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R il
8Si V R A V O Y E R IE , cherchez Vourie, U P
U P SA L , {Gàh;’-.) ville de Siiccle dansTUplande. Obferva-
lions liifiorhiues liir cette ville. Sn dcfcrijjcion. Archevêché
d 'Upfa l.XVil. 481. a. College & iinivei'ûte d’Upfal. C e ll à
Uplalqiie fut inlinnié GuAave Eriefon , roi de Suede , mort à
Stockholm dans h 70^ année de fon âge. Eloge de ce prince.
Uid. b. U R
UR d, ChaUà , ( Giôgr. fier.) Ill, 398. i.
V R A I , ViritabU , {Synon.) en auoi ces mots difTcrent
dans leur fignirtcation & leur ufage, X V ll. 48a. a.
V r a i , ( Màaphyf. ) vrai phyiiqiic iSc vrai moral. VII. 43../.
reyt-î VÉRITÉ.
V r a i , ( Jlgcb. ) racine vraie. XVII. 482. a.
V r a i, \PocJie) les ouvrages de Boileau refpircnt le v r a i ,
c'ell-à-dire^font une copie fidelle de la nature. Racine n’a prd>
que jamais perdu le vrai dans les pièces de théâtre. Corneille
poche fouveiu contre cette loi dans les détails. X V i l. 482. j .
Quel ell le vrai qu’oii doit chercher dans les auteurs pour k s
lire avec fruit./éi./. i>. _ Vrai dans l'cglogue. V . 426. 4. Penfee vraie. XII. 309.rf.
VR A ISEM B LAN C E , { Mcuphyjiq.) il le trouve en tout
ce qui s’appelle vraifemblable , quelques endroits qui ret-
femblent au faux , tandis que d'autres endroits reiremblent
au vrai. U faut donc faire la balance de ces endroits oppo-
fés pour reconnoitre Icfquels l’emportent les uns lur les
autres , afin d’attribuer à une opinion la qualité de vrai-
fcmblable , fans quoi au même tems elle feroïc vrailémbla'
ble & ne le feroit pas. Ce qu'on dit de la vraifemblance ,
s’e’ntend aulH de la probabilité , puifque la probabilité ne
tombe que fur ce que l’efpiit approuve , à caule de la rel-
femblancc avec le v r a i, fe portant du côte ou font les
plus oMUcles .apparences de vérité , plutôt que du côté contraire"
fuppofé qu'il veuille fe déterminer. XVII . 482. b.Le
plus'haut degré du vraifemblable, ell celui qui approche de
la certitude pliyfique, laquelle peut fiibliller peut-être elle-
mèins avec quelque foupqon ou pofiibilité^ de faux. Cir-
conllances qui augmentent les degrés de vraifemblance d’une
opinion. D e la vraifemblance qui fe tire de l'autorité & du
témoignage des hommes. Raifons qui peuvent nous faire
douter de la vérité d'un témoignage. Ibtd.^ 483. a. Raifons
qui nous y font acquiclcer. Les deux extrémités de la vrai-
femblance font la certitude & le doute, A l’égard des cho-
fes de pure fpécul.fion , il eft bon d’être refci ve a ne porter
fon jugcMucm dans les choies vraiiemblabies , qu’aprés
une grande attention. Itid. b. Mais par rappou aux chofes ,
de pratique, on doit fe contenter du vraifemblable 3 parce
que fl l’on demeuroit indéterminé, on n’agiroit jamais i ce
qui feroit le plus pernicieux , comme le plus impertinent de
tous les partis./iuf. 4 ^ 4 - , , r - 1 , -/• f'rjiJembljnci. 1 1 y a des ordres de faits dont la vrailcm-
blance va toujours en diminuant, èk d’autres dont la vraifem-
blance va toujours en augmentant. V l. 384. a.
V raisê.mblance , ( Foéjte ) les riftions fans vraifemblance,
& le s événemens prodigieux à l’excès, dégoûtent les leilours
dont le jugement eil tonné. Mais d’un autre coté , un poème
quin'eft que vraifemblable, llms merveilleux , déplaît encore
davantage. Les poètes qui coniredifent dans leurs ouvrages
des faits hifioriques connus , nuifeiit beaucoup à la vraifemblance
de leurs fiÜlons. X V ll. 484.d. De la vraifemblance dans
l’épopée. Ibid. b.
V r a isem b la n c e , {BulUs-Uitr. Poefie) la vraifemblance
confille dans une maniéré de feindre conforme à notie maniéré
de concevoir. Suppl. IV. 996. u. Il y a dans notre
maniéré de concevoir, une vérité direéie & une vérité réfléchie
: Tune & l’autre efl de fentiment, de perception ou
d’opinion. La vérité de fentimem ell l’expérience intime de
ce qui fe palTe au-dedans de nous, ÜC par réflexion, de ge
qui fe doit palier en général dans l’elprit & dans le coeur
de l’homme. C ’eft à ce modèle, fans cefle préfent, qu’on
rapporte la fiflion dans la poélîe dramatique. Chacun de
nous a la faculté de fe mettre à la place de fon femblable ,
& l'on s’y met réellement tant que dure i’illufion j on pref
fent la maniéré dont il doit agir Si. penfer , fans que , cependant,
ces prellentimens foient alfex détififs pour nous
Oter leplaifir de la fui-prife. Mais lors meme que le poète
nous jette dans le doute & l’irréfolution , nous diftinguons
très-bien fi la route que tient le poète efl la même que la
nature eût prife ou dû prendre en fe décidant. Ibid. b. La
vérité de perception efl la rèminifcence des impreflions faites
fur les fens, & par réflexion , la connoiffance des chofes
fenfibles, de leurs qualité* & de leurs rapports. Si lesélé-
mens d’un compofé phyfique font faits pour être mis en-
femble, &. fuiveut dans leur union les l^ût de la nature,
V R A l’idée de compofé a fa vérité dans la cohéfion de fes parties
& dans leur accord. i.)e même, ft les rapports d’une
caufe avec fon efi'ct, font naturels fenfibles , l’idée de
l’aélion portera fa vérité en elle-même. L’opinion ell tantôt
férieufe & de pleine croyance, tantôt reçue à plaifir ik de
finiple adhélioii ; mais quelque fôibte que foit le coufente-
ment qu’on y donne, il futfit à rUlufion du moment. Jbidx
997. J. Pour les faits que l’on fuppofe dans l’avant-ltene v
l’opinion publique tient lieu de vraifemblance; mais dès
qu’ils font employés dans l’intérieur de l’aélion, de quelque
maniéré qu’ils foient fondés, rien ne lesdifpenièd’être vrai-
femblables.— Des moyens de donner au merveilknx des
caraéleres de vraifemblance , Ibid. b. üc de donner à des phi.
nomenes naturels le caraéleie du merveilleux. Ibid. 998. a.
En quoi confifle le merveilleux dans le moral, & celui de
la beauté dans le phyfique. D ’oû dépend fa vraifemblance.
La beauté morale eü la même chez tous les peuples de la
terre. Mais c’eft à la poéfie à rendre parfaits les tableaux
de ce genre de beauté qui ne le font pas dans la difpofition
naturelle des chofes. Ibid. b. Pour cet effet , le poète n’a
qu’à prendre pour guide le fentimem du beau moral que
la nature a mis dans tous les hommes. Mais plus l’idée 6c
le femiineut de la belle nature font déterminés & unanimes
, moins le choix en ell arbitraire ; 6c c’ell-là ce qui
rend fi gUlIame la carrière du génie qui s’élève au parfait,
fur-tout dans le moral. Si les caraéleres Ôc les faits font connus
, l’altération n’en ell perniile , qu’aiitant qu’elle n’ell p.as
fcnfible. Ce n’efl qu’à la faveur de l’obfcurité ou du filence
de rinfioire , que la poéfie, n'etam plus gênée par la notoriété
des faits, peut en difpofer à Ibn g r é , en obfervant
les convenances; car alors la vérité muette laille régner I’illufion.
Ibid. 399. a. Quant à l’exagération des forces, des
grandeurs, des facultés de l’être phyfique, c ’ell ce qu’il y
a de moins difficile : la juftefle des proportions & des rapports
en fait la vraifemblance. Une autre forte de prodige
plus difficile à préfenter d’une maniéré vraifemblable, ce
font ces rencontres fingulieres , ces coups de la dellinéc II
éloignés de l’ordre des choies , qu’ils femblent tous prémédités.
La premiere regie ell que chacun des incidens foit
fimple 8c naturellement amené ; la Iccondc qu’ils foient en
petit nombre : par-là le merveilleux de leur combinaifon fe
rapproche de la nature. Ibid. b. Du merveilleux furnaturel.
Ce genre de merveilleux n’e ll qu’une extenfion des forces
de la nature 8c de fes loix. Nous ne concevons rien qui
fe contrarie; 8c d’un fylléme qui implique en lui-même ,
l’enfemble ne peut jamais s’arranger , s’établir dans notre
Opinion. Le merveilleux furnaturel cil tantôt une fiélion toute
fimple, 8c tantôt le voile fymbolique Ôc ir.anfparent de la
vérité ; mais ce n’ell jamais que rimitarion exagérée de la
nature. L’origine de ce merveilleux eft la même que celle
des d ieux, des démons, des génies. Jhid. 1000. a. Il fut
facile de leur donner des fens plus parfaits que les nôtres,
des corps plus agiles , plus forts & plus grands ; 8c jufques-
ià le merveilleux n’étant qu’une augmentation tic malle ,
de force 8c de vîtelTe , l'el^prit le plus foible put renchérir
aifémert fur le génie le plus hardi. Le mérite de l'exagération
auroit été de proportionner des âmes à ces corps;
mais c’ell à quoi Homere 8c prefque tous ceux qui font
fuivi ont échoué.'Et il ell vrai qu’ils ne pouvoienc réiilTir
en c e la , fi , comme dit Montaigne, l’homme ne peut être
que ce qu’il e ll, ni imaginer que felon fa portée. Uid. b.
Si donc , par impoflîblc , il y avoit un génie capable d’élever
les dieux au-dellus des hommes, il les peindroit pour
lui feuî. Si par exemple, Homere n’eût point abaifie les dieux
au niveau de l’humanité , le tableau de l’Iliade lêroitfiiblime ,
mais il manqueroit de fpeélateurs. Nous ne nous attachons
aux êtres furnaturels que par les mêmes liens qui les attachent
à notre nature. Le merveilleux, à cet égard, ne con-
fillera donc uniquement qu’à leur donner plus d’élévation
dans les fentimens, plus de dignité dans le langage que n’ont
fait la plupart des poètes. — Difficulté d’employer avec décence
le merveilleux tiré de notre religion. — Origine 8c
développement de tout le merveilleux de la mythologie :
fiélions des poètes fur les caufes phyfiques, Ibid. 1001. a.
fur le ciel 8c l’enfer. Perfonnification des êtres metaphyfi-
ques. — Toutes les affeélions de faîne , prefque toutes fes
perceptions, reçurent une forme fenfifale : fhomme fit des
hommes de tout. — Origine des figures fyiTiboliqucs. Ibid. b.
Rien ne fut plus favorable aux arts 8c lûr-tout à la poéfie
que ces fiélions de la mythologie. Mais comme le fyftême
n’en fut point compofé par un fcul homme, il ne pouvoir
qu’être rempli de difparates & d’inconféquences. Ainfi la
fable n’étant plus aujourd’hui qu’un jeu , nous ne lui paflbas
fes irrégularités qu’autant qu’elles font hors du poème, U
faut qu’au dedans, tout ce qu’on nous préfente fe concilie
8c foit d’accord. Une regie elTentielle à la vraifemblance, eft
de n’employer les divinités qui ont pris la place des caufes
naturelles, telles que Jupiter, Neptune, Pluton , que dans
les fujets où ils ont leur vérité relative aux lieu x , aux
U R E ïc n is , à l’oplaîoii. La même regle doit s’appliquer aux êtres
qu’a enfantés la magie. — Il y a dans les mccurs 8c les aélions
des animaux, des traits qui tiennent du prodige , 6c qui ne
font pas indignes de l’épopée. Ibid. 1002. u. Les faits qu’on
cire à cette égard, donneroieut lieu peut-être au merveilleux
le plus tcnfible, fi on femployoit avec goût. — De
fufage 8c de femploi du merveilleux tiré de l’allégorie. —
L’épifode de la liaiue, dans fopéra d’Armide, cité comme
le plus parfait modele d’allégorie que fauteur connolde. Ibid,
b. En général le grand art d’employer le merveilleux cil de
le mêler avec la nature , comme s’ils ne faifoient qu’ un fcul
ordre de chofes, 8c comme s’ils n’avoieiu qu’un moiive-
msin commun. Exemple de cet art admirable que fout ni:
l’Iliade, 1003.//.
Vraifemblance dans la comédie , III. 666. a. dans l’apologue
Sc la table. I. 332. b. V I. 347. b. La vraifemblance efl
une des qualités de faélion dans les poèmes épiques 8c «Ira-
matiques. Suppl. I. 160. b. Vraifemblance qu’on peut donner
à un pcrfoiinage auquel on attribue la plus haute perfeebon
morale. Suppl. II. 232. b. A quel degré la vraii’emblance
doit produire fillufion. Suppl. III. 360. é— 362. .1. Art du
poète à préfenter des comrafles, à renchérir fur la nature
dans l’imitation des mccurs fans fortir de la vraifemblance.
949. d , ê. Vraifemblance dans la narration..Çiqip/. IV. 13.
La vraifemblance théâtrale dépend de la liaifon des événemens
entr’eux. 398. a.
V raisemblance pitroreßjue , {_Pei/iiurc) deux fortes de
vraifemblances en peinture ; la vraifemblance méchanique, Sc
h vraifemblance poétique. Règles concernant fuiie Sc l’autre.
X V I I . 484.
U R AN IBO U R G , ( Gregr. ) château de Suède, dans la petite
ifie d'Huen ou de Ween. Bienfaits du roi de Danemarck
envers Tycho-Brahc , qui éleva au milieu de fille (le Ween
fon château d'Uranibourg. Defcripiiou de fille , XVII. 486. a.
Sc de toutes les commodités 8c agrémens que Tycho-Bialié y
avoitralTemblés. Précis de la vie de cet aftrouome. Ibid. b.
Q u el fut le fort des machines Sc inflrumens qu’il avoit fait
confiruire. Obfcrvatioii faite parM. Picart fur le inéridicud’U-
ranibourg./êiJ. 487.12. V o y e f^ ttn .
Uranibourg, obj'crvatolre a. XI. 324. b.
U R AN IE , {Myc/i. L in .) mule qui préfide à fa/lrono-
mie. Jeu des enfans en Grece 8c en Italie. X V I . 487. a.
Nymphes appellees qui gouvernoient les fplieres du
ciel. Ibid. b.
Uranie, épitliete donnée à Vénus. X . 300. 4. X V II . 37, a.
U R AN U S , ( Mythol.) premier roi (des Ailantidcs, peuple
quihafaiioit au pié du mont Atias. Services qu’il rendit
à fes fujets , qui le placèrent, lui Sc fa femme T itéc au mu«
des dieux. Ouvrage à confulter fur la théogonie des Atlantidcs
X V II . 487. b.
URBAIN I I , pape. Son fyflème fur les indulgences. VIII.
U RBANISTES, {^Hif-. eccl.) religieufes de Sainte-Claire.
HI. 300. a.
U RBANITÉ romaine , ( Hiß. rom. ) petitefl« du langage ,
de l’efprit 8c des maniérés, fiiiguliérement attachée à la ville
de Rome. Pourquoi ce mot d'urbanité ne s’ell établi que difficilement
dans notre langue. XVII . 487. i. Différence entre
urbanité 8c politeffe. Quintilien Sc Horace définiffent furba-
niié , un goût délicat pris dans le commerce des gens de lettres
, 8c qui n’a rien dans le gd le , dans la prononciation , dans
les termes, de choquant, d’affcclé, de bas 8c de provincial.
Auteurs grecs 8c latins qui nous ontmontré le plus d’urbanité
dans leurs ouvrages. Circonllances dans lefquellcs Horace eut
lieu de cultiver cette qualité. Ibid. 488. a. Efpece d’urbanité
affeélèe à la raillerie. L’urbanité demande un foqds d'honnêteté.
Affeiffation contraire à furbanicé. Caraéleres qui confiituoient
l’urbanité romaine. Ibid. b.
Urbanité. Définition qu’en donne Quintilien. 1 . 844. a.
URBIGENES fG éogr, <j«c.) anciensSuilTes. VIII, 109. u.
U RBIN , ( Géogr.) Duchéd’U rbin^’pzysd'hzWt. Ses bornes.
Son étendue. Ses principales rivieres. Maifons foiiveraines
qui font polTédé. Urbin, capitale de ce duché. Palais des ducs
d’Urbin. Ouvrage à confulter au fujet de cette ville. XVII .
488. b. Obfervations fur la vie 6c les ouvrages de quelques
hommes de lettres, 8c célébrés dans les fciences, qui font nés
dans cette ville ; Polydore Virgile ; le comte GuiUbaldoBo-
narelli ; Frédéric Commandin ; Baldus ; Ibid. 489, a. Raphael
Fabretti./é/c/. b,
URBINUM,{^Géogr.anc.) ville d’ItalLc dans l’Umbrie.
Deux fortes d’Urbitiates que Pline diftingue. Fontaine dans
ürbinum, ou tous les habitans puifoient de feau. XVII,
90. a.
URBS 8c Oppidum f Lin.) les anciens employoientindiffé-
xemment ces deux mots. X L 31 2.
URCEUS , ( Antoine ) littérateur. X IV . 424. b.
URE , ( Hifl. nat. des quadrupèdes ) quadrupède dont les
anciens ont beaucoup parlé. Deferiptions qu’ils en donnent.
ÇhalTe des ures très-ufitée chez les anciens Gaulois. RecJierÜ
R I 88| cho pjrticiilierc qu'ils faifoient des contes de ces animaux-,
D.ticrcns pays Itab.tes par ces animaux. XVII, m.o. i.
T a u r e a u , C E itF .& S u K O T ïu o . '
U liEDELÉE , ( Piche ) forte do rets. Defeription de ce filet
ü llE N ( Botan ) efpeccs d utet, indiquées & décrites an nwt. ylrnpul.n. Suppl. I. 373. u b.
U RETERE, (A natom .) deux canaux de ce nom , qm
l'.'rtent de chaque cote de la partie cave des reins , 8c vont fe
icnnmer polleneurement vers le col de la vefiie. Leur def-
cnptioii. Suites des plaies dans ces parties. Jeux que la nature
exerce fur ces vailfeaux. XVII . 491. b.
Ucu-res. Leur defeription. Suppl. IV. 399. b. Valvule à leur
cmbouclu.redans la vcirie.XVI. 827.U. VailTeaux urétériques^ Suppl. IV. 603. <7. ^
, maladies des , { Médec.) obflrucffions de ce«
V,iiileaiixp.ar le calcul, le pus, ou la mufeofité trop épailîe
Leurirritationparfacrimouie delà mucofité. Leur bleliiu-eou*
leur rupture. XVII . 492. u , b.
URETHRE de l homme , [Anatom.) canal membraneux
continu au col de la veffic, prolongé jufqu’à l’cxtiémitc dû
gland. Defci iption de ce canal Sc des parties qui eu dépendent
A V il. 492, .J, Jeux de I2 nntiite A'}4-a ,b . dans furcthre U A
Urèthre. Sa defeription. Suppl.W . ijc ).a ,b . Gl.mdcs mu-
queufes qui déchargent leur liqueur dans ce canal. X. 86?
û. Ces glandes nommées glandes de Cowper. Suppl PI
J. Glande profiate à forigine de furetiirc. XIII, 301. j sü rp î
IV 3 4 1 - A Caroncule dans furethre appelle tète de coV
A V I. 199. .7. Mufcle tianfverfe de furethre. 364. Mufclc
dilatateur. Suppl. IL 780. a. Vice de conformation qui con-
fil c a n avoir pas l’orifice do furethre à l’extrémité du gland;
V m . 412. a. D e fimperforation de fiireriire. 38a. b.
yKETUlK£deiaJemme,{Anat. & Chir.) conduit de furine.
ba dcfcription.XVII. 494, a. Exemple d’une jeune fille qui eut
1 urcthre tellement bouché, par une membrane cifi s’y forma
cjue 1 urine Vint a fortirpar le nombril. Traicenientqiiila euérit
de cette maladie./é/W. b. ^ ^
A'wmc. Lacunes de furetlire. Suppl. III.
, malidies de V ( MJdcc. ) énumération de ces mav
xrlr’ indication des remedes qui leur conviennent
A VU. 494. b.
Urethre. Maladies de ce canal qui caufent la rétention d’urine.
U- 691. a , b. XIV. 202. a.
U R FÉ , [Honoré d ') auteur de l’Afirée. X'. i?S a XIV 341. b. • ) - • V.
U R I, [ Géogr. ) canton de Suiffe le plus méridional, le
quatrième entre les treize, 8c le premier entre les peiiis.
Ses bornes 6c fon étendue. Ce c-amon peut être reeardé
comme le fejour ancien 8c moderne de la valeur helvétique.
11 n’a qu’un feul bailliage en propre. Qualité du p.iys
Gouyernement de ce canton. Moeurs 6c religion des habitans*
A V l l . 493. a.
hati'iiniule es canton nommés andennemem Tm-
iffil X V l i •’ P P '“ « Urferci-
^ U R IB A CO ( ic U y . ) poiffon de mer du B réfil, excellent
a manger. Sa defeription. XVII.49 3. b.
URlCONlUiSl, [Géogr. anc.) ville de la Grande-Breta-
S.averne 8c d e là Terne. Elle ne
lubfifle plus; mais un petit village dans le même Heu, en
a retenu le nom de If'rockcejler. Ruines de cette ville X V I I
493. i.
URIE ,[H ifl. fter. ) David , féduit fa femme 8c l’cxpofe au
Ü 88 une bataille pour le faire mourir. Suppl.
V R IL LE S , (B u t ,) nomfynonymeà celui de tendrons Sc
de mams, Ma in s . Ufages des vrilles dans les plantes.
A V l l , 493. b.
Vrille, outil d’arquebufief, de gaiuier, de nienuifier. XVII
496. <î.
y^ î^ L E R IE , (T’jiV/j/jij'tr/e)ouvrages contenus dans cette
dalle des ouvrages de taillanderie. XVII . 496. a.
Vrillerie^ voyaç Vol. IX des planches, Taillanderie, planche
6 , 7 .
URIM 6> THUMMIN , ( Cm/j./ jcr.) mors hébreux qu"
les Septante ont traduits par ceux d'évidence & vérité. L ’urim
& thummim éioit quelque cliofe que Moife mit dans le
peéloral du fouyerain facrificateur. Divers fentimens fur oec
urim 8c thummim. XVII. 496. a. L’auteur conjeéltire qu’il
faiu fimpleiflent entendre par-là le pouvoir divin attaché au
p e â o r a l, d’obtenir quelquefois de Dieu des oracles. On fi-
^ thummim pour confulter Dieu dans le*
cas difficile 8c importans qui regàrdoient l’intérêt public de
la nation. Cérémonies obfervées par le facrificateur lorfqu’il
confulroit ainfi la Divinité. Divers fentimens fur k maniéré
dont Dieu rendoit fa réponfe. La conjeélure la pins vraifemblable,
c'ell que la réponfe parvenoit au facrifiéateur pz»
W