,4 ' '
îfi »
i .\ i '
: ! ii
I \
M
SN ‘i.l
548 QUA
épidémique. Catifcs de la fîcvre quarte. Ses prognoftlcs. îb'ui.
b. Sa méthode curative. Ibid. 674. rf. Obfervations cliniques.
Rédc-xions pariiculleres fur la fievre quarte continue. Ibid, b,
Qiurii , fievre, fpécifique pour cette maladie. XV. 445. .r.
Q uarte, {Jurijpr.) quarte fuivant l’ancien droit romain,
cioir la lécitime de droit. Quarte de rauthentinue pratercù.
XIII. 675. .r.
Qujrte c.monique ou funéraire, ce qui crt dû au curé du
défunt lorfque' cd iii-d meurr fur fa paroilfe, & doit être
enterré ailleurs. XIII. 67^.
Quarte double. X llI . 675. a.
Quarte filcidic, quart que l'héritier a droit de retenir fur
les legs, fuivant le droit lomain. XIII. 675. u. Dift'érentes
loix qui reifreignirenc la liberté qii'avoicnt les celhteurs de
léguer leurs bieiiS autant qu'ils le jugeaient à propos. Eclair-
cilfemens fur la nature de la falcidie. Diverfes maximes
de jurifprudence fur ce fujet. Amours à confultor. Ibid. b.
Quarte trébdliantque, qu.itrieme partie do la fiiccenion
que l héritier a droit do retenir, lorl'qu'il d l grevé defidei-
commis , foit pour le tout «11 pour partie. XIH. 675. b. A
quelle occafioii la quarte trébellianique fut établie. Eclair-
cilîémens fur l.i maniéré dont elle a lieu. Ouvrages à cou-
fulter. Ibid. 676. a. Voyeq_ T r ÉBELLIANIQUE.
Q uarte , ( Mefure) mdiues de ce nom en ufage à Venife.
X l l l . 676. a. Mefure dos 1 iqueurs qui fc nomme en plu-
ficuis endroits quanoc ou pot. Mefure de grains particuliérement
en uiage ù Rriare, & en quelques lieux de l'Alfaee
&. do la Lorraine , 6cc. Ibid. b.
Q uarte, troifiome confonnance parfaite. Quarte
diminuée. Qu.ine appciiée triton. Accord qui porte le nom
de quarte ûi de quinte. Ufage qu’oii doit faire des quartes
dans la compofition. X l l l . b.
Quarte, la plus imparfaite des confonnances. Dans pUi-
fieiirs cas elle eft vraiment diObnaiue. Suppl. IV, 558. a.
Régies fur l’iifagc de cct accord. D e la quarte diminuée. Ibid. b.
Q uarte de natytrd, {Luth.') jeu d'orgue. XIII. 676. b.
Q uarte , efiocade de (Ejerirne) maniéré dont elle s'exécute.
X l l l . 676. b.
Quarte, parer en , maniéré d’exécuter cette parade. X lll.
677. a.
Quarte bajfe, ejlocade de, comment on l'exccute. Maniéré
de parer en quarte balTc. XUI. 6-7. a.
Q U A R T E N îE R , {Eoltee) eh’.cier prépofé fur un des
quartiers de Paris, XUI. 677. a. M.igiftrars qui faifoient à
Kome lesfonélions de quiirtonitts. Origine de la divifion de
la ville do Paris par qu.irtlers. Augmciuarion du nombre de
CCS quartiers à mefure que ccito ville s’aggrandit. huppref-
fion dos quarteniers, faite par Charles V I en 1382. IbiJ. b.
Leur rotablilicmoni en 1411. Suite de l’hifloire de ces officiels.
Diipoiitlons des cliifércmes loix qui les concernent.
Ib d. 678. a , b. Emiméracion des feizo quai tiers auxquels Ibnc
prépolés feize quarteniers en titre. Details fur la nature de
leur office & de leurs fonélions. Ancienne formule de forment
qu’ils prêtoient à leur réception. Ibid. 679. b. Les quar-
leniets troublés dans leur office par la l'aéLon des feizo qui
Le forma en 1589. Défordres que certc faflion commit dans
Paris. Les principaux de tes féditieux punis en 1591 , par
le duc de M.ayenne. Services que les quarteniers ont rendus
à quelques rois do Franco d.ms certaines occafions importantes.
Ibid. 680. a. Fonâioiis des cinquanteniers & clixiii-
iiiers , qui font des officiers fournis aux ordres des quar-
teiiiers. Ibid. b. Officiers établis pour les compagnies de milice
bourgeoife de Paris. Part que les quarteniers ont à l’clec-
îion des prévôt des marchands & échovins. Ibid. 681. a.
Lirtes des quarteniers qui ont éré confervéos, bc par Icf-
qudles on voit que les quarteniers out l'avantage de par-
%'enir à l’échevinage. Ibia. h. Autres privileges de ces officiers.
D iv -r , offices qui ont éto unis à leurs offices de qiiar-
teniers. Ibui. 682. a. Détails lur les didérentes fonélions de
leur charge de celle de cinquaiucnier ik dixainier. Ibid. b.
Suite do leurs drous , privileges , frandiifes & exemptions. Ibid 683. a. Auteurs à coi',fulter, Ibid. b.
Q U A R T E N SlS LOCUS , ( Géorr. ) c’eft Quarte-fur-la-
Sambre , dont U a v a y , ehef lieu voifm , elb à quatre lieues
gauloifes. Suppl. IV. 338. A
Q U A R T iirJ l, {Ajtnm. ) premier, fécond, dernier quartier
de la lune. X lii . 684. a. Uoye^ Dichotomie, L issec-
TiON 8c Q uadrature.
Q uart ier an^lois , {A flo n . n.mùq.) inflrumeni qui fert
à ])rc.mirc la li.iineiir du loleil. Sa defeription & fon ufage.
Moyen de trouver par lui la hauroiir méridienne du IbLil
6t 1 mflant de midi. X ill. 684. .;. I,)iverfes corrcéfions faites
à cet infiniment. Ibid. b.
Q uartier de rèiuElion , (M.irine) innrumem qui repré-
le quart de l’horizon , avec fem lequel on rélbut les problêmes
du pilor.ige par les triangles femblables. Manière de
je conflruire. £n quoi confifteiu les problèinfiS du pilotage.
Q U A
Moyen de réduire par cef inflrumem les lieues mlneuVft
en lieues niajeiircs. XIII. 683. a. Ouvrage à confulrer fur
les problèmes clu pilotage. ConnoilTant la différence en latitude
du lieu du départ ii celui de l’arrivée, 8i le rumb de
vent qu’on a fu iv i, on demande la longitude du lieu où
l’on eft. Solution de ce problème par le quartier de réduction.
Cemment on peut connoître en même tenis le ehe*
min qu’on a fait. Ibid. b.
Quaitier de rédutlion repréfcnté vol. V IL des planch. Marine
, pl. a i.
Quartier de réficx’on. IV . 81. a , b. Scc.
Q u.artur fpheriquc , ( Marine ) Ufage de cet inftnimcnf.
Ouvrage à confulter pour en connoître la conllruéfion. X lll.
686. .r.
Quartier fphèrique , repréfcnté vo!. V IL des pl. Marine,
pl. a i.
Q uartier maître. ( Marine ) Fonélions de cet officier. X III. 686, d.
Quartier-maître , ( Hiß. mod. ) FonéUons de cet officier,
X lll, 689. ,7.
Q uartier, {A--t. milit.) Lieu occupé fiar un corps de
troupes pour y camper ou loger. X ill. 686. a.
Quartier, meubles que l’iiôce tloji fournir aux foldats qui
font chez lui en quaitier. XVII . 323. b. Différence entre
quartier d'hiver éc g.irnuon. VU . 317. *7. Précautions à prendre,
lorfque les troupes fc retirent en quartier d’hiver. Suppl.
II. 16a. a.
Quartier du wi ou quartier ßcner.il, lieu qu’il doit occuper
, vo ye z Suppl II. 130. h. 131. b. Quartier de la droite
^ quartier tie la gauciic. Tous les généraux devoien: camper
au nil'ieu de leurs troupes, pour être à portée de leur
communiquer leurs ordres. X lll. lS 6 .a . Lorl'qu’il fe trouve
des villages d.ins l’intervalle des lignes, c’eft alors feulement
que les genéra;:': pourroient s’y loger fans inronvénient.
Un de leurs principaux devoirs eff de donner aux troupes
l’exemple de toutes tes fatigues militaires. Quartiers de caii-
tonnemens. Quartiers de fourrage. Quartier d'hiver. Ibid,
b. Quartiers des troupes dans les places. Confidérarions qui
engagent un général à différer de prendie (è> quartiers.
S.ùfon à laquelle on prend ordinairement fes quartiers.
Regies à obl'erver dans le choix d’un lieu convenable pour
y prendre fes quartiers, Si dans la maniéré de s’y maintenir
en sûreté. Ibid. 687. a , b. Comment Cé fir prit fes quartiers
dans les Gaules pour ét.-e en état de s’y foutenir contre
l’ennemi. Troupes dont chaque quartier doit être co.mpofé.
Communications qu’on doit inainteii'r entre les diltéicns quartiers.
Contrilnitiou.s qu’ou exige d’un pays ennemi qu’on ne
peur pas préfumtr de garder. Ibid. 688, a. Efpions qu’il faut
entretenir, pour comioitre & fa'me manquer les diil'eiiis de
1 ennemi. Occafions dans tefquelles les quartiers font expofés
à être attaqués 8c enlevés. Ouvrage à confulrer. Quartiers
dans un fiege. Les differens terreius ou quartiers des troupes
dans l.i circonvallation , doivent avoir emr'eux des communications
sûres & commodes, pour fe foutenir réciproquement.
11 n’ei'i point d’ufage aujourd'hui de fortifier aucun
quartier particulier dans les lignes, fi ce n’cfl quelquefois
celui du général; mais ou n’y mnnquüit point du tems
dos princes d'Orange, 6c dans te comm-'iicement du regn»
de Louis X IV . Ib'd. b. Réflexions fur cette différence de
contluite. Ce qu'on entend par quartiers d’été dans les pays
chauds. Quartiers d’affemblée. Qu.irtiers de rafraîchiffemeiiti
Demander ou donner quartier ; origine de cette cxpieffion.
Ibid. 689. a.
Q uartier,(////?. mod.) canton ou divifion d’un? ville.
XIU. 689. .î.
Q uartier , ( GAtéj/. ) écu d’une famille noble , qui dans
un arbre généalogique fert de preuve. Origine du mot quartier
pris dans ce feus. Suppl. l'y . 339. a.
Q uartier, defeente, ( Gcnéalofie.) Un homme eft réputé
de bonne nobleffe , quand il prouve quatre quartier,«
du côté du p ere, & autant du côté de la mere. Pour entrer
dans certains chapitres d’Allemagne, il faut faire preuve de
feize qua-'iiers , tant du côté paternel, que du côté maternel.
XIK. 689. b.
Quartier. Nobleffe de quatre quartiers. XI. 179. a.
Q uartier , ( Bl.zfim ) partie de l'écu. XUI. 689. b. Voyei
Ecartelé, Franc-Quartier.
Divilion des écus en dlfférens nombres de parties
quarrées ou quartiers. Ordre à fiiivre en blafonn.ini les
qu,artiers. Suppl. IV . 33S. b. Pourquoi ces parties de l’écu
ont étéaiiifi nommées. Ibid. 339. .7.
<2i7.7/-7/tT, pennon tie tremc-di.ux quartiers, repréfemé vol.
II. des pl. Dl.ifon, pl. 20.
Q uartiers , {Archit. génér.) partie d'une ville. XIII.
689. b. J
Q uartiers de Rome, ( Littér. ) ou régions de Rome. Premiere
divifion do cette ville en quatre quartiers, 6c enfuite
en quatorze, fous .ôugufie, Commiffiircs qu’il ér.ibüt à chacun
de ces quaj-tiers,‘c<c dont le nombre fut augmenté par
Alexandre-.
„!> ■; !
■ I
Q U A
AlexanJre-Sàvere Nombre des rues contenues riens ces qii;
torze regions. XIII. 689. b. R ue s, places, édifices 6c aiure
.nomim.ns qm croient renfermés dans duieun des quartier
de Rome./iirt/. 690. a ,b . ’
Q^miersde Rome. Divifion des quartiers de la ville fous
les Cefars. IL 641. u , b. Us articles R ome 6c R é
GIONS.
Quartiers d Athènes, voyer^ l’article A thenes.
quamtrs d, P eru roy<; l'arride Paris : officiers propo
fes lur ces quartiers. X l l l . 677. a , b. 6cz. ^ ^
Q uartier, (.drc/ril.) Quarricr rie voie. Quartier de vie
' ’9 '- Donner quar-
Q uartier. X l l l . 692. b.
Q uartier ( ( .0 ,™ .* bois)ÿo\s de ciiianiet. Eclialat de
quartiers. X l l l . 692. b.
Q uartier drefiér un,{Corroycur) XIII. 602 b
Q uartier, {Marie!,.) Défaut des quart.orhlu pied d
Cheval. Laire quartier neuf. XIU. 692 b
J ï S Z l n U . (oibic. Quarrier
Q uart iers i ’éj/iit. ( ru7'//r/7r') XIII 602 h
Q U A R T O -D E C IM A N S , ( i / , . „ c i f hérériqncs qui
cnlergnoient qu on devoir toujours célébrer la piqiio le qua
roiTiemejour de la lune de mars. Affaires entre é- pajre v la ô r
& les Afiatiqnes Cur ce fnjer. Le jour de la célébiation do
la paque fixa par le premier concile général de Nicée On
appclla quarto-decimans ceux qui retuferent de fe confer
mer au decret de ce concile. XIII. 602. a
(M /l. rom. ) officier de la monnoic
IWcda.lles romaines qu, four connoître rinflitution de ce;
T révirs Monétaires.
caillou, &c. X l l l . 6 9 ,. U. Neu f d.fféreures efpeces de quarrz.
formation d ecetie forte de pierre. Quartz tran(j,arent. Quarrz
le plus commun. Forme dans laquelle le quartz fe cryttallife.
Circouflances qui lemblem prouver que cette pierre cil de
meme natm e que le cryftal de roche. Lorfqu-elle eft opaque
, elle ne cryllalhle pomr. Les mineurs regardent le
quartz qui a le coup d'oeii gras, comme un indice d’une
Qtiarif. Différence entre le quartz & le fpath. X V aao
U. Quartz tnmfparenr. IV. 525. t. Efpece de quartz , appelle
eau ou-cryftal. Sappl. U. 109. b. Comment 0.1 obtient
l or enveloppe dans le quartz. XL ,22 . b. Cryftallifaiions
de^ quartz. Vol. IV . des planch. Cryflallifat.ons , planch.
Q U A S T -CO N T R A C T . (/«ro/pr.) Sapp! I b
^ Q ‘J A S J E .{ Z a U o ,.) i / ù L l I i ’sa p p p n .
8 L A T L A L A T Z m ” 7 B " ’ vcycî T etractis.
I orbre de la nouvelle E f - '
pagne, ba dclcnpnoii. Ulage qu’on en trre. XIH. 60a. a raver Q uauhavohuatli. ^ ^
Q U A TR E . Quatre pour c en t , droit qui fc paie .i Lyon.
Quatre lois pour liv re , impofuion mife en trance, X l l l
694. b.
Quatre. Propriétés de Ce nombre, felon les pythagoriciens.
XI- 205. b. ®
^ quatre-coins.
. Q '-^^U^^-NATIONS, (Lit/ér.) college fameux dansl’u-
myeilite de P an s , fondé en i6 6 i par le cardinal Mazaiin.
Ub)ct de ce college. Ion gouvernemem, fon entretien, & c
lems auquel on y ouvrit les dalles. X I I I .693..7.
Quatre-Natiuns. Compartimens du i)avé de l’éalife 'V’ol V
des pl. Marbrerie, pl. 7. fa • •
Q U A T R E -T EM S , (Mtfi. eccl.) Jeûnes de l’églife dans
les quatre faiions de 1 année. Ils étoient établis dés le tems
c y Leon, L obfervation de ces jeûnes n’a pas ioujour.s été
umformc dans les églilcs d’occident , pour ce riui regarde
le tems & les joins de leur célébration. XIH. 695. u Rut
dclctabliffemcnt de ces jefmes. Nom qu’on leur donnolt en
Angleicrrc. Les Anglicans ont deftiné les quatre-tems à l'ortli-
nation des pretres & des diacres. Ibid. b.
Quatre-tet.
Q lllA TU O R,{M ufiq.)attcm ion que le quatuor demande
de la part du poete. Pcrfomiages de la piece qui doivent
Icxecuter. Obfervations lur la nature des accords qui cn-
i ent dans le quatuor. Comment on peut trouver tiuairc
cliants qui expriment im femiment, & qui pourtant s’accor-
.n L m a , . ’' S ” 7 ' “‘ ‘“ ’ Vra. qu.aruor ,„f-
' > ( Gouvern. rom. ) Cétolt quelquefois
a des quatuoryirs qu <>n donnoir la charge de conduire les
Tpoourr vveli lSlerr ' à. 1U entretien des chemins. X i l l . 693q uba.ruorvus
Q uaTUOrvirs noüurnes, ( PAice de Rome )XHI. 696. i7. Lvme 11. ' ^
Q U E ,49
.i ïïï:r;IS ,rî> S ïïii::‘- r revenus publics. XIII. 696. .7. QUA 1 ZALCÜATl, ( Hifl. mod. Superfi. ) nom que les
Mexicains donnoicnr a la divinité des marchands. Com-
niun ils la rcpreffimoient. Temple & ffatue qu’on lui avoir
hXffrorxn’rijff'ut^” '’°'“ "“''- ’ “’°"
llnay8o8utbh.8 X(1m/1.' ^'^;' "‘"’zf”'-) Quaiicop.iltic - xixio. Quau- 696. „. Quaul.yac. Qnauticonex. Arbres de
la nouvelle Elp.agiie , du Mexique k des Indes, dont on
etrno utviree IeCnI lemsé ddeecicinnep.u oIbnisd . impart’,.ires , Scies ufages qu’on b. ^ ^ «rm
ffimQeUntE dBeE CQ ue(b Gece.o gSra. ) ftvmilalen odn’.A mEné ri1q7u4e4. , Pler etmheierrm oémtaèbtlrife-
adiei -Rdeelafuctmisu rd ud etfeeremnde n dae Qlau gelbaecce . aXuI ItIr.e ndtqeé-.t roi.ificme degré
y«céec Hiftoire de cette ville. Suppl. II. ,66. a, b. Nom
bq.u eC olensf elial udvea gQesu edboencn. enIVt .a u1 6g.o uav. erneur de Qvcu ebec. 16/7.
QUEDA, (Grogz.) royaume d’ASe. Obfervations fut
lmese rchea.b itXanUsI .P 6o9p6u,l ation du pays. Ses prodtiaions. Son corn- b. QUEDLINÜOURG , ( Géogr. ) ville d’Allemagne. Obfervations
fur fon abbaye. Ouvrages de Jean-André Que-
fnuolttecdr t furt hceétotleo gviielnle,. XnéI II.à 6Q9u7e. dalu. ibourg. Ouvrag“e à coil-
valEe^™pf ^ ^ " “°
j•e étif. Xlll. 434. ’b.^ fur cet ad-
j■ ectif. Afll. 433. a. Objeflions fur cct adpUELLINS,
{Artus) fculpteiir. XIV. 832 b ■ QUELPAERTS, {IJle VIII. 924. a! je éhf & fur Ion ufage. I. 730). aO. bXfeIrIvI.a taioenes. afu.r cet ad- i■ cétif. Xlll. 433. ,1. Obfervations fur est ad-
IcuQl'eU , EeNn OteUrmILeL dEe, epnê ctheer.m eX ldlle. c6o9rd7.e ric , en terme de fi- b.
quQi euffe unnoeu eillplcece/u üdves îagici.c u(is?, oX7.I I)I .D e6f9e7r.i pbt.ion de cette plante
QUENSTEDT, théologien luthérien. XIIL 697. b.
QUENTEL, (P/rr/’O imprimeur. VIII. 628. b. QUENTIN, Saint-, {Géügr.) villç de France en Picardie.
Cette ville eft l’ancienne Augufla Vermanduorum Révolutions
de S. Quentin. Origine de fon nom. Ouvrage à
confulter. Journée de S. Qiieniin, en 1337. Obfervations
ffir les ouvrages de Charles Gobinet, doélcur de Sorbonne:
Xlll 6t S d Acheri, benédiétin , nés à Saint-Quentin.
QUERASQUE. {Géogr.) C/ierafeo, ville d’Italie. Ob-
lervations hiftoriqucs lur cette ville. Son état piéfent XUI
698, b.
QUERCERELLE, ou Crejferellc, {Ornithol.) Remarques
lur ce que Pluie & Ariftote ont écrit de cet oifeau. Ani-
maux dont il fe nourrit : fcrvice qu’il rend aux laboureurs.
A lU . 698. b. Voyei C récelle 6c Sarcelle. QUERCY le , ( Géogr. ) province de France, Sa divifion;
vSiensc vei.l leXsI IpIr.i n6c9ip8a. lebs. . Scs produaions. Hiftoire de cette *pro730Q.
UbE.RELLE , Dlfpuic, Difiercnd, (S'y/ie/i.) Suppl. II
Q u erelle, Sergent de, {Jurifpr. ) XV. 91. b.
Q U E R N FU R T , ( Gctig-r. ) ville d'Allemagne. Principauté de même nom. XIII. 699. u. Obfervations fur la vie &
les ouvrages de Seth Calvifms, célébré chronologifte, né
dans un bailliage de cette feigncuiie. L’index e.xpurgatoire
ces Minaddicreisd , exlep umrgiatt oaiure sr.a nIgb idd.e .sb .hérétiques. Réflexion fur QU^'^^^UNNESE. ( Gregr. j/ic. ) Querfonnefe cimbrique.
Elle croit autrefois plus confidérable que de nos jours. Caufe
jjaroît avoir porté les Cimbres à qtiitrer leurs terres pour
.'cpandrc dans l’empire romain. Querfonnefe d’or. Quer-
fonnefe taurique. Querfonnefe de Thrace ; XIII. 7^. a. hiftoire ancienne de cette prufiqu’idc. Décret des peuples de
la Querfonnefe de Tlirace jiour ériger un autel à la re-
connoiffance, 6c un autre aux Athéniens, eu mémoire d’un
bienfait qiiils en avoient reçu. Ibid. b. Payez C herson-
jese 6c Pr e sq u ’isle. QUESNAY, ( François ) médecin du roi. Sa doéirine
r les crifes. IV. 483. a, b. Son traité des fièvres. VI.
.2. b. Obfervation fur fes ouvrages, é'iipp/. IV. 338. b. : QmUerE SquNeE l,a F{rAabnrcaeh aamit eduse.) Suunp pdle.s Ilp, lu3s3 .g rba.nds hommes
Z Z Z z z z