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724 s u s fc garantir des fiiq>r'ifcs. Ibid. 694. Sorte de defiance fa-
lutatTC dans la guerre. Tons les cas différens qui peuvent
arriver à la guerre l'ont déjà arrives. Un general profond
peut aifémenr prévenir les dclTcins de fon adverfaire , &
les réduire à labfurtte. Les grands capinines ont tous été
rcmjili.s d’une forte d’efprit prophétique. Ouvrages à con-
fultcr. Jbid. b. Voyc^ RusES MlLfTAlRES.
.Surprise , ( Horlog.) nom d’une piece de la cadrature
d’une répétition. Sa defeription & fon ufage. XV. 694. b.
SURRENTINUM,promontorium, (Gr'ogr. anc.) deux promontoires
de ce nom , l’un en Italie, l’autre dans la Libye.
X V . 69-:. U.
SU R R EN TUM , (Grogr. anc.) ville de la Campanie ,
aujourd'hui Sorremo ( ce mot). Sa pofition. Elle étoit
colonie romaine , 6c devint dans la fuite évêché , puis archc-
vèché.Vignoble fameux appcllé co//ri furrentini, X V . 695. a.
Surrenium: viu de fon vignoble. X V lI . '299. a.
SU R R E Y , (Gtfogr.) province 6c comté d’Angleterre. Scs
bornes 6c fon étendue. Sa population. Ses rivieres 8c fes pro-
duélions. Obfervations fur quelques hommes célébrés nés
dans cette province Sc fur leurs ouvrages. Nicolas Saundres,
théologien catholique. Henri Hammond , théologien réformé.
Jean Evelyn , favant difiingué. X V . 69^. b.
SURSÉANCE , {Jurijyr.) lettres de furféance. IX. 429.
a. Voye:^ RÉPIT.
SÜRSOLIDE , ( Arhhm. ') cinquième puilTance d’ un nombre.
Problème fnrfolidc. X V . 696. b.
Surjolide , nombre. XI. 204. h.
SU R T A U X , oppofition en (^Jurifpr.^^X. b.
SU R TO U T de table , vuyfç vol. IV . des planch. Fleiiri-
fie , planche 8 Sc vol. V I l î . des planch. Orfevre grofiier ,
jrfanche 6.
SURVIE , (Jurifpr. ) Donations de furvie , gains de fur-
vie. X V. 697.-tf.
Survie , gains de. VII. 42^. a. Comment le furvivant s'en
Tend indigne. VIII. 679. />.
SU R V IV A N C E , ( Jurifpr. ) Quatre fortes de furvivance ;
la fuivivauce funple , la furviv.mce reçue , la furvivance
jouilfante, Sc la furvivance en blanc. X V . 697. a. Edit de
furvivance. Offices à furvivance. Ibid. b.
SUR UN PIE , ( Rubancrie ) Explication détaillée de ce
qu’on entend par pajfer fur un pie. X V . 697. b.
SUSA , ( GVcigr. anc.') ou Sufes , ville de Perfe , capitale
de la Snfienne. Son fondateur. X V . 698. a.Ses murailles. Evé-
uemens relatifs à",cette ville , rapportés dans l’hiftoire faime.
lb\d. b. Voyez SUSES.
SUSANNE , / ƒ ƒ , ( Hi(l. fie r .) fille d’Helcias 6c femme
de Joakim , de la tribu de Juda. Hiftoire de cette femme
célébré par fa chafleté. Suppl. IV . 850. a.
Sus.ANNE , faime ( Gèogr.) clief-lieu de la Charnie. Suppl.
II. 369.
SÜSE , province de ( Géogr. ) province du Piémont. Ses
bornes. Ses rivieres. Son étendue. Obfervation fur fes inon-
t.agnes Si fur les paffiages de la vallée de Prégel dans le val de
Sufe. X V . 699. .1.
SuSE , ( Géùgr. ) ville du Piémont. Sa fitiiation. Rivieres
dont la plaine de Sufe eft arrofée. Ses anciens noms. Monu-
mens d'antiquité qu’on y trouve. Révolutions qu’elle a ef-
fuyées. X V . 699. a.
Sufe y ancien nom de cette ville. X IV . 892. a.
SusE , en Piémont, ( Geogr. ) Le pas de Sufe forcé par les
François en 1629. Suppl, iV . 830, b.
Sufe , (^Géogr.) ville d'A frique en Barbarie. X V . 699. a.
SÜSÉRAIN , {Jurifpr. ) Seigneurs fuferains. Leur droit de
refforc. Obfervation fur les mots de fuferain 6c de fuferai-
neté. X V . 699. b.
Suferain. Établiffement de la fuferaineté. VI. 692. a. XIV.
897. h. Trois fortes de feigneiiries fuferaines. 898. a.
SUSES , ( Géogr. mod.) ville de Perfe, Tradition des Per-
fans fur fon origine. Son nom moderne efi Schoujeh. XV.
699. h. VoyeiCQ mot.
Sufes : bibliothèque de cette ville de Perfe. II. 230. b.
Richeffes que trouva Alexandre dans fon château. XIII. 246.
a. Suppl. 1. 269. b. Porte du temple de Jénifalem appellee
porte de Sufes. XIII. 136. b. Voyet^ Sia^a .
SUSIANE , {Géogr. anc.) bornes Si étendue de cette province.
Détroit de montagnes entre la Perfide propre 8c la
Sufiarre. X V . 699. b.
SUSMILCH , {Pierre) phyfiologifie. Suppl. IV . 339. b.
SUSPENSE, ( Jurifpr. ) La fiifpenfe eft une peine propre
aux clercs. On la diftingue en locale ou perfonnelle. Dtifé-
lens degrés de cette peine. Celui qui n’obferve pas la fiifpenfe
encourt l'irrégularité. Ouvrages à confulter, X V. 700. a.
Sujpenfe , Dégradation , Dépofüon , {Synon.) IV . 738. b.
863. a. 864. a.
SUSPENSEUR, m«yc/< , )mufcle du tefiicule autrement
nommé cremafler. Defeription de cemiifcle X V . 700.17.
SUSPENSION , ( Méchan. ) point de fufpcnfion d’une balance
, Ôc des poids de la balance. X V , 700, b.
S U T Suspension du jugement, {Logiq.) Voye^ D o ute . Lieux
communs qui conduifem, felon les feeptiques, à la fufpen-
fion de jugement. V . 831. b. X l l l . 609. a , b. Il ne faiir
porter fon jugement dans les chofes de fpéculation , qu’x-
près un mûr examen 6c une grande attention. XVII . 483. b.
Sus p en s io n , {Bellcs-lettr.) figure de rhétorique. Exemples
françois 6c latins. X V . 700. b.
Suspension , {M u fq .) tout accord fur la bafle duquel
on loiitieiu un ou pluficurs fons de l’accord précédent, avant
que de paffer à ceux qui lui appartiennent. Reglos à fuivre
dans les fufpcnfions. X'V. 700. b.
Sufpenfion , {M u fq .) Les fufpcnfions chiffrées ne fe ré-
duifent point toutes à des accords par fuppofition. On fe ra
mieux d’abandonner entièrement les accords par fuppofition
, 8c de s’eu tenir uniqitenient aux fufpenfions. Voye^
fur ce fiijet le fyffèine de M. Kirnbergcr , article Sy/léme.
Suppl. IV. 830. h.
S uspension , {Jurifpr.) X V . 701.
Sufpenfon des affaires chez les Romains. XIII. 442, a.
Sujpenfion , fupplicc. X V . 67s. . .
Suspension , {Méd. lég.il.) Objet des rapports dans (a
fiifpenlion , ou I’ctranglement. Suppl. IV. 830. b. i". Des
lignes par lefquels on difiingue fi un homme a été pendu
mort ou vivant. Ibid. 831. a. 2®. L)c ceux par lefquels on
safftire s’il s’eft étranglé ou pendu hii-inéme , ou s’il l’a été
par d’autres. Signes commémoratifs. Ibid. b. Examen des fignes
extérieurs. Ibid. 832. a ,b. De la mort cauféc dans la fufpen-
fion par la rupture des liganicns , la luxation des vertébrés
du cou , ou leur fraéliire. Ibid. 833. a, b. Des figncs que prélente
la diffeétion des cad.avres. Réunion de deux caules dans
la mort de la plupart des pendus ; ic défam de refpiration
& l’affiiience du fang dans le cervcati, qui les fait mourir
apoplséliqiics. Ibid. 834. b. Obfervaiions faites fur deux pendus
rappelles à la vie , qui paroiffent indiquer le concours
de ces deux caiifes , 8c fur-tout la fupériorité de l’effet de 1 apoplexie. 853. d. Examen du cadavre d’un jeune homme
qu’on avoii trouvé étranglé dans la maifon de fon pere , mais
repofant fur le pavé , Sc abandonné à une corde fixée au-
tleffus de fa tête. Ibid. 836. <r. Voyez ETRANGLEMENT 6c
Pendu.
Suspension d ’armes , {Art milit.) X V . 701. a. Voyej_
A rmist ice 8c T reve.
Suspension , {Horlog.) fe dit en général des pieces ou
parties par lefquelles un régulateur ell fufpendu. Obferva-
tions fur quatre différentes lortes de fufpenfions; favoir par
des foies , par des refforts , par des couteaux , 6c par des»
rouleaux. XV. 701. a.
Sufpenfion. Des frottemeiis qui viennent du point de fuf«
penfion dans les pendules. V i l . 3 33. a , b.
SUSPENSIVE, condition,{Jurijpr.) ÎII. 839, a.
SUSPENSOIRE , lig am en t{Anatom. ) un des quatre II-
gamens du foie. Sa defeription. X V . y o i. a. SusPENSoiRE , ( Chirurg. ) bandage pour le ferotum : manière
de le faire 8c de l’appliquer. X V . y o i. b.
SUSSANNEAU , ( Hubert ) poète 6c humanifte. X V .
308. a.
SUSSEX , {Géogr.) province d’Angleterre. Ses bornes.
Sa divifion géographique , 8c les principaux lieux qu’elle
contient. X V . 701. b. Produftions du pays. Obfervations fur
quelques hommes célébrés nés dans cette pro vince, 6c fur
leurs ouvrages. Thomas Sackville, comte de Dorfet. Ibid. 702.
a. Traduélion françoife des principaux traits d’un ouvrage
de ce poète , qui eft une defeente dans les enfers, à l’imi-
taiion du Dante. Ibid. b. Richard Kidder , théologien. T h o mas
M a y , poète 8c hiftorien. Ibid. 703- a. Thomas O tv a y ,
fameux tragique anglois. Jean Pell, mathématicien. Jean Sadler.
Ibid. b. Lettre que lui écrivit Cromvell, pour lui offrir
la place de premier juge de Mounller en Irlande. Jean Seiden
: gloire qu’il s’acquit en qualité de membre du parlemenr;
Ibid. 704. a , b. Obfervations fur fes ouvrages. Ibid. 703. a,
SU TH ER L AN D , {Géogr.) province d’Ecoffe. Ses bornes
8c fon étendue. Ses rivieres. Ses produélions. Comtes de cette
province. XV . 703. a.
SUTRI , {Géogr.) petite ville d’Italie. X V . 706. a.
SU T R IUM , ( Géogr. anc. ) Confidérations fur cette ville
d’Etniric , aujourd’hui nommée Sutri. X V . 706. a.
SU T TO N , hôpital de Sutton à Londres. III. 223. a, IX.
683. b. Quart de cercle de Sutton. XIII. 667. a^ b.
Sutton y ( AlAJ. ) Leur méthode d’inoculation. Suppl. III.
606. a , b , Sic.
SUTURE , ( Anatom. ) Deux fortes de futures ; Tune
v ra ie , l’autre faiiffe ou écailleufe. Sutures des os du crâne.
Exemples de gens qui ont le crâne formé d’un feu! os fans
aucune future. Suture fphénoïJalc. XV. 706. a.
Suture y diverfes futures des os de la tête. VII I. 264. b.
Suture éthmoi'dale. V I. 36. a. Suture qui fépare dans l’enfance
l’os frontal en deux parties. V II . 339. b. Os. triangulaire
dans les futures du crâne. XVI. 617. a. Sutures fquam-
meufes du crâne, X V . 482. b.
Su t u r e ,
S Y E
Suture du crâne , {Phy ßol.) M. Hunauld a découvert
que plus les fujets font avancés en â g e , plus l’union des os
en dedans de la calotte du crâne , parole en forme de lignes,
CCS lignes meme s’cfi’accnt entièrement dans la vieillefle. Au
contraire dans le bas âge , il y a des dents à la table interne
de la calotte du crâne , ÖC les futures paroiffent à fit fiirface
concave. Recherche que M. Hunauld a faite des caules de
cette variété. X V . 706. a. La différence qui fe trouve entre
les futures vraies ou dentelées , & les futures fauffesou écail-
leule s , montre que leurs ufages doivent être dift'érens. Les
raifons de cette différence ont été propofées par M. Hu-
natild dans les mémoires de l’académie des fciences , année
1730. Ibid. 707. a.
Suture , ( Chir.) couture faite 'aux plaies. Il y a d’autres
moyens de mpprocher les lèvres d’une plaie , expliqués à
l’article Réunion. Différentes cfpcces de futures. Expofltion
des cas où il ne faut point travailler à réunir les plaies. XV.
707. b. Defeription de la maniéré de faire la future entrecoupée
, 8c de tous les foins qui doivent précéder 8c accompagner
cette opération. Ibid. yoS. a , b.
Suture. Aiguilles pour les futures. I. 203. a , b. Des futures
pour la réunion de certaines plaies. VII. 322.^7. Suture
incarnative. VIII. 642. b. Des futures pour les plaies de
la langue. IX. 5 36. a. X IV . 236. b. Defeription de la maniéré
de réunir les plaies par la future feche. X IV . 236. b.
Réflexions fur l’abus deslutures. V IL 322. a. VIII. 642. b.
SW AM M E R D AM , {Jean) médecin 8c natiiralifie. Ses
obfervations fur les fourmis. VII. 227. b. Il eft le premier
qui ait fait des injeélions en cire. VIII. 746. b. Suppl. III.
601. b. Ses ouvrages. Suppl. 1. 399. a. Suppl. IV. i c i . b.
SW A N G I , {B o t .) elpcce de bananier. Suppl. I. 782.
SW IET EN , médecin. Sa doétrinc fur la caufe des inflammations.
VIII. 712. a.
SW IF T , { Jonathan ) Caraélere de fes plaifameries. V III.
333. <7, é.
S W IN D E N , {Jérémie) théologien anglois. Son fentiment
fur le lieu de l’enfer. V. 667. />.
SU-XU , 'ivre chinois. III. 342. b.
SÜ Y D E RH O E F , {Jonas) graveur. V IL 870. b.
SU Z A N N E , {Lrmq. facr.) Doutes fur rauthenticicé du
livre de Suzaiiiie. Preuve demonfirative qu’il a été écrit originairement
en grec par quelque juif Hellénifie. X V . 709.
a. Les anciens ne l’ont point reconnu pour canonique ; cependant
le concile de Trente le met dans le canon des livres
facrcs. Ibid. b.
SUZE , ( Géogr. ) Voye:^ SuSE & SuSES.
SUZETE TE ,{Crtttq. fiacr.) Voye^ SuDSTETE.
S Y
SYBARIS , {Géogr. anc.) ville d’Italie dans la Lucanie.
Effets que produifoient les eaux des deux rivieres qui cou-
loient auprès de cette ville fur ceux qui en buvoiem. Hifioire
de Sybaris. X V . 710. a. Autres v ille s, fontaine 8c fleu ve ,
connus fous le nom de Syb.iris. Ibid. b.
Sybaris. Temple bâti à Jupiter homorien par les habitans
de Crotone & de Sybaris. VIIT. 284. a.
SYBARITES , ( Hifl. ) peuple de Sybaris, ville de la Lu-
cartie. Tableau clés Sybarites par le peintre du temple de
Guide. X V . 710. b.
Sybarites. A rtifice par lequel les Crotoniates les vainquirent.
II. 46. a. Les Sybarites maffacrés dans Tluirium. X V I . 303.
a. Privilege qu’ils accorcloient aux pèche’urs d'iiii poiiTon
dont ils étoient friands. V IL 754. a. Ufage qu’ils praiiquoient
en allant dans les maifons où ils étoient invités. XIII.
176. b.
S Y C O M O R E , ( Bot. exot. ) Etym. du nom de cette plante. 7 ^** Sa^ defeription. Lieux où croît cet arbre. Celui
quoi! appelle à Paris fort improprement fycomore , n’eff
autre cliole que le grand érable. Ibid. b. Voye^ Er a b le .
Sycomore. Efpeces de ce genre décrites dans l’article Bi-
rani. Bois du fycomore , ou figuier d’Egypte. Suppl. III.
40. a.
SYCO PH A N T E , {Litter, grecq. ) calomniateur. Etvm.de
ce mot. X V . 7 II. é. ^
S YD EN H AM , ( Thomas) exemple admirable de candeur
de la part de ce médecin. XI. 312. a. Ses obfervations fur
les maladies. Ibid. b. Sa pratique dans la fai"née. X IV
504. J.
S Y D R A Q U E S , {Géogr. anc.) Fuyeç Sa b r a q u e s .
SYENE , ( Géogr. anc. ) ville de la haute Egypte. Marbre
que les anciens nommoient fyénitcs, 6c que nous appelions
granit d Egypte. Comme plufieurs auteurs anciens ont affii-
re que le jour du folftice d’été à midi , les corps ne font
point d’ombre à .Syene , prefque tous les favans jufqu’à ce
jour , ont établi la latitude de cette ville à environ 23° 30^
Cependant , comme il eft conftant aujourd'hui que l'obliquité
de 1 écliptique diminue iufenfiblemeut de fiecle eu
Tome IL
S Y L 725
fiecle , 8c qu'on a efiimé cette diminution d’imc minute
en 90 armées , il fuit de-là que la latitude de Syene a dù
eire plus grande que 23 degrés 8c demi, Eratofilicnc obferva
311233 avant Jefus-Chrifl , l’obiiquilé de l’ccliutioue , d’en- 5»' 20" , 8c fixa la latitude de Syene a 24 degrés.
X V .7 1 2 ,7 é. Avantages que Icsfav.ins rctireroient d’un
voyage dans la haute E g yp te, non feulement pour fixer la
atitudc de S yene , 8c determiner avec précifion la diminution
de 1 obliquité de l’é cliptique; mais pour y faire encore
plufieurs obfervations relatives à la phyfique, à l’Iiif-
toirc naturelle, Sc à celle des antiquités. Ouvrage de Maii-
^“ ^^cremianus, gouverneur de Syene. Ibid. 713, a.
littérateur allemand. X. 136. a.
SXLLA y {Lucius Cornelius) Loi de SulpitiuscontrcSyl-
la : commencement de la guerre civile. IX. 673. a. Ravages
1^ Grèce. VII. 916. b. Comment ii rallia
près d Orehomenc fes troupes prêtes à fuir , ÔC v.imquit Mi-
thridatc. XI. 379. b. Profiriptions de Sylla. X lll. 493. b.
t ar deference pour les veflales il pardonne à Céfiir. XVII .
■ ^17- “ ■ Nombre des hommes de tout rang qui périrent dans
la pierre civile de Sylla , jointe à celle des alliés d’Italie.
XV. O34. .7. S ylla, diébteur perpétuel. IV. 937. a. Il fe fait
appeüer heureux. VI. 466. b. Diverfes loix qu’il établit. !X.
Ô37- ^ y b. L’autorité des tribuns affoiblie par Sylla. XVI.
627. b. Il (ic dans Rome des chofes qui la mirent hors d’état
de conferver fa liberté. X IV . 137. b. XVI. 668. «. Trophées
des Romnins 8c de Sylla. 706. a. Il rétablit le temple de Jupiter
Capitolin, IX. 66. b. Sc fit bâtir à Prenefte le temple de
la Fortune, VII. 206. b. IX. 389. a. L’ufage de brûler les
corps commença par Sylla. II. 448. b.
SY L L A B A IR E , {Giamm.) petit livre qui renferme les
éiémens de la leélure. Tout livre préparé pour riiifinidlion
clés enfans doit être conçu ôc rédigé par la pliilofophie. Quin-
tilien donnoit avec raifon une très-grande importance au foin
de montrer aux enfans les éiémens de la leiturc. X V . 713.
a. Obfervation fur les meilleurs {yllabaires qui font aujourd’hui
en ufage. Un fyilabaire doit être d’un volume tres-
niince. Et pour Itii donner toute l’urilité dont il ell fufeep-
tible, on doit le réduire à l’expofition jiifte 6c méthodique
de tous les éiémens des mots , 8c à quelque petit dilcours
fuivi qui fera la matière préparée des premiers effais de lecture.
Préceptes fur ces deux objets. Ibid. 714, a. Voye^ A béc
éd a ir e .
SYLLAB E. Obfervations fur la maniéré de procéder de
M. Maillet de Boulay dans la critique qu’il fait du fyfiême
de M. Duclos fur les fyllabes. Les éiémens de la voix font
de deux fortes , les fons 8c les ariiculaiions. Il efl de l’ef-
fence de l’articulation de précéder le fon qu’elle modifie ,
8c de le précéder immédiatemenr. D ’où il fuit i®. que toute
confonne e ftoufuiv ie ou cenfée fiiivie d’une voyelle qu’elle
modifie fans aucun rapport à la voyelle précédente. Ainfi
les mots or , dur , font réellement de deu.v fons , par l’ef-
pece d’tr muet attaché à la prononciation de Vr. X V . 713 .
b. 2". Si l’on trouve de fuite deux ou trois articulations dans
un même mot , il n’y a que la derniere qui puiffe tomber
fur la voyelle fuivante , Sc les autres ne peuvent être regardées
en rigueur que comme des explofions d’autant d’e
muets inutiles à é crire, parce qu’il eft iinpoffible de ne pas
les exprimer, mais auffi réels que toutes les voyelles écrites.
Il efi donc indifpenfable de dlllinguer , felon M. Duclos ,
les fyüabes phyfiques 6c les fyllabes artificielles. Ibid. 716.
a. Définition de la fyllabe par l’abbé Girard. C'efl, d it -il,
un fon /impie ou compofé , prononcé avec toutes fes articuU-
rions , par une feule impulfion de voix. Critique de cette définition.
Remarques de M. Harduin fur les fyllabes 6c leurs
articulations.il prétend qu’il eff beaucoup plus régulier que
le mot armé y par exemple , s’épelle a-rmé y que ar-mé , 6c
ainfi des autres mots feniblables : 8c i l l e prouve par diverfes
obfervations. Ibid. b. Remarque du même , fur le fy-
ffème de dom Lancelot fur la coinpofnion des fyllabes. Il
n’y a que le méchanifme de la parole qui puifl'e nous faire
connoître d’une maniéré fûre les principes de fociabilicé ou
d’incompatibilité des articulations. Expofition de quelques
regies fur la fociabilité des confonnes , Ibid. 717. a. 8c fur
la maniéré d’épeller les fyllabes. Ibid. b. Définition de la
fyllabe phyfique , 8c de la fyllabe artificielle. Une fyllabe
ufuelle peut être ou phyfifli'e ou arrlfitielle. L’auteur définit
la fyllabe ufuelle; un Jon Jenfible prononcé en un feul coup
de voix. La fyllabe ufuelle efl le genre, la phyfique 8c l’artificielle
en font les efpeces. Ibid. 718. a. Divifion des fy llabes
ufuelles en complexes 8c incomplexes , 8c par rapport
à l’articulation , en fimples 8c compofées. Examen de l’o-
ligine du mot fyllabe. Ibid. b.
Sy l l a b e , {Gramm.) Diftinflion encre fyllabe convenue
ou d’ufage,8c fyllabe phyfique. Suppl. IV. 837. a.
SylLtbc. Définition des fyllabes ; celles qui font terminées
par des confonnes, font toujours fiiivics d’un fon foible. IV.
33. b. Diflinélion des fyllabes en longues 8c en breves. XIII.
636. b. La variété dans la longueur des fyllabes fait parti«
X X X X x x x x
f'il