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lie L I B Dieu détruit la liberté. XIII. 310. j , h. 3 1 1. c. Répoiife îl
ceux qui prétciideiit que ce qui dépend de la liberté des êtres
intelligcns, ne faiirok être ailujctti à la provideiKe. ■; 16. b.
Pourquoi, (élon M. Jaqueiot , Dieu a créé l’iiomme libre :
fuites naturelles de cette faculté accordée à l’homme. X. 14. b.
Sentiment des doékitrs juifs fur la liberté. IX. 45. b. 46. a-
Syflêmc de Hobbes. VIII. 133. b. Celui des Ibciniens. XVII .
398.^. — I'oye{ L ibre u.’é/r;v-.
L iberté natunile, ( Dioir nainrd') les loix naturelles font
la relaie & la mcfiire de cette liberté. Le premier état que
l'homme acquiert par la nature, & quon ellimc le plus précieux
de tous les biens , c'efl l'état de liberté. En quels cas
l'homme perdoit chei les Romains fa liberté naturelle. La
fervitude abolie clicz les clirètiens. Réflexion fur l’cfclavagc
de,s nègres. IX. 471. i.
Liberté clviU , {Droit dis naiions) différentes maniérés
dont ce mot de liberié a frappé les efprits. La liberté civile ne
l'e trouvaque dans les gouvernemens modérés. Fondement
J e cette fiherté. IX. 47a.
Li b e r t é , {Droit poliii^.) liberté politique d’un
état. Celle d’un citoyen, Cette liberté eft rob;eéI direél de la
conftitution angloife. IX. 472. Difeours que tien: Viriate
à Sertorius , dans lequel Corneille a peint admirablement
la Iiauteur des fentimens qu'infpiie la liberté politique,
Jbid. b.
Libtrcè. Réflexions fur la liberté politique. V .x . a, h. Préface.
L e plus grand bien du peuple , c’ell la liberté. V IL 790. b.
L ’amour de la libené porté au plus haut degré par les peuples
du nord. VIII. 91c;. a. Quels font les peuples plus ou
moins jaloux de leur liberté. IX. 357. b. La liberté favorable
à la population. XIII. 93. b. Il vaudroit mieux qu’il n’y eut
point de liberté , que fl elle fe bornait à certaines^ perfonnes :
forme de gouvernement dans laquelle la Ubcrcé efl le plus
alTurée. 3 37. b. Heureux effets de la liberté : elle tavorife les
progrès des arts. Suppl. U. 901. a. Le génie, la valeur-■ & la
vertu font les enfans de la liberté. 903. b.
L iberté Je p en / e r {M o ra le ) deux fignifications de ces
termes, dont l’une mérite d’etre applaudie , & 1 autre d être
combattue. La véritable liberté de penfer tient l’efprit en garde
contre les préjugés 8i la précipitation. Elle ne fe rend au
merveilleux qu’après s’ètre bien prémunie contre le penchant
trop rapide qui nous y entraîne : elle ramaffe fur-tout toutes
fes forces contre les préjugés que l’éducation nous fait prendre
fur la religion , parce que ce font ceux dont nous nous
défaifons le plus difficilement. IX. 472. b. Gardons-nous cependant
de décider au tribunal de la fiere raifon , les qiieffions
qui ne font que du reffort de la foi mais cette foumiffion de
la raifon à la foi n’ébranle pas pour cela fes fondemens. Bannir
tout examen de la raifon , ce feroit ouvrir un valle champ
au fanatifme le plus outré , 5c aux fuperflitions les plus in-
fenfees. D e tout tems, la religion a eu beaucoup moins à fouf-
frir de la hardieffe de refp r it , que de la corruption du coeur.
Cette liberté de penfer , qui infulte aux bons cro yans , eft
uelquefois plus crédule & plus fuperftitieufe qu’on ne penfe ;
c ce n'eff fouvent que par autorité , que ceux qui fe glorifient
de n’avoir point de religion , foutiennent qu il ne faut
pas croire à l'autorité. Ibid. 473. et- Autres motifs fecrets qui
peuvent détourner un homme de l’amour pur de la vérité.
Réflexions fur ces incrédules qui prétendent s’autorifer de
l’exemple des grands hommes parmi les anciens, q u i , felon
eux , fe font dillingués par la liberté de pen fer, 8c même de
l’exemple des prophètes, qui fe font déchaînés contre les facri-
ces du peuple d'ifraèl. Ibid. b. S i, parmi les inconvaincus, on
voit des hommes du premier mérité , il faut convenir auffi
qu’il en eff d’autres pour qui l’impiété eft d’une grande reffour-
oe. La fingularicé des fentimens qu’ils a ffe ren t, marqué moins
en eux un efprit fupérieur , qu’un ardent defir de le paroitre.
Ibid. 474. <2.
Liberté de penfer. Commtnt. on pourroit l’accorder avec le
refpeél qu’on doit au culte établi. I. 241. a. C ’eft déshonorer
la raifon que de la mettre dans des entraves : les Grecs Sc les
Romains qui penfoient par eux-mêmes , mérlioient feuis le
titre de philofophes. III. 21. b. Liberté de penfer & d’écrire ,
établie chez les Anglois. X V I I . 870. b.
Liberié à.e la preffe. V . 146. a , b. XIII. 320. b- XVII .
870. b.
de confcience. 111, 903. a, b.
Libertés de l ’églife gallicane , ( Jurifpr. ) en quel tems ces
libertés commencèrent à être réclamées. Les canoniftes ultramontains
prétendent que ces libertés ne font que des chimères.
IX. 474. a. D ’autres les font confifter dans une indépendance
entière du S. fiege : deux fentimens également faux» Çes
libertés ont été appellees quelquefois, des privileges & imrnu-
nites. On les a quelquefois qualifiées de faintes. L’églife de
France n’eft pas la feule qui ait fes libertés. Des titres fur lef-
quels les libertés de l’égliie gallicane font fondées. Code.canonique
qu’on obfervoit en France fous la premiere race de fes
rois , & depuis Charlemagne. Les papes ont reconnu ces
libertés, 8c nos rois Si le parlement ont pris foin de Iss mainï
L I B
tenir. Ibid. b. Deux maximes fondamentales , auxquaUss ces
libertés fe rapportent. Traité des libertés de l’cglife gallicane ,
par Pierre Pithou. Autorité que cet ouvrage a acqihle. Reiinpreffions
de ce recueil avec dos augmentations.Quatre principaux
moyens , auxquels on a recours pour la conferva-
fion de ces libertés. Ibid. 473. a. Ouvrages à confulter»
Ibid. b.
Liberté . ( Infcript. Medaill. ) comment on la repréfente.
Temple d e là liberté fnr le moiit-Avcncin. Statue érigée à la
liberté. Le mot de liberté àoiinc pur lesconiiils après le mat'-
facre de Caïus. Monument élevé fous Claude à la liberté.
Le bonnet de la liberté pris de tout le peuple après la mort
de Néron. Nouvelle ftatue de la liberté, érigée fous Gaba.
InVcription qui fc lifoit lur le plodcftal. Monnoies frappées
dans le même tems , qui portent au revers le mot de liberté.
IX. 475-
Liberté, {Mythol. Iconol.) déefle des Grecs & des Romains.
Culte qu’Us lui rendirent. Son temple confacre par
Tiberius Gracchus. A utre temple quilui fut érigé quand Julcs-
Cefar eut fournis les Romains. Comment elle eft reprclentée
dans une médaille de Brutus , 5c dans d’autrés médailles. IX.
473. b. Quelques villes d’Italie portoient autrefois dans leurs
armoiries le m o t / ü i / . 476.3.
Liberté. Symbole Sc repréfentation de cette divinité. X V .
731. a. Suppl. II. 324. b. Temple de la Liberté. X V I . 73. b.
Atrium de ce temple. 1. 824. a. Jeux de la liberté. VIII.
3 3 8 .3 .
Liberié fraiichife dans le difeours 6c dans la condvilte.
V IL 284.3.
Liberté, Franchife, Privilege, Exemption, Immunité, ( 5y -
non. en Jurifpr. ) V IL 284.3. VIII. 378. a.
Liberté de qommerce , voye^ Compagnies de commerce, &
C ulture des terres.
Liberté de cour , ( Comm. ) ce terme pfticuliérement employé
par rapport aux villes anféatiques. Conftil qu’elles entre-
tenoient dans les principales villes de l'Europe où elles avoienr
des comptoirs. IX. 476. a.
Liberté , en peinture. IX. 476.3.
Liberté , ( Beaux-Ans) caraélere de beauté dans les ouvrages
de l’art. Suppl. I. 840. a.
Liberté , ( Horlog.) IX. 476. 3.
L iberté , Facilité , Légèreté, Franchife , {Beaux-Arts) IX.
476- a.
LIB ER T IN A G E , {Morale) il tient le milieu entre la volupté
Sc la débauche. Libertinage qui tient au tempérament ou à
l’àge. Celui qui rient à l’efprit. Libertinage d’Horace , de Chau-
lieu , d’Anacréon. IX. 476. a.
LIB ER T ÏN I , (Ifrt./3cre0pa flag e du livre desaéles,
où il en eft parlé , chap. V I. 9. Sentimens des commentateurs
fur le fens de ce mot. iX . 476. b.
L IB ER T IN S , {Théolog.) fanatiques qui s’élevèrent en Hollande
vers l’an 1 3 28. Leur doftrine : lieux où ils fe répandirent.
Leurs chefs. IX. 476. b.
Libertins , ( Jurifpr. ) dans les premiers tems de Rome ,
on diftinguoit les affranchis des libertins. IX. 476.^.
L IB E R T IN U S , {Lut. ) diftinâion qu’on mettoit à Rome
entre les affranchis & fes enfans. IX. 477. a.
Libertinus, Libertus. Signification de ces mots.I. 162.3.
LIB ETH RA , {Géogr.anc.) ville de G r è c e , fur le mont
Olympe. Fontaine de ce nom. Montagne de Béotie , nommée
Divers objets remarquables fur cette montagne.
IX. 477-
L IB IT IN A IR E S , leurs fonâioiis chez les Romains. V II .
370. a.
LIBITINE , { L it ! .) deefte qui prcfidoit aux funérailles.
Origine de ce nom. Temple qu’elle avoir à Rome. lX.'-472. a.
Efpece de tribut qu’on y payoit pour cliaque mort. Origine
Sc utilité de cet ufage. Le nom de Libitioe tranfporcé à tout
ce qui avoit quelque rapport à cette divinité. Ibid. b.
LibiTINE , porte , {Litt. ) IX. 477. b.
L IB IT U M , {Mufiq. ) fignification Sc ufage des mots a l
libitum , qu’on trouve quelquefois dans le courant d’une piece
de mufique , ou joint an nom de quelque inftrumcnt dans
les titres. Différence entre les mots cadenza Sc ad libitum. Suppl.
III. 739. a.
L IB O N , de, ( HUî. rom. ) puits couvert qu on v oyoït
dans la place romaine. X llI . 383. b.
L IB Q N O T Ü S , ( Géogr. maritim. an£.) l’un des douze vents
des anciens. Pourquoi nous n’avons point de nom qui marque
au jufte ce rhumb de vents des anciens. Origine du mot libo-
noius. IX. 477. h.
L IB O U R E T , ( Pêche) infiniment qu’on emploie à la pêclie
du maquereau. Defeription. Comment fc fait cette pêche.
Libouret de l ’amirauté de Poitou. IX. 477. b.
LIBRAIRE. Un libraire eft un négociant cenfé lettré , ou
doit l’être. Libraires auxquels on doit de belles éditions grecques
Sc latines. Nombre des imprimeurs de Paris. Examen fur
le fait de la librairie qu’on fubit avant d’être reçu. Différence
établie anciennement entre les hbraires Sc les bibliopoles,
L I C
poles. Magaflns de librairie des foires de Francfort. IX.
Libraire, D u droit de propriété que le libraire a fur un
ouvrage littéraire. V. 146. 3 , />. 147. ,1. Accord équitable que
tlevroient faire les hbraires des différens pays. 147. b.
Libraire , ancienne dignité eccléfiaftique. IX. 478. b,
Libraire , terme d’antiquité. Différence établie anciennement
entre les notaires Sc les libraires. IX. 478./>.
LIBRA IRIE, flgnifioit autrefois une bibliothèque. Maître
de la librairie. Garde de la librairie. Celles des monafteres. IX.
478. b.
Librairie, {Comm.) confidération attachée à ce genre de
comnicrce. Ancienneté du commerce de librairie. Connoif-
fimces qu’il exige. Prérogatives de la librairie depuis Charlemagne.
IX. 478. b. La librairie renouvellée par l’invention de
l’art de l’imprimerie. Le chancelier eft le proteéleur né de la
librairie. Soins de M. de Lamoignon pour la faire profpérer.
Ses progrès fous les aufpices de M. de Maleslierbes. Ibid.
^'^\ibrairie. Officiers de la libraire. 1. 138. b. Chambre royale
8c fyndicale de la librairie. III. 37. a D u code de la librairie.
VII I. 629. b. Les boutiques de libraires appellees pila par H o race.
X V . "29. 3.
' L IB R A T IO N , ( Afronom, ) irrégularité apparente dans le
mouvement de la lune. Sa caufe. IX. 479. a. Explication par
figure de ce m ouvement de libration. Ouvrage à confulter fur
la caufe phyfique de cc mouvement. Ibid. b.
Libration , petit changement qu’on apperçoit dans la fitua-
tiondes taches de la lune. Quantité de ce changement. Quatre
fortes de librations ; la libration diurne , la libration eu latitude
, celle en longitude, & enfin celle qui provient de
l ’atiraiftion de la terre fur le fphéroïde lunaire. Diverfes obfer-
vations fur la caufe Sc la grandeur de ces librations. Pourquoi
nous voyons toujours à-peu-près le même côté de la lune.
Suppl. 111. 739. b. Altérations dans la fphéricité de fon globe.
Obfervaiions de la Grange fur ces objets. Méthode pour
connoitre les loix 6c les circonftances de la libration de la
lune. Ouvrage à confulter. Les figures de la lune doivent être
conflrultes pour les librations moyennes. Quelle eft la plus
grande figure qui ait été faite des taches de la lune. Ibtd. 740.
a. Libration de l’apogée. Ibid, b.
Libration dc la lune , voye^ fur Ce fujet. IX. 729. b.
Libr.iiïon de la terre. Caule du parallélifme de l’axe de la
terre. Recherches fur la caufe de rincHiiaifon de cet axe fur
le plan de l’écliptique. Seiuinient de M. Pluche fur cette in-
clinaifbn. Mouvement de libration dans l’a.xe de la terre. IX.
480. 3. Fovei Nu t a t io n .
LIBRE. Tous les hommes font naturellement libres. V .
413. Homme libre chez les anciens Francs. VI, 6 9 1 .3. VIII.
279. 3. F ief libre. VI. 708. b. Libre feigneur. X IV . 894. b.
Habit des hommes libres chez les Romains. X V I. 743. b.
.Villes libres. XVII . 280. a.
Libr e s, {Théolog.) hérétiques du feizieme ftecle , qui
fulvoieiu les opinions des anabaptiftes. Leur doéirine. IX.
480. 3.
Libre, ( Ecrivain) IX. 480. 3.
L ib r e , {Horlog.) IX .480.6.
LIBURN E, {H f .r om .) huifficr qui appelloit les caufes
qu’on devoir pl.uder à Rome. Remarques littéraires fur ce
fujet. IX. 480. h.
Liburne , {Archit. nav.tle) forte de navire des Liburniens.
Son ufage en guerre. Il y en avoit de diftérentes grandeurs.
IX. 480. b.
LIBU RN IE, {Géogr. anc. ) province de l’Illyrle. Diftérens
peuples qui occupèrent anciennement la côte orientale de
l ’Italie. Vaiffeaux appelles libumcs. IX. 480. b.
L IB Y E , {Géogr,anc.) l'Afrique déflgnée quelquefois par
ce nom. Pays d’Afrique .auxquels ce nom ctoit propre. Libye
intérieure dont parle Piolomée. La Libye était anciennement
un des greniers de fltalie. Quantité de blé qu’elle foiir-
niflbit annuellement à Rome. IX. 481. 3.
Libye. Ufage qui s’y pratiquoit en faveur du prince , de la
part des nouvelles mariées. XI. 378. b.
LIBYSSA , ( Geûgr. anc. ) ancienne ville maritime d’Aflc.
Mort d’Annibal dans cette ville, IX. 481. 3. Tombeau de ce
grand capitaine, Ibid. b.
LIC E des jeux olympiques. X V . 487. a. Lice , ou champ
clos. III. 76. b. Lice , carrière des anciens cirques. II. 704. b.
■— Foye^ nuffi St a DE.
L ice , terme de vénerie. X V I. 928. b. — 930. b.
L IC EN C E , {Gramm. Lut. Morale) de la licence par rapport
aux moeurs. IX. 481. 6. Licences dans les arts. Maximes
fur les licences morales 3 licence en théologie , droit & médecine.
Signification du iYioc licencieux. Ibid. 482. 3.
L icence , ( Junfpr. & Théolog.) diverfes acceptions de ce
mots. Terme de tems, au bout duquel on obtenoit licence dans 1 étude des loix , felon Juftinien. Pourquoi le degré de licence
eft appellé de ce terme. IX. 482, 3.
Licence. BénédiéUoo de licence dans les facultés de tjiéolô-
Tome 11,
L I C ,121
gic & de médecine. III. 93.6. Lettres dc licence. IX. 42.^ b.
Cérémonie qui fe faifoit dans les écoles de théologie de Paris ,
jiprà» chaque cours de licence. XI. 918. a.
LxCEfiCEpoétique ^ {Bellcs-len.) principales licences de la
poélie latine. Celles des poètes grecs. Licence dans la verflfi-
cation françoife. IX. 482. a.
Licence, {Bdles-lett. Poéf.) dift'érenceentre hardieffe &
licence dans le ftyle poétique. Divers exemples de licence.
Suppl. III. 740. b.
Licence poétique. X ll. 838. b. 847. a , b.
L icence , ( Mufiq. ) diffèvence cmre licence Sc faute dans
la coinpofltion nniflcale : l’tnconftance des regies dc l’harmonie
fait que ce qui eft licence en un teins, ne l’eft pas dans un
autre. Suppl. 111. 741 .3.
Licences , ( Peint. ) quelles font les licences permi fes. IX.
482. b.
LICENCIÉ en droit, ( Jurifpr. ) titre que du tems de Juftinien
les éuidians en droit prenoient à la fin de leur cours
d’études. Diljjofltions de l’édit dc 1679 , par rapport au tems
des études en droit. Le degré de licencié confondu dans quelques
univerfltés avec celui de dofleur.lX. 482. b.
Licencié. Accord entre le chancelier de l’univerfiré & la fii-
culté de droit fur le fujet des licenciés. lU. 96. a. Des formalités
en ufage pour obtenir les degrés de bachelier, de licencié,
de doéfeur dans l’univerfité de Paris. IV . 763. b.
L IC EN C IEM EN T , {Art m ilii.) officiers chargés en France
du licenciement des troupes. Précautions qu’on prend dans le
royaume , lorfqu’il s’agit le licencier quelques compagnies
d’un corps de troupes réglées. IX. 482. b. Quelles font les
mefurcs qu’on prend , lorfqu’il s’agit d’exécuter le licenciement
d’un bataillon de milice. Ibid. 483. 3. Différentes maximes
obfervées en pareil cas. Adoiiciffemens par lefqucls on
tempere la rigueur du fervice forcé du milicien. Sort des officiers
enveloppés dans le licenciement. Ibid. b. Voye^ les ordon-,
nances militaires.
Licenciement, Différence entre ces deux aéles. XIII,
891. b.
LIC ENC IEU X , vers. V I . 3 38. 3 , b.
L IC E T l , ( Fortunius) médecin. XIII. 792. a. Son ouvrage
fur les étoiles nouvelles. Suppl. II. 893, b.
L IC H A N O S , {Mufiq. anc.) nom de la troifiemc corde de
chacun des deux premiers tétracordes. Comment s’appel-
lüieut la troifieme corde à l’aigu du plus bas tccracorde , ÖC
celle du fécond tétracorde. IX. 484. a.
LICHE , ( Icktyolog. ) defeription de ce poiffon dc mer.
IX. 484. 3.
L ICH EN , {Botan.) caraélere de ce genre de plante. IX.
484. 3. r /•
Lichen de Greet, Sa defeription. IX. 484. a. Lieux où croît
cette plante. Ufage qu’on en faifoit en teinture. Obfervaiions
fur le commerce de ce lichen. Ibid. b.
Lichen. Comparaifon des lichens 6c des champignons. III.
80. b. Efpcce dc lichen , appelle pulmonaire. XIII. 363. b.
L IC H I , ( Botan. exot. ) fruit de la Chine. Différentes maniérés
d’en écrire le nom. Defeription de l’arbre & du fruit :
lieux où il croît. Ses propriétés bienfaifantes. D c la maniéré
de le manger. Comment on l’apporte à Pékin pour l’empereur.
Propriétés de fon noyau. IX. 484. b.
L ICH T EN ST E IN , états des princes , {Géogr.) Suppl. III.
741. 3.
Lichtenstein , ville & château d’Allemagne , dans la
haute-Saxe. Suppl. 111, 741 .6.
LIC IN IA , loi. VIII. 823. h. TX. 630. a. 664. a , b.
LICINIUS Stolon , { Caius ) tribun du peuple , condamné
le premier par fa propre loi. IX. 630.3. Il obtient aux plébeïens
le droit d’afpirer au confulat. XVI. 628. b.
LlGlNlUS , ( Hifl. des emp. ) hiftoire de la vie de cet empereur.
Suppl, n i . 741. 6. O racle qu’il confiilte avant de faire la
guerreà Conftaniin. V . 174. a , b. XI. 336. 3. Lieu où il fut
fait prifonnier par Conftantin. X IV . 844. a.
LIC IN U S , barbier d’Aiigufte : fon tombeau. XVI. 399.6.
L IC IT A T IO N , {Jurifpr.) oririiie de l’ufage dc la licitation
: loix romaines ftir ce fujet. IX. 483. a. Quelle eft fur le
meme objet la jurifpmdence françoife. Jbid. b.
Licitation, enchère par, V. 620. b.
LICiU.M , ( Litt. ) habit & ceintiiic particulière à quelques
officiers publics. Liciiim que portaient les liéleiirs. Chez les
Romains, on cherchoit le larcin cliez autrui, per lanccm ü-
ciumque. IX. 483. b.
LICO L . Boucles de licol. II. 362. a.
L IC O N D A ou Aliconda, {Botan.) grand arbre d’Afrique.
Diverfes obfervations fur cet arbre. Ufage de fon é co rce , de
la pulpe de fon fruit 6c de fes feuilles. Eaux ramaffées dans le
creux de ces arbres. IX. 486. a.
L ICO RN E , ( Hiß.ruit.) tradition fur cet animal fabuleux.
Cornes prétendues de licorne. IX. 486. a.
Licorne. Obfervation fur cet animal fabuleux. XV II ,
266. 3.
Licorne de mer, voyer Narval.
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