il
^ C3':
{ I
614 R U B Tes, z z . l'iîcoml royaume de Macédoine , 23. fécond royaume
d'Ej’ ypce , 24. de S y i ie , 15. de Pcrgamc. IhiJ. 421. a.
R o y aum e s du monde, {^Hijhmod.') obfervations liirtori-
ques fur les royaumes d'Afie. La Chine. Le Japon. Royaumes
de rincle. La Perfe, L’Arabie. La Turquie en Afie. La
Turquie en Europe. Sur les royaumes de l’Europe, voyez
leurs articles particuliers. Principales parties de l’A frique.
Ignorance où nous fommes fur les anciens royaumes de
l'Améiique. X IV . 421. b.
R O Y A U T É , {^Droh polit.) fou origine. X L 369, *2, b.
373. b. De 1.1 réunion & de la rivalité du facerdocc avec
la royauté. SACERDOCE.
R O Y A U X (/fry?, mod.) voyrç RÉGALIENS. Droits
royaux d’une eglife. Rc^.tlia fc prend quelquefois pour le
patrimoine de l’églife. Origine de l’ufage de la régale : félon
Ducange , on appelloic des héritages en régale, tes biens qui
étoient venus aux églifes par la conceOion des rois. Autre
acception du mot regalia. X IV, 422. a.
Royau.x , c.ts royaux. IX. 16. j . Deniers royaux. IV . 827.
a , b. Effets royaux. V. 406. a. Fellins royaux. VI. 539. b.
Lettres royaux. IX. 4 ^ . a , b. Sieges royaux , voye^ SiEGE.
Papiers royaux. XI. 862. i . il-
R o y a u X ( C'Ayr/uV ) X IV . 909./.
R O Y E , {Géogr.) ville de Fr.ance en Picardie. Obferva-
tions fur cette ville. Elle fut la patrie de Jean de Popain-
co iir t, premier préfident au parlement de Paris. XIV. 422. .1.
Roye: Heu dans fou voifinage que l’on prétend avoir été
autrefois un c.amp de Céfar. Révolutions de cette ville.
Squelettes remarquables trouvés en réparant le chemin de
Roye à Montdidier. 5«/’/’/. IV. 688. b.
ROZIERES, {Géogr.) voyei R o .sieres.
R U
R U A R U S , (M.jriimis) obfervations fur ce favant S: fur
fes ouvrages. IX. 138. b.
RUBAN d'eau, {B ût.) caraflercs de ce genre de plant'e.
X IV . 422. b.
R u ba n , ( InfeRoî. ) nom d’un v er du corps humain.
X IV . 422. b.
R u b a n . {Conchyl.) X IV . 422. b.
R u b a n . {Archh.) X IV . 422. b.
R u b a n . (Cirier.) X IV . 422. b.
R u ba n ou nonparcïUc. ( ÉcntKre) X IV . 422. •'
R uba n A pcmujue. {Perruquier) X IV . 422./.
R u b .an des canons des miff'els. {Relieur) X IV. 423. a.
R u b a n , {Rubanier ) differentes fortes de rubans, & leurs
iifages. Comment fc tlifenc les rubans. Etat de la rubanerie
en France. X IV . 423. a.
R u ba n gaufré, { A n s & Métiers) ancienne maniéré de
gnuffrer les rubans. Dclcriptioii de la machine qu’imagina
jjoiir cette opération un nommé Chandelier. Maniéré dont
il s’en fervoir.X IV. 423. a.
Ruban .appcllé ncnpareille. XII. 131. b. Rubans ponceaux
d'Angleterre. XIII. 14. a. Ruban galon, ou bord. II. 332.;?.
R uba n de fatin. {Rubanerie) X IV . 423. b.
R u b a n . {Blafon) X IV. 423. b.
RU BANIER , de la communauté des maîtres rubaniers de
la ville de Paris. X IV. 423. é.
.fiüiid/tifr, métiers de cet art ,voy^{ M étier. Moule à frange.
X. 789. b. 790. a. Cognée. III. 605. ti. Corde à encorder. IV.
a i I . Co ut e a u à velours. 408. ?>. Dé. V . 17 ./ . Deffius des
tiffutiers-rubaniers.IV.8Q2.it, b. Epingle. V . 808. <t. Navettes.
XI. 30. b. Patrons. XII. 183. a. P'abrication de différentes
fortes de retords. XII. 132.(1. X V I .423. <1.Ouvrage de ruba-
ucrie contre-marché. IV . 13 7 .it, b. Opération de devider.
ÏV . 909. a , b. Imitation de toutes forte.s de rieurs. V I. 860.
b. Opération de mettre le clinquant. 111. 337. a. Celle
de frapper. VII . 289. a. Détail fur le paffage des rames de
glacis. VII. 694. a. Defeription de l’ourdillnge. XL 7 1 1 . b.
712 . U, b. 713, it. Opération de fonder, X V . 3S9. b. X V I.
423. a. paffer fur un pié , X V , 697. b. tramer fin. XVI. 338. i.
Travail du ruban nonpareille. XII. 13 i. é. Planches du niba-
itier au nombre de vingt dans le vohiine XI.
RU BEF IAN S , {Mat. medic, r.vw/i.) X VII . 196. u, b.
R U B E N S ,( peintre célébré. V . 316. a. Suppl.
II. 230. a. Ses payfages. X fl. 213. a. Comment il favoit
tirer parti du fond de fes tableaux. V i l . 33. a.
RU BI, (Gfogr. ii/ic.) petite ville d'Italie. Paffage d’Horace
où il en cft parlé. Efpecc d’ofier qui croiffoit dans fon
territoire. X IV. 424. a.
R U B ICO N , {Geogr. une. ) riviere d’Inlie danslaRoma-
gne. Vers de Lucain fur cette riviere. Son nom moderne. Il
n'étoit pas permis aux foldats ni ii leurs chefs, nu retour d’une
c.xpèdition , de paffer celte riviere avec leurs armes, fans le
confeniement du fénat & du peuple romain. Infcription qui
portoit cette défenfe. X IV. 424. u. Paffage du Rubicon par
Céfar. Ibid. b.
Rubicon : de cette riviere par Céfar. X V I I . 477. a.
R U D Terreur que ce paffage répandit dans Rome. XII. 480. b;
RUBIER A , ( Grogr.) ville d’Italie dans le Modénois. Obfervations
fur la vie & les ouvrages d’Antoine Urceus, né dans
cette ville en 1446. X IV . 424. b.
R U B IG A L IA , {Hiß. anc.) fête que les Romains célc-
broient en rhonneur c!u dieu Rubigns, ou de la déeffe Rubigo.
Inflitution de cette fête. Teins de la célébration. Sacrihee
qu’on offroit. X IV . 4 2 4 ./ . R ü b ig a le s .
RU B IS , ( Hiß. nat.) variétés dans les rubis par rapport à
leurs teintes plus ou moins foncées, & à leur figure. Etat
dans lequel on les trouve. Lieux d’où on les tire. Expériences
faites fur le rubis par le moyeu du feu. X IV . 423. u.
D e toutes les pierres préciciifes de couleur, le rubis eff la
plus difficile à trouver dans fou degré de perfeélion. Qualités
que doit avoir un rubis parfait. Sou prix l’emporte fin
celui du diamant. Ibid. b. Quatre difiércutes cfpecos de rubis
que l'on diftiugue aujourd’hui. Pourquoi les anciens ont peu
gravé fur le rubis. Taille qu’on donne préfentement à cette
pierre précieufe. Moyen qu’on emploie pour relever la couleur
du rubis monté. Ibid. 426. a.
Rubis, différence entre le grenat & le rubis. VII. 940. u.
Cailloux de Boheme au centre defqiiels ou voit des rubis.
X îl. 394. a. Transformation des topazes du Brcfil eu rubis.
XVI. 416. b. Expérience chymique fur le rubis. XII. 394. b.
395. a. Effet du feu fur le rubis. Suppl. II. 7 1 1 . b. Moyen de
contrefaire cette pierre précieufe. VH. 940. a. XIV. 403. u , é.
R u b is fur la peau, {Médec.) pommade pour les guérir.
II. 302. b. VoycT^ C utan ées , Maladies.
RU BR IQ U E , {Hiß. ccd.) deux fignifications de ce mot.
Rubriques générales 6c rubriques particulières. Origine du
mot rubrique. Grande rubrique pour la célébration de la
pàqtie, preferite par le concile de Nicée. XIV'. 426. b.
Rubrique,Gtymo\ogps de ce mot. VII. 999. b. X V . 213. u.'
R u b r iq u e , (///y?, nat.) terre fmopique. X V . 213. a.
RU BR U Q U IS , cordelier. Obfervation fur la relation de
fes voyages. Suppl. IL 163. b.
RU CH , ( Giogr.) bourg de l’Agénois. Moniimens trouvés
dans ce lieu. Raifous qu’on a eues de croire que le poète Aufone
avoit en cet endroit une maifon de campagne. Suppl. IV. 688. b.
RU CF IE, {Econ. rtißiq.) differentes fortes de ruches.
Celles de paille font les meilleures. Maniéré de faire des
ruches de planches. L’iifage de celles de poterie Gondamné
par bien des gens. Dimcniions des ruches; des grandes, des
moyennes &. des petites. D e la conflruélion des ruches d’o-
fier, de troefne, ou autre branchage. De la maniéré d’affeoir
les ruches. X IV . 427. a. D e l’ouvemire qui fert aux abeilles
d’entrée dans la ruche. Manière de difpofer les ruches quand
ou a une grande quantité d’abeilles. Ibid. h.
Ruche, v o ye z l’article Mouche à miel. X. 770. b. — 774. a.
Arrangement & travail des alvéoles dans la ruche. I. 306.
a , b. 307. a , b. Obfervations fur la maniéré de partager les
ruches, d’en mettre de neuves, telle qu’elle eft pratiquée
fur le mont Hymctte en Attique. VIII. 394. b. Comment
on juge qu’une ruche eft en état, 6c qu’elle eft fur le point
d’eflaimer. V . 994. a. De la fortie des effaims de la ruche.
Ibid. b. Moyeu de les y faire rentrer, ti’/i/. & de les engager
à demeurer dans la ruche. 993- a. Quantité de cire
qu’une ruche fournit annuellement. Suppl.W. 433. a. Efpece
de ruches qu’on trouve fur les extrémités des branches d’une
efpece de fnpin. XII. 432. a.
R U C T A T IO N S , {Médec.) voyez R o t s.
RU D B E C K , {Ola'ùs) profeffeur eu médecine à Upfal.
XVII . 602.U. Anatomifte. S u p p l . 397. b. Suppl. IV . 330. b.
RU D D IR EN , Rutren ou IJfuren {H iß . mod. 6* Mythol.)
un des trois dieux du premier ordre qu’adorent les Banians:
fes affociés font Brama & P'ißnou. Différens noms qu'on lui
donne. Fiélions des Indiens fur ce dieu. XIV. 427. b. Son
culte. Trois feâes dans l’Indoftan coufacrées à Ruddiren.
Ibid. 428. a. Foyei' LiNGAM.
R U D E , Severe, Außere, {Synon.) I. 892. b.
R U D EN T ER , ( cannelures rudemées. Colonnes
ou pilaftres qui exigent de tels oruemens. Regies fur l’ufage
des rudentures. Suppl. IV . 689. a. Vuye'^W. 600. a.
R U D E R A T IO N , {Archit.) parement fait avec de petites
pierres. Maniéré de le faire. X IV . 428. a.
RUDESSE de la furface d’un corps. {Phyßq.) I. 361. a.
R U D IÆ , {Gèogr. anc.) ville d’Italie. Elle fut la patrie
d’Enuius. Obfervations fur la v ie , les talens, le caraélere 6c
les ouvrages de cet ancien poète latin. Epitaphe qu’il fit pour
lui-même. X IV . 428. b. H a aufli donné fon portrait, par
lequel on peut counoitre fon f ty le , 6c le vieux langage de
la langue latine. Autres vers de cet auteur, qui montrent
qu’il avoit de grands fentimens fur i’cxiftcnce d’un feul être
fuprème, 8c qu’il n’ajoutoit pas la moindre foi à l’arc prétendu
de la divination. Ibid. 419. Editions qu’on a faites
des fragmens d’Ennius. Ibid. b.
R U D IA lR E , { A n gymn.) nom du gladiateur renvoyé
avec honneur , après des preuves de fa force & de fon
adreffe dans les fpeflacles de ramphithéatre. C es gladiateurs
R U M retoaruoient fonvent dans l’areuc pour de l’argent, 5c s’ex-
pofoienr aux mêmes dangers. Combat de rudiafres donné par
Fibere. X IV . 429. b. ^
RÜ D 1S , (^ / ? . anc.) forte de baron que le préteur don-
noit aux gladmeurs, comme une marque de la permiffiou
de fe retirer. X IV . 429. b.
RU E , {Bot.) caraaeres de ce genre de plante. Caraefteres
de la rue inuvage. XIV. 430. u.
R u e , {Jardin.) defeription de cet arbriffeau. Scs ufages.
Efpcces de rues les plus remarquables. XIV. 430. a.
R u e , ( ^ u/. medic.) rue de)ardins& grande rue fauvase.
Ses propriétés & différens ufages. X IV . 430. b.
R ue clans réloignemenr des rues, des villes,
1 taut fur-tout avoir égard à la qualité 6c à la température
de la i ro u elles fe trouvent. X IV . 430. b. Difpofition que
doivent avoir les rues ; maniéré d’en faire le compartiment,
l ente quelles doivent avoir vers le milieu. Rues de l’ancienne
Rome. Etymologie du mot rue. Ibid. 431. b.
failoit anciennement la diftribution des
rues. XVII . 278. b. Rues de Rome. XIII. 689./>. 692. u. XVII,
4 ty . a. Rues d’Herculnmun. Suppl. III. 331. a , Rues cou-
vci ces dans certaines villes. Suppl. III. 783. a.
R ues d 'm c vU U d i g u a n , ( A r d d t. m it.l. ) difoolîtion ,
com partim ent, diraenfiou de ces rues. Ouvrai-c à confulter
X IV . 43 I. U. ■
Rues. Auteurs à confulter fur la maniéré de diftribuer les
rues dans les villes de guerre. XVII . 277. b.
Rue, terme de carrier, terme de maréchal. X IV . 431. b.
H u e , {Géogr.) deux villes de ce n om ,rune eu France 1 autre en Suifte. X IV . 431 . / . .
RU EL, {Géogr.) bourg du Mantois dans nfle de France.
Diverles oblervacions hiftoriques fur ce lieu. Suppl. iV . 689. .1
Hommes célébrés qui y font nés ou enterrés. Mr.ifou cics
loeiirs de la C ro ix , établie dans ce bourg. Piece macaroni-
que fur les vignerons de Ruel. Ibid. b. Eüirices qui en font
1 ornement. Ibid. 690. a.
RUELLÉE,terme d’architeélure. Suppl. IT. 647. b.
RUESSiC/M, {Géogr.) capitale des peuples Vdlavi.Simpl.
IV . 705. U. _
K\J)r, faint- {Géogr.) voyez S.ain t-R u f.
R U F F A C , {Géogr.) ville’ de France. Malheurs qu’elle a
efluyes. Obfervations fur les ouvrages de deux hommes de
lettres nés dans cette v ille , Conrad Pdlitan , & Conrad
.Wolfharc. X IV . 432. u. ’
^KUFFI, {Antoinede) coiifelller d’état. Ses ouvrages. X.
RU F IN U S, ( Trebonius)'KéW\l. 264. a.
RUFUS d’Ephefe,médecin. I. 412. b. X. zoo a. Sa nhv.
fiologie. Suppl. IV. 346. b. ^
R u f u s , {Publius Rutilius) confui romain. XV'. 24-'. b.
R U G EN , (Geogr.) ifte de la mer Baltique. Comment elle
a perdu une partie de fou rerrein. Ses anciens habitans. Sa
forme 6c fon étendue. XIV. 432.0. Ses produdlions. Efforts
inutiles de Charles XII pour défendre cette ille contre les
Danois ôc les Pruffiens. Ibid. b.
Rugen, idols que les habitans de cette ifle adoroient. X V .
560. b.
RU GIENS, les {Géogr. anc.) peuples de la Germanie.
Diflérentes contrées qu’ils ont habitées. X IV . 432. b.
R U G IN E , ( Chir. ) defeription des rugines deftinées à
nettoyer Ôc ratiffer les dents. Defeription de celles dont 011
fe fert pour découvrir les os , examiner leur fêlure, ou en
c te rla carie. X IV . 432,/.
R U IN A R T , {Dont Thierry) favant critique. XIV. 247. a.
RUINES,(v^rcA/r.) ruines les plus confidcrables qui exi-
fient. Celles de la tour de Babel ou tombeau de Bélus,
Celles d’un temple ou palais qu’on dit avoir été bâti par
Affuerus. Celles de Palmire. X IV . 433. a.
R uin es , ( Gramm. Litter. ) ditlérence entre ruines, décoin- 1re s 8c débris, IV. 638. a. entre décadence 8c ruine. 639. a.
Quelles font les plus belles ruines qui nous reftent de l’antiquité.
III. 338. a. Ruines de Palmire, voye:^ ce dernier
mot. Plaifir que font à la vue les tableaux qui repréfentent
des ruines. V L 331. b. Suppl. lU. 629. b. De l'ufage des An-
§lois de mettre des ruines dans leurs jardins. Suppl. II, 23. b.
RUISSEAU , ( Hydraul. ) ufage qu’on pourroit faire des
courans d’eau ou rniffeaux dans un parc ou dans un jardin.
■ XIV. 433. b.
RuijJ'eau, différence entre ruiffeau , riviere & fleuve. VI.
868. a. Caufe des ruifléaux foiiteneiii'i. VII. 9^. a. Moyen
de connoitre la quantité d'eau que fournit unVuiffeau. 'VIII.
473. é. Obfervations de jurifprndence fur les eaux des ruif-
leaux. V . 206. a.
n ^ patrie, fes ouvrages.XIII. 828. a
RUM,rG<;ugr.) ifle d’Ecoffe. X IV . 433. é.
1, pratiqué dans le fond de cale
dun vaiffeau. X IV . 41^.
d’eau-de-vie ardente, tirée
par la diftillation, des cannes de fucre. Différence entre le
R U S 615
nim & l'cfprit de fucre. Maniéré dont on fait le rum, Ouel
e Je meilleur état de cette liqueur pour le tranfporc 8c
pour 1 ufage. Confidératlons qui devroient engager à reffi-
Înli V l v " ’ S'affurer s’il n’a point é l i fophiftifl“
'- X>Y- 434-■ >. r o j r j T a FFIa . ‘
RUM EN , (Am,t cowp.) premier eftora.ic dos animaii.x
qm . tmment. Son ufage. Rifervoirs d’eau, qui fe rrouvent
dans le rumen des chameaux, par Icfquels ils peuvent long-
icms fe palfer do boire. XIV. 4,4. J. ‘ ®
. ‘^r'M IGNY (Geqçr.) bo.irg de Champagne. Ohfcrvand
RÜ .M IN AN T , ( / / ÿ . L ;.) 'a n im a l ruminant. Peyer a
djftingne ces animaux en doux clafTcs,ceux qui ruminent
r ” ' " ' ’ ^ " ° apparence. M.
Ray obfeive que les animaux riiminans font tous quadrupède,
velus d, vivipare,. Defeription des quatre o C a c ,
des animaux ruminans a cornes. Autres obforvacions fur
cette dermere forte d'animaux. XIV. 434. b.
Ruminant eflomacs des animaux ruminans. II. n i -t V
denÉ' R f * f üenrs 6. leu.'-s mâch'o- i'r es. IV. 827. bV. 4 . 3-«VE Leurs
R UM IN A T IO N , ( Phyfwlog.) dlftinéliondes animaux qui
ruminent en vrais rmnmans, 8c faux ruminans, Eflomac de
ces derniers. Defeription de la manicre dont fe fait la mafli-
cation 6c la digeftion dans les animaux qui ruminent. XIV.
433. <J. DefcnjKion 8c ufages des quatre ventricules dont ils
font pourvus. Obfervation fur leur oefopliage , iiiif. é. 8c fur
leurs “ iteftins. Auteurs qui ont traité la matière de la rumination.
Ibid. 436. a.
Rumination, defeription de ce qui fe palTc dans l’aélion de 1 animal qui rumine. IV . 837. , Z-.
R n N r r ‘ '^ V “ q“ 'U4’i- IV . 191. 4 , t.
RU NGHEN P lySologiftc. S„ppL IV. 36e. 4. KUNGH EN (,Goegr. ) village de Livonie, qui a donné
naillance a Catherine, femme du czar Pierre I. Hiftoire de
Tbfd jnfqii’à ce jour.
RUNIQUES O» R u .V E S ,C 4 « * r „ , { HIß. a„c. & B d U f
k u r a ) lone de caraaeres que l’on trouve graves fur des
n.iux de 1 Europe. Sentimeirs des favans fur ces caraaeres
■ Suivant les plus anciens inoniimens ’
c e lt Odin !e conquérant 8c le dieu des peuples du nord’
qm leur donna ees caraaeres. On a pluf.enr, moiliimens qui
Fonv ent que des rots païens du nord en ont fait ufage
X iy .4 3 7 . i . y e rm s magiques qu’on attribnolt aux runes
Oolervation fur les 1 rfcripttons & épitaphes gravées en cara-
aercs riniiques. Differentes matières fur Ic-fquelles on les
traçoit, L ufage de ces caraaeres s’efl inainienu dans le
noid, long-tems apres que le chriftiaiiifme y eut été emhraffé
Autre forte de caraéteres trouvés dans la Helfingie, qui different
confiderablenient des runes. Obfervations de M CellUis
fur ces caraaeres. Ibid. 438. 4.
Ru^uqurs. Les caraaeres tuniques doivent être diflingués
6?' ' ü ’ O Exemples de caraaeres tuniques
vol. II des planch. Ca ra aere, pl. .0. Médailles mniquesl
Ki'fmans. X V . 868 4
l’o A e
r u p S à ,"“ . -
I > ( “ ''■ • ) médicament qui a la verm de brû-
1er Ck de fctre une efearre aux parties fur lefquelles on
1 applique. G elt la meme cllofe que cjmere peumid En quels
l’ o, ° " T ® "y” See à confulter fur les cautères
x T v 4,8 U " Sénéral.
RUPTURE ( a ir . ) ouvrage à confulter fur la riiptnfe
des tendons. D e la rupture du tendon d’Achille. La polîlbi-
htc de cette rupture complette p ar un feul effort, e(l prouvée
par beaucoup de faits. X IV . 438. f. Signe de cet acci-
dent, b^’mptomes de la rupture incomplette. Cure de la
“ ™p1""= nUd. 439. 4. foi, incomplette du ten-
don d Achille. Ibid. b.
R u p t u r e , ( Phyßq.) caufe de la rupture des glaces 8c des
vailieaiix qui contiennent de l’air dans un teins froid. I.2 12 . a
R U R A L , {Jurifpr.) coda TüTzl lU. <8z. b. Doyen rural'
97. a , b. Fie f rural. VI. 713, a.
RU REM O ND E, {Géogr.) ville des Pays-Bas. Diverfes
obfervations fur .cette ville. Obfervations fur deux hommes
de lettres cmi y font nés, favoir Jean Murmel, & Gerard
Mercator. Quartier de Ruremonde , ou la haute Gueldre
X IV . 439./.
Ruremonde, quartier de. VII. 981. b.
RUSCINO, {Geogr. une.) ville qui donna fon nom à
toute la contrée du Rouffillon. XIV. 439. b. Hiftoire abrégée
de cette ville. ObCervaiions fur le fleuve Rufeino oui en
baigne les murs. Ibid, 440. u. ^
R