IS
. i l l
■ ' II
'll] i fI ii!'
256 M O S M O T
M O R V E A U X , (G.-ogr.) h j f F « ‘’=
cien i.om, Obl'crvatluns lur M Guyton do Morvoat x
avouai S'nàral du patlomcnt do Bourgosno. iuppl. 1Ü.
’ '^ivlORVEDRO , on AhrviiJro, ( Ciogr. ) ancienne ville
d'Eliiaenc , relies do la tiimeule 6c intommec Sagonie.
On rappelle on latin »»ri veterra. Mmuimcns ancons qu on
l i ï S i S i t c n F t a ' î j i r y ° v t:i. l Ï Ï ' n - porte de la
' ' M O rT iLl ! eRs 'S‘' ’( GFgr. ) bourg avec titre de c om i
dans le Barrois. Evénemens remarquables arrives près
tie ce lien. Suppl- III. 964. b.
^^lO-^MQiJE&chü'.Umc.pInlofophu, {Htji. di. la t'jn
loCovIi.) Le iccpticir.nc 6c lu crécli.lité (ont deux vices e^u-
lei.icnt iudiû.ncs de l’honinie qu. penle. X. 74J- 'l'
t!a.iac,eufcs de Tun & l’autre de ces deux excès DilUid
fèpiu-és du tliéologicu & du pliilofophc. Cette feparanon
mal connue de ceux qu i, dégoûtés de la plulolophic lccbue
& du pirrlionll'me , clierclicrem a s inttriure des fc.uicts
naturelles dans les fources où la Icience du falut eio.t la
feule à iniifcr. Les lyllèmes pliilolbpliiques ont eu de tout
tents une influence fâcheufe fur la mcdcc.no U fur la
tltéoloalc. Obfervations fur ces auteurs qu, ont clicrclie a
éclairer quelques points de l'écriture en y appliquant les
découvertes des plillofoplies. Uni. t- Divers auteuis- qui
ont tenté de tranfporter clans la théologie les fcienccs plu-
lofophiques. Obfetvaiions plus particulières lut les ouvrages
de Cafmann, AIftédius. »id . 74a- B a y e r. A fla c l,, D.c-
Linfon, & Thomas Bu,net 1 precis de la vte de ce dernier
ItiJ. i . Analyfe de fon lyfteme tlicoiogico-pliiloto-
phique. UÙJ. 743 • »■ Auteurs qui abandonnant la phyl.qne ,
loiirncrcnt leurs vues du côte de la mo rale, 6c so tc ii-
perenr à la conformer à la loi de l'evangile. Tentanves de
quelques autres pont ailler la politique avec la morale du
cliriil Minière de pofer les vrais fondemens chi dioit na-
iiivel ' felon Valentin Alberti. Obfervations fur la vie ^
les ouvra^’ es de Jean Amos Comenius , auteur qui le ht
nn nom cL.ns le tems oi. les efprits vonloient ramener tout
à la révélation. Ibid. b. Analyfe d’un ouvrage de Bayer m-
titulè , iundamcnia inurprcuùonis 6- adminijhationis ^aie~
raUa , c:t mundo , mente 6- feriptuns jaaa. Oblervations
générales & confcqneiices tirées des dillércns fydeines qui
viennent d'être expoles. Hypoihefe de M oyle , telle que
Comenius l’a introduite. Ibid. 744- “ï- , , .
M o s a ïq u e , {A nm c c h .) Dirtérens noms quon donnoit
autrefois à la mofaique à caule de les variétés. X. 7 a.
Etvm. du mot mojatquc. Phtlieurs prétendent que 1 origine
de la mofaique vient des Perfes. D ’autres aliment que cet
art prit nailTancc à Conftamiuople. Il commenta a paroitre
vers le tems d’Augufte. C ’etoit uuc façon de peindre avec
des morceaux de verre. A ces morceaux de verre fucce-
derent ceux de marbre. Pourquoi cet art a ete abandoime.
On lui donnoit autrefois le nom de marqueiunc en pierrp
Divifion de la mofiique en trois parties. 1 '. La connoil-
faiK-e des marbres. 2". La préparation à lufage »’ ‘'î-
tic V L’art (le joindre &. de polir les marbres. Ibtd. b.
F-mierc panic Des mmbres. Marbres antiques. Marbres
modernes. Ibid. 746. Marbres dits brcclies modernes. Seconde
panic. De la manière de preparer le Hue. Uid. b. L»c
la manière de préparer le mallic. Troifieme parue. Des ouvrages
de mofaique. Ibid. 747. a. Ancienne divilion de ces
ouvmges en trois efpeccs. Explication de quckiues figures
des planches, reprélémant divers delïïns ou tableaux antiques
, exécutés en mofaique. Ibid. b. Des outils propres
aux ouvrages de mofaique. Ibid. 749. a.
Mofaique des ouvrages en mofaique dont on clecoroïc
les édifices des Romains. \'UI. 659. E Mofaïqitcs d'Hercii-
lainim. Suppl.lW. 3f 3- Compartimens de paves en mar-
bre. X. 78. a , b. 79. a. Ouvrages de pierres de rapport.
X l '7 2 '. a. Ufage des pavés en mofaique à Rome. XII.
i9-.^è,'"'planc)ies du travail & des ouvrages à la mofaique.
^ V oL V l l l . des planch, article mofaique. _
MosAiQUE , {Peinture) En quoi elle connue. Maniéré
de l’exécuter. Morceaux en molaïque qui nous relient de
la main des anciens. Grand morceau de mofaique que Ion
voit dans le palais que les Barberins ont fait bâtit dans la
ville de Palellrine. Incruilations de la galerie de lainter Sophie
à Conllantinople. X. 746. b. Comment Part de la pein-
u.re en mofaique fe conferva après la chute de 1 empire
romain. Divers peintres qui depuis cette epoque s exercèrent
en ce genre. On jugeroit mal du pinceau des an
ciens , fl l’on vouloir en juger fur les molaïques qui nous
relient d’eux. Défaut de cette forte de peinture. De la mofaique
des habitans du nouveau monde faite avec des plumes
d’oifenu. Ibid. 750. a.
M O SAM B IQU E , canal, {Géogr.) Courans quon y te-
marque. Suppl. ). 4^,0- , a 1 i /•
M O SA R A B IQ G E , ofice : moyen employe par Alpnonle
roi deCaflillc pour fe déterminer entre l’office mofara-
bique & le miffel romain. V . 159. i . . . r i
M O S CH A T E L L IN E , (Botan.) Defcnption de la leulc
cfiiece connue de ce genre de plante. X. 750. b.
M O sCH lO N , médecin. X. 288. b.
M O SCH L S , poète bucolique. XII- i$9- X V . 243.
M O SCO V IE , {Géogr.) T o yq Russie. AgrandilTenicin
de cet empire deinus un fieclc. X. 750. b.
M O S C O V IT E S , vqyrî R usses.
MOSELLE , ( Geogr.) Rivière de France- Son cours. Scs
noms latins. Lieu de fa fource. Entreprife de joindre la Mo-
felle à la Saône. X. 75 Mojelle, obfervations liir le vin des environs de la Mo-
fellc. X V l l 291. a. - M C I .•
M O S K O W , {Géogr.) Hilloire de cette ville. Sa dcl-
crintion. Qualité du pays des environs. X. 751. a. R'vieres
de MObkuu. Canal conflruic par Pierre le Grand , de M o sk o y
à S. Péterlbüurg. Pofuion géographique de Mobkow. Ibid. b.
Müskow , des patriardics de cette ville. X IV . 444. «•
Matines de Moskuw. XVII . 39. u. , .
M ü sk ow , Duché de ( Géogr. ) ou la Mofcovie proprement
dite. Ses principales rivières. Ibid. b.
MOSLEM , général arabe. Suppl. I. i$. -t. 17- -î - 7»-
M O SQ U É E ,' {H d l. rnod.) Eiyin. du mot. Il y a des
mofquécs fondées par les empereurs, & d’autres par les
muphti , les v ifirs , &c. Les molquces royales font ordinairement
accompagnées de grandes ccoles & d hôpitaux ,
& jouifficm de grands revenus. Deicnption des mofquees.
X. 751 . b. Relation de la manière dont le peuple s allembic
pour la prière. Ibid. 752. u. r ; tt
Mofqiue, celle d e là Mccqué. Suppl.l. 308. a. Suppl. U.
..3. <1. fcrande mo'quée de Kom en Perfe. IX. 134. ‘f-
quée de Médine. X. 298. Architecture de ces édifices.
X \ 'l. 86. a. Lieu des mofquécs ou fc placent les pnnees.
IX. 839. ./• Clocher ou tour des mofquées^ X. 521.
fm au milieu de la cour d’une mofquce. XII. 636. L Mol-
quées de Confiaminoplc. X V I. 758- Officier des mof-
quées appelle hhatib. V IIL 198. D o teu r s chez ks_turcs,
qui enfeignent dans les écoles jointes aux mofqiiees X.
8iS. U. Officier qui a foin des mofquécs en Egypte. X V .
I. .7. Miniilre de mofquée appelle taldman. «6«. b.
M O SQU ITE S , {Medec.) Boutons fur la peau accompagnés
de démangeaifon. Remede. X. 75^ ' / - . ..
M O S U L , M oussue ou M o ussal , {Géogr ) Ville tl A-
fie , aujourd'hui piefque ruinée. Chaleur excclTive a Moful.
Longic. Si larit. X. 752. a. \ d ,
MO SYN IEN S , ou M o s y n æ c ie n s , (Geogr. jn c .) 1 cu-
ules montagnards près du Pont-Euxin. Parnculantes fur ces
peuples. Signification de leur nom. Foycg_ H epTACOMETes.
^ i v i t e ! ' ( Log. Gramrn.) Trois chofes à confidérer dans les
mots ; le matériel , l’étymologie &. la valeur. Le coeur &
l'cfpric ont chacun leur langage. Celui du coem efi mfpire
p-i: la nature , & n’a prcfquc rien d’arbitraire. ObfcrvatiOns
fur ce langage interjeélif. Des mots qui appartiennent au
langage de rcfpm. Leur dilUnaioii en déclinables & en m-
déclm.ibles. . • ^
I Des mots déclinables, & des variations qui rdulteot
rie leur ilédinabllité , favoir. r". U s „ombres. Ib,i. 753. a.
La fignification fondamentale, commune aux quatre elpeces
Je mots décrmables , confifte i préfenter à l'cfprtt des idces
des être s , foit réels , foit abUraits , qui peuvent être les
obiets de notre penféc. La différence de CCS quatre cfpcces
de mots ne doit venir que de la différence des points
vue fous lefquels elles font envifager les etres. D o u dépend
le choix des nombres dans l’ufage des noms, des pronoms,
des adjeftifs & des verbes. Ibid. b. Des cas.Les
quatre efpeces de mots déclinables reçoivent les mffexions
des cas dans les langues qui les admettent , ce qui indique
dans ces quatre efpeces une fignification fondamentale commune.
D ’où dépend le choix des cas. Les quatre efpeces
de mots déclinables diHingués en deux ordres i dans le premier
font les noms Sc pronoms, qm prefentent a le fpru
des êtres déterminés ; dans le fécond font les adjc-aifs &
les verbes , qui préfentent des êtres détermines. Ibid. J ’iA’
a V Des genres. Chaque nom a un genre fixe Sc déterminé.'
Il n’en eil pas de même des prcinoms. Rapport d i-
(jauité entre le nom & le pronom, fonde ur le genre. Ces
d-eux efpeces different entr’elles par l idée déterminative. La
dillinaioii des genres montre affez clairement qu on a prétendu
avoir égard dans cette dillnbution a la nature des
êtres exprimés par les noms. Ibid. b. Des genres dans le
adjeffifs Si les verbes. 4 - Des perjonnes. Les perfonnes lont
les relations des êtres à l’afte même de la parole. Les relations
font au nombre de tro is, déterminément attaclies a
chaque pronom. Les noms au contraire n’ont point de per-
foiine fixe. Ibid.j^ 5- Les perfonnes font à l’égard des pronoms,
ce que les genres font à l’égard des noms. Les verbes
MO T font encore ici des êtres déterminés , pnlfqiie par rapport
aux perfonnes, ils ont befoin d’être appliqués à quel-
oiie nom ou à quelque pronom , pour prendre une termi-
naifon déterminative. 3°. Véritable notion des noms & des
pronoms. Propriété commune des adjeflifs Si des verbes ,
les unes & les autres préfentent à l’efprit des êtres indéterminés.
Ibid. b. Propriété caraélériffique des adjectifs, indiquée
dans la définition fiiivame : ce font des mots qui pré-
fentent à i'efp'it des cires indéterminés , defignès feulement par
une idée précife qui peut s'adapter J plujieurs n.uurcs. Cette
notion des adjeélifs montre le fondement delà divifion qu’on
en fait , en adjeétifs pliyfiqucs & en inétaphyfiques , Si
de la tranfmutation des uns en noms, & des autres en pronoms.
Ibid. 736. a. 6”. Des icms. Les tems font une cfpece de
variation cxcUifiveinent propre au v erb e , & qui tient à l’idée
différoiicicllc Si fpécifique de fa nature , qui eff celle
de rcxifiencc. Cette idée de l'cxiffence eff la feule qui puiffe
fomier la propriété qu’a le verbe , d’entrer néceffaireineiit
dans routes les propofitions du ciifeours. Ibid. b. 7 ”. Des
modes. Comparaifon des modes du verbe aux cas du nom.
Tous les teins expriment un rapport d’cxlllence à une époque.
Mais cliacim d’eux eff fufceptlble de differentes tenniiiailons
que l’on nomme modes ; eiiforte que les différentes formes
d'un même tems , félon Ja diverfité des modes, font comme
les diftêrcnies formes d’iin même nom, félon lu cllver-
lité des cas. Notion que l’analyfe nous donne des verbes :
ce font des mots qui préfentent à l ’cfprtt des erres indéterminés
, dcfignés feulement par l'idée de l'cxiflence fous un attribut.
De-là , la divilion du verbe en fublhmif & c-n adject
i f , Si la fous-divifion du verbe adje-ilif , en aélif, pallit
ou neutre, Siz. Ibid. 737. a.
II. Des mots indéclinables. Foiulcment de la dill'érciicc
entre les mots déclinables Si les indéclinables, r ’. Des pre-
pofitions. Elles exigent à leur fuite un coinpléincm. Elles
fupléent au défaut de cas dans les langues (îoiu les noms
ne fe déclinent pas. Rapports que les prépoiitioiis dclîgnent -,
elles font , pour ainfi d ir e , l'expofant d’im rapport confi-
déré d'une maniéré abfiraite & générale, Sl indepenJam-
jTicnt de tout terme antécédent , Si de tour terme tonfé-
quenc. Ibid. b. 2". Des adverbes. Ils ne d.llcrent des pr-épo-
fiiions , qu'en ce que ccllcs-ti expriment des rapports avec
abfIr.aéIioii de tout antécédent Si de tout confcqu-'iit , au
lieu (nie les adverbes renfermenr dans leur fignification le
terme conféquem du rapport. De-là la diftiiiétion des adverbes
en différentes fortes. De-là vient c.icüie que ces
mots peuvent avoir ce qu’on appelle un régime. Ibid. 738. a.
C e que les adverbes & les' prépofitlons (int de commun.
T o u t adverbe fe rapporte à un mot antécédent , & ajoute
à fa fignification une idée de relation qui en fait envifager
le fens tout autrement qu’il ne fe préfence dans le mot
feui. Obfervcition fur l’étymologie du mot advobe. 3". Des
conjonHions. Elles fervent à lier les propofitions pariicllcs
qui conllituent un même difeours. IbiJ. b. Principes à établir
fur les conjonélions. i ”. On ne cl fit pas regarder comme
une coi^onéion , une plirafe qui renferme plulieuis mots,
telle que les fuivantes,/i' ce n'eji, c'ejl-à-dire , pourvu que ,
parce que, &c. 2". Tout mot qui peut être rendu par une
prépofition avec fon complément, cll un adverbe , &. non
pas une conjonélion. Ibid. 759. u.La f.icilité avechiquellc on
a confondu les adverbes Sc les conjonilions , indique que
ces deux fortes de mots ont quelque chofe de commun
dans leur nature. Définition des conjoiiélions. Leurs diftinc-
tions en copiilatives, adverfatives, disjonélives, Ibid. b. explicatives
, périodiques, hypothétiques , conclufivcs , cau-
fatives , tranfitives Si déterminatives. Les conjonélions font
proprement la partie fyflémaiique du üileours. Les mots indéclinables
divifés en deux ordres, les fupplétifs & les ciif-
curlîfs. Tableau figuré des différens ordres de mots, en
conféqiience de l’analyfe qui vient d en etre laite. Ib'.d. 760.
a. La complexité d’idées renfermées dans la fignification
d’un même mot , eff la feule caiife de tous les mai-entendus
dans les ans , dans les fciences & dans les affaires. Ro-
mede à ce mal. Ibid. b. Il faut (lilliiiguer dans les mots ; 1". la
fignification objeélive & 1^ fignification formelle \ 2”. I idée
principale & les idées accelToires. C'eff fur cotte diniiiffion
que porte la différence réelle des mots honnêtes & malhonnêtes.
Ibid. 76 t. a. Fondement de la dlfteicnce entre les
mots qui paroiffent fynonymes. Des cas où l on peut les
employer indifféremment. Si de ceux où la julleffe exige
que l’on choififfe fcrupuleufement entreux. Utilité des ouvrages
dcllinés à faire feiitir les nuances qui ciifiinguent les
mots fynonymes. Obfervaiion fur les mots homonymes Si
leur ufage. 3“. La diflinélion de l’idée principale & des idées
acceffoires, a lieu à l’égard de la fignification forMK-lle , comme
à l’égard de la fignification objeélive. Ibid. b. C'efl fur
la diflinftion des idées principales 6c accelToires de la fignification
formelle , que porte la diverfité des formes dont
les mots fe revêtent félon .les, vues de l’énonciation. D e Ja
définition du mot. Celle que donne l’auteur de la graai-
Tome II.
M O T 257
maire générale. Celle de l'auteur de cet article : l/n mot
ejl une totalité de fans , devenue par ufage , pour ceux qui
l entendent, le fgne d'une idee tofu/ir.. Explication de chaque
partie de cette définition./éii/. 762. a. Obfervations fur la
premiere langue des hommes, Si fur les caufes qui l’ont
altérée. Ibid. b. C ’efl de la différente maniéré do voir les
chofes , que dépendent les différens noms que nous leur
donnons. La diverfité des vues introduit en divers lieux des
mots très-différens pour exprimer les memes idées totales.
Ce n’efl que l'iifagc qui autorife les mots, 6c en détermine
le fens. Etymologie du terme mot. Ibid. 763. a.
M o t, differences entre mo t, terme , expreffion. X. 763. b,
XVI. 1 35. U. Des définitions des mots. IV. 939. a, b. De leur
étymologie. V L 98. a , b. De la nature des mots ; il ne faut
juger de leur nature que relativement au fcrvicc qu’ils rcnclciK
dails la langue oii ils font en ufage, Si non par riqiport à quelque
autre langue dont ils font l’équivalent. 1.903. h. Il ne faut
pas s’en rapporter uniquement au matériel ci'Lui mot pour eu
bien ju g e r, mais il faut l’examiiicr dans fa fignilîcntion. ^'llI .
285. b. X ll. 94. b. Prcfquc tous les mots font des termes généraux
: leur utilité. VIII. 492. a. Efpece d’abus dans l'iifage
des mots, qui nous enqiéclie iracquérir des idées diffinéles;
remede à cet abus. 493. b. Trois cliofes à difilnguer dans un
mot ; la partie radicale, Tinflexion 6c la termimiifon. 728. a.
Quatre accidens .à diffingucr dans les mots. L 70. a. D e là
valeur 6c fignification des mots. X V . 16. <1. Les mots changent
de valeur felon les différentes vues que l’iifagc leur
(tonne .à exprimer. I. 134. i. Prcfquc tous les mots fôulTrent
le tranfjiort du fens propre au métaphorique. IL 666. a. Les
relTcmblances dans les mots n ’en nnnonccnr pas toujours dans
les chofes qu'ils c-xpriment : raifonnemens ridicule.s auxquels
a donné lieu l’oubli de cette maxime. IV. 748. b. Mots qui
fe prennent le plus fouvem dans un fens figuré. XV. 17. a.
Mots à plufieurs acccpiions differentes. L 68. b. 11 n’y a peut-
être pas deux hommes qui attachent exaflemciu le même
feus a un même mot. V L 108. b. Des mots vuides de fens.
V l l l . 633. b. Accidens propres à chaque forte particulière
de mots. I. 70. a , b. Des rapports des mots entr'eux : dcu.x
fortes (le rapports, celui d'identité 6c celui de détermination.
III. 822. a , b. D e Tordre des mots pour former les fens (lar-
ticuUers du difeours. 823. a , b. Comment ou connoît en fr,niçois
les rapports rci’pcitifs des mots eiur’cii.x. IV. 694. a.
Kapports des mots entr’eux dans la conlIruéHon. 86. a , b. i)es
figures de mots. V I . 767. b. — 7 7 1 . a. De la maniéré d’éiu-
dier les mots d’une langue. XIII. 747. a, b.
Mots dbfraits. I. 47./>. Mots compofés. VII. 172. é. Mots
compolcs de diverfes langues, V l l l . 201. b. déclinables. IV .
694. 0. Des mots deshonnêtes. X V I. 1 37. b. IV. 8S4, b. Mot»
enclitiques. L 66. b.'V .6 2 'i. b. Mots enfantins, IX. 260. b.
explétifs, VI. 306. i . homonymes. VIII. 282. é. Mots honnêtes.
IV. 884. b. Mors indéclinables, V l l l . 668. a , b. inter-
jeélifs, IX. 260. b. interrogatifs, V l l l . 834. b. irréguliers.
907. b. Mots négatifs, XI. 74. a. des mots fufccpiibles de
nombres. 206. />. Mots onomatopées, IX. 261. Z», paronymes.
XII. 77. b. Mots défignés par le nom de particules. 99. a, h.
Mots primitifs. XIII. 369. é. Mots propres ; regies lur leur
ufage , Suppl. L 384. b. relatifs. X IV . 63. a. 61. a. Mors fiiran-
nés ([ii’il ctTuvicndroit de remettre en ufage. Suppl. î l l . 838. <z.
Mots françois doiu le nombre de fyllabes cfl douteux. XV.
718. b. Mots fynonymes. 737. a , b. D e Tufage des mots
fcieniiliqucs. IV. 239. b.
M o t, terme,cxpreJjlon: différence entre ces mots. X. 763. b,
ï'oyei T erme.
M o t conjacré, {Gramrn.) les mots confiicrés paroiffent
avoir commencé par la religion, 6c avoir été étendus enfuite
aux fciences 6c aux arts. Il faut fe fervlr fans difficulté de ces
mots clans les matières de religion , fcienccs 6c arts. X. 763. b.
M o t , bon {Opérât, de l'cjprh) caraélcres d’un bon mot.
Duplicité de fens qu’il doit renfermer. X. 763. b. Cotte duplicité
de feus d l dans un homme deffitiié de génie, un manque
de précifion ; mais dans un homme cl’efprit, elle cll une
adreffe. Le bon mot eff plutîit imaginé que perfe, il prévient
la méditation Si le raifonnement. Cependant les faillies de.s
bons raifomicurs fc fentent de la juffeffe de leur elprit. A
quoi doivent prendre garde ceux qui ont beaucoup de feu ,
6c dont Timagination eit propre aux faillies 6c aux bons mots.
Ibid. 764. a. Dover SAIttlE.
Mots,jeux de. VIIL 333. é- XII. 77. a.%76.a,b. III.
366. a, b.
M o t -du-GUET, {Art milit.) comment il fe donne Si fe
dlflribue dans les armées. De qui le major de h place, dans
une garnifon, reçoit le mot du guet; cercle qui fe forme
après que les portes font fermées, X. 764. J. clans lequel le
major déclare ce qu’il y a à faire pour la nuit ou pour le
lendemain , Si diffribue le mot du guet. Autres cercles que
formem enfuite les fergens de chaque bataillon. Diffribution
de Tordre. Détails fur ce ffijet. Ibid. b. Veyei O r d r e .
M ot , {Hif . mod.) dans les armoiries. Cette coutume d’employer
un mot ou fymbolique,ou comme cri de guerre, cft
T 11