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phlcsme. Comment fe fait co changement. Dangereux
effets tl’im phlegmc difficile à le refondre après une vso-
Icme inflammation. Reinede pour divifer ce jihlegme.
Si'’ nihcations du mot phtefjiic d.ins les anciens. XU.
'n iL F .GM O N , (a i/ - .) ‘ fcs canfes. Signes qui le font con-
noitre. Moyens de le guérir. XII. 518. l>- Üblervations fur
ia nature &. l’effet dos remedes ai>j3elles réfohiiifs. L’iiïage
inconfidéré de ces remèdes prouve l’induration des tumeurs
inllainmatoircs, &. des phlegmons. 11>U- 519. u.
Piilf-'/noii, des inflammaiions piilegmoneules , leurs caractères.
V llI . 709. .1. Leurs fignes. 717. i>. Hréfypele phleg-
moneiifc. V. 903. k
PilLEGMOK. {M.irech.) Suppl. III. 4OI. i>.
PJILEGON Je TrJles , fes ouvrages. X V I . 131. G
^ V lU .F .G R A , (G.’egr.) ville de Macédoine. Obfervadons
fur l()ii tevrein. Suppl. III. 189. k Geans de Phlcgra.
19a. 1'.
P fIL EG RÆ U S campus, ( Géo^r. ) aujourd’hui la Solfatuva.
On a cru que des géans avoien: été dans ce lieu. Suppl. III.
190. k
PHLEGY.AS , {Mythol.) chef des Phlégiens. Sonimpiéic.
Son fii|)plice dans le Tartare. Comment périrent les Phlé-
gkns, qui marchèrent avec lui contre le temple de Delphes.
XII. 519. k
Pl-ILIUS; {Géogr.anc.) trois villes de ce no.m dans le
Peloponnefe. Obfervations lur chacune déliés. Lime dentre-
cll-.’s étoic la patrie de Thrafylie , poète nmficien. XII. 519.
é. T rois Thrafylles fameux chez les Grecs , l’un de Phlionte,
l ’autre de Meudès en Egypte , & un iroifieme philofophe
cynique , contemporain du vieil Antigoiius. Oblervatiuus
fur les talciis de Thrafylie de Piilionte. Kole que joua auprès
de Tibcre Thrafylie de Meudès. Eloge qu’eu font les hif-
torieus. Obfervacious fur Aiclèpiade 6c Ménédcme , deux
amis,nés à Phlionte en Sycionie : divers traits de 1 amitié qu’ils
fe témoignèrent l'un à l'autre. JkJ. 320. a.
PHLOGISTIQU E , ( Phy/1‘]. Chym. ) principe intlamma- •
ble dans la compofitioii des corps. Suppl. iV . 336. u. Union de
la phyfique & de la diymie. Détinif.on du phlogillique.
C ’eil l.i pure matière du fe u , être fiiuple , dont les propriétés
font indépendantes des didérentes matières oîi il eff
engagé. Pourquoi le fou exifte dans tous les corps. Ikd. k
C e fluide eft aux métaux & à tous les corps, dont il eff le
diffolvam propre, ce que tout autre diffolvant compolé eff
aux fubffaiices qu’il attaque, ce que le mercure lo r
dans l’amalgame, ce que l’eau eft aux tels. On leur ôte ce
principe par la calcinaiion. On leur rend la forme métallique
en les rcdilfolvant par le feu. Comment après la fufion leur
malle redevient folide. Comment le forme la cryftallifahoii.
Fluidité du mercure. Rèponfe à une objeeftion de ceux qui
nient que le plilogiftique foit le feu pur élémencaiie ; elle cil
tirée de ce que le feu quitraverfe les vaiffeaiix ne peut réduire
k s métaux. Des moyens de dépouiller h terre .nercu-
ticlle de l'on phlogillique. Comment on le lui rend. IhiJ. 337.
.1. Obferv,irions fur la calcination du mercure 6c fur fa fé-
viviheation p.ar le feu , fans contait d'aucune lubftance hul-
leufe ou charbonneule. Pourquoi le feu agit fur le phlogifti-
que du fer , &. n’agit pas fur le phlogiftique de For. L’identité
du feu métallifant & de la lumicre démontrée par la rev ivification
du turbit au foyer d’un miroir ardent. Obfervation
qui annonce que la feule chaleur du corps humain peut
veffufciter le mercure de l’état de chaux, ou , ce qui eft la
même chofe , de l’état fallu. Ibid. b. Matières dans lefquelles
le phlogiftique fe trouve en plus grande abondance, & qu’on
emploie le plus communément pour la réduction des métaux.
E.xpériences qui prouvent que de toutes les diftercmes
fubftances qu’on peut employer arbitrairement , les terres
métalliques ne reçoivent conftainmem que le même principe
identique Sc fans mélange. Ibid. 338. a. Pourquoi le
foufre , quoique abondamment pourvu de phlogiftique , n’eft
pas propre à la réduélion des métaux. Condition la plus uvnn-
tageufe pour les rcdiiffions. Elle fe tiouve lut-tout dans le
charbon. L’aélion du feu dans les éviqxirations tk les calcinations
, n’eft [)as uii fimplc relâchement d’aggrégation ; c ’eft
encore une vraie düTohition, finon complette & fiimilianée ,
du moins partielle & fuccxirive. Pourquoi la calcination ne
l'e fait pas en vaiffeaux exaclement fermés, /bid. b. Pourquoi
un vafe de terre cuite en grés , qui rient l’eau plufieiirs
années de fuite fans s'imbiber, devient perméable à celle
qui eft imprégnée de fel. Examen de cette importante quef-
tion cliymique ; eft-ce addition, eft-ce fouftiaélion de quelque
matière qui confiitue l'état de chaux dans la caicina-
tioni* Ibid. 339. a. Autre queftion examinée; fi le phloglf-
tique a quelque pefaiiteur. D e la volatilité du feu. C ’eft cette
volatilité qui le fait regarder comme principe eu véhicule
des odeurs. Dans quel fens on peut dire qu’il eft le principe
des couleurs. Doürine de M. de Buifo/i fur la nature du
phlûgijiique. Ce n’eft point un principe fimptc , mais un
compolé dair 6c de feu üxés dans Us corps. 11 n'y a qu’une
matière. Tous les élémens font convertibles. La lumière , la
chaleur 6c le feu ne font que des maniérés d’être de la
matière commune. Ibid. b. Auffi toute matière peut devenir
lumière , & la lumière peut fc convertir en fubftance
fixe 6c fülide. Différence que M. de Buft'on établit entre le
feu , la chaleur 6t la lumière. Pcfaiiieur du feu. Scs rapports
d’affinité avec les autres fubftances. Principes de la
liquidité 6c tluidité des ftiveurs , des odeurs 6c des couleurs.
Divifion des matières en trois claffes, par rapport à Faftion
du feu ; celles dont il augmente la pefantcur, celles qu’il
rend plus legeres, 6c celles qui ne perdent ni ii’acquierent
par l’application du feu. La conibuftion Sc la calcination
font deux effets du même ordre. Principes de la combufti-
bilité. Ibid. 340. a. La réduélion n’eft qu’une fécondé
conibuftion. Cotte réduélion n’eft qu’une fuite de la loi des
affinités. Ibid. b.
PüLOGiSTJQUE, ( Chym. ) terre inflammable de Bec-
cher. X. 429. b. XVI. 171. b. On le nomme fouffre des métaux.
X"V. 40a. b. Phlogiftique dos fleurs. VI. 833. a. Les
métaux privés de leur phlogiftique par la calcination. Voyei^
ce mot. Le phlogiftique doit être compté parmi les fubf-
i.inces qui peuvent fervir de bafe & produire des fels neutres.
Suppl. II. 275. a. Le phlogiftique arrête la caufticité.
Ibid, a , b.
PH LOM IS , {B o l.) earafteres de ce genre de plante. Scs
cfpeces. Vertus de la principale, qui fe cultive dans les
jardins. XU. 320. b.
P h lom is , ( Bot. Jardin. ) noms de cette plante en difte- ^
rentes hingucs. Son caraélere générique. Enumération de
quatorze elpeces de phlomis. Lieux où elles croiffent ; leur
culture. Suppl. IV. 34O. b. 34I. a , b.
PFÎLYACOGKAPHIE , ( Lintr.) imitation qui eft b urkf-
que de quelque piece grave 6c férieiife. Voye:^ Pa r o d ie .
Etym ologie de ce m ot. Exemples de quelques ouvrages modernes
de cette cfpece. XII. 520. b. Voyci H il a r o d ie .
PH L YC TEN K S , ( dur. ) petites puftules fur la peay.
Maniéré de les guérir. Phlybienes , petites véficules ulcé-
reufes fur l’ceil. Leur defcripiion. Remedes. PhlyBencs, vef-
fies qui furviennent à la gangrene , aux brûlures , &c. Comment
on les détruit. PhlyÜenes fymptomatiques. XII. 521. a.
Plyâeties emphyfémareuJi-s.W. a.
PH O CA , {idifl- ou vache marine. X V I. 867. k
Dents de cet animal qui fe trouvent fur les bords de la
mer Glaciale. IX. 63. k Os remarquable qui fe trouve dans
fa tète. X. 8. b. Phoque des Indes repréfenté vol. VI. des
planch. Regne animal, pl. 17.
■ PHÜCAS, tyran d'Orienr , fon caraffere atroce. XIL
^"^PHOCÉE, (Géogr.anc.) ville de l’Afie mineure. Origine
de fon nom. Obfervation fur un médaillon de l’empereur
Philippe , frappé dans cette ville. XII. 321. a. Etat préfeut
de Pliocée. Ses anciens habitans la quittèrent pour ne pas
tomber entre les mains des Perfes. üiverfes colonies quife
formèrent par cette émigration. Il ne faut pas confondre ces
Phocéens, Phocci on Phocæaifcs avec les peuples de la Pho<
e ide, Phocen/es. Ibid, k
PHOCION , capitaine athénien, fon caraélere. IV . 398.y .
Sa frugalité. V II. 333. i. Eloge de fa femme. II. 367./’. Confeil
qu’il donna aux Athéniens fur la mort d’Alexandre. XI, 266.
k Obfervations fur la coupe de ciguë que but Fhocion. III.
^ V h (EACES , Pliliciens , {G'éogr. ane.) anciens habitans
de Fille de Co r fou , autrefois Corcyre , à l’entrée du golfe
(le Venife. Richeffe qu’ils acquirent par leur commerce.
Leurs moeurs amollies & corrompues. Jardins d’Alcinoüs,
célébrés par Homere. Poffe.ffeurs aéluels de Fille de Corfou.
Suppl. IV. 342. b.
PH(EBUS, {Myihol.) Apollon. Etymologie du mot Pka~
bus.X\\.<,^^. k
PHOCIDE , {Géopr. & Hiß. anc.) contrée de la Grece.
Scs anciennes bornes. Hiftoirc de la guerre entreprife cootre
les Phocinieiis, fous le nom de guerre facrée. X ll. 321. b.
Jugement que Philippe fit prononcer par les Amphiélions
contre ces peuples. Leur rctabliffcmcnr obtenu dans la fuite
pour avoir fauvé le temple de Delphes du pillage des Gaulois.
Ibid. 322. a.
PH(ENICC/M , {Gioir. anc.) lieu planté de palmiers,
dans une contrée d’ArabTc. Hiftoire &defcription que Pro-
cope fait de ce pays. XII. 322, b.
PHCENIX, ( Geogr. anc. ) nom de différens lieux. XII. 322.
b. Voyet^ P h ÉNIX.
P h <EN1X , {Mußq. inßr. des anc.) inftrument à cordes.
Suppl. IV. 343. a.
PHnsNix , ( Aßron.) conftellation méridionale. Nombre
de fes étoiles. Afeenfion droite & déclinaifon de la principale.
Suppl. IV. 343. a.
Pk (2NIX , ) manière de repréfenter cet oifeaii.
Signification de cette figure fymbolique. Hiftoirc du phoenix.
Suppl. IV . 343. ‘>- Suppl. III. 569.1..
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PHOLADE , ( Conchyliol. ) caraéleres 'de ce ^mre de
coquilles. XH. 322. b. Efpeces comprifes clans les différentes
claffes de pholades. Origine du nom de pholadcs. Ou &
comment on les trouve. Différens noms de cette coquille.
Defeription de deux efpeces de pholades admifes par Aldro-
vaiulus. Pholade cinq pieces décrite par Lifter. On peut
diftiuguer eu général deux genres de pholadcs , l’un à lix
valves, l’autre ù deux. Defeription du poiffon qui appartient
à ce coquillage. Ibid. 323. a. Comment il perce 6c creufe
les pierres pour s’y cacher. Terroir qu’habitent ces coquillages.
Comment ils font logés dans leurs trous. On en
trouve auffi dans le bois. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Pholadcs, coquilles de i ner. IV . 189. a. X. 860. b. Ces
coquilles trouvées eu certains lieux d’Italie, dans une ar<»il!e
durcie. X IV . 683. a. Dails, efpece de pholades. IV. 6 1 1.
b. Pholades reprefentées vol. V i . des planch. Regne animai,
planch. 74.
PHOLEGANDROS , ( Geogr. ) l’une des ifles Cyclades.
XII. 904. k
PHÜNASCIE , ( Hiß. anc. ) art de former la voix.
Exercices 011 Fon dilputoit pour la fupérioriié de la
voix. Maîtres de cet art appelles phonafeions. XII. 323. b.
PHO NIQ UE ou A coustique , voye^ ce mot. Analogie
de cette fciencc avec l’optique. On peut cultiver ou per-
feélionner ia phonique par rapport à l’objet, qui eft le fon,
au milieu, & à l’organe, X ll. 323. b. Moyens de remplir
ces trois objets. Comment on peut pcrfeélionner la catapho-
nique. Ibid. 324. a.
PHO RBEIO N, {Mußq. inßr. ßcs anc. ) bandage de cuir
placé devant la bouche du joueur de flûte , percé d’une
fente , par où paffoit Fanche de l’inftrumenr. Ulage de cette
ligature. Ceux qui jouent des inftrumens à anches devroiem
s'en fervir. Suppl.W. 343. a. Voyet: Flute,
PH üRO N É E , roi d’Argos. Suppl. I. 332. a.
PHORÜNOMIE, fcience desloix de l’équilibre,
du mouvement des fblides 6c des fluides. Etymologie de ce
mot. XII. 324. a. Excellent ouvrage de Herman fur cette
matière. Précis de cet ouvrage. Ibid. b.
PHOSPHORE, (Phyftq.) Différentes fortes de phofpho-
res. Cuufe générale de leur lumière. XII. 323. a.
^ Phosphore , ( Ckymie ) Divers genres de corps phofpho-
riques. Ordre particulier dans lequel les difi'érentes elpeces
de phofphores doivent être rangées. Dans le premier ordre
font les corps qui font rendus phofphores par le fluide électrique
qui les pénétré. Dans le fécond font les corps rendus
phofphores par des cliocsou frottemens rudes qui mettent
en jeu le feu contenu dans leur intérieur. XII. 323. a. Dans
le troifieme font les corps qui après avoir abforbé la lumière
du foleil ou d’un feu v iolent, ne la laiffent échapper
cnliiite que peu-à-peu. Le quatrième ordre comprend les
phofphores produits par fermentation , dilTolution , & tout
ce qui en dépend. Ibid. b. Le cinquième ordre comprend
les phofphores produits par l’union d’un acide particulier au
plilogiftique. Obfervations fur le phofphore fait par l’évaporation
de l’uriiie. Recherches fur ies principes contenus dans
ce phofphore. Ibid. 326. a. Maniéré de le compofer la plus
courte 6c la moins difpendieufe. Ibid. b. Obfervations chy-
iniques fur ce phofphore 6c fur le fel de Furine auquel il
doit fon exiftence. Ibid. 327. a. Propriétés de ce phofphore.
Phofphore liquide ; defeription de la maniéré de le faire.
Ibid. b. Diverfes expériences chymiques faites avec le phofphore.
Ibid. 528. a.
Phofphore , caufe de plufieurs phofphores naturels. III.
26. a. Produélion artificielle de la lumière par Fattrition de
corps qui ne font pas naturellement lumineux. IX. 720. <2,
b. Moyen de rendre phofphoriques toutes fortes de pierres,
X ll. 383. a. Principes à la combinaifon defquels eft dû le
phofphore de Kunkei ou de Boyle. X IV . 920. a. Caufe de
la lumière que donne le mercure dans le vuide. VI. 613. a.
La himiere s’éteint dans le bois pourri lorfqu'on eu fait for-
tir lalr. V I. 601. IX. y20. b. Les mouches luifantes perdent
leur lumière dans le vuide 8c la reprennent à l’air. VI.
601. a. Dißerentes efpeces de corps phofphoriques. Qualité
phofphorique de l’eau de l’O céan. X. 363. b. XI. 333. b.
Suppl. III. 901. a. Phofphores tirés des minéraux : efpece
de Ipath phofphorique. IX. 388. b. Pierres lumineufes. 724.
b. Pierre de Boulogne. II. 313. a , b. XU. 3S3. a. Phof-
phoics produits par le mercure. II. 84, a , b. 87. b. Suppl.
1. 8 1 1. a. 'Wallériiis prétend que tous les gypfes deviennent
phofphoriques par la calcination. VII. 1023. b. Sel marin
diffous rendu phofphorique. X. 869. b. Produélion du phofphore
par le fcl d’urine. X IV . 923. a. Propriété phofpho-
nque du zinc. XVII . 7 17 . a , b. Phofphores tirés des vc-
getauju Plante du Pérou qui devient lumineufe par la fec-
tion. I. 8o2. a , i. Phofphores tirés des animaux ; les dails,
coquillage phofphoriqufe IV. 612. X IV . 683. *2. Lumière
qui paroit quelquefoiFfur la coquille des huitres. VIII. 343- Q»ahté phofphorique d’un efeargot d’Amérique; I.
123. 4. Inleéles qui luifent pendant la nuit. VIII, 783.
Tome i l . - '
P H R 437 Mouche luifanty IX, 7 , 1 . 42. X. 770. b. Infcffes lumineux
dans la mer. X. 363. b. 364. a. X llI . 241. b. Suppl. JII.
ç o i . a. Inleéle phofphorique nommé porte - lanterne.
A l ll 141. b. Inleélc phofphüiique du Brefil nommé cucu-
|p. iV . 532. a. Autre de Surinam. XVH. 261. b. Ver lui-
lant. 41 é. Plume de mer rou g e, zoophyte phofphorique.
oiippl. IV. 422. ,2, Phofphore.s voltigeans. VI, ô i i b
P g O ÿ H ü R I Q U E . c W { 2 chh.) XII. 3 2 i . .
J. r T ^ ) 3‘icieris hérétiques qui nioient
la divinité de Jefus-Chrift. übfervarions fur Photin , leur
chef. Ses erreurs. Sa condamnation 6cfa dépofition. XII. 328,^.
Photiniens , en quoi ils différoienr des Bonofiens. II.
328. h.
PHOTIUS , hiftoire du fchifme auquel ce patriarche donna
lieu. X IV . 766. f l , b. 6cc. Son érudition. V . 915. a. Il
releve les lettres 6c la philofophic en Orient VIII
320. fl.
PHRA AT E , ( H if. des Parth. ) petit-fils d’Arface , fondateur
des Partlies. Principaux événemens de fon regne. SuppL
IV. 343. b.
Phraatc II. fils 6c fucceffeur de Mithridate. Principaux
evénemens de fon regne. Suppl. IV. 343. k
Phraatc III. fils & fiiccell'eur d’O ro fe , roi des Parthes.
Principaux événemens de fon regne. Suppl. IV. 343. b.
PHRAORT IS , roi des Medes, nommé Arphaxad dans
l’écriture, Suppl. 1. 368. b.
PHRASE , différence entre la phrafe 6c la propofition.
Les qualités bonnes ou mauvaifes de la phrafe , font bien
différentes de celles de la propofition. X ll. 328. k Définition
de la phrafe. Chaque langue a fes phnifcs qui lui font
propres. Il eft bien permis quelquefois d’en faire de nouvelles
, mais il faut fiir-rout obferver en ce cas , que la phrafe .
que vous inventez n’approdie pas fort de celle qui eft en
ufnge. Exemples. Ce que doit obferver un écrivain eu inventant
de nouvelles façons de parler. Paffage de Vaugelas
fur ce fujet. Ibid. 329. a. Obfervations fur ce paffage. Ce
qu’on entend par phrafe eftropiée, C ’eft fur-tout par le fens
figuré que l’on peut introduire quelquefois avec fuccés
dans le langage un tour extraordinaire. C e que c'eft que
parler par phraj'cs. Cette forte de ftyle eft ordinair cment celui
que k s jennes gens remporrent du college. On emploie
quelquefois le mot de phr.ijè pour défignct k génie particulier
d’une langue dans l’exprcftion des penfées, Obfervations
fur certains recueils de phrafes détachées , extraites
des auteurs latins pour accoutumer les jeunes gens au génie
de la phrafe latine. Ibid. b.
Phrafe , flgnification de ce mot. IV . 81. b. Phrafe imitative.
VIII. 3Ö9. f l, b. Phrafe interrogative. 834. k Plirafe
pleine ou elliptique , direéle , inverfe ou hyperbatique , ex-
pofitive ou interrogative. XIII. 473. b. 4y6. a. Des différens
fens que le sirammairien peut envifager dans les nhrafes.
X V . i y . a , b , 6 i c .
P h r a se , {M u fq .) Deux efpeces de phrafes, l’une par
rapport à la mélodie , X ll. 329. a. l’autre par rapport à l'iiar-
monie. C ’eft dans l’invention , la liaifon & l’ordonnance des
phrafes nuificales, que confifte la véritable beauté de la mu-
fique. Cette ordomiancc prefque entièrement abandonnée
par nos compofiteurs modernes. Ibid. 330. a.
P h ra se , {M u fq .) Talent du compofiteur qui ponélue
8: phrafe bien , 6c du chanteur qui fent 6c marque bien fes
phrafes. Suppl. IV . 344. a.
Phrafes harmoniques , leur texture. I. 76. <2 , b. Ponéluer
les phrafes. Suppl. IV. 302. b.
P h ra se s , {Botan. ) Obfervations fur ce fujet. Suppl. II.
PHIIASER , {M u fq .) Phraferla mufique , bien marquer
chaque phrafe dans la compofitiian 6c dans l’exécution. Indication
de quelques moyens pour parvenir .2 bien remplir
ce double objet. Suppl. ÎV . 344. a.
PHREATIS , le {Antiq. grec.) un des quatre anciens tribunaux
d’Athenes. Objet de ce tribunal. Manière finguliere
dont Faceufé paroilîbic devant ces juges. XII. 330. a.
PHRENESIE , ( Mcdec. ) Canfes de cette maladie. XII.
330. fl. Signes auxquels on la reconnoit. Prognoftic. Curation.
Ibid. b.
Phrénéfe , fa caufe. IV. 783. k X V . 738. a. Différence
entre manie 6c phrénéfie. V IT 44. a. X. 33. a. entre pliré-
néfie 8c paraphrénéfie. XI. 921. a , k Plirénétiques guéris
par des bains d’eau froide. II. 21. a. Ufage de la mufique
contre cette maladie. X. 906. a. Maniéré dont Afclèpiade la
guériffoit. XII. 309. fl. Lérargie 6c phrénéfie compliquée.
X V I. 781. k Voyci Délire 6c Démence.
PHRÉN IQU E, {Anatom.) Ancres & veines phréniques.
XII. 331. fl.
Phréniques ancres, Suppl. II. 713. a , A branches qu’elles
donnent au foie. Suppl. III. 76. a. Nerf phrénique. SuppL II.
716. fl. Suppl. IV. 41. b.
PHRICODES, {Médcc. anc.) fievre accompa|née d’horreurs
6c de frifon. Ses fympeomes. X ll. 53!. <*•
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