F l i M i
IM
ïïi L E S Liprofo'u. V . 503. b. X. 482. I>. Dcfcriptlon quen fait
Milton. IX. 940.
[,r-:PROTTl , ( Aiuoinc. ) anntomiftc. Suppl. I. 408. b.
LKPTF., ( Monn. n/.v. ) monnoio rie ciiivre qui avoir cours
dans Atliciic.s. Sa valeur. Dans l’évauj’ ilc félon S. Marc ,
cliap. XH. y . 42 , il ed dit que la pauvre veuve mir deux
kpres clans le tronc. Suppl. III. 73 a. b.
LFPTINilS ou Lefnnss, {Giopr.) lieu d iilla in au t , dans 1: diüccfo de Cambrai. Conciles qui s'y font alTeinblés. Mon-
U''le anciemie de ce lieu. Chanre datée de Leptines. Suppl.
i i r . -12 . k
Ll'.P T lS , {Géopr. ,'inc.') grande Leptis : comment elle eu
nommée fur les médailles. Évêque de Leptis. Petite Leptis,
auiTi cpilcopcilc. iX . 396. a. Autres noms de ces deux villes.
Jbtd. b.
LL PTUI IE, cfpccc d'infede. V I. vol. des planch, Regne
animal, p i 76.
L F .P T üR G U S , (L in . prcc<j. ) forte d’ouvrier chez les
anciens- Ouvrages oii il eft parlé de ces robes de gaze que
f.iifoicnt CCS ouvriers. P^oye^ Gaze de Cos. IX. 396. a.
LEPUNTII. F^oyqURSEREN-THAL.
LEQ U IG S , L iquios ou Riu k u , ( Géopr.) Ifle de l'Océan
oriental. Langage de ces infiilaires. Leur comincrce avec les
-Japoiiols. IX. 396. b.
LF.RAMGERT, (Zc«i-t ) fculpteur. X IV . 831. æ.
L E R ID A , (Gt'opr.) ville d’Efpagne. Obfervntions liifto-
riques Air cette ville. Sa fituation. Nom que lui donnoient les
anciens. Comment elle fe rendit célébré dans l’antiquité. IX.
396. b.
LERINA , ( Giopr. ) defeription de cette ifie. Auteurs anciens
qui en ont parlé. Retraite qu’elle a fournie à plufieurs
moines. Suppl. III. 732. b.
LERINS, les ijles de , ( Géopr.) deux ifles fur la côte de
Provence. Defeription de ces ifles, dont Vune s’appelle l’ifle
Sainte-Marguerite, & l'autre l’ifle Saiiit-Honorat. Origine de
ce dernier nom. IX. 397. a.
'LERNE , ( Géopr. une. Myth. <5- Litt. ) marais du Pclopon-
nefe. Evenemens qui l’ont rendu célébré. C e qu’on doit entendre
par l’hydre dont Hercule triompha. Expreflion proverbiale
à laquelle les purifications de ce marais donnèrent
lieu. Riviere dans laquelle U s’écoulolt. Ville appeUée Lerne.
Obfcrvations faites fur les lieux par M. Fourmont. IX.
h y ln de. VIII. 368. a,
LERNÉES , ( Litt. ) fêtes célébrées à L em e , en l’honneur
de Bacchus & de Gérés. IX. 397. u. Bois confacré à cette
déelTe. Ibid. b.
L L R O S , ( Géopr. une. ) ifle de la mer Egée. Mauvaife
réputation de fes liabitans. Epigramme qui l’attelle. IX.
397. b.
LE RO T , ( Zoolop. ) rat dormeur, un peu plus petit que
le loir. Sa defeription. En quoi il différé du loir. Lieux qu’il
habite. Sa nourriture. Ses provifions. Son état durant le froid.
Portées de la femelle. Mauvaife odeur du lérot. Lieux où cet
anim.il fe trouve. IX. 397. b.
LESBOS , ( Géopr. MIC. ) ifle de la mer Egée. Son étendue.
Colonie que les Grecs y établirent. Ses divers noms. Leur
orialne. Scs villes. IX. 397. b. Révolte des habitans de Myti-
lenc contre les Athéniens pendant la guerre du Péloponnefe.
Effets de cette révolte.Divcrfescaufes qui ont rendu fameufe
Lesbos. Les Lesbiens étoient les plus grands miiflciens de la
Grece. Le mufleien Terpandre étoit de Lesbos. Autres illuf-
tres Lesbiens. Célébrité des vins de cette ifle. Comment
Ariflote fe nomma iin fuccefleur dans le Lycée. Différentes
manières dont les anciens ont célébré le vin de Lesbos. Ibid.
398. b. Autres produirions de Lesbos dont Pline a parlé.
Corniprion des moeurs des Lesbien»; Ibid. b.
Lesbos., voye^; Metelin. Exaélitude des deferiptions que
Strabon a faites des villes de Lesbos. X. 465. a. M y tilen e ,
ville principale de l’ancienne Lesbos. 926. æ, b. 927. a.
Lesbos, marbre de , {Hiß. nat. ) IX. 398. b.
LESCAR , on Lascar , ( Géopr. ) ville de France dans le
Béarn. Sa fondation. Pourquoi on la nomma Lefeourre. Evêché
de cette v ille ; fes privileges 8c fes rentes. IX. 398. b.
L E S C A R B O T , ( A fjr c ) avocat au parlement de Paris.
X V II . 189. L
LE SCH É, ( Littér. ) obfervations fur le Lefché de Lacédémone.
Vifitc des enfans nouveau.x-nés , qui fe faifoit dans ce
lieu par les anciens de chaque tribu , qui décidoient de fon
fort. IX. 398. b.
LESCHÉE, poète grec. XIII. 606. b.
LESDIGUIERES, ( Géopr. ) bourg du Dauphiné, diocefe
de Gap. Son creélion en duché. Eloge de François de Bonne,
fcn:neur de Lefcliguiercs. Générofité dont il iifa envers fon
domefliqne qui avoitformé le deffein de l’affalTinCT.^tt/t;)/. III.
733. a.
LESE-MAJESTÉ, cr ime de, {Droit polit.') Plus ce cr’nne
r il horrible, plus il efl eflemiel de n’en point donner le nom
à une arioti qvü ne l’eft pas. Si l’on examine le caraélere
E S
des légiflatctirs qui ont étendu le crime de lefe-majefié à tant
de chafes différentes, on verra que c’éroient des nfiirpateurs
8c des tyrans. Différens cas renfermés par la loi Jidiu, dans
le nombre des crimes de lefe-inajeflé. Tibere fe faifir de la
loi de mujcjl.iie, 8c l’appliqua à tout ce qui put fervir fa haiae
on fa défiance. IX. 399. a. Des fonges mis au rang des crimes
de ce genre. Des paroles inciiferetes ou peu relpecliicufcs ,
confidérées comme matière de ce crime. Mnnifefle de la feue
czarine , donné en 1740 contre la famille Dolgoiirouki.
Réflexions fur les écrits qui attaquent, ou le prince , ou les
grands. Conduite de C éfar 8c de Trajan à l’égard des auteurs
de libelles diftamatoires publiés contre leurs perfonnes. Rien
ne fut plus fatal à la liberté romaine, que la loi d’A iigu fle ,
qui fit regarder certains écrits comme objets du crime de
lefe-majeflé. Ibid. b. Hifloire de la condamnation de Mont-
gommei i en 1374- Ibid. 400. .1.
Lese-majesté , ) 7//nypr. ) crime de Icfe-majeflé divine.
Sa punition. On doit le regarder comme un cas royal. Crime
de Icfe-majeflé liumaine. Son atrocité. Crime de lefe-majeflé
, au premier , nu fécond chef. ExtenflcHi des degrés
de ce crime par quelques auteurs. Toutes fortes de perfonnes
font reçues pour accufnteurs en fait de ce crime , 8c
on admet pour fa preuve le témoignage de quelque homme
que ce foit. IX. 400. u. Tous ceux qui en ont eu contioif-
fance font regardés comme coupables. Le fctil deffein, en ce
cas , efl puni de mort. A qui appartient la connoiffnnce de ce
crime. Quelle en cft la peine. Arrêts rendus contre Jean
Chafle l, qui nvoit bleffé Henri I V , 8c contre Ravaillac,
pour le parricide par lui commis en la perfonne du même
roi. A qui appartient la confifeation pour crime de lefe-majeflé.
Loix 8c auteurs à confulter. Ibid. b.
Lefe-majeflé. Comment les Macédoniens puniffoient ce
crime. XII. 433. a. Crime de lefe-majeflé chez les Romains.
IX. 20. b. Différens cas où l’on s’en rendoit coupable. XII.
338. b. ExtenfiOH que Tibere donna à la loi de majefté. X IV .
334. é. Duumvirs qui connoiffoient de ce crime. V . 174. rf.
Crime de lezc-majcâé en Angleterre. XVI, 323. a. Tache
qu’il imprime dans ce royaume fur les defeendans de celui
qui l’a commis. IV. 278. b. Crime de lefe-majeflé au premier
, fécond, troiflerac chef. III. 271. a , b. Gotiitlcaiion
des biens du coupable. 834. b. Dénonciateurs de ce crime.
IV . 778. U. Les enfans du coupable font auflî punis. V . 634.
Ufage établi de rafer la maifon du coupable. XIII. 814. a.
LE SGRET , maître écrivain. IX. 908. a.
LESION , ( Jurifpr. ) de la reflitution que peuvent exiger
Hti mineur & un majeur léfés. Léflon du tout nu tout. Différentes
ina.ximes de jurifprudence fur cette matière. IX. 401.
Loix à confulter. Ibid. b.
LESKARD , ( Géopr. ) ville d’Angleterre , dans la province
de Cornouailles. Scs fabriques & fon commerce. A u tres
obfervations fur ce lieu. Suppl. III. 733. a.
L E S L E Y , ( Jean ) évêque de Roff en Ecoffe. X IV .
374. a , b.
L E SO R A m o n s {G é o p r .) mont Lofere , fur les confins
du diocefe de Mende & de celui d’Uzez. Suppl. III. 733. æ.
LESSINA , ou Lepsina , ( Géopr. ) nom moderne de l’ancienne
Eleufis. Defeription de l’état préfent de cette ville 8c
de fes ruines. Monumens 8c infcriptioiis c[iieM. l’abbé Four-
mont en a recueillis. IX. 401. b.
LESSIVE , ( Chym. ) on a coutume de fpécifier les différentes
leffives par les noms des maticres qui ont été Icfffvées.
IX. 401. a.
Lejfive. D e la maniéré de Icfliver les cendres des plantes ,
I. 274. a , b. Cendres leffivées des végétaux. IL 814. a. Maniéré
de leffivcr des cendres dont on veut tirer le fd qu’elles
contiennent. V I . 809. a.
Lessive de linpe , { A r t méchan.) defeription détaillée de
cette opération. IX. 401. b.
L efiv e, ufage des marrons en cc cas. X. 143. b. — Voye:^
Blanchissage.
Lessives pour les blés, { Apric. ) Suppl. III. 213. é. S-c.
Suppl. IV . 30. a.
Les.SIVE des aipuillcs, ( Aipuiüier. ) IX. 402. a.
Lessive. {Jardin .) Ufage qu’on peut faire en jardinage
de l’eau qui fort de la Icflïve du nnge. IX. 402. a.
LeJJive d’imprimerie. IX. 402. a.
L & S IU S , {Léonard) fon fentuncnt fur l’infpiration des
écrivains facrés. VIII. 793. é.
LESSOE, (Gc'ogr. ) ifle de Dancmarck. Son étendue. 'Suppl
111.733.«.
LEST. ( Marin. ) Ufage du left. D ’où dépend la quantité du
left qu’on met dans un vaiffeau. IX. 402. «.Bon left. Gros left.
Vieux left. Lsü hv é .Ib id . b.
Lefl, d’un vaiffeau. Suppl.ï. '^jz.b. 373.« , b. Aftion de décharger
le left. IV . 7 8 1 .« , é.
L É ST E , ( Gramm.)\\ fc dit d’un vêtement, d’une troupe ,
quelquefois des perfonnes. Acception de ce mot dans le figuré.
iX . 402. b.
LE STOF F , ( Géopr.) ville d’Angleterre dans la province
de
l e t de Suffolk. Occupation des habitans. Elle n’a point d’égUfe dans
fes murs.5iu?/'/.IIL733. i!-.
LESTRIGONS. ( Géopr. artc. ) Homere les inet en Italie ,
aux environs de la ville de Lamiis. Carafterc d’Amipliaiêsqm
y régnoit lorfqu'Ulyffc y paffu. IX. 402. b. Tous les Lefln-
gons paffoient pour mangeurs d'hommes. La ville de Lamus
a pris dans la fuite le nom de Eormies. D ’autres placent les
Leftrigons en S ic ile , 8c les confondent avec les Léontins.
Rapport de ces deux noms. Moyen de concilier ces deux fenti-
niens. 403. «.
L E T H , Lcthe ou Lath {Antiq. Anplo-Saxon.) nom dune
portion ou mefurc de terre dans les anciennes diyifions
de l’Angleterre faites par Alfred. Idée de ces clivifions.
L e Icth étoit aulfi la jurifdiaion d’un vicomte. IX. 403. «.
L eth. ( C’uOTm. ) Différentes fignifications de ce mot. Dans
tout le n o rd , les vaiffeaux s’effi'ment par leur cliarge fur le
pied de tant de leths , le leth pefant 4000 livres. Ce qui paffe
ordinairement pour un le th , lorfqu il s agit du fret d un vail-
feau , foit parr.-ipporrau poids, foit par rapport au volume de
la marchandlfc. K)ids du leth de grains en Hollande. Leth ou
laftd’Amflerdam. Laftde froment, de fe ie lc , d’orge. Leth de
Pologne, de Suede 8c de Mofeovie , de Dantzik. Laft ou leth
d’Angleterre, celui d’Ecoffe 8c d’Irlande. IX. 403. b. Laft
de Riga, de Copenhague, de Stockholm 8c de Lubeck.
Evaluiuioii tic quelques autres mefures d’Elpagne, de Por-
rugal,c!e Genes 8c de MarfciUe avec le laft d’Amflcrdam.iéiZ
^°LE THÆ U S , ( Géopr. une. ) quatre rivieres auxquelles les
anciens ont donné ce nom. IX. 404.«. Vaye^ Lethe.
LE THA RG IE , ( Médee. ) fign.fication propre de ce mot.
Ceux que les anciens appelloiein létharpiques. Affeft.on fo-
poreufe appellee aujourd’hui létharpie. Defeription de cette
maladie. Quelles font les perfonnes quelle attaque. IX. 404. a.
Des caufes de la léthargie. Exempte qui prouve qu’il y a des
léthargies fympatiques, qui ne dépendent d’aucune caiife
agiffaiite immédiatement fur le cerveau. Diftereuce entre
cette maladie 8c d’autres affeftions foporeufes 8c non fopo-
reufes qui y ont quelque rapport. Proguoftic. Traitement.
Ib'id.b.
Létharpie ^ diftlnguée du carus. II. 733. Sa caufe. IV .
783. b. Friiftions employées dans la léthargie. V llI . 306. b.
Léthargie Scphrénéfiecompliquée. X V I . 781. b. Foyr^Àssou-
PISSEMENT.
LETHÉ,(Afy//io/.) fleuve d’oubli. Fiftion des poètes fur
ce fleuve. Quelle é to it, entre les d iverfes rivlei'es du monde
quis ’-appelloient£t//2G celle qu’on regardoit comme le fleuve
des enfers. IX. 403. «.
Lethé. {Géopr.) Deux fleuves autrefois de ce nom en
Efpagne. Crainte fuperftitieiife des loldats de D. Brutus lorf-
qu’ilsdurcnt paffer celui qui coule dans la Lufuanie. Suppl. 111.
733. b. Voyat Letlixus.
LE TH R A BO R G , ( Géopr. ) comté de Danemarck dans
l ’ifle de Seclande. Château qu’on y remarque. Sacrifice horrible
que les habitans du pays offrolent dans un temple de la
déeffe H ertà.5tf;>f/. III. 733-^.
LE T T R E S , {Gramm.) carafteres repréfentatifs des élé-
mens de la voix. Divers fentimens fur l'étymologie du mot
Huera. Quelques différences dans l’organifation intérieure des
différens peuples ont fait que les élémens de la voix iifités dans
une langue, ne font pas toujours les mêmes que ceux d’une
autre. IX. 403. b. Il eft impoflible de faire connoitre à quelqu’un
par écrit , la prononciation exafle d’une langue étrangère.
U n’eft plus poffible d’imaginer un corps de lettres élémentaires
qui foieut communes à tontes les nations. Chaque
tangue doit donc avoir fon corps propre de lettres élémentaires.
Difluiftion des voyelles 8c des confoniies. Obfervations
fur l’arrangement des lettres dans la table alphabétique.
Principes qui peuvent fervir de fondement au fyftême d’un
nouvel alphabet. Ibid. 406. «. Des voyelles , de leur nombre
& de la maniéré dont il faudroit les dilpofer. Ibid. b. Des articulations
confidérées dans leur caufe 8c dans leur nature.
Confidérées dans leur caufe , 'elles font ou labiales on linguales
ou gutturales. Confidérées d^ns leur nature , elles font
conftantos ou variables. Syftême figuré des articulations. Ibid.
407. a. Du nombre de lettres du nouvel alphabet. Utilité qu’il
y auroit à donner aux lettres d’une même chiffe une forme
analogue , 8c diftlnguée de la forme commune aux lettres
d’une autre dallé. Difference entre les caraéteres 8c les élémens
de la voix dont ils font les figues. Ibid. b. De l'attradion
& de la permutation des lettres. Toutes les voyelles font
commuables. Ibid. 408. a. Les confonnes labiables font com-
niuables entr’elles. Il en efl de même de toutes les confonnes
linguales. D e la permutation des confonnes qui n’ont entr’elles
aucun degré d’affiniié. Ouvrages à confulter pour connoitre
l’hiftoire des lettres 6c la generation des alphabets
qui ont eu cours ou qui fout aujourd’hui en ufage.
Jbid. b.
Lettres. luvcntiun des lettres. I. 293. «.Leur nombre n’efl
pas le même par-tout. IV. 34. a. C ’eft un abus d’avoir com-
Tcme II,
LET 113
pris fous le nom général de lettres, les figues Sc les diofes figiii-
fiées. X V II . 47e. .1. C c que les lettres de l’alphabet romain
ont de défediicux. I. 293. b. 296. «. Inconvénient aitaché à
h multiplication des leitrcs pour exprimer les différences
profüdiques. XL 293. a. Divifion des lettres en voyelles 8c
en confonnes. IV. 31. i. Fondement de leur divifion en labiale
s, linguales , palatiales, dentales, nazalcs Sc gutturales ;
diflribuiion des lettres félon cette divifion. 33./’. Les lettres
d’une même claffe , comme le é 8c le p , fc changent facilement
l’une pour l’autre. 34.«- Hoyc^ à l’article de chaque leitvc
des détails fur cette comnnitabiiité de la prononciation des
lettres, foit voyelles , foit confonnes. SuppJ. 111. 131. « , b.
Lettres initiales. VIII. 7 3 1. «. X V . 183. «. En quels cas elles
doivent être majufciiles. V III. 7 3 1. «, A D e l’iifage de ces dernières.
Suppl. III. 132. « , b. Lettres capitales. IL 631. b.
Lettres euphoniques. V I . 209. b. Lettres muettes. X. 849. a ,
/’.Lettresradicales.XIII.7 5 3 .« .— Foyci A l ph.\bet & C a ra
c tèr e s .
Lettres. ( Imprim. ) DiflinÛions que les imprimeurs écablifi
fent encr’ellcs.IX.408. é.
Lettres de deux po'inis. De l'ufage qu’on fait en imprimeria
des lettres de deux , de trois, de quatre points. Suppl. III.
73)-^-
L ettre capitale, {E crit. Imprim.) anciens maiiufcrits
8c premiers ouvrages d’imprimerie tous en lot très capitales. IX.
409. «.
L ettre pr'ife, ( Imprim.) IX. 409. a.
Lettrerre/n/’/rc, ( Ecriv.) IX. 409. «,
L ettre.? J , ( Gramm. Origine des lanpues)Semimcn&
de Scaliger (k de Marsham fur l’origine des lettres grecques,
IX. 409. a. Obfervations qui tendent à prouver que les
Grecs n’ont pas tiré leurs lettres des caractères phéniciens.
Ibid. b.
Lettres grecques. De l’alphabet grec.I. 293. 7. Comparaifoiî
de ces lettres avec les caraéleres famaritains 8c hébreux. V I I I ,
77. «. VoycT^ Caractère.
Zer/r«/«r;«r.f ; cc qu'elles ontdedéfeftueux.I. 293. A 296.
«. Elles ont des preuves fmgulieres d’une relation direfte avec
les Orientaux. V III. 77. b.
Lettres. ( Littéral. ) De l’ancien ufage des lettres d’or. III.
403.«. Lettres onciales. XL 473. a. XVTl. 379. a. Lettres initiales
qu’on nommoit fofles. X V . 183. «. Lettres d’abréviation ,
voye^; ce dernier mot. Lettres nuiidinales. X L 284. b. Lettres
numérales, reyr{ l’article particulier de chaque lettre de l’alphabet.
Lettres , les. ( Encyclopéd. ) Les lettres 8e les fdences proprement
dites , ont entr’cllcs renchainenienc, les liaifons, 8c
les rapports les plus étroits. Cliez les G r e c s , les lettres Si les
feiences marchèrent toujours d’un pas égal , 8i fe fervireut
immiellcmcut d’appui. On vit les mêmes rapports établis fous
le régné d'Augulle , Si dans le ffede de Louis X IV . IX. 409.
b. Les feiences ne fauroient fiibfifler dans un pays , que les lettres
n’y foient cultivées. Les principes des feiences feroient
troprebutans , files lettres ne leur prêtoient des charmes. Le»
feiences de leur côté concourent à la perfeiflion des lettres.
Aiifli dans l’ancienne Grec e, l’érudition polie, 8c le profond
favoir faifoient le partage des génies du premier ordre. Ibid.
410. «. Il en fut de même parmi les Romains. Avantages
qu’une nation retire des progrès des lettres 8i des feiences.
Ibid. b.
Lettres , voye:^ LITTÉRATURE. D u fecours que les lettres 8c
, les feiences fe prêtent mutuelleineut. X IV . 788. «. C ’eft faire
une double injure aux belles-lettres Si àIa philofophîe , qiut
de croire qu’elles puiffent réciproquement fc nuire ou s’ex-
chirc. V IL 769. b. Divers âges de lettres. X V II . 238. a. Etat
des lettres en Orient depuis la deftruftion de l’empire d’occi-
d en t , V . 913. « , /». 8c eufuite depuis le huitième fiecle jtif-
qu’au tems de la prife de Conflantinople par les Turcs. VIII.
520. a. Hifloire de la renaiffaiice des lettres en Occident. I.
XX. &c. Difc.prélim. V . 913. Caufe de ce réiabliffe.ment des
lettres. Ibid. Etat des lettres en Europe dans le feizieine &
dix-feptieme fiecle. X V I. 389. b. D e l’amour des lettres. I.
368. b. D e ceux qui dans la république des lettres font appel-
lés «//2««üw.5üpp/. I. 336. « , b. D e l’étude des lettres. VI.
86.« , b. Avantages quelles procurent à celui qui les aime.
V IL 796. U. Comment elles ont été cultivées chez les différens
peuples : v o ye z les articles particuliers de ces peuples. Des
caul'es qui contribuent ou qui nuifont au progrès des lettres ,
voyeq^ PROGRÈS. Des gens de lettres. V IL 499. b. Différence
outre homme de lettres, littérateur , érudit. Suppl. 111, 763. b.
764. U. Desbc-llcs-lcttres, v o w H um anité s . V IL 348. «, A
Lettre , épine , miflive. ( Lucér.u. ) Formules que les
Grecs meitoieiit au commencement 8c à la fin de leurs miffi-
ves. Lettre de Philippe à A riflote au fujet de la naiffance d’A lexandre.
Lettre d’Alexandre à Ariflote après la conquête de
l’A fie. IX. 410. b. Formules des Romains dans leurs iniffives,
8c particuliérement dans celles qu’on écrivoit aux empereurs
, 8c que les empereurs ouïes coufuls écrivoienc. Ib'i4 r