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lenrhéréfie. Obfervations Air Noctius qui en ccoitle chef. XI.
ï$ 4. .1.
N O E T T IN G E N , ( Ge'ogr. ) village du pays de Baden-
Doiirlach. Obfervatiüiis Air une coiomie leugaire decouverte
eu cc lieu en 1748. infeription qu’elle porte. Remarques
Aur raucionne ville de Baden. Autres colonnes kugaires découvertes
en Allemagne. Suppl. IV . 56. h.
NCEUD , (Géu«.') courbe à noeud. Ce qu’on entend par
un noeud. XI. 1S4 u.
Noeuds , ( Ajlron. ) deux points oii l’orbite d’une planete
coupe l’écliptique. Noeud alcend.uu, & noeud defcendaïu.
Mouvement de la ligne des noeuds, tcliples dans le voilliuige
des noeuds de la lune. Mouvement des noeuds de l'orbite de
Aiturne & de celte de jupiter. Comment ori détermine h po-
Ation de la ligne des noeuds d’une planete. XI. 184. b.
Noeuds , ( Ajlron.') inouvement rétrograde ,obfervé dans
les noeuds de toutes les planètes. Suppl. IV. 56. b. Table
contenant la pollcion du noeud de chacpie ))lanete , bc la
quantité de Ion mouvement annuel. C.uit'e de ce inouve-
ment. S.i réduéVion à l’écliptique. Explication des principes
des variations qu'on obferve dans le mouvement de ces
noeuds. IbU. 57. </. Explication du mouvement rétrograde
des noeuds de la lur.o. Pourquoi l’attraéVion du Iblei! change
i ’indinailon de l’orbite lunaire. Ouvrages à conAilter. Ibid. b.
i'/atüj'a de la lime. V. 103. b. ayç. u. IX. 728. p. D e ces
noeuds & de leur mouvement. Suppl. III. '6l^. b. Comment
on en trouve le lieu. IX. 730. b. Leur mouvement retro-
prade. X IV. 118. b. Leur mouvement dans les f'yzygies.
X V . 782. .J. Les écliplés arrivent dans ces noeuds ou à
une petite diAance de ces noeuds. V. 293. a. Des noeuds
des orbites des autres planètes, vuye^ les articles de ces pla-
•• netes ; pliiiiomeiies rem irqiiables lorl'que les planètes font
dans leurs noeuds. IX. 304. j . Ligne des noeuds. XII. 706.
b. Mouvement des noeuds des planètes en un fiecle, félon
M. de la Lande. Su p p l.W . 918. b. Des noeuds des fatelli-
tes de Jupiter, 741 . b. & de ceux de iimirne. 741 . .i.
Noeud /urculien , ( A/ifi'i- ) Vl l l . 136. J.
Noeud, (Chir.) Nodus. Noeud du chirurgien. XI.
184. b.
Noeuds de marbre , ( Archh. ) XI. 1S4. b.
Næuds de ferrurerie. XI. 184. b.
Noeud , {^Jardin.) Noeuds dans le bois des plantes. Q u a lité
du bols près des noeuds. Utilité de ces noeuds. XI.
284. b.
Nxuds dans le bois : leur formation , XII. 723. a. leur utilité
dans le blé. Suppl. IIl. 220. b. Energie avec laquelle la
végétation s'opère vers les noeuds de laplante du blé. 2 11 .« ,
b. 214. a.
Noeuds , ( M.irïne ) noeuds de la ligne du loch. XL
283. a.
Noeud , ordre d:i, ( H'tjl. mod. ) ordre militaire du royaume
de Naples. Son inAitiition. Sa durée. XI. 18 3. u.
Noeud d'une qusjïlon , ( Logiq. ) ce mot fe dit des principes
reconnus qui fervent à décider une queAion qu’on trouve peut-
être embarraAante ; exemple. XI. 185. a.
Noeud , ( P o éf épiq. S- dramat. ) le noeud 8d le dénouement
font les deux principales parties des poemes épique Si dramatique.
Comment fe compofe le noeud. Réglé fur ce fujet. XL
183. a. Les narrations du paffé importunent ordinairement.
Mais les narrations des chofes qui arrivent derrière le théâtre
produifent toujours un bon effet. Une des principales
caufes des applaudiffcmens donnés à la tragédie de Cinna. Ob-
fervations fur le noeud de l'Odyifée , de l’Enéide , & de T é lémaque.
Ibid. b.
Noeud. En quoi il confiAe dans le poëme ép iq u e ,!, \ z i .b .
V . 827. a. dans le poème dramatique. VIII. 843. b. Les
anciens le nommoient e’/A/.i/e. V. 8i8. a. Les poètes doivent
le commencer le plutor poAible , & le prolonger de même
en le ferrant de plus en plus. Suppl. I. 134. b. Voye^ INTRIGUE.
Noeuds , ( Mufiq. ) v o ye z vol. des planches, Mufique ,
planche 16.
Noeud , terme d'hydraulique , d’artillerie , d’artificier , de
chauderonnier , de jardinage, de maréchallerie. XI. 183. b.
Noeud de collier , ( MclCeur-cn-oeuvre ) XL 186. a.
Noeud , ( M.irck. de mod. ) noeud à quatre , noeud d’épaule,
noeud d’épée , noeud de manches. X L 186. a.
Noeud d'aiguiere , ( Orfev. ) XI. <86. a.
Noeud, {terme de Plomb.) X L i86. a.
Noeuds, {Rubann. ) comment on doit s’y prendre, lorf-
qii’on ajoute une piece au bout de celle qui finit, & que l’on
veut que l’ouvrage foit d’un même morceau. XL 186, a.
Noeuds des rames, ( Rubann. ) comment il faut les former.
XI. 186. b.
Noeuds, {Manuf. en foie) formation des différens noeuds
enufage dans la fabrique des étoffes, vol. IX des planches.
Soierie , pl. 1 18. — 1 22.
Noeud , {Sculpc. & Marhr.) partie du marbre plus dure que
le reAe du bloc. X L 186. b.
Noeud , {Serrur.) XL 186. é.
NOEUD,( Tijferand) XI. i%6. b.
Noeud, ( Verrerie) X I. iSS.b.
Noeuds , terme dechalTe. XI. iS6. b.
N O F E SCH , {Litholog. f ie r .) mot hébreu qui fignlfie
quelque pierre précieufe. Conjeélufe fur cette pierre. X L
186. b.
N O G .\ , {D ic te ) cette forte de friandife peu eAlmablc
à caufe de fes mauvaifes qualités diététiques. XL 187. a.
N O G A IS , T.trti:ies.W.(^22.b.
N O G A K E T de la Palette , {Bernardde) amiral de France.
Suppl. IV . 679. a.
N O G E N T , ( Géogr. ) bourg de l’ifle de France, où fe retira
& mourut 5'. Cloud. XI. 187. a.
Noge.vt-le-Roi , {Gèùgr.) ville de F rance, où décéda en
13 30 Philippe de Valois. Obfervations fur ce prince & fur fon
re^ne. XL 187.^1.
Nogent-le-Rotrou, (Grbgr.) bourg de France. O rigine
du nom de Rotrou. Obfervations fur Relleau ( Remy ) ,
poète Fraïu^üis, né dans ce lie u , Sc fur fes ouvrage. XL
187. U.
Nogent sur-Seine, {Géogr.) ville de France. XL 187. a.
N ( ,)C U E T ,( T’.i/wier)panicrd’oficr. Defeription& ufage.
XL 187. b.
N O H E ST AN , ( Hifl.eccl. ) ferpent d’airain élevé dans le
déierr. Signification de ce nom donné par Etéchias. On le
uiumre au]ourd’lnii dans une églife de Milan. XI. 187. b.
N O IM O D D IN , philofophe arabe. X IV . 668. a,
N O IR , {Piiyfiq.) les corps noirs s’échauffent plus aifê-
ment que les blancs. IL 269. b. V I . 601. i . Gaulé des nuances
dans certaines Aeiirs. V I. 833. b.
No ir , (i¥ry/.) divers ufages que les hommes ont faits de
cette couleur. Suppl. U. 630. i. 631. <z.
'^ oiv. d’Allemagne, {Teinture) les imprimeurs entaille -
douce en font ufage. Lieux d’où on le tire. Choix du plus
cAimé. XI. 187. b.
Noir de cerf. Son ufr.ge. XI. 187. b.
Noir de charbon. Maniéré de le faire. XI. 188. a. AVyej
Fresque.
Noir des corroyeurs. Premier & fecond noir. Matières dont
ou les compofe. X L 188. a.
Noir d'écaille. Suppl. IL 796. a.
Noir d'Efpagne , ( Chym. Pharm. ) fon ufage en médecine.
XI. 188.^.
'Uox'Kdefumée, ( Arts) comment on le fait. Maniéré défaire
le noir de fumée eu grand, dans les lieux oîiil fe trouve d evaf-
tes forêts de pins & de fapins. XI. 188. «.Ufages de cette fubf-
tance. Ibid. b.
Noir de fumée, voyr^ vol. V I des planches , la defeription
du travail du noir de fumée. Noir de fumée pour les imprimeurs
en taille-douce. VIII. 6 z i.b . 622.«.
Hoir, de fumée, { Chymie) charbon volatilifé , &c. voye^
la fin de l’article SüiE. Le noir de fumée n’eA point proprement
v o la t il, c’eA un corps très-fixe. XI. 188. b.
Noir de fumée confidéré comme réduélif en métallurgie. V I .
914. i.
A’'ot>ur<ji. Obfervations fur fon ufage. X I. 188. b.
Noir de pèches. Son ufage. XL 188. b.
iVbir, en peinture , ce n’eA pas avec le noir qu’on donne
la plus grande force à un tableau. Ufage modéré qu’on en
doit faire, Difterentes fortes de noir dont on fe fert en peinture.
XL 1 88. i.
Noir de Venife. V IL 304. b. Noir pour le papier marbré.
X. 74. a. Noir qui fe fait avec l’amande de la noix d'acajou.
330. b. Noir pour la porcelaine de la Chine. XIII.
112.«.
No ir , grandes & petites noires. XI. 188. b.
Noir de terre. X L 188. h.
Noir de meiieur-en-auvre. D e la maniéré de l’employer. X L
m . b .
Noir d’yvoire. Maniéré de le préparer. Son ufage en peinture.
XL 189. a. Voyei Y vo iRE.
No ir , ( Teinture) opération qui !e produit. Maniéré de
teindre en noir. La teinture noire n’eA pas à beaucoup près
aulTi folide que les autres. A vant de teindre une étoffe en noir
elle doit eue guefdée. Le noir & ie gris employés pour brunir
toutes les couleurs. XI. 189. a.
Noir. De l’art de teindre les étoffes de laine en noir. X V I .
23. « , i. D u mélange du noir avec d’autres couleurs en
teinture, 24. b. Teinture du noir pour la foie. 30. a. Noir
employé dans la peinture des toiles des Indes, X V I . 371,
b. &. pour les toiles imitées des Indes. 373. a. Teinture
noire faite avec l’aearic , L 167. a. avec le verd de gris.
X V IL 38. b. Planté du Chili dont on fe feri pour teindra
en noir. XI. 823. b. Teinture en noir qu’on fait pour les
étoffes dans le Chili- XII. 337. a. Bois d'un arbre d’Am-
boine qui fert à teindre les toiles en noir. Suppl. I. 730. a,
Compofition d’un noir à noircir le bois. Suppl. II. 3. a , h.
Ho ir antique, ( Hiß.nat.) forte de marbre. XI. 189.^.N
o ir ,
N O I
N o ir , {jurifpr. Littérat.) code noir, III. 381. b. V .
941. a. Parlement noir. XII. 60. «. Livres noirs. IX. 60^/-.’
ou emplâtre de cérufe brûlée. Obfervation
fur celte forte de préparation. XL 189. a.
HoiK,{Maréch.) poil du cheval. XI. iBo.i.
NO IRC EUR , (/>/-ƒƒ,. ) d ie n 'd l pas proprement ime
couleur, mais la privation de toute couleur. Pour produire
m. corps de couleur noire , il faut que les corpufcules qui
le compofeni loient moindres que ceux qui forment les lu-
ircs couleurs. Pourquoi le feu Se la piitréfi,aiou rendent
non. I ourquoi une pente quantité de fubAances noires coin-
inumqiicnt leur couleur aux autres fubAances auxcruclles
e les lontjomtes. Pourquoi les fubAances noires s’entlammcnc
plus cillement que les autres. Pourquoi quelques corps noirs
tiennent un peu de la couleur bleue. XL 189. b.
_ No irc eu r , ( MéJec. ) prognollics tirés de la noirceur qui
caufe morbifique. Méthode curative. XI. 189./-
A D IR E , ancienne tradition fur le palfaee
qu on pretend que la mer Noire s’eA ouvert , par lequel elle
communique a la Méditerranée. Obfervations qui décruifem
Euxi ^ ’ NOIRE & PONT-
• trois rivieres de ce nom en Amérique.
XI, 190. b.
N o ire ,p ,, r „ ,oire , { Hiß. n,„. ) ufage qu’eu font les oii-
y ie r s . Lieux d ou on la tire. Quelle efl celle d onion flit le plus
ue cas. AJ, 190. b. '
^ o lK lL ,p ,cm ,{H iß .J ,,fu p c ,ß in o n ,)X a . egx.u.
NoiRE/n.i/.,d,e, IX. 93 8. i . — 940. n.
N o i y , ( Mufiß.) note noire. Différentes fortes de
190*1 ° " ■“ anciennes mufiques. XI.
NOIRMO UT IER , (Gfog t.) iffe de l’Oeéan fur la côte de
tr.mcc. Origine de fon nom. Prieuré de S. Philibert dans cette
J90 y ' ” “ “ “ “ ' P°P“ *‘“ “ ’" ‘' ‘i*i‘ '''» cd e même nom.XL
N O IS E T T E , vepej A veline * C o u d r ier . Noifette du
iJrdiJnominee I. 839, a.
^ ) -voyer m5 COQUERELLES.
plante. T-oye^ f . defer^i ption au ot coudrier. XI. 1-90 .g i.- D- i ff<é1^rences
efpeces de noifettiers au nombre de fept. Maniérés de
les mulnp ler. lerreins qui leur conviennent. Détails fur leur
culture, y/i/j’. 191. rt.
Noifemer. Noms de cette plante en différentes langues
Son caraélere generique. Suppl. IV. 57. b. Efpeces & varié-
t Z u S Ati’on en
NOIX. Différentes fortes de noix. X L 191.«.
Noix. Ufages qu’on fait de la coupe verte de la noix commune.
IL 444. a. PqyeçNos'ER.
No ix d'acajou, fxôt. ) defeription de ce fruit &
cle 1 arbre qiu le porte. Gomme qu'on tire de l’arbre
A c a jo ^ ' 91-
H o ix d’arcque , { Botan. exot.) defeription & propriété
A reca™'^ torn les Indiens. XL ic)i. b. Voye^
N o ix f c „ , ( a c . ) voyeç au mot B o , la defeription
de ce fruit, ce fon huile, & de fou ufage. Lieux oil croit
cette noix. Elle a ete connue des inciens. Nom . qu’ils lui
donnoicnt Propnâés 6c ufages de fon luiilc. Vers d'Horace
ou il en eA parle. D ou les Romains tirolcnt la plus eiliniée
Dont de Mecenas pour les paifiims. XI. 192. a.
H o ix d e g f le , {/Jijl.nat.Jofvégéi.) belles couleurs que 210US devons a quelques inférés. C eA improprement que les
galles font appellees «ti/.v. Arbres fur lefquels elles viennent.
A J. 192. a. Leur defeription. Pourquoi ces chênes ou rouvres
ne portent point de noix de galle en Angleterre. Comment
elles fe forment. Quelle oA leur premiere dcAmation.
iJiyers in eûtes qu on y trouve. Deux fortes de noix de g alle ,
« I le d Alep & celle de notre pays. Leur defeription. Ibid. b.
JJ ou deoennciif l<>c irovii.A.- ..i,r.__ ___> n • .
N OM
"Oirc L.eur ueicnption.ibid., dépendent les variétés qu'on obferve entr’elles. Lieux
<1011 Ion tire les meilleures. Noix de galle des Turcs. Ul'a-
ges des noix de galle en médecine Sc en chymie , pour l’exa-
men des eaux minérales. Ibid. 1 9 3 . Leur principale utilité fie
rapporte a la teinture. Ibid. b. Foye^ G alle.
de , & celles
de notre pays. Prcference donnée aux premières. Principes
Teiru Leurs propriétés en chymie. Sur leurs
CvJ f? CYPRÈS, au mot
G alle ^93-
Norx<2’ //,,f^^ {Botan.) fruitclwcocotier,XI. 193.é.
l i n i a i d f a r a . - ^ i j f l " • ( ) (onl dhlll arbre appcllé
Noix du n ,y ,r , ( 'bo, „ , ) Noyer.
Noix j y
cAe aux hommes Sc
297
.aux animaiix XI, i ^ . i . S a defeription. Ses différens noms.
U e k u p y , de l.rrbrc qui la produit, voyep C o uleu vre
p o i x * ) . Lieux on il croit. Force (k fubtilité du poifon de
la noix vomique. Elle parmi principalement altaqucr les nerfs.
Autre cl|)ecc de noix vomique eniicrcment fcmblabic à la pré-
codeme./in/ 199. U. Troilicmc cfpece plus petite. Lieux d'oh
boil‘‘ / i 5 'i^ ^ * '" '“ '° '“ ' ^ fui fon
4^No i x , o» * / u , (.Wurréi.) Suppi III. 4x3, i. Safrafliire.
No i x , {Guam, pruùq, ) Boule fur laquelle on fixe un inf-
riiment de geonietne. Sa inobiliré en tout fens. Maniéré de
Ja hxer. XL 194,
■ f^^ 'vT Idirqud'uf.) Defeription de celle partie de l ’arme
a reu. A l. 194. é.
No i x , {Potier de terre.) Noix de la roue fur laquelle On
Nf'ri ? " " ' ’"SCS tie poterie. XL 194. b.
uo„ r ’ ( ‘' ' “P - ) PtHirg du bailliage de Beaune en Boiir-
r .S " 3 " ’’' y “ '■ '’k ‘'“ t la £"i>c d’une mon-
Nn|.,l u T 'a' que Charlemagne fit tracer par
far P Autuii. Terre du Cliàtclct érigée en ninrqui-
. t. foothielions 6e ciinofités naturelles aux environs de No-
lai. Hommes de lettres que ce bourg a produits. Hifloire de
ii^ u n c par 1 abte de Gandclot. Valeur du boiffeau de bled
a Nolai , en diflercns teins. XuppL IV. 58. J.
v n i ' i ‘I" Httaunois. Suppl. I. 681. i.
N O LA-ILL , (B o t .) efpccc de bambou. Suppl. 1. 7 7 ;,
N O T E , (Géogr.) ville du royaume de Naples. Ses fon-
tlamurs. Son ancienne fplciideur perdue. XL ,04. h Trails
iilloriqucs concernani Noie ancienne. O bfervations fur deux
hommes de lettres nés à Noie , & fo r leurs ouvrages , Giordano
Bruno, ix Louis Tranfillo. fi,d. ig r a
NOLI ML TAN G ERE , (Jardu,.) befcripiion de ce,te
plante. AI. 193 a.
N o u ME TANGERE, {Ckirurg.) Eruption maligne au vi-
lage. Pourquoi on l’a ainli nommée. Ulcere externe aux ailes
U ne z, auquel on donne pattiuiiiéreinent ce nom. Decré
N O L IN , {Jea'n" ')T S’"u' ppl. IV, 366. a. •XL
, ^ ^ .L L L T , {l'abbé Jcau-Antüiue) Ses expériences fur l’é-
eftricitc. IV. 342. a. — 344. a. Son fentiment fur la nature
de la matière elearique. V L 620. b.
Gramm.) Etym. du mot nomen. Sa
dcnnition. On diAmgiic les noms, ou par rapport à la na-
tuie meme dys objets qu'ils défignent, ou par rapport à la
mamere dont 1 ejpnt envifage cette nature des êtres. XL 103.
; ^ ‘^Lnihon des noms en AibAantifs & abArnélifs • 2“ dif-
tinaion des noms en appeilatifs & en propres. S i. Deux
choies a remarquer dans les noms appeilatifs, ].a compré-
henfion de lid e e , & l’étendue cle la fignificacion. I n’exiAe
point en efier de nature commune, telle qu’on l’envlfaoe
dans es noms appeilatifs; Ibid. 196. «. Moins il entre d’idées
partielles clans celle d’une nature faélice & abAraite, plus
U y a d individus auxquels elle peut convenir; 8c récipro-
queinent. Les noms propres ont l’étendue la plus reArainte
qui (oit poffible, &. la comprélicnfion la plus complexe &
a plus grande. Il (emble quil ne devroit y avoir dans les
langues que des noms propres, & nous voyons cependaiu
qu il y a plus de noms appeilatifs que de propres. D ’où
vient cette cc^ntradiAion ? i-. S’il falloir un nom propre à
cliacpiemaividu, aucune intelligence créée n’en pourioit rè-
temr la nomenclature, i''. L’ufage des noms propres fiiimofe
déjà une connoiffance des individus, Ibid. b. 3". Quoique nos
véritables connoiffances foient eifenriellement fondées fur
des idees individuelles, elles fuppofem pourtant dlèntielle-
ment des vues générales. Deux moyens généraux de déterminer
dans le difeours l’étendue de la fignification des
noms appeilatifs. îb,d 197. « > . § 2. C ’eA en vertu d’im ufage
p o jk n eu r , que les noms propres acquièrent une fignlfication
individuelle; car ie fens étymologicjiic de ces mots oAconf-
tamment appellatif. En liébreu , tous les noms propres de 1 ancien teA.iment font dans ce cas. Il en eA de même des
noms propres des langues grecque &c latine. Noms de famille
dans notre langue , qui ont une figii fication appellative.
Ibid. 198. a. Moyen dont on s’elt l'ervi dans toutes
les langues pour individualifer ces noms Les Romains ac-
cuiTuilüiem dans ce but jufqu’à trois ou quatre denominations
, qu'As diAinguoient en noms , prénoms & Airnoms.
%. 3. Reciicrches fur l'ordre de la génér„tion des noms
appeilatifs & des noms propres. L’abbé Girard penfe que
les noms d’efpcces ont été inventés avant les noms propres.
Ibid. b. Sentiment contraire de M. Roiiffeau de Geneve *
de l’auteur cle la lettre fur les fourds & muets, & cle Sca-
liger. Difficultés attachées à ces deux fentimens. Le feiil
fyAcme qui lespiiilTe le v e r , eA de fuppofer que lôieu donna
tout-a-la-fois à nos premiers peres la faculté de parler
8c une langue toute faite. Cependant il cA certain cpie l’ef-
pcce des noms propres doit avoir la priorité de nature à
F F f t ’