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ii8 MES M F SO COLON , ( Arur. ) Sa defcriptlon. Suppl, lîî.
no8.M
IîSOFFRTR , m.trchandcr, (^Synon.) X. 84. a.
M tS Ü N Y C T lO N - , (Lin er.) mot g re c , le milieii de la
nuit. Exemple de cc mot dans Anacréon. Office de l'églile ,
défignè autrefois par ce nom, X. }i)8. u.
MESOPOTAM IE , ( Gcegr. une. ) vafle contrée de l’Afte.
Signitîcation du mot. Nom que Un donnèrent les Hébreux.
Elle a été la premiere demeure des liommes. X. 398. u. Provinces
qu'elle renferme ; diftérentes divifions de ce p a y s ,
felon les fouver.iiiis qui l’ont occupe. Principales villes que
les Turcs y poOédent. UiJ. b.
MJfopo.'umie, tigiire fymbollque de ce pays. X V . 73s. b.
MESQUINERIE, (A/urj/e. ) palTagcs tirés du tableau que
Tliéopliradc fait des mcl'quins de la Grcce. X. 398. b. Plaute
s’cR diverti à peindre dans le pcrlonnagc d'ÉuéUon , un
vieillard romain de la derniete mcfquincrie. Ibid. 399. u.
MESQ UITE , ( Boum, c.xoï. ) arbre de l'Amérique. Fruit
qu'il produit. Ul'age de cc fruit. X. 399. u.
MESSAGER,"chez les anciens Romains ; meffager public
qui avertiiloit les maglflrats des alïemblces qui dévoient fe
tenir. Pourquoi on les appcUoit voyageurs. Le nom de viator
devint enfuite commun à tous les officiers des magiArats. Les
noms de libtor 8c de viator s’employoiciu Indifféremment l’un
pour l'autre. Magillvats qui feuls avoient droit d’avoir des
vi.2ioros. Autre efpecc de raclîagers du ceins de Vefpaficn. X.
399. a.
j\h-ffagcr, cfclavc dont les Romains fe fervoient pour les
inefTages. X V. 125. a. Vin de meffager. XVII . 300. b.
MESS A LIN E , femme de l’empereur Claude : fes débauches.
II. 6. a. Suppl. II. 453, a , b.
M E S S A N A , (Géogr. .znc.) ville de Sicile. X. 399. a. Ses
fondateurs. Différence entre Mejfana Sc Mcjjcne. Epoque à
latiuelle les Melî'aniens prirent le nom de Mameriins. Ibid. b.
Voyci Messine.
MESSAPIE , ( Ciugr. anc. ) partie de la grande Grece :
villes qti’ellc compreiioit. VII. 919. b.
MESSE. Etymologie de ce mot. Différens noms qu’on
donne à la mcii'e, felon les différens r its , les différentes intentions,
les d ft'érentcs maniérés félon lefquelles on la dit.
X. 399. b. Diverfes obfervatioiis fur une forte de meffe ,
appellee fee he, fur un autre abus de la meffe, qu’on appel-
loit mejfe à deux & à trois faces. I b i * 400. a. Meffe des pré-
fanflffiés. Deux parties dont la meffe eff compofée./i'iu'.
Meffe, canon de la meffe. II. 606. a. .Meffe des catéebu-
menes, dîAinguée de la m.ffe des fidèles, dans la primitive
églife, II. 774. a. V I . 683. b. Baiferde paix dans la célébration
de la meil'e. XI. 681. u, Préface de la meffe. XUI. 281. u.
Prière de la meffe , agrius Dei. I. 179. a. Parties de la meffe,
appellees communion. III. 737. b. L'epitre V . 822. a , b.
L ’évangile. II. 143. <2. L’immolation. VIII. 376. t. Partie qui
le citante encre l’épitre & l’évangile. IX. 1. a. L'oblation. Xl.
303. .2. Poff-communion. X llI . 170. a. Antienne qui précédé
l ’onerte. Suppl. IV. 123. b. Oraifon fecrette après l’offerte.
X IV . 876. a. Elévation à la meffe. V. 303. b. Obl'ervation fur
la maniéré dont la meffe devroit être célébrée. VI. 368. b.
Linge facré dont on fe fert dans le fervice de la meffe. IV,
a6o. b. D e la meffe de paroiffe. 374. b. Meffe des Ethiopiens.
IX. 397. b. Effiece de coffre fur lequel ils célèbrent la meffe.
X V . 810. b. Comment les prêtres maronites la célèbrent. X.
1 3 3 . Meffe des Mingreliens. 348. u , b. Meffe mozarabique.
9 1 1. U. Meffe des chrétiens de S. Thomas. X V I. 283. u. Meffe
des Grecs. VII. 919. a.
M esse du pape Jules, (Peinture) defcripfion que M. l’abbé
du Bos a donnée de ce tableau de Raphael. X. 400. b.
MESSENE , ( Gcûgr. anc. ) ville du Péloponnefe. Fondateur
de cette ville. Mcffene fortifiée par Epaminondas. Force
de fes murailles, que M. l’abbé Fourmont examina encore
en 1730. Meffene comparée à Corinthe, foit pour fa fniia-
tion , foit pour fes fortifications. Ouvrage d’Evhémere, né à
Meffene, & contemporain de Caffandre , roi de Macédoine.
Syffémc de cet auteur fur l’origine du paganifme. X. 401. a.
iSivers traits par lefquelsil attaqua cette religion. Impreffion
Qiic fit cet ouvrage. Jugement qu’en porte Cicéron. Ibid. h.
Meffene. Sa citadelle ; montagne du même nom , près de
cette ville. VIII. 933. j.F é te que les Mefféniens célébroient
en l’honneur de Jupiter Ithomate. Ibid. Celle qu’ils cclé-
broienc lorfqii’ils avoient tué cent ennemis à la guerre. 94. b.
Crime qu’ils commirent envers les filles qui fe rendolent au
temple de Diane Limnéenne. IX. 343. a.
M essene, (Géogr. anc.) ifle d’Afie , aujourd'hui nommée
Chader. X. 401. b.
M essene , golfe d e , ( Géogr. anc. ) aujourd’hui golfe de
Coron. X. 401. b.
MESSIE, ( Thêolog. 6* H if. ) étymologie du mot. Titre
qui ne fe donne plus qu’à l’oint par excellence, que nous
avons en la perfonne de Jefus , fils de Marie. X . 401. b. Ce
nom dans l'ancien leffament fut fouvent donné, iion-feule-
ineni aux vrais fidèles, mais encore aux princes idolâtres j
M E S
qui étolent dans la main de Dieu , les miniftres de fes v engeances
, ou dos inffriimcns pour l’e.xccution des confeils de
l'a fageffe. Le nom de Mcßle, donné à Cyrus. Ezéchiel le
donne aufii au roi de T y r . Les Juifs le doniioient aux rois ,
aux prophètes , aux facrificateurs. Cc nom a été auffi fouvent
employé pour défigner villl>lcmcnt ce Mcffie par excellence,
objet du defir &. de l’attcme do tous les hdeles d’Ilraèl.
Exemples. Ibid. 402. a. Préjugés fur le regne temporel du
M e lfie , qui furent caufe de la réjeélion du Seigneur Jefus.
Ayant fenti qu’on pouvoir appliquer à Jefus la plupart des
anciens oracles, les Juifs fe Ibnc avifés de nier que les paf-
fages que nous leur alléguons , doivent s’entendre du M ellie.
Fidion à laquelle ont recours les rabbins des fynagogues
d’Europe qui labfiffent aujourd’hui, lorfqu’on les preffe fur
un article aulfi embarrairant pour eux. Tems auquel naquit
le Meffie, felon le rabbin S.iiomon Jarchy ou Rafchy. Idée
dii rabbin K m^-hy par rapport au Mcffie. Ibid. b. Divers lieux
où plulieurs rabbins placent le Meffie, qu’ils croient aduel-
lemein venu. D ’autres, & c’cll le plus grand nombre, prétendent
qu'il n’eff point encore arrive. Anathème prononce
contre quiconque fiippiitcroii les tems du Mcffie. D ’autres
rabbins ont imaginé deux .Meffies qui doivent fe fuccéder
1*1111 à l’autre. Sentiment du dufteur en médecine Aaron-
Ifaac Lécmaii de Slenwich fur le Chriff des cliréiicns. Ibid.
403. .1. Rêveries du rabbin Abenezra fur les deux Meffies à
venir. Dix grands miracles dont l’avéïiement du Meffie fera
précédé, Ibid. b. Magnifique feffin que le Mcffie donnera,
felon les Tii .lnnidiftes , à fon peuple raffemblè dans la terre
de Canaan. Ibid. 404. a. Jugement des Juifs fur le fyftème
de la divinité du Clirift. Pourquoi Jefiis-Cbrift lui-même
parut exirèm inent réfervé fur l’article de fa divinité. Avant
l'envoi du Saint-Efprit , les Apôtres ne foupçonnoient pas
même cette nature divine de leur maître. Efforts des Juifs
pour dciriiire & invalider ce grand myffcre. IbiJ.b. Signification
du terme aiiguffe de fils de Dieu , fuivant les docteurs
juifs. Calomnies inventées par les Juifs, dans le livre
iiuitiilé Sepher Toldos jefehut, pour rendre niéprifable
ridicule la perfonne du Fils de Dieu. Ibid. 403. a. Obferva-
cious fur un autre livre rabbinique , intitulé Toldos Jefu. Ibid,
h. Hiftoire fal'uleufe fur la vie de la Sainte Vierge , l’enfance
& l’éducation de Jefus-Chriff, écrites fur feize lames de
plomb , trouvées d.ms une grotte prè.s de Grenade. Ibid. 406. a.
Meffie , origine des f.iiiff'es idées des Juifs fur le regne du
Melfie. XI. 3^0. b. D e raccomplilTement des prophéties en
Jefiis-Chriit. X I ll. 463. b, Sic. Suppl. IV. 334. a , b. En quel
fens le Mcifi-e devoit être le libérateur 8c le reffaurateur de
fa nation. X IV . 223. b. Objections alléguées contre l’application
ordinaire du Scilo au Meffie. 793. a. Oblervations fur
la fameufe prophétie de Daniel , touchant le tems du Meffie.
X IV . 933. /i.
Des faux Meßles. Hiffoire de Theuclas. Judas le Galilcen.
Barcbochebas. Les Juifs punis par l’empereur Adrien. X.
406. a. Siege de la ville de Bytbcr. Imprécations des Juifs
contre cet empereur. Faux Meffie , nommé MoiTe , qui parut
dans l’ifle de Candie en 434. Autre impoffeur femblable ,
nommé Julien, qui parut l’an 330. Ibid. b. Impoffure de
Sereiuis au commencement du huitième fiecle. Faux Meffies
du douzième Si du treizième fiecle. Séduélions de David-
El-Rc. Prédirions de Jacques & de Philippe Ziéglerne fur
la prochaine venue du Meffie. En 16 66, Zabatliei Sévi fe fit
paffer pour le Meffie, piéclit par Ziéglerne. Hiffoire de cet
impoffeur. Ibid. 407. a. Difciple qu’il s’affocia , nommé Nathan
Levi , pour lui faire jouer le rôle de précurfeur.
Ibid. b.
MESSIER, ( AJlron. ) conffellation boréale qui fe voit fur
quelques nouveaux globes cèleftes. A quelle occafion elle a
été introduite ; place qu’elle occupe. 6'«/’/’/. III. 910. i. Dif-
tique latin de M. Bofcnovich, h l’occafion de cette conffellation
, en l’honneur du célèbre affronome dont elle porte le
nom. Ibid. 9 1 1. a.
M essier , fergem, ( Jurifp.) ou Meffilier. X"V. 91. æ.
MESSIN , l e , ( Géogr.) province de France. Ancien peuple
de ce p a y s , nommé Médiomatrices. Climat du pays. Ses
habitans. Ses rivieres. X. 408. a.
MESSINE , ( Géogr.) voyc^MESSANA. Situation de Meffine.
C e qu’elle a de remarquable. Sa population. Elle difpute avec
Païenne le titre de capitale. L’inventeur de la peinture à
l’huile ctoit de Meffme. X, 408. a.
Meßine , cette ville anciennement appellee Zancle. X V I I .
691. a. b. Fare de Mcflîne. VI. 410. b.
MESSONIER, goût des contraffes que cet artifte a per-
feftionné. VI. 682. b.
MESTRE-DE-CAMP , (Art. «///>.) titre de colonel donné
au ineffre-de-camp des regimens d’infanterie françoife &
étrangère. III. 648. b. Le meffre-de-camp-général eff chef
des dragons. VII. 333-E
MESUACH , ou Mejué , médecin. X. 288. a. X IV . 664. b.
m e s u r e , ( Géom. ) définition. X. 408. b. Mefure d’un
angle. En quoi coiififfe la différenc« d’im angle à un auu'ô
M
î-nsle de même efpece. Mefure d’une furface plane. Mefure
d’une ligne. Mefure de la maffe : elle n'elt autre ebofe que
fon poids. Mefure d’un nombre ,eii aridimétique. Mefure
d’iui l'oiide. Ibid. 409. a.
Mefure de la vîteffe , vo yq MESURER.
Mesures , harmonie des (Géom.) définition. Mefuré d’une
ralfon donnée. Mefure dans chaque lyfféme. Prétis du livre
de M. Co te s , intiiulé H.irmonm menfuranim. X. 409. a. Exein-
i)!e de la méthode logoinétrique pris d.ms le problème coni-
nuiii, de dcterminer 'l.idcnrité de ratmofphere. Définition de
la mefure des angles felon M. Cotes. Avantage qui fe trouve
.à calculer félon la méthode de ce géomètre. Ibid. b.
Mesure , ( Arts & Comm. ) trois fortes de niefures ; celles
du teins, des lieux Sc du commerce. Comment la mefure
du tans a été déterminée chez la plupart des peuples. Principales
mefiires anciennes pour les diffances. Meliires des
denrées, en ufige chez les anciens. X. 410. a.
Mefure du tems , il n’y en a point d’exaélemenc jiiffe.
X V I . 96.
Mesure, (Poéfle latine) principales mefures qui conipo-
feiu les vers grecs & latins. Différentes elpeces de vers, formées
de la coinbinaifon de ces mefures. X. 410. a.
Mefure, voyc:^ PlÉ & V ers. D e la mefure. Suppl. UI.
306./>. Dans les vers françois. V . 830. a. Des meliires du
vers ancien. Suppl. IV . 984. b. Vers ù mefure pleine : à me-
fup-e tronquée. 987. a.
Mesure, (Mufïq.) les anciens ont connu la mefure, &
nous ont luiffé les regies qu’ils avoient établies pour cette
partie. La mufique tombée dans la barbarie après la dcffruélion
de l’empire romain. Il n’eff pas étonnant que le rithme^
qni fervoit à exprimer la menu e de la poéffe, ait été négligé
dans des rems où l’on ne chantoit prcfquc que de la
piofe. Quels ctoient ces points dont G u y d’A rezzo. nota fa
iiuifiqiie. Quel eff celui auquel on attribue communéinerst
l ’invention des diverfes valeurs des notes. X. 410. b. Etat
ou fut mife dans les commcncemcns cette partie de la mufique.
Comment elle fut enfuite perfeffionnée. Dofirine de
l ’uureur fur les mefures. Ibid. 41 1. a.
Mesure , ( Mufiquc) aucun fon n’exprime rien par lui-
niême ; mais ü faut néceffairoment que l’cxpreffion & le
fens qu’on trouve clans une fuite de Ions, provienne de la
manière dont ils fe fiiivchc. On peut avec un petit nombre
de Ions produire une infinité de ti.uts de chant, dont chacun
fera reffeiirlr quelque choie de dift'érent. Suppl. 111. 9 1 1.
Cela ne forme pourtant pas un vrai chant : le chant demande
de I’linito, ou piiiioc une unit.innité continuelle dans
le fentiment qu’il exprime. On y parviendra par l’égalité du
mouvement dans la fuite des ions. O r , il faut pour cela que
le chant foit compofé de fous cliffribués en membres égaux.
Ces membres doivent aiifli être aflemblés d'une manière
uniforme, car fans cela l’uniformité de feiicimcm celferoit.
O r , les membres égaux 8c uniformes compolent ce que l’on
nomme en mufique la mefure. La meliirc a donc lieu , même
lorfqu’il ii’y a pas de différence dans le degré d’élévation
ou ci’abaiffemeiit, de vîteffe ou de lenteur des fous; mais les
accens y font inffifpenfables : fans eux l’oreille n’auroit au-
ciiit guide pour partager cette fuite de fons en membres
égaux 8c uniformes. Ibid. b. La répartition des fons en membres
égaux , pouvant être faite de plufieurs maniérés, dont
chacune a fon Caraélere particulier ; de-l.à réfultent les divers
genres & les efpeces différentes de mefures. Il femblc d’abord
qu'il n’y a exaélemorit que deux efpeces de mefures , la
paire Sc l’impaire, 8c qu’ainfi il eff fiiperlUi d’admettre d’autres
fubdivifions. Cela feroir v r a i , s’il ctoit poffible de former
une mefure paire de plus de quatre tems égaux, 8c de battre
cette mefure fans fe figurer une fubdivifion, qui la partage
en jiarties, ou en d’autres mefures. 11 n’eff pas plii.s poffible
de faire une mefure d'un feul tems , parce que cc tems feroit
toujours compofé de plufieurs autres. Ibid. 912. a. L'on appelle
tiiple la mefure impaire , parce qu’elle ne peut être
compofée que de trois tems , 8c que toute autre mefure
impaii e eff contraire 8c gênée. Indépendamment de la mefure
8c du mouvement, le bon nuificien regie le degré de force
de chaque note fur fa valeur. L’expérience le rend encore
habile à femir le tems précis & naturel de chaque piece
par le moyen de la valeur des notes qu'elle contient. Ibid.
912. b. Réflexions fur les compofitcurs qui ne font pas en
état de rendre raifoii du choix qu’ils ont fait de telle ou
telle mefure; 8c fur ceux mii regardent la multiplicité des
mefures comme arbitraire. Examen de cb.ique forte de me-
lurc. D e la mefure à deux tems. Mefure de deux quatre.
Ibid.pi^ a. Mefure de f . Mefure à ^.Mefure <!e f. Mefure
de Des niefures à quatre tems. Grande mefure à quatre
tems, donc les tems font chacun d'un quart. Ibid. b.
Irrite mefure à 5. Mefure de |. Mefure de '-f. Mefure de
impaires. Mefure de 7. Mefure de j. Mefure de
V de f j . Ibid. 914, a. Mdure à 7. Mefure de Me-
Uye de 7^. Des parties donc la mefure paire eff compofée.
1 ems forts 8c foibles de cette mefure. Ibid. b. E.xem-
MES H U j
pie qui montre la ffivcrficé de la quaniiié imrinfequc des
parties de la melùrc, dans les mefures impaires. ComnicuL
on peut aff'cmblcr deux mefures 6c n’en faire qu’une. De
quelle utilité font les diverfes fortes de mefures compofées.
En quoi elles different des fimples. Ibid. 913. a. Dans deux
traits de chant, conipofés de notes de même valeur, & qui
ont la même mclure 8c le même mouveinent, l’accent peut
le rencontrer en des places différentes ; c’eft ce qui détermine
la mefure, laquelle martjue la place de l’accent, 8c fa
valeur, qui fout inaltérables , tant que la piece continue
dans la même nivfurc. C ’eff une faute, quand dans une pièce
on trouve la note finale , tantôt fur le premier , tantôt fur le
tioifieme tems de la mefure. Ci’eff encore une T.uce, quand
dans une mefure iimple, l.t note finale d'un mode relatif,
tl.ins laquelle on eff palfé, ne dure pas toute la mefure,
mais liiiit au milieu. Ibid. b. Le niouvcnient 8c l’exécution
des niefures compofées, Ibiit les iiièines que pour les nio-
lures fimples dont elles réuilieiit. Autre divifion des mefures
en deux efpeces, qu'on appelle Jpond.tique 8c tioeh.iùiue.
Ibid. 913. .2.
Mejure , voyej T lms. Ce qu’on entend par mefure. Suppl.
IV . 644. ,1. Origine des oitléremes efpeces de mefures. Ibid,
a , b. Des loix de la inclure, felon M. Jamard. 868 , b. &e.
Comparaiioii de notre mefure au rythme ancien. X. 901. a.
Mouvement de l.i mefure. 841. b. Le grand vice de notre
mefure eff de n’avoir pas allez de rapport aux paroles. 901. é.
Battre la mefure. II. 133. a,b.Lc'> anciens le fervoient de
fandale pour battre la melure. X IV . 609. b. Inftriiment qui
fert à régler la mefure. 111. 401. b. Mefures compofées. 11. 334. b. Mefure à coiitie-iems. 388. a. Deini-mefure.
691. é. Mefure l'clqui - altcre. X. 901. b. Mefure fextuplc.
X V . 139. a. Melure triple. XVI. 637. h. Du frappé de la
mefuic. Suppl. III. 136. *J. Des moyens ci’c'Xprclfion qu’elle
fournit. Suppl. II. 923. w. 923. a. Foye^ les planches de
mufique à la fin du volume VU.
Mesure longue , (Amiq. A n s &• Comm. ) milité de la
eonnoiffance «les mefures pour l’intelligence de l’Iiiffoire
8c de l’ancienne géographie. La connoillance des mefures
des anciens emporte celle des mefures creufes 8c des poids
dont il failüieni ul'age. X. 4 1 1. ^T rav aux de plufieurs habiles
gens fur ceite maticre. Proportions établies par M .F r é r e t ,
entre tes différentes melurcs longues des anciens Grandeur
des différentes coudées 8c des différens piés. Ibid. 412. a.
Grandeurs différentes des pies romains par les divers inonu-
mens. Fié romain , établi par voie de raifonnemuH. Mefures
differentes des Grecs. Mefure itinéraire des affronoines j
d’Ariltote , d'FIérodote , de Xenojffion ; 8tc. Mefure de Cié-
fias , 8c celle qu’Arciumede ik Ariffocréon ont employée
pour la melure de la terre. Melure commune contenant y. de
la mefure olympique. Ibid. b. Mefure olympique d’Hérodote
6c d'Eratüilliene , pour la mefure de la terre. Mefure
italique ou grecque de Coluinellc , Pline , Scc. de Diodo rc ,
8cc Babylomque d’Ezécbiel , & d'Hérodote. Mefure égyptienne,
hébraïque de Jolephe , famii.nne , alexandrine , des
Piolomées j d u d é v a kb , de la géographie de Piolomée 6c
de Marin de T y r , 8cc. Mefures romaines anciennes. Ibiel.
413. a. Meliires longues des modernes. Celle de France;
d’Angleterre , de Hollande, de Flandres, Suede 8c partie
d'Allemagne , des états u'Italie , de l'Llpagne 8c du Portugal,
des M olcovites, des Turcs 6c des peuples d'A fic. Ibid. b.
Table des melurcs longues de diverfes nations, comparées
an pié romain , par M. Gréaves. Table de la proportion du
pié de Paris j avec les melurcs longues de différentes nations,
par le même M. Gréaves. Ibid. 414. Table de proportion
de plufieurs mefures longues entr’ellcs, par M. Picard. Ibid. b.
Table de melurcs longues , priles fur les originaux , 8c
comparées avec le pic ciii Clnirelct de Paris, par M. Aiizoïit.
Ibid. 413. a. Table de diff'ércntcs mefures longues, comparées
avec le pic Anglois , divifé premièrement en mille
parties égales , puis en poucci 8c en dixiLines parties de
pouces. Ibui. b. Table des mefures longues d’Angleterre.
ibid. 4 16.a, ê. Table dcsmei'ures longues de l ’écriture, réduites
à celles d’Angleterre. Ibid. 417. a. Table- des mefures longues
des Grecs , réduites à celles d'Angleterre. Ibid. è. Table des
mefures longues des Romains, réduites à celles d’Angleterre.
Ibid. 418. a.
Aiefure longue : les anciens mettoient dans les temples les
originaux de toutes les meliires. V lll. 112. ê. XII. 862. a.
Meliirc des anciens appellee l'pitliainc. X V . 478. b. Ouvrage
de Hooper fur les mefures des Athéniens, des Romains , 6c
particuliéreiuem des Juifs. X V ll. 639. a , b. Pié romain
antique. Suppl. III. 334 b. Mefure des longueurs, d’iifage
en Angleterre, divifée par piés, doigts, lignes, 8c grys. V IL
974. b. Rapport du pié d’Angleterre avec celui de Paris.
Suppl. 1. 132. b. Comparaifon du pié fuédois avec d’autres
melures de différens pays de l’Europe. Suppl. IV . 886. a.
Comparaifon du pié de Vienne avec d’autres mefures. Ibid.
Melure des longueurs dont on fe fert à Siam. X. i i8 . a,
Voyei les articles P lÉ , X ll. 362. a , b. 563. a , b.