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I J
506 P o u P o u
Pou/j. Battemen«; tic pouls, U. 148. Caiife du pouls.
IV . o<2. k Suppl. IV. 730. b. Pourquoi les pulùtioiis loin
plu.s lentes dans les grands animau.-t que dans les petits, &
dans les reinellcs que dans les mâles. VI. 74^ - /’■
(luoi les veines n’oui pomt de pouls. Suppl. IV. 7 3 ^-
Rapports du pouls avec la relpir-uion. 617. b. 623. J. Ll-
pcce de modulation, de cadence obfervée dans le pouls,
!pie Hérophile a appelléc du nom de rliytlime. X IV . 268.
b. L'étude du pouls recommandée par les plus grands médecins.
XIII. 568. .r. Obrci'vacions iur l’ouvrage de M. Bor-
deu , intitulé ; Recherches furie pouls. XI. ^ 3 . k InArument
prop'rc à rcpréléiuer les dilFérentes modifications du pouls.
XIII. 567. k Caufe méclvanique de l’accélération du pouls.
1 1 1 . 599. Caillé prochaine de la vélocité du pouls dans
la Aevre. V I . 720. u. Inllueiice des véficatoircs fur le pouls.
X V II . 201, b. Etat du pouls à l’approdie d’urines crititpies.
502. k l’ouls caprifarit. II. 639. b. Efpcce de pouls nommé
miure. X. 384. b. Pouls de la fueur. X V. 629. b.
Pouls. Ouvrage fur le pouls, p.ir Jacques GeofTron, de
Saulicu. IV. 321. u.
Pouls , ( Muréch. ) obfervations fur celui des chevaux.
V I. 742. b.
P O U M O N , {A natom .) defeription des poumons. XIII.
240. b.
Poumon. Exemple d’un fujet dans lequel on a trouvé cinq
lobes de poumons. XIII. 141. u. Accidens qui prouvent la dé-
licaicflé de cette partie. Ibid. b.
Poumon. Liqueur qui fe trouve entre la furface convexe
des poumons 6c la pleure. Epaiflllfemeni de cette liqueur
dans les intlanimations de poitrine, d’oii réfulte radhcrence
des poumons à la pleure. Cos attaches ne font point la
caufe de rallhmc 6c de l'opprelfion. Expériences qui prouvent
qu’entre la pleure 6c le poumon il n’exlAe point d’air.
Suppl. IV. 321. b. Defeription des poumons. IbiJ. 322. a.
Struélure des lobes. Ses véficules , Jbid. b. fes artères. Ibid.
323. u , i. Réfeau de vailTeaux lymphatiques dont la furlace
du poumon eA couverte , &c qui lé trouve fous la membrane
extérieure. Nerfs du poumon. Ibid. 3 24. a. Le veAe de riiiAoirc
du poumon fe trouve à l’article Respiration.
J’oumon , fa formation dans le foetus. Suppl. II!. 67. b.
Defeription de cet organe. VIII. 271. b. Bronclics des poumons.
II. 434. b. Difributlon du fang dans les poumons.
1 1 1 . 468. .1. Obfervations importantes fur le poumon du
foetus. Suppl. IV . 618. a. Le poumon eA fujet à une forte
réforption. Suppl. I. 63. b. Aéllon des poumons dans la
refpiration. X IV , 181. b. Ufage du diaphragme dans leur
mouvement. IV. 946. u. Eftéis de la refpiration fur la circulation
du fang dans les poumons. Suppl. II. 7 17 . rf. Sym-
paihie des poumons avec d'autres parties. X V . 7'^7.b. Examen
des poumons du foetus pour juger s’il eA mort avant
ou après fa uaiffance. Suppl. IV . 618. . j , b. Si le poumon
d’un animal tué dans le vuide doit fumager. Ibid. b. Anatomie
du poumon par Helvétius. Suppl. 1 . 406. a. Voyc^
L o bes, Lobules , Respiratio.v.
Poumon u'cj , (^Phyjlùhg.') ufage des poumons
clans les animaux terrcArcs, dans les amphibies , 6c dans les
oifeaux. XIII. 241. k Defeription des organes qui tiennent
lieu de poumons aux poi Aons, ôc qui font connus ibus le nom
d'üuies. Organes des inléfles qui ont auAi quelque rapport
avec les p o u m o n s . 242..?.
, Poumons des infeiles. X IV . 183. b.
Poumon, du , { Médec.') vomiques du poumon.
XIII. 242. a. Rc-medes à employer. T o u x caufée par l’â-
creté de l’humeur qui lubréAe les bronches ; remedes contre
cette toux. ConviilAon dans les fibres du poumon. Pa-
ralyfie de ces fibres. Glandes des poumons tuméfiées ,
écrouelleufes, skirrheufes. Adhérence des poumons à la
pleure. M oy en s'de délivrer les poumons de tome matière
étrangère qui vient à fe jetter fur cet organe. Ibid. b.
Poumon. Degré de chaleur dans l’air qui feroit dangereux
à cette partie. I. 233. b. Danger d’un froid exceAif
fur ce même vifccre. Ibid. Il n'y a point de vifeere fujet
à de plus fréquentes 6c confidcrables maladies que les poumons
; il n’y a point de léfion de cet organe plus dange-
reufe que l’hémophyAe. VIII. 113. b , 6cc. Maladies qui le
furchargent d'humeurs. Suppl. IV . 68. b. 69. u. Celles dans
lefquelles l’équitation eA falutaire. Suppl. II. 848. é. D e la
léfion des poumons dans les plaies de la poitrine. XII. 683.
b. Irritation des polimons qui produit la toux. X V I . 498.
b. 499. a. Comment la toux les dégage. 499. a. Des cra-
cliars dans les maladies des poumons. IV. 426. a , b. Spécifique
contre la pituite épaiffie fur cet organe. X V . 443.
J. Vers dans les poumons. XVII. 43. <1. Des vomiques clans
les poumons. 462. b. 363. a , b. P'oye:^ POITRINE , {Muladies
delà').
Poumons, {^Maréch.) maladies de ce vifeere dans le che-
P O U P A R T , ( / ’rj/icm)fcsouvrages. IX, 882, u. Suppl. 1 .
402. b.
POUPÉE , {H ifl. anc. & mod.) les jeunes filles nubiles
chez les Romains, alloiont porter aux autels de Vénus les
poupées qui leur avoient fervi d'amufemem dans le bas âge.
On enféveliAbit les cnfaiis morts avec leurs poupées 6c leurs
grelots. Parti que peut tirer un philofophe des poupées d’un
enfant. X llI . 245,
Poupée , ( T'ütcr/u'Kr) partie du tour : faiiAés poupées. XllI.
244. a.
Poupées {\ couettes. IV . 323. a. Poupées à lunettes, vol. X.
des planch. Tourneur, pl. 14 — 16. Poupées à guillocher , pl.
1 8 - 2 1 .
POU POU , (Idiihyol. ) cfpece de poupon nommé bluicr.
POUPPE , ( M.irine ) Pouppe quarrée. X lI l, 243. u.
Voir par pouppe. Mouiller en pouppe. Vent en pouppe.
Ibid. b.
Pouppe. Ornement des pouppes chez les anciens. I. 527.
il. 1 1 1 . 293. u. Partie c.xtérieme de la pouppe d’un vaiAcau.
I . 604. b. Ctuiteau de pouppe. III. 241. b. Couronnement
de la pouppe. IV. 393. b. EeuAbn à la pouppe. V . 383. n.
Enfeigne de pouppe. 712. b. De l’éiambot qui lermine la
partie de l’ariiere d’un vaiffeaii. V I . 13. o. Vahfeaux qui
portent trois fanaux à la pouppe. 393. a. Petite ouverture
à la pouppe , dite jaiimieru. V llI . 476. a. Pouppe d’un
vaiAéau de guerre du premier rang, vol. V U des pîaiiclies,
Marine , planche 3. Du vent en pouppe. X V II . 23. a. Poyc:^
A rriéré.
Suppl. I. 912. b.
P O U R , A fn , ( Syuo/i.) différences dans l’iifage de ces
mots. XIII. 244. a.
Po u r moi, <ju,inl à moi, ( Synon. ) XIII. 632. é.
POURBÜS le fils, ( Fruncois) peintre. V . 3 1 3. t.
PO U R Ç A ÏN , Suiru-, (Gèügr.) ville de l’Auvergne. Obfervations
furies ouvrages de Blaife Vigenere , né dans cette
ville.XIII. 244. a.
POU RCE AU , {Criihj. /lier.) cet animal regardé comme
impur par les Hébreux, X lI l. 244. a. Il a été choifi par les
écrivains facrés, pour comparaifon aux cliüfes balles 6c me-
prifables. Ibid. b.
PouTCCuu, voye^ CoCHON, PoRC.
Pourceau , ) pain de pourceau. IV . 386. a. XI. 73 2.
b. Queue de pourceau. X llI . 707.
PO U R P IER , {B o l.) caraélcres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription du pourpier fauvage, 6c du pourpier
cultivé. X llI . 244. b.
Pourpier, Son principal caraiAere. Suppl. II. 4. a.
Pourpier, { Diete, M.ir.mèdic.) propriétés 6c ufages de
fes feuilles 6i de fesfemenees. Qualités diététiques des feuilles.
XIII. 243. a.
Pourpier de mer, {B ot.) A rroche , C riste &
Halime.
Pompier, petite efpece du Malabar , dite boin-goli. Suppl.
II. 3. b.
PO U R P R E , (N ifi.nai.) forte de coquillage. XIII. 243.
a. Mouvement de l’animal qui l’habite. Réfervoir de la liqueur
colorante renfermée dans ce coquillage. Obfervations
fur cette liqueur. Celles de M. de Reaumur fur des petits
grains qu’il foiipçonnc être des oeufs de pourpres , 6c qui teignent
en couleur de pourpre les linges qui en font imprégnés.
Ibid. b.
Pourpre, ( Hifi. nul. Comm.) deux efpeces de coquillages connus
à S. Domingue fous le nom de burgau , dont l’un que l'on
ne mange point, 6c qui fe nomme burgau puant, contient la
liqueur qui produit le pourpre. Defeription imparfaite de ce
coquillage. Obfervations fur la liqueur qu'il renferme. Suppl.
IV . 324. k
Pourpre , ( Conchyl. ) différentes efpeces de pourpres
nommés b igni, Suppl. I. 889. a. b ivet, 903. a. blatin, 9 1 1 . é.
b oliii, Suppl. II. 10. a , b. cfficorée. 397. a , b. Pourpres confondus
avec les buccins. 76. a. Efpeces de pourpres ,appel-
lés improprement buccins alongés, 76. </. 8c buccins feuilletés.
Ibid. b. Pourpre tuberculè nommés cafque. 262. a.
Pourpre. Buccin qui fournit le pourpre. II. 455. b. Cet animal
auffi appelle murex. X. 868. u , k Pourpre de cochenille.
III. 359. a . b. On fe fervoit autrefois en Crciedu varech
pour teindre en pourpre. X V I . 838. b.
Pourpre , ( Littér. ) les- anciens ont connu les étoffes de
laine teintes en pourpre. Coquillages d’où l’on tirolt cette
couleur. Où s’en faifoit la pèche. XIII. 243. b. La couleur
pourpre étoit particuliérement affeélée à l’habit du roi ds
Perfe. Habileté des Tyriensdans l’art de teindre en pourpre.
Ufage qu’en faifoient les Romains. Tvéfors immenlés
tant en magafins de pourpre qu’en autres richeffes qu’A-
lexandre trouva dans le château de Suze. Comment l’on fait
aujourd'hui la pourpre. Ibid. 246. a.
POU POU
trouva. 'VUl. I7 3 - Pourpre qu’on péchoit d.ins le golfe
de Laconie. IX. 167. a. Loi.x romaines contre l ’iilage de la
pourpre. 672. b. 6 j y a.
PoURPilE mmcraL, {Chymic) beau rouge qui fe fait par
une diffolurioii d’or précipitée par le moyen d’une diffolu-
tioii d’étain. En quoi confiAe la préparaiion de cette couleur.
X lil. 246- b.
Pourpre, {B Lifon) XIH. 247. a.
Pourpre, {BU fon) comment on le repréfente en gravure.
Cetee couleur regardée comme mixte , c’cA-à-dire ,
comme participant du métal 6c de la couleur. Sa fignifica-
lion dans les armoiries. Suppl. IV . 324. b.
Pourpre, le forte d’éruption cxaiuhémateufc.
XllI. 247. U. P'oycç l’article PoURPRÉE
POU RPRÉ, oïjcau (0/7iff/;. ) XIII. 199. b.
Pourprée, /(.'vrc ( ALVec. ) deux efpeces de fievres de ce
nom , (avoir la hevre pourprée rouge, 6c l.i fievre pourprée
blandie. Signes de ces maladies. X llI . 247. a. PrognoAic.
Métliüde curative. RéAexions particulières Air ces fievres par
);q;port aux pays où elles rognent le plus, favolr le nord ,
r.-illcmagiie , la Saxe , la Hollrnd--. Ibid. b. D u pour[)re
chronique qui attaque les feorbutiques, 6c ceux qui abondent
en fcrofités. Ibid. 248. a.
POURPRETURE , ou Porprifie 6c Porprifon, ( Hifi. mod. )
différentes fignificafions de ces termes. X lil. 248. a.
POURPRIS, ( Droit coutum. ) citations de quelques coutumes
par lefquelles on éclaircit le fens de ce mot. XIII.
248. b.
PO U R R ITU R E , {Médec.) canfes de la pourriture dans
les humeurs. Elle varie fuivitnt la nature des iuimeurs qu’elle
attaque. DiA'ércns fymptomes qui réfulten't de cette variété.
Métiiocie curative. X I ll. 249. u. Foye^ PUTRÉFACTION.
i’Ü U R SU lT E , ) différentes fignificutions de ce
mot. Des frais de pouifuite. X llI . 249. a.
Pourfuitc , de la pourfuite d’un comptable.!!!. 781. h. IV.
J007. a. Pourfuite du débiteur. IV . 903. b. Voie de pour-
fuite accord-ée en Provence au créancier. 1 1 1 . 642. a , b. Frais
de pourfuite. VU . 273. a. Difconiinuation des pourfuites. IV.
JO32. i. Serf de potirfuite. X V . 83. 84. .7. Taille de poiirliiite.
844. b. Pourfuite des c rimes. IV. 469. . ., t. Per c|ei
elle doit le faire parmi nous. 470.^1. Pourfuit« des dcliis.789. .t.
Poursuite des fuyards, { A n milit.) VU . 403.i>.,
PO U R SU IV A N T , (/ünyf’r . ) difiérentes fignifications de
ce mot. XIII. 249. b.
Poursuivant d'amour, {H ifi. de la cheoal.) chevaliers
qui prenoient ce nom à la guerre. XIII. 249. b.
Poursuivant d'armes, {Cheval, anc.) gentilhomme qui
s’attachoit à un héraut pour adirer à fa charge. Cotte d'armes
des pourfuivans. Des fondions de leur ininiAere. Cérémonie
de leur inAiruiion. X llI . 249. b.
POU RT , Cependant, Néanmoins, Toutefois, {Synon. )
POUSSE, {.Maréch.) battement des Aancsqiii caradérife
la pouA'e. VI. 843. a. Foye^ POUSSIF. Suppl. III. 420. b.
POU SSÉE, { Archii.) pouffée dans les voûtes. Principes
de M. de Belidor pour déterminer cette poufl'ée. C e qu'on
entend par faire le trait des pouffees des voûtes. X l i l 230./’.
Poujjéedes terres: obfervations fur l’effort que font les terres
contre un mur de revêtement. XIV. 234. b. 233. a.
POUSSE-PIÉ , ( Conchyl. ) voye^ POUCE-PILD , & CONQUE
ANATIFERE.
Pousse - PIÉ , {Péchc) efpeces de bateaux de ce nom.
Leurs deferiptions & leurs ufages pomTa pèche. XUI. 230. b.
POUSSIERE des étamines, {B o t.) voy<r{ ÉTAMINE. Selon
M. de Tmirncforc, cette pouffiere ne fert qu'à féconder les
plantes. C ’eA d’elle que fe tire la cire que nous conl'ommons.
XIll. 231. a,
Püußlere des étamines , fa nature, fon ufage. XII. 714. a ,
b, &c. XVI. 962. a , k
Poussiere farineufic, {Scienc. microfeop.) régularité dans
les petits corps dont elle eA compofée. Obfervations qui
prouvent que de cette pouinere dépend la fertilité de la
femence. XUI. 2 31. b. Précautions que la nature prend pour
empêcher que cette femence ne fe difftpe inutilement. V a riété
des pouffieres d’efpeces différentes de plantes. Manière
de recueillir ces pouffieres,8c de les placer pour être vues
au microfeope. Ibid. 232. a.
Poussiere, {Scienc. microfeop.) celle dont les ailes des
papillons paroiffent couvertes. Suppl. 1 1 1 . 728- a,b.
Poussiere, ( Criüq.jdcr.) ufages de ce mot dans récriture,
& dans le langage des anciens Juifs. XIII. 232. h.
POU SSIF , {M.irech . ) voyei Pousse. Une jument pouf-
Iive engendre des chevaux qui deviennent pouffifs ou lunatiques.
VIII. 44. a.
POU SSIN, (Nicolas le) peintre. "V. 319, a , b. Son exa-
flltude à obferver le coAume. l^V. 298. h. 299. a. Ses paysages.
XII. 212. b. X V . 230. i . Son tableau de l’adoration
des mages. X V I. 638. a. Têtes drapées de ce peintre, vol.
III. des pl. Dcffin, pl. 29. ^ ’
507
Poussins, {Feonom. rufiiq.) commcitt on dteffii les chapons
à élever 6c conduire les pouAhis. III. 182. b.
PO U S SO IR , {Horlop.) pendant d’une montre à répétition.
Sa defeription 6c fon ufage. XUI. 232. b.
Pouffoir, en terme de piqueur en tabatière. XUI. 232. b.
PO U S SO L , ou PouioL, {Géogr. mod.) ville d’Italie au
royaume de Naples Cette ville autrefois fameufe, eA aujourd’hui
miférable. Avantages nuturels du lieu où elle eA fituée.
Maifons de plaifanee qm étoient bâties fur la colline qui commence
vers Pouzol. Efpece de fable excellent pour bâtir que
l’on trouve autour de cette ville. VcAiges d’antiquité qu’on
obferve à fa catiiédrale. Ruines d'anciens fépulcres qu’on
trouve entre Capoue 6c Pouzol. XllI. 233. a. Defeription
d’un lieu prés de P ouzo l, appelle le Solfiitata. Mine deVou-
fre qu’on en tire. Maniéré de tirer ce foufre. Ibid. b. Cette
ininiei c ctjnticnt encore de lalun. Coniment on dégage cet
alun de la terre à laquelle il eA mêlé, pour H réduire en
cryAaux. Ibid. 234. a.
Poujfol, autrefois Puteoli. XIII. 383. b. Pont de bateaux
que Culigula Itâtit fur le golfe de Pouffol. XIII. 71. b. Route
fouterreine de PouA'ol. X IV . 413. b. Lieu prés de Pouffol
appelle la Solfatara. X V . 319.«,/ -. Terre de Pouffol,
«a/.) X V I. 174. b. Foyei PouzOL.
P O U S T , ou Pufi, {Hifi. mod.) breuvage que les fotive-
rains du Mogol font prendre aux princes de leur fang, pour
les rendre Aupides 6c les faire tomber en langueur° XIII.
134.17.
P O U T R E , ( Charpent. ) quelle doit être la portée des poutres
d'nn mur mitoyen. XIII. 234.17. Découvertes de quelques
pliyficiens fur l’effort dont les poutres de differentes
longueurs font capables. Table du rapport de lu force des
poutres à leur folidité. Poutre armée, poutre fetiillée, poutre
quurderonnée. XIII. 234. b.
Poutres. Quelle eA leur force, pofées perpendiculairement.
1 1 1 . 634. .7. VI. 13. 17.
POU V O U I , Puijfance, Empire, Autorité, ( Synon. ) I. 8q8.
17. V . 382. 17 , ^ J J J
Pouvoir , {Droit n,n. & polit.) le pouvoir qui ne s’cA
établi que par In force, ne peut conférer aucun droit, & ne
fubfiAe que par la force. Le pouvoir des fbuverains a pour
but le bien des focictés. Réflexions fur les différentes bornes
que les nations ont mifes à ce pouvoir, 6c fur le pouvoir
illimité que les Danois ont donné à leurs fouverains. XUI.
233. Il, Loin de vouloir étendre leur pouvoir, les bons princes
ont fouvent cherché à y mettre des bornes. Ibid. b.
Pouvoir. Du pouvoir fouveraiii. X V . 423. b. 423. a , b.
Pouvoir légiAatif 6c exécutif : nous voyons dans l’étar de
nature 1 a fource 6c les bornes de ces deux pouvoirs. XIU.
337. é. X V . 424. a. 426. a. Pouvoirs temporel 6c fpirltuel.
XUI. 338. i7. X V I . 90. b, &c. XV II . 394. b.
Pouvoir paternel, ( Droit nat. & civil) les meres ont un
droit 6c un pouvoir égal à celui des peres. Le pouvoir des
peres 6c des meres fur leurs enfans dérive de l’obligation où
ils font d’en prendre foin. C e pouvoir n’endiaîne point la
liberté naturelle de l’enfant, mais il fert à en diriger J’ufage.
Pour ce qui regarde l’honneur que les enfans doivent à leurs
peres 8c à leirs meres, rien ne peut l’abolir ni le diminuer.
X lll.2 3 3.é.Le pouvoir paternel ne doit pas être regardé comme
l’origine du gouvorneinem d’un feul. Le pouvoir paternel eA
fondé fur la mifon : c’eA la plus facrée de toutes les magiAra-
turcs. Dans une république où la force n’eA pas fi réprimante
que dans les autres gouvernenicns, les loix doivent y fup-
pléer par rautorité paternelle. Différentes manières dont finit
le pouvoir paternel dans les gouvernenicns civils. Ibid. 236. a.
Pouvoirpacerncl,\os peres qui vouloient mettre leurs enfans
hors de leur puiffnnce, les vendoiçnt titulo fiducia. VI. 688.
b. Du pouvoir paternel. XIII. 360. b. Droit de correflion
des peres fur leurs enfans. IV . 273. a.
ŸoevO iR marital, {Jurifpr.) V I . 477. a. XIII. 338. b.
Foyei^ Mari.
Pouvoir des maîtres fur les domefiiques. {Jurifpr.) XIII.
558. b.
Ÿ o c v o iR eecléjiafîique, {Jurifpr.) en quoi il confiAe. V .
424 a. DiAinélion du pouvoir eccléfuAique , 6c du pouvoir
civil. X V . %e^6.b, 6>c. L’églife n’a d’autre pouvoir coaélif
que celui d’excommunier. 238. a. Réflexions fur le pouvoir
eccléfiaAique. III. 329. b. X llI . 341. b. Conféquences affreii-
fes du prétendu droit d’excommunier les fouverains. V I . 224.
b. 223. a , b. Abus que les papes en ont fait. 227. b. D e
l’allégorie des deux glaives, on a très-fatiffement conclu ran*
torité de l’églife fur les fouverains, même dans le temporel.
764. a. Les papes n’ont aucun pouvoir fur les empires t
preuves liiAoriques. VII. ij. Difc. prélim. Examen du pouvoir
que les papes s’attribuent fur le temporel des rois. X V I. 90.
b , &c. 247. b. Le pouvoir eccléfiaAique confidéré par quel-
. ques auteurs comme un vice dans l’état. XVII . 394. b. Foye^
JuRi-SDiCTiON ECCLÉSIASTIQUE, 8c les articles Prêtre ,
Sacerdoce.
Pouvo ir, un {A rt. milit.) titre des patentes taccordées