet empereur. Sous la fécondé race , on mit pref-
que toujours le monogramme du prince fur la monnoie. C e
que défignoiciit, felon le P. Hardouin , les monogrammes des
médailles. Monogrammes du bas empire. Difficulté d’expliquer
ces fortes de lettres à plufieurs branches. Ibid. b. Les
monogrammes font parfaits, quand toutes les lettres qui compofent
le mot y font exprimées. Exemples de monogrammes
parfaits 8c imparfaits. Différence entre les monogrammes 6c
les contre-marques des médailles. Itid. 668. a.
Monogrammes, Qommtnt on les difiingue des contre-marques.
IV . 137. b.
Monogramme, obfervations fur le monogramme
IL 738. é. XV II . 647-i-
M o n o g r a m m e , rtne.) fimple cfquîffe , deffm où
il n’y a que le traie. Heureufe application que Cicéron fait
de ce mot. Erreur de l’abbé d’Oliv et fur le iiionogrammc.
Définition qu’en donne Lambin. X. 668. a.
M O N O LO G U E , ) des monologues d'opéra.
III. 934. b.
Monologue , royc^; SOLILOQUE. Monologues de tragédies
que les anciens appclloient cantiques. 11. 623. b.
MONOMOTAPA,(Geoÿ/'.')roya imie d’Afrique. X. 668.
Ses produfrions. Etendue des domaines du roi. Moyen qu’il
emploie pour contenir les princes qui lui font tributaires.
Ibid. b.
Monomorapa , defeription des peuples de ce pays. VIII,
347. a. Leur façon de bâtir. IX. 804. a. Déification des empereurs
du Monomotapa. X. 9 1 1 . a, b.
M O N O PH TO N G U E 8cDiphtongue, { Gramm.) différence
entre ces doux efpcces de fyllabes. iV . lo iô . a.
MONOPH YSITE S,(Â//?. ecc/.)efpeced’hérétiques.XVI.
226. 33 3- U. Voyei Monothélites.
M O N Ü PO D E , (Z r in ) table à un feul pié. Comment on
les faifoit chez les Romains. Prix exorbitant de ces tables.
X . 668, i.
M O N O PO L E , (/«nTpr.) étymologie du mot. Ce terme
étoit extrêmement odieux aux Romains. Monopole que Thales
de Milct exerça dans la vente des olives. Peine du monopole
chez les Romains. X. 668. b. Des réglemens publiés en
France contre les monopoles. Quelle eft 1 eljiece de monopole
la plus ci iminelle. Auteurs à coiifulier. Ibid. 669. a.
Monopole, ceux qui faifoient monopole des denrées, appelles
chez les Romains d.irdanarii. IV. 63 I. b.
MONOPTERE,(^/-c/nr.)efpece de temple. X V I .6 1 .F
MO N O R IM E ,(Z ./ rn) ouvrage de poélie dont les vers
font tous fur la même rime. Etymologie du mot. Inventeur
de ces vers. On leur donna auffi le nom de Léonins.
Obfervation fur cette forte de vers. X. 669. a.
M O N O SY L LA B E ) carafrere d’une langue abondante
en moiiofyllabes. Plus il y a de monofyllabes dans les
v er s , plus ils font durs. X. 669. a.
Monvfyllabes, de leur quantité profodique. Suppl. IV , 986.
a. Il n’eft pas v rai qu’un vers compofé de monofyüabes fuit
communément dur. 988. a.
MONO THÉ LITES , ( Hiß. ccct.) hérétiques qui ne rccon-
noillbieiit qu’ une volonté en Jefus-Chrifl. Etymologie du
> mot. Teins où cette opinion prit nailTance. Leur condamnation
par le fixicrae concile général.. Obfetvaiions fur la
MO N 247
doélrine des monothélites, 8c fur leurs variations. X. 669. i ,
Monothélites, leur doélrine. X V I . 226. b. Ils furent d’abord
appelles timothiens. 333. a. Edit fur les monothélites appelle
type. 780. b. Coiifeffion de foi publiée par Héraclius en
leur faveur. V . ‘)yC.b.
M O N O TO N IE , ( ii/ t .) monotonie dans un orateur. Dans
la déclamation, la monotonie eft oppofee à un autre défaut
qu’on nomme chanter Us vers. X. 669. b.
Monotonie, caufes de ce défaut dans les vers. VIII. 33. <7.
M O N R O , {Alexandre) anatomifte,5’«p/’/. 1. 407. 4.413.
a. 6c pliyfiologifte. Suppl. IV. 336. b. 362. a.
M O N S , (Gebgr.) ville des Pays-Bas. Origine & révolutions
de cette ville. Sa fituation. X. 670. a.
Mo n S, Prévôté de {Géogr.) X. 670. a.
M o ns SACER , ( Géogr. anc.) X IV . 472. a.
, magiftrat de Dancmarck. X IV . 298.4.
Mv.vs Ca s iu s , {Géogr.anc.) deux inontagiics de c c nom ;
l’iine en Eg ypte, prés de lamielle Pompée fut égorgé, l’autre
cil Syrie. Hauteur exceffivc de cette montagne, félon
Pline. Temples de Jupiter fur ces deux montagnes. Médailles
de Sélcucie où Jupiter Cafiiis eft repréfcntc. X. 670. a. Féic
que les habitans d’Andoche y alloicnt célébrer. Mont anti-
cafitts. Le ciihc de Jupiter Cafuis établi auffi à Corcyre.
Médailles des Corcyréens où fe ireuve le type de Jupiter
Cafiiis. Ibid. b.
MONSEIGNEUR, ( Hijï. mod.) pourquoi ce titre eft donné
aux évêques. VI, 143. i.
MO NSIEU R, (FJ///, mod.) étymologie de ce mot. Autrefois
on doniioit le nom de monjleur à des perfonnes qui avoient
vécu ])liifieurs fieclcs auparavant. Uiage que les Romains
firent du titre àct jdgyieur ou dominas. Mon/fi./r, qualité qu’on
donne au fécond fils de France, au frcrc du roi. X. 670. b.
M O N O SP E RM A L TH Æ A , ( Bot. ) étymologie du nicu :
genre de plante de la fabrique de M. I)anty d’ Iliiard. (,ara-
éleres de ce genre. Cette plante déjà connue fous le nom de
althrza fimills flore lulheo ,mono-fpcrm.ite. X. 671. a.
MO NSTIERS , ( Géogr. ) capitale de la Tarantaife en
Savoie. X V . 902. h.
M O N.STRÉ, {B o t.) monflres en botanique, X. 671. 4.
Monstre, (Zoo/eg.) deux hypothefes pour expliquer la
foiniation des monftres. Différentes fortes de monftres. X,
671. 4, Détails lùr unedifputc entre MM. Lcinery 6c Vinftow
toiicliaiit l’origine des monftres. Auteur danois qui attribucic
la produélion des monftres aux comètes. Ibid.b. Voyet^ÔEVX
DE LA NATURE.
y\.OfiSTRi,{Mèdec. légal.) A n c confidérerque l’immenfe
variété des faits rapportés par une foule d’auteurs, on feroit
tenté de croire qu’il n’y a point de limites entre les efpece.s
les pins diffemblables,6c que l’ordre primitif eft fouveiit perverti
par les pures combinaifons du hazard. — Auteurs qui
ont écrit fur ce fujer. — Caufes que la fupcrftition affignolt
à l’origine des monftres. — Aéfes de barbarie qu elle a fait
commettre à leur egard. Suppl. III. 933. 4. Confidératioiis
fur les accouchemens monftrtieux. Prodigieufe diverfité dans
ces jeux de la nature. Des hypothefes imaginées pour en
expliquer les caufes. Ibid. b. Examen des conféquences qui
découlent fimplement de robfervation, 8c qui ont quelque
rapport h la juiifpriidence. — Diftinftionque font lesaiiteurs
de jurifpnidciicc entre les monftres auxquels ils accordent
l’humanité, 8c ceux auxquels ils la refufent. — Examen de ces
à\{Cinù\or\s. Ibid. 936. a. Droits d’un enfant monftrueux qui a
vie. — Quels font ceux dont il ne peut jouir. Ibid. b.
M O N T , ( Grarnm. ) obfervations fur l’ufage des mots
mont 8c montagne. X. 6'72.. a.
MONT-i’/4nc ou Mont-maudit, { Geogr.) hauteur de cette
montagne de Savoie. Suppl. 111. 317. 4.
Mont-de-glaces, (Geeg r.) royc^Glaciers.
M o n t d'or, ( Géogr. ) hauteur de cette montagne de 1 Auvergne.
317.4.
Mont de pieté en Italie. But de ces etabliffeniens. Details
fur leur adminiftraiion , 6c la maniéré dont on y prête. O rigine
de cesétabliffemcns. Mont de piété fondé en Angleterre.
X. 672. 4. TT /- i T
Mont de ric'fJ, établi à Amfterclam , H- 61. 4. h Lucques.
IX 714 a Réflexions fur cette forte d etabhliemens communs
en Italie. XVII . 340. ^ , F Utilité^ qu’on ret.reroit de
leur fondation en France. V . 748. b. Ordonnance de Louis
XlVpubiiéedanscebut.XVII. 33 2.é. _
M O N T A G N A C , {Géogr.) wy^^ci-deffous , apres lam -
^'^m Ô n T A G N E S , {H iß .n at. Géogr. Phyfiq. Minér.) examen
des fentimens des naturaliftcs fur la formation des montagnes.
Quelques pliyficiens ont cru qu’elles étoient une
fuuc des boulevcrfcmens caufés par le déluge. Cette opinion
réfutée. Diftinaion des montagnes en pnmiiives & en
récentes. X.6 72 . b. Carafteres qui diftinguent les premieres;
1 ' finir élévation; 2 ° .leurs vafteschaînes; 3 ° .leurftrufture
^1