'S
H't 1 jîi f i ê I
i i r 'S
h* 'I 'S
574 R E G
Jufquà quel point l’ar.iflc ou 1= pocte doit lo fou-
u J ,„ c oux \ csl°>. D e rutiliti que le tuknt P™* '™ '« d «
reulct & des modelés qiit lut font nrefemes. IhJ. b.
ItÉGLÉ , Rbsidiir, ( Synon.) diffwenees dans la figm-
dicatiou & l’ulage de ces deus mots. X IV , a», b.
JlliGLK, Æ W , ( i 'y w / 7 . ) X llI . 790.
r é g l e m e n t , r.gU , ( ) X IV ao. <*.
R èglement , ( Jurijpr. ) v o ye z J r r a , DccUrutwn, Ldus ,
Lctires-pMaïus Le.', On/o/j«dZ«ce. Communication au mmiilere
public des nouveaux rcglemens. III. 729- Rdglentent a
fextraotdioaite. VI. ,57. i . RéBlcmens que font les cours
Air les matières de leur competence. IX. 649. KtHexton
fur b mumerc dont les icglcniens font oblcrves enErance.
V L 439- , ,
RÉGLER , ( Comm. ) difFérentes acceptions de ce mot dans
le commerce. X IV. 29. u. . , , , , R égler , ( Horlog. ) explication de 1 art de reglerles montres
& pendules fur le mouvemeiumoyen du loleil. A lV .
20 b Principales cautes de variations dans les montres les
•mieux e x é c u t é e s . 30. a. Inconvéniens qui réfultent tic
l’addition d'un thermomètre à la verge d une pendule a le-
condes , peur rendre conAame fa longueur par diftercmes
températures. Ibul. b. Au lieu d’employer ce mo yen, 1 ob-
fervatcur doit maintenir la pendule dans la même temperature
, ou le former une t.able des erreurs que le change-
Ics mêmes temperatures. Les pendules qui ont de courts
pendules font les plus difficiles à regier , Öt les plus inconl-
tantes dans leurs iifages. ibid. 31. d. . , ,
Réâler Us ptnduUs. Avantages de les regler fur les heures
du premier mobile. Suppl. III. 396. i . Ufage qiion fait
pour cette opération, de l’accelératlon diurne des faxes, oupp/.
1. 106. A Sur l’art de régler les pendules 6c les montres,
lyovb'x encore les articles Pendule Sc M o n t r e .
Joe G L E T , (^rc/î/t. ) efpece de monlure. X IV. 31. i.
R eglets , ( Im prirn. ) lignes droites qui marquent fur le
papier. X IV. 31. Z". , , . „
Reglet des wenuifiers, defeription 6c ufage de cet inftru-
ment. X IV. 3 1 ./ ’.
R É G L E T T E S , C/mpW/77.) X IV . 31. è.
RÉGLISSE , ( Bout!.) caiaftere de ce genre de plante.
X IV . ■XX. h. Defeription de la réglilTe. Lieux où elle croit. D ifférence
entre celle des anciens 6c la notre. Ibid. 32. a.
R églisse , ( Mut. mcdic. ) fon ufage en médecine. Préférence
de la réglilTe fcche pour les décoaions. Manière de
faire ces décoaions. X IV . 3 2. u. Préparations Ions forme fechc
dereeliflc les plus uffiées. Jus de réglilk qu’on apporte dEf-
pacne fous la forme de petits pains. Suc de réglillc en baton;
maniéré dele préparer. Suc de légliffc blanc: faprepara-
rio/i Ibid b Ufages de toutes ces clpeces de lues. 33.
R E G N A R D , ( ) poète comique. Exemple
du plaifam clans ce poete. Suppl. iV . 395. L Son voyage
en Laponie. Suppl. IIL 7®^- .
R E G N A U LD IN , {Ihumus) fculpteur. X IV. 832. b.
REGNE , Empire , ( Syjtonym. ) difterences dans la figni-
fication 6c Tufage de ces mots. X IV . 33.
R e g n e , ( fJijt. nat.) ordre des règnes lelon leur dignité.
1.-471 .' e! Divifion des trois régnés par M. Daubenton,
474. a. Méthode de M. Linnæus clans la même diftnbution,
Ibid. b. Utilité des diAilbutions méiliocliqucs dans les trois
regties. Suppl. 111. 93. a. Les lignes de féparacion entre les
régnés n’exiftcnt point dans la nature. I. 469’ Etres or-
eanifés qui n’appartiennent à aucun regne. Ihid. b. Le pallage
du végétal au minéral eA brufque ; confèquence cjifcn liie
M. de Buflbn. Ibid. La faculté de penfer 6c de femir se-
leint dans quelque point de la chaîne entre le regne animal
6c le végétai , point qui nous échappera à jamais. 470. b.
C e que le regne animal a de commun avec les deux autres.
471.^ b. L’animalité regardée comme commune à tous les
régnés. Suppl. I. 436'. b. 437- 43^-/- Circulation
de la maiicre d'un regne clans un autre. VII. 339. b. X.
534. a. Colleilions donc le cabinet du roi eA compofédans
chacun des trois rrgnes. II. 489. b. — P"oyc^ H ist o ir e n a tur
el l e .
REGNER. ( Politiq. ) Le talent de régner cA celui de faire
aimer la loi. V . 340. a. Tableau d'un regne glorieux. VIL
719. A R egn er , ( Hiß. de Danem. ) roi-de Danemarck. Scs
exploits. Suppl. IV. 596. a.
R e g n e r , ( H ß . de Suede) roi de Siicde, fils d’üftbn.
HiAoire de ce prince. Suppl- IV . 593. a.
REGN ICO LE, {Junjpr.) la qualité de regnicolc eA op-
pofée à celle d’aubin ou d’étranger. La nailTance eA le feul
moyen par lequel on devient vraiment regnicole. Principe
de la diAinfUon établie entre un fujet 011 citoyen 6c un Ample
habitant. X IV . 33. h. Selon b juril'priidencc romaine ,
U naiflance de l’enfant dans un lie u , ne ierendoitpaspour
R E G
cela citoyen de ce lieu ; il éioit citoyen du lieu où fon
pere étoit né. En E’ranc e,la qiulité de regnicole s’acquictt
par b naiffance. Droits attachés à cette qualité. Les aiibins
deviennent regnicolcs en obtenant des lettres de naturalité.
Ibid. 34. J.
R EG N IER , ( Mathurin ) poète : obfervations fur fes fa-
tyres. X IV . 701. b.
R E G N U M , {L in .) ce terme a été employé dans l’iiif.
toire du Ras-Empire 6c dans celle de France pour fignifier
une couronne. Réflexions Air celle que Chilpéric envoya i
Eudes, duc d’Aquitaine, pour l’engager à (e declarer contre
Charles Martel, XIV. 34. a. Obfervations de critique fur
les deux fignifications attachées au mot Regnum. — Ibid,
b. Tùyrç R e x .
RÈc.'fuM , ( Geogr. anc. ) ville de b Grande-Bretagne.
X iV . 34. b.
R E G R A T T IE R , {Négoce de blé) artifice par lequel ces
marchands de blé augmentent le poids de celui qu’ils revendent.
Comment on reconnoit cet artiAce. XIV. 34. b. Voye^
B la t ie r .
R e g r a t t ie r , ( Négoce de fe l ) comment s'obtient le droit
d’être regrattier de b marcliandife de fel. XIV. 35. a.
REGREFFER, {Jurdiit.) cette opération le fait fur b
greffe même 6c non fur le fauvageon. Fruits finguliers qu’on
obtient p.ir plulleurs greffes pendant quelques années dé
Alite. XlVb 33. 1!.
REGRÈS, {Jurifpr.) retour à un bénéfice que l’on a permuté
ou réllgnè. L’églife défapprouvoic autrefois les regrès.
Epoque à laquelle ils furent admis en France. Trois fortes
de réglés. xW . 33. u. Maximes de jurifprudence fur cette
matière. Requête à prefenter pour obtenir le regrès. Ibid. b.
Regrès : différence entre accès 6c regrès en matière béiiéfi-
ciale. 1. 69. rt.
REGRESSION, {Rhétor.) figure de rhétorique. Exemples.
XIV. 33. b.
REGR ET , Remors , ( Synonym. ) Différentes acceptions
de ces mois. X IV . 36. a.
R EG R ET T ER , Plaindre, {Synon. ) XII. 685. b.
R É G U L A T E U R , ( Horlog. ) le balancier 6c le fpiral dans
les montres, b verge 6c la lentille dans les pendules. Foye^
à l’article F r o t t em e n t , trois différens points de vue fous
lefquels on peut cnnfidérer le régulateur. Le régulateur a
en lui une caufe conAante du mouvement, c’eA b pefan-
teur. X IV . 36. <1. Mais comme à chaque ofcillation il perd de
fon mouvement, b force motrice s’exerce fans ceffe fur lu i,
6c l’entretient dans fa premiere énergie. Recherches de.s géomètres
, par lefquelles ils ont établi la théorie des ofcilla-
tions des pendules. Du régulateur des montres. Epoques de
leur perfeclion lorfque M. Huyghens appliqua le reffori fpiral
au balancier. Examen de i’.aétion du reA'ori fpiral par fon
élaAicité , fur le balancier. Ibid. b. Obfervations fur la quantité
de vibrations qu’on obtient des régulateurs en pendule
6c en montre dans un tems donné. Ibid. 37. Les pendules
à fécondés font généralement reconnues pour les meilleures
de toutes les pendules, relativement au point de per-
f'eclion polTible à l’exécution. Et à l’égard des montres à
monter tous les jours , il faut les faire battre environ quatre
coups par fécondé. Ibid. b. RéfiAance que b roue de
rencontre éprouve de b part du balancier 6c du relîbrt fpi-
rai. Deux circonAances dans lefquelles ce reffoit oppofe à
la force motrice une réfiAance qu’elle ne peut vaincre. Erreur
des horlogers Air b mnn':ere dont ils croient prévenir
que la montre n’arrête au doigt. Ibid. 38. a.
Refill,ncur : comment on a trouvé le rapport que doit
avoir le régulateur a v e cb force motrice. V. 234. a. FomSions
du régulateur , frottemens auxquels il cA fu je t, moyens d’y
reméüier. V IL 347. n , b. Du reffort régulateur 6c de fes
frottemens. 334. u. Régulateur des montres, voye? Ba la n c
ie r 6c S p ir a l . Régulateur des pendules, voyeç Pendule.
Des pieces par lelqùelles ce régulateur eA fufpendii. X V .
7OI. U.
KEQVULd'unlimoinc ,{H ijï.n a l. Chym. Métall. Minéral. )
caraéfercs 6c profiriétés de l’antimoine. X IV . 38. a. Difié-
renies formes fous Id'qnelles il le trouve dans le fein de la
terre, i •. Il fe trouve fous la forme réguline qui lui cA propre.
Mine de régule d’antimoine à Salberg en Suede ; i° .
la mine la plus ordinaire eA d’une couleur grife 6c brillante ,
plus ou moins foncée , felon les AibAunces étrangères qnî
y font mêlées ; 3*’. mine d’antimoine en petites lioupcs foyeu-
fes , Ibit rouges , foit pourpres , foit gorge de pigeon. Ibid,
b. 4". L’antimoine fe trouve encore dans quelques mines
d’argent , de cuivre 6c de plomb. Méthode par laquelle on
tire l’antimoine de b mine. Celle par laquelle on l’obtient
dégagé de toute matière étr.uigere 6c abfoluincnt pur. Ibid.
39. a. Teinture d’antimoine. Maniéré d'obtenir le foie d’antimoine.
Matière a;)pellje faux foie d’antimoine. Soufre
grolfier , 6c foufre doré d’antimoine. Ibid. b. Comment fô
fait le kermès minéral, l’réjiaration du régule dbntimoine
médicamenteux. Frcpanition de b neige d’antùnoine. FJeui S
R E I
rouges d’antimoine. Chaux grife d’antimoine : difficulté d’expliquer
pourquoi cette chaux eA plus pefante que l’antimoine
, quoiqu'il ait perdu la plus grande partie de fon foufre
dans l’opération. Verre d’antimoine. Réduélion de b chaux
en régule d’anciincinc. Ibid. 40. a. Préparation de l’antimoine
diaphorétique. Formation du tartre Aibié ou tartre émétique.
Vin émétique. Manière de préparer le beurre d’.iniimome.
Mercure de vie ou poudre d’alg iroth. Cinnabre d’antimoine.
Préparation du bézoard minéral. Ibid. b. DoAi ine des alcliy-
mifies fur l’anti.noine. Nature de ce demi-métal félon les
tliymiAes. Ulage de l’antimoine pour purifier l’or. Obferva-
lions fur fon ufage en médecine. Manière d’employer le
tartre émétique. Ibid. b.
Régule d’.mtimoine. I. 303. a. 306. b. 307, <7 , i . Régule
de vénus. Régule jovial. H.égu!e des métaux. 307. a , b. Régule
v io le t, ibid. b. Fleurs de régule martial d'antimoine.
509. b. Régule arfcnicai. Suppl. I. 380. b. 583. a.
RÉGULIER (Syno/r.) X IV . 28.^.
RÉGULIER , ( Gramm. ) mots déclinables réguliers , phra-
fes régulières. X IV . 41. é.
R é g u l ie r , {Géom.) figures régulières, corps réguliers.
Manière de inefurer bAirface 6c b (blklicé des cinq corps
réguliers. Proportion de b fphci e 6c ties cinq corps réguliers
qui y four inferits , lediametre de i.i fpiicrc étant AippoCé égal
à 2. XIV. 41. b. Courbes régulières. Courbes nrégulieres.
Ibid. 42. a.
R é g u l ie r , { A I i ß q .) m o d e régulier, cadence reguliere.
X IV . 42. a.
R ég u l ie r , ( /«ryjtr. ) aéle régulier, procédure reguliere.
X IV . 42. a.
Régulier, ordres réguliers. Les premieres regies furent pref-
crites aux moines par leurs abbés. Premiere regle introduite
en France. Principales regies connues dans ce royaume. XIV.
42. a. JurifdiéHon des fupéricurs réguliers. Les fupérieurs
doivent être réguliers eux-mêmes. L’évêque diocéfain eA
le lupérieur immédiat de tous les réguliers qui ne font pas
fournis à une congrégation 6c fujecs à des vifiteurs. Les réguliers
même qui font en congrégation , font foiimis à la
jurifdiélion de l’évêque , à moins qu’ils n’aient titre d’exemption.
Cependant le fupérieur régulier peut auffi les vifiter
pour l’obfervation de b difcipline. Chapitres que doivent
tenir les congrégations de réguliers. Ibid. b. Appels des jii-
gemens des premiers fupérieurs des inonaAcres en congrégation.
Des délits des réguliers. A qui appartient b réforme
des réguliers. Ouvrages à confulter. Ibid. 43. a.
Régulier, bénéfice régulier, i l . 202. b. Chanoines réguliers.
III. 138. U. Chanoineffes régulières. 139. a. Chevalerie
reguliere. 309. a. Commandcrles régulières. 687. b. Communautés
régulières. 722. a. 723. a. Congrégation de cardinaux
qui a jurifdiélion fur les réguliers. 868. b. Cure reguliere.
IV. 372./>. EccléfiaAiques réguliers. V . 222. i. Gradué
régulier. VIL 8 1 1. a.
R E G U LO , {H ß . mod. ) fiire qu’on donne aux fils des
empereurs de la Chine. Anecdote lùAorique fur ce fujet.
X IV . 43. a.
REGU LU S , {Âflronom.) ou coeur de lion. Suppl. I. 824.
longitude de cette étoile obfervce en différens tems. VI.
64. b. heures de fon paffage au méridien. Suppl. II. 894. a.
Foyci L io n .
R EH AB IL IT AT IO N , ( Jurifpr. ) rélubllitatlon d’un coupable.
Rehabilitation Anguliere d’un homme à qui le poing
nvoit été coupe. X IV . 43.^2, Réhabilitation de nobleffe. Réhabilitation
de mariage. Ibid. b.
RihabiUtaiion , letues de réhabilitation de condamné, ÎX.
427. b. Réliabilit.ition de nobleiTe , ïhid. 6c X IV . 67. a. De
cdiion. IX. 427. b.
REICHEL, (GeorgeC/i/Vrit'/?)phyfio!ogiAe. Suppl. IV. 363.u.
RESCHELSBERG , ( Geogr. ) feigneurie du S. Empire,
dans le cercle de Franconic. Prince qui en perçoit le revenu.
Maifon qui en eA invéuie. Suppl. IV. 396. a.
R EICHEN AW , ( Géogr. ) ille du lac de ConAance. X IV .
43. b. Moiiafiere fondé dans ecitc iAe en 724. Elle fut unie
Reichenaw , ( Géogr. ) obfervations fur la maifon reli-
gieufe établie dans .ee lieu. IV. 396. a.
REICHENBACH , ( Géogr. ) ville de b iiaute-Saxe.
Nombre de fes maifons. Genre de v ie des habitans. Incendies
dont elle a été la proie. A qui elle appartient. Suppl.
IV . 396. a.
R e ic h en b a g h , ( Géogr. ) ville de la Siléfie Prufiïen-
ne , chef-lieu d’un cercle remarquable par les fabriques qui 1 enrichiffem. DéfaAres que cette ville fouflrit durant b
guerre de trente ans. Suppl. IV . 396. b.
^ R EICHEN HA LL, ( Géo^rr. ) ville de l’éleftorat de Bav
iè re , chef-lieu dune jiirifoiélion. Détails fur les falines de
ce lieu 6c fur celles de FravenAein , ville éloignée de Ret-
chenhall de trois milles d’Alltniagne. Ouvrages conAriiits
pour ces falines. 5«/’/»/. IV . 556. b.
R E I 5 7 5
REICHKNSTEIN, ( Géogr.) ville de b .Siléfie Pruffich-
11e. 6es habitans. Biire.iu des mines établi dans ce heu, 6 W .
IV. 396. b.
R e ic h e n s t e in , ( Géogr. ) foigncuric immédiate du S,
Empire dans R cercle de-WeAphalic. A qui elle appartient.
ouppLW. 396.0.
REJETTON tabac de , ( Fabrique de tabac ) Sa maiivaife
n > ^ ! < ' « l ’r.que des Indes. XIV 44 .7
— 6 O é ouvrage for l’inftinéL Suppl. III. 608. b]
R EIMS, {Géogr.) arc de triomphe trouvé fous fes remparts.
Portes de cette ville. Autres monumens connus Ibus les
nomsd arcadede Kemii-s 6i(le Runiulns. IV 397 a Et
d’arcade desbifons.iJétails forccséc(ifices.Sav.in,Rémoisdont
ia D I Èiicydopédic. Sommes confidérables que
M. labW Godmot a dépenfees pour rembeiliffemcnt de
Reims. Conmient le clergé de ceue ville apprit autrefois à
fes dépens I obligation ou il étoii d’alIiAer le roi de fon ar-
gein. IbiJ.b. Bienfaits que l'églile de Reims a reçus cic M,
le Tellier. Monumens prédcm.x que l’on conferve au rréfori
Portail de j ’égliic. Hilioire de cette ville par M. Anqiieiil.
Pertes caulees p.ir l'incendie de l’abbaye de S, Remi 6c de
b bibljothcque en,1774. XIV. 396. Voye^ Rheims.
, {Hiß. nat.) defcriiuion de ce zoophyte
découvert for les côtes de b C.-rolinc méridionale
Suppl. IV, 398. a.
REIMJECK, {Jean Guflave, ) XVII . 699, .r,
REINE , {H ß . mod.) on entend par b ou une femme
louveraine, qui poffede une couronne de fon ch e f, ou la
femme d'un loi. Reine douairière. Reins mere. Ceiiuure
de la reine. X V I . 48. b. Foye^ C einture.
R eine (fü de/, {H ß . des Hébr.) nom (|ue les liébroux
idolâtres donnoient à b lune. Endroits de l'éc itm e ou il eu
cA parlé. X V . 48. a. Culte qu'on lui re.idoit. b.
_ R eine pedauque , ( Sculpt, got/nq. ) nom barbare d’une
figure que l’on voit au portail de ((uatre anciennes égiifes
de France.Extrait d’un mémoire de M. l ’abbé leB e u f,d an s
lequel il recherche l’étymologie du motpéd.iuque , l’origine
des figures auxquelles on a donné ce nom , pourquoi' ces
figures étüienc reprefentees avec des piés d’o ie , 6c enfin pourquoi
elles étoienc placées aux portes des égiifes. X IV . 48./.
R e in e , {Mythol.) Junon. Statue qu’elle euràRome fous
le nom de reine. Refpeft qu’on lui portoit. XIV. 49. b.
R e in e , ( Criti^./ittr.) acceptions de ce mot dans l’écriture
faintc. Reine du ciel. X IV . 49. b.
R ein e , ( Ichthy. ) B a silissa .
WiltiE des prés , ( .5o/<2/i. ) caraftere de ce genre de plante.
X IV . 30. a.
Reines des prés. Defeription de cetre plante. Suppl. IV .
;<;8 .î.
R eine des prés, ( Mat. mcdic. ) propriétés & ufages de cette
pl.anie en médecine. X IV . 30. a.
R eine des vents ,{O m u h .) defeription de cet oifeau du
Mexique. XIV. 30. a.
R e in e , ceinture à la , ( /mpé/i ) XIV. 30. .7.
K eihe d ’or ,{Moniwie de France) on ne peut douter que
Philippe-le-Bel n'ait f.dt bnti-rc une monnoie de ce nom.
X IY . 30. <7, Quel en étoit le poids , le titre 6c la valeur
Ibid. b.
REINEAU , pere de l’O ratoire. Suppl. II. 71. <7.
RE IN E C C IU S , {Reinier) fes ouvrages. X V. 308. æ.
^ RE IN ER T Z , ( Géogr. ) ville du comté de Glaiz. Sa fmia-
tion. Fabriques de ce lieu. Scs eaux minérales. Suppl. IV
REINET TE , ( Géogr.) riviere qui palTe à Forges; phénomène
qu’on obferveàfa foiircc. V i l . 100. b.
R E IN IR EW , {Géogr.) ville de l'EcolFo dit milieu. Sa
fiiuation. Province dont elle cA la capitale. Suppl. IV.
398. é.
REINHARDS , ( Géogr.) terre feigneuriale d’Allemagne,
dans l’éleAorat de Saxe. InArumens d’optique & de mécha-
uique fabriqués dans cet endroit. 5opp/. IV. 59S. b.
R e i n s , { J n .u .) defeription des reins. Variation d.ins
leur nombre. Ufage des reins. XVI. ,44. b.
R eins , ( Anatom. ) ils fe trouvent dans tous les quadrupèdes
, les oifeanx 6c les poifibns. Jeux de la nature fur les
reins de l'homme. Leur Atuation. Suppl. IV. 398. b. Leur
defeription. Ibid. 399. a , b. Ancres 6c veines qui leur appartiennent.
Ibid. 600. a. Détails fur la Arudure de ces vif-
cercs 6c fur leurs Vaiffeau.x. Ibid. é. Examen de quelques qiieA
rions fur le paffage 6c les conduits des urines. Efpeces
de grains obforvés days le rein, que Malpighi a pris pour des
glandes. Ibid. 601. a. Pourquoi les eaux minérales 6c l’eau
froide paroiffent pafler très-promptement par l.i voie des
urines. Ibid. b. Comment certains corps étr.ingers peuvent
être venus dans l’urine. Les reins paroiffent avoir été faits
pour une fecrétion très-abondante. Cette fecrétion dépend
beaucoup de plulteurs caufes qui lui paroiffent étrangères-
ConAilUtions 6c nubdies dans lefquelles la quantité d’urine
n