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clo Poüiinie & c!e ibn lils. Ses travaux militaires ; Ta mort.
Suppl. IIÎ. 771. l>.
LOLLIA i^AULlNA. Pierreries dont elle fe paroit. VIII.
15.
LOLOS , ( Hiß. moil. ) gentilshommes chez les Macsflarais.
Trois ordres de nohlciFe parmi eux. IX. 680. b.
L(')?vlCAUlES , {Anat.) arteres, veines, glandes lombaires.
Dcfcription des cinq paires de nerfs lombaires. IX. 680. i.
L ombaikes , ancres, {yinjt. ) dcfcription de ces vailTeaux.
Suppl. 111. 771. b.
Lombaire. Glandes lombaires. VII. 702. a , b. Artères lombaires.
VU l. 272. b. Miifcles de la région lombaire. IbiJ.'Vcns-
breslombaires. X VII . i/ i.i.Nerfslombaires. Suppl. IV.43.U.
LOMBARD , {biiß. mod. & Comm. ) ancien peuple d’A llemagne
, qui s’établit en Italie. Marchands italiens appelles
de te nom en France. Rue Lombarde à Paris. Place Lombarde
, inailbn des Lombards à Amrterdam. Comment on y
prête fur gages. IX. 681. a. Petits bureaux répandus dans la
ville , qui rcirortilTcnt tous au Lombard. Ibid. b.
Lomb.tr.l. Billets lombards. II. 234. b. Lcole lombarde de
peinture. V. 324. b. Lettres lombardes. IX. 424. b. Loi des
Lombards. 664. b.
Lombards ; ( GJogr. une.) anciens peuples de la Germanie.
C e que Tacite nous en apprend. Hilloire des irruptions
des Lombards dans l’empire rotiain. Fondation du royaume
de Lombardie , par Alboin , vers l’an 360. HiRoire de ce
royaume. IX. 681. b.
Lombards. Origine de leur nom, IL 7 1 . a. Les Lombards
furent les premiers qui érigerent des ducliés. VI. 694. a. Ils
introduifireiu en France l'iifage des lettres de change. IX.
418. a ,b . Ufure des Lombards du tems de S. Louis. 3 3 2. <1.
Adoption par les armes , pratiquée parmi eux. Suppl. I. 1 74, b.
174. a.
Lombard , ( Pierre ) philofophe fcholaRique. X I.234 .^ .
X IV . 772. é.
LOM BA RD IE , ( Giogr. ) contrée d’Italie, Lombardie
cifpadane & tranfpadane , deux des plus beaux quartiers de
l’Italie, Diverfes fouverainetés & républiques qui fe formèrent
dans le royaume de Lombardie. Enumération des terres
que l’on comprend aujourd’hui fous la dénomination de
Lombardie. IX. 682. a.
Lombardie. Ce pays divifé en AuRrafie & NeuRrie. XI.
118. a.
LOMBES , roye^ L ombaire. Quarré ou triangulaire des
lombes. X llI . 66 3.u.
LONDINIU.M , {Géogr. anc.) ancienne ville de la Grande-
Bretagne. C e que Tacite en marque. C ’étoit la place la plus
importante de l’ifle. Divers noms qui lui ont été donnés. IX.
682. b.
LO N D R E S, ( G«(>5r. ) capitale de la Grande-Bretagne.
Paffages de Tacite & d’Ammien Marcellin fur cette ville.
Eloge qu’en fait M. de Voltaire. IX. 682. b. Elle jouii du beau
privilege de fe gouverner elle-même ; détails fur ce fnjet.
Son confeilcommun : comment elle cRgouvernée en matlcre
eccléfiaRique. Dcfcription de Londres & de fa cathédrale.
ARemblccs des non-conformlRcs dans cette ville ; (a population
, fon commerce. Auteur qui a donné la dcfcription des
monumens de cette ville. Origine de la plupart des établiffe-
mens qu’on y voit. Ibid. 683. a. Ouvrage du chevalier Hugues
Middleton , pour procurer de l’eau à Londres. HiRoire
oc defeription de la bourfe royale. Libéralités du chevalier
Thomas Gresham. On eR redevable à des particuliers de la
fondation de la plupart des écoles publiques. Fondateur de
celle des tailleurs. Hôpital établi par .M. Sutton. Ecole fondée
par le même. Statue de Charles I I , élevée par le chevalier
Robert Vincr. Incendie de Londres en 1666. Beau projet de
rétablir cette ville , formé bc exécuté par la nation angloife.
Ibid. b. Situation de Londres , fon étendue, ta pofitioii par
rapport à d’autres grandes villes. Ihid. 684. a.
Londres. Monument érigé dans cette ville en mémoire de
l’incendie de 1666. X. 698. ^7. HiRoire de l'éroRion de l’églife
de S. Paul de Londres. XII. 198, b. 199. a. Pont de Londres.
XIII, 72. b. Sa bourfe. X IV . 417. a. Suppl. I I . 3 i8 . u , é . La
tour. X VI. 460. h. 463. a. Etat des baptêmes bc morts de la
ville de Londres. XV-ll. 234. a. Du quartier , de l’églife &
de la falle de WeRminRcr. 603. a , b. — 606. b. College du
clergé de Londres. III. 633. b. College des doflciirs en droit.
Ibid. College royal des médecins, X IV. 418, u. Société royale
de Londres. 417. u, é. X V . 239. b. Suppl.lW. 804. b. Maire de
Londres. IX. 887. b. Les uRenRIcs de métal fe rouillent moins
vite à Londres qu’aillcurs. I. 233. b.
Londres, ville de rAméri(|ue méridionale. Pourquoi cette
ville fur appellee Londres. IX. 684. a.
LONE , S. Jean de , ( Geogr. ) Suppl. IV. 7 0 0 . , b. Obfcr-
vations fur le ficge de cette ville en 1636. 33. a.
LO N G E S , {Manege) voycr COKDL.S. IV, 2 11. u.
LONGEPOLEUR. Mines de diamant de ce lieu en Afic.
IV . 939. h.
LO N G IN ,(/ )fn ij ) philofophe & littérateur : obfcrvations
L O N
lur fa vie , fur fa philofophie , 8c fur ce qui nous refle de fes
ouvr.iges. V . 274. é. XL 801./’.
LO N 'G ITU D E , ( AJlron. ) longitude d’une étoile. .Moyen
de trouver la longitude d’une étoile , étant connues fa decU-
nnifon & fon afeenfion droite. IX. 683. a.
Longitude des ajlres. ( AÜron. ) méthode pour trouver
chaque jour la longitudedu folcil par le moyen de fa hauteur
& de fa déclinaifon. Suppl. lil. 774. b. Impcrfeélion de celle
que les anciens employoient pour trouver la longinide des
aRres. Celles que les aRronomes emploient généralement
aujourd’hui. Comment on détermine, par les obfcrvations ,
les longitudes & les latitudes des étoiles & des planètes. Méthode
pour trouver les longitudes géométriques des planètes,
lorfqu'on a lés longitudes liélioceniriques. Ibid. 773. n Comment
on trouve leurs latitudes géocentriques. Métiiode pour
connoitre par la longitude liéliocentrique d’une planète, fa
diRance à la terre. Ouvrages à confultcr fur ce dernier objet.
Ibid. b.
Longitude. Cercles de longitude. 11. 83 3. b. Mouveniein des
étoiles fixes en longitude, V l.6 4 . u, b. Foye^; Frécessjon.
Nutation, aberration en longitude , voye^ ces mots. Table par
laquelle on trouve pour les points de la fplicrc où le cei de de
déclinaifon eR perpendiculaire au cercle de latitude ; i". la latitude,
fi la longitude eR d o n n é e ;!“, la longitude, fi la latitude cR
donnée. Suppt.\'J. 921. /i. D es longiiudcs des pianotes. 399. a.
Longitude géoceiicrique d'une planète. V il. 6o6. a. Longiaide
héllocemriquc. VIH. 102. <1. Ligne de la ])lus grande ou de la
plus petite longitude : ligne de la moyenne longitude. IX.
3 21. U. Le mouvemenr des planètes en longitude diRlngué cai
moyen Sc en vrai. XII. 708. a. Rcfraélion de longitude. X l î l .
900. U. Argument de la longitude meiiRruelle de la tune. I.
649. a. Table des longitudes 6c latitudes pour les tllfférens
degrés d’afcenfion droite & de déclinaifon. Suppl. IV. 924. a.
Voyc[ L ieu.
Longitude d'un, lieu , ( Giogr. ) obfervations fur ce qu’on
appelle un premierméridien.Moyeu de connoitre la difi'éience
de longitude entre deux dift'érens lieux de l.i terre. Longuude
orientale , longitude occidentale. IX. 683. .1.
Longitude. Dimimiiion des degrés de longitude à niefurc
qu'on approche du pole. Maniéré de mcfiirer un degré de longitude
: regie pour en trouver la grandeur fur un parallcle
quelconque. IV. 763. a. Uf.ige de la t d;le de la couve: fion
des parties de l’équateur en tems , &. reciproc|ueincm, dans ht
recherche des longitudes. V, 842. a. D e h manière de compter
la longitude des lieux. V . 383. L
Longitude , en navigation. Qiiatrc difteremes maniérés
d’eRimer la longitude de deux lieux fur mer. La diRancç des
méridiens cRimée en degrés de l’équateur , ne donne point
la diRance des lieux par lefqucls i)alTcnt cc,s méridiens. Vains
efforts qu'on a faits jufqu'iei pour rélouclre le problème des
longitudes. L’objet que la plupart fe propofent, eR de trouver
une difference de tems encre deux points quckon((us3 de
la terre. Moyens qu’on a em;>loyés pour découvrir cctrc
différence. Phénomènes c é lc lT s , [)ar iefqueli on en peut
venir à bout. IX. 685. b. Explication de la-niéthode de trouver
Ic-s longitudes par les édipfes de lune. Difficulté de déterminer
les longitudes par l’obietvation du lieu de la lune
dans le zodiaque. Expoficion de cette méthode. Ibid. 686. a.
L’obfervatîon des occultations des étoiles fixes par la lune,
eR aiilli une méthode très-difficile & crèsA'om|)l:qiicc. La
plupart des habiles aRronomes croient que i’obfervation d’un
triangle formé par la lune avec deux étoiles , eR le moyen
le plus exaél &. le plus commode pour la folution du problème
des longitudes : détails fur cette méthode. Ibid. b. Des
tables & iiiRrunicns par lefqucls on en pourra faciliter la pratique.
Ouvrage <à confnlter pour réduire le lieu apparent de la
lune à fon lieu v r a i, & connoitre fa pavallaxe. De la mcihode
de découvrir Icï longitudes par les fatellites de jupiter. Expo-
fition de cette méthode : elle eR impraiiquable fur tner. Incertitudes
attacliées à robfervntion des édipfes de lune. Ibid.
687. a. Moyen facile de trouver la longitude , s’il cxlRoit des
pendules ou horloges invariables. Méthode qu’a imaginée M.
WhiRon par le moyen de la flamme & du bruit des grands
canons. Difficultés qu’elle entraîne. Ibid. b. Il fuit de tout ce
qui vient d’être d it , que les marins font encore réduits ;i des
inciiiodes très-iniparfaites. Idée générale de 1a principale de ces
méthodes. Ufage de la déclinaifon de la IwulTolc , pour
trouver les longitudes. Auteur à conliiltcr. Ibid. 688. a.
Longitude, {AJhon.) prix propofé en diiférens lieux,
& particuliérement parle parlement d’Angleterre , en faveur
de ceux qui réfoiidroicnt l'impoi cant problème dc.s longitudes.
Suppl, i l l . 772. a. Mémoire prefemé par Ne-wton , dans Ic-
([iiel il expol'edlfTérences méthodes pour le réfoudre , 8c leurs
inconvéniens. Aéle du parlement d'Angleterre, rendu en
1714,00111' rcncouragcnienr de cette recherche. Travaux de
lean Harrlfon. Succéa des expériences faites avec l’horloge
qn’il avoir conffruitc. Ibtd. b. Comment la récompenfe pro-
mife !m a été adjugée. Autres artiRcs qui ont travaillé dans
le même but qu’Harrifon. Succès des épreuves faites des mon-
L O N L O R 145
très marines de MM. Berchoud & Leroi. Principaux objets
de CCS horloges. _ , , . ,
Méthodes aRronomiques employees pour la recherche des
longitudes. D e L’obfcrvation des édipfes de lune ; de celle
des'lateUltes de jupiter. Ibid. 773. a. Moyen propofé par M.
Ir.bbé Rochon pour faire Air nier ces obfervations avec exa-
élitude. ARronomes qui ont cherché à perfeélionner les
méthodes fondées fur les obfervations de ha lu ne , 8c fur les
occultations des étoiles par cet afire. Travaux de M. Halley
dans ce but. Ibid. b. Méthodes propofees pour trouver les longitudes
par l’obfervation de la hauteur de la lime. Celle de M.
Pingre. l)étails fur la méthode employée par l’obfervation des
difiances de la lune au foleil ou à une étoile, Ibid. 774. a. Ouvrages
deRinés à en faciliter la pratique, Ibid, b,
Longuude. Milles de longitude. X, 313. a. Lieues mineures
de longitude. IX. 500. b. Solutions de quelques problèmes
fur les longitudes par rapport à la navigation. XI. 36. a , b. Scc.
Moyen de connoitre la longitude du lieu où l’oneR fur mer
par l'ufage du quartier de rédiiftion. XKI. 685. b. Par l’obfer-
vation des édipfe.s. Suppl. II. 762. a , b. Ufiige qu’on tire des
édipfes dos fatellites de jupiter pour la comioiuance des longitudes.
V . 298. b. X IV . 683. b. Suppl. IV. 739. b. Mémoire
de Newton fur le problème des louglnuies. X V II . 634. b.
Ufage de la table des latitudes croiffiintes pour trouver fur
mer le changement de longitude pour un mouvement donné
cji latitude. Suppl. lU. 710. b. Ufages du mégametre , de
l ’odant ou quartier de réflexion , 8c du trochomeire pour la
dctei mination des longitudes. Voyes^ ces mots.
LO N G IT U D IN A L , {Anatom.) fibres longitudinales Sc
fibres circulaires. Sinus lojigitudùial fupéricur , ou grand
films de la dure mere. IX. 688. a.
LO N G JUM E AU , {Géogr.) bourg de l’ifle de France.
Sou prieuré. Les terres de Chilly 8c de Longjumeau , érigées
en marquifat en 1624. Suppl. III. 776. a.
LO N G OM O N T A N U S , {Chrétien) fes tables aRronomiques.
X V . 798. a.
LO N G R A T E , ( Géogr. ) bourg de Gnienne. Sa population.
Mort apparente de N. G elas, curé de Longrate, âgé de 101
ans. Suppl. III. 776. a.
LO N G U E , {Muftq. ) longues de trois efpeces, dont
Mûris 8c fes contemporains faifoient ufag e, favoir la par-
feite, l’imparfaite 6c la double. Suppl. III. 77(0. a. — f^oyc^
B reve.
Longue. Syllabe longue. Notes longues en mufique. IX.
688. a. Longues pieces, en terme de fondeur de caraélores.
Lettres longues , en terme du même art. IX. 688. b.
Longue, durée d’une v o ye lle longue. Exaftitude des latins
à dîRingucr les brèves 8c les longues. Marque de la brève Sc
de la longue dans la profodie latine. II. 414. a. Ancien ufage
des latins pour défigner une voyelle longue. V llI . 423, a.
Pourquoi toute diphthongue eR longue. 199. b. Des fyllabes
breves 8c longues. X llI . 633. b. 8cc. Raifon, naturelle de la
longueur de certaines voyelles. Suppl. I. 604. é.
Longue , riviere. — ( Gèo^. ) dans l’Amérique feptemrio-
nalc. Suppl. I. 3 36. a. 237. a , b.
LO N GU ERU E , ovtïongrue, {Géogr.) ancien village de
Normandie , à quatre lieues de Rouen. Patronage de l'églife
de ce lieu. Fie f de Longuerue. Obfcrvations fur Louis Diirour,
abbé de Longuerue 8c fur fes ouvrages. Suppl. III. 776. h.
LO N G U L V A L , ( Jacques ) lavant théologien. XII.
390. b.
LO NGU EVIL LE-LA -G IF FA RD , ( Géogr. ) bourg de
Normandie, au pays de Caux. Son prieuré. EtabliiTemens
remarquables dans ce lieu. Seigneurs qui l’ont polTédé. Obfcrvations
fur les ducs de Longueville. Hôtel qu'ils avoient à
Paris. Suppl. 776, b.
LO NGUEUR , ( Marine. ) de l’étrave à l’étanibovd , de la
quille, d’un cable. IX. 688.
•Lo n g u e u r , (Afu/;«;?.) palTéecr un cheval de f.ilonsueur.
IX. 688. b. ' ^
L o n g u e u r , ( IX. 688. é.
Longueurs, rnefure des. Fuj'fç MESURE.
LO N GW Y , ( Géogr.) ville du Barrois. Obfervations fur
François de M e r cy , général de l’armée du duc de Bavière.
Suppl. III. 777. a.
LO N IC ERA , f ^ Voyc{ CHAMffCEiUE,
LONICKRF ,, ( Boian. ) efpcces renfermées dans ce genre
de plante. Leur caraitere commun. Ces plantes rangées par
Linnæus en trois divifions. Suppl. 111. 777. a.
LONS-LE SAU N IER, ( Gèegr. ) ville du comté de Boiir-
gogne.Son abbaye de filles de Sainte-Claire. Suppl. III. 777. a.
(ôl)fcrvatious fur quehjues hommes célébrés, nés dans ce
lieu ou dans fon voifinage, 8c particuliérement fur Jacques
Baiilot ou Baiilieu, connu fous le nom de frere Jacques 1 Hctniiie , célèbre chirurgien 8c lithotomiRe. Détails fur une
forte de mine de bois foilile, découverte en 1761 , prés de
cette ville. Ibid. b.
LON-YEN ou Liim-ycn, {S o t. exot.) nom d'un fruit delà
Chine. Dcfcription de ce fruit, Comment on le conferve.
Y iii qu’on en tire. Ufage d e là poudre de fon noyau. IX.
689. a.
LO O C H ou look , ( Phann. & Tliérap.) noms grec 8c laii.n
de cette préparation. Rcmede.s 8c matières dont le looch cR
compofé. D e la maniéré d’unir diftorens ingrédiens fous la
forme de loocii. Maniéré de compofer le looch blanc de la
pharmacopée de Paris réformé. lA . 689. De l’ufage médi-
ùnal Sc de la vertu des looclis. Ibid. b.
Looch fee. XIII. 188. b.
LÜEÈS c/« Vega -, {Ferdinand) poète Efpagnol. III. 667. b.
LÜ P Ü S , (Géogr.) jteuplcs fauvages du Brefil. Leur defeription,
Richeffé de la contrée qu’ils habitent. I.X. 690, a.
L O Q U E T , ( Senur. ) loquet à bouton , à la capucine. IX.
690. a. Loquet poucier, loquet à vrille. Ibid. b.
Loquets ÖC loqueteaux. XVII . 823. a. Bafcule d'un loquet.
H. 113. é. battant de loquet. 147. a.
Loquets , ( Comm. ) forte de laine. IX. 690. b.
Loquet , ( Krgetier. ) IX. 690. b.
LO Q U E T E A U , {Sarur.) efpece de loquet. Sa defeription.
Loqueteau à panache, IX. 690. b. l^oyc^ Loquet.
L O R D , ( Hiß. mod. ) Origine de ce nom. Sa lignification
primitive. DiR'érens ordres de gens qui portent ce titre en
Angleterre. Deux efpeces de poiTelfeurs de terres feigneu-
riales qui reçoivent ce titre. Lord, haut-amiral d’Angleterre ;
fon rang , fes fonélions & fes privileges. Officiers qu’il a
fous lui. IX. 691. a. Lord , grand-maître de la niailbn du roi.
Fonéflons de fa charge. LiOrd-avoeat, tréforicr, chambellan de
la mailon; h.iut-chancclier d’Angleterre; lords de la c/ramé« ,
de la trcforeric.V oyez tous ces mots imprimés en italique. Lords
des comtés ou provinces. Leurs pouvoirs 8c fonélions. Officiers
qu’ils ont fous eux. Ibid. b.
Lord-maire , {Jurifpr. ) premier magiRrat de la ville de
Londres. Détails fur ce magiRrat. Fondions des shérifs. IX.
691. b.
■ Lord-maire , magiRrat qui lui fert de confeiller , XIII.
863. a.
LO R D O S E , {Médec.) maladie des os propre aux ulcérés.
Etymologie du mot. Etat de l’éjrine oppofè à la hoffe.
Définition de Galien. Hypocrate moins exaél dans fa définition.
Caufes de ce vice. Cet état plus daiigereu.x que la bofle.
IX. 692. a. — Foye^ EpiNE,
LORENS , ( Jacques de ) poète. XII. 329. b.
LO R E N Z E T T l, ( Ambroife ) peintre. X V . 180, a.
LO R EN Z IN I , ( Etienne. ) anatomifie. Suppl. I. 400. b.
LO R E T T E , ( Géogr. ) ville d'Italie, aff'ez pauvre. Obfervations
fur Téglife, Defeription de la cafa fania. Tréfor de
Lorette. Situation de cette ville. Ville d'Amérique , appdlée
Lorette concho. IX. 692. a.
Lorette , ( Géogr. ) de l’immenfité des richeffés de cette
églife. Suppl. III. 777. b. Paff'age des lettres de madame du
Bocag e, qui contient la defeription de la ville 8c de l’églife
de Lorette , 8c par lequel on peut juger de la richeiTe de
fon tréfor. Ibid. 778. <2. Tableaux remarquables dans ce lieu-
Ouvrages de JuRe-Lipfe qu’on y conferve. Pèlerinage à
Notre Dame de Lorette, autrefois;i la mode. Examen de l.i
queRion , fi la maifon dans laquelle Jefus-CliriR a été conçu ,
ÖC où la Sainte-Vierge reçut la vifite de l’Ange , a été véritablement
tranfporiée vers la fin du treizicme fiecle , de
Nazareth dans la Marche-d’Ancoiic , dans un champ appartenant
à une veuve , nommée Lorette , d'où le nom eR reRé à
Téglife. Ouvrages à confulter, Ibid. b.
Lorette , canal de , {Géogr. ) Suppl. IL 184. a.
Lorette, ( Ordre de Notre-Dame de) Suppl. IV . 61. a.
LO R IC A R IA , {Ichthy. ) caraélere de ce g;nrc de poiflbn.
Ses ef[)eces. Suppl. III. 777. b.
LO R IO T , ( Ornii/iel. ) defeription de Toifeau de ce nom.
IX. 691. b.
LO RM E , {Nicolas d e ) médecin. X. 818. a , b.
LORRAIN , ( Claude le ) peintre. V . 320. a. Ses payfages.
XII. 212, i.
Lorrain , ( Robert le ) fculpteur. XIV. 831. <r.
LO R R A IN E , ( Géogr. ) écrivain qui a donné ThiRoire de
cct état. Abrégé de cette liiRoirc. IX. 692. b. Origine du mot
Lorraine. Ce pays fit la plus confldérable partie du royaume
d'AuRrafic : elle fut par fiicceflîoji de tcujs divifée en deux
grands duchés. Etat jn'éfcm de la Lorraine; fes bornes 8c
Ton étendue. Obfervations phyfiqiies fur le pays. Bailliages
renfermés dans la Lorraine. Origine de fes ducs. Comment
ce duché doit cire réuni à la France. Ibid. 693. a.
Lorraine, mines de ccite province. I. 637. i . 638. Titre
que prenoient les princes de la maifon de Lorraine. X. 143. b.
Droit de Lorraine 8c de Bar. V . 129. b. 130. a. Chancelier
de Lorraine. HI. 101. b. Confeil des ducs de Lorraine, IV.
in .a , b. Des impofitions de la Lotraine 8c du Barrois. VU L
599. a , h. Aimes des ducs de Lorraine. Supph I. 314. b.
LORRIS , ( Géogr. ) ville de France en Orléanois. Obfcrvations
fur la coutume des Luriis. IX. 693. a. Guillaume de
Lorris, premier auteur du loinaii de la ro fe , naquit dans
cette ville. Ibid. b.
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