I) i
I S L athletes vainqueurs avoicni droit d’entrer en triomphe p.tr
une hicclu daiu la ville de leur naiil'.>ncc. Autre droit dont
ils jouill'olem. Peiilions des athletes \ ainqiieurs , réduites par
Solon. Des privileges dont ils jouilloiem chez les R.omaiiis.
ConinienrTrajan répondit à Pline cpii le conliiltoit fur le jour
auquel ces atiileics dévoient commencer à )Ouir de leurs pri-
vilcgos. Y l l l .p i t ./ - .
ijilLiß'ujücs. Ces jeux nommés fil.ifllqiics àms une ancienne
infeviption. XI \'. 929.
iSlèNBOURG , ( Ge'ogr. ) petit canton (rAllcmagnc. Paul
Léonard éé François Nanlliis, deux littérateurs nés dans ce
comté. Leurs ouvrages. VIII. 912. a.
ISLllX'l A , ( Gio^r. ) ville de Naples , patrie de Pierre Cé-
lertin , inlliuitcur de l’ordre de l'on nom , érc. Principaux traits
qui le concerneiu. VIII, 912.
iSKRNORE , ai Bu^cy , ( Geogr. ) Ancienneté de ce lieu ,
qni n’c ll aujourd'hui qiVun village. Diverfes conlidérations
qui le rendent remarquable. Monumens d'amiquite trouvés
dans ce lieu. Suppl. III. 667. J.
ISEURF, ( iUtwuyîcrr ) dans rAunmois. Suppl. I. -10. />.
ISIAQU E , {L in .) prêtre de la déefi'e lAs. Comment on
trouve CCS prêtres repréfentes. Cultes qu'ils rendoicnc à la
déclPe. Leurs occupations journalières. Leurs vècemens. Leur
façon de vivre. VIII. 912. u. Intriguescoiuinuelles qu’ils prati-
qiioient. IDcl'ordres auxquels les femmes fe livroient dansle
temple de la déelîe. Ibid. b.
Jji.iqiics, myflcrcs. Déguircmens ufités clans ces cérémonies.
X. 58 1 .a. /uj.'^lsiES.
IsiAQUE, t.ibU , ( Anilq. egypt. ) monument de l'antlquné.
Hifloire de ce moinimcm, qui fc voit prélentcment à Turin.
Dcl'cription de ce qui d l lepiélênté fur cette table. Auteurs
qui en ont donné des gravures. Divers fentimens fur Ion ami-
quicé. V l i l , 912. />. On ne peut temeravec fuccès d’expliquer
cetie cable. Impoiîibilité d’entendre l’écriture- fymbollqiie des
Egyptiens. Auteurs qui en ont hazardédssexplications.iuge-
menc porté fur leurs rccherclies. Ibid. 913. <7.
Jji.hjue, i.ih!c. Article fur ce fujer. V . 438. b.
Ib lDÜRE di Pihifc. Scs ouvrages. XII. 290. b.
Lsidore Merc.\tor ou Peccator. Auteur d’une colle-
élion de canons. II. foq . h. I\ ’. 721. é. &c.
ISIES ou IfiaiJKs, ( Lia. ) fêtes cVlfis, célébrées à Pvomc.
Abus qui s'y cominettoient. Les temples d’ifis abattus d.iiis c
ten-.s de la république , Sc rdeves par Augulle. L ’empercur
Commode mit le comble au crédit des myRcres d Lis. V llI .
913. .J. /ine^; I.SIACJUE.
ISIS. {MythoL) Il cA peu de divinités dont il nous refle
autant de momimens. Livre de Plutarque fur Kis Si Ofiris.
Erymologie du mot ///'.c. Mythologie des Egyptiens. V llI .
913. b. Ilis croit regardée comme la mere à lu nature des
chofes. inferiptions d’où cette idée efl tirée. Il parciît que les
Egyptiens regardoient leur Ifis fur le même pic que les Grecs
leur Cérès. Lis fut honorée dans la Grcce. Difficulté avec laquelle
fon culte s'établit à Rome. On v o i t , par quelques médailles
, qu'elle préfidoit à la mor. Son culte établi dans les
Gaules. Conjeflure fur l'étymologie du nom de P.ais. Temple
d'Ifis dans le voifinage de cette ville. Son idole détruite
par le z d c du cardinal liridonet. Ibid. 9 1 4 . Le culte d'Ilis
avoit pénétré jufque chez les S ueves, chez les anciens Germains.
Recherches fur la manière dont il y croit parvenu.
Obfervations fur ce qu'on trouve touchant îa ciéeflelfis dans
l’ouvrage de dom Bernard de Montfaucon. Ridicule c.xpli-
cation que Léonard AugitfHni donne de la pèche & des
feuilles de péclicr qui ornent allez fouvent la tête d'Ifis.
Ibid. b.
Ifis. Cette décilefurnommée Myrionime. X. 914. n. Ornement
de tête de cette divinité. X VI. 202. .2. Temples d'Ifis.
73. .1 , b. L’invention des voiles de navire attribuée à Lis.
X V II . 424. b. Comment finit fon culte à P^ome. I. 319. h.
Partie de la Sueve dont les habitans adorolent cette divinité.
VII I 175. û. Son culte porté dans l’illric. 93t. b. A<R:on
de grâces qu’Apulce rend à cette dcelTe. X IV. 482. b. Voyc^
Osi.Ris.
Is is ,/ Iv c du vaiffeuu d \ {L ia .) célébrée chez les Eg yptiens.
\ 'II1. 914. b. Détails (ur cette fête. Comment on
la célébroir chez les Roniain.s. Les G recs ne manquèrent pas de
i ’adopicr. Temples que les Coninliiens dédièrent à Lis. Ibid.
913..2. Foyer fur ce fujet NavireJ.iae.
V ^ ÏÏE S ,{h ifi.m o d .) fede de la leligion des Turcs.VIII.
913. a. Origine de ce nom. Leur principale opinion efi que
l'alcoran de Mahomet a été créé. Ôbjediüii de leurs adver-
faires. Ibid. b.
ISLAM. {Hiß. turque) C'cfl la meme ebofe que mu-
fulmanifmc ou mahométiime. Etymologie de ce mot, VIII.
913. h.
ISLAMISME ou A/.2/20OTt'/;y/22e, {Hiß. turque) Etymologie
de ce mot. Suppl. III. 667. .2.
ISL.ANDE. {Geogr.) Sa véritable fituation rétablie par les
géographes. Etendue de cette iHc. Divers tiétails furriflande.
Oblervaiions fur l'cï jnojuagnts ^ fes volcans. VIII. 915. /i.
Les trcmblemens de terre y font très-fréquen«. Premiere
colonie des Norwégicns qui s'établit dans cette ille. Epoque
à laquelle les Llandois embralTercnt le cbriftianifme. Cette
ille a produit pluficurs auteurs célébrés , dont les écrits ont
jetié un ivès-gr.^nd jour fur riiifloire des peuples du nord ,
& fur la religion des anciens Celtes. Eiuimén.tion de ces
auteurs. Obfervations fur Snori o Sturlefon &. furlbn ouvrage
de ÏEdd.t ou mythologie ilhuuloifc. Obfervations lur la deferi-
ption de i'iflande , par M. Anderfon 3 & fur celle qu’a tionné
M. Horrebow. D e \'Edda , ou de la mythologie des Ijlundois,
livre qui renferme la théologie, la théogonie & la cofmo-
logie des anciens Celtes Senndinaves. Etymologie du mot
edd.i. Pourquoi ce livre cfi appelle mythologie des Ijl.iridois.
D e la poéfie des Celtes. Edda écrit par Soemund pour con-
ferver rintclligciicc de cette poific. H-id. 916. ,1. Il ne nous
eu relie que trois fingmcns. Nouvelle Edda recueillie par
Snonü Sairlcfon. Eclltiotis & traduflions qui en ont été faites.
Piincipaux points de la mythologie des anciens Scandinaves.
Leurs idées fur la formation du monde & (ur la tleRniélion,
qui d .vo it entraîner les di.ux & les hommes. Leurs dogmes
tendoieiu à exciter le courrge. Ibid. b. Leurs dieux S: leurs
déclVes, Ibid. 917. .2, Tems appelle pr.r l'Edda , le crépujeule
des dieux. Fin du monde. Soit des Itommcs jullcs & des mé-
chans. Idées des Scandinaves fur la iormation de la terre &
la création de rhoimne. Ibid. b. Morceaux contenus dans
l’Edda de Scemund SigfuiTon , qui fout parvemisiufqu’à nous.
Maximes les plus remarquables de la morale contenue dans
cet ouvrage, Ibid. 938. u. Tome la doélrinc ihéologique &
inoralc de ces peuples du nord tendoit à nourrir leur courage.
République propre à former des foldats, fondée ;i Joinsbourg
par un toi de Danemarck. Divers tiaits de riiiHoire des
Scandinaves, qui prouvent le mépris qu’ils faifbienc de la
vie , & la joie avec laquelle ils mouroient clans les cojiibats.
Ibid. b. Combien ils craigiioicnt de mourir de maladie. La
religion de ces peuples étoit barbare & faiiguinaire. Exemples
qui rattcAcni. Ils avoient leurs oracles 6c leurs tnagiciens. La
lâcheté punie , & l’amour de la liberté porté au plus haut
degré par les peuples du nord. Droit du plus fort admis parmi
eux dans tous les démêlés. Leurs incuiflons 6c leurs
pirateries cirez leurs voilins. Leurs maximes en amour.
Leurs femmes les cxcitoient aux grandes chores , Sc elles
étoient renommées pur leur chafteté 6c leur fidélité. IbiJ.
919. U.
Ijhitidc. CryRai cic l’Jllandc. IV. 324. æ , b. Fontaine remarquable
dans cette ifle. V i l. Ç9. .2. Scs montagnes glacées.
Suppl. 111. 232. <2. Glaciers qui s’y trouvent. V i l . 6 9 3 ./2. H
p.-.roit que ce pays a été fouillé par divers volcans. Ibid. V o lcan
de l'Hcda. VIII. 9 4 - Flautes montagnes d'in.inde. 867.
.2- Eruptions des volcans de cette ifle. Ibid. Ancienne litliur-
g'.e de riflandc. IX. 398. a. Tiges d’angélique dont les Iflan-
dols fe notinilîcnr. 1. 439. b. Caraéleres iflandois. Vol. II, des
plaucli. article C.ir.:biere, jilancb. 9. Sur 1a religion des anciens
Iflandois , voyc^ Scandinaves. Anciens établiffcmens des
Iflnndois dans le Groenland. Suppl. I. 344.
ISLE. ( Géogr. 6’ Phyfiq. ) Il efl probable que plufieurs ifles
ont été fcparées du cominent par quelques tremblemens de
terre. Deux efpeces d’ifles nouvelles; les unes formées par
les e au x , les autres par les feux fouterreins. Exemples de
quelques ifles formées par cette fécondé caufe. Plicnontenes
obfervés en 1707 dans la formation d’une ifle nouvelle ,
près de celle de Thérafie ou de Santorin , qui elle-même pa-
roit avoir été formée par un volcan. VIII, 919. b. Ifle nouvell«
produite en 1720 par un volcan, près de rifle Terccre. D e rails
(\\\o\\uouyQ Aim l'hijloire de l'ucadétnie, année 17 2 2 ,
fur la foijuation d'une ifle nouvelle par l’aélion d’un volcan,
auprès des ifles Açores. Ibid. 920. a. Réflexioits fur les v o lcans
fouinarins 6c l'ur les ifles qu’ils produifent. Pourquoi ces
volcans agillenr plus rarement que les volcans ordinaires.
Divers effets de ces feux 6c de Ictus explofions. L’exiflence
de ces nombreux volcans prouvée par la quantité de pierres
ponces que les voyageurs trouvent clans plufieurs endroits
de la mer. Rapports emve les volcans de mer & les volcans
de ten e : les uns 6c les autres ne fe trouvent que clans les
fommtts des montagnes. Ils ont des communications fouter-
reincs. Lc.s nouvelles ifirs ne paroiflent jamais qu’auprès des
anciennes. Ibid. h. Les ifles produites par l'aélion du feu 6c
des tremblemens de terre font en petit nombre. Mais il y a
un nombre' infini d'ifles produites par les limons, les fables,
6c les terres que les eaux des fleuves 8c de la mer tranf-
portent en différcn.s endroits. Il y a fort peu d’ifles dans le
milieu des mers. Difi'érences entre les ifles par rapport à
leur grandeur. Diverfes maniérés dont il fe forme des ifles
n o u v e l l e s . 921. u. Les Arabes donnent le nom d'ifles :t
toutes les peninfulcs. Erreurs oii l’on étoit tombé fur quelques
ifles ou prcfqu’ifles. Enumération de dix ou douze ifles
de la premiere grandeur. Dix autres de différentes grandeurs.
Aun es ifles auxquelles on peut donner le nom de moindres.
Le ninnbre des petites ifles efl prefquc infini. Ces dernières
difliiiguécs en crois claffes ; i “-. celles que l’on connoit fous
I S L un nonî général, quoique In plupart aieiu chacune un nom
p.irticulier ; a'’ , celles qui quoicjue feules 8c indépendantes
«les autres, ne laifl'ent pas d'avoir do la célébrité; 3“ . celles
des fleuves, des rivières & des lacs. Ifles artificielles.
Ibid. b.
Ifle. Caufe des fources d’eau douce qui fe trouvent dans
certaines ifles oîi il ne jjleiir pas. VII. 94- u. Quels font les
endroits de la mer où i! y a le plus d’ifles, 620. b. Ifles aux
emboucluircs des fleuves. 622. .2. Pouiquoi il y a peu d'ifles
vers le indien de l’O céan, Sc qu’on ne trouve jamais de
petites ifles ramaflées qu’auprès des grandes ou du continent.
XI. 3 3 6 . Ifles formées par des volcans : \'oyez ce dernier
mot. Principales ifles des quatre grandes parties du monde,
voycf les articles de cliatuiie de ces parties, 6c le tableau
figuré qui s’y trouve joint dans les fupplémcns.
'üLF.s tiux loups murins, {Géogr.) de T.-Lmérique fepren-
trionalc. Origine du nom qu'elles porcen:. Autres obferva-
lions. VII I.-922.
Ijles Brùldtnes. V IIL 922. u.
J (les Bonuver.nircs, del’Amérique feptentrionale, V llI . 922. .r.
IslE'Bouc;.'îaRD. ( Géogr. ) Lieu fmiè dans une ifle en Baffe-
Touraine. Soigneur auquel i! appartient. Ses (bires 6c fon commerce,
Etabliifemens qu’on y remarque. Suppl. III. 667. <t.
I(îe de l 'Afcenftoti , entre rAfrique 6c le Bréfil, paroir formée
par un volcan éteint. Diverfe.s obfervations fur cette
ifle. Sa latitude 6c fa longitude données p a rM .de la Caille.-'
VIII. 92.2. m
](le des Chiens, dans la mer du fud ou ijlc des Tiburons. VIII.
922. ,7.
I\les du iup-yer.!, de l’océaii atlantique. La plus grande efl
S. jago . VIU. 922. /2. Leur clocouvcrie en 1460. Qualité de
i’air. Los Pornig.iisy ciciinentun vice-roi. Ibid. b.
Ijlc de l ’Elépluint, lur la cbtc de Malabar. Defcripcion de
la fameiife pagode de cette ifle. VIII. 922. a. Voya^
ÉLÉPHANT.
IJle de Fer, la plus occidentale des Canaries. Réflexions fur
la maniéré la plii.s commode Sc la plus fiire de fi.ver un
premier méridien. Longitude de l’ifle de Fer par i-apport à Paris.
V l î l . 922. b.
Ijle de Fern.indcq^, chevres Sc veaux marins qu’on y trouve.
Parti qu’on pouiroit tirer de cette ifle. Séjour qu’y rit l’amiral
Ânfon. Cartes utiles que ce navigateur a données. VIII.
>.)ii.b.
Ifle flottante. Les Iiiftoires de tous les tems font pleines de
relations d’ifles flottantes. La plus grande partie dos faits qu’on
nous rapporte fur ce fujet font cmicrcment faux ou fingulié-
rement exagérés. Mei-veillcs racontées par les poètes fur l’ifle
de D élos. Ce qu’on doit penfer en faine phyfique des pvéren-
dues ifles flottantes. VIII. 923. a.
Ifles flouantes , pourquoi l’on en voit quelquefois. 1 .63 5. b.
Ifles fortunées. Defcription que Garib , poète anglois, fait
de ces ifles. VIII. 923. a. Autre defcription qu’en donne
Horace. Les ifles fortunées font fans doute les ifles C.-mi-
ries. 11 efl vraifemblable que les C anaries, les A ço ’-es 8c l’A mérique
font les'refles de la grande ifle atlanride de Platon, &c.
Ibtd. b.
Ifle de France. Mines qui fe trouvent dans cette province,
ï, 637. b. Origine de fon nom. Suppl. IV. 33. b.
Isle de Fr.mce owde Ai.ij'catenhas, ( Géogy.) fa fituation. Son
étendue 8c fes ports. Natio.as curopéennej qui l’ont pofl'édéc.
Ses montagnes. Qualité 6c produflions du pays. De la culture
des habitations 6c des récoltes qu'on en tire. Suppl. III.
b67. b. Difléremes efpeces d’animaux qu'on y trouve. On
n’y en remarque aucun qui fon nuisible à l'homme ou aux
troupeaux. Obfervations qui font conjeélurer que l’efcat-pe-
mem- des montagnes Sc les iiiég dités du terrein tians cette
ifle , proviennent de ce qu’elle a eu autrefois un volcan. Ibid.
668. a. Cavernes. Morceaux de mines defer. Pérrincations.
Détails fur le commerce qu’on fait des efclaves dans ce
p a y s , 8c fur la manière dont on les y traite, h-id. b. Leurs
mariages. Châtimens qu’on l_ur f.ic fuoir. Ibid. 669. a. C e ft
par erreur que le nom de M.ilearcnlus efl donné à cette i-fle :
elle efl connue fous celui difle Maurice ou ific de France.
fVye^MAURlCE, {Ifle)
Ijlc Gorgone , de la mer du Sud Singes dont elle efl habitée.
Pluies abondantes d.nis cet ifle. Huiircs qu’on y trouve. V III.
923. b.
Ifle Jourdain, petite ville de France. Auteur qui en a fait
l’bifloire. VIII. 924 a.
Ifle-Lonmc , de 1 Amérique fepiemrionale. Son étendue. Son
terroir. Elle appartient aux Anglois. V i l l , 924. a.
Ijlc de U M.iréehaufféc. III. 887. b.
Ijlc de S. Jean Alayen ,d c l’Occan fcptentrional. VIII. 924.22.
des Nations , {Géogr. jiier.) ce qu’il faut entendre
par-l.'i, Suppl. l i l . 499. a.
■ Ijlf-Nouvellcs, terres fituées par les 31 à 3 2 degrés de latitude
méridionale, environ 30 à 33 au n. n. c. du détroit de Lc-
Maire. Comioiiiance qu’en a donné le cipitaine Pore. Ces
illes découvertes par Hawkins en 1693. 9- 4-
S O 63
Ifle des Pins , de rAmérique fcptciitrionalc, Dcfcrlntlon de
cetie ifle. V lî l. 924,,;. t ov
Ifles Pijcadorcs ,o\\ des Pécheurs, prés de Formofe. VIII.
9-24. a.
Jfh- iic Qitelp.icrfl, dans la incr de Corée. V î ll.9 2 4 ,22.
!, de rAmérique fepicntrionale.Sa grandeur.
v'IÎI. 24.2
//h-Auya/i-ou (lu Cap-Breton, ifle t'e r.A.mvriquc fepten-
tiionale. ja figure Ses lacs 6c les ports. Avantages que les
Anglois en retirent. Chef-lieu de cerre ifl:. VIIÎ. 922. />.
Ijles du F a n , ou Antilles, Caraïbes, ou Cannibales. Où
fe retirèrent les Car.-.tbes , buf.iu’ils fuient comrainrs d’abandonner
ce pays. Partage que Ic.s François, les Angloir,
les Holl’indois 6c les Danois fe font fait de ces ifl.s. Ôiifer-
vations fur leur température. Ouragans, pluies abondantes
maladies, tremhleme'ns de tcn c nuxquel.s elles font fiijertcs.
Diverfes obiervations qui prouvent l'cxiflencc des volcans
dont le pays efl Iniulcurcmciu tlévoré. V llI . 93.4. é. Mr.l'mc
ces dangers , ces 'ifles font cxtrcmcmcnr jicupLées 6c très-bien
cultivées. Les mer-, cii font poiffonneufes. Olijers de commerce
qu’on en rapporte. Ibid. 923. .2.
Ifl..s de dejfousle Fera. Difl'érentes nations qtiilespoffec’cnt.
V î l i . 923. ,2.
Isle , ( Al.vn d ') pbÜofophe fcitolafliquc. XIV. 773, a.
l.bLEB , {Géogr.) petite ville tl’AIlcm.igne , lieu de la
n.iifi.mce Sc de la mort de Luther : aufCur-> ijin onr écrir fa vie.
E(([itilTe' du tableau qu’a fait M. de v'oliaire de cene >" andc ré-
voiution dans l’eDrit 6c d.msle fyfléme de l'Europe , qui c<>m-
mcnç i par Luther. VIII, 923. a. Editions des ccuv r.sde Lmiier
que les tax'aus préfèrent. yi.'E. b.
LSLl'.fllENS , ( Ikéolog.) feiflateurs de Jean Aericola , difei-
ple 6c comp.ati'iore de Luther. Pourejuoi il (e bi ouilla avec (bn
maure. Lei difciples d'Agricola aulli nommés .vuinontiens.
V i îi . 9:3. é.
^ ISMAEL, Dteu qui c.x.iuec , {Hifl. flier. ) fils d'Ahraliam 6c
d’.Agar. Prédiétion de fa naiffmee 6c du caraéf-rc de fes
àsi'ccmhiri.Suppl. III. 669. Fuite d'Agar 8c d'Jfmaél. Lnfans
qu’il eut d’une Egypiienne, qui furent les clicfs des douze tribus
des Arabes. Uid. b.
Ifmael, fili d’Abraham ; pierre qui paffe pour fon fépukrc.
V llI . 926. .2.
Ismael 1 ou Schah-Iflmaél, {Hifl. de P a fe ) CAs iVBûcr,
général de l'armée des Perfes. Il fut proclamé roi par les
fiilfr.'igcs de la nation, Exploits militaires qui l’ont illuflré.
Suppl. III. 669. b.
Ji'maél, fopbi de Perfe : fes conquêtes. XÜ. 418. a.
Ijiu.ielWflAi de Schah-T.im.ts, fut le quatrième roi dePcife
de la race clcsSopbis. Tableau de fnn règne. Ut. 6-jo.a.
Ijtr.ad I I I , fils de Mahomet Cliodabènde , fur !c fixicme
roi de laracedc.s Sojilus. Crimes qui cnraéiérifercnt fcn ix g i^ ,
qui ne fut que de huit mois. Suppl. IlL 670. a.
Iflmaél,^ l'un des Sdveiclis de I’Yemeii. Supnl. I. 307. b.
I.bMAÉLlTE. {H if l.) On appelle ainfi les A.iabcs qui
font de la poftérité d’lfinael. Idolâtrie groffiore de ces anciens
peuples. Pierre qu’ils adoroieiit. La mere des dieu.x n'étoit
aiiffi qu’ une fimple pierre, La piu're dont .Licob fit un mo-
numeiir devenue objet d’idolârrie. Auteurs qui ont parlé de la
pierre d'A-gar 8c de la pierre de Jacob. Obfervations do Pocock
l'ur la pierre noire que les Arabes révcrcin dans le temple de la
Mecque. Autre pierre confidirable à la Mecque qui pafl'v pour
être le fépulcre d'ilmaël. Une des premieres idolâtries du
monde efl colle des pierres. VIII, 926. n. A'oyc^ Béty le s .—
Sur les Ifmnélitcs, vuyq A r a b ES.
ISNICH , ( Geogr. ) ville de la Turquie afiatique , elle occupe
la place de rancie.nnc Nicéc. Elle ne préfciuc plus
que les ruines de fon ancienne fplendeur. Produit de fon territoire.
Lac Ifnicli ; autres noms de ce lac. V lü . 926. b. P'oyc^
Nicée.
ISO CHRIST ES, ( Théolog. ) feélc du fixicmc ficelé , brandie
cl’Origénifles. Leur doétrine. VIII. 926. b.
ISO CH R O N E , (AE'c/i. 6’ G‘com.) les vibrations d’une
pendule font toutes regardées, foit grandes , fuit petites,
comme ilochroncs. Cependant elles ne font ifoebrones à la rigueur
que lorl'quc le peiuiule décrit des arcs de cydo'idc. L igne
ifochione , celle par laquelle on fuppofe qifiin corps
tlefcencl fans accélération. Ecrit de M. Leibnitz fur [a ligne
ifochronc. VIII. 926. b. L’analyfe dos prolrlêmes fur la ligne
ifoclirone donnée par MM. Jacques Bernoulli 6c Varignon,
Le problème de M. Leibnitz gcnéralifé par ce dernier. Ibi'd.
.^éc/tronr paracentrique. X I. 887. a. Différence entre ifo-
chrone 6c fynchrome. XV. 747. a. Foye^ PenDULE.
ISOCHRONISME. ( Groi72. (S’ ) Différence entre
rifodironifmc 6c le fynchronifme. VII I. 927. a.
Jjochronijme, de.s vibrations du refforc fpii«i uni au balancier.
X IV . 190. b.
ISOCRATE . O'nfervatlons fur cet prateur 8c fur fes
harangues, XI. 360. b. Monument érigé en fon honneur.
366. é.