688 SOL
SO ISSO N N O IS , /^, ( Gcogr. ) pays de France. X V .
^'^SOL, ( JrJiir. ) fignifie dans la coiuiime de Paris , la propriété
till foiulsd’unhéritage.XV.309. a.
Sol. Poilcinon d’efpace qu’emporte la pofleffion du lol.
V . 9 ^ 1- a , S o l, voye^ T ERRE.
Sol ou Sou, {Mon/i.) fol de France, monnoie.réelle &
courante. Sols dc Hollande. Sol iVançois monnoie de'compte,
Sol d’Angleterre. X V . 309.
Sol romain. IV. 825. h. Premiere valeur du fol en France.
IX. 618. è. Du icms des Saxons il n’y avoit pas en A ngleterre
de plus forte monnoie que le fol. V II . 93a.
Sol d’or , ( Monn. ) cette forte de monnoie en ufage chez
les Romains Sc chez les Francs. Conformité qu’il y a pour
le poids entre nos anciens fols d’or & ceux des empereurs
romains. Valeur de nos anciens fols d’or. X V . 309. a.
Sols d’or qui furent en ufage fous la fecoade race , Sc fous la
troifieme. Ibid. b.
So l , terme de muûque , terme de blafon. X IV . 309. b.
So l , clé de, i^Mujîq.') III. 316.^1, b.
S O L A G E , voyci A spect.
SOLAIRE , ( Ajlron. ) fyftêrae folaire, année folaire. XV.
309. b.
Solaire. Dans le fyftéme folaire , le centre de gravité
commun du foleil & des planètes eil en repos , & le fokil
quoique toujours en mouvement, ne s’éloigne que peu du
centre commun du fyllême. XI. 124. b. Mouvement des
planètes autour du foleil. 125. .r. Demi-diametre du fyllême
folaire déterminé par la dillance de faturne au foleil. X IV .
694. i . Mois folaires. X. 619. i-. C y c le folaire. IV . 588. a , b.
V . 34. b.
Solaire, nom de la courbe que décrivent les rayons de
lumière en traverfant l’atmofphere. Ouvrages où l’on en
trouve réquation.XV.309. b.
So l a ir e , (CAy/«. ) poudre folaire. XIII. 189. a. Bezoar
folaire. II. 221. b.
So l a ir e , {Anatom.) mufcle extenfeur du pié, X V .
309. b.
So l a ir e , {Chirurg.) forte de bandage. A r t ér io tom
ie .
SO L AN O , médecin efpagnol : fe% découvertes fur le pouls.
X llI . 206. b. 229, a, b.
SO L A N O ID E , {Botan.) wn-cm&m duUamere bâtarde. Scs
caraéleres. Lieu de fon origine. X V . 310. a.
SO L A I sU A I , {Botan.) efpeces de ce genre de plante :
qualités & ufages de quelques-unes. Dcfçription du j'olanum
lethale de Ray qui ell la belladona de Tournefort. XV.
3 lo. a. Effets mortels de fes fruits. Remede contre ce poifon.
Ufage qii’en font les peintres. Ibid. b.
Solarium. Les Grecs l’ont appelle trychnus. X V I. 729. a.
Cette plante connue & décrite fous les noms de belladona
6c de morelle, v o ye z ces mots, Efpeces de folanum du Malabar
appcllées folanum épineux , Suppl. I. 380. a , b. Sc
chunda. Suppl. II. 423. b. Solanum des Moluques, nommé
anty. Suppl. I. 472. b. Solanum feandens : fes différentes efpeces.
Suppl. II. 739. a , b. Efpece de folanum appelle flrychno~
dendros. X V . 549. a. Toutes les efpeces de folanum perdent
leur qualité vénéneufe, lorfqu'elles font pénétrées d’acide.
X V I . 396. b.
SO LD AN E L L E , ( Botan. ) caraâeres de ce genre de
plante. Defeription delà principale efpece, ou chou marin. XV.
310. b.
Soldanelle , ( Mat. mèdic. ) propriété & ufages de cette
plante.XV. 31 i.<z.
S O L D A I , {Artmilit.) étymologie du mot. Quelle étoit
autrefois la taille des foldats. Indices par lefquels on croit
pouvoir juger des qualités guerrières dans les hommes. XV .
3 1 1 . d.
So ld a t , {H if . anc. ) étymologie du mot miles. X. 304.
b. Soldats g rec s , Ph a l a n g e 6c M ilice. D e l’enrôlement
des foldats romains : quelle étoit la taille d’un fol-
dat fixée par la loi. V . 706. b. 707. a. IX. 439. a. X. 303. a.
Détails fur les foldats romains. X. 303. , é. 311. Voyer^
R oma ins {Milice des). Soldats apprencifs. X V I . 332. a.
Soldats appellés haflaires, VIII. 62. a. princes, XIII. 371.
a. triaires, X V I . 610. a , b. St. vélites. 879. b. Voyei^ L é-
GIONAIRE. Serment que prêtoient ces foldats. X V . l o i .a ,
b. &c. Leur habillement, VHI. 13. a , b. leur chauffure ,
X V . 403, a. leur diligence dans leur marche malgré le poids
de leurs armes. Suppl. I. 339. b. Quelques auteurs ont cru
qu’on imprimoit une marque fur le corps des foldats romains.
X V . 319. a. Ces foldats diftingués en jeunes Ôc en
vétérans. XVII . 211. b. Leurs exercices. VI. 238. b. Les
anciens ménageoient mieux que nous la vie des foldats.
Suppl. IV . 422. b. Sévérité des châtimens qu’on leur infli-
geoit. III. 230. a. XII. 230. b. Récompenfe qu’on accordoit
à ceux qui avoientbien fervi pendant un certain nombre d’années.
V . 364. i.Paie des foldats, voyr^SoLDE.
Soldat , ( yirr miiir. ) qualités eueiitlellcs dans un foldat.
SOL
IX. 439. a. Celles qui diflinguent les foldats de chaque nation
de l’Europe. Ibid. Soldats malgré eux par les enrôlemens forcés.
X V I I . 832. a. Habillement d’un foldat françois. VlII .
7. b. Son équipement 8c fou armement, 8. a , b. Chambrées
de foldats. Ibid. b. Leur armure , v o ye z ce mot. D c la ration
des foldats. X. 663. b. XIII. 826. a , b. Le général doit s’appliquer
à leur faire aimer leur état. Suppl. IL 159. a. Ne-
ceilicé d’exercer le foldat. V I . 243. a , b. Exercices propres
à lui donner de l’adreffe ôc à l’accoutumer aux fatigues.
241. b. Pourquoi les mêmes exercices qui endurcif-
foient les foldats romains font périr les nôtres. 239. b. Des
moyens d’attacher le foldat à fon é ta t, voye^ T ransfuge.
D e la queflion , ü un foldat peut fe tuer pour ne pas tomber
entre les mains des ennemis. X V . 640. a. Des foldats
invalides. VIH. 847. a. République propre à former des
foldats, fondée par un roi dc Danemarck. VIII. 918. b.
Faux-foldars on palTe-volans.XII. 123. a. Des maladies des
foldats. V I. 730. b.
Soldats de marine. X V . 31 1 . a.
So ld a t s gardiens , {M.irine) X V . 311 . a.
SO L D E , {Art milit.) Périclès fut le premier qui établit
une paie aux foldats athéniens. Epoque à laquelle le fénat
romain fixa aulfi une paie pour les foldats de la république.
X V . 3 II. a. Solde dc gendarmes, du tems de Charles VII.
en 1443, lors de rétablilfement des compagnies d’ordonnance.
D e la paie que les troupes ont à préfent ; ouvrage à con-
fulter. Paie des troupes pendant la guerre. Ibid. b. Voye^
Pr ê t .
Solde, celle de la milice romaine. X. 312. b. XII. 210.
a , b. Suppl. IV. 674. a. Billet par lequel chaque foldat ob-
tenoit dans les greniers publics, la portion de uibfiftance qui
lui étoit due. XII. 66 \.b. Solde journalière que recevoient
les é cu ye rs , les chevaliers , les fimples gentilshommes, V .
386. b. Solde des troupes en Angleterre dans la guerre de
1700. XII. 210. a , b. F ie f de folde. V I , 713. b. D e l’augmentation
de la paie des foldats françois. X V II . 834. a.
833. a.
SO L E , ( Ichthy. ) defeription de ce poifTon. Qualité de fa
chair. Expériences de M. Deflandes lùr la maniéré dont les
foies fe produifent. X V . 3 11. i>.
Sole. Efpeces de foies nommées pégonfe , X lî. 240. a.
perpeira, 392. a. p o le , 903. 4. aramaca. I. 313.
Sole , terme de marine , d’architefliire , de maçonnerie ,
d’agriculture, X V . 312. a. de charpenterie , de commerce,
de marechallerie Sc de vénerie. Ibid. b. Sole 8c Saifon , ( Jurifpr. ) IV. 894. b.
SOLL, { Maréch.) defeription de cette partie du pié du
cheval. Suppl, i l l . 398. b. 423. a. Arracher la foie à un
cheval. IV . 894. b. Sole échauffée , foulée , enflammée.
Suppl. III. 403.^. 406. d. Sole battue. 406. a. Compreflion
de lafüle. Ibid. Coup deboutoir dans la fole.412. b. Ddféche-
raent de la foie de corne. 4 17. b. Sole ou Soulle, {Jeu delà ) étymologie de ce mot. Hif-
toire de ce je u , anciennement pratiqué en France. X V . 3 12. i.
SOLÉCISM E, {Gramm.) origine de ce mot. Auteurs
grecs qui ont écrit des folécifmes. X V . 3 12.
Solécifme. Différence entre le barbarifme 6c le foléclfme :
en quoi confifle ce dernier. IL 70. a.
SO L E IL , ( Afiron. ) fuivaiu l'hypothefe de Copernic ,
le foleil cfl le centre du fyfléine des planètes 6e des comètes.
X V . 313. a. La grande diftance de la terre au foleil
ell l’unique caufe qui nous empêche d’en appercevoir la
fpHéricité. Mouvement du foleil autour de fon axe. Mou-
vemens de cet axe même. Toutes les apparences du mouvement
annuel du foleil expliquées par celui de la terre.
Ibid. b. Pour ce qui regarde les phénomènes qui réfultcnt
du inouvemeiit apparent du fo le il, par rapport à la diver-
fité des jours 6c des nuits, des faifons, S-c. Voye:^ T erre
fi-Parallélisme. Nature , propriétés, rigure , 6’c. du foleil.
Ses taches. Ibid. 314. a. Diftance du foleil à la terre. Sou diamètre
apparent. Ibid. b.
Soleil. Sa grofleur , fon diamètre 6c fa dcnfitc, relativement
à la terre. Son diamètre apparent. Excentricité de l’orbite
terreftre. Lieu de l’apogée folaire. Suppl. \Y. 804. A
Sa parallaxe. Il eft difficile de décider fi le fluide lumineux
forme fa fubftance toute entière, ou s’il ne fait que couvrir
fa furface. Ufages qu’on tire du mouvement apparent
du foleil 8c de fes phénomènes dans la vie civile 6c dans
l’aftronomie. Moyens employés pour affoiblir l’éclat du foleil
dans les obfervations. / iii . 805. a.
Soleil. Etymologie de ce mot. I. 753. Diamètre apparent
du foleil. I. 463. tt. 344- É IV. 942. a. Suppl. II.
713. a. ytLi. b. Maniéré de le déterminer. Suppl. II. 712.
b. Le diamètre vertical du foleil obfervé plus grand que
l’horizontal. V I ll. 103. é Caiifcs des ondulations qu’on ap-
perçoit dans le limbe du foleil. IX. 337. a. Senfations que
fait éprouver la vue direéle du foleil , lorfqu’oii l’a confi-
Suppl. IL 639. b. Des taches de cet aftre. XL 267.
813.
SOL
S13. a , b. Vitefle avec laquelle fa lumière nous parvient
IX. 719. .J. Pourquoi le foleil n’a point perdu de fa fubf-
rance jufqu’ù ce jour. 722. Du mouvement de cet aftre
U es hauteurs dii folefl. Suppl. III. 3,-,. a b 'xin a
& c Méthode pour trouver la longitSde par fâ hauteur
la déciinaifon. 7^74. b. Le foleil s’éloigne quelquefois
I écliptique de quelques fécondés. V . 300. b. IX. 304. a
Son excentricité. Suppl. II. 909. b. Centre de gravité Corn-
mur, du foleil & (les plimctes. XI. .14 . b. Efpïce de réiro-
gvadation epp,,rente du fokil. X IV . u tp .u .L c s e,.patences
du mouvement du foleil expliquées par le mouvement de
la terre. XVI. 167. a. D e l;i parallaxe. Suppl.W. 236. a.
Méthode pour la trouver. XI. 904. a. XVII . 34, b. Urilité
qu on pourroit tirer du paftage d’une comete près de
terre pour avoir avec prccifiori cette parallaxe. HI. 676 a
D e la diftance du foleil. Suppl. II. 730. b. D c la méthodi
de determiner cette diftance par l’obfervation dc la dichotomie.
IV . 933. a , b. Détermination de fon apogée. Suppl.
. 482. a , b. Sa dcnfité. Suppl. IL 694. b. Pefanteur des
corps fur fa furface. Suppl. IV . 308. b. Inclinaifoii de fon
equateur fur l’ecliptique. Suppl. IL 832. a. Rotation fur fon
axe. Suppl IV . 680 b 681. a. ^affiige des planètes inferieures
fur le foleil. PafTage du loleil au méridien, voy.r i ASSAGE. liiftriiment dont on fe fert pour affoiblir fa lu
nnerc 6c le regarder fixement. Suppl. III. 321. b. Inftru-
mem deftiné à le fixer dans la lunette par un mouvement
égal a fou mouvement diurne, 322. a. Tables du foleil,
Suppl IV. 921. b. Des effets du foleil : quels font la plu-
part de ceux qu’il produit dans le monde. VIII. 689. a,
D e 1 influence du foleil dans la nature & fur les hommes ,
par la Imnicre, fa chaleur & fa gravitation. 729. b. 733. b
73 5- b. Calcul de l’effet du foleil en différens climats & en
differentes lailons. III. 27. b. 29. <7. Son aélion fur les eaux
de la mer. VI. 904. a. Son influence fur le mouvement de
la leve dans les plantes & fur la végétation. X V I. 960. b.
SOl Zï l , {Crtciq.jacr.) cet a ftre, objet de l’ancien cuite
de .a plupart^ des peuples d’Orient, a donné lieu dans l’é-
t.iture , lantorà des comparaifons , tantôt à des façons de
parler figurées. Exemple,-.XV. 3 1 5. <r.
Soleil ( .WyMo/ /cono%. ) cet aftre a été le premier
objet de lidolatne. Divers noms fous lefquels les peuples
delantiquite lont adoré. Peuples de la Grèce qui lui ont
^ndu un culte. Sa fête folemnifée à Rome. Les anciens
Germains ladoroiem auffi. Les anciens poètes ont-communément
diftingue ApoUon du foleil. X V . 31 3. Maniéré dont
011 le reprefeiKoit. Ibid. b.
Soleil. II^ a été la principale divinité des Phéniciens &
des Paimyrcniens. VIII. 461. b. Origine de fon culte chez
les i erfes fous le nom de Mithra. Les Perfes l’ont auffi
adore fous le nom d’Amaiius. Suppl. I. 334. b. XII. 422. b.
De foleil adore à T y r fous celui d’HercnIe. IX. 928. b. Les
peuples du Nord l’adoroient fous le nom de Thor X V I
Piilmyréniens fous le nom d’Aglibolus. I. n i .
«. & de Maheh-belus. IX. 928. , , , J, Son culte à Palmyre.
Suppl, l y . 226. b. Son culte établi chez les Péruviens, vo ye z 1 article de ce peuple. Le foleil appellé abraxas, le beau le
mapnfique, le fauveur. I. 33. Les Gaulois l’appclloient
Belenos. IL 193. é II a été défigné fous les noms de Kijun
de Remphan , de Molo ch, IX. 128. j . de Ainmon. 261.
a. Temples du foleil. X V I. 79. a. Celui qu’il
avoit à Palmyrc. XL 800. b. Ceux que les Péruviens lui
avaient confacres. X V I . 84. b. Fêtes célébrées en fon honneur
a Rhodes, V llI . 28. b. à Athènes. X V I . 220. b Fê-
les hehaques chez les Grecs. VIII. ,000. b. Grande fête
du fo ed chez les Péruviens. XIII. 834. Peuples qui lui
immoloient le cheval. Suppl. IL 389. b. chevaux du foleil.
393. a. Suppl. IH. 376. b. Sermons au nom du foleil X V
lo o . a Figures fymboliques de cette divinité. X V . 100. b.
73 1 . b. 732. a. 734. a. Foyer l’article HÉLIOS,
Soleil { Infcript. Médaill. ) le titre de feigneur àomié au-
trefois au foleil. Médaillés où il eft repréfenté. Médailles de
Gonltantm frappées à l’honneur du foleil. X V . 313.1^.
Soleil , ( Poéfe anc. 6> mod. ) les tableaux que nos poètes
modernes ont faits du foleil, font plus nobles 6c phis phi-
lolophiques que ceux des poètes anciens. Vers de Milton
oc de M. de Voltaire cités en exemple. X V . 313. i. Peinture
magnifique de tous les biens que le foleil répand fur la nature •
elle elt tirée des poéfies dc Thompfon, 6c traduite en françois.
lOta. 3 1 6. d.
S oleil ( P^éf. ) paroles adrcflèes au foleil par le poète
arabe Zapliy. IX. 918. è. r i c
So l e il , y ,,, (M y tU .- ) ]curs noms & leurs attrluilts.
A V . J ïb .b . Toye^’ A c tÉON ,P hilOGÉE.
SOLEIL, couchrrrlu^^MylhoL) vers de Cowley. X V . , i(> />. f^oycç Philogee. ^ ^
Soleil , ( Marine ) explication des marins fur cetaftre. de quelques façons dc parler X V . 316.^. ‘ ^ ^ ^
SOLZÏL brillant {A r iific .) ect artifice imite fi bien le
lo lc il, qu ,1 caufe ordmaircmeiu des exclamations de fur-
lome II,
SOL 689
prife parmi les fpeélateurs , au moment qu’il vient à oa-
roitre. X V . 316. b. Sa conftruéiion 6c fa compofition. /bid
3I 7-*^ , b. Foyei GIRANDOLE. SolciJ d’eau tournant fur fon
centre./iii. 318. d.
So le il , (B la fm ) X V . 3:8. a.
Soleil meuble de l’écu. Soleil levant. Soleil couchant. Ombre
de foleil. IV . S03. j .
3 18*^^^*^ ’ ^ ^ocan. ) carafteres de ce genre de plante. X V .
S o le il , fleur a u, {Botan.) VI, 838.4.
Soleil de mer, {H ifl. nat.) forte d’étoile de mer. X V
^ vol. VI. des planch.Rcgne animal, pl. 63.
écuyer. X. 683. i .
SOLEMNEL , ( Théolog. ) fêtes folcmnelles de l’églife romaine.
Les feies diftingaées dans quelques diocefes en lolem-
nels majeurs 8c folemnels mineurs. X V . 318. a.
SOLEMNEL, ( ) aéle folemnel. Teftaraent folemncl.
A V . 3 18. 4.
SOLEN , ou Manche de couteau, Coutelier. ( Conchyl. ) D e feription
du coquillage, à l’article Coutelier. Defeription
de la coquille. Efpeces contenues dans la claffe des folens
dont le corps eft droit. Deux efpeces de folens faits en arc.
“ ne feule piece. S yftéine de Klein fur les folens. X V .
Solen ou Coutelier. IV . 189.4. 409 .4, L X. 9. Z-. V ol. V L
des planch. Régné animal,planche 71.
So l e n , {Chir.) efpece de boite dans laquelle on place un
membrefra(fiuré.XV. 318,^. ^
SOLEURRE, ( Gèogr.) ville de Suiffe. En quoi elle eft re--
marquable. X V . 3 18. i . Son hiftoire. Son gouvernement. Rer-
hgion qu’on yprofeffe. Hiftoire de la guerre des Suiffes contre
Charles le téméraire , écrite par Diebold Schillioe, né à Soleurre.
/iiV. 319. a.
Soleurre , canton dc , ( Géogr. ) fa defeription. X V .
319. 4.
SD L F A T A R A , ( Hlf.nat. ) endroit'du royaume de Naples
qui paroit brûler perpétuellement. Sa defeription. Siibftan-
ces qu’on en tire. X V , 319. 4. Maniefe d’en tirer Je vitriol
oc lalun. Rapports entre le Solfatara 8c le Véfiive. Les anciens
ont connu cct endroit fous le nom de Forum-Fulcani
Ibid. h.
Sclfmura. l. 309. XIII. 553. h. Vol. V I . des planches.
Volcans , planche 3. La Solfatara nommée anciennement
Phlegraus campus. Suppl. 111. 190. b.
SOLFELD , ( Géogr. ) ville de laCarinihie , anciennement
Solvenfe oppidum. X V . 328.4.
SOLFIER , ( Mufiq. ) diverfes maniérés de folfier. Incon-
veniens de la méthode de l’Arétin. Avantages de celle qui
eft aujourd'hui établie. Cette derniere méthode fe trouve
gâtée par habitude des muficiens, de rendre les noms des
notes toujours fixes 6c déterminés fur les touches du c la v ier ,
6c non pas fur les degrés du ton. Rien de moins natnrei que
ce que les muficiens françois appellent/e/j&r 4« naturel X V
^19. b.
Solfier. Syllabes au nombre de quatre dont les Grecs fe
iervoient pour folfier. Leur modulation étoit renfermée dans
l^tendiic du tétracorde. Six autres fyllabes fubftituécs par
Gui d’A rezzo à celles que les Grecs employoient. D'où
elles furent tirées. Maniéré de folfier en Allemagne. Syllabes
employées par M. Sauveur. Suppl. IV. 803, b. Maniéré de
folfier inventée par M. de Boisgelou , par laquelle les bémols
6c les diezes font anéantis. Recueil de leçons à folfier
dont on fe fert en Italie. Utiliié de la maniéré de folfier
avec les fyllabes de l’Arétin. Obfervations fur la maniéré
des Allemands. Nouvelle invention propofée fur ce fujet par
un muficien de cette nation. Ibid. 806. a.
Solfier. Ancienne maniéré do folfier nommée bobifaiia.
Suppl. IL i.b . Solfierai! naturel. Suppl. IV. 22. b.
SO L I ou Solos en Cilicie, {Géogr.anc.) ville qui prit en-
fuite le nom de Pompciopolis. Obfervations fur quelques
hommes célébrés qui naquirent dans ce lieu. Chryfippe,
philofoplie grec de la fefte des ftoïciens. Aratus , poète
grec. Grantor , autre poète grec. Cléarque, difciple d’A rif-
tote. XV. 320. 4.
S o L l, OU Solon, ou Solcr, en C y p r e , {Géogr.anc.) bâtie
par le confeil de Solon. Hiftoire de cette ville. Son état préfent.
X V . 320. i. ^
SO L ID AIR E , {Jurifpr.) créanciers folidaires. III. 364:
Condamnation folidaire. 833. 4. Contrainte folidaire. IV .
-II. 4 , b. Coobligés folidaires. 171, b. Créance folidaire.
906. b. Foye^ SoLIDITÉ.
SOLIDE , ( Grow. ) définition. X V . 320. b. Solides réguliers.
Solides irréguliers. Cubature d’un folide. Angle fo-
lide. Angles folides égaux. Nombres folides. Solide hyperbolique
aigu. Problème folide. Ibid. 321.4.
Solide. Diflinélion de cinq folides réguliers. IV , 263. b.
D e la géométrie des folides. VIL 634. b. Figures folides
femblables. XIV. 937. a. Mefiire des folides. X. 409. a.
Manière de mefurer l’cfpacc que renferme un folide. IV .
M M M M m- m m m