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partie de la Gaule. Eloge que Pline en fait. Pays & provinces
qu’elle comprenoit. Ses bornes du coté de l’Italie, Suppl.
IV . 8. b. 6c au nord. Obfcrvations fur les principaux lieu.x &
les peuples les plus confidérables qu’on y reinarquoit. Les
Sarclons ou Sordons. Les Confuarani. La ville d’Illiberis.
Rtifcino. Ibid. 9. a. Fl.avium-Ebufum. Ad Centuriones. Ad
Strabuliim. Ad Vigefimuin. Polygium. Manfa viens. Magalo.
Agatha-Rhoda. IhU. b. Canal appelle FoJJj Muni ex Rhoduno.
Etang de Mafiramcla. Les Anatilicns. Les Defuaves. Les T ri-
colliens. LesVocontiens.Lcs Segovellauniens. Les Allobroges.
M.irfeil!c. Les Cainatulliqiics. Les Siielteres. Les Oulves. Les
Vermeiens. Fonim Julii. Les Oxubiens. Les Ligaiines. Les Sue-
tri. Les Quariates. Les Adimicates. Nice. Ibid. 10. a. Herculis
mona'ci ponus. ydrelutk. Biterm feptimanorum. Araufio fecun-
danorum. Valence. Vienne. Ibid. b.Qw\:xro.Genevd. Aqua-fex-
lia. Avignon. Apt. Alcbccc Reionun Appollinarium. A\he. Ibid.
II. d. Au^ufld Tricaflinorum. Neomagus. Anatiliu. Æria. Ca-
vaillon. Ceifero. Carpentias. Forum Fcfonii. Ibid, b, Glarium
Livii. Lodove. Nilmes. Pifeena. Suuiciim. Touloufe. Elufio.
Tarafeon. Vaifon. Avanrici. Dodionitici. Longueur 8c largeur
de la Narbonnoil'e. Du commerce de Narbonne ancienne.
Ibid. it.a .
NARC ISSE , ( ) caraiScres de ce genre de plante.
Différentes el'pcces de narciffe. Maniéré de le multiplier. XL
22. h.
Ndrcijfe , voyf^ les cfpeces de ce genre au mot Jonquille.
Pourquoi les navcilTes dont on coupe les feuilles après que la
■ fleur cft palTée , flouriffent peu l’année fuivamc. XII. 724. a.
Narcisse , ( Myth. ) fils du fleuve Céphife & de la nym-
plie L j riope. Ses aventures & fa métamorphofe. Suppl. IV.
Na r c is s e , {Linêr.') fleur chérie des divinités infernales.
F uries. Etymologie grecque du mot Narciffe. X L 22. b.
Narcffc, afl'raudii de Claude : raillerie qu’il effuya. X IV.
693, é.
N A R C O T IQ U E , ( Médec. rlicrap. ) étymologie de ce mot.
Médicamens narcotiques. Leur ufage. Trois Ibrtes de relà-
clmns, diflingués par les anciens; lavoir, les anodins, les
parégoriques, 8c les hyponotiques. Fondement de cette dif-
tinélion. X L 23. a. Il n'eft queftion ici que des médicamens
de la troifieme claffe. Les effets fenfibles des narcotiques font
généraux ou particuliers : expofition des uns & des autres.
Leurs effets particuliers dépendent; 1“. de l’idiofyncrafic ;
2 ’. de l’habitude ; 3". de certaines caufes particulières. Ibid. b.
Les narcotiques font indiqués ; i dans les maladies aigues ,
dolorifiques ; 2°. dans les infomnies fatigantes, & dans les
veilles opiniâtres; 3". dans les maladies fpafmodiques , con-
vulfives ; q'’. dans les m.aladies évacuatoires qui affoiblilTent
trop les malades ; 3". dans les cas où les excrétions naturelles,
& les évacuations périodiques ou critiques font difficiles ou
fupprimées à caufe de l’érétifine ou de la coiivulfion de quelque
partie. Ibid. 24. a. Quels font les cas où les narcotiques
font comr’indiqués. D e leur ufage dans les phthifies, dans
les évacuations confidérables, Ibid. b. comme, par exemple,
clans le commencement du cliolera-morbus ; précaution avec
laquelle ils doiv^ent être employés à l’egard des fuperpurga-
tions, lorfqii’il s’agit de quelque évacuation naturelle trop
confulérable , à l’égard des femmes qui peuvent être aéluel-
lement dans l’état critique ordinaire, dans les commence-
niens des maladies. Précautions générales toutes les fois
qu’on les veut employer. Narcotiques le plus communément
employés. De la maniéré dont ils opèrent leurs effets. Ibid.
25. a. Voye:^ fur cette queftion les articles Opium, Sommeil.
N.ircoîiqucs, leur effet lorfqu’ils font pris en médiocre
quantité. Suppl. IV. 808. b. Leur ufage pour ôter lefemiment
de la douleur. V. 87. a , b. Yvreffe caufée par les fubftances
narcotiques vénéneufes. XVII . 680. b. Ufage des émolliens
narcotiques dans les inflammations. VIII. 719, b.
N A R D , ( Boun. ) caraélcres de ce genre de plante. Différentes
fortes de nard, felon Diofcoridc. Defeription du nard
indien OU fpic-nard des droguifles. Lieux où il croît. Ufage
qu’en font les Indiens. Différentes efpeces de nard indien.
Choix du meilleur. Principes qu’il renferme: d’où dépendent
fes vertus. Quelles fontfes propriétés. XL 23. b. Comment
les Indiens l’emploient en médecine. Ufage qu’en faifoient
auffi les anciens. Compofidons dans lefquelles on le fait
entrer. Raifons qui perfuadent que notre fpic-nard eff le vrai
nard des anciens. Quelle eff la partie du nard qu’il faut regarder
comme l’épi. Defeription du nard celtique. Choix du
meilleur. Ibid. 26. a. Lieux où on le trouve. Ses propriétés &
ufages médicinaux. Defeription du nard de montagne. Deux
différentes racines connues fous ce nom.Ibid.b.Les anciens faifoient
un grand ufage d’une effence qu’ils compofoient avec
le nard : exemples tirés de l’écriture. Différence entre les
mots latins nardus & nardum. Comment les Romains fc pro-
curoient le nard. X L 27. a.
N A R EN T A , (Géogr.) viWe de Dalmatie. Son territoire.
Etat de cette ville fous les Romains 8c dans la fuite. X L 27.
a. Fleuve de même nom. Golfe de même nom. Ibid., b.
N A R
N A R IN A R I , {Jehehyol.) nom bréfilien d’un poilTon de
refpece de l’aigle marine. Sa defeription. Qualité de fa chair.
XI. 27. b.
NARINES IN TERN ES, ( Anatom. ) leur defeription. XL
27. b. Tour que faifoit un homme à la foire à Paris, qui con-
fiftoit à s’enfoncer dans les n.arincs deux clous de cinq pouces
de longueur, & à fufpendre un feau plein d’eau à la tête
de ces clous. E.vplication que M. Winflo-w donna de ce tour
étomiant. Ibid. 28. a.
Nari.ves , ( Anatom. ) defeription des deux cavités de ce
nom, & des parties qui en dépendent. Suppl. IV. 1 2. b. Des
narines des animaux. Ibid. 13. b.
Narines, leurs différentes formes. Suppl. IL 545. b. Nerfs
des narines. Suppl. IV . 37. b. Sympathie des narines avec
d’autres parties. X V . 736. b. Obfervations fur la lame offeufe
qui fépare la cavité des narines. V I . 36. a , b. XVII. 462. b.
Partie des narines qui eff le fiegc de l’odorat. Suppl. IV. 103.
b. Voyeii_ Nez.
Narines des poffons, ( Ichthyol. ) elles forment par leurs
divcrfités une fuite très-elfentielle de caraéleres, pour fervir
à diffinguer les genres & les efpeces. De leur nombre. D e
leur figure. D e leur fituation. D e leur proportion. XL 28. b,
N A R ISQ U E S , ( Céogr. anc. ) anciens peuples de la Germanie.
Origine de leur nom. Lieu qu’ils habitoient. XI.
28. b.
N A R N I , ( Gaogr. ) petite ville d’Italie. X I. 28. i. Ses révolutions.
Relie d’un pont magnifique qu’on y voit encore. Sa
fituation. Obfervations fur l’empereur Nerva dont elle fut
la pa.tric. Ibid. 29. a.
Narni , ( Géogr. ) Trait de férocité des habitaiis de cette
ville. Monumens d'antiquité qu’on y remarque : aqueduc 8c
pont de Narni. Hommes célébrés nés dans ce lieu. Suppl. IV .
14. b.
Narni, pont qui fut bâti près de cette ville , fous le régné
d'Augufie. XIII. 71. b.
N A R R A T IO N , ( Belles-Lettr. ) deux fortes de narration ,
l’une fiinple & liillorique, l’autre artificielle Sc fabuleufe. La
narration fuit immédiatement l’exorde : &. dans I’hilloire elle
fait le corps de l’ouvrage. Quatre qualités nécelTaires dans
la narr.ition; la clarté, la probabilité , la brièveté 8c l’agrément.
XI. 29. a. Oblêrvations fur les qualités propres à la
narration oratoire. Ibid. b. Foye^ RÉCIT.
Narration , ( A n poctiq. ) événement principal d’un poème.
Deux fortes de narrations ; l’une fous une forme aélive ,
l’autre feulement racontée par le poète. D e la narration du
poème épique. Début qui la précédé. Elle doit être de tems en
rems interrompue. D anscettepartie , l ’a£Hon doit êtrecommen-
c é e , continuée 8c finie. Qualité du llyle propre à la narration
épique. Les qualités de la narration elle-même font la
vraifembiance, l’agrément 8c la clarté. L ’utile 8c l’agréable
font inféparablcs dans le poème épique. XL 30. a.
Narration , ( Belles-Lettr. PoéJ'. ) les premieres regies de
la narration font la clarté 8c la vraifembiance. Préceptes fur
les moyens d’éviter toute cfpece d’équivoque , de confufion
6c d’obfcurité dans les narrations du poème dramatique Sc de
l’épopée. Suppl. IV. 14. h. Art de ménager l’attention fans
l’épuifer. Le poète difpenfé de rendre raifon des faits furna-
turels qu’il raconte. Pour motiver la conduite des dieux , il
faut une raifon plaufible ; il vaut mieux n’en donner,aucune
que d'en alléguer de mauvaifes. Art de donner de la vrai-
lemblance à la narration. Ibid. 13. a. La croyance que l’on
donne à un fait fe réfléchit fur l’autre quand ils font liés avec
art. Un poème ne doit pas être une fuite d’événemens inouïs ;
mais ils doivent être choifis avec goût dans la vie commune.
Les moeurs anciennes, plus favorables à la poéfie que les
nôtres. Quels font les fujets les plus dignes de la poéfie.
Obferv.irions fur l’à-propos, troifieme qualité de la narration.
Ibid. b. Comme la narration épique peut devenir inté-
reffante , en nous faifant éprouver trois genres de plaifir ,
celui de refprit, de l’imagination & du (entiment. D e ces
trois intérêts, celui du fentiment eft certainement le plus
vif. C e f l fous ces trois points de vue que le poète , avant de
s’engager dans fon travail, doit en confidérer la matière ,
pour en mieux preffentir l’effet. Ibid. 16. a. D e l’intérêt que
doit avoir le récit dramatique pour les perfonnages qui font
cenfés l’écouter. Plus la narration eff intérelTante pour les
aéleurs, moins elle a befoin de l’être direélemem pour les
fpeélateurs. Plus l’expofé d’un événement tragique cft mid ,
fimple & n a ïf, mieux il fait fon imprclfion, Ibid. b. Quid
deceat, quid non , eft un point de vue fur lequel le poète
doit avoir fans ceffe les yeux attachés. En quoi confiflent les
décences de la narration du poète à nous, 6c d’un aéleur à
l’autre. Les décences, dans ce dernier ca s , font dans le
rapport des deux perfonnages, de leur rang, de leur fitiia-
tion refpeélive. Un perfonnage ému ne s’amufera pas à d’inutiles
deferiptions ; Ibid. 17. a. au lieu que s’il eft dans une
fituation tranquille , fon récit deviendra plus riche en détails.
Pour favoir les détails fur lefquels il faut fe repofer ou glif-
fer , il n’y a qu’à examiner la fituation ou rintemion de celui
qui
N A T ■ qui raconte. To ut doit être relatif 6c fubordonné à l’intérêt
qui domine dans le moment de la narration, Ibid. b.
Narration dans le poème épique. IV. 117. a. V . 827. b.
X ll. 147- F Différence entre la narration hifiorique 6c celle
c)li poème épique. Suppl.W. 829. Narration dans le poème
dramatique. X L 183. b. — Foye^ Récit.
N A K S IN G U E , bramines de ce royaume. VIII. 881. b.
N A R TH E C IO N , (Géogr. anc.) montagne de Thclîalie.
Trophée qu'Agélilaùs éleva dans ce lieu. X L 30./».
NA RTH EX , fignification de ce mot , grec d’origine. V I .
337-
N A R V A , (Géogr. ) defeription de cette riviere de la
Livonie. X L 30. b.
Narva, pont exécuté dans cette ville, vol. II. des planch.
Oi.u'pcnterie, pl. 1 3.
N Â R W A L , (Ichthyol.) ou licorne de me r, ainfi appelle
à caufe d’une longue dent en forme de corne, qu’il a au bout
de fa mâchoire fuperieure. Defeription d'un nnrwal à deux
dents. Ibid. b. Autre defeription d'un pollTon de cette efpece
à une feule dent. Les Groenlandois regardent les narwals
comme les avant-coureurs de la baleine. Animaux dont Us fe
noiirriffent: XL 31. «.
Narwal. Ce cétacée repréfenté vo l. V I. des planch. Regne
animal, pl. 24.
N A R Y C IU M , ( Géogr. ) ville de G r è c e , chez les Locriens.
Elle étoit la patrie d’A ja x , fils d’Oilée. Ville d’Italie , nommée
Locri, que fondèrent une partie de fes foldats après fa
mort. Poix qu’on tirolt de fes environs. SupplA'J. 18. a.
N A S A L , (Gramm. ) voyelles nafales. M. l’abbé de Dan-
geau les nomme encore voyelles fourdes ou efclavonnes.
XL 3 I. a. Confonnes nafales. Ibid. h.
N.iJ'al, fon nalal, voyelles nafales, hiatus formé par ces
voyelles. IL 17. b. Obfervations fur le fon de la voyelle na-
fale. Suppl. 111. 304, b. D e la quantité profodique des v o y e lles
auxquelles les confonnes nafales font liées. Suppl. 1.
603. a.
Nasal , ( Anat. ) canal nafal offeux. Foffes nafales. Canal
nafal membraneux. XL 31./ ’.
N.ifaL, arteres nafales. Suppl. IL 247. b. 248. b. Canal na*
fill. Suppl. III. 696. a. Ne rf nafal. Suppl. IV. 37. b.
Nasal , (Blafon.) XL 31. b.
N A SA U X du cheval, ( Maneg. ) Suppl. III. 397. b.
NASAMUN ES , ( Géogr. anc. ) peuples d’A friqu e, qui
habitoient la Syrie. Obfervafton furie mariage, 8c la maniéré
de fêter les noces chez ces peuples. XI, 31. b.
N A S IRO D D IN de Tus , pliilofophe arabe. X IV . 668. b.
N ASIUM , ( Geogr. ) Nas ou Nais en Barrois. Sa fituation
agréable. Son état préfeiit. Monumens d’antiquité qu’on y
trouve. Obfervations biftoriques fur ce lieu. Titre qu’on lui
donnoit. Suppl. IV . 18. b.
N A S K O W , ( Géogr.) ville de Danemarck. Suppl. IV. 18.
a. Siege qu’en firent les Suédois en 1639. Son négoce principal.
Son intolérance en fait de religion, Ibid. b.
N A S SAU , ( Gfo"/-.) petite ville d’Allemagne. Château de
N.iffaii, d’où eft fortie l’ijluftre maifon de ce nom. XL 3 2. a.
Pofition de la ville. Ibid. b.
Nassau, (Géogr. ) pays d’Allemagne. Divers comtes
qu ’il renferme. Privilege du comté de Nafl’au. Autres pays
que po.Tede la maifon de ce nom. XI. 3 2. b.
N.ffau , bois follile trouvé dans ce comté. III. 190. h.
Nassau , baie ou golfe de , ( Géogr. ) il eft à préfumer qu’il
y a des paffages dans cette baie, par ou l’on pourroit traver-
1er dans le détroit de Magellan. XVI. 181. a.
NASSE, (Pèche. ) defeription de cet engin. Defeription
des nall'es dont on fe fert dans l’amirauté de Dieppe , pour
prendre des congres 8c des hoinars. Comment on conferve
ces poiffons vivans. Autres fortes de naffes. Maniérés dont
les pêcheurs les emploient. XL 32. a.
Najfe. Pêche des lamproies aux naffes fur les duits. V .
j 6^. a , b. Naffes repréfentees. vol. V llI . des planch.Pèche ,
pl. î.
Nasse , (P é ch .) efpece de nafle appelléc bire. Suppl. I.
900. b.
, N A S SAN G I-B A CH I, (Âry?. OT00'.) officier turc qui fcelle
les ailes expédiés par le premier fecrétaire du grand vifir,
& quelquefois les ordres du fultan. S’il n’eft que bacha à
deux queues, ou fiinplement effendi , il n’entre point au
divan. S’il eft bacha à trois queues, il a entrée au confeil
parmi les vifirs de banc. Détails fur fes foniftions. XL
33-
N A S S IB , (H iß . mod.) nom que les Turcs donnent au
deftin. Influence de leur doftrine fur la prédeftination dans
la conduite. Cette opinion n’eft pas univerfellement admife
parmi eux. XL 33. b.
N A S T R A N D E , ( Mythol. ) fécond enfer des Celtes Scandinaves.
Defeription qu’on en trouve dans l’Edda des Iflan-
dois. XL 33, b.
N A T A G A I , (A4y?/to/.)idole des Tartares. Honneur qu’ils
lui rendent. XL 33. h.
Tome II.
NAT 277
N A T A L , ( GmOTOT. ) Principe <le l’amour que nous con-
icrvons pour noire pays natal. XI, 34. j .
N ita l, des effets de l’air natal. X ’V'. 47. 45, i.
Natal , ( Geog. ) pays d'Afrique dans la Cafrérie. Habitations
des gens de ce pays. Ses bornes. Ses qualités. Animaux
qu il produit. Obfervations fur les liabitans leur
extérieur, leurs moeurs, leur gouvernemenr. XI. 34. a.
N i t a l , defeription des habirans de ce pays. ’ V II I, 347-
N A T A L IT IA S A C R A , (Littér.) XL q. a , b. X IV . 474- b.
_ N A T A T IO N , (Mt'iftfc. Gymnaßiq.) Différence entre l’action
de voler 8c de nager. Avantage que les quadrupèdes
oc les volatiles ont fur l’homme clans la faculté de nager,
par une fuite de leur conformation. Commenr les poillons
peiivents’enfoncerdansreau.Xl.34. b. Difpofitiondu corps
de l’homme en nageant. Moiivemens obfervés dans un homme
qui fe noie. Ce n’eft pas la crainte de f'e noier qui fait que
Ihomme ne nage pas naturclleinem. Utilité de la natation
pour la fante, pourvu que cet exercice foit pris avec certaines
précautions./éti. 33. a. Ouvrage à confulter fur ce
liijet. U ne faut pas confondre la natation, qui eft l’aélion
de nager , avec une forte de natation des anciens , qui coii-
fiftoit à fe baigner dans un vafe plus grand que les bai-noires
ordinaires. Ibid. b.
Natation , fon utilité. V . 312. Elle étoit effentlelle aux
loldats romains. Suppl. IV. 668. b. Foye^ N a g e r .
N A T CH E Z , (Geogr. ) peuple de l’Amérique feptentrio-
nalc. Gouvernement defpotique de cette nation. Comment
leur chef a fit fe rendre defpote. Fimérailles praïujuées chez
les Natchez. XL 33. b. Temple qu’ils ont élevé au fuleil.
Les Natchez difperfés par les François en 1630. Ibid,
36. a. ^
Natchei, ufages de ces peuples â la mort d’une femme
noble. VU. 3-3. i . Crédit 8c pouvoir des ionclcurs dans
cette nation. VIII. 876. a.
N A T E S , (An.iiom. ) partie du cerveau, Suppl. III. 0.14. a.
N A TH AN qui forme , (Hifl. facr.) 1 “. {fis de David.
2 . Prophète qm parut du rems de ce roi. Aéles de fon mimf-
tere. Suppl. IV. 18. b.
Nathan, (R.ib bi) auteur de la divifion de la bible en
chapitres 8c en verfets. XVU, 164. ,r, b.
NATHINÉENS , ( Théolog.) étymoiogie de ce mot. Les
Nathinéens étoient des ferviteiirs qui avoient été voués au
fcrvlce du tabernacle 8c_ du temple cIk z les Ju ifs, pour les
emplois les plus bas. D où ils étoient tirés. Ils furent emmenés
en captivité avec la tribu de Juda , Sic. Leur retour de
captivité. Inllitution,d’une fête chez les Juifs, appellee Xulo-
phoiies. X L 3Ö. a.
N A T IF , N É , différence entre ces mots. XL 36. a.
Natij , terme d'Iiiftotre naturelle. XL 36. a.
N A T IO N , (Hiß. mod.) caraéfere particulier de chaque
nation. Acception de ce mot clans quelques univerfités. Nations
de l.i faculté de Paris. Titres cjue ces nations prennent
dans leurs alîemblées, aiftes, affiches, 6cc. XI. 36. A
Nation , ce que les Celtes entendoient par ce mot. Suppl.
IL 286. b. Droit des nations entr’eiles. V. 127. .z, b. Caractère
national. 11. 066. rf , é. Conciles nationaux. III. 817. Différences
entre les nations , caiifees par le climat. 334. b.
Obfervations fur les différentes nations de la terre. VIII.
344. b. 6cc.
N A T IV IT É , ( Théolog. ) fixation du jour de !a fête de la
nativité de Jeliis-Chrift au 23 décembre. XL 36. b. Sijjni-
rication des mots natalis dies , nataluium. Le mot nafalis
employé par les chrétiens pour celui de la fête. Ibid.
37. a.
Nativité de la fainte vierge, fête célébrée le 8 feptem-
bre. Quand & par qui elle fut inllimée. En quel teins elle
a été reçue en France & en Allcm.igne , chez les Grecs
8c les orientaux. XI. 37.
Nativité de faint Jean-Baptife, féze célébrée le 24 juin.
Ancienneté de fon inftiturion. Célébrité de cette fête. XI.
37.
N a t iv it é , ( AJlrolog.) tirer l ’horofcope de quelqu’un étoit
autrefois un crime en Angleterre. XL 37. b.
N A T O L IE , (Géogr. anc.) OU A sie mineure. Quelles
en croient les provinces. Divifion moderne de ce pays. Ses
piincipaics rivieres. X L 37. b. Foyes^ A n a tol ie .
Na to l ie propre , (Géogr.) étendue de ce pays. Sa capitale.
XL 37. b.
N ATRÛ.M, (Alinéralog.) fel alkali fix e , eout formé par
la nature. Contrées d'oii on le tire; fon ufage le plus ordinaire.
Forme fous laquelle on le trouve. Xl. 37. b. Ses ca-
rafteres. Examen que M. Rouelle a fait du natrum d’Egypte.
Il paroit que ce natrum eft le fel que les anciens connoif-
foient fous le nom de nitrum. Paffage de l'écriture où il en
eft parlé. Fauffes idées que les voyageurs peu inftruits nous
A A a a
M
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