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742 T A Î etc faites. X V I. 141. a. Eiîct de la bldTure de l’intcAIn droit
dans 1 operation an petit appareil. X VII . 206. I>. Foyc^ lesplan-
d ic s de ciiiriirgie,voI. III.
T a il l e , X V, 8^d. h.
T a il l e , on iMor , {MuJIq.) X V . S56. b.
T aille , ( Mujuj. ) d é de h taille : balTc taille. III. 824.
a. La taille elt la voix la pins ordinaire à l'homme. Pourquoi
Ion sen fert peu pour nos théâtres Sc pour notre mnfiqne
latine. 'V'I. 46. b. Pen de cas que l’on fait de cette parue
en France. X V IÎ . 437. T a il le. Suppl.
T aille de haut-bots (^Luiheric) X V . 856. b.
T aille Je violon {Luth. ) X V . 856. b.
T aille , ( Gret-arr. ) X V . 836./'.
TuiLe-Joucc, graveur , gravure , impiimcric, imprimeur en
taille-douce, voye^ ces articles.
T a il le.s , ( Gravure en bois ) tailles courtes ou points
long-). Failles perdues. 7<V, 856. b. — voye^ CoNTRE-TAlLLES.
Tailles , voyez i’ariide Gravmx eu bois. Enietaillcs. V.
73>-
T ailles troijîenes, {Gr.svurc en cuivre) X V . 857. tr. 1 AILLES remnes , {^G'uvure en cuivre ) V . 733. h. Aigreur
qui provient de l'inégalité des tailles. Suppl. 1. 229. b.
T aille , ( Joadl. ) celle des pierres prédeul'es. X V .
057. b.
Tadie du diamant. W . 940. b. XII. 393. h. Difierentes
tailles de diamans ik autres pierres prccicufes, vol. VIII.
dcsplandiesj orfe vre , joiiaillier, pl. 12. T a iller.
T a il l e , ( March. det.itll. ) morceau de bois fur lequel
on marque la quantité de niarchandifc vendue à crédit à
pkifieiirs chalans, X V . S37. a.
T a il le , { Monnoy.t^. ) quantité d'cfpeces que le prince
ordonne être faites d'un marc d’or , d'ar<’ ent ou de cuivre.
X V . b'3- J.
T a il l e , ( dfjrâV;. ) diverfes tailles des chevaux. X V .
837. .!.
T aille , ( Pàgnur , ) différence qui fe trouve dans la longueur
des peignes. X V . 837. a.
> {Pdyjtol. ) caraélere d’une belle taille de femme.
Moyens employés pour faire valoir la taille. X V . 837. a.
Mauvais eflets de ces moyens. Ibtd. b.
Taille , proponion qui cai adérife une belle taille. VI. 336.
k. Pourquoi notre taille cft plus alongée le matin que le foir. l. 90. a , b. \ . 802. b. La taille d’un homme cA admlrable-
nieiu proporti nnéeaux clrconAances de fon exigence. X V .
304. Obfervations qui démontrent que la taille des hommes
n a jamais changé , Ibid. J'oye^ St a tu re .
_ T aille , ( Orthopéd. ) vices de la taille , appelles gibbofi-
lé , enf.jncemeiit, tomicfité. VIL 63 3. h. ikc.'Trois difformités
des épaules qui gàcenr la beauté de la caille ; moyens
de les piévenir ou de les guérir. V. 736, a , b. Les ch.-uif-
fures hautes peuvent faire courber la taille aux jeunes perfon-
nes. ill. 2Ó1. a. Obfervations par rapport aux chaifes fur lef-
ciuellcs on h.it affeoir les enfans pour ne point gâter la taille.
V i l . 78. a. Difformités de la taille, caufées par Tufat’ c des
corps à haleine. Suppl. II. 613. k. °
T A IL L h B O U R G , ( Géogr. ) bourg de France dans la
Saintoiige. Evénement qui l’a rendu remarquable. A qui appartient
le comté de Taülebourg. Son éreélion en duché-
pairie. Suppl. IV. 923. a.
T .^ lL LE ll la fnjqueite, (Imprim.) X V . 857. b.
T ailler en .it\er, (Fourbijf. ) art d’orner une garde d’a-
cier de toutes fortes de figures gravées, X V . 837. b.
Tailler, l’art^ de tailler les pierres précieufes. Perfeélion
que les François ont acquife dans cet arc. InOriimcns dont
on fe fert pour tailler différentes fortes de pierres précieufes.
X V . 838. a. — I'oye^ L a PIDAIRE & T a il LE
T a il l e r , {Monn. ) X V . 838. u.
T a iller carreau, {ancien Monnoyat’ c. ) X V . 838. .2
T a iller un habit, ( Tail'eur) defeription d e là maniéré
dont cette opération fe fait. X V . 858. a.
Tailler un habit , iifage de.s patrons dans l’art du tailleur.
XII. 183. b. Planches du tailleur d’iiabits & du tailleur de
corps au nombre de vingt-quatre, vol. IX. Sur l’article du
tailleur , r e y q l'artide 1 AILLEUR. Suppl.
T a il ler le pain, U vin, {Comm.) faire des entailles fur
un double morceau de bois , l’un pour le vendeur, l’autre
pour l’acheteur. X V . 858. a.
T ailler une plume, ( Ecriv. ) V . 371.
'■ X V . 832. b. Vol.
IL des planch. Ecriture, pi. 4 üc 12.
T a il ler . {Jeux Je cartes) X V . 838. a.
T A IL LE V E N T , {O.-nith.) oifeau maritime qu’on trouve
en ^revenant d’Amérique en Europe. Sa defeription, X V .
JAIL LEU R -G R AV EU R fur mitai. {Corps de jurande) X V .
T a illeur d’habits : obfervations fur la communauté des
taiheurs établis a Pans. Leurs principaux flatuts. X V . 838. b.
ml lev r dhabits , (^ r i méch.) inffrumens dont il fe
lcrt, Suppl. IV . 925. a. Leur defeription & leur ufage. Point
T A L de cornu,e. Etoffes. Do la quantité qu'il en faut pour uii
li,iliit complet. Table des aunages réduits en pieds, & eu
pâmes de pieds 6e pouces. Regle de proportion d'oii r<,„
peut parut pour couuoitre ce qu'il faut d'étoffe, de plus oit
de moms lut la longueur, relaiivcmeill à 11 largeur. /W.i- /,
Details lut les operations liiivantcs de l’art du tailleur. Prendre
la meinte. Tracer fur le bute,,,. Ji,J. ,a6 . u. T a ille r,
traite, Se monter 1 habit. lb,d. h. Con ftr„aio „ de la verte
v t d l r f d “ “ 1 habit. Ibid. b. »'-n^ens Se modes d]
Tailleur. Article fur l’art du tailleur. Suppl II 6 to 7'
Manière de prendre mefure pour faire un habit X ‘a'
royei T a iller un h a b it . Saint que les tailleurs ont'mis
pour leur patron. Suppl. IV. 238. b. ^
T a il l e u r s , / rcr«. {Htp. mod.) V IL 30t. .7.
T a illeur de Urnes. ( Taillandiers) Conimunaiité des tail-
bndiers-vnlliers établis à Paris. X V . 839. a.
T a il leur Ap/mre. ( Coiife despkrr.) Ouills dont cet ou-
vricr le lcrt. X V . 859. .7.
Tailleur general des monnoies. X V . 839 a
T a il leur de fel. {Saline) X V . 83o” .7*
T a il leu r . {Jeux de hasard.) X V . 839. tf.
T A iL U S . {Agric.) C e qu’on entend par taillis II 207' 17. Les bahveaux ne contribuent point à la conlervation des
taillis. Il 39 rf. D o n fe produifent les arbre-s de brm qu’on
trouve dans les taillis. apS. „. Mauvais effets de la gelée dans
les taillii. Ibid. Comment M. Buftbn a tâché de les prévenir.
Ibtd. Regle à luivre pour la coupe des taillis. Ibid. b.
Cepees des taillis. 831 ^ Sur la maincrc de gouverner les
taiilis , vyytij; PORET. VII. I 29. . i , ÖCC.
T A IM , {mettre la glace au) voyc:^ T eint.
A efpece de perroquet du Bréfilfa
defeription. X V . 859. b.
T A IS S O N , {Zoolog .) l'oyq B l a ire au .
-r.fflSSOU, chaf des Tartarcs Maiitclieoiiv, fes conquêtes
fur les Chinois. IX. 330. b. ^
T y T S O N G , empereur des T a r ta r c s , fucccffeiir de
laulüu. IX. 330. b.
T A k IA S ,(i<?r/nf de Relation) montidcrcs des dervis , dans
Iclqueis ils_ logent avec leurs femmes. X V . 830. b.
deBéotie. Sa’ fituation.
Ubiervatious fur f i grandeur. Il parok que cette ville eff 1 ancienne Opus. X V . 860. a.
T A L A PO IN S , {H iß . mod.) prêtres des royaumes de
Siam, de Laos Si de Pegu. Noires couleurs fous lelbudics
on nous les dépeint. Leur noviciar. Leur habillement. X V
b6o. ,7. Leur façon de vivre. Culte qu’ils rendent aux idoles.
Rcfpeéf quon a pour eux. Leurs fermons. Principaux
articles de leur loi. Moeurs des talapoins du royaume de
Lao s , qui vivent dans les forêts. Religieufés talapoines Privileges
des talapoins de Siam. Ibid. b.
Talapoins : ils font une branche ou une dépendance de la
XX VV . 1m4’9o . é/. Tle”u'r“s i-’d', o^le s a■ p"pîe;ll.e“es ’ tF;o Oé ,“ V "l .' " 4P6“0“ b S&i™ S»am“ -.
mona-Kodom. X V . 340. Leur chef. X IV . 606. «i Jeunes
enfans confacres à leur fervice, XI. 01. Valets de ces nrA
deviner 6c pour )ouer. Les amans de Pénélope jouoieut à
ces des dans le temple de Minerve. C ’étoit chez les Romains
im^jeude vieillards, & chez les Grecs un jeu d’enfans. Jéïk.
T A IA S IU S f ce fut chez les Romains un dieu
du mariage. Origine de ce dieu. On fouhaitoit aux gens
maries le bonheur de Talafiiis. XV, 861. a. ^
exclamation dans les épithala-
mes. V. 0 15. i>. ‘
r ^ tl'Efpagne dans la nouvelle
Caltille. OlTcrvations iiiffonques fur cette ville. Principaux
eyénemens de la vie de Jean Mariana , né à Talavera. X V
« 6 i, J. Réflexions fur fes ouvrages. Obfervations particulières
fur les éditions <k les traductions de fon iiirtoire d'Ef-
pagne. Ibtd. b.
T A L C , {Hiß. nat.) Carafteres de cette pierre. Onatre
elpeccs de taies felon Walleriu,-. Le mica do\t aufii être
range parmi les eljieces de cette pierre , de même que Je
verre de Ruflîe. Etymologie du mot talc. Autres noms de ce
imneral. XV . 862, a. Réfiiltat des expériences de M. Pott fur
H ' a *" font les Chinois. Lieux où on le trouve,
il eu tres-difRciJe de connoitre la nature de la terre qui lui
» P^tee que le feu ne peut rien fur cette pierre.
T.dc. Cette pierre eff le terme moyen entre le caillou
tranfpareut & l'argiile. II. 534, b. Formation des talcs Ibid
Inarticulés talqiieules mêlées avec la glaife. VII. 699 a
Efpeces de talcs appelles craie de Briançon, IV. 428 à
Mica X. 483.l ï , k Verre de Ruffie. X V I . 102. a.
T A L T a l c , hulk de. {Chym.cofmhiq.) On lui attribuoît la
vertu de blanchir le teint, & de conferver aux femmes la
Iraichciir de la jeuneffe ; mais ce fecret efi perdu pour
nous. X V , 862. b. Expérience par Laquelle M. de Jufli a
travaillé à fe procurer une femblahic liqueur. Obfervations
i'iir fa nature & fur fon ufage. Ibid. 863. a. T alc de verre de Venife. {Verrerie) X V . 863. a.
1 A LED , ( H if. judaïij. ) cfpece de voile dont les Juifs
fe couvrent en priant dans leurs fynagogues. X V . 863. a. 1 ALEMELIER , TatUmanJier, {Lang, franc.) mots qui
fignifioient anciennenieut boulanger. Erymol. du mot latin
talemctaritis. X V . 863. a. Différais articles des Ordonnances
oil il eft parlé des boulangers talemeiiers, Sc des talc-
mcliers pâtiftiers. Ibid. b.
T A L E N G A , a!ph.ibet, voye^ T e lo n g o u .
T A L E N T . {Monn. anc. ) Obferv atioris fur le poids Si la
valeur des talens en ufage chez les dift'érens peuples de l’antiquité.
XV. 863. b.
T a len t hébraïque. { Monn. des Hébreux) X V . 864. a.
T a l en t , {Monn. anc.) Talens d'A theiies. X. 649. b.
Talons Romains, 631. a. des Hébreux. Ibul. d’A lexandrie,
de Bahylone. Ibid. b.
T a l e n t , peintre â , ( Feint. ) aitiftc qui s’applique a quelque
genre particulier de peinture. X V . 864. a.
T a l en t , {Lutér. Moral.) différence entre talent & qualité.
X i l l . 630. b. Entre talent îk génie. Suppl. III. 203. a ,
b. De l’accord du talent avec le génie. Jf’À/. b. Bonne foi ,
franchlfe de caraélere dans l’homme à talent. V . 722. a. Facilité
que donne le talent. VI. 338. h. Folie des gens à petits
talents. VU. 43. b. D e la gloire attachée aux talens. 718.
h. Pourquoi les talens ont été plus communs dans certains
ficelés ik. dans cerriins pays. 719. b.
TA L I ÎR K.-^RA, {Bot. exot.) arbre du Malabar. Sa def-
crijiiioii. XV. Sbq. b.
T a l i o n , {Jurlfpr.) le traitement du talion eft la vengeance
naturelle, qu’il femble qu’on ne peut taxer de trop
de rigueur. Cependant piufieiirs jurifeonfuites l’ont condamné
, quoique preferit formellement clans la loi de Moiïc.
Dans quels fens cette partie de la loi de Moite doit être
entendue. X V . 86 p b. Modifications apportées d.in; l’évangile
à l’cxercicc de cette loi. La loi du talion établie dans
certains cas chez les Grecs Sc ch-.-z les Romains. Ibid. 863.
a. Cette loi ne pouvoic avoir lieu chez les derniers que
pour les mifér.ibles, qui n’avoient pas le moyen de fe racheter
en argent. Loiig-tems avant l’empereur Jiiftiiiien, la
loi du talion étoit tombée en défiictude , puifque le droit
du prêteur avoir établi que le bleffé feroir eftimer le mal
par le juge. Cas particuliers dans lefquels les loix romaines
paroiffem avoir laiffé lubliftcr la loi du talion. Ibid. bi Le
droit canon paroit avoir rejette la loi du talion- Ricard, roi
des Vifigots , la mit en vigueur dans fes états. Elle eut aiilTi
lieu anciennement en France en maticre criminelle. Apiés
la conquête de la Normandie, Philippe-Augulle fit une ordonnance
pour rétablir dans cette province. Difpofitions lur
le talion , contenues dans les établift'cmens de S. Louis. On
tient communément que cette loi eft abolie en France. An/.
866. a. Quels font les cas dans lefquels cepeiuiaiit on l’ob-
ferve encore. Efpece de talion dont les princes ulent en-
tr’enx en tems de guerre. Voye^^ Représailles. Auteurs à
confulter. IbiJ. b.
Talion , loi du , IX. 676. b. 677. a. obfervée par les Arabes.
Suppl. I. 301. b. Comment elle s’exerce dans la rengion ma-
iiométane. IV . 933. é.Certe loiconforme <à celle de Moiïe. Ibid.
TAL!SM.i\N , {Divination) E'ym. de ce mot. Origine
des tallfinans félon l’abbé Piuche. L’auteur d’un livre imicnlé
les talifmans jujUfiés , prétend qu’ un talilmaii eft l’image d'un
figue célefte gravé fur une pierre fympaihiqiic, ou fur un
métal correfpoudant à l'aftre pour eu recevoir les iniluences.
Explication de cette fympatliie & correfpondance. X V . 866.
b, L’iiivcniion des taliimans attribuée à Apollonius de T y a n c ,
à Moife, à Jacchis qui vivo it fous Sennyès roi d'Egypte ,
& enfin à un roi de ce pays nommé Nécepfos. Obfervations
fur le commerce qu’on faifoit des talifmans, fur leurs figures,
leurs vertus , leurs différentes cfpcces, Sic. Ibid. 867. a. Vé-
néraiion des Macriens pour la figure d’Alexandre le grand.
Eipcee de t.ilifnians appelles bulles d'or. Les talifmans les plus
accrédités étoient ceux des Saniothraciens, efpeces d’anneaux
ou de bagues conftruitcs félon certaines regies. La fureur que
l'on avoir pour les talifmans fc répandit parmi des fetles chrétiennes
; Ibid. b. Sc les catholiques eux-mêmes donnèrent dans
ces fuperflitions. On y croyoit encore fous le régné de nos
rois de la premiere race. Les Arabes les répandirent en Europe
; ck i! n’y a pas deux fiecles qu’on en étoit infatué en
France , & même encore aujourd’hui, ils font prefentés fous le
beau nom défigures conftellées. T rois fortes de talifmans ,lc s af-
tronomiques, les magiques & les mix tes. 11 ne faut pas confondre
avec les talifmans les médailles runiques , & les médailles
hébraïques. Talifmans compofés de lettres hébra'iques
numérales. Ibid. 868. a.
T A M 745
Talifman , voyei A mulette. Origine des talifmans. VIII,
20Ó. b. Carafleres qui i'e trouvent fur les talifmans. XV. 817.
a. Talifmans de Saruothrace. Suppl. I. 4 4 1. b. Baudriers con-
ftcllés , clpcce de talifmans. II. 162. b. Taliiin.ins nommés
béelzephoüs. 190. a , b. Talifmans contre la »die. I. 406. a.
IV . 748. b. '■
T a l ism an , ( terme de Relation ) miniftre de inofquce chez
les Turcs. XV. 868. b.
TALL.'IM , { Bol. ) efpcce de bambou. Suppl. I, 772. b,
TALLEM A N T , ( François 6’ P.iul ) Obfervations fur ces
hommes de lettres & fur leurs ouvrages. XIV. 3 1^ b.
T A L L IP O T , {Bot. ) arbre de Cc-vlan. Sa hauteur. Grandeur
de fes feuilles. XV. 868. b.
T A LM U D , {Crituj. hébraiq.) ouvrage de grande autorité
chez les Juifs , compofé de la mifiia qui en fait le tex te ,
S cd e lag ém are , qui en eft le commentaire. F'uyr^ ces mots.
Cet ouvrage comprend le corps complet de la doélriiic tra-
dit.omicllc , & de la religion judaïque. L>eiix talmiids j celui
de Jénifalcm, & celui de Bahylone. XV.SôS./-, Ce dernier
eft le plus fiiiyi. Ufage que le doiftcur Lightf'oot a fait ctii tal-
inudde Jérui.ilem Ck do lu mifn.i pour éclaircir jilufieiirs paf-
lages du nouveau leftamenc. C e lt le t.f r.ud de Bahylone
qu ’étudicin parmi les Jiiils, ceux qui prétendem ..ii titre de
favuns. Extrait qu’en a fait Maimonides. Ibid. 869. .i.
Talmud : éditions de cet ouvrage par Bomberg. V i l l . 623.
a. Obfervations fur les lalmiids de Jérufalem & de B.iliylone.
IX. 39. a y b. 40. a y b. 41. a. Exemples des dédiions du
talmud que les Caraïtes rejettent, II. Ó70. b.
TALM U D IS FE S , {Hiji. ju iv .) Voye^ R a bbinistcs .
T A LO N , ( Anatom. ) Vuyej^ Fié , Sc Calcanéum.
Talon, os de cette partie. 11. 342. a. Pourquoi l’homme
ne peut refter droit fur un feul talon , la pointe du pié élevée'.
IV. 636. h. Les hommes qui ont le talon fort long fe
latigiient moins à' marcher. X\T. 128. b.
T a lü n s , ( Maneg. Marcch. ) Bonnes Sc mauvaifes qualités
des talons du cheval. X V . 869. a. Talons du cavalier.
Ibid. b.
Talon y terme de botanique , de conchyliologie, d’archite-
Aurc , de marine , de cordonnier , d'horlogerie , de jardi-
n.ige , de lutherie, de nictceur-en oe u v re , de ferrurier , de
coutelier , de fculpteur, de talonnier, de vénerie & de jeu
dé cartes. X V . 869. b.
T A L P A , (C/iinirg. ) taupe o\.\ taupiere , tumeur qui fe forme
fous les tégumens de la tète. S'i-.ge de cette tumeur. T a lpa
produit par le virus vénérien. Talpa fimple. Remèdes Sc
traitement de cette tumeur. X V . 870. a. Voyez T a UPE.
T A L U D , {Coupe des pierres) X V . 870. b.
^ T a lu d , {Foruße.) Méthode pour juger de la quantité
d’un talud. 1 ahid intérieur d’un ouvrage. Ufage du talud
intérieur du rempart. S'es dmienfions. T, ju d extérieur, vayr^
CoNTii’ r-SCARPE. D e la détermination de l’épaifteur du revêtement
Sc des t.iluds , Iblon la iiaut-eiir des terres qu’ils
doivent foutenir ; auteurs qui ont écrit fu ce fujet. Talud
des remparts levèuis de maçonnerie , Sc des remparts le-
vétus de gazon. X V . 870. h.
T a lud , ( Jardïnag. ) en quoi il différé du glacis. Proportions
des grands •’k des petits talu-Js de gazon. Kuye^; aux
mots G,73;o/i Sc Clayonnage y la maniéré de dreffer bc de g i-
zoiiner les taluds. X V . 871. a.
T a lud , {Taille des arbres) X V . 871. a. Voyc^ Pied de
biche.
Talud y clayonnage deftiné à foutenir les taluds faits dans
les terres humides ou trop mouvantes. III. 498. b.
TAM A L .^ P A TR A , {Bût. anc.) feuilie indienne des modernes,
qui paioit être le malabathrurn des anciens. Odeur
de cette feuille. Sa reffemhlance à celle du cannellier. Son
mage en médecine. L’arbre qui porte cette feuille eft décrit
dans l’article fuivant. X V . 871. a. Voyej_ Malabathrurn.
TA iM ALAPA TRUM , {Bot. exot.) Scs différais noms.
Sa defeription. XV , 871. 4.
T a M A N D U A , ( Zvo/t)g. ) animal d’Amérique, mangeur
de fourmis. Ses autres noms. Defeription de deux eipeces
de lamandua. XV. 871. h.
TAM.4 RIi.US y {Géogr.) ficuve d'Efpagne. Les Cama-
bres tiroient certains augures de l’état où ils trouvoieiu les
fources de ce fleuve. V l l . 98. a. 99. a.
TAM A R IN , ( Bot. ) Caraificres de ce genre de plante.
X V . 871. b.
T am a r in , ( HIß. des drog. exot. ) Defeription de la fub-
ftance ou pulpe de tamarin , telle qu’on nous l’apporte. Etym.
du mot tamarin. Defeription de l’arbre appellé tamarinier.
X V . 872. a. Lieux où il croît. Ufages que les Turcs & les
Arabes , les Negres d’Afrique & les Egyptiens, font de fon
fruit. Propriétés Sc ufages des tamarins dans la médecine.
Ibid. b.
T a m a r in , {Zoolog.) efpece de finge. X V . 209. b. V o l.
VI. des planch. Regne animal , pl. 23.
T AM A R IN IER , ( Bot. ) Caraéleres de ce genre de pbme,
X V . 872. b.
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