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6 1 2 R O U IndiL’ h laquelle font rujet^ les peuples des envli'ons de la
mer llnuEc. X V I. 9 1 t. </. Kouge , p jlß c c Je l.i nur , ( IM . fu'nU. ) IV . 623. b.
X V I . -588. b. '
ll()U(JK<J>LtB (jV/f'./'ec.)Tencmbbncedc eene maladie avec
Ja petite vérole.Sur Jl)!! traiicmctit ,voyr^ raiticlcPrttfi'Te're/e.
(..ar.aéleres des boutons do roiigoolo. X IV . 404. b. 11 arrive quel-
fjiiefois ([lie cûttc maladie devient épidémique & caufi; de
très-grands ravages, comme on l'éprouva en France en
J 71 2. lb}J. 40^. .1.
R o uge-queue Je ßcng.ik , ( Ornhh. ) X IV. 403. e.
Rouge-queue de lu Chine. XIV. 403. </.
Roufit: QUEUE , {gründe) Defeription de ces trois cfpeces
croifcaiix. X IV . 403. a.
R O U G E T , jV/e/THi/f, Mourre, Gàlline, Rondelle, Org.t/to,
Cocchou, ( Ichthyol. ) Defeription de ce poilTon. Qualité de
là chair. X IV. 403. b.
ROUGEUR , ( Morulc ) caufe de la rougeur du v ifig e ,
félon les pliyfiologilles. Qiiclc[ucs grands hommes ne pou-
voient s’eni[)èdier de rougir, iorfqu'ils paroill'oient devant le
lénat ou devant le peuple. La lougeiir n'cfl pas toujours une
démonllration de décence 8i de modedie. La rougeur clli-
mable cil ce beau coloris produit par la pudeur, par l'innocenc
e, & qu'un ancien nommoit le vermillon de la vertu.
J^eimnre qu’en a fait Dryden. X IV. 403. b.
Ro ugeur du vil'.'.gc, (MUtU/ic) maladie cutanée. XIV.
403. b. Scs caulcs. Danger d’appliquer des topiipics fur ces
lortes d’éruptions. Cure de cette maladie. L)e la rougeur
conlidérée comme lymptùnie de la fièvre & des maladies
infl.unmatoire,«. .Scs caufes. Ibid. 406. u. Quclquel'ois ce plié-
iiomcnc eil l’ellet de la pi.limn hypocondriaque (k hyllcrifjuc.
nid. b.
Rougeur du vif.ige, c'.iuCc de ccttc rotigoiir félon Bnyrus;
moyen qu’il employa pour y remédier. VIII. 412. b. Fro-
gnoilic.s iiir la roug(.ur du vifage avec maigreur. IV, 333. />. Pro-
Jiüflic l'iir la rougeur du vifage dans les maladies, XVII .
33Ö. b. Rougeurs qui viennent fur la peau du vifage des
jeunes gens comme des grains de millet. X V . 621. a. Des
laclies de vin au vifage : pourquoi les rougeurs fe montrent
plus ficiienieiu au vifage qu’ailleurs. X V . 813. u.
RO UH .AU l.T , {Pierre-.Simon) anatomiile.S'ttp^/. I. 403. b. 5c phyfiologillc. I ” 333. b.
liO V I G ü , ( Gevgr. ) jjetite ville d’Italie. Elle a été dans
le febieme fic c le , la patrie de quelques gens de lettres ,
comme de Jérémie Frachetta, d’Antoine Rieoboni, & de
Xiidovicus-Coelius Rliüdigiinis. X IV. 406.
RO U IL LE , ( t 7;y/«. MJiull. ) Explication de la manière
dont elle fe tonne X IV . 406. b. Moyen de garantir le fer
de la rouille. Ibid. 407. u.
Rouille, du fer & de cuivre ; fes caufes. I. 234. a. VI.
i23..j,/>, 469. U. Les métaux fe rouillent peu àLondres.I.
233./’. Hiiüc Ja plus propre à empêcher la rouille. II.302.é.
R o uille, lu , (^7,y.r) recette d'un onguent imagin-é par
i\l. Homberg, propre à préfevvcr de la rouille les inltrii-
mensde ter oud’acier. Divers expédiens qui ontété mis en
ulagc pour en garantir différentes fortes d’ouvrages en fer.
M. Ellys rapporte que les métaux font moins lujets à la
rouille dans certains climats très-froids que dans d'antres, X IV .
407. U. Un voyageur a rapporte que dans Fille de Barbade
Fini midi té de l’air fail’olt rouiller dans un inilant les couteaux ,
les c lés, les eguilles, ôte. Dans les pays qui environnent
la baie de Hncllbn, les métaux font peu expofés à la rouille.
Recherches des véritables caiifès de ccr accident des métaux.
Ibid. b. Il paroit que cette caufe n'eff pas proprement l’hn-
midité , mais un certain dilTolvaiu fluide , un fcl acide répandu
dans l’air. 11 cfl encore pofiîble que la clialcnr ouvrant
les pores des métaux , les difpofe davantage à recevoir ce
fel. Ibid. 408. U.
R ouille du froment, ( ydgriculr.) maladie qui attaque
les feuilles &c les tiges du froment. Ses caraélcres. Erreurs
vulgaires fur fa caul'e. Combien elle eil pcniicieiif'e. M, du
Tillct en attribue la caufe .à Fàcretc des brouillards, qui
brifent le tiffu des feuilles & des tu yau x , & occafionnent
par-là Fcxtravafion d’un fuc gras & oléagineux, qui en fo
delTécham , fe convertit en une poiilliere rouge - orange.
Oblérvation.s de M. Lullun de Cliàtcativienx l'ur la rouille.
Il foupçonne que cette maladie provient d'une extravaf’ation
de la f e v e , qui fe dénature , &. fe convertit en poullicre.
Moyen qu’il a propofé pour arrêter le progrès de cette
rouille des blés. Il a obfervé de plus que les blés qu'on ferne
de très-bonne heure font plus fujets à être rouillés , que
ceux qii'on ferne tard; ik. quelorfque ces blés ont été rouillés,
les féconds foins des prés i’om été également. Dilférens effets
de cccte maladie fur ces denx forces de produélions. Ibid
X IV . 40c;..,.
R ouille, ( Économ. ruß. rlgric. ) broiiiffurc ou fouine. En
quoi confiffe cette maladie des blés. Analyfe cliymique &
propriétés de la maticre de la rouille. Suppl. IV . 683../. Les
anciens la confondoient avec la nielle. Mois de l’année où la
R O U rouille attaque les b lé s , & devient le pins dangereufe. Ex-
pofitions les plus fnjettes à cette maladie. Sa caufe felon
Ginani. Rouille gramiieufe, qui fe manifene par une fubf-
taiice de couleur de t«r rouillé ou de gomme-gutte peu adhérente.
Sa caul'e. Ibid. b. Autre efpcce de rouille qui ell
dans l'origine une liqueur â c re . vifqiieule èk gluante qui
s’attache lur l’épiderme , &, qui en fe dcfféchanc lé convertit
en pouffierc cFochre. Sa caufe. Qualité âcre 5c corrofive
de la poulîieic de la rouille , qui attaque la cliair de ceux
qui marchent piés mis dans les champ.s rouillés. Cette rouille
nniefte aux animaux qui en mangent. Ibid. 686. u. Différence
entre la maladie dont nous parlons ék la brùliue oc-
cafionnée par un l’oleil v i f , après de fortes pluies. Plnficiirs
auteurs regardent la rouille comme le principe des auties
maladies des grains, le cliarbon , la nielle ik l’ergot. Diffé-
reiis moyens iiuliqués pour empêcher la rouille des blés , ou
pour en arrêter le progrès. Ibid, b.
Rouille du Jroment, Suppl. I. 917. u. Années qui y font
fnjettes. VU . 333, b.
R O U IL L E T , \ Jeun-Loui.t) graveur. VU . 870. a.
KO\I\\\ , { Économ. rujltq. ) delcription do cette préparation
que Fon fait an chanvre avant que de le broyer. X IV ,
409. U.
Rouir. Du rOuilTemcnt des cinnvres, X IV . 328. b. 329.
a , b. Endroits oit on les met rouir. III. 148. h. X IV . 416.
a , b. Qii.alité cmiioifoiinaiite de l'eau oii Fon a fait rouir le
chanvre. 111. 137. b. X IV . 329. u , b. übl'ervatlons de M.
Marcandier fur ce rouilfage. VI. 79a. b.— / ùy.'î Chanvre.
R O U L A D E , ( Mu/iq. ) choix de fous ou de voyelles convenables
pour les roulades. La langue italienne plus propre
à ces intkwions que la trançoilé. X IV . 409. b.
Rüuludc. Imitation de la mélodie inUrumcntale dans
les occalions oit il eff à propos de furprendre le difeours 5c de prolonger la mélodie. Regies fur les roulades. 11
paroit qu’elles font une invention de la muFique moderne. Les
anciens ne les connoilloicnc pas. Les roulades devroient
être bannies de l’opéra, iSc n’ètre rélervées qu’aux cantates.
Suppl. D '. 684. b.
R oulaoe fur un (R/jy/7r/. ) cette imprefiîon continue
que font fur l'organe de Fouie ces percufflons répétées
, ilé))end de leur rapidité , & de la durée de la fenlii-
tion qu’elles excitent dans les nerfs de Fouie. XIV. 409. a.
R O U L E A U , ( Conchyl. ) genre de coquille. Foyer O live.
X IV . 406. b.
Roiileuu , différence entre la volute Sc le rouleau, X V IL
406. b. Articles fur ce genre de co([uille. X IV . 190. b. XI.
430. b. Efpcce de rouleau nommé eedo nulLi. Suppl. II. 277.
U. Ces rouleaux font repréfenres vol. VI. des planch. Régna
animal , pl. 69.
R ouleau , ( Àntiquit. ecchfiaf. ) feuille de parchemin où
Fon inferivoit dans les monafferes le nom 6c l’éloge d’un
abbé ou d’une abbeffe décédée. X IV . 409. b.
R ouleau ouv,/«mc, (L ie r .) comment étoient faits les
livres ou volumes des anciens. Rouleaux ou volumes de la
lo i, dont les Juifs gardent encore Fiifage dans leurs fynago-
gues. X IV . 410. U.
R ouleau , ( Litter. ) efpecc de rouleau qu’on voit fur
quelques médailles dans la rrialii des empereurs. X V I . 202.
b.
R ouleau , ( Ouvmg. & ManufuH. ) Rouleaux fur lefqucls
fe dreffent les laines, les foies , les fils, &c, Rouleau de la
poitrine chez les tiirnciers-rubaniers. Rouleau à couler, dans
les maniifaftures de glaces. Rouleau des fondeurs en fable.
XIV. 410. U. Rouleau des prciTes qui fervent à caleiidrer les
étoffes , &C. Ibid. b.
R ouleau, { de mèchaniq.) X IV . 410./’.
R ouleau , ( Agricult. ) fon ufage pour brifer les mottes.
XIV. 410. b.
d’agriculture repréfenté vol. I. des planch, article
A gricu ltu r e. Son ufage fur les prés. Suppl. I. 329. u.
Rouleaux , ( Arckiieü. ) X IV . 410. b.
R ouleau , de cunouche , {A n ific .) XIV, 410. b.
Roule-iu , ( Jurifpr. ) cc qu’on entendoic aiiirelbis par ror
tula Sc inrotulure. V. 703. b.
RouLeuux , uficnfilcs de cliarpentiers , marbriers , tailleurs
de pierre : leur defeription 6c leurs ulàges. Rouleaux fans
fin, X IV . 410. b.
Roulcuu , terme de drier , terme de cuifme. X IV . 410. b.
Rouleau , terme d’éperonnier , de fondeur en fable , de
commerce de fil , d’horlogerie, de jardinage , d’imiirimerie,
de mercerie , de incttcur en oeuvre , de mon.uoyage , d'or-
fevre en grofferie. X IV . 4 1 1. u.
Ro ulea ux , {P eint.) écriteaux que les anciens peintres
faifüienc fortir groffiéreinenc de la bouche de leurs perfonn.
iges. XIV, 411.*/. Utilité des inicriptions mil’esaubas des
tableaux d’hilloirc. Ibid. b.
Roule.i:i , terme de potier fournaliffe, de fucrerie , de
mamifafturc de tabac, de tnpiffier,de lilferand 6c de plombier.
X IV . 41
R O U L EM EN T ,
R O U RO ULEMEN T , ( A7r<.7mn/</. ) définition. XIV. 4 1 1. i . M.
de F’ontenelle exjilique le roulement des pianotes dans leur
orbe , j)ar la emnparaifon d’une boule qui roule liir im plan ,
en même cerna (pi’ellc avance. InexaRitiidc de cette com-
p.i;ail(>ii. Si les fnrfaccs (tir Icfquelles les cor])s fe meuvent
étoi'.nt partaicemciu polies, auffi-blcn (|uc la furface des
c<)i[)S qui s'y meuvent, il n’y auroit [ircfquo point de rotation.
Le frottement qu’un corps éprouve en roulant, ell
ni<>indrc <]iie celui qu’il éproiivcroit en gliffam. Jbtd. 412.
a. Foyei ROTATION.
Rouler, tenue employé dans quclcjucs arts Sc métiers.
XIV. 411; U.
ROUL E T T E , terme employé dans quelques arts 8c mo-
tiers. X IV . 412. b.
RO UElt'R , {Cornm.) devoirs de cette forte de voituriers.
XIV. 413. u. Voyer VoiTURlER.
ROULIS , {Marine) voye^ T a NGAGE.
ROUPIE , {Monn. ) inonnoie qui a cours dans les états
du grand-Mogol, Sc en [iluliciirs antres lieux dos Indes orientales.
Suppl. IV. 687. U. Figure, poids 6c valeur des roupies
d’or 6c d’.irgeiu. Vieilles 6c nouvelles roupies. RoupiesSiecas :
roupies de Mmlras : roupies coulantes. Leur valeur. Ibt.l. b.
llOUSSE.AU , {Jejii-Bupiijic)o\-){c\:v7n\oiK fur les odes.
V. 674. U. XL 347. u. 847. a. Suppl. IV. 89. 6c fur les
cantates. II. 622. u. Avantages des odes de Rouffeau fur
telles de la Motte. Suppl. IV. 92. b. Ces odes [leii propres
à être mifes en miifique. Suppl. I, 238. u. Suppl. III. 820.
b. D e même que fes cantates. 820. b. Picfquc tontes fes cantates
font cüiii])üfées de vers très-liarmonienx. Suppl. IV.
387. (/. Comment il a rculli à imiier le flyle maroilque.
Suppl. 111. 838. U. Défaut (le fes é[)itres. V. 8 21 . u , b.
R o u s s e a u , {Je.m-Jacques) citoyen de Geneve. Obler-
vations lur fon clll'coms contre les arts 6c les ftiences, 1.
xxxiij. Di/c. prelim. Ses réfiexions fur l’origine des langues.
IX. 230. b. — 232. J. Éloge de fa nouvelle Iléloife. XIV.
342. U. Parallèle de l.i pliilolbphie de Hobbes Sc de celle
de M. llotilîcau. VUE 241. u. féjour de M. RomTeau à
Mommcrcnci. Suppl. 111. 960. u.
RO ü.SSERO LLE, ( O.-nithoL ) Defeription de cet oifeau.
Lieux oil on le trouve. X IV . 413. é.
RO US SE T TE , {lehihyol. ) defeription que Rai a donnée de
trois diftérentes cfpeees de poiffons de ce nom. XIV. 414. a.
liouffette , repréfemée vol. VI. des planeli. i e g „ c animal,
pl. 14.
RO US SEU R , taches deroulTeur, moyen de les diffuter.
X IV . 414.
Ruufeurs du vifage. V . 769. b. IX. 387. b. XV II , 336. .1.
RO U S S IL LO N , le , ( Geogr.) province de France. Ses
b ornes, fon étendue, fe-> produélions, fes rivieres. Origine
du nom de Roufilton. L’ancienne capitale de ecite province
, faccagée par les barbares. X IV . 414. u Hilloire abrégée
du Rouffillon. Evêché de cette proviiice. Oijfervation lur i'on
gouvernement 6c l'es finances. Quel cft Ibn commerce. Ibid. b.
Roujfdlon: peuples 6c villes de l'ancien RoiifTillon. Suppl.
IV. 9. U. Mines d’argent de ce pays. 1. 638. h. Ohferva-
tions furies abeilles 6c la récolte du miel de Rouffillon. X.
770. b.— 774. a. Pâturages du pays. XVI. 716. u , b. Inf-
iruffions lùr les foins qu’exigent les troupeaux de bêtes à
laine dans ce pays 714. <1 , k.— 718. u. Teur de Rouffillon.
X IV . 463. b. Suppl. IV. 9. b. Conieil de Roulhllon. IV. 16. b.
R o u ssil lo n , ordonnance de , ( Droit jrattçois ) elle porte
que l’année commencera au premier janvier , au lieu qu’elle
ne cominençoit que le famedi faint après vêpres. Cependant
avant cette ordonnance on ne laiffoit pas de donner des
étrennes au premier janvier. Par ccttc même ordonnance ,
les doubles jurifdiélions de jnllice qui ne font pas royales.,
Font réduites à une Feule. X lV . 414, b.
Roujjillon , ordonnance de , XI. 394. u. Suppl. IV . 688. u.
RO U T E , Foie , Chemin , {Synonym. ) 'différence dans la
fignificntion 6c Fufage de cesmots , l'oit au propre , Ibit au
liguré. XIV. 4!4- b.— Foyc:^ C hemin.
R ou te , ( Hijloire ) via , Comment les Romains comu ui-
Foient leurs grandes routes 6: en afferiniffoicnt le loi. Les
chemins pavés de pierres très-dures étoient ordinairement
appellés vioi ferreee. X IV . 413. a. — P'oyc^ C h em in , VoiE.
Route n.uurclle. Route aniticielle. Rouies par terre. Route
par eau. Routes publiques. Routes particulières. X IV . 13. b.
Route publique , ou grande route. Rouies appellees militaires
par les Romains. Celles qu’ils a])pelloiont doubles routes.
Route Füuterraine , celle de Pouzolles. Autre l'cnibUble
entre Baies 6c Cumes. XIV. 413. b. Foyc:^ C hemin tk V oie.
R oute , ( A/.ar//ie ) commanclement à la route. Porter à
route. XIV. 413. b, Fauffe route : cas où Fon eff obligé de
faire faiilFe-route. Ibid. 416. a.
Route, complément (le route. III. 763. a. Dérive dans
la route. IV. 869. a , b. Du calcul de la route. V. 1003. , é.
R o u t e , { A n milit.) obfervarions fur les routes que le
roi accorde pour des recrues ou des remontes. Code militaire à coiifulter. X IV . 416. u.
Tome II.
R O Y 6 (
Route , cfijcec de brigands (lui om loim-tem-; deibie !■
France. XIV, 416. ‘
Ro u t e , ( Décorât, d'ugrieuh. ) X î\ ’. 416. a.
R O U T IE R , ( Marine ) ouvrages de cc nom. XIV. 416. a.
Ro u t ie r , {Comm.) maîtres routiers en Hollande. N'.iif-
fcaijx 6c barques défignés par le nom de rouiieis dans les
Provinccs-ünies. XIV. 416. a.
R o u t ie r s , { Ih ß . mod.) CuyrrBr a b an ço n s -.
R o u t ie r , .SV/mv;f, {.hulfpr.) X V . 91. i,
R Ü W E , {Ntcolus) XVI. 317.
RO U VR E , (//y?./iur. ) forte de chêne qui porte les noix
de galle. XI. 192. a , b.
R O UVR E , ou Rouvrai, {Géogr.) i". paroiffe du Dijo-
tiols , diocefe de Châhms. Chanoines de Kouvré. Obl'erva-
tions fur le château de ce lieu. C e bourg mis en feu en
1636 par (bilas, La terre de Rouvre engagée par Louis X.
à Jacijucs Coitier de Poligni, fon médecin. UliFerv,nions
fur cec liommc. PolTelTeurs fiiccclFifs de la châidlcnic de
Ronvré. 2”. Bourg de FAuxois. Son ancien cl âte u. Qualiié
du terroir. Voie romaine qui paffoir jirès de ce boiug, Sio
Magnemc inhumée dans ce lieu. (Juviages de François iier-
tc^l , né à Rouvr.n, Suppl. IV. 688. a.
ROXANii,(/yr/i, une. ) lilte d’Oxartc, funme d’Alexandre-
le-Gr.inil. Suppl. IV. 6 8 8 . Comment il l’éponfa. Ibid. b.
RO X , {Julien U ) fa pendule .à équation. Y . 839. u , b.
Scs montres m.nines. Suppl. III. 773. a.
R o v , ( llenn de) X V ll. 363. u.
R O Y A L , atieflc royale. Abbaye royale. Armée royale.
Coiilentemeiit royal , dans le gouverneiiKnt d’.Anglcierrc.
Banque royale. X IV. q\6.b. Hilloire 6cdefeription del-ibourfc
de Londies. Poiifons ajipellés royaux en Angictei ra. Cliéne
ro y a l, arbre lous lequel le roi (diaries II l'e tuu taché après
la défaite de l'es troupes à la bataille de V oicei lier par celles de
Cromwcl, Soin ([u’on a [iris jxuir en c./uferver les 'relies.
Parapet royal. Société roy.de (Je Londres inlliuiéc ]iar Cliar-
les IL Ibid. 417. U. Hilloire de cetre l'ociété. Réglcmeiis pour
les membres qui la compofun , 6: pour ceux qui y al'pi-
rent. But 6c objet de cette académie. Scs cx])ericnccs 6c
obfcrvaiions. Utilités que le public en a retirées. Ibid. b.
Mémoires qu’elle public fous le nom de TranfufHons philojv
phiques. Sa biblioilic(|ue. Son nuifée. Sa duvife. Lieu 6c
jours de fes allémblécs. Ibid. 418. a.
Roy.ïl : alteffe royale. L 304. b. Chambre royale. III, 36.
a , b. Cliâielin royal. 242. u. Chemin royal. 277, b. 279.
Cour royale. IV . 396. i. F ie fro y a l.V I .7 13. ü.Fondauon rt^yale.
V i l . 76. b. Garde royale. 487. u , b. 490. u. Juge roy.il. iX.
13. b. Jurifdiélion loyide. 8û. b. Jufliee royale. 97. u. Loi
royale. 669. u , b. Mailon royale , 889. b. Notaire royal 6c
apolloliquc. X L 238. b. 239. b. 243. b. Notaire royal , laie
ou lécidier. 246..;. Notaire non-royai. Ibid. b. Parlement royal.
X i l l . 333. a , b. PiiilFance royale. X lli. 363. u. Sergent
royal. N'Y. 91. b. 6cc. ValFal royal. X V I. 833, b. \ ille
TOVale. X V II . 280. b.
R o y a l , college , des médecins de Londres, { Hiß. d'Angî.)
privilege [rariiculier que ce college a feul droit de conférer.
Lieenciés de ce college. Conditions à remplir pour en devenir
membre. X IV . 418. a.
R o y a l , ( Monn. de France ) monnoie d'or. On n’a point de
preuve qui piiiffe judlficr qu’ellefoitplus ancienne ([ue le regne
de Philippe Ic-Bel. Elle eut long-tcins cours en France.Oii-
ginc de fon nom. Son poids 6c l'a valeur. XIV. 418. a.
RO YALISTES , ( Hiß. de France ) faflion formée en 1574.
XII. . b.
R O Y A U M E , {Droit politiq.) Les royaumes difliiigués
parla piupartdes auteurs en patrimoniaux 6c en ufufruétu.ii-
res. Origine de cette dillinition. Doélrinc de Coecéius ,
Thoinafius, Bchmcr B.irbeyrac 6c autres Favans , Fur lé-
prétendu pouvoir d’aliéner la couronne. X IV . 418. b. Le
pouvoir louvcrain , Félon eux , de quelque niaiiiere qu’il
foie conféré, 6c quelque abl'oiu qu’il Joit, u’empoite point
par )iii-niême un droit de propriété, ni par coni'équuit le
pouvoir d’aliéner. ObFervations Fur les exemples qu'on allègue
d’alicnatious fuites de tout teins par les louver.nins. O u vrages
à confulter. Ibid. a.
Royaume de Dieu , {Critiq. facr.) acception de ce terme
dans Fécritiuc. X IV . 4:9. a. Ce qu'on doit eutciidre par le
roy.numc des cieux. Ibid. b.
Royaume d'Ifraél & de Juda , ( Hiß. facr. ) Hiûoirc abrégée
de ces deux royaumes. XIV. 419. b.
R o y a u .MES du monde , {H iß .une. ) énumération des vingt-
quatre royaumes célèbres que Fou compte ordinairement
jtifqn’à la naiffance de Jefus-ChrilL Précis hiftorique fur ces
royaumes. XIV. 419. b. i. Royaume de Babylone, 2. d’E gypte,
3. de Sicyone , 4. d ’A rgo s , 3. d’Ataeifes, 6 .de T r o y c ,
7. de Mycenes. Ibid. 420. a. 8. Des latins. 9. de T y r , 10.
d’AlTyrie , u . de L y d ie , 12. des defeendans d’Hercule a
Laeédénionc, 14. des Hébreux, 13. de Damas. Ibid: b. 16.
de Macédoine , 17. des Romains, 18. fécond royaume de
Babylone , 19. des M edes, 20. des Chaldéens, 21, des Per-
Q Q Q c j q q q
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