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a 6 i M O cette operation. Timidité üc (Kipidité des moulons. Foiblelîe
de leur tempérament. Variétés entre les moutons f'uivani les
diflerciis pays. Obfervations fiu' cou.': de quelques provinces
de Fr.atice. Ibid. 827. u.
4/e/;fci/;. D u parcai;c des moutons. V , b. XT. 925. l>.
Soins qu’ils exigent. ^ V l, 714. ,t , b. — 71S. .1. Moyen d’augmenter
en France le.s troupeaux de moutons. V I . ^37../, b.
Calcul des profits qu’ils proenreroient , augmentes autant
qu’ils peuvent l’éirc. Ibid. b. Moutons remar((uables dans le
Mogül. I. 739. J, Articles lur les moutons au mot
Mouton , ( Dlele & M^r. médic. ) qualité de la chair de
mouron. Uonilion de cette forte de viande. Quels font les
Keux où l’on élève les meilleurs tiioutons. X. 827. a. Des
roonrons de Ganges, en bas-Languedoc , & de la plaine de la
C ran , en Provence. Ceux qu’on apporte à Paris de Fean-
v.ais , des Ardennes Sc du Préfalé , près de Dieppe. Montons
dcs_ ifles de l’Amérique. Confidérations diététiqHcs fur les
dilléremcs parties du mouton. Ufage médicinal de la grallfc
folidc ou fu if do moucoii, de fou liel , de fa laine , Fcc.
Ibid. b.
Moutnn, analyfe de fa chair, confidérée comme aliment.
I. 267. b. On dit que les Tartares chinois tirent une liqueur
fpiiltueufe de h chair du mouton. VIII. 244. b.
Müiuon du Pérou, rapport de cet animal au chameau. Sa
defeription. X. 827. b.— Foye;^ Pa COS.
Mouton , Cjp de , { Marine. ) U. 624. b.
Moutons , ( Hydraul. ) X. 827. b.
Alüufon, terme de charpentier, de charron, de fondeur
lie cloches , & du riviere. X. 828. a.
Mouton , {ALx/!a/ii>].)ôes montons, de leur poids, &
du nombre d’iiommes à employer à proportion de leur
poids. XII. 607. b. -Machines à cet ufage : moyen de faire
lâcher le mouton. 608. a. E.xainen de la force de pcrcuilion
des moutons. 609. a. Calcul de la force avec laquelle le
mouton frappe le pilot. 624. a. Des moutons & de leur
confh-uélion. XIII. 47. b. Moutons repréfentés vol, II. des
planch. Charpenterie , pl. 23. — 23.
Momon auquel on fiil'pend une cloche. III. 543. n.
M O U T U R E , d’où dépend la qxjalité de la farine, relativement
à la mouture. IntroduéHon dans les liôpltaii.x de
Paris d’une nouvelle maniéré de moudre , fuivant laquelle
une mèine quantité de grains produit en farine environ un
quinzième de plus que la melurc ordinaire, par la mouture
afiitelle & ordinaire. X. 828. j . Détail du produit des grains
convertis en farine par l’une & l’antre maniéré. La moiitiire
p.nr économie , [oim à l’avantage de produire un quinzième
de plus , celui de rendre toutes les farines allez parfaites
pour être employées à une feule Fc meme qualité de pain
qui ell la premiere. Ibid. b. En quoi les deux méthodes different
l'-une de l’autre. Les avantages de la nouvelle maniera
doivent être fur-tout redierchés dans les provinces ou les
états qui ne prodnifent de grains que cc qu’il en faut pour la
conlüinination des hahitans. Ibid. 829. a.
■ Moulure. Droit que les feigneurs, qui ont des fours Lan-
naux en Normandie , exigent pour la mouture du blé qui n'a
pas été moulu dajis leurs moulins. XVII . J72. j. Nouvelle
inétliode pour la moimrre des grains : celle que les Romains
pratiquoient. Suppl I. 218. b. 219. a , b. Prix de la mouture
du feigle, 922. b. Voye^ Meuniek.
M O U V A N C E , {^Jurifpr.') elle eft quelquefois appellee
tenue ou tenure. X. 829. b. Mouvance aftive &l paffive. Mouvance
médiate & immédiate. Mouvance conteliéc. Pref-
criptron des mouvances. Ibid. 830. a. Ouvrages a confulter.
Mouvance d’une jullice. Ibid. b.
AIouvar.ee des pairies. X L 763. b.
M O U V EM E N T , {Aléch.) fens étendu dans lequel les
anciens philofophes ont confidérc le mouvement. Les modernes
n’admettent que le mouvement I0c.1l. Difficultés qui
ont été laites contre lexiffence du mouvement. Réponfe à
ces difficultés. X . 850.é. Sophifmede Zenon contre le mouvement.
Réponfe. Différentes définitions du mouvement données
par les péripatéciciens, les épicuriens, les cartefiens
6c quelques autres philofophes. Ibid. 831. a. Les modernes
divifent le mouveinem en abfolu & relatif. Difficulté de
décider fi le mouvement d’un corps eft abldlu & relatif.
Moyens généraux que Newton indique pour cela. Ibid. b.
D ’autres divifent le mouvement en propre 6c impropre ou
externe. La raifon de ces différentes divlfions paroit venir
des différens fens qu’on a attachés aux mots , en voulant
les comprendre tous dans une même définition & divifion.
Il n’y a que trois efpeces de mouvemens , que l’auteur
appelle, le mouvement abfolumeni & vraiment propre, le
mouvement relativement commun. Ibid. 832. a. & le mouvement
relativement propre. D e toutes ces difimélions, il réfulte
aut.ant de définitions différentes du lieu. Difpiites des pltilo-
füphes par rapport à la qiieffion , fi le repos eft une pure
privation du mouvement, ou quelque chofe de pofitif. Ibid. b.
Xrojs principales loix auxquelles on peut réduire les modili-
M O U entions de la force aélive 6c de la force paffive dans leur
choc; i". perfévérancü d'un corps dans fon état 3 2''. loi
generale du changement qui lui .inive dans le mouveme'i'.t ,
3 . de la réaflion. Autres chofes à confidérer. r*. D e -a
force motrice. Ibid. 833. 2". Du teins peiuiani lequel J--
corps le meut. D e l’efpace qu’il parcourt. 4^ D e M
vitefie. 5“. Do la maffe des corps en venu de i.Kjiidle üs
rclilteiu à la force qui tend à leur imprimer eu à leur ô:tc
le inouvcmcnc. /We*. é. 6". De la quantité du mouvemenr,
7 “. De la diieélion qu II fuit. Comment on efiime la quantiié
on la grandeur du inouvement, appellee aufii moment parles
philofophes. Afin que deux corjis aient des inomcru
égaux , il faut que les lignes qu’ils parcourent foieiit en i;u-
lon réciproque de leur malle. Ibid. 834, a. Examen de i.i
quefiion , fi la quantité de mouvement eff toujours la meme.
Sentimens des Cartéficns & des Nevvtonicns fur ce fujer.
Ibid. b. Caufe de la continuation du mouvement. Sur la communication
du mouvement, voyc^ C ommunicattün , 6c
Percus s ion. Application des pliilofoplics modernes à U
foence du mouvement, que les anciens avoient négligée.
C c il à Galilée que l'on doit en grande partie cette fcicncc.
Ibid.%-^^. a. qui enfuite a-été perfedionnée par To rrlec!!:,
Hiiyghcns, Newton , Leibnitz, 6cc. Le niotivemeiu peur
ctre conlidéré comme uniforme 6c comme varié. Loix du
mouvement u n i f o r m e . b. Loix du mouvement v a r ie ,
c’eA-à-dire, accéléré ou retardé. AW .-837. a. Loix de la.
communication du mouvement par le choc. Ibid. 838. b. D éfinition
du mouvement fimplo 6c du mouvement compole,
Loix du mouvement compofé. Ibid. 839. a. Exemple qtif.
montre qii un corps peut éprouver plufieurs mouvemens à
la fois. D e ia ligne courbe détruite par un moiivemeiir com-
}»fé. Le moiive.ment inAnmané d’un corps eA toujours en
ligne -droite. Ibid. 840. a. Mouvement dans lequel {c.s pairies
changent de place , quoique le tout n’en cha.nge point. A u teurs
à confiilter. Ibid. h.
Mo u v em en t , {Méiaphyflq.) comment nous acquéro.ns
h dée 6: la notion du ntonVemenr. VI. 44. a. 261. b. X V IL
34a. b. Comment le fens du toucher le difecme. X V . 821. u.'
Nous ne pouvems jaiger par les fens que du mouvement relatif
des corps, 8c non point de leur monveinent abiblu. X V .
23. b. Poin-qi.iüi les corps qui fe meuvent cxtréjuemeut vite
paroiffent en repos. X V II . 342. b. Pourquoi un charbon
allumé, tourné rapidement en rend , nous fait voir un cercle
de feu. 368. é. Loix de la vifion par rapport au mouvement
des objets vifibles. 342. b. e,6y. b. Le mouvement n'eA pas
un attribut cffenticl à la matière. VI, 134. b. Tout changement
opéré dans les corps, n’arrive que par le mouvement
mouvement ne peur être
effeAué fans vuide. X V II . 372. b.
Mouvements On le diAingue en abfolu 6c en relatif. X IV .
138. b. Quantité du mouvement. X. 223. a , b. XIII. 634. Z
Viteffe. X V II . 339. b. Confidéraâcns fur le mouvement appli-
mié à la méchanique. X. 224. w, b. Loix du mouvement.
XI. 41. a , b. Loix de la perculîion dans les corps élaAioues
6c non élaAiques. XII. 331. i. - 3 3 4 . é. Un corps mis en
mouvement doit y perfiAcr uniformément 6c en ligne droite,
tant qu’une nouvelle caufe n’agira pas fur lui. VII. i j o . b.
Loix de ia communication du mouvement. III. 727. b. V . 874.
a. Loix du mouvement compofé. III. 769. b. IV. 933, a. Un
même corps, felon que fa tendance au mouvememcA diA«-
remmem appliquée, produit différons effets, les uns piopur-
tionnés à f.i viteffe , les autres au quarré do fa viteffe. V IL
114. i . Découvertes de Galilée fur les lois du moiivcmcnr.
Suppl. III. 174. b. Prefque toutes les loix du mouvement ,
trouvées par Defeartes , fontfauffes, félon les Léibiiitzicns.
IV. 1 16. b. Les loix du mouvement fe réduifent aux loix de
l’équilibre. V . 173. b. VI. 300. a , b. 889. a. Des caiifes du
mouvement : caufes métaphyfiques ; elles nous font inconnues.
IL 790, b. Effets de la force d’inertie fur le monvemonL
des corps. Suppl. IK. 86. b. Recherches fur la caufe inéta-
])hyfique de la communication du mouvement. III.
Gaulés méchaniques , voyc^ Impu ls io n. VIII, 633, a. Deu.v.
fortes de caufes capables de produire ou d’altérer le inouve-
menr. IL 789. b. 790. a , b, Confervatioii du mouvement, fu
caufe. VU . 110. b. Mouvement é g a l, V . 414, a. uniforme.
X V II . 381. <ï, b. Continuation du mouvement. IV, 113. b.
Accélération du mouvement, voye^ R ésistance & Re t a r d
a t io n . Mouvement d’un corps clans fa dune. IV. 874. a ,
b. Mouvement d’un corps pouffé de bas en haut. Voyc-'
A sC’ NSIo n . Mouvement d’un corps dcfcenclant fur un plan
incliié. I. 6 2 .^ , b. VIII. 632. a. XII. 692. b. Mouvement
angulaire. I. 467. a. Mouvement d’un corps fur fon axe. I l f .
729. a. voycç Ro t a t io n . Mouvement compofé. )I1. 767. b.'
768. a. 769. b. &c. IV. 933. U. Mouvement elliptique & circulaire
, vovcç C entrales U. 822, a, b. Expérieii*'
ces de Hooke fur cette forte de mouvemeut. X V ll, 613. b.
Mouvement des projcAiles : loix de ce niouvemeiK. XII.'
437. b. Scc. voyei B al ist iq u e . Mouvement d’ofelllaiion.
XI. 679, a , b. Application du calcul intégral à ia feience du
ill! fl Lf
M O U mouvement. Suppl. III. 674. Du mouvement perpétuel.
X ü . 39-pÉ. Comment on,doit cAiincr la force ü'un corps
en mouvement. ^TL i i z . b . XVII . 339. b. Mouvement iii-
tvdiii dans les corps. V . 404. b. V L 317. i. voye^ É miss
io n .
Mo u v em e n t , {Aiee/i.m.') combien h roldeur des cordes
6c leur ifoncnient augmentent la difficulté du mouvement,
6ic combien il importe de calculer exaitement ces réTiAances
dans les grands effets. IV, 208. b. Confidérations fur le môu-
Yciiienc dans les machines. IX. 794. b.
Mo u v em e n t , (Hydrofiat.) du mouvement des fluides.
VH î. 371. b. De la confervation des forces vives dans le
mouvement des fiuidcs. V IL 1 1 3. e. Loix du mouvement des
iluides. VI. 884. a , b. Loix du mouvement des lleiives. 871.
a , b. Mouvement d’un corps fur un Auide. 880. a , b. Du
mouvcmcin des folides dans les fluides. 887. b. Du mouvement
des fluides élaAiqiies. V . 446. a , b. Précis d’un ouvrage
fur le mouvement tics folides & des fluides. XI!. 324. a , b.
Mouvemens inteAiiis des fluides 6c des folides , voyet^ F l u i d
ité 6c. É.MISSION.
M ouvement , ( Àfiron. ) mouvement diurne ou coirimun;
mouvement fecond.iire bu propre. X. 840. b.
Mouvement. DiAinéfion du mouvenleiit commun 8c clti
mouvement propre. IV. 1087- b. Mouvement de la terre.
XVI. 1ÖÖ. b. Mouvement diurne. Suppl. 1. 662. b. Mouvement
horaire. III. 434. é. Mouvement des planètes.
XII. 703. h. 706. a , b. Suppl. I. 663. a , i.T ro is états des
planètes dan.s leur mouvement apparent. IV. i0 23.é.Mou-
vciner.r accéléré ou retardé dos phuietes. I. Ö3. æ. Mouvement
d’une planète d’uue apfide à l’autre. I. 361. b. Inégalités
dans leur mouvement. VIII. 693. b. Invention de
l’épicycle pour l’expliqiier. V . 783. b. Mouvement de rotation.
Suppl. I. 663. b. Suppl. IV . Ö79. b. Mouvemens de
l’apogce , de l’aphélie, des iiccuds , veyc^ ces mors. Epoques
des moyens mouvemens des pianotes. Suppl II. 830.
a , b. Equations dans le mouvement des planètes , voye^
E q u a t io n . Le mouvement des planètes principales, fujet
é moins d'irrégularités que celui des planètes fecondaires.
X IV . 838. a. InArumcnt qui rcpréfeiue le mouvement des
planeres. Suppl. \W. 398. a , b. Sur le mouvement de chaque
planere, vo ye z Ion article particulier. Sur le mouvement
des étoiles , voye^ Eto il e . Calcul des mouvemens cé-
lefies, vt»yE^ C a l c u l .
M o uv ement de l'ylpogce , (A firon .) mouvement de l’apogée
de la lune. X. 840. b.
M o uvement animal, ( Econom. anim. ) les mouvemens
animaux divifésen fpomanés & naturels. X. 8 41.a.
Alouvement. Du mechanifine des mouvemens du corps
humain. Suppl. III. 876. a , h. Caufe de tous les mouve-
inens intérieurs. I. 610. a. Mouvemens volontaires. XVII .
434. a. Expériences qui prouvent que le fentiment 6c le
mouvement ont leur principe dans lafubAaficc médullaire- II.
S63. b. Différence entre les mouvemens volontaires 6c involontaires.
II I .664..!. Mouvcmensvolomaires, 6ccepea-
dant iri éliAibles. Suppl. IV. 633. é. Ces mouvemens dillingiiés
de ceux qui. font purement méchaniques. 634,6. Caufe des
mouvemens méchaniques 6c des moiiveinens fponcanés. VI.
362.^2. Hypothefes pour expliquer les caufes des mouvemens
vitaux. VI. 363. b. X. 210. a , b. ~ 222. a. S u p p lll.
493. r f, b. Merveilleux appareil des organes de notre corps
dcAinés au mouvement. V l l I . 869. b. Mouvement de cou-
liffe dans l’articulation de certains os. IV . 333. a. Mouvemens
de flexion 6c d’extenfion dans les membres, v o ye z ces
mots. Mouvement des humeurs. 466. b. Mouvement périf-
taliique ; ceux de fyAole 6c de diaAole, vo ye z ces mots.
Mouvemens excités en nous , que les médecins appellent
rniture. VI. 362. b. Mouvement nuifciilaire. X. 889. b. —
893. J. Suppl. III. 978. 6 , 6cc. Foyer (Eco n om ie Anima
le.
Mouvement progrcjjîf des animaux. XII. 3 3 7 ..? , b. XIII.
4)3- a , b. Des reptiles. XIII. 787. a. X lV . 1 3 0 . , b. X V I .
330, J. des ferpens, X V . 108. b. dés vers,- XV II . 39. b.
41- b. du hérifibn de mer, VIII, 161. b. des chenilles ar-
ponteufes. Suppl. I. 368. a. Obfervations fur la faculté loco-
mqciv'c des unimaux. 437. b. Mouvemens obfcryés dans cer-
U'iiies plantes. 433. b. Pourquoi les mouvemens font fi variés
dans les animaux & fi uniformes dans les vcgéianx. I,
Mo uv ement , ( Mèdec. Diete ) voyer Ex e r c ic e ,'H yg ien e ,
no n-naturelles , CîtOSES , (régime)
Mo u v em e n t , ( A n milit.) la fclenée du mouvement
tics troupes eA une des principales parties de celles du gé-
mouvemens, deux cliofes' méritent d’êife
con uierees , la fimpHcité & la v ivacité. .‘Avantages qu’on peut
tuer des mouvemens exaftemeiu combinés. A. 841. U. Dés
mouvemens en avant, En quel cas te niouvetneiu rétrograde
Ï^ONs^“ '^ I b id , y M ar che , .Ev o l u -
'.Mo u v jm IMT . ( Muß,. ) J , ,
M O Y 263 1.1 mefiirc. Marche OU progrès des fons de chnquc partie du
grave à la igu , 'oude l’aigu au g riv e. X . 841. 6.
Mouvement. Différens degrl-s de mouvement dans les
pieces de huifique. Rapports de ces mouvemens avéc les
palfions qu’on veut exprimer. Suppl III. 970. D-;ijx
fortes de mouvernefis diAingiiés dans la voix Immainc* ;
celui de la voix parlante , 6c celui de là voix chaniaïué!
Mouvûnan. Des moyeils d’expreffion qu’il fournit. Suppl
n. 913. a. 924. b. Un mouvement v i f pciif cxprimcr^la
douleur fiirieufé , comtne i! fert auffi à rexpreliion de la
joie. VII. 661. a. Dti mouvement de raccompaGnemcni.
• Suppl. II. 927. ^
M o uv eme.v t du ßylc , ( I .h i. Poéf. Elo'p ) analogie entre
CS mouvemens du flyle 6c ceux de Tarne. Suppl III. 970.
b. Le talent de les employer h propos n’cA que le talent de
fe pénétrer des affeéUons qu’on exprime. A l’égard du Ayle
cpique, le moyen de Tauinier à propos confiAe h fnppofer
une ame a tout ce qui , dans la nature , donne quelque
ligne de vie. Cette induélion eA une fource intalifiàble de
poefie , 6c_ une regle infaillible & univerfelle pour la jtiAcffe
ou Ayle figuré. Ibid. 971, a. D e la même fource naît cet
intérêt umverfel répandu dans la poéfie, le plaifir de nous
trouver par-tout avec nos felnblables , de voir que tout
fent , que tout agit comme nous. Noivfeulemeiu Taition 6c
la végétation , mais le mouvement accidentel 6c ciuelijuc-
fo:s_ même la forme & Tattitude des corps dans le repos
ftifhfent pour Tillufion de la métaphore. Mais pour que
cotte illufion aie lieu , il faut qu’elle ait Ton principe d.ms
Tapparcnce des chofes. Autre moyen d’animer le A y le , loi f-
qii’on adreffe ou qiTon porte la parole ati.x abfcns , aux
morts, aux chofes infenfiblcs. Ibid. b. Pourquoi ces mouvemens
fi familiers au Ayle dramatique fs rencontrent fi rarement
dans le récit de l’épopée. F.fpece de délire oiiuan-
quille ou paflionné, que fuppofe l’emploi de ce qu’on appelle
hypotypofe 6c profopopée. Ibid. 972. a.
Mou-vemtnt dit fiyle. D e Tafforriment du Ayle au mou-
veulent de TaéUon qu’on décrit. Suppl IV. 340. a.
Mouvement, (Hydraul.) ce qui met une machine en
branle. X. 841.6.
M ouvement , (Mantp^e) cheval qui a im beau mouve-é
ment. X. 841. A.
Mouvement de reglArcs des clavecins. X. 841. h.
Alouvement deTorgue, pieces parle moyen defqiieüeson ouv
re &, on ferme les regiAres. Defeription de ce méchanifme.
X .8 4 i . i .
A/o72vmrnrdu coupde p ié , dans la d.anfe. Mouvement du
genou.X. 842. a. Mouvement de la hanche. Ibid. b.
Mo uv ement , ( Horlog. ) définition. Mouvement en blanc,.
X. 842. b. F inisseur.
M o uv ement 5 (Rhétor.) Pa s s ion .
M o uv emen t , propre, (Jurijpr. ) arrêts rendus par le roî
en fon confeil, de fon propre mouvement. Le pape emploie
quelquefois dans les bulles & brevets la claiife moiu proprid.
Cotte claufe regardée en France comme contraire aux libertés
de l’églife. X. 842. b.
^ MOU V ER , de fo n d , ( terme de riviere ) l’augmenratioii de
viteffe dans Teau du fond de la riviere annonce un prompt
accroiffcmemdes eaux. Quelle on cAla raifon. X.842. é.
M 'à u vE R , (Rafin. de fucre.) détails fur cette opération.
X. 842. b.
M O U V ER ON , ( Raßn. dé fucre ) defeription Sc ufage
de cet inAriiineiu. Mouvéron du bac à chaux. X. 483. a.
M O U Z O N , ( Géogr. ) ville de France. Auteurs qui en
ont écrit ThiAoire. Origine de fon noîn. Sa fituation. Précis de
la vie de don Mabillon, né dans le voifinage de Mouzon. X.
844. a. S'es ouvrages. Ibid. b.
M O X Ä , ( Hiß. nat. Alédec. (y Chirurg. ) nom que les Ja-
ponois donnent à une efpecè de duvet fort doux au toucher ,•
femblablc à de la filaffe de lin. Maniéré de TappUqiier fur la
partie qu’ils veulent caiitérifer. Opérateurs employés à ce métier.
Maladies dans lefmielles fe fait cette opération. PoAure dè
celui qui doit la fouffrir. C e remede employé même par
les p'erlbnnes en fanté. D e fon ufage pafiiVinous. X. 843.
Afoxa. Ufages qu’en font les Afiatiques. V . 87. a. VI. 623.
a. Suppl. 1, 362. a. Son ufage dans la feiatique & autres maladies
fcmblables. XIV. 783. h.
MOXES , ( Géogr. ) affemblage de différentes nations idolâtres
de TAnVerique méridionale. Pays habité par ces peuples.
X.843. Stérilité du terroir. Animaux venimeux qu’il produit.
Gouvernement, médecine, travail des Moxes.Guerres
qu’ils fe font. Leurs enterremens. Leurs mariages. Sort des jumeaux
qui naiffent parmi eux. Ibid. 844. a.
M O Y E N , voie, (Synon.) X V IL 421. é.
Mo yen , ( Afiron.) mouvement moyen ; tems moyen. X;
844. a.
Moyen , adj. Mouvement moyen. Suppl III. 972. a. Tems
moyen. Longitude m oyenne. DiAance moyenne de la lune i«
la tcm.ll>iâ. è,
IjI
• ^1