698 s o u
f t , H
Soulier , ( Marine) X V . ^o(>. h.
Souliers , ( Géer/. anc. ) bomg de France eii Provence.
C e lieu ert la pairi'e d’Ainoine Arena, poëte du feizieine
fiecle. Obfervations Uir le poète Trillaii ,iie à Souliers dans
la Marche , & Air les ouvrages. Son épitaplie. Epigramme de
Mornmor Air cc poetc. X V . 406. b.
SOUI-OSSÜlS, { Gëogr. ) / U g i w pays entre le
Cluuunoiuols, le Saintois , le Toulois & le BalAgny. Sa
longueur. Ancienne ville de 5o/.7nrfWirc.2do'U il tire l’on nom.
Lieu où l'on trouve l'es ruines. Oblërvaiiojis Air les prin-
paux lieux de ce pays : Neuchàtcau : Pont-Pierre - fur-Meufe :
le Châtelet : Cliàtenoi : abbaye de l'Etaiiche ; la Motte :
Boiilmont : Bulgneville. 5,v^y/. IV.62 . é. Flabéir.oni ; Brixci.
Vicliercy. îb\d.Zi(a. a.
SOUPAPE , i^Hydraul. Pneunut.) Différentes fortes de
foupapes felon leurs dift'èrens ufages. Leur ulage dans l’hy-
draulique confiAe à élever l’eau à une hauteur confidérable
parle moyen des pompes. D u diamètre convenable à l’ouver-
rure des foupapes des pompes. X V . 407. a. Soupapes employées
par la nature dans les vaiffeaiix du corps humain.
Ibid. b.
Soupape, appellee clapet. III. 504. a. Des ouvertures des
foupapes, liijettes aux ctranglcmens. V l l l . 345.6.
SouRAPiiS , ( Orgue) celles du fommier de l’orgue. X V .
407. b.
S O U P Ç O N , {Morale) penfee du chancelier Bacon fur
les fonpçons. Maux qu’ils caufenr. Ce défaut vient plutôt de
l’efprii que du coeur.Rien ne rend un homme plu» foupçonneux
que de favoir peu. Moyen de modérer fa defiance. Les fou-
pçons les plus fâcheux foin ceux qui nous font infpirés par
l'artifice d'autrui. X V . 407. b. La meilleure maniéré de nous
tirer du labyrinthe dos fonpçons , c’cil de les avouer fran-
clicmein à la partie fufpeélc. Cependant il faut à cct égard
confulter la prudence. Ibid. 40S. a.
SOUPE , ( Cuißne ) étymologie de ce mot. Ufage de la
A iipe en France. X V . 40S. a.
J maniéré de faire une foupe au riz pour cinquante
perfonnes.XIV. 308. a.
SOUPER des Romains , ( Antiq. rom. ) c'étoit leur principal
repas & fouvent un repas préparé. X V . 408. a. To ut y ètoit
concerté de maniéré à rendre les chofes plus commodes 8c
plus agréables aux convives •, l’heure, le lieu , le 1er vice , la
durée , les accompagnemens Sc les fuites. Obfervations fur
chacun de ces points. Ibid. b. Tables des Romains; Maniéré
dont ils étoiem à table. Habil'.emens des convives. Ufage
d’ôter les foiilicrs à table. Les convives apportoient leurs
ferviectes. Ibid. 409. a. Couronnes qu'ils mettoient fur leur
tête. Defeription des fervices, libations en ufage. Santés
qu'on faifoit courir. Fonélions des domcAiques. La nuifique,
les danfciifes , les mimes, ik.c. étoient admis pour réjouir
les convives. Ibid. b. Anecdote fur le pamominie Pylade
qu’Augufie fit venir à un fouper. Trois lettres de cet empereur
, où il efi parlé des pUiifirs qu’il avoit pris , ou procurés
dans certains foupers. Lettres de Pline fur les amufemens de
quelques iLupcrs qu’il avoit faits avec Trajan. Collation qui
uiccédoit aux jeux & aux autres amufemens. Ibid. 410. a.
Quelquefois après avoirToupè quelque part, on alloit faire
cette collation ailleurs. Exemple. Cérémonie par laquelle on
finüToit le fouper. Préfentque les conviés recevoientde leur
hôte.' Explication de quelques termes qu’on trouve fouvent
dans quelques auteurs latins. Cana relia. Ccena Japfilis. Coena
itcroamatica. Ibid. b.Ab.-zcus.l/rnarium.Canibulum.'isoms des trois
principaux fervices. Place oîi étoient afiis les enfans qui
foupoient avec la compagnie. Ibid. 41 1 . a. f^aye^ R epas .
Souper , ( Hiß. des ujag. de France ) variation dans l’heure
du fouper, felon les différciis ficelés. X V. 4 1 1. a.
SO U P IR , Sanglot, Gérnijfement, Cri plaintif. ( Synonym. )
Différence de ces mots felon l’expUcation pliyfiologique
donnée par M. de BuiFon. X V . 4 1 1 . a.
Soupirs , ( Phyßolog. ) leur caufe & leur effet. Suppl. IV .
619. a.
So u p ir , {M u fq .) X V . 4 11. b.
Soupir , quart ifti-XIII. 672. a.
SOU P IRAIL 5 ( Hydraul. ) en quoi il différé du regard.
XIII. 9 11. b.
SOUPIRER , {Lang, franc.) C e mot pris dans un fens
aélif par pUificurs poètes. X V . 4 1 1. h.
SOUPLESSE , ( Gram. Moral. ) différence entre foupleffe,
adreffe, fineffe , ru fe, 8c artifice. I. 146. a. foupleffe d’ef-
prit. V . 399. b.
Souplesse ,{M a n eg .) de l’art de donner de la foupleffe
aux mouvemens du cheval. V . 630. b. De la foupleffe des
épaules. 759. a . b.
SOU RCE , ( Phyfiq. ) Des Agnes auxquels on peut reconnoitre
la préfence d’une fource. Efpeces de terreins & d’ex-
pofitions où les fources ne fe trouvent point. Suppl. IV.
816. a. Qualités des lieux où l’on peut efpérer d’en trouv
er. Indices par lefquets on s’affurera de l’endroit où une
fource paffe , 0« du réfervoir qu’elle peut s’èwe formé, Ibid,
S O U h. Différentes chofes qu’il convient de connoître avant que
de penfer à creufer la terre , pour chercher la fource Sc
la conduire où l’on veut. Maniéré d’employer la fonde
pour connoître de quelle cfpece eA la fource. Ibid. S iy.
a. DireéHons fur la maniéré la plus avnntageufe & la
moins dil'pendieufe de l’exploiter. Ufage de la fonde pour
trouver fa profondeur. Ibid. b. 11 importe beaucoup de fa-
voir de quelle nature font les couches au-deffus & au-def-
foiis de la fource. Efpeces de terreins où les fources fe trouvent
le plus généralement. Comment le fontainier doit percer
la galerie qui meneâ la fource, pour la rendre fùre.Ufages
de la fonde lorfqu’on cherche des fources dans une plaine.
Comment elle ell propre à en faire connoître la p rofondeur,
U Atwation & les couches dans lefquelles elles font cachées,
à leur donner iffue ^ 8c à les faire fortir d'elles-inèmes. Utilité
de cen inllmmenc dans les lieux humides 8c marécageux.
Ibid. 818. a. Moyen de fe procurer des fources artificielles
dans les pays qui n’ont pas de fource, parce que les premieres
couches de la terre font de la glaife ou quelque autre
terre forte , qui retiennent les eaux de pluie 6c les empêchent
de pénétrer dans l’intérieur. Ibid. b.
SOU RCE , {Hydrauliq.) difiérence entre fource 8c fontaine.
V I I .81. b. Formation des fources ScIontîiines.Suppl. IIF.
479. a , b. Recherche des fources. XIII. 849. a. Signes qui
peuvent diriger dans cette recherche. Suppl. 1. 46. a , b. SaL-
foiî de chercher les fources. 53. a. Imprudence de ceux qui
font chargés de la conduite des eaux, par laquelle ils ont
fouvent affoibli, ou même fait difparoicre une lourcc. V IL
93. J. Où fe trouvent les principales fources des fleuves.
621. rf. Les fources fc difiinguent, ou par les phénomènes
que préfente leur écoulement , 'ou par les propriétés des
eaux qu’elles verfent. Ibid. C ’eff à la propriété que la glaife
a de retenir les eaux, que font dues la plupart des fources.
700. a. Comment on connoit la quantité d’eau que fournie
une fource. VIII. 474. b. Réflexions fur ceux qui prétendent
découvrir les fources à l’aide d’une baguette de coudrier
ou de la vue Ample , qui par une propriété merveil-
leufe pénétré au travers de la terre. Suppl. III. 478. b. 479.
a , b. Voyei FüNTAlNE.
SO U R CIL , ( Anat. ) defeription des fourcils : leurs mouvemens
: leur ufage : fourcil, cartilage. Suppl. IV . 818. b. 5o«rci/, Variétés dans les fourcils. Suppl. II.X545. a. Leur defeription.
Suppl. IV. 107. a. Efpace entre les deux fourcils. X V .
913. b. Poudre dont les 'Turcs noirciffem leurs fourcils.
690. b.
SO U R C R O U T , ( Dicte ) efpece de choux préparé. Foyc^
Sauer-Kr au t .
S O U R D , ( Criciq.fac.) ufages de ce mot dans l’écriture.
X V . 412. /t.
So urd , ( Médec. ) voye{ Sur d it é . Cornet pour les per-
fonnesqiii ont l’ouïe dure. IV. 25 2. a , b. Jeune homme fourd
par defaut de tenfion du tympan. Moyen employé pour lui
rendre l’ouïe. X IV . 776. b. Quelques lourds entendent quand
on leur parle à la bouche. XI. 705. b. Pourquoi d’autres entendent
mieux quand on leur parle pardeffus la tète. Ibid.
b. Pourquoi les lourds entendent mieux au milieu d’un grand
bruit. X V . 876. a.
So urd , teflament d'un ( Jurifpr. ) X V I . 193. i .
So u r d , {Ariihm. ) nombre fourd. X V . 412. a. Racines
fourdes. Signes par lefquels on les exprime. Elles font fuf-
ceptibles des opérations arithmétiques. Les quantités fourdes
diltinguèes en Amples 8c en compofées. Réduire les quantités
rationnelles à la forme des racines fourdes quelconques
propofées. Ibid. b. Réduire les irrationnels Amples, qui
ont des Agnes radicaux différens, & que l’on appelle irrationnels
hétérogènes, à d’autres qui peuvent avoir im Agne
radical commun , ou qui font homogènes. Réduire les irrationnels
aux plus petits termes poffibles. 413. a.
S o u r d , couteau, {Corroyeur) X V . 413. b.
So u r d e , pierre , {Jouaill.) X \ . 413. b.
Sourde, lime, ( Serrur. ) Ufage de cette forte de lime, X V ,
913. b.
SO U R D IN E , celle d’une trompette. X V . 413. b.
So u r d in e , ( Horlog. ) piece de la cadrature d’une répé-
titicn. Petit bouton à la lunette de la répétition. XV. 413. b.
Sourdine , ( Luther. ) forte de violon , qui n’a qu’une
table. Petite plaque d’argent deftinée à éteindre le Ion du
violon. X V . 413. b.
So u r d in e , {Mujiq. ) la fourdlne donne au fon un ca-
raélere extrêmement attendriffant 8c trifte. On en fait ufage
avec un grand effet dans tous les orcheArcs d’Italie. Suppl,
IV . 818. b.
SO U RD O N , ( Conchyl. ) efpece de peigne. Defeription
de la coquille 8c de l’animal qui l’habite. Lieux où il fe
tient. Comment 011 les reconnoit. Comment ce coquillage
exécute fes mouvemens progreffifs. X V . 414. a.
SOURICIERE , ( Zjyerier ) fouricier» à bafcule , à natte
8c à panier. X V . 414. b.
SO U R IS , {Zoolog .) defeription de cet animal. Sa fc*
S O U s o u 699
c'Ohdité. Ses ennemis. Il paroît que les foiiris fuient les pays
inhabités par l’homme. X V . 414. l\
Souris , de lent cervelet. Suppl. IL 300. a.
So u r i s , ( Mat. medic.) Propriétés 8c ufages de la fiente
de fouris. X V . 414. b.
Souris rôties, ( Mat. médic. ) fpicifique contre l’incon-
tinence d’urine. XVII. 310. a.
Sou:is d'Amérique. X V . 413. a.
Souris , {Divin. ) divination par le moyen des fouris. X.
913. b.
So u r i s , queue de {Botan.) XIII. 707. b.
So u r i s , pas de {Fortißcat.) XII. 109. b.
So u r i s , ( Coeßeafe.) X V . 413. a.
So u r i s , de {.Ma'éch.) X V . 413. a.
So u r i s , ou founre , {P.hyßol.) mouvemens extérieurs
qui rannonceiK. Scs caiifes. Souris malin. Souris d’approbation
8c d’iniellig ;nce , 8cc. X V . 413. a.
SOU SA, prov//?ccde ( Gtqgr.) provinced’Afriq iie.XV.4 13.^.
Soufa. Capitale de cette province. Son port. Son terroir.
8cc. X V . 413. b.
SO U S -C L A V IE R , adj. (y(//;2t.) nnifcle fous-clavier. A r tères
fous-clavieies. Veines foufclavieres. X V . 416.
Soujeliviercs, artere 8c veine. V l l l . 270. b. Comment le
chyle parvient à cette \ i\ne, Suppl, l l i . 407. b. 8c s’y décharge,
Hl. 6y8. b. f99. a.
S O G S eO S T A V X ,mu fc le s ,{ Anat. ) VIII. 271. .1.
SOU SCRIPT ION , dans les fonds publics d'Angleterre.
Soiifcription de billets , lettre de change , obligation , 8cc.
Süufcrijîtion , dans le commerce de librairie. Obfervations
hiAoriques fur ce dernier ufage. X V . 416. b.
SO U SD IA C O N A T , ( Hiß eccl.) ordre très-ancien dans
l’églife. Ordination des ('otidiacres. Leur ancienne fonélion.
Du mariage d-e ces miniOres. X V . 417. a.
SO U S - f) !A C R E , {H iß . eccl.) conditions reqiiifes pour
'h v i {r.sis-diao-e, Defeription de la cérémonie de l’oidination.
X v . , j i - , J. Ses fonflioiis. Ibid. b.
S O l'A-Du MINA.NTE, {Maßq.) accord de la foiisdomi-
iiaor . 4»7.
So..-: iintra'it.. D e l'acception que Rameau donne à ce
r / 1\ 818. b.
AÜUA F cUMb., ( Finance de France ) partie du bail gêné-
•, f I La furiiie de diMiner les fermes au plus
onr.iiu- 'V.‘ . a n oüiiit en partie les augmentations prodi-
g i-ufe- qui fe A-m t ouvées Air les fermes. Mais d'un .lutre
çô-é , le- f u!«-fern’ -crs cm poité leurs fous - fermes au - delà
tic L-i:r i;;Ae \ aleur. D.fordrcs qui en rél'ultenc. XV. 418. a.
SOL';>-G.'\Ri -'L , nieces du AiAl. Suppl, ill. 139. b.
S-JUS-lNFÉODo'r;ON,(.Avriy/u-. ) Foyc^ INFÉODATION.
SOUS 'N D lv jD v J iT E , {H iß eed. ) celle qu'uiî
eccléfia iique avoii cIk z lui pour le foin de fon ménage. Cet
ul'ige • U'U toiKlatuné par l’églifc. Dé» le teins d eS.Cyprien,
d .s ti'.ies dcmcui'oionc 8c couchoient avec des hommes d'é-
güie , Si foiiténolenc cepsiulaiii qu'elles ne donnoient aucune
atteinte à leur chaA'tè. Plaintes dé S. Cypvien fur ce fujet.
Pourquoi CCS compagnes des cccléAaAiques étoient appellees
fo u s - i n i odu les. C e t ufage défendu par cUvets conciles , 8c
par les loix de divers empereurs. X V . 418. b.
Sous-introduite , femm.. L’égÜfe n’a jamais fouffert que des
vierges véctuTeir avec des eccléfi?Ai .ues. 1. 163. b. i66. a.
SOUS LO C A TAIRE , Jurifpr.) différence encre le fous-
locataire 8c le cdlionnaite du bail. X V , 419. a.
SO U S -M ÉD IAN T E , ( Mußq. ) De l’acception que Rameau
donne aux deux mots jous-mcdi.inie & j'ous-dominante.
Suppl. IV .818. b.
SO 'JS -M U L T lP LE , {Maihèm.) quantité fous-multiple.
Raifon fous-m..ltipte. X V . 419. n. Mul t ip le .
SOUS - O C C IP IT A U X , ( Ar..n. ) nerfs Aiués fous Tos
occipital. Leur defuipiion. X'V. 410. a.
SOUS-ORl>RE , oppojuion en { ju / f p r .)X l . 313. a , b.
SüUS-PERPEN D iCULAÎRE , {Géom.) ligne qui détermine
le point où r.ixe d’une courbe eA coupé par une perpendiculaire
tirée fous une tangente au point de contail.
XV , 419. b.
SOUSSIGNER, {Jurifpr. Comm.) maniéré de figner de
ceux qui ne fivcm pas écrire. X V . 420. à. Voyei^ Sig n a tu r e .
SOU S-TANGENTE . ( Geom. ) fous-tangeiued’iine courbe.
PropoAtioiv> geométriqueb lur cette forte de ligne. X V . 420.
a. Voyez T a NGENTE.
SOU S-TEN D AN TE , ( Géom. ) ligne droite oppofee .f un
angle. Valeur du quarre de la fous-iendante de l’augle droit.
X V . 420.
SO U STERRA INS, {Fortifie.) ufage de ceux que l’on
pratique dans Tinterieur de l ’épaiffeurdu rempart. En quels
endroits on les coiiAruit. X V . 420. b.
SovsTiKTKAln, {Hiß. nat.) fcux foiiAerrains. V I. 612. b.
Embrafeinens füuAerrains. X'V! 380. i . 58t. u. Fleuves fous-
t c irains. VI. 869. a. Ruiffeaux fouAcrrains. V IL 94. a , b.
Forets fouAcrraines. VII. 624. a. X. 92. b. 93. a. X V l. 469.
a. Routes foiiAerraintt. X IV . 413. b.
SOVSTEKRAJTl^E , géométrie, {Minéral.) V IL 638. a, F
vol. VI des pt. Métallurgie. ’
_ SO U S T R A C T IO N , ( y/'v/ém. ) régies de la fouAraéHon.
X V . 420. b. Comment fc fait fa preuve. Ibid. 421. a.
Süujlraélion des frjéi'ions. V i l. 264. b. Des fraétions décimales.
IV. 669. a. Preuve ce la fouAraélion. X IV , 193. b:
SouAraélion dans les calculs des conduélcurs des mines. VII ,
638. h.
So u s t r a c t io n , ( explication de cette regie. X V .
421. a.
Soujlradion algébrique. I. 676, a.
So u s t r a c t io n , ( ) fouAraélion de pieces, d'une
minute de notaire , de pieces dans uncprodiiélion. X V . a u . b.
SOU S -TR É SÜ R ItR d'Angleterre, ( Hifl. mod. ) quck
étoient les fonélions de cet officier. XV. 421. b.
SOU STILAIRE , {Gnomonia.) ligne droite fur laquelle
le Ayle du cadran cA élevé. Ëlle différé prefque toujours
de la méridienne. Le point où ces deux lignes fe rencontrent
eA le cemre du cadran. La fouAliairc repréfente l’axe de la
terre, 6c lui eA parallèle. Efpece de cadrans où la fouAilaire
8c la méridienne fe confondent. X V . 422. a.
SOUS-YF.UX -, ( Jardin. ) boutons placés au-deffous des
vrais yeux. Chaque année au printems le plus grand nombre
des fous-yeux avorte. X V . 422. a.
SO U T A N E , {terme d'églije) celle des papes, des évêques,
des cardinaux. Etymologie du mot. XV. 422. Soutane
que mertoit un geritilhomrfle à la Veille du jour où U
devoit être fait chevalier. Ibid. b.
Soutane : fes mandiettcs. Suppl. III. 760. a.
SO U T E , {Jurifpr.) ce que l’on donne pour folder ua
partage ou un échange. Maximes de droit fur ce fujet, XV.
422. b.
Soute {Marine.) XV. 412. b.
Soute, moyen d’en rcnouveller Tair. X V i l. 28. a.
SO U T E N A N T , {Blafon) animaux qui paroiffent foute-^
nir quelques pieces ou meubles. S’il fe rencontre une figure
humaine, ou quelque partie du corps humain qui fouiieiine
quelque piece, on fe fcit du terme de tenant. Suppl. IV.
SO U T E N IR , terme de nuifique, de marine, 8c de maré-
chalkrie. X V . 422. b.
Soutenir, Protéger, Défendre. {Synon.) IV . 734. b.
SOU TENU , {B lafon ) ufages de ce mot. Suppl. IV .
819. a.
SO U TH AM P TO N , ( Géogr. ) v ille d'Angleterre. Son origine.
Scs prérogatives. Nicolas F uller, favant philologue,
8c Anne , comreffe de 'Wincheifea , connue par fes v e r s ,
font nés dans cette ville. X V . 423. a.
S o u t h am p t o n , de {Géugr.) fa defeription. X V .
423. a. VaAe forêt à l’occident de cette baie, dans un lieu
où étoient autrefois trente-fix paroilfes que Guillaume le
conquérant détiiiifit. Ce pays éioit la demeure des ancien?
régnés, avant l’invaAon des Saxons. Château de HurA bâti
par Henri V l l i . Jbid. b.
SOU TH W ARE,ou Soudrik, ( Géogr. ) bourg d’Angleterre,
trés-confulérable. Obfervation fur fa plus belle églife. O uvrages
deGuillauine Sherlock théologien , né kSouihware.XV,
423. b.
SO U T IE N , Appui, Support. {Synon.) l. 339, b.
SO U V E N IR , Mémoire, Rcfouvenir, Réminifcence : dtiRk-
renccs dans la fignification de ces mots. X. 326. a. Différence
entre le füuvcnir Sc le reffouvenir. XI'V . 192. a. Des
facultés récordaiives. V I . 363. b. 364. a.
Souvenir, ouvrage de tableticr, voye^ les planches de cet
a r t , volume IX.
SOU V E RAIN S , {Droit nat. polit. ) origine des feu-
verains. X V . 423. b. But de leur établiffemem. Leurs droits
diAingués en deux fortes jc elu i de faire des îo ix ,8 c ] e pouvoir
de les faire exécuter. Difl'érentes limitations de la fou-
veraineté felon les circonAances. Quelque abfolue que foit
la fouver.fmeté , elle a toujours des limites naturelles.
424. a. Quand un foiiverain paffe ces limites, il devient un
dcfpote. Différentes formes de gouvernement, félon que la
foiivcraineté appartient à plus ou à moins de perfoniies.
Devoirs du fotiverain. Difpofition naturelle aux fouverains
à étendre leur pouvoir. Ibid. b. Belle maxime propofée par
le chevalier Temple à Charles IL Ibid. 423. a. Voye^lis
articles POUVOIR, AUTORITÉ, PUISSANCE, Su/ETS, T y r a n .
Souverain. Origine des fouverains. XI. 389. Deux caia-
ftere s , l’im particulier, l’autre public, fous lefquels le fou-^
verain peut être confidéré. III. 489. b. Des droits & pouvoirs
des fouverains. De leur clémence , III. 321. 6. & de leur
pouvoir. XIII. 233. U. Quels font les biens que le fou-
veraln peut aliéner. XI. 769. b. Il n’a pas le pouvoir d’aliéner
la couronne. X IV . 418. b. 419, a. Du droit de dif-
penfe attribué au fouverain. XVII . 769. b. Du droit de grace.
VU. 803. a. Des graces qu’il diAribiie, vo yq G r a c e s . Occa-
fions où le fouverain eA juge Sc partie. III. 489. b. Ses droits
fur les biens 8c fonds_de. fes fujets. V . 19. b. Le droit de